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(Thèse partie 1)

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Chapitre 1 : Résultats et discussion<br />

Quand aux souches 4’1, 4’2, 4’3, S3 et S8 ont la même composition de lipides polaires que<br />

le genre Haloferax. Elle est marquée par une présence de SDGD1 et de DGD1 comme<br />

glycolipide et une absence de PGS. Alors que les souches 5-5, 5-6 et 5-8 ont un profil de<br />

lipides polaires similaire à celui des souches précédentes. Présence de SDGD1 mais<br />

absence de DGD1 qui est une particularité du genre Halobaculum (Oren et al., 1995).<br />

Les souches 1’2, B1, B4, 5.1, 5.2, 5.3, 5’RB, 5-1, 5-2, 5-4, 5-7, 5-9, S2, S6, S7 et S10<br />

possèdent un glycolipide similaire à celui de l’espèce Halorubrum coriense DSM 10284 T ,<br />

utilisée comme souche témoin. Il s’agit de SDGD3, le seul glycolipide présent chez cette<br />

espèce et les espèces neutrophiles du genre Halorubrum (McGenity & Grant, 2001).<br />

Cependant, la souche S7 ne semble pas contenir de PGS qui fait également défaut chez<br />

Halorubrum tebenquichense (Lizama et al., 2002).<br />

Les souches B3, B6 et S5 possèdent un seul glycolipide similaire à celui rencontré chez le<br />

genre Haloterrigena. Il s’agit de S2-DGD, glycolipide présent chez l’espèce neutrophile<br />

Haloterrigena turkmenica DSM 5511 T (Ventosa et al., 1999).

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