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de bois et installa Slavecub devant lui. À ses côtés
se trouvaient un cendrier, une table et une grosse
paire de bottines noires et luisantes. « Chaussesmoi,
lentement, bien serré et je ne veux rien sentir
quand tu me la mettras » Slavecub prit la
première bottine, la délaça à moitié et tenta de la
mettre au pied du Maitre. Il sentit une résistance
et au même moment la laisse lui fouetta le dos. Il
leva les yeux et reçu un autre coup « tu regardes
à terre….. ». Dans sa tête, les émotions, les pensées
se chevauchaient. Je pars? Je reste? Maudit
que ça m’excite! Mais, ce n’est pas moi ça! Je fais
quoi merde!!!
Il reprit la bottine, la délaça au complet, l’ouvrit et
avec délicatesse l’enfila au pied du Maître. Pas de
coup, bon signe. Il reprit le lacet et attacha la bottine
en prenant bien le temps de la mouler au
pied et à la cheville de MasterBear qui semblait
satisfait « Good Boy » dit-il, s’allumant un gros
cigare. Slavecub sentit un élan de fierté sur ces
paroles. Il était heureux, il avait réussi à plaire au
Maitre. Il prit la deuxième bottine et prenant bien
son temps la mit au pied du maitre. Il attendit. Le
maitre savourait son cigare, passait sa main sur
la tête du cub. Le temps n’existait plus, le moment
était le présent. Un simple geste, une simple parole,
un bonheur immense. Le sacrifice, se donner
pour cet homme. Si simple et si illogique à la fois.
« Tu as bien fait, c’est un bon début. » MasterBear
se leva en gardant une pression sur la tête de
Slavecub signifiant clairement qu’il ne devait pas
encore bouger. Il tira sur la laisse et se dirigea
vers la table au centre de la pièce. « Penches-toi
dessus, montre moi ton cul » Masterbear fit le
tour de la table, pris une corde et attacha les
mains du cub de l’autre côté de la table. La table
était munis d’anneaux ce qui facilitait le travail. Il
passa une corde par-dessus son corps et le ligota
fermement au banc. « Si tu me dis Jaune, c’est
que tu approches de ta limite mais je le saurai si
tu me ments. Si tu dis Rouge ou si tu me ments, je
te libère, tu quittes la place et tu ne reviens jamais,
choisi donc très bien tes mots et quand tu
les utiliseras, il n’y a pas de retour possible si tu
quittes. Tu dois souffrir pour moi, je n’ai pas le
choix de te faire souffrir et un jour tu comprendras
pourquoi. Pour l’instant contentes toi d’écouter
ton corps, il demande à souffrir c’est
évident Ses pieds furent attachés fermement au
banc et il ne pouvait plus bouger.
MasterBear se mit à lui masser l’anus de son
doigt, puis deux testant l’élasticité du boy. Slavecub
était dans un état second. Pas d’érection, son
esprit allait bien trop vite, des sentiments d’extase
lui montaient du cul et sa tête était tellement
remplie d’endorphine qu’il ne s’aperçut
même pas que MasterBear avait maintenant trois
doigts dans son anus.
« C’est à qui ça? »
« Euh.. À vous », lui répondit Slavecub. Il sentit un
fouet lui frapper le dos.
« C’est à qui ça? » dit-il encore. « À vous », lui
répondit à nouveau Slavecub surpris de la
douleur. Le fouet retentit de nouveau mais plus
fort
« C’est à qui ça? » dit-il encore avec un ton agressif.
« À vous, Maitre! »Lui lança Slavecub. « Bon,
good boy.. tu as compris.. » Il sentit le chemin se
faire travailler à nouveau avec des instruments.
Certains entraient, d’autres non. Slavecub se retenait
de parler ou de prononcer les mots fatidiques
et endurait ce traitement.
MasterBear s’installa devant son visage, il tenait
quelque chose dans ses mains. « Tu as été un bon
boy, mais là tu veux ta gâterie j’en suis sûr. Tu ne
l’auras pas tout le temps, tu dois vraiment la
désirer. Allez met ça dans ta bouche et profites
avant que je te remplisse bien comme il le faut »
MasterBear baissa son pantalon et sortit sa
queue. Une belle grosse queue ferme, ronde mais
pas trop grosse. Slavecub se la mit dans la
bouche et se délecta du membre du Maître pendant
de longues minutes. Il sentait la réaction du
Maître et explorait de sa langue les endroits où il
détectait plus de sensibilité et qui le faisait gémir.
Le Maître sembla apprécier ce qui le comblait d’avantage.
Un peu de précum lui indiqua qu’il faisait
la bonne chose. Les grosses mains du Maitre
étaient maintenant appuyées sur son dos et poussaient
avec chaque mouvement de son corps.
L’odeur du Maitre envahissait la pièce alors qu’il
commençait à suer. Slavecub pensait bien qu’il allait
lui venir dans la bouche mais soudainement il
se retira. Un bâillon lui entra dans la bouche et
fut attaché derrière sa tête. « Tu n’es pas encore
digne de mon jus, Boy, il n’y a que dans ton cul
que tu peux le porter. »