Par R.A. Boulay ©1990 - Sciences, Fictions, Histoires

Par R.A. Boulay ©1990 - Sciences, Fictions, Histoires Par R.A. Boulay ©1990 - Sciences, Fictions, Histoires

sciences.fictions.histoires.com
from sciences.fictions.histoires.com More from this publisher
03.07.2013 Views

Écritures. Aussi appelé l’Apocalypse Slavonique d’Énoch, il est daté au premier siècle après A.D. et décrit la montée d’Énoch au ciel, sa déification et son retour à la Terre. Il est peut-être mieux connu pour sa ligne de succession qui évite Noé, la faisant passer à son frère Nir et ensuite à son fils, Melchisédek. Dans la Genèse, la lignée de Caïn fut interrompue soudainement et vraisemblablement, ce changement d’attitude fut en relation du meurtre de son frère Abel. Caïn fut exilé aux terres à l’Est de l’Éden où, plus tard, il produisit un fils appelé Énoch qui, dit-on, construisit des villes, sept en fait, toutes nommées d’après ses fils. C’est peut-être une coïncidence que les Sumériens avaient aussi construit sept villes majeures avant le Déluge et cela suggère une source d’origine commune. Sans événements précis, la Genèse continue la lignée de Caïn à travers Irad, Mehujael, Methusael et finie alors avec Lameck. Mais les Saintes Écritures ont laissé derrière un casse-tête, un mystérieux verset qui a été un énorme problème pour les savants Bibliques. Le verset qui termine la lignée de Caïn se lit comme suit: "Lameck dit à ses femmes : Ada et Cilla, écoutez ma voix, femmes de Lameck, oyez ma parole: J’ai tué un homme pour ma blessure, et un jeune homme pour ma meurtisure. Sept fois Caïn sera vengé, mais Lameck septante et sept fois." La Genèse ne mentionne plus du tout la lignée Caïnite et commence abruptement la généalogie de Seth. Évidemment, le verset contient les indices de ce changement de politique. Si la lignée avait été condamnée, pourquoi ? La solution de ce verset énigmatique qui termine la lignée de Caïn est probablement le fait qu’il existe deux, même trois lignées de descendances parallèles. Le mystère du meurtre Caïn-Abel L’explication Biblique du premier meurtre enregistré dans l’histoire de l’espèce humaine n’est pas convaincante puisque, selon la Genèse, Caïn tua Abel parce que son sacrifice fut snobé par le Seigneur en faveur de celui d’Abel. Logiquement, cela ne semble pas être une assez grande provocation pour que Caïn commette un fratricide. Ça semble être plus une fausse explication inventée par les anciens chroniqueurs. La réponse se trouve ailleurs dans les travaux du Pseudepigrapha. Une version plus complète et sinistre du crime est fournie dans cet ancien document, La Vie d’Adam et Ève. Quand Ève conçut et porta Caïn, elle dit, selon la Genèse, "J’ai rajouté un être humain avec l’aide du Seigneur." Cependant, dans le cas d’Abel, le texte dit simplement que, "elle conçu et porta ensuite son frère Abel." La genèse suggère donc, bien que de billet, que, des deux, la naissance de Caïn impliqua la divinité ! D’autres éclaircissements de la paternité de Caïn sont trouvés dans L’Apocalypse d’Adam, un document Gnostique du premier siècle A.D., où Adam révèle à son fils Seth que "le Seigneur qui nous créa, créa un fils pour lui et Ève, votre mère." Si la divinité était le père de Caïn, et qu’Abel fut engendré par Adam, cela explique plusieurs des événements qui se sont passés par la suite. Si la divinité était son père, Caïn serait semi-divin, en partie reptilien et plus comme Dieu. Cela expliquerait aussi sa nature violente et sanguinaire causant le meurtre de son frère Abel. Au sujet de la naissance de Caïn, ce document observe qu’Ève "donna naissance à un fils et qu’il était brillant et lumineux." C’est une bonne description de la peau brillante et lumineuse des dieux reptiliens. Une description exceptionnelle et quelque peu bizarre du crime de Caïn est aussi inclue dans ce document qui raconte des épisodes de la vie d’Adam. Il y a deux versionsla version Latine ou Vita et la version Grec ou l’Apocalypse Un. Dans la version Vita, Ève a une vision où, "comme si le sang de notre fils Abel était dans les mains de Caïn qui l’avalait dans sa bouche." La version

