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Page 65 mieux mourir ». Kristal, sa fille, a décidé de devenir coopérant dàide, construire a toujours été son rêve. Jean Van, avec de longues pressions au ministère, a finalement accepté dènvoyer les Casques bleus au Bangladesh pour protéger le pauvre peuple, soumis à un tyran. Un grand branle- bas secoue lÈurope, dans plusieurs régions, des manifs destructives ravagent les centres-villes, avec des slogans tels que : Aidons-les, débarrassez-vous des sauvages, nous sommes les Robins des bois. Plus tard à la télévision, les nouvelles annoncent que des gens mal intentionnés ont volé les plus grandes banques, 10 millions ont disparu. Pendant ce temps au Bangladesh, tout le pays est en déroute, làrmée bloque toutes les rues, impose le couvre- feu et tous les étrangers sont priés de rester dans des camps installés par l`État. Marie Titvierge arrive enfin au pays avec ses idées de grandeur et rencontre Édith Sansregret dans un camp misérable, maintenant elles vivent comme le peuple. Richard Grandcon a entendu par ses agents secrets que le frère d`Yboud`D Anlkoin, Ychial`D Anlkoin a reçu des armes américaines et a organisé une armée de rebelles contre son frère et a commencé des raids dans certains villages, pillant et brûlant tout sur son passage. Pendant ce temps, Yboud, lui, a informé tous les réfugiés des camps que sìls veulent partir, ils devront payer une taxe, vous payez, vous partez. Ma Chérie doit enterrer son mari, la mort lui va si bien, quèlle dit. La famille décide de donner toute sa fortune et l`héritage à la fondation W. E. Dont & Care qui, eux, ont bien apprécié ce geste. Celui-ci est divisé aux secrétariats et à leurs volontaires. Le peu qui reste est donné au général Yboud`D Anlkoin, qui donne toujours lìmpression de bien gérer son pays. Ychial`D Anlkoin a réussi à prendre 90 % de l`État, son armée sous-payée, qui comporte tous les villageois capturés sur son passage, donne un ultimatum à son frère : « Tu dois quitter ton poste ou tu mourras ». L`État européen est très heureux et encourage Ychial, car tous nàiment pas les dictateurs. Mais les États- Unis ne voient pas cela ainsi, avec une armée hyperentraînée, ils vont aller torturer et tuer toutes les résistances contre lòrdre mondial. Lòrganisation W. E. Dont & Care est très heureuse du dénouement de la situation et très désolée des pertes collatérales, et autant pour ces gens dans les camps, qui nònt pas pu payer leur droit de sortie vivants. Après lànéantissement total de sa nation, le général Yboud`D Anlkoin a réussi à se sauver avec tout làrgent et laisse à son frère sa place. LÙnion européenne est libérée dùn tyran et a emprisonné tous les activistes de son pays. Les États-Unis ont prouvé que W. E. Dont & Care a fraudé et récupèrent tout làrgent donné. Édith Sansregret, Marie Titvierge et Kristal sont portées disparues et plus personne ne va se souvenir dèlles. La fin nàrrive jamais. Mais, la faim elle, est toujours présente….
Benjamin Frenette Le retour aux études Page 66 Mon retour aux études ne fût pas tous les jours rose. Malgré la qualité des enseignants de leur proximité avec les étudiants de leur écoute et de leur passion pour l’enseignement. L’école se révèle quelque chose que j’aime beaucoup que j’ai appris à aimer avec le temps malgré mes difficultés parce que j’ai été absent de l’école de longues années. L’école a été assez patiente avez moi elle me laisse travaillé à mon rythme, je la considère comme un tremplin, elle va me servir à me rediriger dans un profil professionnel qui m’intéresse. La grosse boite qui est l’éducation des adultes m’a englouti dans ses rouages. J’étais emballé, follement emballé, éperdument emballé de l’idée de finir mon secondaire et de pouvoir poursuivre des études supérieures. Depuis de nombreuses années ce projet me trottais dans la tête, j’avais toujours des bonnes raisons de le remettre à plus tard. Maintenant j’ai pris la bonne décision j’ai mis le reste de côté et je me concentre sur les études. Mes cours de français, d’anglais et de mathématiques me passionnent en français par exemple les notions de grammaire m'intéressent. Le français est la matière que je préfère, de bien maitriser sa langue m’importe beaucoup cela est très important pour moi, je mets des efforts particuliers dans cette matière. J’aime lire et écrire ce qui m’aide beaucoup en français. Le moment où le soleil se lève, je l’attends tous les jours pour aller à l'école. Impatient d’aller à l'école! J’ai de beaux projets d’avenir... Après avoir été sur le marché du travail longtemps, ce n’est pas toujours évident d’être un étudiant. Je m’encourage et j’essaie de rester positif. C’est un coup à donner pour de meilleures perspectives d'emploi. J’ai vécu avec un bon salaire bon nombre d'années, maintenant le budget est plus serré. Mais ce n’est que partie remise, je considère que le temps passé aux études est un investissement dans un avenir prometteur. J’ai des modèles de personnes près de moi qui vont aux études et cela m'encourage. Je crois avoir les qualités requises pour terminé mes études, tous les jours ces un nouveau défi que je relève. L’école est passionnante. Tous les jours on apprend quelque chose de nouveau quelque chose qui peut nous servir dans le quotidien. Il n’y a pas une journée qui passe sans avoir amélioré quelque chose dans un domaine ou un autre. Ce qui me pousse à persévérer ses mon but. Toutes les fois où le moral est plus bas et je pense à abandonner, je me rappelle que j’ai un but. J’ai parfois des périodes plus difficiles ou je pense à faire autre chose que l’école, mais je tiens le coup. L’école m’apporte beaucoup de fierté dans ce que je fais. Les bons résultats que j’obtiens me valorisent. C’est quelque chose qui me tient à coeur et que j’entends bien réussir. L’encouragement de ma famille et de proches m’aide à continuer et à persévérer. J’ai des défis que je suis fier d’avoir relevés. Comme par exemple en français deux exposés oraux que j’ai eu à produire. Je suis une personne assez gênée donc de parler devant la classe m’a demandé un gros effort. Je n’avais pas confiance en moi et en mon travail, mais j’ai quand même réussi. J’ai dû lire un livre et faire un conte rendu se fût le plus difficile des deux l’autre a été plus facile j’ai parlé de quelque chose que je connais bien. Mon professeur ma félicité ce qui a été très apprécié. J’espère obtenir mon diplôme de secondaire.
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