Par R.A. Boulay ©1990 - Sciences, Fictions, Histoires
Par R.A. Boulay ©1990 - Sciences, Fictions, Histoires Par R.A. Boulay ©1990 - Sciences, Fictions, Histoires
l’éditeur: Itzamna est l’équivalent du prince héritier Enlil, le père du Prince Nannar/Quetzalcóatl.] Il était la divinité la plus importante du panthéon des Mayas; et comme le dieu du ciel dominant, souverain des cieux, il est un des rares dieux Mayas à ne pas être associé à la mort ou à la destruction. Itzamna fut le dieu créateur, celui qui donna le souffle de vie à l’homme. Comme tel, il décrit le dieu Sumérien Enki parfaitement. [Note de l’éditeur: Selon ma recherche, l’équivalent Maya d’Enki est le dieu Tlaloc. Cependant, je suis d’accord avec Boulay concernant la logique de sa conclusion. Votre éditeur consultera à nouveau ses sources. Selon moi, Itzamna était le "dieu du tonnerre et des éclairs"donc, le Zeus Grecet Tlaloc était leur "dieu de la mer"donc, Poséidon/Enki. Mais puisque Zecharia Sitchin, dans "The Lost Realms," place Enki/Poséidon en charge des mines d’or au Lac Titicaca et du centre spatial à Nazca, sa conclusion renforce celle de Boulay.] Eric Thompson, le doyen des études sur les Mayas, maintient que le terme "itzem," duquel le nom d’un dieu est dérivé, devrait être traduit comme "lézard" ou "reptile." En fait, Itzamnal, la ville du dieu Itzamna, signifie littéralement "la place du lézard." Il y a aussi un grand nombre de formes anthropomorphiques du dieu Itzamna où il est représenté comme demi-être humain et demi-serpent. Le dieu serpent bienveillant est aussi trouvé, plus tard, dans la mythologie Mexicaine de la civilisation Aztèque qui remplaça les Mayas. Quetzalcóatl est le dieu serpent de plumes qui apporta les bienfaits de la civilisation au Mexique et enseigna à l’homme, l’astronomie et les mathématiques. [Note de l’éditeur: Sitchin identifie correctement Quetzalcóatl avec le Prince Nibirouen Nannar, le Thoth Égyptien et le Hermès Grec. J’inclus aussi une corrélation avec le Bouddha Asiatique.] Des légendes de dieux serpents abondent aussi partout dans la mythologie et la religion Africaine. Pour les Dogons de Mali et de la Volta Supérieure, leur ancien dieu créa le soleil et la lune, la Terre d’un morceau d’argile et finalement les premiers êtres primitifs qui furent des jumeaux appelés Nummo, demi-humain et demi-serpent. [Éditeur : Et comme nous savons, les Dogons placent l’origine de leurs dieux dans le Système Sirien de Double Étoile que les Égyptiens appelèrent Osiris et Isis.] Dans la tribu Nyoro, les légendes disent que Dieu envoya le premier couple humain du ciel quand il fonda le monde. L’homme avait une queue et a produit deux jeunes filles et un garçon. Ceux-ci en retour engendrèrent le caméléon, le père de l’espèce humaine. D’autres tribus Africaines tracent aussi leurs ancêtres à des gens ressemblant à des reptiles. Pour les Kumbis, les premiers hommes que Dieu créa possédaient des queues. La tribu Ewe-Ho décrit des hommes avec des queues qui descendirent sur la Terre à l’aide d’une corde. Pour les Jaggas, leurs ancêtres descendirent sur la Terre à l’aide d’un fil de toile d’araignée: l’ancêtre s’appela "celui à la queue." [Note de l’éditeur: Bien sûr, nos anthropologues modernes nous feraient croire que nos coccyx sont des os résiduels de nos ancêtres, les grands singes. S’ils savaient... ! ]
Chapitr e 8 Les patriarches : d dieux d e la pério e anté-diluvienne "Et un enfant sortit du Sopanim morte. Et il s’assied sur le lit à son côté. Et Noé et Nir le regardèrent et virent l’insigne de la prêtrise sur sa poitrine. Il était glorieux en apparence." On se souvient des jours antédiluviens comme étant le règne des dieux rois de la Liste des Rois Sumériens et comme l’Époque des Patriarches du Livre de la Genèse. Les sources disent que les chefs qui formaient l’aristocratie gouvernante en ces jours furent de sang divin, c’est-à-dire, en partie Sauriens. Un deuxième groupe sur la Terre fut soit les Néfilim ou les Anounnaki qui descendirent vivre ici et se marièrent avec les femmes humaines. Le troisième groupe à peupler la Terre fut l’espèce humaine, l’Homo sapiens, produit par les Anounnaki comme force de main-d’œuvre pour faire toutes les tâches secondaires. Des trois groupes, nous nous concernons ici de celui des demi-dieux, les prêtres-rois de la période antédiluvienne qui sont connus dans l’Ancien Testament comme les descendants d’Adam et Ève. Deux lignées de descendances : Caïn et Seth La lignée de descendances d’Adam et Ève fournie par le Livre de la Genèse pose un grand nombre de problèmes, puisqu’elle n’énumère non seulement les progénitures de