Par R.A. Boulay ©1990 - Sciences, Fictions, Histoires
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lui donne un grand nombre d’excellentes qualités et de capacités mentales qui sont supérieures à celles de l’homme. En fait, le Haggadah déclare que ce fut sa capacité mentale supérieure qui conduit à la chute de l’homme aussi bien qu’à la sienne. Selon cette source, la tâche du serpent incluait le fait de fournir la divinité avec de l’or, de l’argent, des pierres précieuses et des perles, une tâche plutôt mondaine pour un groupe d’êtres soi-disant spirituels. Il est à noter qu’encore une fois, nous avons cette préoccupation avec les pierres précieuses, comme dans Genèse qui décrit les produits de l’Éden: "L’or de cette terre est de choix; il y a du bdellium et du lapis-lazuli." Précédant l’homme et plus tard, cohabitant le jardin d’Éden avec lui, le serpent était semblable à l’homme de plusieurs façons. Il était grand et se tenait debout sur deux jambes. Il faisait tout le travail des dieux, en particulier l’exploitation minière et le travail agricole. Et, au-dessus de tout, le serpent possédait un intellect supérieur à celui de l’homme. Ce sont tous des attributs d’Anunnaki. Le terme "serpent," appliqué à cette créature, soulève plusieurs problèmes. Employant la terminologie moderne, il pourrait être décrit comme un grand lézard ou un reptile. Les anciens ont pu lui donner une signification différente que nous définissons aujourd’hui comme un reptile sans jambes. Dans ce contexte, les difficultés d’interprétations sont dus à donner une signification moderne à la traduction de mots anciens. Par exemple, la Grèce ancienne ou classique n’avait pas de mot pour serpent. Le mot "drakon" fut appliqué aux serpents aussi bien qu’à d’autres créatures fabuleuses ressemblant à des serpents. En fait, des mots composés basés sur le serpent furent des variations de "drakon"; par exemple, le mot pour sinueux ou tordu comme une route était "drakonforos." "Drakonktonia" signifiait le fait de tuer un serpent. Dans la Septante, la version Grecque pré-Chrétienne des Saintes Écritures Hébraïques, le mot le "drakon" est utilisé pour dénoter des serpents, des grands reptiles et d’autres grandes créatures terribles ou féroces. De cette manière, la confusion de dragon et de serpent conduisit à des créatures mythologiques qui étaient ailées, avaient des jambes et respiraient le feu. Les serpents de l’Ancien Monde furent représentés comme de grands animaux ressemblant à des lézards avec des ailes dénotant leur capacité à voler une métaphore pour une sorte de vaisseau. Leur capacité de se défendre en jetant des flammes des appareils ou peut-être leur dangereux gaz d’échappement furent transformés en apparence mythologique d’un dragon respirant le feu. C’est dans cette origine que l’homme est lancé dans la civilisation antédiluvienne des dieux serpents. Les tablettes Sumériennes cunéiformes sont plus spécifiques dans ce respect. Les Anounnaki ou enfants des dieux serpents se fatiguent de leur fardeau de faire toutes les tâches déplaisantes de l’exploitation minière et de l’agriculture et lancent un appel au dieu principal pour alléger leur souffrance. C’est ici que l’homme entre en scène.
