Par R.A. Boulay ©1990 - Sciences, Fictions, Histoires
Par R.A. Boulay ©1990 - Sciences, Fictions, Histoires Par R.A. Boulay ©1990 - Sciences, Fictions, Histoires
laisseraient pas l’homme oublier son choix. Cela se répète partout dans les chapitres de l’Ancien Testament comme "la faiblesse de la chair." Plus que l’homme évoluait de ses origines Sauriennes, moins qu’il s’en souvenait. À travers un long processus d’amnésie sélective, encouragé par une prêtrise qui se perpétuait et qui fut bien dissimulée, l’espèce humaine en est arrivée à perdre toute connaissance de son ascendance Saurienne. [Note de l’éditeur: Est-ce une histoire triste et pitoyable, ou quoi ? Voyant ceci du vingtième siècle, je suis quasiment soulagé que ce fut ainsi à long terme. Ces "dieux Sauriens" ont, maintenant, complètement perdu le contrôle de notre évolution ultime comme mammifère "hommes" et "femmes." Jamais plus pouvons-nous les reconnaître comme "dieux" ou "déesses." D’une certaine façon, maintenant, pour nous, ils ne signifient rien.] La généalogie de l’Homme Notre thèse est que nos ancêtres furent des formes reptiliennes qui sont venues à la Terre d’une autre planète pour obtenir, il y a longtemps, certains métaux. Trouvant le climat bénin, ils y fondèrent une colonie en Mésopotamie. Comme le climat changea, tel que démontré par le décès des dinosaures, il est devenu insupportable pour les Anounnaki. Ils décidèrent ainsi de produire un ouvrier primitif mieux adapté au climat. Le résultat fut un Homo Saurien, demi-homme singe et demi-reptile. Cependant, cette créature ne pouvait pas se reproduire. Résoudre ce problème de main-d’œuvre, l’Adam ou le "lulu" reçu des caractéristiques dominant de mammifères et le résultat fut le premier Homo sapiens. Quant à l’évolution, l’homme moderne apparu sur la scène il y a quelque 40 000 ans comme par magie. L’Homo sapiens, ou l’homme de Cro-Magnon, n’était pas un homme-singe et, si différent de la forme qu’il replaça pour exiger un saut quantique dans le processus de l’évolution. Le problème complexe du "manque de liens" a confondu les évolutionnistes depuis plus de 100 ans. Est-ce possible que le soi-disant manque de liens ne soit jamais trouvé ? Et plus important encore, si ce manque de liens est découvert un jour, ce sera sans doute dans les ruines de l’ancienne civilisation de la vallée Mésopotamienne.
Chapitr e 6 Les Dieux serpents et l’immortalité "Faites un séraphin et montez-le sur une perche. Et si quelqu’un qui est mordu, le regarde, il recouvra." Livre des Nombres La perception du Serpent comme étant mauvais En plus Adam et Ève, l’autre hôte important du jardin d’Éden était le serpent. On lui donne des qualités qui rivalisent avec et surpassent celles d’Adam. Même la Genèse concède ce point en affirmant que "le serpent était le plus sagace de toutes les bêtes sauvages que Dieu avait fait." Le Haggadah décrit le serpent comme étant grand, ayant deux jambes et avec des pouvoirs mentaux supérieurs. Il était le seigneur de toutes les bêtes d’Éden: "Dieu parla au serpent, ` Je vous ai créé pour être le roi de tous les animaux. Je vous ai créés pour être debout.’" Dans le Haggadah, il semble avoir peu de doute qu’il ait marché comme un homme. Dans la Genèse, le serpent fut puni sévèrement pour son rôle dans la Chute d’Adam et Ève. Désormais, son destin fut de ramper sur son ventre. De cette façon, la Genèse sous-entend, qu’à un certain moment, le serpent fut une créature avec des jambes et qu’il les perdit en mangeant du fruit défendu. Le Haggadah est plus explicite et dit carrément que, "ses mains et ses pieds furent coupés." En apparence, le serpent aux jambes a dû être une créature effrayante, dominant tous les animaux aussi bien que l’homme. En fait, quand Adam et Ève furent expulsés de l’Éden, ils portèrent des "chemises de peau." Mais puisque Adam et Ève étaient végétariens pendant cette période et que l’homme n’avait eu la permission de manger de la viande jusqu’à après le Déluge, ces "peaux" ont dû être celles qui furent muées par