LES FORCES MOTRICES - Bibliothèque de Toulouse

Pour lu Frunce de demain
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ro g-ramai-le
llllll 111111111111111i1111111111 lllllllllll 11111V
d'action.
fur et é mesure de la réalisation des
nombreux projets d adduction et de
bareasses.rêservoirS. Mamie peur tdes
les vallées françaises dm Pyrenem. Ces
rer" etentUrinânr
l'est
Quelles seront les conséquences
exoquer les
marrons que nOU.s «-
le coeur; avec le sens des responsabilités,
le scns de l'honneur.
On dit qu'il fut oftieier-
Tant pis pour j'Angleterre, *-
(CENSURE)
Il doit Y vomir 10.gemPs gen ne sonnais Ondée.
Tant pis pour la France désormais
privée d'une amie dont la con-
Le Premier britannique a désapformation
spirituelle était aPparenpris
les règles du fair plan.
L'époque oh les insulaires d'outre
de cette algarade ?
tée ta sienne.
Manche agissaient en gentlemen Du point de vue diplomatique
Tant mieux pour nos vainqueurs
nous n'en savons rien, mais 'la main-
est Passa.
111. Churchill a oublié l'histoire. dre sera une absence de relations,
getechsf nhrett isitirsearnsedoof Ce'yo
Non seulement celle de Fontenog; Pion peu dinsérente d'une brouille. réussiraient au Plus grand détri-
mais aussi celle plus récente des Que peut y gagneer la Grandement
de la Grande-Bretagne s'il
n'y avait pas chez nous' une' plus
Flandres et de Dunkerque. Bretagne ? ' solide mémoire du coeur et un fond
A la vérité, et bien que depuis Du point de vue psychologique et de 'loyauté irréductible.
deux ans tout le monde s'attende moral le résultai est' plus clair. Il restera de toutes- façOnS, des
â tout, au pire et d l'invraisembla- Les Français n'encaisseront Par. traces matérielles de cet acte de
ble, nul n'aurait soupçonné le gou- Et leur stupeur Hague de les rendre f lie
vernement britannique capable de plus clairvoyants.
Noe tr flotte de guerre en est sen-
tendre un traquenard, un guet Ils s'apercevront ainsi que la siblement amoindrie.
apens d quiconque, a fortiori à un Grande-Bretagne dispose Sfildiftid Des vaisseaux parmi les plus MO-
allié.
de forces militaires de tous genres, dernes ont été mis hors de combat;
Les historiens- demeureront con- qu'elle avait omis de révéler et de des marins ont été tués.
fondus.
mettre en ligne sur notre sol Beaucoup d'argent et des hom-
M. Churchill en demandant à nos qu'elle réservait pour sa propre et mes dans l'eau,
marins de se rendre â la flotte an- sa seule défense; les menageant, Pour avOir refusé anglaise,
les traitait déjà en enne- Ira gardant jalousement pendant glais.
mis.
que nons luttions à effectifs hé- Voà il ce qui reste.
En leur demandant de saborder
leurs navires s'ils ne voulaient Pas Pareil egoissne comparé notre Londres, a ne serait ?ms
les livrer, il les traitait encore en abnégation ne resserrera pas les
ennemis.
liens d'amitié entre lés deux p0.-
En demandant livraison d'un maples. fera CiPParaitre Piao eaceStériel
dont l'armistice avait Prévu
la retraite à l'endroit Même OU il
se trouvait, M. Churchill demandait
de des officiers de marine de violer A
la convention signée:
En demandant que la flotte française
appareillat, quittas les rives
résument ,f,idelement. les C''est la misera pour tous. patéens,
sil le snécontentement de M. Chur- employés et ouvriers- et seest celto de
chill, et accroitra notre propre mé- l'Etat.
Il serait donc beaueoup phis ace,
luire en en à se eeaia deeeiralior. ''o,
=ler soit pour dame, dans des artrates Mes-
CheveOallra
ce,ters
quo
tice.e
propos du
rsaaines, se rendit Joug eseerfe -
anglaises, la Martinzque pOlar y
I99
désarmée contrôle en-
glais, M. Churchill demandait ert- Vêtement natIona
cure que les officiers de marine
deman.
viciassent la convention d'armistice
De toute évidence et dans tous on sait que le gouvernement a décide d'effets civils et les confectionneers
les cas exigeait la remise de In la création d'un vétement national, à !sont pries de faue.cenn.ae dd erg..
fI fr'gai:e' " r "c>"' lecreen
titimit une violation des Cialee3 rie 01 0000
l'armis
'
I s,ft sont en mesure Oe toue. des
Ld étee Les confections de vêt:entente ,vesments civils. D111113 l'atfirmeive, in.
donc, déjà inadmissible. r es prennent fin pour 1311.3 pifas o niq les que: titis et les prix
Le reste est odieux. confection Mun veston droit eti'medolit &s or. rtMl
Enfermer notre flotte en Isou- civil et d'un pantalon long tiectlae, i ,a0 000, notre
chalut ire,, ,e0 réfreife eu- l'habillement aes m 'am. à ...ais' immédiatement la conften ee dé Pvesno ,
trée de la rade, puis tirer sur set. do,, et de rintalons ,du mot.. civil avec
cette flotte, à moitié désarme, sans aer rg'ér
les tiss s qui seraient fournis par let.
dan Magadn d'hithdlemont
munitions, sans méfiance, sans dé- ° f.verloeos tssus
i dont peut cli.oser
1. ns
dr, le barge pour aller livrer balai(le.
cela ressemble d un assassinal.
