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Système « Générateur de Photons » V1 – Décembre 2012 Le monde physique est cette illusion maintenue par la danse perpétuelle de Shiva: piétinant l’ignorance de nos égos, elle y insuffle continument mouvement et énergie
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Système « Générateur de Photons »<br />
V1 – Décembre 2012<br />
Le monde physique est <strong>cet</strong>te illusion maintenue par la danse perpétuelle de<br />
Shiva: piétinant l’ignorance de nos égos, elle y insuffle continument<br />
mouvement et énergie
Présentation du projet et de ses postulats
• La source d’éveil<br />
• La théorie synergétique du Professeur RL. Vallée<br />
• Théorie spéculative mais intéressante pour sa synthèse :<br />
• L’origine électromagnétique de l’univers<br />
• L’énergie du vide<br />
• Le rôle des fréquences résonantes et des systèmes stationnaires<br />
• Les modèles corpusculaires du photon et de l’électron (bien que non avérés)<br />
• L’identification des limites d’application du modèle Einsteinien<br />
• Les sources d’inspiration et d’approfondissement<br />
• La mécanique quantique<br />
• Preuve que la matière est structurée en systèmes ondulatoires stationnaires<br />
• Identification de l’énergie du point 0 dont la densité est théoriquement infinie<br />
• L’électrodynamique stochastique (Boyer, Haish & co.)<br />
• Formalisation du point 0 et relation avec l’environnement électromagnétisme<br />
local<br />
• JJ. Thomson, E. Schrödinger, P. Dirac, H. Apsden<br />
• <strong>Pour</strong> leurs trav<strong>au</strong>x et développements sur l’origine électromagnétique de la<br />
masse et de la matière<br />
• La polarisation électrique du vide
• L’expérience de Maxwell-Lodge et l’effet Aharonov-Bohm<br />
• Preuve de la réalité physique du potentiel vecteur<br />
• équivalent à une quantité de mouvement électromagnétique<br />
• L’effet Biefeld-Brown<br />
• Création de quantité de mouvement à partir d’un vecteur de Poynting asymétrique<br />
• Effets antigravitationnels produits par l’influence de charges électriques statiques<br />
• L’effet Compton<br />
• Interactions entre photons et couches orbitales électroniques<br />
• Le rayonnement cosmique<br />
• Émergence spontanée de photons (gamma bursts) issus de l’espace<br />
• La séparation de pairs<br />
• Trans<strong>format</strong>ion d’un photon en une paire électron/positron<br />
• La polarisation du vide<br />
• Génération spontanée d’une paire électron/positron sous l’influence de conditions<br />
électriques spécifiques
• Le vide n’est pas vide<br />
• Il possède une structure subélectrique<br />
• Il se maintient en constant équilibre et en constante neutralité<br />
• Les effets électro(magnétiques) trahissent des perturbations locales<br />
du milieu<br />
• Ses déséquilibres se propagent, forment des ondes qui interagissent<br />
entre elles<br />
• Lorsque les ondes sont piégées dans des formes stationnaires elles<br />
deviennent des particules de matière<br />
• E = m.c 2 révèle non seulement l’équivalence masse énergie, mais<br />
<strong>au</strong>ssi surtout la nature électromagnétique de la masse<br />
• Le photon c’est déjà de la matière<br />
• Il est la forme stationnaire la plus simple de matière<br />
• Il ne peut se maintenir qu’en se propageant rectilignement à la vitesse de<br />
la lumière<br />
• Sa frontière et son contenu correspondent à des conditions<br />
électromagnétiques spécifiques<br />
• Ces conditions expliquent la loi de Planck E = h.ν
• Comment s’y prendre<br />
• Reproduire les conditions de production de photons à partir de la<br />
compréhension du milieu subélectrique<br />
• Ce phénomène a été baptisé la photonisation<br />
• Le photon est ensuite capté et transformé en mouvement d’électrons<br />
• Ainsi le vide peut transmettre de son énergie intrinsèque vers un système<br />
matériel<br />
• Note sur la notion d’énergie<br />
• L’énergie est perçue comme un « liquide » qui se conserve et que l’on peut<br />
transmettre d’un système à l’<strong>au</strong>tre<br />
• Cette vision simplificatrice n’est pas entièrement vraie<br />
• L’énergie n’est qu’un opérateur mathématique issu des trav<strong>au</strong>x de Newton<br />
• La réalité physique est ce que l’on perçoit directement, à savoir : du<br />
mouvement et uniquement du mouvement<br />
• La conservation de l’énergie est donc une « vue de l’esprit » qui a un<br />
domaine de validité et des limites qui n’ont jamais été définies
• Le milieu est piloté par son principe fondamental :<br />
• IL est l’UN et INDIVISIBLE<br />
• Il maintient sa neutralité par la loi de Conservation de la Charge<br />
• On démontre mathématiquement que <strong>cet</strong>te loi dépend d’une<br />
égalité appelée « J<strong>au</strong>ge de Lorentz »<br />
• Elle exprime le constant équilibre qu’il doit y avoir entre les aspects<br />
