III Tue-la-Mort - Bibliothèque numérique romande

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Maintenant qu’elle savait n’avoir plus de secours à attendre du dehors, elle montrait un sang-froid surprenant. Elle trouvait encore le temps de dire de bonnes paroles à Giuseppe qui pleurait en appelant son papa. Heureusement, de ce côté, la fumée chassée par le vent était moins épaisse, et le sauvetage en fut singulièrement facilité. Dès qu’elle eut passé la corde dans la poulie et qu’elle en eut jeté dehors les deux bouts, le sabotier Oa, qui venait d’arriver et qui était bien connu pour son agilité, eut tôt fait de rejoindre les enfants à la force du poignet. En dépit des protestations de Canzonette, il les attacha et les fit descendre tour à tour, mais la fille de Tue-la-Mort ne voulut quitter le grenier qu’après Giuseppe. Sitôt en bas, du reste, elle fit une vraie scène à Oa pour s’être mêlé, inutilement d’un sauvetage « qui était à elle » et dont elle serait très bien venue à bout sans lui… L’ingratitude n’a pas d’âge et l’amour de la gloire est injuste. Quand M. Ovilla rouvrit les yeux entre Graissessac et Filippi, il aperçut le petit Giuseppe qui venait à lui et qui se jeta sur sa poitrine en sanglotant. – Et Canzonette ? interrogea M. Ovilla, avec des yeux où se lisait une anxiété mortelle. – Elle est sauvée, elle aussi ! fit Giuseppe. – Où est-elle ? Je veux la voir ! – Elle a couru tout de suite à l’auberge. Elle a peur que son papa ne soit inquiet. M. Ovilla, sortant alors tout à fait de son étourdissement, se souleva et regarda les deux figures de Graissessac et de Filippi penchées sur lui. Y lut-il, dans le coup d’œil qu’ils échangèrent, l’étonnement de le voir s’intéresser d’une façon si particulière à l’enfant de son ennemi déclaré ? Prononçait-il les phrases – 282 –
suivantes le plus naturellement du monde, comme la chose était possible après tout ? – Cette petite, elle me tendait les bras avec une telle confiance ! Ce n’est pas une raison parce que cet épouvantable Tuela-Mort nous joue de vilains tours pour que nous laissions brûler sa fille, n’est-ce pas, mes amis ? – Certes non ! monsieur Ovilla, balbutia Graissessac. Certes non !… Ils le conduisirent tout doucement du côté du château, pendant que la foule regardait s’effondrer le toit des écuries. – Ça va mieux, déclara M. Ovilla. Je vous remercie, mes amis. Je ne vous retiens pas… on doit avoir besoin de vous làbas !… Sur quoi il s’assit sur un banc avec Giuseppe dont il avait pris la petite main. Les deux hommes saluèrent et se retirèrent tout pensifs. Au bout de quelques pas, ils s’arrêtèrent. – Eh bien ! Êtes-vous convaincu ? demanda Filippi. – Évidemment ! Tout cela est fort troublant ! accorda Graissessac. Je le regardais pendant qu’il était à moitié évanoui. C’est vrai qu’il a quelque chose de Tue-la-Mort !… – Ah ! je ne vous le fais pas dire !… Je vous jure que c’est lui !… On n’a pas idée de sauver la fille du voisin quand votre propre enfant est en danger !… Maugrabeu ? – Tout de même, écoute bien, Filippi… – Il n’y a pas de tout de même… C’est moi qui ai raison ! Graissessac hocha encore la tête. – Ce serait si extraordinaire, une chose pareille ! Écoutemoi donc, espèce de mauvaise testa !… Il n’a pas réfléchi… Il a posé son échelle devant la première lucarne qui était sur son – 283 –
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Gaston Leroux TUE-LA-MORT édité p
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III Les mystères du Petit Chaperon
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II Où il est prouvé que la vertu
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I La diligence d’Ena Ce jour-là,
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faisait généralement avec prudenc
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Personne ne descendait. On allait r
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II L’auberge Les ombres du soir c
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Ces choses se rapportaient naturell
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moi les sentiers de la montagne. On
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- Et on l’entend aboyer ! s’exc
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moins le prétendaient-ils et l’o
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passer là la nuit. On n’allait p
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qui sont en nous, différents et co
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Quand la vieille Gaga, la cuisiniè
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son enfant, rendue à la raison par
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de le battre qu’elle le quitta br
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« Ce mot n’était pas signé, ma
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« - Mourir !… fit Angelo, pourqu
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« - Tu sais ce que tu m’as promi
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« Angelo regarda autour de lui d
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preuve de la trahison de sa femme.