'
cm carnage d'une collectivité Pré.mbismem
enfermée dans un champ
cfria.
Et les ci-aimes sent des FMIIÇCliS et les niasSaereurs des anglais !
N'insiste. PaS. La simple cons- ntent de Toulouse.
.de m'adresse à vette peur tacher d'elocation
suffit P011V pmmettre d'établio. immediate viter une hien gra. erreur de Gomme.
M. churchdl. entotod Ffc,
ment un programme de reciaMien My hention due va commettre IiIntendance.
des
si0105 et durs
ma-
destement comme il le voitdrait tigs
prix abordables. Le commerce de lihabillement
outrait .ntinuer ses tract
chill qui nous oblige regarder de
I .,.'.7.ii.7d:'El.
chn iettçabl a
plu
des'dt
s pres les événements recents. gravitent minier de I intmestrie ues'aex"-
Et c'est tant pis pour tous.
ment de nos relations av. notre fmt é ce
Je crois qu'Il est, de mon devoir do
l'hii:4stoirelliée,,
vous signaler en état de fait let. de
consémeenceS.
q'eninnii7re'rerrs'et'e=
suc. intérêt particulier, ni aucun eS-
C.'eegi VLareeleere
compte sur nous dans ces heures Lm,
Mies, et dont l'angoisse du tende.. 71`mel,7 ne d
est pOmnan e. 'Europe centra nr e et d e nu emagrn. 's"
Cette expérience pu Drap Patmnal hies négotiotiont dra. iratt abouti à rueeet,Jelcvéuirts-,-uavgol'iflsuecus.
Sis ce lait, vo0 emq'
o.eio ' "eN:T7:21`14 'erre
Oie lien y réfléchi. .n en batée l'Allemagne dan le si/17age de l'Argfe'.
lieu a. ..et de s'engager .. .et.in ve, t'erré. N avons motititsé dès e lérofiler
pous
Personne n. phis le, dont aujeurdillui r ,0,0 d00,
de se tromper, ore près do 3 milelons d'hommes or in:
P.S. l'on tient absolument à rr.=;.r;
donn- - rte 'tee- ,u '1= voyé
P.
hiver
els:raine «pas ljuniforme Ue dii met diviâe.ptettl ,,oziont hoijii-
Mante modification et la SuPPreseon de
" ""200.000
«
tous attriblits militaires pourrait le chu
I' sen 100000 es 000.to,sptl teelenchée en Dès que l'offensive ennemie s été dl.
oir
de
feron:iin vêtement solide qui serait
notrofronzet one noliserons
nu mesurer le poids accablant des forces
x
allemandes, nous n'avons pas cessé d'alerter
nos alliée de la façon /a plue ore,
Si c'est l'aeuvre ana Fdevenir rançais rd_ L. observations de ne commerçant scote, /mu réclamant des renforts et sur.
tout des avions. -
Nous avons dé constater que In Grandeinopportun
qu'on en connut les er:iil'a'.' de' .'n'eue
N.s I. transmette. à, :rlr'dencez .:or'ieeduez
re le maximum de son matériel de suer.
re, n'a jamais voulu coosacrer à la Men,
on dn role,ferençais une partie ni.Jortante
Paris, 5 juillet. -- Le maréchal
Gcering s'est rendu à Paris. Il a
Gsité le tombeau de Napoléon. Le
Maré-chai Goering était vêtu d'un
uniforme bis. et accompagné de
sa garde d'honneur.
etee-droit
Léon HUDELLE. en nous permettant d'errater l'attention
générale sur le Post-scriptum de cette
lettre, mest-à-dire sur le sort réservé a
l'uniforme milliaire dont chaque molot-
content= et.
Notre alliée aurait-elle délibéré-
Commentaires
ment assisté à notre défaite, dans
01er acte. .00, fors,tiça: bts eavrariLreeiré,mesee :,r11:111rè.ree
*ndignation, en apprenant ...0 h mathe
l'espoir que l'ennemi ne l'obtien-
si:.oluetensiai 0' britpnnlyue, qui a cependant de a londrait
qu'au prix des sacrifices énor-
da la presse et a exposé dans u maseraser- porter,_nuenn, ni a
*MW
gues traditions d'hem., avait bloqué
mes et qu'elle viendrait ensuite, elle,
nolisaiinolisafamilière les idées suivantes notrso,(j. par des mines lm navires français
selon lee clauses de l'armistice dans ria.aies
riens retiré an feu en
ment où la Grandelfretagne
avions ho
nous bridant?
quesdo,d".irun ne%w.: 000d Mem-El-Kébir, et n'avait pas
ieo. An. dmoso livrer contre nos navires déclaré dès l'abord ev
Sur l'agression anglaise
hésité à ouvrir /e feu sur ses tompagnons
La question, fatalement, se Po-
ouillés en rade de Mers.MKébir à une n'admettriom qu'elle fut livrée à nos on.
sera. Et par la faute de m. Chur-
d'azmes de la veille, hors d'état de do,
O endre eff.ecinent.
rrinne::7,7 gsliOl, ne01.2111,1 arrieder'i° r un armince Aujourd'hui encore, la marine de mien
a,nr neve- Le maréchal Pétain et moimême avons re britannique bloque dem h rade d'A,
Iman.. une antre escadre française qui
rasai:. a delmie le dao. des Mn. que, à pl r re rrse , oCrl.
imsateie coulée si elle tente
La politique étrangère française 111G Le 0. 0,0,00,
&s faim m peuvent manquer d'exercer
lp. la ÎermeG-de noue déedsion . Leu influence profonde sur l'orientation
ràrzu.o. 1 de flutt.ei de notre politiquy nos relations avec
é.,=ent or tin plan nouveau.