statiques et dynamiques du phénomène électrique<br />
• En termes littéraires : « toute perturbation doit avoir le temps de<br />
s’évacuer à la vitesse de la lumière »<br />
• Deux façons de contrarier <strong>cet</strong>te loi :<br />
1. Créer une perturbation électrique suffisamment rapide<br />
• Par analogie, c’est comme produire une explosion pour produire du son<br />
2. Induire une divergence dans la dynamique de propagation<br />
• C’est comme croiser des vents violents pour produire du sifflement<br />
• Les conditions de Lorentz démontrent que ces deux approches<br />
sont complètement équivalentes
• La photonisation est une déduction construite sur des postulats qui<br />
méritent vérification expérimentale<br />
• 1 ier Postulat<br />
En brusquant le milieu subélectrique, ce dernier compense toute tentative de<br />
violation de sa neutralité par l’injection d’énergie additionnelle<br />
• 2 ième Postulat<br />
Les perturbations électriques ont une fréquence de coupure correspondant à<br />
la fréquence de Compton de l’électron, <strong>au</strong>-delà de laquelle il ne peut plus<br />
exister de charge et de maintien de la conservation de la charge<br />
• 3 ième Postulat<br />
<strong>Pour</strong> réussir à maintenir localement son principe de neutralité, un photon est<br />
généré avec une énergie provenant :<br />
• <strong>Pour</strong> moitié de l’énergie ambiante de point 0 (h.ν / 2)<br />
• <strong>Pour</strong> moitié créée par les lois cosmiques de maintien d’équilibre (h.ν / 2)
Présentation d’un schéma de générateur expérimental
• Le monde des énergies libres souffrent d’un manque d’assises théoriques<br />
• Accumulation de systèmes obtenus sur la base de tâtonnements expériment<strong>au</strong>x<br />
• Souvent difficilement reproductibles<br />
• Des explications confuses, voire trop complexes ou très discutables<br />
• De l’<strong>au</strong>tre côté, la physique officielle s’est perdue dans des voies mathématiques<br />
abstraites<br />
• Les domaines de validités ne sont pas établis<br />
• La réalité des choses rend les modèles mathématiques très vites trop complexes pour<br />
pouvoir être exploitables<br />
• Les postulats simplificateurs (notamment la promotion de constantes universelles) réduisent<br />
sensiblement les champs d’exploration<br />
• Des efforts coloss<strong>au</strong>x sont dépensés pour des résultats ayant trop peu d’effets sur nos<br />
conditions de vie courantes<br />
• Il est urgent de renouer avec l’approche fondamentale d’un véritable<br />
processus de recherche scientifique<br />
1. Indépendance et ouverture d’esprit, analyse approfondie des théories en cours et possibles<br />
remises en c<strong>au</strong>se des acquis (ou redéfinition des domaines de validité)<br />
2. Élaboration d’hypothèses vérifiables<br />
3. Proposition d’un modèle prédictif<br />
4. Expérimentation et confirmation ou infirmation des hypothèses<br />
5. Revue des résultats expériment<strong>au</strong>x, amélioration ou abandon du modèle élaboré<br />
6. Réitération du processus à partir des hypothèses élaborées si nécessaire
• Le générateur de photon fonctionne comme une pompe à chaleur sur le principe<br />
d’un « cycle de Carnot quantique »<br />
• De la même façon qu’un fluide échange de l’énergie en changeant d’état<br />
• La photonisation peut être considérée comme un changement d’état du milieu<br />
subélectrique<br />
• Passage d’éther à matière (photon)<br />
• En changeant d’état le milieu transfert de l’énergie <strong>au</strong> système<br />
• Tout comme une pompe à chaleur, le système doit intégrer :<br />
• Un point ch<strong>au</strong>d = conditions locales de violation de la j<strong>au</strong>ge de Lorentz<br />
• Un point froid = capture du photon émis et réinjection dans le circuit<br />
W<br />
Transfert<br />
d’énergie<br />
<strong>au</strong> secondaire<br />
1<br />
4<br />
Capture<br />
3<br />
Déséquilibre<br />
Photonisation<br />
2
• Sur la base d’un simple circuit oscillant primaire<br />
• L’inducteur sert de point froid<br />
• Son dimensionnement sert à établir la fréquence de fonctionnement<br />
souhaitée<br />
• Sa géométrie sert à capter les photons générés et à les réinjecter dans le<br />
circuit sous la forme d’excitations électroniques<br />
• En couplage avec un circuit secondaire, il peut communiquer à l’extérieur<br />
son excédent d’énergie<br />
• Il peut également recevoir l’énergie d’amorçage du circuit secondaire pour<br />
initier le phénomène<br />
• La capacité sert de point ch<strong>au</strong>d<br />
• Son dimensionnement sert à établir la fréquence de fonctionnement<br />
souhaitée<br />
• Peut-être couplée à une ou plusieurs capacités classiques<br />
• Sa géométrie sert à produire les conditions de violations des conditions de<br />
Lorentz
• Le système de Don Smith<br />
