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CERVIDALGIE DORSALGIE LOMBALGIE Douleur du rachis lui-même Cervicalgie Douleur du rachis <strong>cervi</strong>cal A la mobilisation active passive ou contrariée A la pression axiale ou latérale des épineuses A la pression des ligaments inter épineux A la pression friction du massif post. Dorsalgie A la pression axiale ou latérale des épineuses A la pression des ligaments inter épineux A la pression friction du massif post. Lombalgie A la pression axiale ou latérale des épineuses A la pression des ligaments inter épineux A la pression friction du massif post. MYALGIE Douleur musculaire en l’absence de souffrance rachidienne Angulaire de l’omoplate Trapèze Angulaire de l’omoplate Trapèze Grand dorsal NEVRALGIE Douleur secondaire à la souffrance d’un nerf et se projetant au delà de l’origine rachidienne de l’atteinte Névralgie d’Arnold Névralgie <strong>cervi</strong>co brachiale Névralgie intercostale Grand dorsal Cruralgie Sciatique Névralgie fémorocutanée (méralgie paresthésique) DOULEUR NON CARACTERISTIQUE Toute douleur sans étiologie décelable et dont l’origine rachidienne ou musculaire ou névralgique ne peut être affirmée. Toute douleur sans étiologie décelable et dont l’origine rachidienne ou musculaire ou névralgique ne peut être affirmée. On peut penser aux irradiations dorsales de douleurs viscérales Toute douleur sans étiologie décelable et dont l’origine rachidienne ou musculaire ou névralgique ne peut être affirmée. Toute douleur sans étiologie décelable et dont l’origine rachidienne ou musculaire ou névralgique ne peut être affirmée On peut penser aux irradiations lombaires de douleurs pelviennes
1.4 Réponses des sociétaires 13 sociétaires ont accepté de lire le dossier qui leur a été envoyé le 17 mai 2004 par courrier électronique. 3 réponses ont été reçues à la date du 23 juin 2004, veille de la réunion du secrétariat du DDRC. 1.4.1 Du Docteur SELLE du 04/06/2004 Il est bien vrai qu’en termes de plainte algique CERVICALE, DORSALE et LOMBAIRE, nous sommes bien en peine pour rattacher la sémiologie à son « origine », -soit anatomique (en notant ici que les uns sont tentés de distinguer ostéoarticulaire, musculaire et nerveux, tandis que d’autres – praticiens de médecine manuelle – sont habitués à une analyse en terme d’unité fonctionnelle intéressant pas constitution les trois éléments cités de façon indissociable), -soit étiologique (autant une névralgie conflictuelle discoradiculaire nous satisfera après quelques explorations, autant les douleurs « projetées » ou « référées » seront une hypothèse tardive, une fois diagnostiquée et traitée une pathologie d’organe interne comme ulcère, cholécystite, infarctus, tumeur rénale, colopathie, pour lesquelles nous avons tous recueilli à l’occasion les symptômes et signes postérieurs dont la triade cellulo périosto (téno) myalgique). D’où le fourre tout de la CIM 10 par exemple qui met sur un même niveau une radiculopathie et une plainte algique sans autre précision possible de la part de l’examinant. Et pourtant que la sémiologie est riche (trop riche ?) Au quotidien, il est remarquable qu’un signe puisse être dominant : Par exemple la contracture musculaire : spectaculaire par la douleur au moindre mouvement - y compris la respiration à l’étage dorsal – elle peut faire ignorer la cellulagie si nous oublions le pincé rouler (avec le doigté que celui ci demande) et il est vrai qu’elle ne s’accompagne de ténalgie que dans les étages à risque et avec gros tendons (angulaire de l’omoplate, terminaison des masses ilio-lombaires) et que la douleur périostée du seul périoste à portée directe, celui des épineuses n’est pas toujours au rendez-vous. Pour autant cette contracture n’est pas celle des lésions intrarachidiennes, où la contracture est plus globale, sa fonction étant d’empêcher le réveil d’une douleur à composante bien souvent inflammatoire. Inversement on trouve des aspects de « dérangement intervertébral mineur » alias DIM (qui dit bien sa différence avec les entorses, les tassements, les contractures lésionnelles) où seule la palpation des épineuses est informative sans myalgie ni cellulalgie associée. D’autre part le syndrome DIM peut se trouver au devant d’un tableau qui sera finalement attribué à un organe interne. Je dirai que ce qui prouve la réalité du DIM, ç’est l’amélioration après manipulation (une fois les contre et non indications écartées). Or pour les patriciens de médecine manuelle ceci est très courant et mérite à ce titre une mention dans le DRC.
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