4 ANNONCES REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DES ENSEIGNEMENTS SECONDAIRE, SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION GENERALE DES ENSEIGNEMENTS DIRECTION DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR Communiqué n° 0005/MESS/RS Le Ministre des Enseignements Secondaire, Supérieur et de la Recherche Scientifique informe <strong>le</strong>s candidats au Service Civique que la liste des Appelés du Service Civique National, promotion 2010 - 2012 est affichée au Ministère des Enseignements Secondaire, Supérieur et de la Recherche Scientifique. Cette liste peut aussi être consultée sur <strong>le</strong> site Web du Ministère :www.messrs.ne REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DES ENSEIGNEMENTS SECONDAIRE, SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION GENERALE DES ENSEIGNEMENTS DIRECTION DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR Communiqué n° 0006/MESS/RS Le Ministre des Enseignements Secondaire, Supérieur et de la Recherche Scientifique, informe <strong>le</strong>s candidats au Service Civique National dont <strong>le</strong>s dossiers sont incomp<strong>le</strong>ts, qu'ils ont jusqu'au mercredi 19 mai 2010 pour <strong>le</strong>s compléter. BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT CESSION DE CREANCE APPEL A MANIFESTATION D'INTÉRÊT Suite au premier appel à manifestation d'intérêt déclaré infructueux, La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), Etablissement public à caractère international, 68, Avenue de la Libération, BP 1172 LOME (TOGO), toujours dans <strong>le</strong> cadre de sa politique de diversification de ses instruments financiers, propose de nouvel<strong>le</strong>s conditions de cession de la créance d'un montant de 3 106 MFCFA qu'el<strong>le</strong> détient sur une société agro-industriel<strong>le</strong> dans <strong>le</strong> secteur des oléagineux au Bénin. Les entreprises, groupement d'entreprises, institutions financières, investisseurs institutionnels intéressés par cette opération sont priés de <strong>le</strong> notifier entre <strong>le</strong> 29 avril et <strong>le</strong> 6 mai 2010 par fax, mail à l'adresse ci-dessous pour recevoir en retour <strong>le</strong> dossier comprenant <strong>le</strong>s caractéristiques de la créance à céder ainsi que <strong>le</strong>s nouvel<strong>le</strong>s conditions et <strong>le</strong> formulaire de soumission. Direction des Engagements et des Risques (DER) de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) Monsieur GBAGUIDI Patrice Directeur Adjoint E-mail : pgbaguidi@boad.org Fax : 00 (228) 223 25 53 Jeudi 29 avril 2010
SOCIETE Forum sur la transhumance transfrontalière à Gogourou (République du Bénin) Lever <strong>le</strong>s entraves sur la libre circulation des é<strong>le</strong>veurs transhumant d’un pays à un autre Un forum de la transhumance transfrontalière s’est tenu, du 14 au 16 avril derniers, à Gogounou en République du Bénin. C’est <strong>le</strong> ministre de l’Agriculture et de l’E<strong>le</strong>vage, M. Malick Sadelher, qui a représenté notre pays à ce forum où on notait éga<strong>le</strong>ment la participation des décideurs du secteur de l’é<strong>le</strong>vage de plusieurs autres pays de la sous région, sans compter cel<strong>le</strong> des représentants d’institutions sous régiona<strong>le</strong>s comme <strong>le</strong> CILSS, l’ALG, l’UEMOA, des ONG internationa<strong>le</strong>s, ainsi que des organisations laitières des é<strong>le</strong>veurs. Le forum de Gogounou, faut-il <strong>le</strong> rappe<strong>le</strong>r, fait suite à une série de trois ateliers tenus auparavant respectivement à Tillaberi, à Maradi en 2001 et en 2008 à Gogounou au Bénin par <strong>le</strong> réseau Billital Maroobe dans <strong>le</strong> but de faciliter <strong>le</strong> dialogue