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VI Le petit Pasquale À l’aurore,
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faire le mal ?… Ce petit Pasquale
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Dans ce moment-là, Tue-la-Mort dis
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VII Canzonette - Bonjour, mon papa
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lourdes larmes vint tomber sur cett
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Tue-la-Mort y avait été pris comm
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saient mesurer l’importance de so
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DEUXIÈME ÉPISODE : LA FORGE DES Q
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insignifiants de M lle Geneviève q
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agaillardi à l’idée de vivre en
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- Quand on a travaillé honnêtemen
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Ils n’avaient plus rien à ajoute
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Tue-la-Mort se laissa pousser chez
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- Qu’est-ce que vous voulez ? lui
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Tue-la-Mort descendit dans la salle
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Et elle partit en chantant et en sa
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ser, tout en se plaisant à lui inf
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- Tout de même, si tu avais bien v
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Elle était maintenant près de lui
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- Eh bien ! tu t’es trompé, dit-
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menaçante de dangers presque insur
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tion… De toute évidence, ils ne
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Le forgeron pâlit sous la suie qui
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nuit-là, il faisait beau, malgré
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V Canzonette s’amuse à la maison
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Mais Tue-la-Mort gronda terriblemen
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De fait, Canzonette avait déjà tr
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TROISIÈME ÉPISODE LES CONTREBANDI
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s’arrondissent, comme aussi la co
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- Est-ce que tu crois m’embarrass
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ne m’avait pas repoussé, j’est
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ouclé hermétiquement, sans doute
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II La bataille de la Tertuga Les au
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Nicolaï avait entre les mains un f
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- Tu aurais mieux fait ! répondit
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- Ah ! non ! s’écria-t-il, pas c
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puisque la pacotille était sauvée
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jusque dans un refend obscur de l
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aux bâtiments intérieurs par une
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qui lui fait, sous son capuchon, ba
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IV La grotte d’Ali-Baba Tout comp
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- Et moi, Tue-la-Mort, je n’aurai
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- Je savais bien, moi, que vous vie
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- Oh ! du moment que je suis avec v
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Il s’enfonça dans le défilé sa
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- Vous croyiez peut-être entrer da
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pourrai jamais prononcer si vous ne
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- C’est vrai… Je vous demande p
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I Un inconnu Une affiche collée su
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- Monsieur Graissessac a raison ! U
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- Tiens, fit-elle, une visite ! Ell
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avec Diane… Le salon était en r
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Toute la famille assista au départ
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II Promenades d’amoureux M. Anton
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droits et de ses « servitudes »,
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Il n’y eut que Geneviève qui n
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Elle rendit les rênes et ils ne pr
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III Les mystères du Petit Chaperon
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- Eh bien, Tue-la-Mort ! La belle D
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d’apprécier ce qu’il pouvait y
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Alors Tue-la-Mort, qui trouvait san
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- Il ne tient qu’à vous de vous
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C’est alors que la femme se réve
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Cinq minutes ne s’étaient pas é
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questions d’étiquette à propos
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- Attendez donc pour vous tuer jusq
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monde pour voir entrer la mariée a
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I Noce au château, fête au villag
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l’encadrement de laquelle apparai
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Au fait, il était évident pour to
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Cependant la fête au village batta
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tirent bientôt de cette salle pour
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frère et d’une sœur !… Je le
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II Giuseppe et Canzonette Giuseppe
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- Bien sûr, qu’elle est belle !
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lequel ses petits pieds s’empêtr
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III Et maintenant voici la nuit Dan
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été de son moindre devoir de cach
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Nous ne disons pas cela pour M. Ovi
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Si bien que la jeune femme finit pa
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- Vous n’êtes qu’un sauvage !
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V L’honneur et l’argent Pendant
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Il ne fut pas étonné de le trouve
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Le front en feu et les tempes batta
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Immédiatement, les choses autour d
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n’imagine point que ce soit le mo
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Elle lui ouvrait ses petits bras ;
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- Pardonnez-moi, madame, mais ce n
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SIXIÈME ÉPISODE : UNE ÉTRANGE HY
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Il avait cru d’abord à de la pru
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Pauvre M. Ovilla ! Non ! non ! dans
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- Madame a raison, bougonna le jard
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core sauvé en lui trouvant la somm
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Il alluma une cigarette. Il était
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Page 235 and 236: Diane joua le tout pour le tout : -
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Page 245 and 246: humble, prêt à tout lui accorder
Page 247 and 248: V Tue-la-Mort contre Ovilla La prop
Page 249 and 250: - Laisse donc ces gens-là, père L
Page 251 and 252: - Oui !… Oui !… gronda Tue-la-M
Page 253 and 254: VI Coup double Quand Tue-la-Mort re
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Page 259 and 260: - Et je ne serais pas loin de croir
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Page 277 and 278: - M. Ovilla, déclarait le secréta
Page 279 and 280: - C’est l’eau !… M. Graissess
Page 281: Lacloche, et, bousculant Graissessa
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Page 287 and 288: La nuit était venue, éclairée pa
Page 289 and 290: Tue-la-Mort. Il marcha à grands pa
Page 291 and 292: - Passe-moi les couverts ! fit Mahu
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Page 309 and 310: Filippi s’écria, avec un grand g
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Page 313 and 314: eux que faisait bouillonner une jus
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Page 317 and 318: Les amis de M. Ovilla répondirent
Page 319 and 320: - M. Ovilla est un honnête homme !