Apocalyptique est encore plus dramatique, comme Ève dit à Adam: "Mon Seigneur, j’ai vu un rêve hier soir, le sang de mon fils Amilabes, appelé Abel, entrant dans la bouche de Caïn son frère et il le buvait sans pitié... Et il n’est pas resté dans son estomac mais est sorti de sa bouche. Ils allèrent voir et trouvèrent Abel tué par Caïn." Le crime de Caïn était, apparemment, non seulement le fratricide mais aussi manger la chair et boire le sang de son frère. Ce comportement paraît plus reptilien qu’humain, puisque Caïn fut engendré par la divinité, non pas comme son frère qui avait Adam comme père. Par conséquent, Caïn était demi-Saurien. C’est peut-être la raison principale de terminer la lignée de Caïn, pour être remplacé par celle de Seth. Qu’il ait été provoqué ou pas, Caïn commit un crime sérieux, beaucoup plus sérieux qu’une simple erreur en offrant un sacrifice. Caïn, non seulement tua Abel mais mangea sa chair et bu son sang. Pour cette action barbare, Caïn fut banni à l’Est à la terre de Nod. Et comme signe que Caïn était sous la protection du Seigneur, il plaça une marque sur Caïn qui n’est pas décrite dans la Genèse. Pour protéger sa progéniture semi-divine, la divinité avertie que "quiconque tue Caïn souffrira sept fois plus de vengeance." Étrangement, cette même formulation est répétée dans le verset sur Lameck qui termine la lignée de Caïn et évidemment, les deux versets sont associés. La divinité considère que Caïn est une mauvaise expérience; mais puisque lui et sa progéniture sont semi-divins, il ne peut pas le détruire mais peut seulement l’exilé à une terre lointaine afin que ni lui et ses progénitures ne puissent plus faire aucun mal. On dit que Caïn épousa sa sœur Awan à la fin du Quatrième Jubilé ou vers la 200e année de la vie d’Adam. Les sources Rabbiniques indiquent qu’il est mort en sa 930e année, c’est-à-dire, un an avant la mort d’Adam. Dans le Pseudepigrapha, Caïn fut tué accidentellement par Lameck, accomplissant ainsi la malédiction de la septième génération. La lignée de Seth : Enoch, Kenon, Mahala’El et Jared Après la mort d’Abel et le bannissement de Caïn, un troisième fils arrive sur la scène. Comme Abel, Seth naquit d’Adam et Ève. Il semble que la divinité décida de ne pas intervenir dans les affaires de l’homme et de lui permettre de produire sa propre progéniture. Seth épouse sa sœur et Énosh naît. Ainsi commence la lignée des Patriarches qui continue sans interruption jusqu’au temps du Déluge. Les héros de l’Ancien Testament, souvent et fièrement, revendiquent leur descendance de cette lignée Sethite. Qui furent alors ces Patriarches ? Et puisqu’ils étaient indubitablement des résidents de la Mésopotamie, quelles preuves y a-t-il dans les Saintes Écritures et autres écritures anciennes pour les lier étroitement aux Anounnaki ou astronautes étrangers ? Très peu d’information est disponible dans l’Ancien Testament au sujet des premiers quatre Patriarches. Énosh signifie "mortel" ou "être humain" et selon les Saintes Écritures, il fut considéré être le premier mortel ou humain. Selon les sources Rabbiniques anciennes, c’est pendant cette époque que les "visages des hommes sont devenus semblables à celles des singes". Il semble que la contenance humaine soit devenue moins reptilienne et plus comme celle des mammifères ou des singes durant les années d’Énosh. C’est peut-être pour cette raison que la génération d’Énosh n’est pas bien expliquée dans les sources anciennes. Le Haggadah l’appelle la génération du "conseil des impies" puisque les contemporains d’Énosh furent accusés de pratiquer "les arts de la divination et le contrôle des forces célestes." L’homme commençait à démontrer un esprit d’indépendance et de curiosité intellectuelle qui, apparemment, ne plaisait pas ses maîtres reptiliens. [Éditeur : Je crois que la Hiérarchie Nibirouenne aurait préféré ne pas créer l’homme du tout. L’homme fut une créature nécessitée par leur avidité et leur paresse. Cependant, une fois créé, l’homme devait être civilisé et instruit. Donc,

