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Gilles Lévesque<br />
6342, Villeneuve #05<br />
Montréal-Nord, Québec<br />
Canada<br />
H1G 1M4<br />
Courriel : glevesque1434@hotmail.com<br />
Évolution de la Conscience <strong>Spirit</strong>uelle<br />
Et les Lois de la Nature<br />
Copyright © Octobre 2003<br />
A Distribuer Gratuitement S.V.P.<br />
1
TABLE DES MATIÈRES<br />
INTRODUCTION 7<br />
PREMIÈRE PARTIE 25<br />
L’Évolution de la Conscience <strong>Spirit</strong>uelle<br />
Les Cinq Phases de l’Évolution Humaine 27<br />
1 – De la Conception à la Naissance 27<br />
2 – De la Naissance à l’Adolescence 28<br />
3 – De l’Adolescence à l’Age Adulte 30<br />
4 – De l’Age Adulte vers la Vieillesse 31<br />
5 – De la Vieillesse à la Mort 33<br />
Les Lois Naturelles 35<br />
En Forme d'Introduction 36<br />
Les Lois Naturelles 38<br />
Interaction Nucléaire Forte 42<br />
Interaction Nucléaire Faible 44<br />
Interaction Électromagnétique 46<br />
Interaction Gravitationnelle 48<br />
Formation des Systèmes Planétaires 52<br />
La Relativité Restreinte de 1905 61<br />
Les Nouveaux Attributs de la Matière 65<br />
Voici un Premier Exemple Simple 70<br />
De Quoi S’agit-il en Fait ? 71<br />
Voici un Autre Exemple Concret 72<br />
Conclusion 75<br />
Comment se représenter les Effets de la Relativité 77<br />
Remarque 79<br />
La Relativité Générale 82<br />
L’origine des Choses Indéfinissables 85<br />
Dimension physique de l’Univers 88<br />
La Mécanique Quantique 91<br />
La Chromodynamique Quantique 95<br />
L’Origine de la Vie 96<br />
Les Prémices Interstellaires 98<br />
Les Différentes Conditions Terrestres 102<br />
Les Groupements Biochimiques Actifs 112<br />
Les Premières Formes de Vie Unicellulaire 114<br />
Les Premières Colonies de Bactéries 120<br />
Les Organismes Pluricellulaires 125<br />
Origine des Différents Capteurs Sensoriels 126<br />
Mars, Europa, Ganymède et Titan 131<br />
Carte et Tableau des Ères et Périodes Géologique 146<br />
De l’Australopithèque à l’Homme 153<br />
L’Australopithèque 156<br />
3
L’Homo Habilis 161<br />
L’Homo Erectus 165<br />
Du Néanderthale à l’Homme Moderne 172<br />
Toumaï, Serait-il le Doyen de l'Humanité 181<br />
Les Attributs de la Conscience 184<br />
Aspect de la Conscience Relié à la Dominance 186<br />
Évolution du Cerveau, Comportements de Dominance 191<br />
Première Étape de l’Évolution du Cerveau 197<br />
Deuxième Étape de l’Évolution du Cerveau 201<br />
Troisième Étape de l’Évolution du Cerveau 206<br />
La Perception et les Aspects de la Nature Humaine 207<br />
La Perception Subjective des Couleurs 211<br />
Conclusion, Non Définitive 218<br />
Précision Additionnelle, Essence Psychologique de Basse 223<br />
Résumé 224<br />
Petit Résumé sur la Genèse du Cerveau 230<br />
L’Enseignement <strong>Spirit</strong>uelle de l’Évolution 233<br />
DEUXIÈME PARTIE 239<br />
La Science Face à Dieu<br />
Introduction 241<br />
Les Conceptions Théoriques de l’Esprit Humain 245<br />
Les Constantes Universelles 246<br />
Le Piège des Constantes 248<br />
Vers de Nouveaux Concepts 251<br />
L’Énergie de la Matière 255<br />
Les Échelles d’Énergies Comparées 258<br />
L’Énergie Face à la Conscience 261<br />
L’Énergie et le Temps 274<br />
Qui est Dieu ? 276<br />
Un ou Plusieurs Dieux 277<br />
Le Bien et le Mal 278<br />
Le Big-Bang en Question 280<br />
La Structure Universelle Face au Big-Bang 285<br />
Les Autres Sujets 293<br />
Les Voyages Spatiales 293<br />
Formule de Frank Drake 298<br />
Vers Les Conséquences Actuelles 302<br />
L’Effet de Serre 304<br />
Démographie et Guerre 309<br />
Maladies et Épidémies 312<br />
Les Autres Dangers 315<br />
Conclusion 318<br />
Conclusion, en Route Vers l’Utopie 320<br />
BIBLIOGRAPHIE 328<br />
4
Dieu est-il vraiment mort !<br />
Pourtant la science semble bien<br />
en avoir de besoins plus<br />
que jamais !<br />
5
INTRODUCTION<br />
Nous traversons présentement une époque de transition incomparable dans<br />
toute l’histoire de l’humanité. Et pour la première fois dans l’évolution de l’espèce<br />
humaine, nous avons la possibilité de voyager partout sur notre planète et cela<br />
en quelques dizaines d’heures seulement. Au court de XX èm siècle, nous avons<br />
marché sur la Lune, explorez le système solaire, construit des stations orbitales<br />
et nous avons également la possibilité de transmette l’information de manière<br />
instantanée partout sur la planète, grâce aux télécommunications. Nos<br />
différentes acquisitions sur le plan scientifiques et technologiques, nous ont<br />
permis de faire des prodiges extraordinaires sur le plan du développement et des<br />
connaissances humaines. Nous donnant ainsi un certain niveau de<br />
compréhension sur la nature sans équivalence, et ceci à travers toutes les<br />
époques de notre évolution. Nous avons aujourd’hui les moyens technologiques<br />
et le pouvoir d’influencer et de modifier l’équilibre environnemental de la planète.<br />
Cela ne tient donc qu’à nous, de lui donnée les bonnes orientations évolutives<br />
pour la préservation de la biodiversité et des différents écosystèmes qui<br />
composes la biosphère terrestre, incluant également la survie de l’espèce<br />
humaine.<br />
Dans ce nouveau contexte de la mondialisation des marchés, accentuée surtout<br />
par l’échange des capitaux entre les différents marchés financiers et boursiers de<br />
la planète, ne visant que le profit et la rentabilité. Nous sommes désormais tous<br />
en droit de nous poser certaines questions sur les priorités, ainsi que les valeurs<br />
sociales et morales que veulent bien transmettent nos instances politiques sur le<br />
plan international. Dans cette nouvelle perspective socio-politique et<br />
économique, nous sommes désormais tous interpellés à être plus vigilant que<br />
jamais. Nous devons tous nous questionner, afin d’acquérir une meilleure<br />
compréhension du phénomène et d’émettre des commentaires plus réfléchis et<br />
pertinents sur les différentes orientations que peut prendre cette nouvelle<br />
mondialisation des marchés. Il est de plus en plus important d'orienter les<br />
différents processus de négociations internationales, vers des valeurs plus<br />
équitables et plus justes pour tous et sans oublier les pays les plus pauvres de la<br />
planète. Cette nouvelle orientation des politiques internationales, est d’une<br />
importance vitale, si nous voulons préserver nos valeurs démocratiques,<br />
organiser une meilleure distribution des richesses, favoriser un plus grand<br />
respect de l’environnement et préserver notre propre diversité socioculturelle.<br />
Il faut dès aujourd’hui prendre conscience de notre réel responsabilité<br />
individuelle et collective face à nos politiques sur le plan national, international et<br />
mondial. Afin de mieux comprendre les différentes stratégies et philosophies<br />
d’actions, qui seront envisagés à l’avenir pour favoriser une intégration<br />
progressive envers les différents processus qui nous conduiront inévitablement à<br />
la mondialisation des marchés. Notre responsabilisation face à la mondialisation<br />
des marchés, est d’une très grande importance, envers le monde et la qualité de<br />
7
l’environnement que nous voulons donner en héritage, aux futures générations<br />
qui peupleront la terre.<br />
Ces différents processus de négociations face à la mondialisation des marchés,<br />
sont déjà belles et bien entamés et rien désormais ne pourra les arrêter. Ils ne<br />
feront que croîtrent de manières exponentielles, à une vitesse jamais vue<br />
auparavant et un beau jour, elle (la mondialisation) sera belle et bien là, à nos<br />
portes et dans toute sa splendeur. Alors quelles seront les lois et les règles qui<br />
régulariseront et contrôleront le commerce et les échanges économique sur le<br />
plan international et mondial. Seront-elles dictées par les marchés boursiers de<br />
la planète, les multinationales, les banques et les grandes entreprises, ne<br />
travaillant que pour leur propre profit et intérêts financiers. Sera t’elle effectuer<br />
dans les plus grands respects des valeurs et des traditions des peuples et des<br />
nations. Visera t’elle un partage plus équitable des richesses et des ressources<br />
naturelles de la planète. Il ne tient qu’a-nous de surveiller et de dirigé ces<br />
différents processus de négociations, afin de les orienter dans les bonnes<br />
directions de développement international, et ceci en fonctions de nos intérêts,<br />
nos priorités, nos valeurs sociales et morales.<br />
Nous vivons présentement sur une planète dont les ressources naturelles sont<br />
sur exploitées et de moins en moins abondantes pour satisfaire tous les besoins<br />
de la population mondiale. Nous possédons actuellement des capacités<br />
technologiques très diversifiées, pouvant exploiter et détruire les différentes<br />
ressources de la terre plus rapidement qu’elles ont la capacité de se renouveler<br />
de manière naturelle. Les pays les plus développés et les plus riches de la<br />
planète, devront un jour ou l’autre trouver de nouvelles solutions à cette pénurie<br />
des ressources naturelles. Soit pour stimuler leur propre économie en détresse,<br />
augmentant ainsi le pouvoir d’achat de leur population, habituée à un certain<br />
niveau de consommation et de gaspillage. Soit tout simplement pour maintenir<br />
leur pouvoir et leur influence sur le plan international et mondial, afin de favoriser<br />
leur politique et leur développement interne.<br />
Il est donc très urgent de penser en terme de la mondialisation des marchés et<br />
de commencer à effectuer des réformes en profondeurs, dans nos politiques<br />
nationales et internationales. La mondialisation des marchés est en fait, un<br />
processus incontournable et fait parti de la prochaine étape de l’évolution<br />
humaine. Elle consiste en réalité à effectuer une certaine forme d’éveille de la<br />
conscience humaine, envers l’expression de certaines valeurs morales et<br />
spirituelles, et ceci afin de favoriser une plus grande acceptation et une plus<br />
grande compréhension des différences entres les individus et les peuples, et<br />
pour finalement établir une véritable situation de paix et de respect dans nos<br />
sociétés. C’est une étape essentielle dans l’évolution et le développement de<br />
l’espèce humaine, nous permettant ainsi de nous libérés une fois pour toute, de<br />
nos préjuger et de notre esprit de dominance face au pouvoir. Qui nous<br />
conduirons inévitablement vers la destruction, si nous ne changeons pas nos<br />
aptitudes et nos différentes façons de voir et de faire les choses. La richesse que<br />
8
détient présentement les pays les plus riches et les plus industrialisés de la<br />
planète, ne dureront pas éternellement. Et, puisque la démographie est toujours<br />
grandissante dans les pays les plus pauvres de la planète, nous allons nous<br />
retrouver très rapidement avec un déséquilibre énorme dans la distribution de la<br />
richesse et des ressources naturelles de la terre. Sans un partage plus équitable<br />
des richesses et des ressources, nous nous dirigeons vers des situations<br />
conflictuelles très graves, qui pourront survenir dans un avenir très proche et<br />
pouvant provoquer toutes sortes des conflits majeurs entres les nations.<br />
La Terre, notre patrie à tous. (Nasa)<br />
Terre prise de la Lune par Apollo 8. (Nasa)<br />
Pour illustrer cette réalité envers la pauvreté toujours grandissante à travers le<br />
monde et envers une mauvaise distribution des richesses sur le plan<br />
international. Regardons de plus près la situation socio-politique et économique<br />
du Proche-Orient et de l’Asie centrale pour les années 1999-2002. Ces<br />
différentes régions de la planète contiennent d’énormes réserves pétrolifères et<br />
des richesses naturelles de toutes sortes. Dans le Golfe Persique nous<br />
retrouvons entre autre, l’Irak qui est la 2 èm plus grande réserve de pétrole au<br />
monde se trouvant tout juste derrière l'Arabie saoudite et devant la Russie, l'Iran,<br />
le Vénusuella et le Koweït. En Asie centrale et dans la région du Caucase nous<br />
retrouvons le Turkménistan, le Kazakhstan (qui détient le tiers des réserves<br />
mondiales en uranium) et l’Azerbaïdjan. C’est trois anciennes républiques<br />
soviétiques possèdent plus de 20% des réserves pétrolières du Koweït, qui en<br />
détient elle-même plus de 10% des réserves mondiale. Le Proche-Orient et<br />
l’Asie central étaient en 2002-3 dans une situation de conflit très grave, d’une<br />
part pour la lutte contre le terrorisme, effectuée par les Russes et les Américains<br />
envers l’Afghanistan, l’Irak et la Tchétchène. Et de l’autre, par les différentes<br />
négociations entreprises, afin d’obtenir une certaine influence sur le contrôle, le<br />
développement et la distribution des différentes ressources naturelles et<br />
pétrolifères de ses régions. Il ne faut pas oublier que l’économie américaine, était<br />
9
très fragile et très malmené à cette époque, traversant une de ses plus grandes<br />
crises économiques de tout son histoire.<br />
La route du pétrole : Le tracer en blanc continu est celui de l’Oléoduc actuel et le tracer<br />
en pointiller blanc est celui désiré par les Américains, pour éviter l’Iran.<br />
La Russie était également confrontée au même genre de difficulté sur le plan<br />
économique, et ceci depuis la chute du mur de Berlin et de la fin de la guerre<br />
froide en 1990. À cette époque, la Russie était en conflit depuis quelques années<br />
déjà avec la Tchétchène, qui voulait alors obtenir son indépendance. La lutte<br />
contre le terroriste n’était pas la principale raison pour justifier ses conflits,<br />
malgré que celle-ci ait été très bien accueillit par la communauté internationale.<br />
L’ampleur de cette situation de conflit envers le terroriste international, a tout<br />
simplement été causé et amplifié par la grande crise financière et économique,<br />
que subissait alors la quasi-totalité de la planète à travers les marchés boursiers<br />
et pétroliers. Elle ne servait en fait que d’un prétexte, envers les différentes<br />
ambitions expansionnistes des Américains et des Russes, qui leurs permettaient<br />
enfin de pouvoir justifier la conquête de ses territoires contenant d’énorme<br />
richesse naturelle et pétrolière. Les Russes et les Américains ont de grandes<br />
ambitions envers la région du Caucase et de l’Asie centrale en général, elles<br />
sont surtout axées sur le développement et l’orientation des futurs réseaux<br />
d’Oléoducs de ses régions, ayant pour origine l’Azerbaïdjan et le Turkménistan.<br />
Dont une certaine partie de l’ancien réseau d’Oléoducs passe par la Tchéchénie,<br />
expliquant ainsi les véritables raisons du conflit Tchétchène et de l’intérêt porter<br />
par les Russes envers cette république soviétique, voir la figure haute.<br />
L'arrivée au pouvoir à Moscou de M. Vladimir Poutine a coïncidé en avril 1999,<br />
avec l'ouverture de l'Oléoduc reliant Bakou en Azerbaïdjan, du coté de la Mer<br />
Caspienne, jusqu’au port de Soupsa en Géorgie sur la Mer Noire. Cette situation<br />
à ainsi mi-finn à la domination russe sur l’exploitation et l'exportation des<br />
10
hydrocarbures de la Mer Caspienne. Tandis que les Américains voudrait plutôt<br />
voir le futur développement du réseau d’Oléoducs, passer par le Turkménistan et<br />
l’Afghanistan pour se rendre dans le Golfe Persique, tout en évitent le plus<br />
possible les territoires de l’Iran. Le Caucase est une région pétrolière de très<br />
grande importance, elle est traversée par différents réseaux d’Oléoducs qui<br />
relient la Mer Caspienne à la Mer Noire, cette région était également à la fin des<br />
années 1990, le théâtre de plusieurs conflits régionaux. Les Russes et les<br />
Américains, se livre donc de chaudes luttes diplomatiques et politiques dans ses<br />
régions. La Géorgie et l'Azerbaïdjan ont déjà pris leurs distances à l'égard du<br />
pouvoir russes, favorisant ainsi une coopération économique, politique et<br />
militaire plus étroite avec le monde Occidental. Seule l'Arménie, par crainte de<br />
son «ennemi héréditaire» la Turquie, hésitait encore en 2002 à s'engager dans<br />
les mêmes voies.<br />
La guerre en Afghanistan, effectué contre le groupe terroriste Al-quaïda et les<br />
talibans en 2001-2, était donc nécessaire envers l’ampleur des attentats<br />
terroristes du 11 septembre 2001, et a permit aux Américains de placer au<br />
pouvoir de ce pays, certains de leur partisan pro-Américains et de laisser sur<br />
place une certaine présence militaire. La guerre en Afghanistan a été également<br />
pour les Américains, l'occasion idéale pour installer plusieurs bases militaires<br />
dans certaines anciennes républiques soviétiques d'Asie centrale, régnant ainsi<br />
sur une zone d'influence russe, et consolidant du même coût leur contrôle dans<br />
la région de la Mer Caspienne. Les Américains ont ainsi accomplit la première<br />
phase de leur projet expansionniste envers ses régions, et la Russie voulait<br />
également effectuer à cette époque, le même genre d’intervention pour la<br />
Tchétchènie.<br />
Ainsi la situation de guerre viscérale entre le président américain Bush et le<br />
dictateur Saddam Hussein, vise en réalité à détruire la puissance militaire de<br />
l’Irak et pour également expulser Saddam Hussein de la présidence de ce pays,<br />
pour enfin établir une certaine forme de stabilité politique et économique dans la<br />
région du Proche Orient et du Golf Persique. Situation qui favorisera grandement<br />
les différents projets expansionnistes des Américains envers ses régions de la<br />
planète, qui sont si convoité pour leur richesse en pétrole. Situation permettant<br />
également aux Américains de surveiller de plus près, la véritable situation<br />
politique et militaire de l’Iran, étant la véritable capitale de l’Islam du monde<br />
musulman. La guerre contre l'Irak va permettre aux États-Unis d'y installer un<br />
régime docile, et surtout, d'y établir une présence militaire à long terme, les<br />
dépenses militaires des États-Unis en 2002, s'élevait à plus de $379 milliards,<br />
ont-ils d’autres projets expansionnistes sur le plan mondial.<br />
Par contre les véritables solutions à envisager pour résoudre les causes réelles<br />
apportées par le terroriste international, ne seront jamais résolues par des<br />
politiques agressives, favorisant des conflits et des guerres de toutes sortes. Car<br />
dans de t’elle conditions nous jouons en fait, le même jeu que les terroristes et<br />
