REB -_1959_num_17_1_1211.pdf - Bibliotheca Pretiosa
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242 REVUE DES ÉTUDES BYZANTINES<br />
299. Gérasime Mikragiannitès, 'Ακολουθία της άγιας Σκέπης της ύπεραγίας<br />
δεσπόίνης ημών Θεοτόκου και, άειπαρθένου Μαρίας, Athènes, 1952, 38 ρ.<br />
300. Id., 'Ακολουθία της ύπεραγίας δεσπόίνης ημών Θεοτόκου και άειπαρθένου Μαρίας<br />
της επικαλούμενης Έλεηστρίας, ibid., 1955, 36 ρ.<br />
301. Mgr Méthode (Kondostanos), métrop. de Corfou et Paxoi, 'Ακολουθία<br />
της ύπεραγίας δεσπόίνης ημών Θεοτόκου και άειπαρθένου Μαρίας αγίας Σκέπης,<br />
Corfou, 1955, 48 p. ill. h. t.<br />
302. Th. Spasskij, Κ proischozdeniju ikony i prazdnika Pokrova (Sur l'origine<br />
de l'icône et delà fête duPokrov), Pravoslavnaia Mysl' IX (1953), 138-151. Voir<br />
aussi M. de Taube, dans Istina, IV (1957), 270-272.<br />
303. D. Lathoud AA, Le thème iconographique du « Pokrov » de la Mère de Dieu:<br />
origine et variantes, Aima Soc, ch. v, 2 (1952), 54-68.<br />
304. Id., Sanctuaires et culte du Voile de la Vierge, Sanctuaires et pèlerinages<br />
n° 8 (1957), 13-22. Tirage à part avec pagination propre.<br />
La découverte de Roberts et l'identification de dorn Mercenier ont<br />
permis de reconnaître dans notre Sub tuum la plus ancienne prière à la Sainte<br />
Vierge. Le professeur Stegmüller a cru bon de modérer certains enthou-<br />
siames et, arguant du vocable Théotokos, de dater le fameux papyrus<br />
du ive siècle au plus tôt (n. 275). La réaction n'a pas tardé qui défendit la<br />
plus haute antiquité (nie s.) delà prière (n. 276-279). On trouvera dans ces<br />
articles et opuscules des reproductions phototypiques, des reconstitutions<br />
du papyrus, avec des analyses doctrinales, des confrontations avec les<br />
anciennes versions latines en usage dans la liturgie romaine ou ambro-<br />
sienne (n. 275-281), des comparaisons avec le Memorare, dans sa version<br />
primitive, des « brindilles pour ranimer la prière » (n. 280). Outre le Sub<br />
tuam miser icordiam, la liturgie ambrosienne contient d'autres perles orien<br />
tales : le Vadis propitiator dérivé d'une composition de Romanos le Mélode,<br />
l'introït Vidisne Elisabeth et le Gaude et laetare qui appartient à la liturgie<br />
byzantine de Noël et dont le texte milanais présente la forme la plus ancienne<br />
antérieure au concile d'Éphèse (n. 281). Chorévêque de rite antiochien,<br />
Mgr Mansourati revendiquerait volontiers l'origine syrienne (Raboulas<br />
ou saint Ephrem) de l'antique invocation, à partir des textes tirés de deux<br />
manuscrits syriaques, le Gharf. 5/1 du xe-xi s. et le Vatic, syr. 94 de 1010,<br />
comparés avec le papyrus grec et trois autres ms. syriaques contenant<br />
une prière fort semblable au Sub praesidium (n. 282).<br />
L'hymne acathiste passe, à juste titre, pour le cantique mariai par excel<br />
lence, le Te Deum, a-t-on dit, de la liturgie byzantine. A la demi-douzaine<br />
de reproductions du texte, de traductions commentées et d'études diverses<br />
parues entre 1947 et 1949 (McNabb, Mercenier, Pertoczi, Grottaferrata,<br />
surtout del Grande, lequel a reproduit l'introduction à son édition de l'aca-<br />
thiste dans sa Filologia minore. Studi di poesia e storia nella Grecia antica<br />
da Omero a Β izanzio, Milan, R. Riccardi, 1956, pp. 265-282), fait suite, depuis<br />
1952, une littérature non moins abondante. Le texte grec a été maintes<br />
fois reproduit, voire avec une amorce d'apparat critique (n. 295). Des<br />
traductions italienne (n. 283), française (n. 296), allemande (n. 296), anglaise<br />
(n. 284), russe (n. 285), ont jailli de tous côtés. Seules les introductions en<br />
provenance des États-Unis attribuent encore cette oeuvre à Georges de