La guerre des Malouines dans les relations internationales

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06.07.2013 Views

Première partie - Présentation des îles Malouines mar se transforma en una voragine de agua y espuma de caracteristicas dificiles de describir, donde las olas pueden tener hasta 17 metros de elevacion. La onda marítima, en cambio, tiene su génesis en zonas alejadas del área del observador, y se produce en zonas de tormentas, en ocasiones a muchos miles de kilómetros del lugar 4 ”. On lit ci-dessus que les vents pouvaient souffler très fort, jusqu’à environ 130 km/heure. Or, lorsque l’armée argentine a envahi les îles, c’était l’automne austral. Vers le 20 avril, lorsque les Britanniques arrivèrent sur zone, les conditions climatiques n’étaient pas bonnes (c’est ce qui aurait précipité la capitulation argentine, les soldats argentins n’étaient pas équipés pour un tel froid 5 ). On peut lire également que les vents de 110 km/heure produisaient des vagues de 10 mètres, autant dire que comparativement la bruine anglaise était agréable. De plus la température de l’eau est très froide (les chances de survie pour l’équipage naufragé du Belgrano étaient minces, l’eau était à peine à quelques degrés, environ 3/4°C, après quelques minutes dans l’eau, ils sont tous morts d’hypothermie). Toutefois, d’après les sources, bien qu’elles soient une terre désavantagée du point de vue climatique, ces îles ont malgré tout même un certain charme. Le visage géographique et naturel des Malouines Le paysage peut séduire les amoureux de la nature, nous pouvons y voir de petits monts avec de petits granulés de quartz, qui culminent à environ 600 mètres, quelques petits cours d’eau, de petites rivières passant ça et là... La partie sud de l’île, où se situe également Port Stanley, c’est une large plaine. Le rivage des îles, est quant à lui très échancré, nous y trouvons de petits îlots qui jalonnent tout autour sur toute sa longueur, des baies, de petites criques, les plages sont couvertes de galets de toutes les couleurs et de toutes formes, d’autres sont couvertes de sable blanc. Il y a des rochers qui longent toute la côte, des fjords. 4 Rubén O Moro, La guerra inaudita, Historia del conflicto del Atlántico Sur, Pleamar, Buenos Aires, 1985. Pagina 46/47. 5 La critique qui est souvent faite est que les états majors n’avaient surtout pas envisagé qu’ils auraient à combattre et de ce fait ils étaient mal équipés. Ils sont partis en guerre, comme pour une promenade, l’expérience leur démontrera qu’ils avaient mal évalué la situation. 22

Première partie - Présentation des îles Malouines Le paysage peut donc être relativement charmant, très naturel et très varié, et pour les amoureux de la faune, il y a aussi beaucoup de moutons, de manchots.... . Néanmoins la dureté du climat empêche toute végétation de s’épanouir, elle reste assez rare. L’été est court et frais, la végétation n’a pas le temps d’éclore, du fait également de l’intensité du vent, les températures très basses et le taux élevé d’acidité du sol (ph 4.5), le manque de potassium, ainsi que de phosphore et la quasi-absence de nitrogène sont des éléments qui amènent à comprendre le fait que la végétation soit si pauvre. De plus, le sol est en permanence humide. L’herbe est la végétation la plus répandue de l’archipel, mais elle n’est pas très nutritive, elle ne permet donc que l’élevage de moutons. Nous pouvons donc dire que le climat et la végétation des Malouines ne sont pas des plus accueillants, néanmoins ce paysage possède un certain charme typiquement « british » (mais plus évocateur du nord de l’Ecosse que du Kent ou du Sussex). Aussi si l’on considère la population locale, il apparaît évident que les autochtones sont des Britanniques de pure souche. 23

Première partie - Présentation <strong>des</strong> î<strong>les</strong> <strong>Malouines</strong><br />

Le paysage peut donc être relativement charmant, très naturel et très varié, et pour <strong>les</strong><br />

amoureux de la faune, il y a aussi beaucoup de moutons, de manchots.... .<br />

Néanmoins la dureté du climat empêche toute végétation de s’épanouir, elle reste assez rare.<br />

L’été est court et frais, la végétation n’a pas le temps d’éclore, du fait également de l’intensité<br />

du vent, <strong>les</strong> températures très basses et le taux élevé d’acidité du sol (ph 4.5), le manque de<br />

potassium, ainsi que de phosphore et la quasi-absence de nitrogène sont <strong>des</strong> éléments qui<br />

amènent à comprendre le fait que la végétation soit si pauvre. De plus, le sol est en<br />

permanence humide. L’herbe est la végétation la plus répandue de l’archipel, mais elle n’est<br />

pas très nutritive, elle ne permet donc que l’élevage de moutons.<br />

Nous pouvons donc dire que le climat et la végétation <strong>des</strong> <strong>Malouines</strong> ne sont pas <strong>des</strong> plus<br />

accueillants, néanmoins ce paysage possède un certain charme typiquement « british » (mais<br />

plus évocateur du nord de l’Ecosse que du Kent ou du Sussex).<br />

Aussi si l’on considère la population locale, il apparaît évident que <strong>les</strong> autochtones sont <strong>des</strong><br />

Britanniques de pure souche.<br />

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