nous renforceront du même coût, les différents sentiments très négatif envers les<br />
11
pays Occidentaux. Les véritables solutions à apporter, devront êtres orientés à<br />
l’avenir, vers une nouvelle approche de nos politiques internationales et axées<br />
principalement sur un développement, une coopération et un partage plus<br />
équitable des richesses. Sans apporter des véritables solutions concrètes à la<br />
pauvreté et à la détresse humaine de ces régions, nous faisons en fait que<br />
déplacer le véritable problème auquel nous sommes tout confronté actuellement<br />
et pouvant influencer grandement la destiné de l’humanité tout entière.<br />
Après avoir établi une certaine situation de paix dans ces différentes régions de<br />
la planète, du Golfe Persique et de l’Asie centrale. Quelles seront véritablement<br />
les nouvelles ententes sur le plan des échanges économique et de la<br />
coopération internationale entre les pays Occidentaux et les pays de ses<br />
régions? Quels pays seront les véritables partenaires pour la gestion, le contrôle<br />
et la distribution des ressources naturelles et pétrolières de ses régions? À qui<br />
profiteront-elles en réalité, à l’Irak, à l’Afghanistan, aux anciennes Républiques<br />
soviétiques situées tout près ou tout simplement à l’Amérique, à l’Europe, à la<br />
Russie ou à la Chine? Après un éventuel conflit entre la coalition américaine et<br />
l’Irak, vers les débuts de l’année 2003, les Américains seront alors en très bonne<br />
position envers l’influence qu’ils pourront exercer sur la gestion et l’administration<br />
du pétrole de l’Irak et du Koweït. Avec la mise en tutelle de l’Irak, les Américains<br />
auront également un accès privilégié aux différents réseaux l’Oléoduc se<br />
trouvant dans la région du Caucase et de la Mer Caspienne.<br />
Comment les Russes vont-ils réagirent en voyant les Américains et les pays<br />
Occidentaux, influencer de plus en plus les politiques et les échanges<br />
économiques avec les anciennes républiques soviétiques de l’Asie centrale. La<br />
Russie se laissera t’elle convaincre, afin d’entrer dans un nouvel esprit de<br />
collaboration international et de faire des échanges économiques plus étroits<br />
avec l’Occident, de peur de ne pas pouvoir bénéficier de ses énormes richesses<br />
du Caucase et du Golf Persique. Cette solution serait d’ailleurs un atout majeur<br />
pour les Russes, leurs permettant enfin de sortir une fois pour toute, de leur<br />
misère noire sur le plan économique et social. Il existe cependant une autre<br />
solution que les Russes pourraient envisager, il s’agit cette fois-ci de faire<br />
différentes alliances avec la forte majorité Musulmanes de ses pays ou avec<br />
d’autres alliés potentiels, comme la Chine et de déclencher ainsi une forme<br />
d’hostilité envers les intérêts américains et les pays Occidentaux en général. Ce<br />
scénario pourrait être très catastrophique, favorisant même la création d’un<br />
troisième conflit planétaire. Seul l’avenir pourra répondre à cette interrogation,<br />
pouvant menacer la stabilité de la planète tout entière.<br />
La Chine subit actuellement un grand boom économique avec une inflation de<br />
plus de 8% par année et est devenu en quelques décennies seulement, le<br />
quatrième pays manufacturier au monde, juste après les États-Unis, l’Allemagne<br />
et le Japon. Plusieurs entreprises ont déjà déménagé leurs productions<br />
Industrielles vers ce pays, pour des raisons de rentabilité mais surtout de profit,<br />
créant ainsi de plus en plus de pauvreté et de chômage dans nos propres pays.<br />
12
D’ici quelques dizaines années seulement, la Chine sera en mesure de<br />
concurrencer directement les Américains sur le plan de l’économie mondiale et<br />
même sur le plan militaire. Elle devinera à coût sur, l’un des principaux acteurs<br />
pouvant influencer les politiques sur le plan international.<br />
Carte de la situation de certains conflits dans le monde pour les années 1990-2000.<br />
La situation planétaire à la fin du XX èm siècle, n’est pas trop reluisante envers la<br />
guerre et les conflits de toutes sortes. Il suffit de pensé aux différents conflits<br />
suivant pour s’en convaincre d’avantage. Israélo-palestinien, le Koweït-Irak, la<br />
coalition Américaines-Irak, le Rwanda-Burundi, la Croatie-Kosovo-Sarajevo, le<br />
Libéria Sierra Léone, l’Éthiopie-Somalie, Rwanda-Zaïre, la Tchétchènie-Russie,<br />
le Cassemir-Pakistan-Inde et sans oublier le Timor oriental et de bien d’autres<br />
encore. Plusieurs pays à travers le monde, ce trouvent présentement dans des<br />
conditions socio-politiques et économiques très fragiles, et pour certains d’entres<br />
eux sur le bord de la catastrophe civile ou de la révolte populaire. Dans le<br />
contexte actuel de la mondialisation des marchés, effectué surtout dans la plus<br />
pure tradition du capitalisme et qui favorise d’avantage la déstabilisation de<br />
certains peuples et ethnies, regroupés surtout à l’intérieur de certains pays<br />
éprouvant de très grande difficulté sur le plan économique. Comme la plupart<br />
des pays du continent africains, de l’Amérique centrale et du sud, certaines des<br />
anciennes républiques soviétiques, du Moyen et du Proche Orient, des<br />
philippines et toute l’Indonésie en général. Ses différentes situations<br />
conflictuelles sont provoquées surtout par le manque de partages des richesses,<br />
le manque de coopération et de volonté sur le plan international et par le nonrespects<br />
de leurs caractères distincts envers leurs cultures et leurs traditions.<br />
13
Pour certains de ses pays très pauvres, ce trouvant surtout situés à l’intérieur du<br />
continent africain. Ils n’ont tous simplement pas les moyens adéquats pour<br />
s’adapter à la nouvelle situation économique sur le plan mondiale et cela sans<br />
aucune autre aide supplémentaire, qui pourrait leur être accordées par les pays<br />
les plus riches de la planète. Leurs détresses à cependant plusieurs causes,<br />
dont la mauvaise gestion des fonds publics et les tromperies de toutes sortes<br />
effectuées par leurs propres dirigeants, qui sont pour la plupart des dictateurs.<br />
Leur endettement envers les différents fonds monétaires mondiaux et la perte de<br />
l’aides économiques étrangères, qui leur étaient jadis accorder pour leur propre<br />
développement interne, quand celle-ci n’était pas tout simplement détournée<br />
pour des raisons douteuses et par manque de control, accentue d’avantage leur<br />
détresse et leur pauvreté. Et tout cela en plus de l’imposition et de l’obligation qui<br />
a été dictée et qui est contrôlée par la communauté internationale, afin<br />
d’uniformiser la production régionale des pays africains, en fonction des besoins<br />
virtuels des différents marchés économiques sur le plan mondial et international.<br />
Les pays européens ont pourtant colonisé l’Afrique, à une certaine époque de<br />
notre histoire qui n’est pas si longtemps. La communauté européenne et<br />
internationale ne leur donne plus l’aide nécessaire à leur propre développement,<br />
les laissant ainsi tombés dans la détresse la plus totale. Pourtant ses anciens<br />
pays colonisateurs de l’Afrique, ont grandement participé durant des siècles aux<br />
pillages des différentes richesses de ce continent. L’humanité semble bien<br />
vouloir oublier sa propre origine, car l’humanité tout entière est d’origine<br />
africaine, il s’agit du berceau véritable de l’humanité.<br />
La communauté internationale en agissant ainsi envers le continent africain en<br />
générale, veut-elle démontrer une réelle volonté d’action, pour sortir une fois<br />
pour tout ce continent de la misère et de la détresse humaine, bien sur que non.<br />
Et ceci sens se préoccupé d’avantage de leurs véritables besoins envers un<br />
développement durable et effectué à longs thermes, qui pourraient les rendes<br />
moins dépendant de l’aide international lors de catastrophe naturelle, comme la<br />
sécheresse. Au lieu de leur apporter de l’aide continuelle sous forme d’aide<br />
alimentaire, et qui ne résout absolument pas les véritables causes de leur<br />
détresse. La communauté internationale devrait plutôt leur offrir un véritable<br />
projet de développement régional et durable, concernent entre autre l’accès à<br />
l’eau potable, la construction de puits et d’irrigation pour les cultures, d’hôpitaux<br />
et de leur donner accès aux médicaments à bon marché. La vie d’un être<br />
humain, quel qu’il soit, ne vaut-elle pas la peine d’être sauvée. Pourtant ce n’est<br />
qu’un petit effort qui est ici demandé aux différentes multinationales<br />
pharmaceutiques, et ceci envers leurs profits abusifs et tueur sur le plan de la<br />
raison morale du genre humain. Et tout ceci dans le but de favoriser un<br />
développement durable et véritable, dont les objectifs seraient de favoriser une<br />
forme d’autonomie régionale pleine et entière, qui serait à mon avis, beaucoup<br />
plus efficace et beaucoup moins chère à longs thermes, pour la communauté<br />
internationale. Cette forme de coopération et de support international sur le<br />
développement des régions les plus pauvres de la planète, démontrerait en fait,<br />
un réel soucis d’entraide et de partage offert par la communauté international, en<br />
14
mettant de l’avant des valeur plus humaine et plus réelle face à la pauvreté et à<br />
la détresse humaine. Ce qui n’est pas le cas actuellement et l’aspect moral de<br />
l’humanité ne ce manifeste pas tellement, sur le plan mondial et international.<br />
Voila à quoi ressemble actuellement la mondialisation des marchés, les pays<br />
n’ayant pas les ressources et les capacités nécessaires pour s’adapter<br />
rapidement aux différents changements économiques sur le plan mondial. Sont<br />
tout simplement écarter et oubliés dans les différents processus de négociations<br />
envers le commerce et les échange économiques internationaux. Laisser à eux<br />
même, nous avons put constater depuis quelques années déjà, ce qu’ils peuvent<br />
leurs arriver. Cette situation et ce laissez faire sur le plan international et<br />
mondial, favorise une pauvreté et une intolérance de plus en plus grande dans<br />
ces pays, et pousse les individus vers l’Islam ou toutes autres formes<br />
d’idéologies racistes pouvant êtres dirigés contres le monde Occidental. Nous<br />
connaissons également la suite des évènements, les sentiments entretenus et<br />
toujours grandissent envers l’arrogance que démontre actuellement les pays<br />
Occidentaux faces à leurs richesses et aux manques de coopérations<br />
internationales visant un partage des richesses plus équitable. Est en fait, un<br />
terrain propice à l’intégrisme et à la montée de l’Islam, ou de toute autre forme<br />
d’idéologie haineuse dirigée contre l’Occident.<br />
Les troubles politiques s’installent peut à peut à l’intérieurs de ses pays, et les<br />
opposants des différentes fractions politiques s’organisent et ce regroupe en<br />
différant clans bien distincts, comme en Somalie, au Rwanda, etc... Et alors<br />
survient par la suite, ce qui était pourtant inévitable sans support et aide<br />
supplémentaire venant de l’extérieurs. Il s’agit de la détresse humaine avec tout<br />
ce qui l’accompagne, comme l’augmentation de la criminalité, la famine, la<br />
maladie et des conflits civils internes de toutes sortes, pouvant également porter<br />
la population à la désobéissance civile et à la révolte. Dans un t’elle scénario,<br />
nous pouvons que donner raison aux différents sentiments dirigés contre<br />
l’Occident en général. Car nous sommes en fait, un peut responsable de ce qu’ils<br />
leurs arrivent, en ne faisant tout simplement rien pour les aider véritablement et<br />
d’avantage, tout en fuyant du même coût, nos véritables responsabilités sur le<br />
plan du développement et de la coopération internationale, visant une meilleure<br />
stabilité mondiale. La vision du capitalisme, n’est tout simplement pas adapter à<br />
la situation et au contexte de la mondialisation actuelle, et cela tant et aussi<br />
longtemps qu’elle n’introduira pas des valeurs plus morales et plus humaines<br />
dans ses différentes lois, sur la façon de faire des échanges économiques sur le<br />
plan mondial. Lois qui devront être axées à l’avenir, sur les véritables besoins de<br />
la population mondiale et de ses différentes régions et visant un partage plus<br />
équitable des richesses et des ressources de la terre.<br />
Vers qu'elle option de développement économique et de coopération<br />
internationale, voulons-nous nous diriger et nous orientés à l’avenir. Celles-ci<br />
peuvent être orientées vers une mondialisation des marchés axée sur des<br />
politiques visant un partage plus équitable des richesses, favorisant ainsi des<br />
15
situations de paix, d’entraide et de solidarité sur le plan internationale. Ou tout<br />
simplement vers un fossé toujours grandissant entre les pays riches et les pays<br />
pauvres de la planète. Comme cela semble bien vouloir ce produit actuellement,<br />
favorisant ainsi des situations de conflits majeurs de toutes sortes entre les<br />
nations. Mais alors comment faire pour favoriser un commerce économique<br />
international plus juste et plus équitable pour tous, sans passer par ce scénario<br />
très pessimiste et dont personne ne veut en réalité. Il suffit de penser aux<br />
attentats terroristes du 11 septembre 2001, et des autres qui ont suivi par la<br />
suite, comme au Bali en octobre 2002. Aux faillites frauduleuses et<br />
catastrophiques d’Enron, de WordCom et de bien d’autres. Aux difficultés<br />
économiques rencontrées dans les secteurs de l’aéronautique, des hautes<br />
technologies et des différents marchés financiers et boursiers de la planète, qui<br />
ont plongé le monde entier dans une nouvelle crise économique. Ce scénario si<br />
pessimiste, que nous venons tout juste de décrire un peut plus haut, est-il en<br />
réalité déjà en court de réalisation ?<br />
Nous nous retrouvons présentement confronté à plusieurs formes d’orientations<br />
possibles sur le destin de notre propre planète. L’humanité fait face actuellement<br />
à plusieurs défit majeur, comme la démographie toujours croissante dans les<br />
pays pauvres et envers la pollution et les gaz à effet de serre, ceux-ci contribuent<br />
grandement à la dégradation de la qualité de l’air et de l’environnement. Selon<br />
les différentes orientations que nous déciderons de prendre à l’avenir, envers<br />
nos politiques nationales et internationales de développement et envers<br />
l’environnement. Nous pourrions êtres confrontés très prochainement, à une<br />
certaine forme de bouleversement environnementale majeur et incontournable,<br />
face à l’équilibre planétaire. Après un t’elle bouleversement environnemental, la<br />
nature se rétablira d’elle-même, en créant tout simplement un nouvel état<br />
d’équilibre à la surface de la terre et la vie poursuivra ainsi son évolution dans ce<br />
nouvel environnement planétaire. La nature n’a pas vraiment besoins de l’espèce<br />
humaine pour s’en sortir, elle possède ses propres lois qui la gouverne et la font<br />
évoluer, pouvant ainsi s’ajuster à toutes sortes de situations. Elle possède en<br />
fait, des mécanismes naturels appropriés face à son équilibre, découlant<br />
directement de tout un ensemble de probabilité d’interaction physico-chimique<br />
envers ses propres constituants, lui permettant ainsi de s’adapter et de<br />
surmonter tous les obstacles qui lui sont et seront causés par l’homme.<br />
Ce nouvel état équilibre environnemental, pourrait être totalement différents de<br />
celui que nous connaissons si bien actuellement. Les nouvelles conditions<br />
environnementales de la terre face à l’évolution et au maintien de la vie, serontelles<br />
adéquates à la survie de l’espèce humaine. Voilà l’une des données<br />
fondamentales qui nous est totalement inconnu pour l’instant et qui pourrait<br />
mettre en péril la survie de notre propre espèce. Les changements climatiques,<br />
dut par le réchauffement de la planète, peuvent survenir plus rapidement qu’ont<br />
le croit en général, serions-nous alors capables et en mesure de nous adaptés<br />
adéquatement à ces nouvelles conditions de vie. Seront t’elles tout simplement<br />
favorables à la survie de l’espèce humaine, voilà la véritable question qu’il faut<br />
16
se poser. Nous agissons actuellement envers la nature, de manière tout à fait<br />
insouciante et incohérente et ceci est causé principalement par le manque<br />
d’intérêt de nos dirigeants et envers également notre propre manque de<br />
responsabilité individuelle et collective, envers les réelles conséquences de nos<br />
actes sur l’environnement.<br />
Comment en sommes nous arrivés là, pouvons nous expliquer ce manque de<br />
respects que démontre si bien l’espèce humaine envers la nature et envers ses<br />
propres semblables. Nous sommes présentement arrivées à une forme<br />
d’intersection sur les différentes routes que nous pouvons suivre, concernent<br />
l’évolution de l’espèce humaine. Nous sommes maintenant confrontés à la plus<br />
grande décision de toute l’humanité, concernant les différentes orientations<br />
possibles à suivre et nous devons faire un choix qui sera très déterminante face<br />
à notre avenir et à la survie de notre propre espèce. La planète sur laquelle nous<br />
vivons présentement est devenue pour la première fois dans toute l’histoire de<br />
l’humanité, trop petit pour satisfaire les besoins toujours grandissant de sa<br />
population.<br />
Pourtant les ressources et les capacités de la terre sont lions d’être exploité à<br />
leur juste valeur. Si les ressources et les richesses de la terre étaient bien gérer<br />
et bien administrer par l’espèce humaine et ceci dans un esprit de partage<br />
équitable des richesses et du respect des droits et liberté de chaque individus.<br />
Nous aurions en notre possession suffisamment de ressources, de bien<br />
matériels, d’énergie et de nourriture, pour maintenir la survie de plusieurs fois la<br />
population mondiale actuelle, qui était de 6 milliards d’individus en 2002. Nous<br />
aurions éliminé la guerre, la faim et la pauvreté, la maladie et les famines<br />
seraient choses du passer et les grandes épidémies seraient combattues avec<br />
plus de ressources, plus de vigueur et plus d’efficacité. Un grand esprit de<br />
solidarité et de partage serais de mise et valorisé par chaque individu de toutes<br />
les nations. Mais cela fait partie d’une autre réalité historique, dont l’humanité n’a<br />