et la concertation inter-acteurs. Mais compte tenu de la faib<strong>le</strong> mise en œuvre des conclusions de ces ateliers, <strong>le</strong> réseau organisateur du forum a décidé d’élargir <strong>le</strong> champ de la concertation à un groupe plus vaste des acteurs clés qui sont <strong>le</strong>s autorités publiques et <strong>le</strong>s institutions sous régiona<strong>le</strong>s. La détermination des pays de la sous région à améliorer <strong>le</strong>s conditions de la transhumance transfrontalière <strong>le</strong>s a conduits à la doter, chacun d’un dispositif législatif et rég<strong>le</strong>mentaire approprié. Toutefois, certaines pratiques de contrô<strong>le</strong> et ou de gestion de la transhumance transfrontalière ne sont pas toujours conformes aux Jeudi 29 avril 2010 règ<strong>le</strong>ments en vigueur dans <strong>le</strong>s pays et au niveau de la CEDEAO. En effet, la décision A/DEC. 5/10/98 de la CEDEAO n’est pas appliquée de façon systématique dans <strong>le</strong>s pays membres de cette institution. Ainsi, la libre circulation des personnes et des biens, l’accès aux marchés porteurs dans <strong>le</strong>s différents pays restent entravés, si une volonté politique de concertation et de mise en œuvre ne se dégage pas au niveau de la région. La synthèse des résultats des concertations antérieures a permis aux communautés pastora<strong>le</strong>s et aux autres acteurs de formu<strong>le</strong>r des propositions et des recommandations perçues comme prioritaires partant du constat que <strong>le</strong>s couloirs de passage et <strong>le</strong>s postes d’entrée ne sont pas sécurisés. Il est attendu une action de matérialisation des parcours et de facilitation des rapports entre communautés autochtones et transhumantes. Sur un autre plan, la mise en œuvre de la politique de décentralisation dans <strong>le</strong>s pays impose une implication plus étroite des communes dans la prise en charge de la transhumance transfrontalière. Dans ce cadre, la concertation devrait être renforcée avec des acteurs de la société civi<strong>le</strong> et <strong>le</strong>s conseils municipaux pour une meil<strong>le</strong>ure gestion de la transhumance. Les comités de transhumance devraient être soutenus dans <strong>le</strong>ur fonctionnement afin qu’ils jouent au mieux <strong>le</strong>urs rô<strong>le</strong>s. L’objectif du forum auquel a pris part <strong>le</strong> ministre de l’Agriculture et de l’E<strong>le</strong>vage au Bénin est de parvenir à un allégement des conditions actuel<strong>le</strong>s de transhumance pour la présente campagne pastora<strong>le</strong> à court terme, et une négociation plus large et durab<strong>le</strong> des conditions, dans un cadre global à moyen et long terme à travers des textes et des pratiques moins contraignants, prenant en compte <strong>le</strong>s besoins de chacune des parties. Le forum a donné l’opportunité à l’ensemb<strong>le</strong> des acteurs de se concerter pour une meil<strong>le</strong>ure compréhension de la problématique et des enjeux liés à la transhumance transfrontalière. Il a abouti à une feuil<strong>le</strong> de route assortie d’un plan d’action que <strong>le</strong>s participants ont convenu de l’impérieuse nécessité de sa mise en œuvre. Les actions intitulées « Résolutions de Gogounou » sont Situation alimentaire des enfants dans notre pays Des actions communes pour prévenir la malnutrition chez <strong>le</strong>s moins de 2 ans L’insécurité alimentaire qui touche certaines populations de notre pays est depuis quelques temps au cœur des grandes préoccupations. En effet, depuis l’appel lancé par <strong>le</strong> gouvernement <strong>le</strong> 10 mars dernier, autorités, institutions internationa<strong>le</strong>s, ONG et associations se mobilisent pour faire face à la