Grande-Bretagne. La politique des eanm rir'-'0 ',error. eL"' o. Nom avons dû matin ay. zesce tri,
ions qui nous a sépare de l Italie est dua rre00, 10 :100Z o. P ri" efi e przoMe la décision de rorapre relm
Farmistice.
dons diplomatiques avec un pays r.pon.
Nous avons Malines agi hyslement able du sang de nos marin.
vis-à- vis de nos aneiem alliés.
/. Mendia, que depuis dix
Ions
M. Churchill nous avait Inioneine
nie...menait phts de
eptatiop
claré, lors du Comeil Suprême du /3 éuie
diplomatique France.
Men qu'à plusieurs repri.s, rai demandé
n1111 si le France ne livrait pas sa flotte à Mitre chargé d'affaires à Londres ei,.
guerre à renne., la Grandelfreugh, ter venir auprès do gouvernement brame-
même eae de paix séparée lui garde. nique pour qu'ils rétablisse un comma
rait toute sa fidélité.
direct avec le gouvernement français,
Depuis l'armistice, les épreuves ont A eet acte moonsidéré d'hostilité, le
coumernement francitie n'a pas répondu
Zll'ea17,7; wic7Zaenvié%eba'1'.ree; par un acm d'hostilité. Il demeure ca/me.
presque seul pour /a cause commune dies attentif an développement d'une situation
n'a pas voulue, soucieux séide..
'1>:FLIPneene"il'sraPnPlne001Z0.fatt be-- de défendre par moyens qui. lui msminium,
qui, sans relâche, frappe ce, tent et par toute noliiique croira
devoir adopter, l'honneur et /0 intérêts
aZide.'eeria% ms été sa stupeur, son de h France.
Ce qu'en pense la presse
Du Temps s Paririen Lucien
lisé est poUrvu, et qui se. sans aucm
Nos elliés d'hier,
doute jl'aeté il la poubelle si son 1.atetre
Amès Ladre de /a Meuse, dèe /e
dit-il, oe nouvnion f
douter que /e chef et
second jour de sa pri. do commande.
Inatins 10. no- La France, dont le g/orle:use armée
actuel bandonne au dépôt.
s'est sacrifiée pour le salut
nzent,.le général Weygand a demandé à
.mmun et
g.. per imper en camrieeelraec:p'gei'z,r.'
qui n'a 0010 que parce qu'elle a été
e. de
O=Petdetor
vêtement nalrionl t'''''''r
Ils savaient dune, en arrivant devant mmfilsamment soutenue par les
iBau7n,7,.a,:lïulri.oàs:,:rt:sodfice.N. jor,,d,e1 dm.°
,.,Cnte nqe, tourt pes,,, .leys oapri.c,:iennoor.51:al.:-
Mers-deltébir, qu'ils allaient ouvrir lei glais, ne méritait
An-
pas une pareille of-
feu sur nos navires et sur:des hommes fense à son drapeau., La France, qui
nui, voici peu de jours encore, se bat-
der Utiliser 2 e z rrmée allemane ebt"'sgérir':a:ut raient auprès d'eux pour même
Mnction avec nos armées da Sud.
'9.5«erli'rng'IMJCZceo.drv'.=
cause,
eu commettant ,un abominable atten-
L'armée anglaise, mirée avoir donné
son seceptatioa
e
de mincipe,
a hésiti, pnis
Cleet là ce qu'ils o.nt fait, sans ne-
Misti., dès que l'ami./ français leur
nrreco'r'in'aU nacru'd
eut répondu qu'il refusait d'obtempé- dans l'histoire des /narines. L'o-
ViSite 1 n811010011 ss'.1.: *.ef .s- 1" '-- -'-'" rer à leur ultimatum.
n mondiale mzera comme il cet-
Nous avons dA alors ordonner la re.
l'acte isensê auquel s'est lis-rée In
traite de dos armées du Nord 'et oeil Ioda
recto 11001
ont lutté jusqu'eu dernier jour pour per. 1101001 bl0u,,eo britannique. Les néeasellés de la
mettre de sauver les .atrocinquièmes c n exprimer aucun blâme quand
guerre ont des limites quien peuple qui
e l'arme anglaise, alors net la moitié à apprit, à .1a
a le sentiment de l'h..,Io ne devrait
veine de ia catastrophe,
peine deFurmée française a pu être sau- II r un discours de M. Churchill, qu'au
jamais transgremet.
moment de ta terrible , bataille de /Ac a Figaro »
Ndtro marine de guerre; celle que la France, douée cent mille soldats anglais Ce
date ànglaisc vient d'attaquer doue les demeuraient sur le territoire de leur ou'il faut MiOr, c'est que cette
eonditiom que l'en sait, a panicipé à patrie, préts à /a défend..
ne. tourIM au dive. d'éconx
A
eu comm.. avec a mai
moment, nous meus battions
neum gyinino, de part et d'autre,
ring te, ree n courge qui n tout au plus à un centre droit pput faire surgir de, passé des griefs' qui
contenir l'a ruée de l'ennemi
innt pas été formulés en leur temps.
sone que chacun deo gestes T..i.use MM., ad,maidiefisé-
di iliie empEsile 'i°°, que
le Co ment le nombre de cmlons et de pa.