pas voulu suivre les traces à travers les différentes époques de son évolution.<br />
Pour certains d’entre nous, nous vivons actuellement à l’intérieur de certains<br />
pays très riches et fortement démocratisés comme l’Amérique du Nord et les<br />
pays européens. Société très industrialisée et qui favorisent actuellement des<br />
valeurs de consommations très incohérentes et remplies d’injustice envers les<br />
pays les plus pauvres de la planète. Les politiques économiques de ses pays,<br />
cherche en fait à influencer la régularisation et le contrôle du commerce et des<br />
échanges économiques sur le plan international et mondial. Pour ainsi favorisant<br />
une approche plus individualisme entre les individus et envers un système<br />
capitalisme qui présente des aspects économiques plus agressifs et plus<br />
sauvages. Se préoccupant en fait que des notions de profit et de rentabilité, le<br />
tout évoluant dans des conditions de vie socio-économique hautement<br />
compétitive et sans le moindre respect pour l’environnement. Le capitalisme<br />
évoluant dans une bonne société démocratie, peut être un très bon système<br />
17
politique et économique s’il est bien géré et administré, mais il peut également<br />
provoquer et favoriser des injustices et des égalités sur le plan social.<br />
Cette manière de voir et de faire les choses sur le plan de la politique est très<br />
efficace pour diviser les intérêts de la population en général. Elle empêche de<br />
faire toute forme de consensus et de fronts communs sur certaines question<br />
intérêts national et international, et favorise du fait même le statut quo. Voici<br />
donc le nouveau concept qui est très largement utiliser par nos dirigeants et nos<br />
politiciens actuels et qui dit ceci : maintenir la population dans la plus grande<br />
ignorance possible envers les véritables orientations financières de certains<br />
groupes d’intérêts, comme les banques et les multinationales, tout en divisant les<br />
différentes classes sociales d’une nation, pour mieux la gouvernée et la dirigée,<br />
et par le fait même de contrôler leurs véritables intérêts sur le plan du<br />
développement socio-politique et économique international. Le capitalisme<br />
sauvage ne pourrait-il pas évoluer un jour vers un capitalisme plus moral?<br />
Favorisant ainsi un plus grand rapprochement entre les individus, les peuples et<br />
les nations. Il existe plusieurs manière de faire la gestion et l’administration des<br />
richesses de la terre, comme il existe différentes manières de faire de la politique<br />
selon les idéologies adoptées ou imposées par les dirigeants et la population des<br />
nations et des peuples. Il s’agit que d’une question de point de vue, envers nos<br />
différents intérêts et nos acquis intellectuels, morales et sociales sur le plan des<br />
connaissances humaines. Il s’agit également que d’une question de volonté<br />
populaire envers les idées et les valeurs que nous voulons exprimer à travers<br />
nos sociétés. Valeurs qui sont d’ailleurs très étroitement relier à l’évolution<br />
morale et religieuse acquise par les peuples et les nations au court de leur<br />
histoire respectif.<br />
La Justice civile de chaque nation, envers l’expression des droits accordés à<br />
chaque individus et de leurs conditions de vie en générale, démontre en fait, les<br />
véritables valeurs morales qu’elles ont acquissent au court de leur histoire. Alors<br />
est-il plus raisonnable de valoriser des règles et des lois se préoccupant<br />
davantage des valeurs morales et sociales, pouvant êtres appliqués dans la vie<br />
de tous les jours. Établir des relations de travail moins compétitif et plus<br />
harmonieux envers la famille, tout en respectant les valeurs humaines et visant<br />
un partage plus équitable des richesses. N’est pas une contradiction envers le<br />
progrès et l’évolution de l’humanité. Au contraire, cela semble plutôt faire partie<br />
de la prochaine étape envers le développement du genre humain et envers une<br />
véritable intégration de la mondialisation des marchés. Les sociétés qui<br />
permettent davantage d’autonomie sur le plan social et moral de leur population,<br />
et qui favorise un partage plus équitable des richesses. Aide grandement en<br />
réalité au développement de leur propre société, tout en favorisant un plus grand<br />
esprit de coopération entre les individus. Tandis que nos sociétés actuelles<br />
favorise plutôt un état d’esprit caractérisé par une forme d’indifférence quasi<br />
généralisée envers les intérêts de la collectivité et démontre envers leurs<br />
populations, un manque d’intérêts toujours grandissant et remplit de préjuger sur<br />
les différents problèmes d’iniquités, d’injustices sociales et de pauvreté.<br />
18
Pourtant les problèmes d’iniquités sociales et de pauvreté sont toujours<br />
d’actualités et prioritaires d’une élection à l’autre. Nos dirigeants ont-ils vraiment<br />
le désir et la volonté de trouver des solutions politiques et économiques<br />
concrètes à la pauvreté. La réponse est évidement non, du moins dans son<br />
ensemble, car en fait cela impliquerait des réformes politique en profondeur sur<br />
les différents aspects des structures de base de chacune de nos sociétés<br />
actuelles. C’est-à-dire, de faire une véritable réforme de nos sociétés, ayant<br />
comme objectif principal un partage des richesses plus équitable, dont les<br />
valeurs morales et sociales seraient les véritables bases et fondement envers<br />
toutes les lois et toutes les réglementations. Faisant ainsi ressortir un nouvel<br />
aspect de nos sociétés modernes, qui fait tellement défaut de nos jours envers<br />
l’expression de valeurs plus humaine et s’appuyant sur les véritables principes<br />
de la sagesse.<br />
La mise en place des différents procédés d’automatisation et d’informatisation,<br />
pour moderniser les multinationales et les grandes entreprises, et qui ont été<br />
accélérées depuis le milieu des années 1980. Sont en fait, d’autres excellents<br />
exemples envers une mauvaise distribution des richesses et des profits, et qui<br />
encourage d’avantages les injustices sociales, les iniquités et la pauvreté. Cette<br />
situation est d'ailleurs de plus en plus favorisée par les multinationales et par les<br />
grandes entreprises face à la mondialisation des marchés. Comme les banques<br />
qui favorisent de plus en plus les transactions de toutes sortes, effectués avec<br />
les guichets automatiques ou par Internet, et ceci aux dépends de la réduction<br />
du nombre d’heures envers l’accessibilité à leurs différents types de services<br />
offerts à la population. Les entreprises peuvent également opter pour d’autres<br />
solutions, comme par exemple déménager leurs ressources et leur production<br />
vers d’autres régions ou d'autres pays qui leurs offrent des conditions<br />
économiques plus avantageuses, comme la Chine, le Mexique, etc...<br />
Cette nouvelle réalité des entreprises et des multinationales est axée sur une<br />
meilleure rentabilité face à leurs nouvelles situations économiques envers la<br />
concurrence internationale, et ceci sans aucun regard sur les véritables besoins<br />
de la population. Les différents procédés de rentabilisation et de rationalisation<br />
misent en place par les multinationales et les grandes entreprises, sont et seront<br />
toujours effectués au détriment de la qualité de vie des individus qui perdent<br />
leurs emplois. Les nouvelles technologies de l’information et des<br />
communications sont en effets, des outils essentiels et déterminants au futur<br />
développement des États et des régions. Elles favorisent également une<br />
meilleure démocratie si elles sont vraiment mises aux services de la population<br />
et non pour simplement remplacer les travailleurs pour des raisons de profit ou<br />
de rentabilité.<br />
La nature humaine étant ce qu’elle est, sur les différentes notions de pouvoir et<br />
de profit, axée sur l’augmentation des privilèges et des prestiges que cela<br />
apporte et que certaine fonction sociale favorise. Valeurs qui sont d’ailleurs mis<br />
en vigueur et très de circonstance, étant favoriser comme incitatif sur le plan<br />
19
politique et économique de nos sociétés actuelle. Elles sont d’ailleurs nullement<br />
en contradiction avec le désir de tous et chacun de bien vouloir améliorer ses<br />
propres conditions de vie et de confort, pour ainsi pouvoir profiter de tous les<br />
plaisirs de la vie. Le problème consiste tout simplement envers les différents<br />
moyens socio-politique et économique qui sont mis à notre disposition, afin<br />
d’atteindre cet objectif. Elles sont tout simplement basées sur des valeurs<br />
hautement compétitives entres les individus et elles ne favorisent pas un partage<br />
plus équitable des richesses. En fait, selon le niveau de démocratisation acquise<br />
dans les pays, elles favorisent d’avantages les iniquités dans le partage des<br />
richesses et les injustices sociales envers leurs populations.<br />
Les lois et les règlements établis par nos représentants politiques pour exercer<br />
leur contrôle et leur pouvoir sur la population, et qui sont d’ailleurs soumis à<br />
l’heure actuelle à certaines influences et pression envers les différents marchés<br />
et milieux financiers de la planète. Sont donc établis en fonction de certaines<br />
règles bien établies, envers une certaine vision psycho-socio-économique de nos<br />
sociétés actuelles. Vision sociale entretenant ainsi entre les individus et la<br />
population, une certaine forme de conditionnement socio-économique et<br />
politique sur les différentes conditions et aspects de la vie humaine de tous les<br />
jours, principes qui sont d’ailleurs bien ancrés dans les différentes croyances<br />
populaires. Le terme de psycho-socio-économique, veut tout simplement dire<br />
ceci : «donner et laisser l’impression aux individus, que le seul moyen<br />
raisonnable et acceptable, selon nos connaissances actuelles, (psycho) pour<br />
répondre à nos différents besoins et envers nos différentes conditions de vie<br />
sociales par rapports aux autres (socio). Ce situe seulement au niveau<br />
économique, étant d’ailleurs la seule manière de faire et de voir les choses<br />
convenablement (économique)» Ce concept a donc pour objectif de faire croire<br />
aux individus de l’impossibilité de faire autrement sur le plan politique et<br />
économique, soit envers un partage plus équitable des richesses et envers<br />
l’amélioration de nos différentes conditions de vie sociales, et tout cela par<br />
rapport au capitalisme.<br />
Ce principe est d’ailleurs totalement faux, car en fait cela n’appartient qu’à nous,<br />
citoyens et citoyennes de toutes les nations et de tous les peuples de la terre, de<br />
décider véritablement de toutes les nouvelles orientations socio-politiques et<br />
économiques que nous désirons entreprendre. Pour bâtir un avenir meilleur et<br />
plus équitable envers les individus. Mais pour ce faire, il faut établir des<br />
consensus populaires sur les différentes approches et envers les différentes<br />
valeurs que nous voulons transmettre à nos sociétés. Il s’agit en fait, de faire un<br />
nouveau projet de société, englobant tous les aspects du développement sociopolitique<br />
et économique sur le plan régional, national, international et mondial.<br />
En gros, il ne s’agit que d’une question de volonté populaire, l’avenir de la<br />
planète est très préoccupant et incertain pour les cents prochaines années, ils<br />
nous appartiennent donc à tous, d’y voir d’un peut plus près et d’agir en<br />
conséquence.<br />
20
Le terme de psycho-socio-économique, cache et démontre en fait, une forme<br />
d’hypocrisie que présente certains, si ce n’est pas la plupart de nos<br />
représentants politiques actuel, envers une véritable lutte contre la pauvreté. Ce<br />
bornant tout simplement à maintenir-le tout dans sa forme actuelle et déjà très<br />
bien acquise. Pour ainsi donner aux individus les plus riches et les plus privilégié<br />
de la société, le temps de profiter amplement de leurs situations très<br />
avantageuses par rapport aux autres. Et envers également leurs différentes<br />
formes de pouvoirs et influences, qu’ils peuvent exercer sans la moindre<br />
hésitation sur la société, pour ainsi la laissé t’elle quelle, ne démontrant aucun<br />
autre désir et aucune autre volonté de la voir changée. Cette manière de voir et<br />
de faire les choses, à été acquis depuis bien longtemps déjà. Il s’agit en fait d’un<br />
type de comportement relié à la dominance, qui à travers notre évolution nous<br />
ont permis de nous protéger et de franchire différentes étapes concernant notre<br />
adaptation sur le plan individuelle et envers la survie de notre espèce. Ce sujet<br />
sera traité plus en profondeur dans le chapitre suivant sur les attributs de la<br />
conscience. De nos jours ce type de comportement relié à la dominance et<br />
envers la sélection naturelle, n’a plus de raisons d’être si négatif envers la<br />
communauté et envers les intérêts communs de l’espèce humaine. Et doit<br />
évoluer vers des comportements plus approprier sur le plan moral et social, pour<br />
le bien de la communauté, des individus, de l’environnement et de notre planète<br />
en général.<br />
Ce type de comportement relié à la dominance démontre en fait, l’expression<br />
d’une certaine forme d’indifférence envers la collectivité et d’un manque de<br />
respect et de responsabilité envers les individus. Étant même très nuisible<br />
envers le destin de nos sociétés actuelles et envers son progrès. Seul quelques<br />
individus déterminent présentement les différentes orientations économiques de<br />
la planète, déterminant ainsi à l’avance les différentes conditions sociales qui<br />
sont et qui seront appliqués à travers le monde de demain. Cette situation envers<br />
toute la population de la planète n’est pas amissible, à cause des injustices et<br />
des inégalités sociales que cela favorise, désirons-nous véritablement d’un État<br />
policier. Il est temps de se donné une fois pour tout, les véritables outils de<br />
développement politique et économique sur le plan régional, national et mondial,<br />
pouvant refléter les véritables priorités sociales et morales des citoyens.<br />
Outils, qui nous permettraient d’ailleurs d’abolire tout les incitatif politique et<br />
économique qui sont si incohérent envers les privilèges et les prestiges qui<br />
cause actuellement de si grande disparité entre les individus. Si nous effectuons<br />
des véritables réformes de nos sociétés et redirigeons le pouvoir public vers une<br />
véritable représentation de la population sur le plan politique et économique,<br />
visant une plus grande transparence et un partage véritable des richesses sur le<br />
plan humain. Nous enlevons du fait même, tous les moyens et leviers<br />
économique qui sont disponibles et qui sont employés actuellement par ces<br />
individus de nature plus matérialisme et plus individualistes de nos sociétés, face<br />
à l’influence attribuée à leur seul pouvoir économique. Individus qui aiment<br />
d’ailleurs manipuler le système à leur propre avantage, dans le seul but est de<br />
21
s’approprier le plus de richesse possible aux dépends d’autrui. Qu’ils cherchent<br />
d’ailleurs à contrôler, tromper et soumettre à leur propre volonté, si nuisible aux<br />
intérêts communs, pouvant s’orienter vers une forme de capitalisme tueurs. Estce<br />
que la volonté populaire va être un jour plus forte que la leur, en démontrant<br />
tout simplement plus d’altruiste, de bonté, de compréhension et de partage, Ce<br />
sujet sera traiter plus en profondeur dans le troisième partie de ce livre.<br />
C’est une nouvelle forme de conscientisation planétaire, que vise d’une certaine<br />
manière la mondialisation des marchés et ceci face à nos différentes valeurs<br />
morales et spirituelles, qui ont été acquises par l’observation de la nature et<br />
transmise à travers toutes les différentes époques de notre évolution. Il s’agit en<br />
fait, du plus grand défit que doit relevé l’humanité tout entière, pour nous<br />
permettant enfin de franchire cette nouvelle étape, qui est très déterminante à la<br />
poursuite de notre évolution et de notre développement et pour ainsi éviter la<br />
destruction de notre propre planète. Il s’agit en réalité d’un test sur le droit de<br />
passage de l’humanité vers des niveaux de développements supérieur envers la<br />
morale, la sagesse.<br />
Nous sommes présentement qu’au tout début des différents processus de<br />
négociations qui nous conduirons très vraisemblablement un jour, vers une<br />
véritable intégration de la mondialisation des marchés. Avec éventuellement<br />
l’abolition complète de toutes les frontières et très probablement vers une forme<br />
de pseudo gouvernement mondial contrôlent le tous, sera t’il Américain. Celui-ci<br />
sera t’il plus sévère et plus répressif, prenant la forme d’un État policier, pour<br />
maintenir l’ordre et contrôler la population. Ou sera t’il tout simplement orienté<br />
vers le respect des droits et des libertés humaines, axée sur des valeurs<br />
démocratiques plus grandes. Nous savons que c’est un processus de<br />
négociation de très longue durée, pouvant s’échelonner en fait, sur plusieurs<br />
générations. Mais qu’elles sont en réalité, les véritables manières de bien faire<br />
les choses dans l’intérêt de tous et chacun, si ce n’est que par l’approbation de la<br />
majorité des citoyens envers un partage plus équitable des richesses et des<br />
ressources planétaires.<br />
La morale et la sagesse sont des valeurs d’ordre spirituel très importantes<br />
envers la cohésion et la cohabitation de nos sociétés actuelles. Qui seront à<br />
l’avenir de plus en plus multiethniques et de plus en plus ouverte sur le monde !<br />
Sans un respect plus grand envers les valeurs, les traditions et les coutumes des<br />
différents milieux culturelles de la planète. Nous nous dirigeons vers une<br />
impasse certaine, envers l’orientation des différents processus de négociation<br />
sur la mondialisation des marchés et envers surtout les prétentions du<br />
capitalisme cyclique en profit, axés actuellement sur l’exploitation des ressources<br />
humaines et naturelles. L’ouverture sur le monde ne peut s’effectuer que dans le<br />
respect de la différence des autres et envers une nouvelle forme de coopération<br />
et de partage des richesses sur le plan international. Si la mondialisation des<br />
marchés est effectuer autrement, et de manière plus agressive sans ce<br />
