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Par R.A. Boulay ©1990 - Sciences, Fictions, Histoires

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n’avait aucune lumière, les Akkadiens virent les vaisseaux sacrés des dieux, son grand lahama du<br />

dubla, qui se trouva à la maison."<br />

Les termes "lahama" et "dubla" sont inconnus et demeurent sans traduction car ils ne correspondent<br />

pas à aucune signification connue. Le contexte de leur usage indique qu’ils font référence à quelque<br />

chose sur l’Ekur lui-même, tel qu’un propulseur auxiliaire de départ situé dans la "cella" ou pièce<br />

intérieure de l’édifice. "Cella" est le terme couramment utilisé pour la partie intérieure la plus sacrée<br />

du sanctuaire d’un temple ou d’un palais, i.e., le tabernacle ou propitiatoire. Bien que le poème soit<br />

en Akkadien Sémitique, il est très probable que ces termes inconnus sont des termes empruntés du<br />

Sumérien original. Dans le cas de "Dubla," DU est le terme sumérien pour "lien ou rapport," et<br />

BLA, une forme de BAL signifiant "poutre" telle qu’appliquée aux structures de bâtiments. Ainsi,<br />

DU-BLA peut être la structure ou "poutre de liaison" qui réfère à la structure pour la fusée verticale,<br />

qui dans ce cas, serait le "lahama."<br />

Le terme "lahama" a aussi sa définition sumérienne. LA signifie brillant ou lumière, HA ou KA est<br />

le mot désignant la bouche ou l’action parler, et MA est le terme commun utilisé pour vaisseau ou<br />

embarcation. Donc, LAHAMA signifierait probablement "le vaisseau dont la bouche est bruyante et<br />

brillante" ou, en d’autres termes, une fusée spatiale. Donc, le poème épique "La Malédiction<br />

d’Agade" révèle clairement que l’Ekur n’était pas seulement qu’un temple sur le dessus d’une<br />

ziggourat à Nippour mais était en réalité l’édifice de fusées en forme de tour assis sur la plate-forme<br />

de lancement à Baalbek. Les terres boisées et dévastées par Naram-Sin furent celles du Liban.<br />

[Éditeur: Il est à remarquer que ce compte rendu de la destruction du Port Spatial de Baalbek est<br />

très différent de celui proposé par Zecharia Sitchin dans "The Wars of Gods and Men."]<br />

Dans le poème, Naram-Sin consulta un oracle, probablement Ishtar, pour demander l’accès aux<br />

Terres Sacrées et s’est vu refusé, telle que l’histoire de Gilgamesh. C’est peut être à ce temps qu’il<br />

décide d’envahir et de saisir les terres. Dans, "La Légende de Naram-Sin," il y a une situation<br />

semblable où un oracle refuse la demande de Naram-Sin et il décide de mobiliser son armée et<br />

d’envahir la "Terre montagneuse," et de détruire la "ville rebelle."<br />

L’emploi d’armes destructrices spéciales à grande échelle est suggéré par la référence aux haches de<br />

la destruction à double-tranchants. Dans "La Légende de Naram-Sin," une arme semblable appelée<br />

"le déluge de vent" est utilisée et cause aussi des dégâts massifs et met fin à la guerre. Selon "La<br />

Malédiction d’Agade," les armes de Naram-Sin, "l’arasa jusqu’au fondation de la terre... il déchira<br />

ses arbres-’mes’, la poussière s’envola dans le ciel. Il détruisit ses frontières, entraînant la perte de<br />

vitalité de la terre."<br />

[Éditeur: L’expression "arbres-mes" est sans doute une référence au MEs des Dieux Sauriens, et le<br />

vol des MEs d’Anou par Mardouk déclencha les Guerres de la Pyramide, telles que décrites par<br />

Sitchin.]<br />

Naram-Sin reçu un vif châtiment. Selon le poème, Enlil convoqua les dieux pour une réunion<br />

spéciale et la gravité de l’affaire est illustré par le panthéon qui décida de son sort: Enki, Inanna<br />

(Ishtar), Sin, Ninourta, Ishkour (Adad), et Outou (Shamash), tous des dieux majeurs qui prirent les<br />

décisions importantes du panthéon.<br />

[Éditeur: Traduit en terminologie mythologique Grecque, cette collection de dieux consiste de, dans<br />

l’ordre ci-dessus, Zeus, Poséidon, Aphrodite, Hermès, Vulcan/Typhon, Arès et Apollon.]<br />

Il fut d’abord décidé de raser toute la Mésopotamie mais ils se laissèrent attendrir et ne punirent<br />

seulement que la ville d’Agade. La destruction de la ville fut si minutieuse qu’à ce jour son<br />

emplacement n’a pas été trouvé.<br />

Cependant, la destruction s’étendit aux autres régions de la Mésopotamie qui demeurèrent dans une<br />

condition chaotique et de dévastation pendant cent ans. Cette condition a pu être causé par un nuage<br />

de retombées radioactives du Liban, du fait que la Mésopotamie est dans la direction des vents<br />

dominants.

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