Travail complet au format pdf - Gymnase Auguste Piccard

IV PARTIE CONCLUSIVE
1 Introduction
Dans cette dernière partie, je vais répondre aux hypothèses émises dans la partie
introductive. Pour répondre, je vais m’appuyer sur les analyses faites dans la troisième
partie. J’ai également réfléchi sur ce qu’il serait possible de faire pour éradiquer le seul
problème entre ces trois acteurs, les déprédations du mobilier urbain.
2 Réponses aux hypothèses
La première hypothèse concernait le rapport entre les autorités lausannoises et les
pratiquants de skateboard. J’avais émis l’hypothèse suivante :
« Les autorités lausannoises exercent une politique répressive à l’égard des pratiquants de
skateboard. »
Après avoir rencontré des pratiquants sur leurs lieux de pratique, interrogé une personne
des autorités lausannoises directement concernée par le sujet, je suis capable d’affirmer
que cette hypothèse est fausse.
Premièrement, seule une petite partie des pratiquants a eu des problèmes avec les autorités
par le passé. Certains même comprennent les sanctions qui ont été prises contre eux. On
remarque qu’environ 70% des pratiquants ne sont absolument pas dérangés par les
autorités, ils n’ont pas l’impression d’être plus surveillé que d’autres parce qu’ils sont en
skateboard.
Deuxièmement, si les autorités avaient une politique répressive à l’égard des skaters, cela
se serait senti à travers le questionnaire que leur représentant à pris le temps de remplir. Or,
on retire de ce questionnaire que les autorités sont plus ou moins indifférentes au
mouvement skate, qu’elles ne font aucune distinction entre skaters et piétons, et qu’elles
essayent d’être le plus tolérant possible avec ces jeunes sportifs.
La seconde hypothèse traitait de la cohabitation entre les skaters et les passants sur les
places publics de Lausanne. J’avais donc émis cette hypothèse :
« La cohabitation entre skaters et passants sur les principales places de Lausanne est plutôt
saine. »
Cette hypothèse est contrairement à la première bien plus fondée et juste. Grâce aux
différents questionnaires proposés aux personnes concernées, j’ai pu confirmer cette
hypothèse.
Il y a en effet aucune animosité entre ces deux groupes de population. On ne peut pas dire
qu’ils soient complémentaires, que l’un ne peut pas vivre sans l’autre. Mais leur
cohabitation dans un même lieu se fait sans aucun problème, personne n’est gêné par la
présence de l’autre. Le seul « hic » que j’ai relevé concerne la déprédation du mobilier
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