;:,,;net%:Frd.,riie
y. 0,,,, 033113 mititaues en urane talons qui pourraient ah...atelier... RÉCI8
b4s%;,Cri'JiZ'11;;'(It'n'cle'-Ue faisons aujourd'hui, que elmenn
s reldt$ 00 nous
e tout. nuances (sauf le drap de Ms- ,...é ,.. ,...c
vait été rembsnme avant. la
. . . ans dison, s'inscrit
.
tant une supériorité érripante: Cn bémi. do In bataille. des 11100005e,
l'histoire. 11
que faut que
les
ce/le-ci
inctioM et les toiles Myomes I.. i
assai brigedes mtlaises. qui
mosse écrire: on leur que
avaient
nous avons
coton kaki, sergé coton kaki, treillis de I a ce sujet, un Importent marchand Off ...é d.°l'if r ,
010 à le hauteur des épreuves
me'NoterYrull'-',,'!ried
in . ae coton bleu, etc...). ' ' de tissus de la région nous adresse ms de Vols clans l'arts-Sms de ce
:nagé Le ilnant de
cédé d,event Abbeville se retiraient el-
que nues
les rame.,
traversons. ;
le geste de l'A ngleterre
Pour Ils ....te a Proeimit de en-sels pertinentes obseramtions critiques Mir deux grandes colonnes °once. ...mildiou a 010111,militaire, chiant sni. nes
émit dicté par /e souci de
la coupe serait asré sue par suivantes ; le tringlot ? fernandM; Parti- ii,i4rtes, N:ete7... eni r i,iie,,eniereztel drer.r.,,,l Muta. les ilémurnémustes certitudes.
sa sécurité,
nétre par celui de note
cle est a. ..compagne une p
noue n'élevions aucune plainte, ne foré tz ous folt lionne..
le tragique dors conflit.
iintacte. not. gouvernement a dà dem..
o ieu
001,11 , celui de deux forzes
Noue soucions seidensent I accepter
qui
71;%i'lgorrinditlett,r,ePr'''''''' le i,;leih'ioi''O'fiiiibliisai 'Ms les moyen; scule como les plus durs, n tenir, e s ;
S'y a-t-il doua DI. de censure ii do ,,,,,,,,, d, it.m,gie,;rï, p...,.,0,,, 000 engagements, .
vele malte. Elle 7,if0eoli«eZ.'el mit ias.pir'êe d l
crag gapatricv a perdu beau ia tété, effets dont s'agit, les marchai. C'eat au Sujet Mi drap nadenal, I
SOCIALISTE
ABONNILMENTS Rédaction et AdmlefstratIes t 3S, ree Requetahte. TOULOUSE e. Pesteux 3.272
n1011 55 frd I litais Se Ird 1 ms MIS BUREAU A PARIS: 3, ne St-Menses (2.) Télépb. Blehellee63.00 ih,e,,,,,eee emee,e)
1La Roumanie passe
du côté de l'axe
LES FORCES MOTRICES
Lorsque, venant à peine d'être élu la parte des fortce hydraulimiea éditée cette réalisation. Elle pourrait met.
ire je raQue,I
Par Io mitustere 033 Travaux publies- 200.000 HP à la diaposition us chacune
M. Calutobel, que le recteur de l'époque Je n'ai donc pas bernin de les citer flans 'des deux nations,
enrneregemit fort peu je Ms heure. nec ereiala
de lui accorder le centaure de la Ville jt nuit duMais dire leur e e.e.'e. bjeFn'ete. dartes'elén't, irsulfitratt'lerl:
P. mai. reinri briderr e... .e sagesse et du bon vouloir des tieux gou-
réalisericif Eleecilrercolieque 'I're'i..7do'BZ't Ji ms ressources hleues a un
chiffre double de celui ydroelect.dont nous daspo- rnr.0Z0,0il0;,eleV0,01,.U0r1.0%.701
Cet institut a été la ..pinière des
cadres diingenieurs et erinducteurs électriciens
que, maintenant, la région mue mieux N." desservie r4le. e. que rra... la na nôtre. Seran a`er. f''rer:;",011'1ert Ca-
aède en abondance.
Il dépend de no., Ce notre volante, Il tee reste à dire quelques mots des
Toutes les fois que j'ai été chargé nu de notre travail, que cela se réalise baSses chu.. Je sels quo les letton-
rapport du budget des Travaux penlics, dens le délai le plus rappéeché. clens les Jugent trop ore:mages et peu
j'ai pu instituer ou develoPPer Me
Déjà de nombreuses constructions Productrices ; Os profèrent Connu la
, sont en cours; il n'est que . les rnt,ver priorité aux Mates chutes et us ont
ges, etc.
en y consacrant tous les moyens d'en. rats..
