03.07.2013 Views

Par R.A. Boulay ©1990 - Sciences, Fictions, Histoires

Par R.A. Boulay ©1990 - Sciences, Fictions, Histoires

Par R.A. Boulay ©1990 - Sciences, Fictions, Histoires

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

"drakma." Il serait intéressant d’enquêter sur la source étymologique de ce terme moderne.]<br />

En toute probabilité, les dragons et autres créatures fabuleuses de la mythologie ne sont que des<br />

créatures déformées du dieu serpent. C’est un problème de sémantique provenant de la répulsion de<br />

l’homme à sa descendance Saurienne. Deux compréhensions différentes semblent avoir contribué à<br />

la légende du serpent comme étant malfaisant et répulsif.<br />

Le premier est le rapport maître esclave. L’homme remplaça les Anounnaki comme ouvriers et<br />

commença à exécuter toutes les tâches domestiques et déplaisantes. La mémoire de cette<br />

domination par les cruels et impitoyables reptiles fut exacerbée par la descente de Néfilim avant le<br />

Déluge. Ces hommes de l’espace vivaient et se marièrent avec l’espèce humaine et à la fois, les<br />

Saintes Écritures et les sources Sumériennes révèlent qu’ils étaient une race de barbares et de<br />

cannibales.<br />

Au moment de la venue du Déluge, l’homme en était arrivé à mépriser et à même persécuter ces<br />

progénitures Sauriennes. Les sources anciennes suggèrent fortement que n’importe qui démontrant<br />

des signes de descendance des dieux serpents fut traqué et détruit.<br />

Le deuxième facteur majeur dans l’évolution de l’idée qu’il représentait le mal fut l’inimitié entre<br />

Enlil et Enki. Quand les terres furent réclamées après le Déluge, Enlil plaça ses fils responsables<br />

des terres du Moyen-Orient et les fils d’Enki reçurent les terres étrangères telles que l’Égypte et la<br />

Vallée de l’Indus. Cependant, les fils d’Enki revinrent au Moyen-Orient et, son fils aîné Mardouk,<br />

saisit le contrôle de Babylone et réclama le titre tant convoité de "50."<br />

On se souvient d’Enki comme le créateur et le bienfaiteur de l’espèce humaine et il est associé à la<br />

connaissance divine, la guérison et l’immortalité exactement les mêmes qualités attribuées au<br />

serpent dans le jardin d’Éden. Donc, la "Chute de l’Homme" Biblique revêt le caractère d’une<br />

confrontation entre Enlil, l’Élohim de l’Ancien Testament et Enki, le dieu serpent usurpateur. [Note<br />

de l’éditeur: Dans le livre, "The Stellar Man" de John Baines, l’Archon de la Destinée qui dupa<br />

Moïse et devint par la suite l’usurpateur de pouvoir de cette planète du plus "amical" souverain<br />

Archon antérieur, fut connu par la lettre Y. Ce Y réfère-t-il à Yahvé et par conséquent, au prince<br />

héritier Enlil ?]<br />

Le même conflit est vu dans le Conte d’Adapa quand Enki a prévenu Anou (plus tard, Enlil<br />

représentait Anou puisqu’il est devenu le dieu aîné) de ne pas altérer sa création. Cette dissension se<br />

trouve dans le Troisième Livre d’Enoch lorsque le Patriarche serait donné le statut de dieu et<br />

l’immortalité. Les "anges," représentant le plus vieil ordre, protestèrent que Dieu révélait des secrets<br />

divins à l’homme. Ils lui rappelèrent à la mémoire, "les dieux primordiaux n’ont-ils pas donné un<br />

bon conseil lorsqu’ils dirent, `ne créer pas l’homme’ ?"<br />

Pour les dieux conservateurs et plus anciens, l’homme fut considéré un animal inférieur, puisque à<br />

plusieurs reprises, il est critiqué pour sa transpiration et sa saleté, des traits typiquement de<br />

mammifères. Dans le Troisième Livre d’Énoch, l’homme est méprisé par les dieux mineurs ou les<br />

anges qui le caractérisent comme "l’espèce humaine née de la femme, tachée, malpropre, salie par<br />

le sang et le flux impur, des hommes qui transpirent des gouttes putrides." Ce dégoût des anges<br />

envers leurs cousins mammifères puants et poilus est réitéré partout dans l’Ancien Testament d’où<br />

cette aversion est masquée sous l’image de la "faiblesse de la chair."<br />

Les Anounnaki étaient fiers de leur apparence reptilienne leur corps lisse et brillant et les traits de<br />

mammifère leur étaient répugnants. Du point de vue objectif, l’élégance et la beauté de la forme<br />

reptilienne ont beaucoup de mérite. Il est difficile de voir comment se développa la répugnance<br />

physique envers ces créatures.<br />

Le problème de la répulsion difficile et il est peut-être mieux de le laisser aux psychanalystes. Il<br />

semble quand être une expérience acquise, le résultat de ce que l’on nous a apprit quand nous étions<br />

jeunes. D’un autre côté, le lointain souvenir du traitement bestial et barbare par les ancêtres<br />

reptiliens peut exister dans notre subconscient et contribuer à l’aversion des reptiles. [Note de

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!