préoccuper d’avantage de la pauvreté et des différences culturelles entre les<br />
22
différents peuples de la terre. Alors il nous restera toujours l’exemple envers les<br />
solutions qui ont été privilégiés et suivit tout au long de l’histoire de l’humanité<br />
pour surmonter ce genre de défit, et qui sont bien entendu des solutions<br />
favorisant la guerre et des conflits régionaux de toutes sortes, assisterons-nous<br />
en réalité à une nouvelle époque coloniale, La morale est une notion psychique<br />
et mentale qui évolue aux même titre que toutes choses se trouvant dans la<br />
nature. Elle élargit ainsi nos horizons et nos connaissances vers une meilleure<br />
compréhension du monde qui nous entour et de la nature en générale, car elle<br />
nous oblige à mieux comprendre et de respectés les autres, dans un esprit de<br />
coopération face à l’harmonie et à l’équilibre Universel.<br />
Les valeurs morales, sociales et spirituelles, permettent de contourner et de ne<br />
pas prendre pour acquit toutes les formes de préjuger, qui sont d’ailleurs pour la<br />
plupart du temps, sans fondement réel et démontrent plutôt une forme<br />
d’incompréhension. Les préjugés qui sont actuellement entretenues dans nos<br />
sociétés, ne sont que des opinions et des ressentiments exprimés par certains<br />
individus aux valeurs morales et spirituelles très douteuses, envers le raciste, la<br />
discrimination et les injustices sociales de toutes sortes. Il s’agit en fait, de<br />
concept sur le plan de la raison humaine, qui sont tout simplement mal réfléchit<br />
et mal maîtriser, exprimant en réalité qu’un point de vue et ne visant pas les<br />
véritables sources des problèmes auxquels nous faisons références et qui sont<br />
rencontrer dans nos sociétés actuelles. Comme celui de dire que les immigrants<br />
viennent dans nos pays, que pour voler nos emplois, alors que nous savons très<br />
bien dans qu’elle condition de pauvreté dans lequel se trouvent la plupart d’entre<br />
eux en réalité.<br />
Pourtant la véritable source du problème concernant cet exemple, ce situ plutôt<br />
au niveau de nos politiques internes, et démontre réellement le manque de<br />
volonté et de vision à long terme, de nos représentants politiques, afin de faire<br />
une lutte véritable contre le chômage et la pauvreté. Dans un autre contexte et<br />
selon le niveau de compréhension acquise envers la morale et les valeurs<br />
spirituelles, les préjugés peuvent êtres associés à des outils de propagande.<br />
Servant entre autre à entretenir une forme de valorisation individuelle et<br />
collective, envers une certaine forme de compétition sur le plan de l’orgueil et de<br />
l’individualisme, et envers certains privilèges acquis par une certaine catégorie<br />
d’individus, ne désirant nullement effectuer une forme de partage quelconque,<br />
envers les fruits qui résulte de leurs réussites sur le plan social, les sectes en<br />
sont d’ailleurs de très beaux exemples.<br />
La morale et les valeurs spirituelles, sont des concepts étroitement reliés à la<br />
conscience et à la raison humaine, ce sont des valeurs hautement subjectives et<br />
totalement abstrait faisant partie des fonctions les plus évolués de la nature.<br />
Elles font partie des attributs de la conscience humaine, et nous les retrouverons<br />
nulles par ailleurs dans le règne animal. Ces concepts ont d’ailleurs évolués tout<br />
au long de notre évolution et ce sont exprimer en fonction des nouvelles<br />
capacités biologique et physiologique qui ont été acquises par l’évolution de<br />
23
notre espèce et par le développement de notre cerveau. Ce sujet sera<br />
développer d’avantage dans le chapitre suivant concernant les attributs de la<br />
conscience.<br />
Mais avant d’aller plus loin, essayons ensemble de comprendre d’où nous<br />
viennent ces différents attributs de la conscience envers la nature propre de<br />
l’être humain, et qui sont si néfastes à l’heure actuelle au bon fonctionnement de<br />
nos sociétés modernes.<br />
24
PREMIÈRE PARTIE<br />
Évolution de la Conscience <strong>Spirit</strong>uelle<br />
La sagesse nous dit ceci, tant qu’à faire la guerre à mon non,<br />
pour des raisons religieuses ou politiques, oublier<br />
moi et essayer plutôt de vivre en<br />
paix et en harmonie sur<br />
votre petite planète<br />
si fragile.<br />
25
PREMIÈRE PARTIE<br />
ÉVOLUTION DE LA CONSCIENE SPIRITUELLE<br />
Les Cinq Phases de l’Évolution Humaine – Les Lois de la Nature<br />
– L’Origine de la Vie – De l’Australopithèque à l’Homme – Les<br />
Attributs de la Conscience – L’Enseignement Morale de<br />
l’Évolution<br />
LES CINQ PHASES DE L’ÉVOLUTION HUMAINE :<br />
L’évolution de notre espèce (l’homo sapiens sapiens) c’est effectué sur une très<br />
longue période de temps, et ont peut la comparer aux cinq différentes phases de<br />
développement d’un être humain. C’est-à-dire de la conception à la naissance<br />
d’un enfant, ensuite de la naissance à l’adolescence en passent par l’age adulte,<br />
pour finalement se rendre à la dernière phase du développement qui est associé<br />
à celle de la vieillesse et de la mort. Avant d’aborder véritablement les origines et<br />
l’évolution du système nerveux de l’homme, nous allons dans un premier temps,<br />
effectuer un petit résumer sur les cinq différentes phases de notre évolution sur<br />
terre. Cette manière de fonctionner et de présenter le sujet, va nous permettent<br />
de mieux comprendre et de mieux nous situer à travers le contexte historique de<br />
l’évolution et du développement de la conscience humaine et de son système<br />
nerveux, qui lui est d’ailleurs étroitement associé. Les cinq différentes phases de<br />
l’évolution l’humaine, seront par la suite développée plus en profondeurs dans<br />
les chapitres suivants.<br />
1 – De la Conception à la Naissance.<br />
Tout comme la conception et le développement d’un enfant humain, qui implique<br />
différents processus biologiques, génétiques et biochimiques reliés à la division<br />
cellulaire et au développement physiologique d’un embryon et cela jusqu’a la<br />
naissance d’un enfant. La première phase de l’évolution humaine est étroitement<br />
associée à l’origine de la vie et de son évolution sur terre à travers toutes les<br />
périodes géologiques, et ceci jusqu’au tout premier représentant de l’espèce<br />
humaine. Il s’agit en fait, des premiers représentants pré-humains de notre<br />
27
espèce, faisant partie de la famille des Australopithèques et qui remonte à plus<br />
de 5 à 10 millions d’années environ. Ici il ne s’agit pas directement d’une phase<br />
associée étroitement à l’évolution de l’espèce humaine, mais belle et bien des<br />
différentes prémices biologiques, physiologiques et génétiques qui ont permit<br />
l’émergence de notre espèce, et ceci face à l’évolution de la vie et de la sélection<br />
naturelle des espèces. Tous ces différents processus de l’évolution de la vie, ont<br />
permis au genre humain de faire l’acquisition sur le plan biologique et<br />
neurologique, des différents attributs de la conscience qui nous caractérisent si<br />
bien par rapport aux autres espèces du règne animales. Ce sujet sera développé<br />
plus en profondeur dans le chapitre sur “De l’Australopithèque à l’Homme”.<br />
C’est la phase la plus longue de toute l’évolution de la vie sur terre, ayant durée<br />
plus de 3,5 milliards d’années. Nous allons revenir sur ce sujet un peut plus loin,<br />
dans le chapitre “Les Lois de la Nature” et sur “Les Origines de la Vie”, l’évolution<br />
du cerveau sera traité plus en profondeur dans le chapitre sur “Les Attributs de la<br />
Conscience Humaine”. L’espèce humaine se trouve présentement dans la<br />
quatrième phase de son évolution, cette phase est associée à l’age adulte pour<br />
ce qui est du développement d’un être humain, et elle est supposée démontrer<br />
plus de maturité et plus de sagesse envers la nature et envers ses propres<br />
semblables, par rapport aux phases antérieures de son évolution et de sa<br />
conscience. La cinquième phase du développement d’un être humain, est celle<br />
qui est associée à la vieillesse et qui nous conduiront inévitablement par la suite<br />
vers la mort. Cette phase de l’évolution humaine est associée à l’age de la<br />
sagesse, elle fait donc référence à l’histoire future de l’humanité (quelques<br />
siècles encore), et cela ne dépendra que de notre bonne volonté pour y parvenir.<br />
La durée de cette dernière phase de l’évolution humaine, peut être très longue et<br />
personnes ne peuvent vraiment la connaître réellement, car cela ne dépendra<br />
que des caprices de la nature et de l’homme lui-même, pouvant prévoir et<br />
surmonter tous les obstacles et les dangers qui pourront le menacer.<br />
2 – De la Naissance à l’Adolescence.<br />
Tout comme le développement d’un enfant qui vient de naître et cela jusqu’au<br />
tout début de la période de l’adolescence. La deuxième phase de l’évolution de<br />
l’espèce humaine, c’est effectué avec l’éveille de sa propre conscience et c’est<br />
poursuivit sur une très longue période de temps de plusieurs millions d’années,<br />
28
c’est-à-dire de l’Australopithèque jusqu’à l’homme moderne (homo sapiens<br />
sapiens). Cette deuxième phase de l’évolution humaine est caractérisée par de<br />
nouvelle forme d’apprentissage et d’une nouvelle appréhension de notre espèce<br />
face à la nature et envers l’environnement. Les différents attributs que lui a<br />
donnée la nature et concernant surtout l’évolution et le développement de son<br />
système nerveux et de son cerveau (reliée aux différentes capacités spirituelles).<br />
On permis à l’espèce humaine de développer de plus grande capacité mentale et<br />
psychique, qui lui on permit entre autre d’imaginé et d’expérimenter de nouvelle<br />
approche face à leur adaptation et à leur survie. À partir de cette époque,<br />
l’instinct animal ne serait plus désormais le seul attribut de la conscience<br />
humaine, à vouloir gouverner la destinée de notre espèce. Il possède dès à<br />
présent d’autres capacités mentales et de raison beaucoup plus développer, plus<br />
sophistiquées et plus subjective, lui permettant désormais d’interagir avec<br />
beaucoup plus d’efficacité et de facilité avec son environnement et envers ses<br />
propres semblables.<br />
Toutes ses différentes acquisitions sur le plan neurologique et mental, va<br />
permettre à l’homme de se forger de plus en plus un esprit et une pensée d’ordre<br />
plus rationnelle de lui-même et de son entourage. Ce nouvel état de conscience<br />
envers sa propre individualité face à la nature, le poussera à interagir avec son<br />
environnement, comme si celle-ci lui appartenait de plein droit et ceci sens se<br />
soucier véritablement de la bonne conduite et de la bonne manière d’agir envers<br />
celle-ci, et ceci tout simplement afin de prévenir ça propre survit à l’échelle du<br />
temps. Étant désormais le seul maître absolu du monde qui l’entour, l’homme<br />
s’aventurera de plus en plus loin dans la grande aventure de la compréhension<br />
et de la connaissance humaine et spirituelle de la nature. Et ceci jusqu’au jour ou<br />
il se retrouvera seul et solitaire permis ses propres semblables et sur sa propre<br />
planète, confronté à nouveau à la conscience de lui-même et de son créateur.<br />
Pour soulager l’homme de ce trouble démentielle, la nature qui est en réalité<br />
notre maître absolu, parlera peut être à l’homme par l’entremise de sa propre<br />
conscience qui est situé au plus profond de son être et caché à l’intérieur de lui-<br />
même. Elle lui parlera peut être d’une nouvelle dimension vibratoire, envers la<br />
réalité de l’existence véritable des choses de la nature, axée cette-fois-ci sur le<br />
plan spirituel a travers les différents buts évolutifs de l’Univers et de la véritable<br />
29
destiné de l’être humain. Celui-ci ouvrira t’il alors son cœur, pour favoriser enfin<br />
son propre salut et pour tous ceux qui en dépendent étroitement, afin de<br />
retrouver une fois pour tout le véritable paradis perdu et promit. Ou au contraire<br />
se laissera t’il plutôt séduire et berner par la richesse, pour ensuite se laisser<br />
tombé dans le gouffre de l’hypocrisie et de la souffrance qui vient tout juste de<br />
s’ouvrir devant ses yeux, et qui est offert devant lui.<br />
La démarche bipède est donc l’une de ses caractéristiques majeures de la<br />
deuxième phase de l’évolution humaine et envers également l’éveille de la<br />
conscience de l’homme. Libérant ainsi deux membres supplémentaires pouvant<br />
êtres utilisés pour effectuer d’autres taches quotidiennes, laissant ainsi plus de<br />
place au développement de ses différentes capacités mentales. Avec de<br />
nouvelle capacité psychique et intellectuelle, et avec un nouveau système<br />
nerveux déterminer à poursuivre son évolution afin d’élargir son spectre de<br />
capacité mentale et consciente (par lequel l'esprit interagie avec le périsprit).<br />
L’espèce humaine est désormais appeler à conquérir toutes les richesses et<br />
toutes les ressources de la planète, pour enfin améliorer ses propres conditions<br />
de vie. Ils inventeront toutes sortes d’outils leurs permettant de modifier les<br />
objets faisant partie de leur environnement immédiat, pour ainsi facilité leurs<br />
survies tout en augmentant également leurs propres conforts matériels. Ils<br />
prendront ainsi de plus en plus conscience de leur propre individualité et de leur<br />
nouvelle possibilité d’interaction avec leur environnement, qu’ils finiront un jour<br />
par mieux comprendre et à exploiter de manière plus efficace. Et tout cela grâce<br />
à de nouvelles connaissances et apprentissages qui seront acquissent au fur et<br />
à mesure de leur développement et de leur évolution. Petit à petit de nouveau<br />
concept intellectuel, spirituelle et moral, feront leurs apparitions pour les aider<br />
dans leurs différentes relations envers leurs semblables et pour le bon<br />
fonctionnement de leur société tribale sédentaire et nomade à poursuivre leur<br />
évolution.<br />
3 – De l’Adolescence Vers l’Age Adulte.<br />
La troisième phase de l’évolution de l’espèce humaine, correspond à la période<br />
de l’adolescence allant jusqu’à celle de l’age adulte. C’est-à-dire à l’époque de<br />
l’invention par l’humanité, de l’agriculture et des premiers élevages d’animaux<br />
domestique, qui a favorisé la sédentarisation et le regroupement des individus à<br />
30
l’intérieur des villages et des villes. Cette époque remonte à plus de 10 000 à 12<br />
000 ans environ, ce qui correspond à la période du néolithique et ce poursuit<br />
jusqu’au tout début de la période de la renaissance, situé vers le XVI èm siècle.<br />
Cette phase de l’évolution humaine, est caractérisé par l’acquisition de nouvelle<br />
connaissance intellectuelle très élargie sur l’environnement et la nature en<br />
générale. Mais ses connaissances sont encor très incomplètes, ce limitant tout<br />
juste à la surface des choses, envers les véritables causes qui produisent les<br />
différents phénomènes et événements naturels.<br />
Cette forme de limitation intellectuelle, face au différent niveau de la<br />
compréhension et de la conscience humaine de cette époque, fut très vite résolut<br />
par l’intervention et la création des différentes formes de religions et par un<br />
certain esprit de mysticisme envers la nature. L’homme qui voulait ainsi<br />
interpréter et expliquer les différentes causes des phénomènes et des<br />
événements naturels, qui étaient alors observés et laissés libre d’interprétation à<br />
cette époque, a donc donné à son imagination en plein essor, la liberté et<br />
l’initiative absolu de pouvoir résoudre tout ce qui se trouvait en dehors de la<br />
porter de ses capacités intellectuelles et de sa compréhension de l’époque. Cette<br />
époque de l’évolution humaine, fut également caractérisé par l’élargissement de<br />
sa dominance et de son influence qui s’est fait ressentir partout à travers la<br />
planète, l’homme de cette époque était devenu un très grand voyageur. C’est<br />
une époque qui a été marqués également par plusieurs formes de conflits<br />
régionaux, visant à réunire et à regrouper les peuples à l’intérieurs de grandes<br />
nations, qui était alors en pleine formation, période remplis de noirceur, de haine<br />
et de souffrance humaine de toutes sortes.<br />
4 – De l’Age Adulte Vers l’Age de la Vieillesse.<br />
La quatrième phase de l’évolution de l’espèce humaine, correspond en fait, à<br />
notre époque actuelle. Elle est comparée à l’age adulte allant jusqu’au tout début<br />
de l’age qui correspondant à celle de la vieillesse, pour ce qui est de la<br />
comparaison avec le développement d’un être humain. Depuis le XVI èm siècle et<br />
surtout depuis l’époque industrielle de la moitié du XVIII èm siècle, nous avons<br />
assisté à une explosion extraordinaire sur le plan des connaissances et de la<br />
compréhension humaine envers la nature. L’homme à finalement prit en charge<br />
sa propre destinée et c’est mis à étudier d’une manière plus méthodique et plus<br />
31
scientifique, tous les différents phénomènes et évènements naturels qu’ils<br />
pouvaient observer tout autour de lui. Voulant ainsi comprendre les véritables<br />
causes de tout ce qui nous entours, afin d’apprécier par lui-même et sens<br />
contrainte religieuse, par rapport au temps de l’inquisition, toutes les réelles<br />
splendeurs de la nature et des véritables lois qui la gouverne et la font évoluer.<br />
Il suffit de pensé à Galilée (1564-1642), qui a marqué les débuts de la quatrième<br />
phase de l’évolution humaine, et qui au court des années 1616 et 1632-33, a<br />
subit deux procès de très grande envergure dirigée par l’inquisition religieuse de<br />
l’époque. Et cela juste pour avoir défendu ces propres convictions envers le<br />
système du monde de Nicolas Copernic (1473-1543). Cette nouvelle<br />
représentation héliocentrique du monde, était basée sur de véritable observation<br />
céleste et effectuer de manière très rigoureuse. Elle reflétait plus fidèlement la<br />
réalité physique du monde actuel et le mouvement des astres sur la voûte<br />
céleste, qui ont étés observés et confirmés par la suite par Galilée. Mais cette<br />
représentation n’était tout simplement pas la même représentation du monde, qui<br />
était alors admise et respecté par la communauté religieuse et intellectuelle de<br />
cette époque.<br />
Ils s’appuyaient plutôt sur la représentation du monde de Claude Ptolémée (140)<br />