Ainsi Dit créé le service des forces (reprise
hydrauliques du Sud-ouest, quia tant
prao.ro, et de main-d'uvre dont
ne tant pas, néanmoins, négliger
CentriblM auu Oeneeptions heuretiees et puismnts si les entrepreneurs veto e l., Il
de.nt nous reolcellllono tnamtenant les lent bien rnnsidérer que la tâche est exiet. delà h...Ma qui Sont arnende-
rut s.
fr.,, eoe ,e0,00000en0 bles sUr la Garonne, sur le Salat, sur
La part de notre région est i.Per- d'un baz,arrage Ou dune usine, mater. l'AfiLSei
tante. Elle n'est pas loin d-atteindre te etrtennOl trouatrunt13231.130110 d'autan sontP relatées, cer-
100.000 MI...heure.
dans l'ouverture d'un autre chant.. faines fort importantes. un tacot les
Le seul grand poSte de transformation c,e00 dire 000e quelle Mitpum,00. voir tracées sur la carte rine, Fm citee
de Ourlet rassemble et repartit par tance des industries qui viendront siéta- haut. de crois qu'un certain nome
heure cinquante mille kilowats. nun deus lar000,0, pecr si gram,. pue :bre d'entrelles pourraient Mem
Il reçoit d. Be..., Inc lianes a soient Inc prévisions de- leurs devemps ',énergie dune des candittens assez 3010
haute tension de l'Union des Proddi - pements avenir, ces industries neitrou. nom.. atiX i vol dee
tours MElectricité des Pyrénées Oc., veront nulle part des certitudes plus ciraient se don tes moyens autona-
nentaies, celles de la Pyréneenne et a nettes poua nlintnédiat et des assurai, mec dv lu p000uioO.
la Compagnie de Midi (S. /1. C. FM ces plus fortes pour le Futur, en matière po dernier met ; je n'ai pas oublie
est en riaiscn aveo le poste de Canne.
mem et, par lui, ;tee° les usines des
les Usines Thermiques; it y en a Pen
BareSemléyrênétv et av. Bordeaux. Je nui, pneu'., envisagé que /es dans la région i les usines i.ales de
En Isairnn aussi, par la ligne fietle
lisus chut.- Enosi, n'aide MM euh Bé2,e1S, Carcassonne, de Toulouse
tension de Touleuse.Pinet, avec tas
les ressources du formidable réserve:, Seules, résentent wierà
usines du Tarn et de la Dordogne, ce
n
qui lui permet d'assurer l'éqmliblie
régime glaciaire pyrênéen et du regime
pluvial cévenol, dent tes Point. lée
creux se produimnt fort hetueusement
z des époques difierentes de Vanne.
Cette lig. leur permet d'obte. le
rnn.unt d. rnines de Pointe do la
haute Dordogne, Surran, Mares. La.
math.. U. nouvelle ligne an assue
rera la communication av. las usinas
de la bases Dordogne.
Ses ressrnre. seront aegmentées
usI.see'él,
. ,
à MM° des événements actuels, citer (Sept-Deniers, Tram ,
lo
clesmiesimeeot,osta udm.oran, ,ortilled éddiges sucrcire'ss.l., '>tiret etc", ''etc,.?' Icteen'orl:s ntccen
r'pile In 25.0;ij;;
di'P s-HP e-;5.5p7oienia,li'Mai: à .:e.l'iece tan -Berlin, 4 juitlet. Le o D. N. un communiqué, disant notamment:
B. annonce que le cabinet Tata, a La politique du nouveau goures.
a donné sa démission. M. Gi- verneement sera celle d'une saine
gurtu a été chargé de former le administration du pays.
nouveau granitas...rait. Quant à la politique étrangère
LE NOUVEAU GOUVERNEMENT
Roumanie, elle Sera olirigee,
Bucarent,' 5 juillet. Le remmn:utrP'flitl,Pae cvoinrt's.'et'e gttrroirt
vesu gouvernement, prési.ê Par avec l'Italie et l'Allemagne. a
Gigints, misilfend de Le nouveau gouvernement coml'ancienne
garde de fer, de tendra- prend cinq génerraus, dia de ses
or ndtii°i'ml.dediiidie 'Per. membres ont appartenu à la Garde
meDmèhsreer dumParin'i! MétuGdfagnat 's ont LdeignFe'a'nteisinemg itaePPraroutmienainnee'.t IlàOnt
Procédé dong ids PrinciPaigd viltd formé sou l'égide de M. t'Yi/beim
roumaines à des manfestatrans ans Farricius, ambassadeur d Allémaisémites.
goy en Roumanie.
S'APPUIERA D'autre part, le gouvernement
SUR L'AXE ROME-BERLIN roumain a donné l'ordre à un cer-
Londres, 51,ine. Le-orant,. tain nomoro de citoyens britanni-,
v ara. rates oie quitter le tenon:ire rou-
MerGePgu emrteuna'Srie'sutmeunt' Parnti ned, .mderOerdi triniet
a publié, annonce la c B. B. Cd, vent trente mgeents.