Point Froid :<br />
Inducteur<br />
primaire couplé<br />
géométriquement<br />
à l’influence de la<br />
capacité<br />
Point ch<strong>au</strong>d :<br />
capacités h<strong>au</strong>te<br />
tension<br />
Point d’échange :<br />
Inducteur secondaire
• Le système de Hans Coler (Stormanzeuger)<br />
Point d’échange :<br />
Inducteur secondaire<br />
Points ch<strong>au</strong>ds :<br />
capacités faites de<br />
bobines plates<br />
Point Froid :<br />
Inducteur<br />
primaire couplé<br />
par aimants
• La cellule du moteur d’E.V. Gray<br />
Point ch<strong>au</strong>d :<br />
rupteur h<strong>au</strong>te<br />
tension<br />
Point Froid : Double<br />
cylindre conducteur<br />
Vers point d’échange : Inducteur<br />
du stator du moteur<br />
(probablement plus un guide<br />
d’onde, expliquant la notion de<br />
« courant froid »)
• Système Génésis d’Ito Nayado<br />
Points ch<strong>au</strong>ds :<br />
capacité du noy<strong>au</strong><br />
interne chargé à h<strong>au</strong>te<br />
tension<br />
Point Froid : bobine bifilaire<br />
(faible inductance propre)<br />
Point d’échange : l’inductance<br />
résultante vue comme une<br />
inductance négative
• Formules établissant les conditions limites de Lorentz<br />
• ∆
• Maintenant que l’on tient une théorie il est plus simple de concevoir des<br />
conditions optimisées pour les résultats recherchés<br />
• Une bobine bifilaire tient lieu de capacité idéale dans laquelle siège une<br />
surface importante de croisement de courants<br />
• Avec une bobine cylindrique, la propagation des photons générés est radiale,<br />
d’où la difficulté de concevoir la géométrie du point froid de capture<br />
• Avec une bobine plate, la propagation des photons générés est axiale, d’où la<br />
possibilité d’un simple solénoïde axial comme point froid de capture<br />
• Géométrie optimale :<br />
• Plusieurs bobines bifilaires plates peuvent être empilées selon le même axe<br />
et elles peuvent être complétées par un condensateur du commerce<br />
• Le tout étant idéalement mesuré avec un capacimètre pour déterminer la<br />
capacité résultante<br />
• Le choix du fil AWG doit permettre le passage d’un courant de l’ordre de<br />
25 A crête pour un diamètre < 2 mm<br />
• AWG 17 à 15 paraît adapté<br />
• Le choix du bon compromis entre diamètre et pic de courant est critique
• Préparation de bobines plates bifilaires<br />
• Ci-dessous une illustration trouvée sur Internet<br />
• Assemblage axial des bobines bifilaires<br />
• on peut en assembler <strong>au</strong>tant que souhaité<br />
Direction de<br />
propagation<br />
des photons<br />
• de préférence enroulées dans le même sens<br />
• en bout de chaîne un condensateur du commerce<br />
permet d’adapter la capacité résultante<br />
ϕ
• Un solénoïde h<strong>au</strong>te tension constitue l’antenne réceptrice idéale des<br />
photons générés<br />
• L’inducteur idéal fonctionne à h<strong>au</strong>te tension pour permettre un fonctionnement<br />
avec les ampères nécessaires à la rupture des conditions de Lorentz<br />
• Il est axialement aligné avec les bobines plates du point ch<strong>au</strong>d<br />
• Trois géométries sont envisageables :<br />
1. L’inducteur enveloppe complètement les bobines plates<br />
• Ce qui implique une grande surface et donc une plus grande inductance<br />
2. L’inducteur est à l’intérieur des bobines plates<br />
3. L’inducteur est positionné par intermittence entre les bobines plates<br />
• Ce qui donne une plus grande liberté pour dimensionner son diamètre<br />
• A retenir que c’est la valeur d’inductance qui permet de dimensionner la valeur du<br />
courant crête du circuit<br />
• Le solénoïde offre <strong>au</strong>ssi la possibilité de couplage avec un circuit<br />
secondaire externe<br />
• Ce circuit fournit l’énergie pour amorcer le phénomène comme pour en recueillir<br />
l’énergie résultante<br />
• Un couplage basse tension / h<strong>au</strong>te tension permet de récupérer de l’<strong>au</strong>tre côté<br />
une tension de travail directement exploitable (ex: 240 ou 360 V)
• Simulation réalisée par calcul intégral (Runge-Kutta)<br />
• Capacité résultante # 5 µF<br />
• Inductance résultante # 100 µH<br />
• Tension de travail 250 V pour un courant crête à 24 A / 2 KHz<br />
• Courant limite de photonisation # 9 A<br />
• COP théorique +30%<br />
• Énergie disponible produite # 100W<br />
• Plus le pic de courant est élevé et plus les gains sont importants<br />
• Nécessité de trouver le bon compromis entre le diamètre du fil et la valeur de<br />
courant max admissible<br />
• Bien que surunitaire, le système semble s’éteindre de lui-même si on ne prévoit<br />
pas de réinitialiser son excitation environ toutes les 10 périodes
Merci de nous tenir <strong>au</strong> courant si vous souhaitez vous lancer dans<br />
l’expérimentation