Le dossier de diffusion - Star Théâtre

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festivals en Israël. Il travaille régulièrement avec Isabelle Starkier : Monsieur Shpill et Monsieur Tippeton monté en hébreu au festival de Saint-Jean d’Acre en 1996, les Exclusés, cabaret contemporain créé en 1998, La Comédie des Travers en 2001,Têtes rondes et Têtes pointues de B. Brecht en 2004. Il a également réalisé la musique d’une comédie musicale pour enfants Mirmix la Fourmi Rousse d’Edwige Cabelo, montée par Sarah Sandre, du spectacle Motion et motion de Nadia Vadori en 2002. En 2002, il a écrit la musique d’une lecture marathon de 12 heures de l’œuvre de Victor Hugo pour la Ville de Paris. Amnon Beham enseigne à l’ESAD de Paris et dirige l’atelier chorale de l’Université d’Evry. Il a travaillé à de très nombreuses reprises avec des comédiens autour de la technique vocale puisqu’il est spécialisé dans ce domaine, ayant étudié en France et aux USA avec le Roy Hart Theatre et ayant été lui-même choriste et soliste à l’Opéra de Tel Aviv. Mélanie Depuiset, comédienne, Après une collaboration avec l’Ecole des Arts du Cirque et de la Rue à Beauvais où elle travaille le jonglage, l’acrobatie et le trapèze, Mélanie Depuiset suivra deux années de formation à l’école internationale de théâtre de Jacques Lecoq. Entre temps, elle crééé en 1998 avec Alain Blanchard, Sylvain Blanchard et Jimmy Assandri La Fabrique des Arts d’à Côté , compagnie proposant de nombreux spectacles de rue, contes mimés, marionnettes à mains nues… De 1998 à aujourd’hui, Mélanie Depuiset a joué dans divers spectacles tels que Les Marionnettes Foraines, Le voyage autour d’Alice, Le Cirque à 4 mains, Fantine ou le désir coupable… Alain Szygenda, comédien, Comédien, metteur en scène, formé à l’école Lecoq, il a travaillé avec Alain Blanchard de La Fabrique des Arts d’à Côté, la compagnie du Chaland pour Les Gargouilles (spectacle masqué avec descente en rappel), mis en scène divers spectacles (son et lumière, jeune public, rue).. Stéphane Miquel, comédien, Tout en étudiant la philosophie et pratiquant la photographie, il fait ses armes théâtrales dans différents cours et conservatoires municipaux parisiens. A l’issue de ces années d’apprentissage, il crée en 1995 au sein du collectif BLM Le music-hall saugrenu des frites à mémé, prix du public au festival de théâtre universitaire des Amandiers de Nanterre. A l’issue de cette aventure, il a besoin de ressourcer son approche du jeu et se dirige vers l’Ecole Jacques Lecoq. Il y entre en 1997 et en ressort avec l’impression d’avoir vécu une véritable déflagration théâtrale, par la découverte du mouvement, ainsi que du jeu masqué et bouffonnesque. Depuis il a participé à des créations collectives, s’est engagé avec diverses compagnies, et a travaillé avec des metteurs en scène comme Jorge Lavelli, Alain Mollot, Alain Blanchard et Isabelle Starkier
Motivé Cirque La piste aux tocards PRESSE Télérama Sortir du 26 août au 1 er septembre 2009 – N° 3111 De qui, de quoi rit-on quand tous les numéros sont ratés d’avance ? Un regard ironique et théâtral sur le cirque intime. Femme de théâtre tout terrain, Isabelle Starkier entre en piste pour la première fois. Sans coup férir et sans rien perdre de ses convictions. Peut-être un rien désinvolte. « Le Cirque Tok, reconnaît-elle, est un spectacle atypique, une contre-proposition à l’engouement du public et de l’institution pour le cirque ». Elle pense en effet que les arts de l piste, comme ceux de la rue, devenus un peu trop à la mode, ont vocation à remplacer le théâtre. « Dans cette société où l’image évince le mot, on nous pousse dehors, nous, gens de théâtre. On nous incite à ne pas faire top de bruit, à ne pas prendre trop de place ». Avec l’auteur, Frédéric Sabrou, elle a réuni un équipage, à la fois pittoresque et pitoyable, qui rate tous ses numéros : un dompteur de pieds, un lanceur de couteaux réduit à lancer des poireaux, des funambules qui se croisent sur un fil à sens unique, des acrobates de la chanson, des trapézistes du sommeil… « Ils ont tous des tics et des complexes. C’est une représentation de l’humanité, de ce qu’elle croit savoir faire. De ses rêves et de ses ratages ». Une représentationpeu indulgente, ironique aussi. Isabelle Starkier, qui, d’ordinaire, fréquente Marivaux, Shakespeare, Brecht ou Feydeau, a l’intime conviction de pouvoir réinvestir le cirque par le théâtre. Par ses clowns, principalement. Enfant déjà, elle ne voyait qu’eux sur la piste. « J’attendais ce moment désuet et inévitable où l’auguste surgissait. Je me souviens tout particulièrement de Whisky. J’étais fascinée par la tragédie et le grotesque de sa situation ». Coutumière d’un théâtre aux formats indisciplinés, dans des lieux aussi inhabituels qu’un appartement, une maison de quartier, un hôpital ou une prison, la directrice artistique du Star Théâtre a choisi de monter un spectacle itinérant pouvant être joué n’importe où. Pour touche un public qui ne va pas au théâtre, par méconnaissance ou par crainte. Et peut-être pas davantage au cirque ! Thierry Vincent.
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Page 3: Frédéric Sabrou, l’auteur, Il s

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