..C.inquenl a. contact avec la et que nous rt
f. je .1 ,0errnT00 qU'lln Fernandel, imo°e unTrdenten' aei
t,un
, éy Brasseur, et autres Gabin attenoree,",,,,d.:,cUieeer.=
tient sans trapatleame l'ordre de
sera pas mains un
gens' geeme
J her ba las
equisi tous las parce ',mettes ;rte.- e;,stre aulnrerntao pas
si .2 uerniorsqn'
s'élèverait à près de.000iontpas
,
rejets établis se réalisaient.
Pourtant, faudra bien eann le.,
la ':""'""""M"."'
France et t'Espagne, unissant leurs et.
A. BEDOUCE,
Mrts, entreprennent et poursuivent Dépuré de Toulouse,
uniforme, et miel /dr erdi.larériorneus ode VluOin,...dtemand, e
uniforme
I
mn
Celui de la detatte,
millionnaires qui n'ont absolument
Il sera donc stocké, se. forme de menfait
durant cette guer e
:drap des quantdes °nonnes 09 151015.151015.hercher par tous les moyen.s rl riure- une
ollrner:receVeoretverb,?,,,,,,,,, publicité tapageuse, déplacée et non
ide ce drap, a-t-on pensé aux nult.ers BineeranieLsevee leurs états de ser-oslnec
A la place .du sourire de M. Fernandel
que l'on fasse passer les me
tations de ceux qui les ont gagnées
e la haut n.
l'llagrelleOr% p. événements
passés et en.re actuels; ciesZiodure tes
achats ...ifs toutes sortes, fa.
par ceux oui avaient des fon. dispom-
lets et (Mi avaient la orsiMe de ne
Pour paraître demain :
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eh/Malan tie remplacement presque
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SAMEDI 11 JUELL.ET 1940 '
Jamais personne mieux que M. Churchill
n'a travaillé pour le roi de Prusse.
Renaissance
"Après le drame qui vient de se
denouer, il est urgent de constituer
une équipe cohérente dans les
conseils du gouvernement et dans
/es rouages de l'Etat.
Que ceux dont la personne et le
comportement sont l'image raême
des erreurs de la France, comprennent
que leur devoir est de set'
facer.
Cette question ne peut être équitablement
jugée sur le plan politique
et sur d'autres aussi généraux.
Lou fautes sont individuelles,
elles ne sauraient engager les
partis. .
Mais que les hommes, quelles
czeit Solnt Ceuilseétienettlesei.%
d'alarme, Ont oMenté l'expérience
fatale, aient la pudeur de dis.raitre,
Mis ne veulent pas être
chmses.
Pendant ees dernières années,
nous nous sommes dressés de toute
In force de notre lest.. contre le
byzantinisme des rhéteurs, contre
lafolle des Rodomont.
Par la plume et la parole, au
mépris des incompréhensions passagères
et du, vindictes m.quines,
nous nous sommes efforcés de servir
nos convictions qui, hélas, ont
été eanctionnées par la réalité..
C à'Ng.;.ss,fe n,e''::.t=t;
patriotiques, da. la mesure où
nos efforts ont été impuissants.
Mais aUjoUrd'hui, nous n'avons
plus le droit de juger notre devoir
selon del intentions avortées et
deS actions' incomplètes. La force
de no actes doit rem Mer sür
outes les "Ge/sidérations :anciennes
qui ne sont plus de mise à une
&Pogne de salut publie. Nous dm
Pons piétiner les méthod. dé.dentes,
nous devons passer outre
les sentiments émollients, sacrifier
nos disciplines désuètes potpe nous
élever jusqu'à des conceptions épu,
rées, rigides, de la chose publique.
'Il faut des méthodes nouvelles
et des hommes nouveaux.
Il faut faire table rase des réputations
surfaites nid ne sont plus
que des cendres.
Il faut que le peuple alourdi par
l'expérience, marche pourtant d'un.
pan asSuré vers une renaissan.
proche.
Il faut, surtout restaurer la MOralité
jUSglie dans ses bases les
PluS profondes,
Il faut recréer un idéal de pro-
preté morale, non seulement dans
et l'ossature de l'Etat,
lm?ïscadres a chez les particuliers.
Il faut que chacun soit respom
sable de sa mission et de ms actes
et 0000 le signe de l'ordre et de la
discipline, situer d'orm et déjà les
défaillanc. de tous ordres pour
Ion punir et prendre des garanties
pour d'avenir.
/I ne S'agit pas Uniquetnent du
&mine politique.
/I y a leS responsabilités de
l'Etat-Major, de la diplomatie, de
la presse, de l'industrie...
I/ ne s'agit pas de chercher un
bloue émissaire bu une tangente,
mais d'assainir, de guérir, de sauver.
Alemndre EAUZE,
député de l'Ariège
membre de la Commission
des Affaires Etrangèr..
"err rre'Mrre 'ressdP; Notre ministre des affaires étrangères
u_gemon
e que la Gramte-Bretatn-e
, e "
est en grande parue responsable
de nos revers militaires
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put-etve mal conseillée par les
'rairais de Londres. Le tort où elle
.1est mis a, du moins, un avantage.