et d’Aristote (350 avant notre ère), qui était un système centré sur la terre, étant<br />
alors le centre de l’Univers et que tout les autres astres du ciel tournaient tout<br />
simplement autour d’elle, reflétant ainsi mieux les différentes croyances<br />
religieuses et populaires de l’époque. Mais l’observation ultérieure des phases<br />
des lunes de Jupiter et de vénus, découverte par Galilée et comparer à celle de<br />
la Lune. Allaient par la suite convaincre la communauté scientifique et<br />
intellectuelle de l’époque, d’adopter la véritable représentation du monde de<br />
Copernic. L’homme pouvait désormais comprendre par lui-même, le monde dans<br />
lequel nous nous retrouveront, et ceci effectué par de simple observation de la<br />
nature. Le fonctionnement du monde ne serait plus désormais un mystère laissé<br />
aux religions.<br />
La renaissance, est une époque de l’histoire humaine qui a été marqué par une<br />
forme de crise, envers l’autorité et les institutions religieuses et qui d’ailleurs se<br />
poursuit toujours de nos jours. Cette époque représente en réalité, l’éveille de la<br />
conscience humaine envers les valeurs et les connaissances de niveau plus<br />
32
scientifique, plus spirituelle et plus critique, l’héritage de la méthode d’analyse<br />
scientifique de Galilée l’oblige. Ainsi devant les explications et les réponses<br />
fournis par les religions, qui avec le temps sont devenu tout simplement trop<br />
simpliste et trop abstrait pour satisfaire la curiosité et la rigueur humaine, face<br />
aux différents niveaux de connaissance et de compréhension atteinte sur la<br />
nature et l’Univers. Les religions n’ayant pas voulu s’adapter et évoluer au même<br />
rythme que le reste de la population mondiale, elles auront bien du mal<br />
désormais à s’adapter, pour influencer les nouvelles réalités modernes. Mais les<br />
concepts de base des différentes religions, resteront toujours valables sur le plan<br />
de l’enseignement moral, spirituelle et de la sagesse.<br />
Car ils s’agissent en fait, de l’accumulation de l’observation des différents<br />
comportements de la nature qui ont été effectués et interprétées dans le passer<br />
et transmis par l’homme jusqu’à notre époque actuelle, et ceci par voie écrite,<br />
orale et par les traditions. La population tend à oublier trop vite l’importance à<br />
l’égard de t’elles valeurs humaines et morales envers la sagesse, pourtant si<br />
importante à toute bonne cohésion sociale, cohabitation et respect entre les<br />
individus d’une même nation et entre les différentes cultures et tradition des<br />
peuples, et s’exprimant également à travers tous les différents phénomènes de<br />
la nature, envers ses différents états d’équilibres et d’harmonies. La quatrième<br />
phase de l’évolution humaine est également caractérisée par une forme de<br />
démocratie et d'une liberté de plus en plus importante, axée sur les droits et<br />
liberté de chaque individu et envers la libre expression de leurs différentes<br />
opinions sur la place publique, et tout ceci dans le partage et le respect des<br />
richesses, des différences de culture entre les peuples et les hommes, ainsi que<br />
leurs différentes croyances.<br />
5 – De la Vieillesse à la Mort.<br />
La cinquième phase de l’évolution humaine reste à venir, mais semble bien<br />
vouloir déjà pointer à l’horizon et correspond à l’age de la sagesse de l’humanité.<br />
Elle est l’étape d’une civilisation qui est caractérisé par une forme de<br />
représentation (conseil populaire) ou de gouvernement sur le plan mondial. Cette<br />
forme de gouvernement, est représenté par différentes formes de conseils<br />
populaires des citoyens, et qui représente les différents intérêts de toute la<br />
population vivant sur la planète. Le tout étant effectuer bien sur dans la plus<br />
33
grande démocratie et le plus grand respect des peuples. Le but principal de leur<br />
politique, est de maintenir une bonne cohésion sociale entre les peuples et les<br />
différentes nations de la terre, afin d’éviter toutes formes de conflits majeurs et<br />
d’injustices sociales pouvant menacer la survit de l’espèce humaine. C’est la<br />
phase de l’évolution humaine qui représente en fait le concept du paradis<br />
terrestre.<br />
La gestion des richesses sur le plan mondiale, devra être axée sur un partage<br />
plus équitable, afin de favoriser un climat de paix et de bonne cohabitation<br />
sociale, et pour ce faire, il doit y avoir une véritable justice sociale envers les<br />
individus, La cinquième phase de l’évolution humaine est donc l’étape venant<br />
tout juste après une forme d’intégration parfaite de la mondialisation des<br />
marchés et du commerce international. Processus pouvant par la suite nous<br />
conduire à la création d’une véritable forme de gouvernement mondial, très<br />
différents des organisations mondiales actuelles. Axées sur le contrôle et les<br />
échanges économiques ou du bon ordre mondial, comme l’ONU et le FMI, l’OMC<br />
etc… Mais pour l’atteindre nous avons encore bien du travail et du chemin à faire<br />
dans nos sociétés actuelles. Ces différents processus de la mondialisation des<br />
marchés, est donc l’un des plus grand défit qui est donné à l’humanité tout<br />
entière. La cinquième phase de l’évolution humaine sera développée plus en<br />
profondeur dans la troisième partie de ce livre, elle sera alors comparée à la<br />
situation du système capitalisme de nos sociétés actuel, envers ses avantages et<br />
ses désavantages par rapport aux réelles solutions qu’elle apporte face à la<br />
mondialisation des marchés et ceci sur le plan social et coopératif. Pour l’instant<br />
regardons de plus près ce qui caractérise si bien la nature humaine.<br />
34
LES LOIS NATURELLES<br />
(Ou l’interprétation des lois <strong>Spirit</strong>uelles)<br />
En Forme d'Introduction – Les Lois Naturelles – Les Interactions<br />
Nucléaire Forte – Les Interactions Nucléaire Faible – Les<br />
interactions Électromagnétique – Les interactions<br />
Gravitationnelles – Naissances des Systèmes Planétaires – La<br />
Relativité Restreinte de 1905 – La Relativité Générale – La<br />
Mécanique Quantique – La Chromodynamique Quantique.<br />
La science ne possède pas la vérité, elle n'est qu'un outil permis d'autre qui peut nous<br />
aider et nous orientés plus près de celle-ci.<br />
La science observe, mesure et interprète les phénomènes qui nous entours, mais la<br />
science n'est pas ce même phénomène qu'elle observe, mesure et interprète tout autour de<br />
nous.<br />
La science nous aide à comprendre les choses qui sont en dehors de nous et qui nous relit<br />
à la nature. Mais la science n'est pas située en dehors de nous, car celle-ci fait partie<br />
intégrante de nous. Elle est donc victime de nos jugements, préjugés et interprétations.<br />
La science est un outil qui nous permet de mieux nous comprendre et de mieux interagire<br />
avec les autres et la nature. Mais la science sans spiritualité, nous permet pas de mieux nous<br />
aimée.<br />
Voici une nouvelle approche sur le comment voir les choses en physique<br />
théorique contemporaine (Mécanique Quantique et Relativité Générale), mais de<br />
manière très simple et qui n'impliquera pas de notion de formalisme<br />
mathématique. Je vous présenterai tous ça dans une approche plus spiritualiste.<br />
Il ne s’agit pas d’une nouvelle théorie ni d’une nouvelle vérité qui serait d'ordre<br />
absolu et loin de là.<br />
35
En Forme d'Introduction :<br />
Dans un premier temps il serait bon de mentionner que la science s'occupe en<br />
réalité de l'étude, de l'observation et de l'interprétation de différent comportement<br />
de la nature et de leur différente forme de manifestation sur le plan physique. En<br />
fait la science fondamentale encadre par différents concepts et modèles<br />
théoriques, qui se résume en différente forme de formalisme mathématique de<br />
toute sorte, servant à décrire différente propriété du monde composé de matière<br />
et d'énergie qui nous entoure et qui fait partie intégrante de notre monde<br />
matériel. La science est donc notre outil pour étudier et comprendre le monde<br />
physique qui nous entourent, elle cherche par tous les moyens possibles de<br />
mieux comprendre et connaître le comment de la manifestation des choses et<br />
non du pourquoi qui est alors laissé au domaine de la métaphysique et des<br />
religions. La science s'intéresse donc au comment des choses, comment les<br />
choses se manifestent à nous et de qu'elle lois de la nature elles obéissent ou<br />
semblent obéires. La science est donc un outil de la connaissance, mais pour<br />
cela elle doit-être libre dans ses démarches et influences, ce qui n'est plus<br />
vraiment le cas de nos jours, mais passons sur ce sujet. La science peut nous<br />
aider à élargire notre perception et appréhension des choses, et ainsi de mieux<br />
interagire avec la nature dans une sorte de compréhension et de respect mutuel<br />
et de mieux comprendre nos véritables responsabilités envers les choses de la<br />
nature et des lois qui la gouverne et la font évoluer.<br />
Ici nous allons discuter du comment et de pourquoi des choses, et donc de la<br />
physique et de la métaphysique, le tout encadré par la spiritualité et ceci afin de<br />
mieux comprendre le rapport qu'il y a et qui existe entre le comment et le<br />
pourquoi des choses.<br />
La nature a ses propres lois qui gouvernent et contrôles les choses composées<br />
de matière et d'énergie, pour les uns il s'agit de la manifestation de l'une des 4<br />
lois fondamentales de la physique, et pour les autres il s'agit de l'intervention de<br />
Dieu de par des principes d'harmonie et d'équilibres. En fait cela n'a pas<br />
réellement trop d'importance ici. Car en fait c'est de mieux comprendre et<br />
connaître les lois plus fondamentales ou spirituelles qui contrôlent, diriges et fait<br />
évoluer les choses de la nature qui nous intéressent, et le reste n'est que<br />
36
distinction de langage et veule dire ou représenter les mêmes chose en discours,<br />
en idées ou en concepts.<br />
La physique actuelle représente la manifestation comportementale des choses<br />
de la nature, par l'intervention de 4 types d'interactions plus fondamentale et<br />
selon les échelles de la nature à laquelle nous nous retrouvons (échelle<br />
atomique ou planétaire par exemple). Elle étudie et encadre leurs différentes<br />
formes de manifestation et elle observe aussi les différents types de<br />
comportements et évènementiel de la nature, qui par la suite cherche à prédire<br />
les différentes formes d'orientation possible que puisse prendre la suite des<br />
évènements de tous ses phénomènes observés et mesurés. Tout ceci sert à<br />
déterminé la validité des théories et des hypothèses dans un cadre prédicatif,<br />
découlant directement de l'interprétation de lois de la nature, ici il s'agit de la<br />
méthode d'analyse scientifique. Bien que la science décrive le comportement et<br />
la manifestation de ses choses de la nature, elle ne dit cependant absolument<br />
rien sur la nature, la consistance, l'essence ou la substance même des objets en<br />
question et impliqués dans ses différents phénomènes de la nature. Et c'est de<br />
ceci que nous allons discuter ici et d'essayer de mieux comprendre.<br />
Je vais vous entretenir et décrire plus précisément ces 4 interactions de la nature<br />
et vous fournir également quelque petit truc pour mieux les comprendre. Et je<br />
vais également associer tout ça, aux différents principes spirituelle d'harmonie et<br />
d'équilibre et vous pourriez par la suite constater qu'en réalité les discours sont<br />
en fait les mêmes, entre la spiritualité et la science. Je vais également aborder la<br />
nature même des choses, leur consistance, leur substance et leur essence sur le<br />
plan qui semble bien vouloir unire le monde de matière à celui d'ordre plus<br />
spirituel qui est composé de pure énergie.<br />
37
Les Lois Naturelles ( vu par la physique )<br />
La science étudie présentement l’Univers sous tous ses angles, pour ainsi<br />
essayer de mieux comprendre les lois et les principes qui contrôlent et qui<br />
gouvernent son évolution. Les lois de la nature représentent en fait, la seule et<br />
véritable force créatrice de Dieu et de tout l’Univers. Elles sont pour la plupart<br />
observable et mesurable par toutes sortes d’instruments scientifiques et nous en<br />
avons aujourd’hui une très bonne aperçue, envers les différentes formes que<br />
peuvent prendre leurs manifestations dans la nature et de leurs différentes<br />
structures organisationnelles et fonctionnelles sur le plan physique et spirituel.<br />
Les différentes lois matérielles de la nature se manifestent essentiellement par<br />
l’intervention de certaines forces fondamentales qui régularisent et fait évoluer<br />
l’ensemble de l’Univers connu à ce jour. Les recherches fondamentales et<br />
appliquées effectuer dans plusieurs secteurs d’activités scientifiques, comme les<br />
recherches effectuées dans le domaine spatial, en Astrophysique, en biologie, en<br />
génétique, en chimie et sur la physique des hautes énergies, pour étudier entre<br />
autre les différents comportements des particules atomiques. Ont grandement<br />
contribués à notre nouvelle perception et compréhension de la nature et de<br />
l’Univers dans son ensemble.<br />
Les lois physiques de l’Univers qui sont connues à ce jour, sont essentiellement<br />
représentés par la manifestation de quatre forces ou interaction fondamentale de<br />
la nature, très différentes les unes par rapport aux autres. Elles ont tous étés<br />
découverts au court des cinq derniers siècles, remontant au tout début de<br />
l’époque de notre histoire associé à la renaissance, soit située vers le XVI èm<br />
siècle. Cette époque correspond également à la perte du pouvoir et de l’emprise<br />
des institutions religieuses sur nos sociétés. Laissant ainsi plus de liberté à la<br />
science, pour enfin effectuer les recherches sur les véritables causes envers les<br />
différents mécanismes portés sur le fonctionnement de notre Univers.<br />
Recherches qui ont étés axés sur l’expérimentation et la connaissance envers<br />
une meilleure compréhension de la nature, qui deviendront par la suite si<br />
révolutionnaire envers les différentes représentations et conceptions du monde<br />
actuel. La morale et la sagesse nous démontre encore une fois, que rien ne sert<br />
de sauter de manière trop rapide aux conclusions, et de faire preuve de patience<br />
tout en favorisant une meilleure compréhension de notre Univers.<br />
38
Plusieurs grands personnages de l’histoire, ont ainsi participés à cette nouvelle<br />
prise de conscience de l’humanité. Nous retrouvons des scientifiques de très<br />
hautes renommées pour chacune de ses époques. En voici quelque un, Nicolas<br />
Copernic, (1473-1543), inventeur de la représentation héliocentrique du monde<br />
moderne et qui porte son nom. Et dont le soleil occuperait désormais sa véritable<br />
position au centre du système solaire et changea définitivement le statut de la<br />
terre, vers son véritable rang de planète gravitant autour du soleil. Ce nouveau<br />
système du monde avait pour objectif de remplacer celui de Claude Ptolémée<br />
(en 140 avant notre ère), qui était beaucoup trop centré sur la terre et qui plaçait<br />
celle-ci au centre de l’Univers, dont tout les autres astres tournaient tout<br />
simplement autour d’elle (dérivé du système d'Aristote vers 300 avant JC). Ce<br />
système était devenus trop désuet et ne reflétait pas fidèlement la réalité du<br />
système solaire et des mouvements planétaires, t’elle que nous le concevons<br />
actuellement. Galilée (1564-1642), Inventeur du télescope, du thermomètre et du<br />
microscope, inventa également la véritable méthode d'analyse scientifique. Il fut<br />
à son époque un acteur très important dans le monde des découvertes<br />
astronomiques. Johannes Kepler (1571-1630), pour la découverte des trois lois<br />
fondamentales qui régissent le mouvement des planètes autour du soleil et des<br />
étoiles en général, mouvement affecté désormais sur des orbites de type<br />
elliptiques.<br />
Isaac Newton (1643-1727), auteur de la théorie de la gravitation Universelle et<br />
de la mécanique céleste. Il mit également en évidence la décomposition<br />
spectrale de la lumière blanche, en ses sept couleurs de base fondamentales<br />
formant l’arc-en-ciel. Il est également l’inventeur du télescope à miroir portant le<br />
même nom. H. Becquerel, qui a découvert la radioactivité naturelle. Charles<br />
Darwin (1809-1882), auteur de la théorie de l’évolution des espèces et de la<br />
sélection naturelle. Gregor Mendel (1822-1884) pour l’ensemble de ses travaux<br />
sur l’hérédité des pois. James Clerk Maxwell (1860), qui a unifié les champs<br />
électriques et les champs magnétiques en une seule force électromagnétique. J.<br />
J. Thomson, pour la découverte de l’électron en 1899 et du proton. Ernest<br />
Rutherford, auteur du modèle planétaire de l’atome. Max Planck, auteur de la<br />
théorie des quanta et de la constante Universelle portant le même nom. Pierre et<br />
Marie Curie, pour l’ensemble de leurs travaux effectuer sur la radioactivité<br />
naturelle et sur le rayonnement bêta du Radium, Albert Einstein (1879-1955),<br />
39
pour ses théories sur la relativité restreinte en 1905 avec sa fameuse formule<br />
E=mc 2 et de la relativité générale en 1915, intégrant la gravitation à la relativité<br />
restreinte etc…<br />
Ils ont tous contribués de près ou de loin, à l’étude et à la découverte de ses<br />
forces qui représentes les lois de la nature, élargissent ainsi nos différentes<br />
connaissances envers la compréhension de l’Univers. Il s’agit en fait de la<br />
gravitation, de l’électromagnétisme, du nucléaire faible et du nucléaire fort. De<br />
ses quatre forces ou interactions fondamentales de la nature, découle en fait<br />
tous les principes et toutes les règles qui peuvent expliquer à eux seul, la<br />
manifestation de tous les différents phénomènes existant dans la nature, ici nous<br />
parlons seulement des phénomènes physiques et non spirituels. Elles peuvent<br />
êtres représentés et schématisés en gros, par différents phénomènes<br />
d’attractions et de répulsions de la matière (harmonie et équilibre d'ordre<br />
spirituel), qui sont alors rendu possible en fonction de certaine condition et<br />
niveaux d’équilibre, effectué grâce à leurs différents niveaux d’énergie et<br />
d’affinité vibratoire.<br />
