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La guerre des Malouines dans les relations internationales

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Annexes<br />

Page 43 : Le 6 avril, aux affaires étrangères, la démission de Lord Carrington est remplacée<br />

par Sir Francis Pym, leader <strong>des</strong> conservateurs, et connu pour son opposition aux réductions<br />

<strong>des</strong> forces conventionnel<strong>les</strong> de la Royal Navy.<br />

Après le 1 er départ de la flotte, il y a eu de nombreuses autres vagues, de navires de <strong>guerre</strong> et<br />

de navires marchands réquisitionnés, notamment pour le transport de troupes on réquisitionne<br />

le paquebot de luxe Canberra (environ 2500 hommes), Queen Elisabeth II : 3500 hommes.<br />

Page 45 : Le peuple Argentin qui a bien vite oublié <strong>les</strong> coups de feu tirés sur lui par la police,<br />

moins de 15 jours crie sa joie devant le succès de la reconquête <strong>des</strong> islas Malvinas y<br />

Atlantico. Le sentiment nationaliste est à son paroxysme à Buenos Aires.<br />

Page 46 : Position anglaise, Mme Thatcher au général Haig : "Pas de concessions sur le<br />

principe de la souveraineté britannique <strong>dans</strong> l'état actuel <strong>des</strong> choses", "respect de la résolution<br />

502 du conseil de sécurité <strong>des</strong> nations unis, ordonnant le retrait immédiat <strong>des</strong> troupes<br />

argentines, après seulement la discussion pourra reprendre".<br />

Les propositions :<br />

- Le Pérou propose de mettre <strong>les</strong> Falkland sous le contrôle de l'OEA et l'Espagne propose une<br />

gestion commune <strong>des</strong> Etats-Unis, de l'Argentine et de la Grande-Bretagne. Le Général<br />

Galtieri atteint l'extrême de ses concessions et accepterait de faire évacuer ses troupes à<br />

conditions que Londres retire la Navy et reconnaisse la souveraineté argentine.<br />

Le lundi 12 avril à 4 heures GMT, c'est le moment choisi par Londres pour décréter le blocus<br />

maritime <strong>dans</strong> un rayon de 200 mil<strong>les</strong> (370 km) autour de l'archipel, tout navire argentin<br />

surpris <strong>dans</strong> cette zone est susceptible d'être coulé sans avertissement.<br />

Page 47 : L'amiral argentin retire ses principaux bateaux, il ne laisse que quelques<br />

patrouilleurs à Port Stanley. Le 24 avril : signal d'arrivée de la Royal Navy. Les Argentins ont<br />

porté par voie aérienne, (car le blocus aérien ne sera mis en place qu'après) leurs effectifs à<br />

plus de 10 000 hommes, ces troupes fortifient <strong>les</strong> î<strong>les</strong> et creusent <strong>des</strong> abris.<br />

Page 50 : Le 22 avril, voit la visite éclair du général Galtieri à Port Stanley, qu'il rebaptise<br />

Puerto Argentino.<br />

Page 51 : Les garnisons argentines avaient été évaluées par <strong>les</strong> services de l'intelligence<br />

britannique à plus de 10 000 hommes aux î<strong>les</strong> Falkland et seulement 140 en Géorgie du Sud.<br />

Cette différence de moyen semble montrer le désintérêt pour la Géorgie.<br />

Page 52 : Le climat est inhospitalier, parfois <strong>des</strong> tempêtes, 11 sur l'échelle de Beaufort.<br />

Page 52: L'union est toujours sacrée autour du drapeau mais, le 24 avril, Saul Ubaldini,<br />

secrétaire général de la confédération du travail fait remarquer que la Junte que le soutien <strong>des</strong><br />

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