..'est qu'il nous libère Mun poids mo-
-al. Nous avions dû abandonner /a lutte A la Commission d'armistice
rue, du moins sur terre, nous soutenons
seuls pour le compte de. denx
niissances. Même sans par separee, Las Ggl EsheiNninE I G ER
et armistice, imposé par la défaite de
ms armes, pesait à notre fierté. L'at- ONT EU UN ENTRETIEN
itude da a flotte anglaise nous le QUI AURAIT LARGEMENT DEE ORend,
aujourd'hui, plus léger à sup- DE LES PROBLEMES 0,APPLICAmrte
rnieralement.
DE LA C5t*VENT1Ot
"n" s L.rs Dépecas s
Il y et, à tout cela, une seule et sécu- Mercredi, la séance de /a commission
kine explication l'intérêt et l'égoïsme d'armistice franooddlemande, qui deoglais.
Cet égoïsme classique, detadle Nulles tenir à Mayence, a été brmeque-
taus taus les manuels d'histoire, ment renvoyée.
ra. inexorablement sur toutes les po, L'explication de ce renvoi imprévu
cs maritimes de l'Europe, et dont est fournie par cette dépêche rte
mue espérions, à tort, que, dans IO- blie aujourd'hui
PR
a Le Petit Marseilmeuve
commune, le Gouvernement nulais »
dais s'était enfin affranchi.
Aujourd'hui, l'acte de M. Winston a Bâle, 5 juillet. On attache mte
Churchill nous contraint à nous sou- tins grosse importance à un fort long
venir I
entretien de plus de deux heures
Et c'est hien triste
que le général von Stuipnagel eut hier
Une fois de plus, il ue s'agit pas
d'opinions, mais de fans. Apres la
guerre victorieuse de 1918, c'est N..
goisme britannique, c'est son Lloyd
George qui, après avoir saboté. notre
' victoire, no. a imposé nue _paix qui
. ne nous garantissait pas. Pendant plus La guerre anglo-allemande
ne,or
)1Ceto'r
zen:tu
ieil'al"!à'Zce.7 SUR LA
résistances do t'Allemagne, les ran- ..eateen... lettiert ,evt: ead.=.e e
rentre de l'Italie, diaprés cc vieux et Londres, 5 Pille^ On am3.33c° ê'Bt aleldlererar ettel'eadpioW
fallacieux principe de bauule diploma-
fOdesmardi.; juidet) t
fermés, et les services seront lie extraordinaire rhs trans,
Syndicat climats.
.' Ira. PAIX 'SOCIALUNE .pEU1 .
-SE CONCEVOIR QUE DANS LA
(BENSUR9
férés à Dartir,du dimannhe 7 juillet
au Ornesersatoffe, rue 'du Con- *P,ece'zze.nafpo..Ta12 .1,
'JUSTICE ET. DANs LA L/BERTE,
servatoire. . s
AINSI QUE DANS LE RESPECT
DES DROITS IMPRESCRIPTIBLES Nous voyonS circuler dans nms
»US AU REGIME REPUBLICALN rues
A VI E OES
(CENSURE)
L
des véhiculea
OCIETÉS
innombrables qui ne respectent
même plu, les arrêtés de la circu-
SOCIETE D'OORTICUL'FITRE
lation, ne .opant jamais leur mo-
POIL.
DE LA HAUTE-GARONNE
teur au stationnement, passant en
Dimanche 7 billet t 14 heures
sens interdit,
cloture des travmx de l'année,
et 9auses UNION INDEPENDANTE Conférence por Manieur laPèdegne,
per leur rindiscipu ne eplacee et DES ANCIENS COMBATTANTS professeur d'horticulture t Le. Cepscap.,
le ver des pèche.
de!' eliric'Z'es.'"Gu dstratit'aUn't'siel'5' pifirez'elr
, d'embouteillages, et surtout de dé- sont ouverts tuas lm Jours de 14 S SOCIETE MITLAIIMONIOtE
GLEmE,Nte-imuna:
pense aussi inutile qu'ineoneidé- is'Zr.slieetnrieleiji'enlaZeert
Lu réunion générale qui devait s'offait
leurs cempositions écrites d Ren- ree .rbiira.t
nouvellement, la mutuelle retraite etc.- m &marelle 7 Prfier 11, ue
Les eombattett, de la guerre 1939,1942 matin, au siège, C,neersatilre, est
IrM.tTa'liteo'cteel'usrL.'et 's'en% qune Îoen"suedm"Clutemetxedgeer'émêPerrePe
reportée à Ulle Mite ultérieure.
i,o,:euresso emore présentés aux cas- t vulgum pecus 5.
Candidats admissibles il un précédent
concours
(CENSURE)
ELECTRI CITE
Soufflet (Pierre), Vandel (Jacques).
AVIS. Dimanche 7 Juillet 1940, en
Sont déclarés sous-admisstbles :
Roger CLERGUE.
arma des travaux à exécuter sur lm Dernière Heure
lignes él.triques, le courant sera su,
Adam (André), Augereau (René), Augustin
(Demi), Boulon (Georges), Barat-
gielPn'ratellad
chart (Enfile), Bordier (Michel), Rentier
nue oamille-I,jol, la rue du Champ-
(Foncie1,1Beaurieur Vreantels), Reoe- Y a-1-11 deus poids
du-Merle, la CoM-Pavée et le cûnal du Un ordre du mur
veule (Adolphe), Boitel (André), Bon-
Midi (secteur Mordue).
