La guerre des Malouines dans les relations internationales

Quinzième partie - La gestion du conflit après les hostilités
Depuis lors, on peut dire que Saint Jean, avait vu juste, car l’Argentine n’a jamais
renoncé à réclamer l’archipel des îles Malouines.
Aussi d’un point de vue un peu plus polémique, dès la fin du conflit, l’Argentine prétendit par
la voix de son ambassadeur auprès de l’ONU, Julio César Carrascales, que la guerre des
Malouines avait été mise à profit pour tester de nouvelles technologies militaires.
La réaction de la population argentine
Après l’annonce de la reddition des troupes argentines aux Malouines, il y eut de
multiples incidents violents dans la capitale argentine. Tout près de la Casa Rosada et de la
place de Mai quelques centaines de manifestants étaient venus réclamer des armes pour aller se
battre aux Malouines et demander au gouvernement de ne pas s’incliner devant les
Britanniques.
Déjà, le journal El Clarín du 23 avril 1982 donnait le ton de l’état d’esprit de la population
devant la situation :
“¿Ganamos o perdemos? Es la gran pregunta de la calle. Es la gran
respuesta que SOMOS intenta dar. ¿Como? A través de una historia
secreta de las negociaciones entre Haig y el Gobierno argentino. Y de otras
claves : cuales es la verdadera misión de Francis Pym en Washington. Por
qué Argentina invoco al TIAR. Qué se puede esperar de los 21 miembros
del tratado. Por qué Perú y Canadá estarían en las negociaciones. ¿Tendrá
que elegí Estados Unidos entre sus socios de la OTAN y de la OEA? Por
qué fuentes de inteligencia brasileña afirman que la flota inglesa navega en
marcha muy lenta. Qué puede pasar si llega al arca de las Malvinas. Como
pesa en el conflicto el tablero político ingles. Hasta donde llegaran las
buenas relaciones de los políticos argentinos con el gobierno. Toda una
edición dedicada al tema para contestar la gran pregunta: ¿Ganamos o
perdemos ? 2 ”
La déconvenue des Argentins était très forte à travers tout le pays. L’orgueil
national avait été revigoré lorsque l’annonce de l’invasion avait été déclarée, mais
l’annonce de la défaite est ressentie comme un véritable cataclysme.
2 El Clarín du 23 avril 1982.
429