Les dernières recherches effectuées en physique des particules et sur les<br />
différentes interactions fondamentales de la nature, sembles bien vouloir<br />
démontrer l’existence d’un principe qui serait encore plus fondamentale et plus<br />
Universelle. Pouvant en quelques sortes combinés les quatre interactions<br />
fondamentales de la nature, cités ci-hauts en une seule et même interaction,<br />
Unifiant ainsi toutes les interactions de la nature en une seul et même interaction<br />
beaucoup plus fondamentale. Il s’agit de la théorie de la Grande Unification,<br />
pouvant combiner la Relativité Générale et la Mécanique Quantique en une sorte<br />
de Relativité Générale Quantique pouvant quantifier la gravitation et le temps de<br />
formulation mathématique seulement, la Relativité Générale est pour l’instant<br />
toujours allergique à la quantification. Les différentes quantités d’énergies<br />
appliquées et misent en causes, détermineraient en réalité la manifestation et<br />
l’expression de l’une ou l’autre de ses forces de la nature, qui sont alors analysés<br />
et observés à des échelles très différentes de la nature, dont les plus petites<br />
impliques des énergies de plus en plus grande. La connaissance et la<br />
compréhension de ses lois de l’Univers, nous permettrons ainsi de prévoir et de<br />
40
mieux comprendre les différents comportements de la matière à travers la<br />
nature.<br />
Rien par contre nous permet de conclure actuellement à l’inexistence d’une autre<br />
forme d'interaction ou de lois physiques ou spirituelles portées sur la matière se<br />
trouvant dans la nature, que celles que nous avons déjà découvertes et que<br />
nous allons décrire un peut plus loin. Nous sommes en fait, qu’au tout début de<br />
nos différentes investigations face à la compréhension des différents<br />
phénomènes que nous pouvons observer et étudier dans l’Univers, et nous<br />
sommes loin dans avoir fait tout le tour. Alors l’avenir peut nous réserver de bien<br />
belles surprises. Rien n’est acquis d’avance envers l’évolution et l’acquisition de<br />
nouvelles connaissances, pouvant ainsi augmenter notre niveau de<br />
compréhension envers nos différents modèles théorique et conceptions de<br />
l’Univers. De nouvelles données qui seront acquises dans un avenir quelconque,<br />
peuvent très bien changer à tout jamais et pour toujours notre conception de<br />
l’Univers actuel, que nous croyons pourtant bien solide et immuable envers son<br />
fonctionnement et son évolution. Pour cela il suffit de pensé à la mécanique<br />
céleste de Newton, qu'ont croyait pourtant avant Einstein intouchable.<br />
Il suffit également de pensée aux nouveaux concepts théoriques et scientifiques<br />
apporter au début du siècle dernier, par la Relativité Générale (1915) et la<br />
Mécanique Quantique (1926). Elles ont alors changé pour toujours les anciennes<br />
conceptions du monde, qui pourtant à l’époque s’appuyait sur des valeurs et des<br />
principes bien solides et admis par tous, fondés et appuyer par l’observation de<br />
la nature et l’expérimentation en laboratoire. En fait tout dans l’Univers est porté<br />
par une sorte d ‘évolution constante, et même les concepts reliés à la raison<br />
humaine son appelé à évoluer et a changé. L’évolution de l’espèce humaine est<br />
loin d’être terminée, et qui peut vraiment nous affirmer de quoi sera faite<br />
l’humanité dans quelques millénaire, si bien sur l’humanité survie d’ici-là. Tout<br />
comme l’homo habilis qui a évolué vers l’homme moderne en deux millions<br />
d’années environ, l’homme moderne va également évoluer à son tour, d’ici<br />
quelques centaines de milliers d’années. Vers quoi l’évolution va t’elle le<br />
conduire et sous quelle forme, et bien c’est le mystère.<br />
41
Les Interactions Nucléaire Forte :<br />
La quatrième force de la nature est représenté par les interactions nucléaires<br />
fortes. Elle est la force de la nature qui maintient la cohésion des nucléons<br />
(proton et neutron) entre eux et à l’intérieur du noyau des atomes, par l’échange<br />
continuel des particules dénommées pions, faisant partie de la famille des<br />
mésons étant constituer d’un quark et d’un anti-quark. Tandis que les nucléons,<br />
sont représentés par le proton et le neutron et son constitué de trois quarks. La<br />
force forte intervient dans les phénomènes de fusion et de fission nucléaire, dont<br />
nous avons déjà parlé quelque peut. La fusion nucléaire est un phénomène<br />
naturel qui intervient à l’intérieur des étoiles pour former les différents éléments<br />
qui constituent l’Univers, et ceci est effectué à partir de la fusion du proton et de<br />
l’hélium. Ainsi au fur et à mesure des nouvelles générations d’étoiles, le milieu<br />
interstellaire s’enrichie en éléments et en matériaux de plus en plus lourds et<br />
complexes, comme l’oxygène, le carbone, l’azote, le soufre, le fer, etc… La<br />
fission nucléaire est le phénomène par lequel un noyau atomique est brisé en<br />
différant morceaux, lors d’une collision ou d’une réaction effectuée avec d’autres<br />
particules ou d’autres noyaux atomiques. La fission nucléaire est un phénomène<br />
qui est très bien compris et bien contrôlé de nos jours. Elle est d’ailleurs très<br />
utiliser dans les centrales électronucléaires pour la production d’électricité.<br />
Un autre phénomène représente bien les différentes interactions nucléaires forte<br />
de la nature. Il s’agit des différentes réactions nucléaires qui se produisent dans<br />
la haute atmosphère avec le rayonnement cosmique. Le rayonnement cosmique<br />
est constitué de différentes particules de très haute énergie, comme le proton, le<br />
neutron, l’hélium, le rayonnement gamma et de noyaux atomiques plus lourds.<br />
Lorsqu’une particule du rayonnement cosmique percute ou rentre en collision<br />
avec un noyau atomique de carbone, d’oxygène ou d’azote de la haute<br />
atmosphère. Il s’ensuit une réaction nucléaire très violente pouvant briser ou<br />
modifier la structure interne du noyau atomique, tout dépendant des différentes<br />
quantités d’énergie qui sont alors impliquées (E=mc 2 ). Lors de la collision, la<br />
structure interne du noyau atomique envers ses nucléons, proton et neutron, est<br />
modifiée et rente alors dans un nouvel état d’énergie excité. Pour retomber par la<br />
suite dans un état d’énergie d’équilibre plus stable, les nucléons (proton/neutron<br />
d'un atome) vont ainsi échanger plusieurs particules de type pion, dont certain<br />
42
seront évacuer vers l’extérieur du noyau. Les pions ont une durée de vie très<br />
courte et il se désintègre presque immédiatement par l’interaction nucléaire faible<br />
(que nous allons voir plus bas), en émettent des particules de type muons et<br />
neutrinos, ainsi que de leur antiparticule respective selon le cas. Les muons à<br />
une durée de vie un peut plus longue que les pions, ce qui lui permet de<br />
rejoindre le sol et d’y êtres détectés avant qu’il se désintègre. Les muons se<br />
désintègrent à leurs tours par l’interaction nucléaire faible, en émettant des<br />
particules plus stables, comme l’électron et le neutrinos, ainsi que de leurs<br />
antiparticules respectives selon le cas. La structure atomique initiale, est ainsi<br />
modifier après les réajustements de leurs niveaux d’énergie.<br />
Famille des Différentes Particules Fondamentales de la Nature.<br />
Les anti-particules ne sont pas représentées dans ce tableau.<br />
HADRON<br />
Proton, Neutron.<br />
Sensible à la force<br />
nucléaire forte.<br />
Constitués de quarks<br />
selon certaines<br />
combinaisons.<br />
fermion<br />
Boson<br />
BARYON<br />
3 Quarks<br />
SPIN ½<br />
MÉSON<br />
2 Quarks<br />
SPIN entier<br />
NUCLÉONS<br />
Noyau Atomiques<br />
HYPÉRONS<br />
Noyaux Étranges<br />
Cascade, Oméga, Sigma,<br />
Charmé, Lambda.<br />
Pion, Kaon, Phi, D+ charmé, Êta, J/psi, F+<br />
charmé, D° charmé, Rhô, Oméga, Upsilon.<br />
( Assure la cohésion nucléaire entre les nucléons. )<br />
Les Particules Fondamentales Constituantes La Matière. ( SPIN ½ )<br />
LEPTON<br />
Électromagnétique et<br />
force nucléaire faible.<br />
QUARK<br />
Force forte & couleur.<br />
fermion<br />
L’électron, le muon, le tauon, le neutrinos électronique,<br />
le neutrinos muonique et le neutrinos tauonique.<br />
Up, Down, Strange, Charm, Bottom, Top.<br />
Les Quarks composent toute matière selon certaines combinaisons.<br />
Les champs porteurs des interactions de la nature. ( SPIN entier )<br />
BOSON<br />
Photon<br />
W + ,W - , Z 0<br />
Higgs<br />
Gluon<br />
Graviton<br />
Vecteurs d’Interaction, champs ou Force.<br />
Électromagnétique. ( Champs magnétique et électrique. )<br />
Électrofaible. ( champs électromagnétiques et interaction faible. )<br />
Gravitationnelle et Force Forte. ( Structure de l’Univers. )<br />
Forces des Couleurs et Force Forte. ( Cohésion de la matière. )<br />
Force Gravitationnel. ( Structure et dimension de l’Univers. )<br />
Les beson de Higgs participe à la formation de la matière.<br />
L’azote 14, constitué de 7 protons et de 7 neutrons, situé dans la haute<br />
atmosphère terrestre peut ainsi subire des transformations majeures, envers sa<br />
structure nucléonique interne. Ainsi après une collision avec des neutrons du<br />
rayonnement cosmique, il peut donner naissance à l’isotope (atome avec un<br />
surplus de neutron) 14 du carbone, par la capture de deux neutrons et après<br />
43
avoir expulser deux protons. Par la suite ce dernier va être oxydé en gaz<br />
carbonique (CO2), et entré dans le grand cycle du carbone. Le carbone 14 est<br />
moins stable que le carbone 12, et possède une durée de demi-vie, qui est le<br />
temps nécessaire pour la désintégration de la moitié de sa masse initiale, qui est<br />
de plus de 5730 ans. Il se désintègre alors, par interaction faible en émettant<br />
deux rayonnements de type ß - (bêta), constitué d’électrons. Tendit que le<br />
rayonnement de type alpha est constitué de noyaux d’hélium. Le carbone 14 est<br />
très utilisé pour la datation isotopique de la matière organique de moins de 50<br />
000 ans, elle est établie selon le rapport du carbone 12 et de son isotope 14, qui<br />
est alors accumulé à l’intérieur des organismes vivant par la prise de nourriture.<br />
Le CO2 est puiser directement dans l’atmosphère par les plantes, les plantes<br />
servent de nourriture aux animaux herbivore, et les herbivores sont mangés par<br />
les carnivores, dont nous faisons partie.<br />
Les Interactions Nucléaire Faible :<br />
La troisième force de la nature à être découverte, fut celle du nucléaire faible.<br />
Cette force de la nature est principalement caractérisée par les différents<br />
phénomènes de radioactivité. Elle est responsable entre autre, du rayonnement<br />
ß - (bêta) qui est constituer d’électrons lors de la désintégration naturelle de<br />
certains éléments atomiques instables. Découverte par plusieurs scientifiques de<br />
la fin du XIX èm et début du XX èm siècle, dont H. Becquerel, Pierre et Marie Curie.<br />
Cette force agit sur de très court distance à l’échelle des structures atomiques et<br />
nucléoniques (de l'ordre de 10 -18 mètres). Cette force se manifeste lors de la<br />
transmutation de certaines particules en une autre particule, pouvant avoir<br />
cependant des propriétés chimiques totalement différentes de la précédente<br />
après la réaction. Comme par exemple de la transmutation nucléonique d’un<br />
neutron en proton et vice versa, à l’intérieur des noyaux atomiques avec<br />
émission d’électron ou de positron (anti-particule de l'électron). Il s’agit en fait,<br />
d’une réorganisation de la structure énergétique interne des quarks, qui ce<br />
manifeste par la force électrofaible. Les quarks composent chaque nucléon<br />
(proton et neutron) et mésons et sont à l’heure actuelle avec les leptons, les plus<br />
petits constituants de la matière que nous connaissons en science.<br />
Cette réaction envers l’équilibre des quarks, est suivit par l’émission de certaines<br />
particules secondaires, comme les bosons intermédiaires W + , W - et Z 0 (courant<br />
44
neutre ou chargé) qui sont les vecteurs ou les champs d'énergie qui transportent<br />
la force électrofaible (union de l'électromagnétisme et du nucléaire faible, 1983)<br />
et qui ce manifeste sur une échelle encore plus petite que les interactions<br />
nucléaires forte. Les bosons W et Z se désintègrent à leur tour par la force<br />
nucléaire faible en différant particule et antiparticule, comme l’anti-neutrinos et<br />
l’électron dans le cas de la désintégration d’un neutron en proton, et d’un<br />
neutrinos et d’un positron qui n'est rien d’autre qu’un anti-électron, dans le cas de<br />
la désintégration d’un proton en neutron. Cette dernière forme de désintégration<br />
de l’interaction nucléaire faible, est à la base de la radioactivité. La force<br />
électrofaible est la jonction des forces électromagnétiques et du nucléaire faible,<br />
établit en 1983 par Glashow, Salam et Weinberg. La force électrofaible concerne<br />
les différents états de transitions d’énergies des quarks, et la force nucléaire<br />
faible s’applique aux différentes transitions d’énergies des nucléons, qui<br />
regroupe entre autre le neutron et le proton.<br />
La manifestation de cette force de la nature, se retrouve également en présence<br />
dans différentes réactions envers la matière et le rayonnement cosmique,<br />
pouvant ainsi créer des isotopes (noyau atomique ayant un surplus de neutron<br />
ou de proton) atomiques de toutes sortes. Tous les éléments chimiques instables<br />
de la nature, sont regroupé à l’intérieur des différentes familles d’isotopes. Les<br />
isotopes sont des noyaux atomiques ayant un surplus de neutron par rapport aux<br />
protons, et les isotropes diffère par leur nombre de proton par rapport aux<br />
neutrons. Comme par exemple le plutonium 239 et l’uranium 235, qui sont toutes<br />
les deux utilisés avec le lithium, dans la fabrication de la bombe à hydrogène.<br />
Les isotropes peuvent également avoir des propriétés chimiques très différentes,<br />
par rapport à leur équivalant atomique plus stable, et après la désintégration, les<br />
noyaux atomiques résiduels auront des propriétés physiques et chimiques<br />
totalement différentes de leur ancêtre.<br />
La particularité envers la manifestation de cette force de la nature et face aux<br />
différentes structures biologiques, vient du fait de certaines lésions et mutations<br />
qu’elles peuvent provoquer sur l’ADN, et qui ont été effectué tout au long de<br />
l’évolution de la vie. Cette force de la nature à donc contribuer à sa manière, aux<br />
différents processus d’adaptations évolutives de la vie, en lui faisant faire<br />
quelques fois, certains saut évolutif. Les différentes manifestations, de<br />
45
l’interaction nucléaire faible, sont également responsables de certains types de<br />
cancers, comme le prouve l’accident nucléaire de Tchernobyl de 1986, et elles<br />
sont également très utilisées dans le domaine de la recherche médicale, comme<br />
pour les traceurs biologiques ou en radiothérapie pour effectuer le traitement de<br />
certaines maladies.<br />
En fait l'union des interactions électromagnétique avec celle des interactions<br />
nucléaires faible dans le concept unifié et plus général d'interaction électrofaible.<br />
Nous nous retrouvons finalement qu'avec trois lois Universelles au lieu de<br />
quatre.<br />
Les Interactions Électromagnétique :<br />
La deuxième lois de la nature qui fut découverte, est en fait la combinaison de<br />
deux champs de force bien connue au XIX èm siècle. Il s’agit des champs<br />
électriques de Coulomb et des champs magnétismes de Faraday, qui un coût<br />
réunis forme la force ou les interactions électromagnétique de la nature. Celle-ci<br />
fut découverte par Maxwell en 1865, et c’est la force qui est responsable de<br />
l'attraction et de la répulsion entre les atomes ou les éléments de matières et<br />
présentent des charges électriques. Elle se manifeste par l’émission ou<br />
l’absorption de photons de toutes les longueurs d’ondes, comme pour la lumière<br />
et les ondes radio, et qui représente les vecteurs ou boson de l’interaction<br />
électromagnétique. Elle résulte en fait, de la charge positive des protons, situé à<br />
l’intérieur du noyau atomique et par les charges négatives des électrons qui<br />
gravite autour du noyau à des vitesses vertigineuse et inconcevable, créant ainsi<br />
différent potentiel électrique et magnétique de la matière. Les électrons<br />
entretiennent ainsi avec les atomes une sorte d'affinité structurelle et attractive<br />
selon certain potentiel d'action. Les atomes ont parfois des zones libres en<br />
électrons sur leurs différentes orbitales, c'est ce qui favorise le rapprochement et<br />
l'association des atomes entrent eux en formant différent type de molécules, soit<br />
minérale ou organique a base de carbone.<br />
Il s'agit en résumer d'un phénomène purement d'attraction ou de répulsion entre<br />
les différentes structures de matière et de leurs différents potentiels électriques.<br />
La polarité positive ou négative d'un atome peut-être ainsi comparé à différent<br />
plan vibratoire. Le positif représenterait un manque d'équilibre sur le plan<br />
46
vibratoire, et indiquerait ainsi aux électrons des alentours une ou des places<br />
d'affinité attractive et structurelle disponible visant une meilleure harmonie et<br />
équilibre entre les choses de matière. La polarité négative serait en fait le résultat<br />
du processus inverse, et indiquerait un surplus d'affinité structurelle et qui ré<br />
pulserait les électrons des alentours ou qui se trouve à proximité. En fait nous ne<br />
savons pas trop de quoi sont fais les particules de matière, sauf qu'ils<br />
s’agissaient en réalité de la représentation de véritables champs de pure<br />
énergie.<br />
Cette force de la nature est responsable de tous les phénomènes chimiques,<br />
biologiques, électrique, magnétique et lumineux de la nature, et elle est<br />
caractérisée par toutes les longueurs d’onde du spectre électromagnétique, en<br />
passant par les ondes radios jusqu’aux rayonnement gamma. Elle se propage<br />
dans le vide à plus de 300 000 km/sec, vitesse qui est connu depuis le XVII èm<br />
siècle avec les mesures et les observations effectuées sur le mouvement des<br />
satellites de Jupiter, lors de leur passage derrière celle-ci entre autre, et<br />
effectués à des endroits différents de l’orbite de Jupiter autour du soleil, soit au<br />
périgée et à l’apogée de son orbite elliptique. L’influence de l’interaction<br />