Il sera rétabli aussitôt les travaux de l'amiral Darlan a la Elle
fer'ég"TanT,e)i3o,'Cergl'aPTO7r>.(lit3e- el Eus mesilreS? terminés.
rdres13,tur eze,$), Bouteille
Vichy, 5 juillet. L'amiral de
la flotte D.I., commandant en r
né), Cheuvea 0rlaud:), 'Ched,32An' gra"; Un arrêté récent portait inter-
(Pierre), Chevallier eacquesEtienno), diction de terrasses pour les cafés EXAMENS El CONCOURS hee egfe,.1 d'e'ireg
Chevallier (Jean-Léon), Cordelle (François),
Couturier (Pierre), et les restaurants.
à nos adversairm un armistice dans
Cnel Mar- La police en a amuré l'.écu-
l'honneur. Ils nous l'ont accordé.
ets?: Pelee:Vijerare, tion aux abords de la gare.
FACULTE DES SCIENCES Les conditions en sont dures, mais
Dg:fee,'rr: &te: Mais dans le centre de la ville,
DE TOULOUSE
non déshonorantes.
sur les grands boulevards, sur une Les étudiants repliée de, Facultés tom L'ordre du jour conclut :
grande place, peut-être ailleurs, ,bàeu par l'ordre d'évacuation, qui se
les terrasses de restaurants demeu-
=ont fan inscrire pour subir à Toulinpo Pensons frdnçais, agis.. fr.l'examen
du eertifieat d'études P. C. B. le Pais, resPectons dela l'honneur nos
rent acce.ibles.
9 juinet, mot informée que les épreuves ter parore et e'est ainsi seulement
Cette 000toslir poutrelle s'expli- sont avancées et commenceront pour tou. nue notes gemmons la France,
quer et surtout se justrfter ? tes les séries le lundi 8 juillet à 7 h. 30 à de la marine, adreste un ordre do
la Faculté des Science, alléefules-Guesde. jour à la flotte frange.° dao lequel
il dit notamment r
« Le lâche attentat dont nos na-
MOnalMreS Menez ceci ! BLANCHISSERIE DES RECOLLETS, vires et nos équipages viennent d'es
35, r. des Récollets. , 49705. Reuter Ge victimes à Mers-el-Kébir, aura
Le Préfet de la Haute-GaGronne régulier S dort. p. famine. Drapa 1,50: montré au monde que, /orsque la
s,u (11aure) Jullien porte à la connaissmce des con- serviettes. 0,2C, comMets travail, 5 R. France a donné sa parole, elle la
(Henri),
A UN PASSAGE A NIVEAU bois (Jean), Dechult (Paul), Decamps e» r'
sommateurs que le comité dépar- .---T
tient, quoi qu'il puisse arriver.
(Ilubert)), Laurent
Pontonx-surd'Adour
5 juillet. (Philipe, DulioiS,F,,,,eson)),, ..%uacruodequeml.. (Raymond),
temental de Surveillance des prix
Pourquoi ces chefs britanniques
r, Le lathaMarque Bouc (Louis),
Ledain a fixé comme suit les prix limites
ent-ils agi de la sorte ? Le prétexte
Lundi matin, 500..Ore-Mana . .rd, amt, ), UnsrmsoY
se ri,r, Fab re
s (Claude), I,Lens (R
(Jeanlienn-PlerreAnore,,
obert), Letot (dm- de vente sur la place de Toulouse
invoque est d'empécilmr la flotte
'dirigeait en auto vors LalutMe. Il G i Faure (Man), navel. (Edouard), Fini. I lui ICI d At Id I Lé PIF des pommes de terre
française de tomber aux mains de
m-Bertrand), Mangeot (Henri), Mar-q
l'Allemagne et de /Italie. Ces mes-
de sus deux enfants, (Francis), Foury (Pierre), . G3.3nD (Bu' chaud (Henri), Mes (André), Masse Prix de base I 2 fr. 50 le lina.
gar miel de hait. ans et une fillette bert.Pa.),
sieurs de Londres seraient-ils Plus
aMia..rxino,krefeenel), aMebn,u,khistei Marge commerciale du grossiste:
cinans. 'accompagné traversa. le t'assoies _G.M.
français sarclas ?
(Michel),
sicese nen gir.dé de lu ligne ém
0 fr. MI le kilo.
Octet- » ergot (Jscques), Lefebvre LAdItirtH, (Robert), Michelet (Gabriel), Miot Marge commerciale du détaillent
: 0 fr. 40 le bile.
DECLARATION ET CONTBOLE
DES STOCKS DE CEREALES
SECONDAIRES
fr Préfecture communique
11 est rappelé que tout détenteur, à
uelque titre quelconque (PMPri,
cc exploitent, commerçant; asocia-
nrea'sianTPeieveOt7eren'ust?;
e'ePotreaMs '(0'?nie,'tbnaexulda'
de, riz, lapiora),loit déélarer,
quatre mur, qui suivent le
mem er samedi de chaque mois, Ics
miennes qu'il détient it cette date.
serinent
PROLDeLIS ITSOPlef
dont la fabrication est
assurée par les soins da
Magasin de Gros des
Coopératives de France
ne sont en vente que dans
LES CLO0e.,P.E, IRAIITICoVESum..
'LE LAIT DE L'EPARGNE EN CARAFES cet. PUR, SAIN,'
IM CACHETÉES HYGIÉNIQUE
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