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Page 329 and 330: Et elle lui échappa. Le prêtre co
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l’appelaient. Diane ne l’avait
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anches et parvint à voir jusqu’a
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- Maugrabeu, c’est dur pour un do
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IV Amour ! amour ! Le lendemain, au
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ses sombres, sournoises et violente
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Ils ne se le faisaient pas répéte
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Elle se leva. - Laissez-moi y aller
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tous ses anciens amis du pays d’E
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- Eh bien ! continua Canzonette, il
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vêpres où, l’ayant embrassée,
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I « Ce qui est juré est juré !
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Aussitôt qu’elle fut dans sa cha
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ses sentiments à l’égard du min
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Mort, vivait des heures atroces, à
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du miracle. Dieu avait parlé ! Die
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Quant à M e Boulat, il ne répondi
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Hélas ! les deux syllabes « papa
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IV Où Canzonette regrette de ne pa
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Et il se sauva. M me Graissessac re
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souillure de l’horrible drame qui
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À ce moment, le commissaire, qui
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sagea sans peur, mais avec une expr
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Le juge d’instruction montra la p
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Et il n’y eut là personne qui ne
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- Maugrabeu ! M. Graissessac a eu l
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V Carnaval On aurait pu croire que
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Un soir, Tibério et la Chiffa arri
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ner l’aubergiste qui avait fini p
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- Tu attendras bien jusqu’à ce s
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conde en poussant un petit cri, se
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grand-chose, c’étaient Diane et
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I Ce qu’il eût fallu à la Chiff
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- Il y avait longtemps que Tue-la-M
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À six heures du matin, il la réve
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Oui, celui-là était son ami ! Tue
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quait point de venir bavarder avec
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io qui commandait à tout cela avec
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- C’est Tue-la-Mort, hein ? Elle
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Tibério jeta sur le bureau le port
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grand-chose à cette fantasmagorie,
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IV Où il est prouvé qu’il n’y
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- Lis ! Tibério lut. Il s’agissa
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- Passe devant ! fit Tue-la-Mort. Q
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V Où Tue-la-Mort offre à la Chiff
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- Pourquoi ne m’en demandes-tu pa
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Tibério eut un horrible soupir. -
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Soudain, il serra les poings, devin
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avons parlé plus haut, manœuvre q
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vouloir m’écouter, tu m’avais
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celle-ci s’enveloppant à la hât
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aisers ; ce n’était plus lui qui
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Et son bras, tragiquement tendu, lu
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- Comprenez donc, chère amie, fit
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I Rentrée sensationnelle de la Chi
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Ainsi arrivèrent-ils le surlendema
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La forge n’était plus loin maint
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jeter un coup d’œil dans l’ate
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ce qui regardait la Chiffa. Aussi,
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car elle n’ignorait point l’exi
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- Il n’y a pas de « mais » ! En
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- Parle-nous des grandes expéditio
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ci une véritable petite chambre, n
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Elle savait que c’était un tabat
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ne sont point rares dans les pays d
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portance aux propos des mauvais gar
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dès les premiers mots qu’il pla
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Il y avait un coin du parc où Gene
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IV Ce que forgeait le forgeron… M
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M. Graissessac rougit, toussa et fi
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Cela se voyait du reste. Graissessa
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- Dites-lui donc, à votre ami, que
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- Car enfin tu penses bien que je n
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Cette honte que la Chiffa avait bie
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DOUZIÈME ÉPISODE : LA VENGEANCE D
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coup, elle se souvint dans quels ye
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Et elle se rapprocha de lui, mit sa
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avait marqué un si terrible mais s
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assassiner le mari ! En vertu pure,
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- Votre aveu, monsieur, est bien gr
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- Il a pardonné ! fit-il. Et comme
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sur une civière… Mais en le voya
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doutait plus qu’il fût tout char
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Dans un coin du salon, Geneviève,
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son voyage à Paris, où il avait
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nuit s’était refermée sur l’a
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pide, furtive, inquiétante, redout
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Dans le même temps que la porte s
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vant, Tibério. Son sang paraissait
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pour lui ?… Mais qu’importe…
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Elle bondit de son lit et courut au
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elle ne se plaignait pas. Elle arri
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VII La piste du sang Canzonette ne
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ouc de montagne pour avoir laissé
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Le douanier avait ouvert le volet.
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- Fais bien attention ! Ils descend
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deux crampons de fer qui étaient
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- Voilà l’homme qui a frappé mo
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- En attendant que ton papa revienn
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fessionnelles. Merci d’en indique
show all

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