les reptiles. Ce fait est confirmé par plusieurs sources anciennes. Les anciennes légendes Juives indiquent que les vêtements portés par Adam et Ève ne furent non seulement faits de peaux reptiliennes mais qu’elles les protégèrent des prédateurs: "Quand ils portèrent les manteaux, disait-on à Adam et Ève, toutes les créatures de la Terre les craindraient." Les peaux de serpent étaient symboliques de la race souveraine et ne leur rappelèrent non seulement leur origine mais agissaient aussi comme un talisman pour les protéger des créatures sauvages. [Note de l’éditeur: Encore aujourd’hui, nous portons des peaux reptiliennes de serpent, d’alligator, de crocodile qui sont dispendieuses et distinguent le porteur de la multitude générale. Et le serpent, surtout le cobra, fut très révéré dans les anciennes cultures comme celles de l’Égypte et l’Inde.] La notion du serpent représentant le mal est assez récente, car elle se développa au début de l’Époque Chrétienne. En réalité, le serpent Biblique est souvent associé à la connaissance divine, la guérison et l’immortalité. Le mot Hébreu pour la créature qui tenta Ève est "nahash" lequel est souvent traduit comme serpent mais signifie littéralement "celui qui résout les secrets." Même dans l’Ancien Grec, le mot serpent posa des problèmes dans la traduction. Dans la Septante, la première version Grecque de l’Ancien Testament, le serpent s’appelle "drakon." Dans la Grèce Ancienne, le mot le "drakon" fut utilisé pour toutes les créatures effrayantes telles que les serpents, les grands reptiles et autres animaux terrifiants. Donc le terme "drakon" fut utilisé dans la sémantique et est devenu associer à un serpent ailé avec de grandes jambes comme dragon dans la littérature et la culture occidentale. [Note de l’éditeur: Aujourd’hui, la monnaie Grecque s’appelle
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Testament comme "la faiblesse de la chair."<br />
Plus que l’homme évoluait de ses origines Sauriennes, moins qu’il s’en souvenait. À travers un long<br />
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dissimulée, l’espèce humaine en est arrivée à perdre toute connaissance de son ascendance<br />
Saurienne. [Note de l’éditeur: Est-ce une histoire triste et pitoyable, ou quoi ? Voyant ceci du<br />
vingtième siècle, je suis quasiment soulagé que ce fut ainsi à long terme. Ces "dieux Sauriens" ont,<br />
maintenant, complètement perdu le contrôle de notre évolution ultime comme mammifère<br />
"hommes" et "femmes." Jamais plus pouvons-nous les reconnaître comme "dieux" ou "déesses."<br />
D’une certaine façon, maintenant, pour nous, ils ne signifient rien.]<br />
La généalogie de l’Homme<br />
Notre thèse est que nos ancêtres furent des formes reptiliennes qui sont venues à la Terre d’une<br />
autre planète pour obtenir, il y a longtemps, certains métaux. Trouvant le climat bénin, ils y<br />
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des dinosaures, il est devenu insupportable pour les Anounnaki. Ils décidèrent ainsi de produire un<br />
ouvrier primitif mieux adapté au climat. Le résultat fut un Homo Saurien, demi-homme singe et<br />
demi-reptile. Cependant, cette créature ne pouvait pas se reproduire.<br />
Résoudre ce problème de main-d’œuvre, l’Adam ou le "lulu" reçu des caractéristiques dominant de<br />
mammifères et le résultat fut le premier Homo sapiens.<br />
Quant à l’évolution, l’homme moderne apparu sur la scène il y a quelque 40 000 ans comme par<br />
magie. L’Homo sapiens, ou l’homme de Cro-Magnon, n’était pas un homme-singe et, si différent de<br />
la forme qu’il replaça pour exiger un saut quantique dans le processus de l’évolution.<br />
Le problème complexe du "manque de liens" a confondu les évolutionnistes depuis plus de 100 ans.<br />
Est-ce possible que le soi-disant manque de liens ne soit jamais trouvé ? Et plus important encore, si<br />
ce manque de liens est découvert un jour, ce sera sans doute dans les ruines de l’ancienne<br />
civilisation de la vallée Mésopotamienne.