Écritures. Aussi appelé l’Apocalypse Slavonique d’Énoch, il est daté au premier siècle après A.D. et<br />

décrit la montée d’Énoch au ciel, sa déification et son retour à la Terre. Il est peut-être mieux connu<br />

pour sa ligne de succession qui évite Noé, la faisant passer à son frère Nir et ensuite à son fils,<br />

Melchisédek.<br />

Dans la Genèse, la lignée de Caïn fut interrompue soudainement et vraisemblablement, ce<br />

changement d’attitude fut en relation du meurtre de son frère Abel. Caïn fut exilé aux terres à l’Est<br />

de l’Éden où, plus tard, il produisit un fils appelé Énoch qui, dit-on, construisit des villes, sept en<br />

fait, toutes nommées d’après ses fils. C’est peut-être une coïncidence que les Sumériens avaient<br />

aussi construit sept villes majeures avant le Déluge et cela suggère une source d’origine commune.<br />

Sans événements précis, la Genèse continue la lignée de Caïn à travers Irad, Mehujael, Methusael et<br />

finie alors avec Lameck. Mais les Saintes Écritures ont laissé derrière un casse-tête, un mystérieux<br />

verset qui a été un énorme problème pour les savants Bibliques. Le verset qui termine la lignée de<br />

Caïn se lit comme suit:<br />

"Lameck dit à ses femmes : Ada et Cilla, écoutez ma voix, femmes de Lameck, oyez ma parole: J’ai<br />

tué un homme pour ma blessure, et un jeune homme pour ma meurtisure. Sept fois Caïn sera vengé,<br />

mais Lameck septante et sept fois."<br />

La Genèse ne mentionne plus du tout la lignée Caïnite et commence abruptement la généalogie de<br />

Seth. Évidemment, le verset contient les indices de ce changement de politique. Si la lignée avait<br />

été condamnée, pourquoi ? La solution de ce verset énigmatique qui termine la lignée de Caïn est<br />

probablement le fait qu’il existe deux, même trois lignées de descendances parallèles.<br />

Le mystère du meurtre Caïn-Abel<br />

L’explication Biblique du premier meurtre enregistré dans l’histoire de l’espèce humaine n’est pas<br />

convaincante puisque, selon la Genèse, Caïn tua Abel parce que son sacrifice fut snobé par le<br />

Seigneur en faveur de celui d’Abel. Logiquement, cela ne semble pas être une assez grande<br />

provocation pour que Caïn commette un fratricide. Ça semble être plus une fausse explication<br />

inventée par les anciens chroniqueurs. La réponse se trouve ailleurs dans les travaux du<br />

Pseudepigrapha. Une version plus complète et sinistre du crime est fournie dans cet ancien<br />

document, La Vie d’Adam et Ève.<br />

Quand Ève conçut et porta Caïn, elle dit, selon la Genèse, "J’ai rajouté un être humain avec l’aide<br />

du Seigneur." Cependant, dans le cas d’Abel, le texte dit simplement que, "elle conçu et porta<br />

ensuite son frère Abel." La genèse suggère donc, bien que de billet, que, des deux, la naissance de<br />

Caïn impliqua la divinité !<br />

D’autres éclaircissements de la paternité de Caïn sont trouvés dans L’Apocalypse d’Adam, un<br />

document Gnostique du premier siècle A.D., où Adam révèle à son fils Seth que "le Seigneur qui<br />

nous créa, créa un fils pour lui et Ève, votre mère."<br />

Si la divinité était le père de Caïn, et qu’Abel fut engendré par Adam, cela explique plusieurs des<br />

événements qui se sont passés par la suite. Si la divinité était son père, Caïn serait semi-divin, en<br />

partie reptilien et plus comme Dieu. Cela expliquerait aussi sa nature violente et sanguinaire causant<br />

le meurtre de son frère Abel.<br />

Au sujet de la naissance de Caïn, ce document observe qu’Ève "donna naissance à un fils et qu’il<br />

était brillant et lumineux." C’est une bonne description de la peau brillante et lumineuse des dieux<br />

reptiliens.<br />

Une description exceptionnelle et quelque peu bizarre du crime de Caïn est aussi inclue dans ce<br />

document qui raconte des épisodes de la vie d’Adam. Il y a deux versionsla version Latine ou Vita<br />

et la version Grec ou l’Apocalypse Un. Dans la version Vita, Ève a une vision où, "comme si le<br />

sang de notre fils Abel était dans les mains de Caïn qui l’avalait dans sa bouche." La version

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!