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Douleur de la région Douleur de la région dorsale Douleur de la région cervicale lombaire Spontanée Spontanée Provoquée par la palpation de la nuque Provoquée par la palpation Provoquée par la Accentuée par la mobilisation de la tête mobilisation du tronc Absence de signe de Absence d’irradiation névralgie cervico-brachiale sciatique ou crurale Il est certain que les critères «provoquée par la palpation de la nuque » (rachis cervical) ou « provoquée par la palpation » (rachis dorsal) n’ont rien de spécifique de l’origine osseuse, ligamentaire, discale, musculaire, névritique de la douleur. On retiendra enfin : -Qu’il est souvent bien difficile de faire la part de la localisation cervicale, dorsale ou lombaire d’une douleur qui souvent irradie plus haut ou plus bas. -Que l’origine rachidienne d’une « douleur » lombaire ou dorsale n’est pas toujours évidente : nous avons tous observé des « lombalgies » qui se sont révélées être en relation avec un cancer du rein ou une hydronéphrose. -Concernant le « syndrome cellulo-périosto-myalgique » qui avait été isolé en complément sémiologique dans ces trois définitions : il avait été « raccourci » à son seul titre lors de la révision 2001 pour le RC LOMBALGIE (modification effectuée dans la base en janvier 2002). L’étude des données de l’OMG (années 1997-2001 n’incluant pas la modification de la révision 2001) montre que ce syndrome est retrouvé dans : -8% des cervicalgies -22.9 des dorsalgies -8% des lombalgies C’est assez logique, puisque le « syndrome de Maigne » a été décrit initialement pour les douleurs de la charnière dorso-lombaire entraînant des douleurs dans le territoire sous-jacent par irritation névritique. Curieusement, alors que le choix de 3 items est théoriquement nécessaire pour choisir le complément sémiologique « syndrome cellulo-périosto-myalgique », il arrive que dans 0.9 à 3.5% des cas un ou deux seulement de ces items ait été choisi. 1.3 Propositions Le DDRC s’est demandé s’il ne serait pas plus logique de répartir ces RC en fonction des constatations faites par le médecin :
1.3.1 Ou bien il existe une souffrance rachidienne manifeste Elle est mise en évidence par une douleur : -à la mobilisation -à la pression des épineuses -à la pression des ligaments inter-épineux -à la pression des articulaires postérieures Par convention, on choisirait alors les RC « CERVICALGIE », « DORSALGIE » ou « LOMBALGIE », indiquant par là que c’est bien le « rachis cervical », le « rachis dorsal » ou le « rachis lombaire » qui souffre. 1.3.2 Ou bien la douleur de la région paraît manifestement « musculaire » Il n’y a pas de souffrance rachidienne évidente : le cas serait alors classé à « MYALGIE » 1.3.3 Ou bien la douleur paraît secondaire à la souffrance d’un nerf par atteinte rachidienne (sciatique, fémoro-cutané etc.) et le cas serait classé à « NEVRALGIE » 1.3.4 Ou bien la douleur se situe « dans la région cervicale, dorsale ou lombaire » mais sans qu’aucun signe ne permette de rattacher la douleur ni au rachis, ni aux muscles ni aux nerfs, et le cas serait alors classé à « DOULEUR NON CARACTERISTIQUE » Les différents choix sont résumés dans le tableau ci-dessous :
Page 1 and 2: CERVICALGIE - DORSALGIE - LOMBALGIE
Page 3: Dans l’argumentaire de dorsalgies
Page 7 and 8: 1.4 Réponses des sociétaires 13 s
Page 9 and 10: Vous avez réalisé un travail impr
Page 11 and 12: ++1 à la palpation ++1 pression ax
Page 13 and 14: 1.8.1 Titre CERVICALGIE 1.8.2 Défi
Page 15 and 16: 1.9.1 Titre DORSALGIE 1.9.2 Défini
Page 17 and 18: 1.10.2 Définition ++++ DOULEUR du

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