situation. Comment peut-il en être autrement quand on sait que, plus de la moitié de la population se trouve en situation de vulnérabilité alimentaire avec 3,4 millions de personnes qui ont véritab<strong>le</strong>ment besoin d’une assistance alimentaire d’urgence. L’inquiétude resurgit du côté des enfants éga<strong>le</strong>ment touchés par la crise alimentaire et, <strong>le</strong>s taux de malnutrition aigue globa<strong>le</strong> et sévère atteignent, selon l’enquête sur la nutrition et la survie de l’enfant de juin 2009 respectivement 12.3% et 2.1%. Pour mener <strong>le</strong> combat sur cet autre front, <strong>le</strong> gouvernement, l’Unicef, <strong>le</strong> PAM et <strong>le</strong>s ONG, décident de conjuguer <strong>le</strong>urs efforts pour prévenir la malnutrition chez <strong>le</strong>s enfants de moins de deux ans. C’est justement dans ce cadre que, quelques 800 enfants de 6 à 23 mois de la commune de Koléram, (Mirriah dans la région de Zinder) ont reçu hier, une première ration mensuel<strong>le</strong> d’aliments complémentaires. Selon un communiqué rendu public par l’Unicef à cet effet, cette distribution d’aliments complémentaires, réalisée par l’Organisation nigérienne non gouvernementa<strong>le</strong> KARKARA, tient lieu de ‘’lancement officiel de l’activité d’alimentation complémentaire généralisée (blanket feeding) qui touchera au total 500.000 enfants de moins de deux ans dans toutes <strong>le</strong>s régions du Niger, à l’exception de Niamey’’. Chaque enfant de 6 à 23 mois recevra une ration mensuel<strong>le</strong> en quatre passages de mai à août. La ration mensuel<strong>le</strong> d’un enfant comprend 8.3 kilo de mélange fortifié et sucré de farine de maïs/soja (CSB+), et 0,75 kg d’hui<strong>le</strong> enrichie à la vitamine A. Au total, 17.700 tonnes de vivres fournies par <strong>le</strong> Programme alimentaire mondial seront utilisées pour l’ensemb<strong>le</strong> des 500.000 enfants à nourrir pendant quatre moi. Le lancement de cette activité qui durera pendant toute la période de soudure a été présidé par <strong>le</strong> ministre de la Santé Publique, Pr Nouhou Hassan, en présence du représentant du Programme Alimentaire Mondial (PAM), de celui du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (Unicef) et des autorités administratives et coutumières de la région de Zinder. Lors du lancement de cette activité, <strong>le</strong> ministre de la Santé Publique a indiqué que, « <strong>le</strong>s zones où sont ciblées <strong>le</strong>s 500.000 enfants sont cel<strong>le</strong>s qui ont présenté d’une part, un taux de malnutrition aiguë global au delà de 15%, soit <strong>le</strong> seuil critique fixé par l’OMS, lors de l’enquête sur la nutrition et la survie de l’enfant de juin 2009 et d’autre part ont été retenues par la dernière enquête nationa<strong>le</strong> rapide comme étant en insécurité alimentaire sévère et modérée ». En prenant à son tour la paro<strong>le</strong>, M. Guido Corna<strong>le</strong>, représentant de l’Unicef au Niger a expliqué que, «<strong>le</strong>s enfants sont <strong>le</strong>s premières victimes des chocs climatiques, c'est la situation à laquel<strong>le</strong> nous assistons aujourd'hui : ils sont de plus en plus nombreux à recevoir des soins dans <strong>le</strong>s centres de récupération nutritionnel<strong>le</strong> ». Afin de prévenir une dégradation de <strong>le</strong>ur état de santé, l’Unicef forme <strong>le</strong>s agents recenseurs, appuie la mobilisation et la sensibilisation des communautés et dépiste la malnutrition chez <strong>le</strong>s enfants a ajouté M. Guido Corna<strong>le</strong> qui précise éga<strong>le</strong>ment que ces actions de prévention sont essentiel<strong>le</strong>s si l’on veut atténuer l’impact de cette situation sur <strong>le</strong>s plus