Chapitr La créatio n et la « chute » d e l’Homme "Je ferai un sauvage. Son nom sera Homme. Vraiment, je créerai l’homme sauvage. Il verra aux services des Dieux pour qu’ils puissent être à l’aise." L’Épique de la Création Sumérienne Un des plus vieux fragments de la mythologie Sumérienne décrit les conditions sur la Terre lorsque les astronautes étrangers ou Anounnaki arrivèrent et avant qu’ils fussent descendus pour construire les villes en Mésopotamie. Il parle d’un temps quand le visage du soleil et la lune ne pouvaient pas être vus, quand la surface de la Terre était abondamment arrosée et les nuages descendaient jusqu’à la surface de la Terre. Ce fut alors, comme la tablette déclare que "les reptiles descendirent vraiment." [Note de l’éditeur: Si, comme Sitchin l’affirme, la Planète Terre/Tiamat était localisée plus loin du Soleil au temps de l’arrivée de Nibirou dans ce système, dans ce qui est appelé aujourd’hui "la ceinture d’astéroïdes" et si seulement plus tard après la collision de la lune de Nibirou avec ce qui est aujourd’hui connu comme l’océan Pacifique, alors ceci pourrait très bien être une description des conditions climatiques de cette "autre Terre".] Dans les Épiques de la Mésopotamie, la création de l’homme fut secondaire et même sans importance à la création de l’univers et à la colonisation de cette planète par les visiteurs étrangers. Après que les astronautes eurent débarqué, la récupération des marais et la construction des villes commencèrent sous la direction d’Enki. Toutes les villes construites eurent un but spécifique de supporter les opérations minières dont le centre de traitement fut à Badtibira. La construction des villes, la réparation constante, la reconstruction des canaux et des digues et les opérations minières exigèrent tous un effort considérable de la part des fils d’Anou. C’est avec cette origine que l’homme arrive sur la scène. La création de l’homme a été conçue et exécutée non comme une fin en soi ni comme un développement naturel de la civilisation de la Mésopotamie. Plus tôt, l’homme a été créé comme un moyen de satisfaire un groupe d’étrangers
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celles de l’homme. En fait, le Haggadah déclare que ce fut sa capacité mentale supérieure qui<br />
conduit à la chute de l’homme aussi bien qu’à la sienne.<br />
Selon cette source, la tâche du serpent incluait le fait de fournir la divinité avec de l’or, de l’argent,<br />
des pierres précieuses et des perles, une tâche plutôt mondaine pour un groupe d’êtres soi-disant<br />
spirituels. Il est à noter qu’encore une fois, nous avons cette préoccupation avec les pierres<br />
précieuses, comme dans Genèse qui décrit les produits de l’Éden: "L’or de cette terre est de choix; il<br />
y a du bdellium et du lapis-lazuli."<br />
Précédant l’homme et plus tard, cohabitant le jardin d’Éden avec lui, le serpent était semblable à<br />
l’homme de plusieurs façons. Il était grand et se tenait debout sur deux jambes. Il faisait tout le<br />
travail des dieux, en particulier l’exploitation minière et le travail agricole. Et, au-dessus de tout, le<br />
serpent possédait un intellect supérieur à celui de l’homme. Ce sont tous des attributs d’Anunnaki.<br />
Le terme "serpent," appliqué à cette créature, soulève plusieurs problèmes. Employant la<br />
terminologie moderne, il pourrait être décrit comme un grand lézard ou un reptile. Les anciens ont<br />
pu lui donner une signification différente que nous définissons aujourd’hui comme un reptile sans<br />
jambes. Dans ce contexte, les difficultés d’interprétations sont dus à donner une signification<br />
moderne à la traduction de mots anciens. <strong>Par</strong> exemple, la Grèce ancienne ou classique n’avait pas<br />
de mot pour serpent. Le mot "drakon" fut appliqué aux serpents aussi bien qu’à d’autres créatures<br />
fabuleuses ressemblant à des serpents. En fait, des mots composés basés sur le serpent furent des<br />
variations de "drakon"; par exemple, le mot pour sinueux ou tordu comme une route était<br />
"drakonforos." "Drakonktonia" signifiait le fait de tuer un serpent.<br />
Dans la Septante, la version Grecque pré-Chrétienne des Saintes Écritures Hébraïques, le mot le<br />
"drakon" est utilisé pour dénoter des serpents, des grands reptiles et d’autres grandes créatures<br />
terribles ou féroces.<br />
De cette manière, la confusion de dragon et de serpent conduisit à des créatures mythologiques qui<br />
étaient ailées, avaient des jambes et respiraient le feu. Les serpents de l’Ancien Monde furent<br />
représentés comme de grands animaux ressemblant à des lézards avec des ailes dénotant leur<br />
capacité à voler une métaphore pour une sorte de vaisseau. Leur capacité de se défendre en jetant<br />
des flammes des appareils ou peut-être leur dangereux gaz d’échappement furent transformés en<br />
apparence mythologique d’un dragon respirant le feu.<br />
C’est dans cette origine que l’homme est lancé dans la civilisation antédiluvienne des dieux<br />
serpents. Les tablettes Sumériennes cunéiformes sont plus spécifiques dans ce respect. Les<br />
Anounnaki ou enfants des dieux serpents se fatiguent de leur fardeau de faire toutes les tâches<br />
déplaisantes de l’exploitation minière et de l’agriculture et lancent un appel au dieu principal pour<br />
alléger leur souffrance. C’est ici que l’homme entre en scène.