Caïn mais inclut aussi la lignée parallèle de Seth. Elle duplique même quelques-uns des noms Caïnites et se rapproche de certains autres. Par conséquent, il semble y avoir deux lignées traditionnelles séparées dérivant de la même source distante. Le centre original de la dissémination était manifestement en Mésopotamie. Bien que le nom Methusael soit clairement Akkadien (MUTU-SA-ILI ou "homme de dieu"), les autres noms n’ont rien de commun avec leurs antécédents Mésopotamiens; et il semble qu’avant qu’ils atteignent les Hébreux, ils traversèrent un centre de dissémination secondaire où ils furent transformés avec les registres et les traditions locaux. Dans la littérature pseudopigraphique, une troisième liste, longtemps négligée, est mentionnée vraisemblablement parce qu’elle ne correspond pas à la proposition dans la Genèse qu’Abraham hérita de la cape de prêtrise de Noé. Provenant du deuxième Livre d’Énoch, cette liste de prêtresrois se termine avec le Patriarche Melchisédek qui est transporté aux cieux juste avant du Déluge. Elle contient plusieurs noms étranges et peu familier qui ne paraissent pas ailleurs dans les Saintes
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l’éditeur: Itzamna est l’équivalent du prince héritier Enlil, le père du Prince Nannar/Quetzalcóatl.]<br />
Il était la divinité la plus importante du panthéon des Mayas; et comme le dieu du ciel dominant,<br />
souverain des cieux, il est un des rares dieux Mayas à ne pas être associé à la mort ou à la<br />
destruction.<br />
Itzamna fut le dieu créateur, celui qui donna le souffle de vie à l’homme. Comme tel, il décrit le<br />
dieu Sumérien Enki parfaitement. [Note de l’éditeur: Selon ma recherche, l’équivalent Maya d’Enki<br />
est le dieu Tlaloc. Cependant, je suis d’accord avec <strong>Boulay</strong> concernant la logique de sa conclusion.<br />
Votre éditeur consultera à nouveau ses sources. Selon moi, Itzamna était le "dieu du tonnerre et des<br />
éclairs"donc, le Zeus Grecet Tlaloc était leur "dieu de la mer"donc, Poséidon/Enki. Mais puisque<br />
Zecharia Sitchin, dans "The Lost Realms," place Enki/Poséidon en charge des mines d’or au Lac<br />
Titicaca et du centre spatial à Nazca, sa conclusion renforce celle de <strong>Boulay</strong>.]<br />
Eric Thompson, le doyen des études sur les Mayas, maintient que le terme "itzem," duquel le nom<br />
d’un dieu est dérivé, devrait être traduit comme "lézard" ou "reptile." En fait, Itzamnal, la ville du<br />
dieu Itzamna, signifie littéralement "la place du lézard." Il y a aussi un grand nombre de formes<br />
anthropomorphiques du dieu Itzamna où il est représenté comme demi-être humain et demi-serpent.<br />
Le dieu serpent bienveillant est aussi trouvé, plus tard, dans la mythologie Mexicaine de la<br />
civilisation Aztèque qui remplaça les Mayas. Quetzalcóatl est le dieu serpent de plumes qui apporta<br />
les bienfaits de la civilisation au Mexique et enseigna à l’homme, l’astronomie et les<br />
mathématiques. [Note de l’éditeur: Sitchin identifie correctement Quetzalcóatl avec le Prince<br />
Nibirouen Nannar, le Thoth Égyptien et le Hermès Grec. J’inclus aussi une corrélation avec le<br />
Bouddha Asiatique.]<br />
Des légendes de dieux serpents abondent aussi partout dans la mythologie et la religion Africaine.<br />
Pour les Dogons de Mali et de la Volta Supérieure, leur ancien dieu créa le soleil et la lune, la Terre<br />
d’un morceau d’argile et finalement les premiers êtres primitifs qui furent des jumeaux appelés<br />
Nummo, demi-humain et demi-serpent. [Éditeur : Et comme nous savons, les Dogons placent<br />
l’origine de leurs dieux dans le Système Sirien de Double Étoile que les Égyptiens appelèrent Osiris<br />
et Isis.]<br />
Dans la tribu Nyoro, les légendes disent que Dieu envoya le premier couple humain du ciel quand il<br />
fonda le monde. L’homme avait une queue et a produit deux jeunes filles et un garçon. Ceux-ci en<br />
retour engendrèrent le caméléon, le père de l’espèce humaine.<br />
D’autres tribus Africaines tracent aussi leurs ancêtres à des gens ressemblant à des reptiles. Pour les<br />
Kumbis, les premiers hommes que Dieu créa possédaient des queues. La tribu Ewe-Ho décrit des<br />
hommes avec des queues qui descendirent sur la Terre à l’aide d’une corde. Pour les Jaggas, leurs<br />
ancêtres descendirent sur la Terre à l’aide d’un fil de toile d’araignée: l’ancêtre s’appela "celui à la<br />
queue." [Note de l’éditeur: Bien sûr, nos anthropologues modernes nous feraient croire que nos<br />
coccyx sont des os résiduels de nos ancêtres, les grands singes. S’ils savaient... ! ]