petits et assurer ainsi <strong>le</strong> succès de l’opération de Blanket Feeding. Compte tenu du fait que la ration n’est pas encore prête à l’emploi, <strong>le</strong> représentant du PAM, M. Richard Verbeeck, a lui, insisté sur l’importance d’expliquer aux populations <strong>le</strong>s proportions de CSB+, d’hui<strong>le</strong>, et d’eau à utiliser, et la manière de mélanger ces ingrédients pour une consommation journalière. Il pense aussi que <strong>le</strong>s populations doivent être formées sur la préparation, l’utilisation et la conservation de la bouillie. Selon <strong>le</strong> communiqué de l’Unicef, l’alimentation complémentaire généralisée vise à réduire <strong>le</strong> pic de malnutrition et à prévenir à court terme la détérioration de l’état nutritionnel des enfants de moins de deux ans, <strong>le</strong>s plus exposés à la malnutrition et à ses effets néfastes sur <strong>le</strong>ur développement. «L’alimentation complémentaire généralisée est inscrite au plan de soutien du gouvernement et est réalisée à travers <strong>le</strong>s efforts concertés de l’Unicef, du PAM et des ONG. El<strong>le</strong> figure éga<strong>le</strong>ment parmi <strong>le</strong>s activités du plan d’action humanitaire d’urgence mis en place par <strong>le</strong>s Nations Unies et <strong>le</strong>urs partenaires à la suite de l’appel lancé par <strong>le</strong> gouvernement <strong>le</strong> 10 mars dernier», indique <strong>le</strong> communiqué. I. Fatouma <strong>le</strong>s suivantes : mettre en application effective la décision A/DEC.5/10/98 à la rég<strong>le</strong>mentation de la transhumance entre <strong>le</strong>s états membres de la CEDEAO ; élargir à l’ensemb<strong>le</strong> des pays concernés (Bénin Burkina Faso , Mali, Niger, Nigeria et Togo) <strong>le</strong> cadre de concertation existant et <strong>le</strong> rendre fonctionnel ; renforcer et encourager <strong>le</strong>s rencontres de proximité dans <strong>le</strong> cadre de la gestion de la transhumance, Concevoir une charte sous-régiona<strong>le</strong> de gestion des parcours prenant en compte <strong>le</strong>s postes d’entrées, <strong>le</strong>s couloirs de passage, <strong>le</strong>s zones de pâturage, <strong>le</strong>s postes vétérinaires, <strong>le</strong>s points d’eau pastoraux, etc, conduire dans <strong>le</strong>s pays de l’espace CEDEAO un exercice de capitalisation d’actualisation, de traduction et de vulgarisation des textes relatifs à la transhumance afin de <strong>le</strong>s mettre à la portée des acteurs <strong>le</strong>s plus directement concernés, instituer avec l’appui des partenaires techniques et financiers des caravanes de sensibilisation et de population des textes sur la transhumance transfrontalière. Insérer des lignes dans <strong>le</strong>s budgets nationaux pour assurer <strong>le</strong> financement pérenne du cadre de concertation, assurer l’organisation de ce type de concertation à l’échel<strong>le</strong> sous-régional en s’appuyant sur <strong>le</strong>s institutions 5 d’intégration, adopter un schéma d’opérationnalisation d’une transhumance transfrontalière et du transit de bétail qui respecte l’environnement et ses ressources tout en apportant une plus value dans <strong>le</strong> respect des principes d’un partenariat « gagnant gagnant ». Le forum s’est félicité de l’engagement de l’UEMOA à prendre en charge l’organisation de la prochaine rencontre compte tenu de la configuration particulière de l’année 2009/2010 marquée par un déficit fourrager très important dans plusieurs zones pastora<strong>le</strong>s et des risques inhérents à cette crise. Les participants recommandent de tenir la prochaine rencontre en octobre 2010, afin de permettre aux acteurs d’évaluer l’efficacité des mesures adoptées pour faire face à une tel<strong>le</strong> crise