La guerre des Malouines dans les relations internationales

Cinquième partie - La guerre approche : les prémices, et les raisons de l’engagement
militaire pour les deux parties
El 21 de marzo, el comandante de la base de Grytviken informo que la
bandera Argentina había sido arriada, pero que no había indicios de que
los argentinos se estuvieran preparando para partir. 2 ”
En même temps que dans l’île, la représentation argentine est souillée :
“En Malvinas, se habia violado el acceso a la oficina del representante
argentino en el lugar y se habia colocado una bandera britanica sobre la
Argentina con inscriciones injuriosas, hecho que fue denunciado por el
represente argentino antes las autoridades britanicas y se aguardaban
explicaciones al respecto 3 ”.
Pourtant, le 20 mars, le gouverneur des Malouines informa le bureau des Affaires
étrangères et du Commonweath qu’il avait reçu le 19 mars dans la soirée une communication
du commandant de la base de Grytviken. Cet appel annonçait l’arrivée dans le port de Leith
du navire Bahia Buen Suceso avec un groupe assez important de personnels militaires et civils
argentins. Ces derniers avaient fait fi de l’avertissement qui les informait que leur
débarquement n’était pas autorisé. Ils auraient du avant toute chose aller se signaler à la base
de Grytviken, mais les Argentins répondirent qu’ils étaient autorisés à débarquer grâce à un
laissez-passer émis par l’Ambassade de Grande-Bretagne à Buenos Aires.
Le gouverneur donna des instructions au commandant de la base : les Argentins devaient se
présenter à Grytviken et enlever le drapeau national qu’ils y avaient planté.
Dans un communiqué destiné aux services d’information britanniques, le gouverneur donna
son point de vue, la Marine argentine était selon eux en train d’employer le commandant
Davidoff du Bahia Buen Suceso comme une couverture pour établir une présence argentine en
Georgie du Sud. Devant le refus de partir des Argentins, le capitaine Baker suggéra d’envoyer
le HMS Endurance pour chasser les intrus, auparavant il devait recevoir l’accord de la
chancellerie britannique.
Entre temps, l’Ambassade britannique de Buenos Aires déclara n’avoir donné aucune
autorisation à M. Davidoff.
2
De Vita Alberto A, Malvinas/82, Como y por qué, Instituto de publicaciones navales, Buenos Aires,1994. Page
88.
3
De Vita Alberto A, Malvinas/82, Como y por qué, Instituto de publicaciones navales, Buenos Aires,1994. Page
89.
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