électromagnétique est de porter infini et elle est la force de l’Univers qui est la<br />
plus perceptible par nos sens. C’est elle qui nous a permis de prendre<br />
conscience de tout ce qui nous entour, favorisant tous les processus<br />
biochimiques, en passent par l’origine de la vie et de son évolution sur terre et<br />
cela jusqu’à la prise de conscience de l’espèce humaine. Elle est vraiment la<br />
seul force de la nature avec laquelle nous pouvons réellement travailler et étudier<br />
directement l’Univers.<br />
Le fonctionnement interne du cerveau est rendu possible grâce aux différentes<br />
manifestations résultant de la force électromagnétique. La propagation de l’influx<br />
nerveux effectué à l’intérieur des neurones, soit par l’intermédiaire des axones,<br />
des dendrites et des synapses, est rendu possibles grâces aux différentes<br />
propriétés électrochimiques de certains ions atomiques et de certaines<br />
molécules se trouvant de part et d’autre de la membrane neurocellulaire. Les<br />
différents potentiels électriques qui sont rendu à un certain seuil, vont ainsi crées<br />
et favorise l’entrer et la sortie de certains ions se trouvant dans le milieu intérieur<br />
et extérieur de la cellule nerveuse. L’influx nerveux est ainsi propager à travers<br />
47
toute la cellule, et la communication intercellulaire entre les cellules nerveuses<br />
sont effectués par les espaces synaptiques. Faisant ainsi intervenir une autre<br />
forme de libération de molécules à l’extérieur des cellules, et agissant comme<br />
agent de communication.<br />
Il s’agit cette fois-ci des neuromédiateurs et des neurotransmetteurs contenus à<br />
l’intérieur de certaines vésicules cytoplasmiques situées dans la terminaison pré-<br />
synaptique de la cellule nerveuse. Dans un premier temps, les vésicules vont<br />
fusionner à la membrane pré-synaptique des cellules nerveuses, pour libérer<br />
finalement leur contenu dans l'espace synaptique. Les cellules post-synaptiques<br />
vont alors récupérer les ions et les molécules disponibles, déclenchant ainsi à<br />
leur tour une différence de potentiel électrique de leur membrane cellulaire qui se<br />
propagera alors à travers la membrane cytoplasmique de la nouvelle cellule<br />
nerveuse. Ces différents processus neurobiologiques envers la propagation de<br />
l’influx nerveux est en fait, le mécanisme de base qui est utilisé et employé par la<br />
consciente, nous permettant ainsi de percevoir le monde qui nous entour. Et tout<br />
ceci est rendu possible grâce aux différentes interactions électromagnétiques.<br />
PS : C'est peut-être à ce niveau que le périsprit rentrerait en relation avec le tissu<br />
cérébrale et la perception consciente des choses (mais pas de la conscience<br />
elle-même)<br />
Les Interactions Gravitationnelle :<br />
Situé quelque part a ses plus petites échelles, nous retrouvons peut-être les frontières<br />
qui nous séparent du monde de l'au-delà et des esprits du monde matériel<br />
La gravitation est une force (champs) Universelle qui se manifeste par le poids et<br />
de l'attraction mutuelle qui existe entre les corps, son unité de mesure est reliée<br />
au kilogramme (kg). Elle fut l’une des premières force de la nature à être<br />
découverte et expliqué dans ses grandes lignes au cours du XVII èm siècle par<br />
Isaac Newton (il s'agissait d'une force à cette époque). Elle implique l’influence<br />
mutuelle que possède la masse des corps mis en présence les uns par rapport<br />
aux autres, à se rapprocher et de s’attirer l'un vers l'autre. L’intensité de la force<br />
gravitationnelle vient de la combinaison et de l’addition de la masse des<br />
différents éléments atomiques qui constituent un corps matériel. Depuis les<br />
48
travaux d’Albert Einstein (1915 Relativité Générale), nous savons que cette force<br />
est en réalité le résultat de la courbure géométrique de l’espace et du temps qui<br />
entoure les objets (par contre le temps n'est que de formulation mathématique et<br />
qui représente un autre phénomène qui est plus associée aux choses<br />
d'influences vibratoires en essence et en substance ou de la nature même du<br />
temps, ici c'est moi qui précise et ceci en dehors du cadre relativiste et quantique<br />
actuel ). Cette force de la nature est donc responsable des formes des objets<br />
dans l'espace, celle-ci étant le résultat de la densité de la matière-énergie qui la<br />
compose et influence du même coût la déformation de l'espace qui se trouve tout<br />
autour d’elle. Sans la présence de la matière dans l’Univers et de l’énergie qui lui<br />
est directement associée (E=mc 2 ou matière-énergie), il n’y aurait tout<br />
simplement pas de concept qui serait alors reliés à l’espace et au temps, c’est-à-<br />
dire de longueur, de hauteur, de largeur et de durée (mais la durée peut-être<br />
interpréter en dehors du concept temps, représentant par exemple la durée d'un<br />
phénomène vibratoire d'un chose causale de la nature). Dans de t’elle condition,<br />
l’Univers n’existerait tout simplement pas, ni le néant d’ailleurs qui ne peut exister<br />
de par la présence même de cette matière-énergie.<br />
La matière résulte en fait, de l’influence et de la manifestation des différentes<br />
formes de champs d'énergie. Ce sont ses champs d'énergie qui donne<br />
véritablement une consistance et une forme à la matière qui nous entour et qui<br />
nous compose. Ce concept de matière-énergie relit ainsi la dualité ondes-<br />
particules de la Mécanique Quantique et axée sur les différents comportements<br />
observés de la matière à la fin du XIX èm et début du XX èm siècle. La gravitation<br />
est une interaction de portée infinie qui diminue en fonction du carré de la<br />
distance et elle est la plus faible des quatre forces de la nature. Mais on là<br />
retrouve dominante aux échelles beaucoup plus petite de Planck, c'est-à-dire aux<br />
échelles de 10 -44 secondes et 10 -33 mètres. Cette échelle de Planck, correspond<br />
en fait à la limite de notre monde matériel et au-delà de celle-ci, c'est le mystère<br />
le plus total ou toutes nos théories physiques actuelles ne peuvent plus franchire<br />
ni même décrire pour nous expliquer les choses. Cette échelle semble bien<br />
corresponde à une sorte d'interface qui serait située entre notre monde de<br />
matière et un monde aux dimensions plus spirituel d'une autre nature<br />
substantielle. Une sorte de frontière infranchissable qui délimiterait le rationnelle<br />
de l'irrationnelle, du palpable de l'impalpable, du visible de l'invisible. Et c'est à<br />
49
cette limite de la nature que se trouve le mystère des essences ou de la nature<br />
même de l'énergie. Les interactions électrofaible sont situées sur une échelle de<br />
10 -18 m et la mure de Planck est à 10 -33 m, il nous reste donc une distance<br />
considérable à franchire avant de mieux comprendre les véritables lois de<br />
l'Univers. L'interaction Gravitationnelle se manifeste également et surtout aux<br />
échelles macroscopiques de l'Univers et elle est responsable des différents<br />
niveaux d’organisations et de la structure de l’Univers. Pour la Mécanique<br />
Quantique, le vecteur ou le boson qui transporterait l'interaction gravitationnelle<br />
serait représenté par le graviton (qui quantifie les champs de gravitation), tout<br />
comme le photon de lumière l’est pour la force électromagnétique. La masse<br />
d’un corps est étroitement relié aux différents potentielle d’énergie qui constitue<br />
chacun de ses composants atomiques, c’est-à-dire reliés aux protons, neutrons,<br />
électrons et de toutes les autres particules (hypéron ou exotique) de matière-<br />
énergie qui existent dans l’Univers.<br />
Les 4 interactions fondamentales<br />
_____________________________<br />
Interaction Description Intensité<br />
Gravitation masse 10 -39<br />
Électromagnétique Photon 1/137<br />
Nucléaire Fort nucléons 1<br />
Nucléaire faible lepton 10 -11<br />
Selon la Relativité Complexes :<br />
Ondes psi Éon 10 -28<br />
Préon<br />
Particules de Matière-énergie et Interactions de la Nature.<br />
La matière est en réalité constituer en grande partie par le vide et par de<br />
l’énergie pris à l’état pur et depuis les travaux d’Albert Einstein (E=mc 2 ), nous<br />
savons que l’une et l’autre vont de paire dans la nature. Nous pouvons créer de<br />
l’énergie à partir de la matière et nous pouvons effectuer également le processus<br />
inverse en créant de la matière à partir d’énergie. Dans le premier cas nous<br />
retrouvons les principes du fonctionnement interne des étoiles et du soleil, avec<br />
les phénomènes de la fusion nucléaire, responsables de la diversité des<br />
structures atomiques en éléments dans l’Univers, comme la fusion des protons<br />
en l’hélium et ainsi de suite. Et dans le second cas nous avons la création de<br />
50
matière à partir de l’énergie, comme une paire d’électron-positron, le positron est<br />
l’antiparticule de l’électron et donc de l’antimatière, lors de la collision de deux<br />
rayonnements électromagnétiques de type gamma et de très haute énergie.<br />
La collision d’une particule avec son antiparticule et donc de matière et<br />
d’antimatière, produit la plus grande quantité d’énergie possible, soit environ<br />
mille fois plus que l’énergie dégagée par les réactions nucléaire standard (et d'un<br />
facteur 100 entre fusion et fission). La matière n’a donc pas de consistance de<br />
par elle-même, si ce n’est que par les différents champs d’énergie qui l’entour et<br />
de l’influence qui s’en dégage tout autour d’elle. Les particules de matières sont<br />
en fait le résultat d'une sorte de repliant sur lui-même du tissu qui supporte<br />
l'Univers dans son entier (tissus d'espace-énergie), et qui se trouve alors dans<br />
une sorte d'équilibre sur le plan vibratoire. Celles-ci se manifestent alors par<br />
certains champs d'énergie qui en découlent directement et que nous pouvons<br />
mesurer sur les différentes échelles de la nature. Ces différentes formes de<br />
champs d'énergie sont représenter par les quatre interactions fondamentales de<br />
la nature et celles-ci caractérisent en effet chacune des échelles de la nature. La<br />
matière résulte en fait, d’une certaine forme d’inertie envers les différents<br />
aspects vibratoire que possède l’énergie pris à l’état pur, et qui tant à s’associer<br />
en différant structures combinatoires de plus en plus complexe, pour ainsi<br />
entretenir une certaine forme d’équilibre et de stabilité de ses différents états<br />
vibratoire et de donner ainsi naissance à la matière (quarks et leptons) qui nous<br />
entourent. Elles se trouvent alors confinés dans différents états d’équilibres<br />
énergétiques plus ou moins stable et plus ou moins long. Ici il pourrait peut être<br />
s’agire des préons composée de photons et de neutrinos, éons et préons sont<br />
des particules «très hypothétique» qui renterait dans la composition des quarks.<br />
Mais pour la physique contemporaine, les Quarks et les électrons reste toujours<br />
les particules d'ordres fondamentale et ponctuelle (Donc Indivisible) pour<br />
l'instant.<br />
C’est de cet aspect de la matière-énergie, que découle la Relativité Générale qui<br />
est alors axée sur les champs gravitationnels et de leur influence portée sur<br />
l’existence et la structure de l’Univers connu à ce jour en forme d'éponge (bulle,<br />
amas et superamas). Dont rien ne peut tout simplement pas exister et croître<br />
sans la présence de cette matière-énergie et de son influence, donnant ainsi une<br />
51
certaine forme et consistance à l’Univers, qui se manifeste alors à nos yeux par<br />
l’intermédiaire des quatre lois ou interactions fondamentales de la nature.<br />
Certaines des particules de matière sont instables dans la nature et se<br />
désintègrent après un certains lapse de temps (les isotopes), comme le neutron<br />
qui a l’état libre a une durée de demi-vie de 15 minutes seulement, c’est-à-dire<br />
que la moitié de sa masse initiale, s’est désintégré après 15 minutes en se<br />
transmutant en un proton, un électron et un anti-neutrinos. Ainsi toutes les<br />
particules de la nature auraient une t’elle instabilité, face à leur équilibre<br />
énergétique interne, et le proton aurait une durée de vie de 10 31 années.<br />
La Naissance des Systèmes Planétaires :<br />
Ces différentes lois de la nature, que nous venons tout juste de décrire de<br />
manières très sommaires et qui sont représentés par les quatre interactions<br />
fondamentales de la nature, mentionné ci-haut. Ce manifeste partout dans<br />
l’Univers et nous pouvons ainsi observer et analyser directement, certains de<br />
leurs effets. L’observation et la manifestation d’un phénomène naturelle, comme<br />
la mort d’une étoile se transformant brusquement en supernova, et qui par la<br />
suite se transformera en naine blanche ou en étoile à neutron, dépendant de sa<br />
masse initiale. En passant par la naissance et l’évolution d’un système<br />
planétaire, par exemple. Seront toujours déterminés et caractérisés par la<br />
manifestation des ses quatre forces fondamentales de la nature et de l’Univers.<br />
La matière se comporte et évolue selon différents paramètres physico-chimiques<br />
du milieu dans lequel elle se trouve (potentiel d'affinité entre structure de matière<br />
et d'énergie) et envers également les différentes concentrations en éléments qui<br />
constitue et compose le milieu en question. Le tout s’orientera par la suite, vers<br />
une certaine forme de convergence évolutive et structurelle du système, qui<br />
deviendra de plus en plus complexe avec le temps. Tous ses différents<br />
phénomènes de la nature, découle en fait des principes plus fondamentaux<br />
d’équilibres et d’harmonies Universelles, comme si l’Univers voulait nous<br />
enseigner en réalité, sur le plan de la conscience humaine une certaine forme de<br />
concept spirituel axé sur les valeurs d’ordres morale. Phénomène de la nature<br />
que nous pouvons d’ailleurs étudier, observer et constater partout dans l’Univers,<br />
en voici quelques exemples.<br />
52
Si nous prenons l’exemple de la formation d’un système planétaire pour illustrer<br />
la manifestation de ses quatre forces fondamentales de la nature. Il nous faut<br />
retrouver dans un premier temps, un gigantesque nuage moléculaire composé<br />
de matière interstellaire de toutes sortes, de contour très informe et de<br />
consistance très opaque, ce trouvant quelque part dans notre galaxie. Comme<br />
par exemple, de la nébuleuse d’Orion se trouvant dans la constellation du même<br />
nom et situé à plus 1 500 années-lumière (AL) de nous. L’année-lumière (AL) est<br />
une unité de mesure qui est utilisée en astronomie, pour mesurer les distances<br />
entre les étoiles et les objets célestes. Elle correspond à la distance parcourue<br />
par la lumière en une année, soit plus de 9x10 12 km. Pour vous donner une idée<br />
plus juste, la planète pluton se trouve qu’à 10 heures-lumière du soleil et la terre<br />
se trouve qu’à 8 minutes-lumière du soleil.<br />
Certains phénomènes de variation d’intensité des ondes gravitationnelles, ce<br />
trouvant à proximités et à l’extérieur du nuage moléculaire. Comme par exemple<br />
de la pression causée par l’arrivée de l’onde de choc d’une supernova, ou la<br />
variation des ondes gravitationnelles causées par des changements brutale de<br />
densité de la matière, ce trouvant à l’intérieur et à proximité de certaines régions<br />
galactiques, comme au voisinage des bras spiraux de notre galaxie, par<br />
exemple. Ces différents phénomènes gravitationnels, finiront tôt ou tard par<br />
influencer l’apparente état d’équilibre de ce gigantesque nuage moléculaire, pour<br />
finalement provoquer son propre effondrement gravitationnel sur lui-même. La<br />
force gravitationnelle résultant alors de l’intérieur même du nuage moléculaire,<br />
cherchera par la suite à combattre les différents effets résultant de l’expansion<br />
initiale de la masse de poussière et de gaz interstellaire. Qui dans les premiers<br />
temps, chercheront toujours à poursuivre leurs élans initiaux dans les régions<br />
périphériques du nuage moléculaire et cela au moment même de la traversé de<br />
ses régions galactiques incubatrices d’étoiles.<br />
La gravitation cherchera par la suite à concentrer la matière en plusieurs régions<br />
bien spécifiques de l’espace, vers les régions présentant les plus fortes<br />
intensités gravitationnelles, le tout situé vers les régions centrales du nuage<br />
moléculaire. Ces différentes régions de l’espace et situés à l’intérieur du nuage<br />
moléculaire, sont en fait les lieux qui favoriseront par la suite la naissance et le<br />
développement de nouvelle génération d’étoile et éventuellement de leurs<br />
53
cortèges planétaires. En même temps que se produit l’effondrement<br />
gravitationnel du système. La matière va subire à l’intérieur de ses régions, à<br />
densité toujours croissante des réactions moléculaires de toutes sortes, en<br />
fonctions des différentes affinités électromagnétiques et physico-chimiques<br />
pouvant êtres établis entres-elles. Faisant ainsi intervenir différentes sources<br />
d’énergies, comme les élections de valences des atomes, des ions atomiques et<br />
moléculaires, des photons de toutes sortes, du rayonnement cosmique, des<br />
champs électriques et magnétiques se trouvant dans le milieu, de l’agitation<br />
thermique, etc... Ainsi le système cherchera à se complexifier d’avantage en<br />
différentes structures moléculaires de plus en plus complexe et ceci en fonction<br />
des différents paramètres physico-chimiques du milieu. Voici donc la première<br />
étape de l’évolution des systèmes extrasolaires et protoplanétaires.<br />
Les grains de poussières, le gaz et les molécules interstellaire constituant le<br />
nuage moléculaire, vont subirent des variations et des changements dans leur<br />
trajectoire initiale. Étant entraînés dans l’un des tourbillons gravitationnels<br />
provoqués par les étoiles naissantes. Ces petits grains de matières vont entrer<br />
en contact et en collisions les uns par rapports aux autres, pour former par<br />
différents processus accrétions, des structures de plus en plus complexes pour<br />
finalement prendre la forme de planétésimaux. A ce stade de la formation des<br />
systèmes protoplanétaires, nous assistons à la formation des comètes et des<br />
astéroïdes de faibles densités et de type chondrite carboné.<br />
Les différents processus d’accrétions se poursuivront alors pour finir par former,<br />