et d’évaluer la mise des décisions de Gogounou. Le ministre Malick Sadelher était accompagné à ce forum sur la transhumance transfrontière du directeur général de la production et des industries anima<strong>le</strong>s, Dr Salifou BoulKassim et du Dr Haido Abdoul Malick, directeur du développement pastoral. Amadou Alain Davies AP/MA/E Evolution des prix à la consommation à Niamey en mars 2010 Stabilité des prix par rapport au mois précédent Selon l’Institut National de la Statistique, dans son dernier bul<strong>le</strong>tin publié sur l’évolution des prix, <strong>le</strong> niveau général des prix à la consommation, mesuré par l’indice Harmonisé des Prix à la Consommation (IHPC) est resté quasiment stab<strong>le</strong> en mars 2010 par rapport à février 2010. Selon <strong>le</strong> bul<strong>le</strong>tin de l’INS, en glissement annuel (mars 2010 par rapport à mars 2009), <strong>le</strong> taux d’inflation est en recul à -1,9% en mars contre -2,8% en février. Concernant <strong>le</strong>s prix des céréa<strong>le</strong>s non transformées, ils ressortent en baisse de 10,1% en mars 2010, par rapport au même mois de l’année précédente. Selon toujours <strong>le</strong> bul<strong>le</strong>tin de l’Institut National de la Statistique, <strong>le</strong> taux d’inflation en moyenne annuel<strong>le</strong> s’établit à +1,2% en mars 2010, en dessous de la norme communautaire fixée à 3% maximum par la Commission de l’UEMOA dans <strong>le</strong> cadre du suivi des critères de convergence. La même source indique que la stabilité du niveau général des prix en mars 2010 par rapport à février 2010 a été la résultante de la hausse des prix observée au niveau des produits composant <strong>le</strong>s fonctions « Artic<strong>le</strong>s d’habil<strong>le</strong>ment et chaussures (+ 0,5%), « logement, eau, é<strong>le</strong>ctricité, gaz et autres combustib<strong>le</strong>s » (+ 0,3%) et « meub<strong>le</strong>s, artic<strong>le</strong>s de ménage et entretien courant du foyer » (+ 0,1%) et de la baisse des prix qu’ont connue <strong>le</strong>s produits composant <strong>le</strong>s fonctions « Boissons alcoolisées, tabacs et stupéfiants » (- 0,7%) et « santé » (-0,7%). Alors que la stabilité des prix des produits de la fonction « Produits alimentaires et boissons non alcoolisées » cache des disparités selon <strong>le</strong>s produits, <strong>le</strong>s céréa<strong>le</strong>s non transformées et <strong>le</strong>s viandes ont vu <strong>le</strong>urs prix augmenter respectivement de 0,3% et 2,4% précise l’INS. Tandis que <strong>le</strong>s prix des poissons, des condiments, des légumes frais et des fruits ont enregistré des baisses respectives de 2,7%, 1,4%, 4,8% et 5,2%. Pour ce qui est de la hausse mensuel<strong>le</strong> globa<strong>le</strong> de 0,3% des prix des céréa<strong>le</strong>s non transformées en mars 2010, el<strong>le</strong> résulte selon <strong>le</strong> bul<strong>le</strong>tin essentiel<strong>le</strong>ment de l’augmentation du prix du sac de 100 kg de mil de 1,1%. « Le sac de 100 kg de mil est ainsi ressorti à 20 419 Fcfa en mars 2010 contre 20 203 Fcfa en février 2010 ». En revanche, <strong>le</strong>s prix des sacs de 50kg de riz et de 100 kg de maïs et de sorgho se sont repliés respectivement de 0,2%, 1,4% et 4,6% pour ressortir à 20 569 Fcfa, 17 656 Fcfa et 17 691 Fcfa en moyenne en mars 2010 contre 20 603 Fcfa, 19 903 Fcfa et 18 550 Fcfa en février 2010. Enfin, « <strong>le</strong>s prix des carburants inchangés depuis février 2009, restent toujours stab<strong>le</strong>s à la pompe en mars 2010, à 476Fcfa <strong>le</strong> litre d’essence super 91 sans plomb, à 552 Fcfa <strong>le</strong> prix d’essence mélange et à 465 Fcfa celui du gaz-oil. Rachida Rabo, (stagiaire)
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