un peut plus tard les véritables planètes du système en formation. Pendant le<br />
processus d’accrétion, il arrive à l’occasion que des petites planètes en<br />
formations entrent en collisions et ce pulvérisent à leurs contacts, donnant ainsi<br />
naissance aux autres familles d’astéroïdes de densité plus élevée et constituée<br />
principalement de roches et de métaux de toutes sortes. Les éléments de masse<br />
et de densité plus élevée, comme le Fer, le Magnésium et de bien d’autre, se<br />
concentre d’avantage vers les régions centrales des planètes en formations, et<br />
ceci à cause de l’attraction gravitationnelle de la planète qui ce fait plus intense<br />
pour ces éléments.<br />
54
Zoom sur la nébuleuse M16 de la constellation de l’aigle, situé à plus de 7000 AL. Il s’agit<br />
d’un gigantesque nuage moléculaire galactique en plein processus de formation stellaire et<br />
planétaire. Les deux photos de droite sont de J. Hester, P. Scowen avec le télescope spatial<br />
Hubble, NASA.<br />
Système extra solaire en formation avec leurs disques protoplanétaires. Photographie de la<br />
nébuleuse d’Orion situé à plus de 1500 années-lumière. La photo de droite nous montre<br />
plusieurs cocons protoplanétaires en formations. À gauche R. Beebe / NASA. Au centre et à<br />
droite photo de Dr C. Robert O'Dell & Nasa, télescope spatial Hubble 1994.<br />
55
Alycia Weinberger, Eric Becklin<br />
(UCLA), Glenn Schneider.<br />
Brad Smith (University of Hawaii),<br />
Glenn Schneider, Hubble.<br />
Disque de matière de Béta-Pictoris, constellation du Peintre 1995.<br />
(A. Schults / Nasa / European Southern Observatory)<br />
.<br />
Situé à 450 al dans le Taureau, TMR-1C (en<br />
bas à gauche), est une proto-planète.<br />
Hubble 1998, Suzan Terebey / Nasa/ STSCI<br />
Gliese 876 est une<br />
petite étoile de 1/3 la<br />
masse du soleil et<br />
situé à plus de 15<br />
années-lumière de<br />
distance dans la<br />
constellation de la<br />
balance. Elle est 1,6<br />
fois plus massives<br />
que Jupiter. Orbite<br />
de 61 jours à une<br />
distance moyenne,<br />
d’environ 1/5 du<br />
rayon de l'orbite de<br />
la Terre par rapport<br />
au Soleil. La planète<br />
n’est pas visible sur<br />
la photo.<br />
La naine brune Gliese<br />
229B, Hubble<br />
Naine brune autour<br />
de l'étoile 15 de la<br />
Flèche a été détectée<br />
depuis l’île d'Hawaii.<br />
Avec une orbite plus<br />
petite que celle de<br />
Uranus et une masse<br />
de 65 fois celle de<br />
Jupiter. ( Nasa )<br />
Epsilon Éridani ou<br />
l’étoile Gl229, photo<br />
prise par l’équipe<br />
d’astrophysique au<br />
télescope Canada-<br />
France-Hawaii. Le<br />
petit point à la droite<br />
est une naine brune<br />
13 fois la masse de<br />
Jupiter. ( Nasa )<br />
56
Photo d'une Exoplanète Prise Par le VLT<br />
La première photographie d'une planète ou d’une naine brune située en dehors du système<br />
solaire, a été publiée le 5 mai 2005 par les scientifiques de l'Université d'Iéna.<br />
Cette planète aurait une masse de 13 fois la masse<br />
de Jupiter. Elle est située à une distance de son<br />
étoile égale à environ 15 milliards de km de son<br />
étoile. Il lui faut environ 1200 ans pour boucler son<br />
orbite.<br />
L’étoile hôte, nommée GQ Lupi est une étoile naine<br />
qui est situé à plus de 400 années-lumière dans la<br />
constellation du Loup.<br />
L’image a été obtenue en rayons infrarouges par le<br />
Very Large Telescope (VLT) au Chili.<br />
GQ Lupi et son compagnon.<br />
Première Image Confirmée d'une Exoplanète de Type Jovienne<br />
L'objet en question avait été détecté en avril 2004, mais sa nature était sujette à controverse de<br />
sorte que des observations supplémentaires étaient nécessaires pour permettre aux<br />
astronomes de trancher. Une campagne d'observation a donc été menée en février et mars<br />
2005. Les scientifiques ont utilisé le VLT de l'ESO et son système d'optique adaptative NACO,<br />
un système qui corrige en temps réel la turbulence causée par l'atmosphère terrestre.<br />
Le petit système solaire (2M1207) se situe près de<br />
la constellation de l'Hydre à plus de 200 al de la<br />
Terre. La planète baptisée 2M1207b, est 5 fois plus<br />
massive que Jupiter et elle est plus de 100 fois plus<br />
faible que son étoile parant (2M1207A) qui est une<br />
naine brune. La distance qui les sépart est d'environ<br />
de 55 unités astronomiques. Le spectre de<br />
l'exoplanète montre des traces de molécules d'eau<br />
ce qui tend à montrer qu'il s'agit d'un monde froid.<br />
L'exoplanète 2M1207b et son étoile, la naine brune 2M1207A (Crédit ESO)<br />
57
Ces différentes catégories d’astéroïdes, sont donc formés par l’éclatement des<br />
petites planètes lors de la formation des systèmes planétaires. Ce phénomène<br />
de collision entre les petites planètes, favorise ainsi la création des structures<br />
interplanétaires en forme d’anneaux, qui seront par la suite absorbé petit à petit<br />
par les différents corps planétaires en formation. Comme cela s’est déjà produit<br />
dans notre propre système solaire, envers la ceinture d’astéroïde se trouvant<br />
entre les orbites de la planète Mars et de Jupiter, ou de la ceinture de Kuiper se<br />
trouvant au-delà de l’orbite de Neptune. Les comètes ayant une origine plus<br />
précoce lors de la formation des planètes, comme nous l’avons déjà décrit un<br />
peut plus haut, elles sont pour la plupart regroupées dans le nuage de hors, qui<br />
se trouve en périphérie du système solaire.<br />
Ainsi au file du temps, pouvant s’échelonnant sur une période de quelques<br />
centaines de millions d’années, les systèmes protoplanétaires en formations<br />
finiront par s’éclaircir quelque peut, de toute cette matière et poussière<br />
interstellaire. Pour finalement sortir de l’obscurité et du cocon protoplanétaire qui<br />
la vu naître, et entrer finalement dans la catégorie des étoiles de types T-Tauri,<br />
qui caractérise si bien cette étape de la naissance des systèmes planétaires. Les<br />
nouveaux systèmes stellaires et planétaires, seront désormais destinés à évoluer<br />
à travers l’immensité de l’Univers, poursuivant ainsi leurs chemins à travers<br />
différent routes galactiques. Les planètes sont accompagnées dans leurs<br />
périples cosmiques, par les étoiles qui les ont vues naître, elles évitent ainsi la<br />
solitude dans leurs différentes courses sidérales autour de la galaxie.<br />
L’Univers dont les dimensions et la complexité défi toujours l’imagination de<br />
l’homme, qui par un beau soir d’été et sans Lune prend la peine et le temps de<br />
s’arrêter juste un instant pour l’observer et le contempler. Afin de fournir à son<br />
imagination de nouvelle inspiration créatrice, de nouvelle idée et de nouveau<br />
concept porté sur sa propre existence et de prendre conscience finalement de<br />
son ignorance face à cette immensité. Dans chaque région du nuage moléculaire<br />
qui présente des intensités gravitationnelles beaucoup plus élevés, serviront en<br />
fait de berceaux pour le développement et l’évolution de nouvelle étoile, qui pour<br />
la plupart d’entres-elles auront également une forme de cortège planétaire. Au fil<br />
du temps, ses étoiles finiront par s’éloigner les unes des autres, pour finalement<br />
ce perde de vue dans la galaxie. D’autres étoiles dont les liens gravitationnels<br />
58
sont beaucoup plus étroits, continuerons cependant à évoluer en groupe, sous<br />
forme d’amas ouvert ou d’étoiles multiples, que nous pouvons observer à travers<br />
le voûte céleste et dont nous connaissons si bien de nos jours. En fait, la plupart<br />
des étoiles et des systèmes protoplanétaires naissent en groupe, à l’intérieur de<br />
ces gigantesques nuages moléculaires intergalactique, constituer en grande<br />
partie par de l’hydrogène moléculaire.<br />
Voici Quelques Systèmes Extra Planétaires Confirmés.<br />
Nom du Système<br />
Planétaire<br />
Masse<br />
Jupiter<br />
Dist.<br />
AU<br />
Dist.<br />
PC<br />
Période<br />
en Jours<br />
Type<br />
Étoile<br />
Masse<br />
Étoile<br />
Année<br />
51 de Pégase 0,47 0,05 15,36 4.229 G5V 65,1 10 1995<br />
47 de la Grande Ourse b 2,54 2,09 14,08 1089 GOV 1,03 02 1996<br />
c 0,76 3,73 2594 - - -<br />
70 de la vierge 7,46 0,48 18,11 116,7 G5V 1,10 01 1996<br />
55 du Cancer b 0,84 0,115 12,53 14,643 G85 0,95 08 1996<br />
c 0,21 0,24 - 42,28 - - -<br />
d 4,05 5,9 - 5360 - - -<br />
Tau de Bootes 4,08 0,05 15,60 3,312 F7V 1,30 08 1996<br />
Upsilon d’Andromède b 0,69 0,059 13,47 4,62 F8V 1,3 08 1996<br />
c 1,89 0,829 - 241,5 - - -<br />
d 3,75 2,53 - 1284 - - -<br />
16 du Cygne B 1,64 1,66 21,41 798,45 G5V 1,01 11 1996<br />
Rhô Couronne Boréale 1,1 17,4 39,9 G2V 1,0 04 1997<br />
Gliese 876 de la Balance 2,0 0,2 4,5 60,97 M4V 0.212 06 1998<br />
14 Hercule 4,2 2,68 18,15 1787,5 K0V 55,11 07 1998<br />
Gliese 86 4,0 0,11 10,91 15,78 K0V 91,63 11 1998<br />
HD121504 0,89 0,32 44,37 64,6 G2V 22,54 08 2000<br />
IOTA du Dragon 8,64 1,34 30,0 550,65 K2III 1,05 01 2002<br />
HD106252 6,81 2,54 37,4 1504,5 G0V 0,96 02 2002<br />
HD13507 3,19 2,30 26,2 1318 G4 38,12 06 2002<br />
Masse Jupiter – Masse de la planète extra solaire en masse Jupiter.<br />
Dist. AU – Distance en Unité Astronomique de la planète à son étoile, 1 AU = 150 Millions de Km.<br />
Dist. PC – Distance en Parcèque de nous, 1 PC = 3,26 Année Lumière.<br />
Période Jours – Période de rotation autour de l’étoile, en jour.<br />
Type Étoile – Type Spectrale de l’étoile, le Soleil est de type GV.<br />
Masse Étoile – Masse de l’étoile du système extra solaire.<br />
Pour illustrer ce fait, prenons le cas de notre propre système solaire, qui est situé<br />
à plus de 20 000 années-lumière du centre de notre galaxie, la Voie Lactée.<br />
Celui-ci met plus de 225 à 250 millions d’années en moyenne, pour faire le tour<br />
complet de notre galaxie. Ce qui lui donne un age assez respectable de 18-20<br />
ans galactique, notre système solaire vient donc tout juste de sortir de sa période<br />
d’adolescence. Durant son périple, le système solaire travers plusieurs région<br />
59
galactique de densité plus élevée, comme les bras spiraux de notre galaxie.<br />
Certains de ses passages à travers ses différentes régions galactiques, ont peut-<br />
être été caractérisés par des périodes géologiques correspondant à certaines<br />
extinctions de masse de la vie sur terre, dont une certaine intervalle de 30<br />
millions d’années semble bien lui être associé. Présentement notre système<br />
solaire voyage seul dans notre galaxie, mais dans les premières étapes de son<br />
évolution et au moment de sa formation, il devait y en être autrement, étant tout<br />
probablement accompagner par plusieurs autres étoiles. Dont il nous est tout<br />
simplement impossible aujourd’hui, de retrouver la moindre trace, s’étant tout<br />
simplement dissipées dans l’espace aux files des millions d’années.<br />
Les différentes convergences structurelles et évolutives d’un système<br />
quelconque, vont en fait déterminer s’il y a lieu, l’évolution de la matière<br />
inorganique et organique. Pour finalement diriger l’ensemble du système vers<br />
l’acquisition d’une certaine forme d’équilibre, mais sans toute fois jamais<br />
l’atteindre, car tout est en mouvement et en perpétuelle évolution dans l’Univers.<br />
Toutes substances matérielles possédant une certaine masse dans l’Univers,<br />
subiront de t’elles réactions et chercheront à évoluer selon les mêmes principes.<br />
Les différentes manifestations des phénomènes de la nature, ce résume en trois<br />
points. En premier lieu nous avons les différentes concentrations en éléments et<br />
en molécules d’un milieu interstellaire quelconque. En second lieu, nous avons<br />
l’influence que peut subire le milieu envers les différentes affinités<br />
électromagnétiques et physico-chimiques de ses constituants, permettant ainsi<br />
un ensemble très vaste de probabilité et de combinaison moléculaire. Pour<br />
finalement subire en troisième lieu, une certaine forme de convergence<br />
structurelle et évolutive du système. Tout ce qui existe dans la nature et dans<br />
l’Univers, découle en fait, de la manifestation de ses lois et de ses forces de la<br />
nature. Donc rien n’est laisser au hasard, si ce n’est que les incertitudes causées<br />
par l’incompréhension de certain phénomène naturel, qui son encore très mal<br />
comprise de nos jours de par sa complexité si grande.<br />
En passant par la naissance et l’évolution des systèmes planétaires et extra<br />
solaires. Qu’on découvre sans cesses à l’heure actuelle, soit plus de 102<br />
systèmes extraplanètaires, regroupant plus de 119 planètes connues et<br />
confirmées à ce jour, en 2003. Différentes techniques sont employées pour<br />
60
effectuer la découverte des planètes extra solaires. Des méthodes physiques et<br />
directes, comme l’étude du déplacement ou des oscillations de la position<br />
stellaire d’une étoile, par rapport à la voûte céleste. Mais également par des<br />
méthodes moins directes, dont la plus utiliser consiste à la technique<br />
spectroscopique appliquée aux différentes vitesses radiale des ondes<br />
électromagnétiques. Cette technique consiste à effectuer l’analyse du décalage<br />
spectrale envers certaines longueurs d’ondes bien connues de l’étoile étudiée et<br />
qui résulte de l’influence gravitationnelle d’une planète se trouvant à proximité de<br />
celle-ci, phénomène résultant de l’effet Doppler-Fizeau.<br />
Relativité Restreinte de 1905 :<br />
Construite par Albert Einstein en 1905, pour expliquer entre autre le mouvement<br />
brownien des atomes et les différents phénomènes photo-électriques qui<br />
induisent un certain courant électrique dans la matière. C’est-à-dire le<br />
mouvement et l’agitation des atomes selon la température et le pouvoir qu’ont<br />
certaines ondes électromagnétiques à extraire des électrons à la matière. Albert<br />
Einstein fut à cette époque un génie incontestable, mêlé d’une très grande<br />
imagination créatrice et d’une très grande intuition, et il n’avait que 26 ans en<br />
1905. Il a su réunir et faire la synthèse des différents concepts contradictoires de<br />
la physique atomiste du début du XX èm siècle, pour en faire une nouvelle<br />
formulation théorique plus large et plus cohérente sur les différents aspects et<br />
comportements de la matière. Ses différents travaux sur l’électrodynamique des<br />
corps de 1905, ont ainsi propulsé l’humanité tout entière, vers une nouvelle<br />
forme de compréhension des lois de la nature et de notre Univers.<br />
Il s’agissait en réalité d’un nouveau concept théorique qui voulait relier à la fois,<br />
les différents comportements corpusculaires et ondulatoires de la matière. Et qui<br />
pouvait expliquer du même coût, la très grande stabilité des différentes<br />
structures atomiques et qui était à cette époque très mal comprit, comme le<br />
maintient des électrons sur des orbites stables autour des protons. Cette stabilité<br />
de la matière était désormais acquise par le transfère et le transport d’énergie<br />
d’une particule de matière à l’autre, par l’intermédiaire de nouvelle particule<br />
appelée photon. Ainsi le monde corpusculaire de Newton et le merveilleux<br />
monde ondulatoire de Maxwell, seront désormais unifié et exprimé sous une<br />
61
nouvelle forme de dualité ondes-corpuscule, concept qui deviendra par la suite<br />
précurseur de la mécanique quantique.<br />
Le principe de la relativité des mouvements uniformes sans aucune influence<br />
extérieur ou accélération, avait déjà été montré du doigt dans les travaux de<br />
Galilée. La relativité est un principe qui est vieux comme le monde, mais qui relit<br />
en physique chaque observateur d’un même phénomène ou événement naturel,<br />
à un système de coordonné bien spécifique, qui est alors utilisé comme<br />
référentiel d’observation. La relativité nous dit également que tout est relatif à<br />
chacun des référentiels d’observations utilisés, par opposition à la simultanéité<br />
des événements, et qu’il s’agit en réalité que d’une question de point de vu ou de<br />
perception des uns par rapport aux autres. Prenons l’exemple suivant pour<br />
illustrer l’aspect relatif des différents comportements de la matière. Nous allons<br />
utiliser deux observateurs, un qui sera situé sur le toit d’un train filant à plus de<br />
100 km/h, et un autre observateur immobile situé un peut plus loin sur le talus<br />
surélevé de la voie ferrée. Au passage du train, le premier observateur qui est<br />
situé sur le toit, tire une balle de tennis devant lui a plus de 50 km/h. Pour le<br />
second observateur qui est immobile, la vitesse mesurée de la balle de tennis<br />
sera alors égale à 150 km/h. C’est-à-dire de 50 km/h pour la balle de tennis,<br />
additionné avec la vitesse initiale du train qui est de 100 km/h. Ainsi pour chacun<br />
des observateurs, situé dans un référentiel d’inertie différente, la mesure de la<br />
vitesse de la balle de tennis sera différente et selon leur point de vue respectif, il<br />
aura toutes les deux raisons. Ici il s’agit bien de deux événements différents, un<br />
pour chacun des référentiels d’observations.<br />
Pour éviter ainsi des mesures et des interprétations contradictoires et différentes<br />
sur le comportement et la manifestation réelle des lois physique de la nature, et<br />
qui sont d’ailleurs les mêmes partout à travers l’Univers ( ?). Et de l’absence<br />
apparente de reperd de repos absolu ou de référentiel d’inertie Universel, qui a<br />
été démontré par Newton. Nous devrons effectuer à l’avenir une sorte de<br />
composition arithmétique Gallélienne des vitesses sur le mouvement respectif et<br />
relatif de chaque référentiel d’observation d’un objet nous servant d’étude, loi qui<br />
a été découverte par Galilée. Notre observateur situé sur le toit du train, devra à<br />
l’avenir prendre en compte la vitesse du train, afin de calculer d’une manière plus<br />
précise la vitesse réelle de la balle de tennis et par rapport à un observateur qui<br />
62
serait par exemple immobile sur la voie ferrée. En relativité restreinte, ce principe<br />
est tout simplement appliqué d’une manière plus large et plus générale, pour<br />
décrire le monde et l’Univers qui nous entour. La grande responsable de tout<br />
ceci, est la découverte de la vitesse limite et absolu de la lumière à travers tout<br />
l’Univers (?), et qui détruise de manière définitive, le lien de simultanéité qui<br />
existait jadis entre les référentiels d’observations et les événements à travers<br />
l’espace et le temps. La simultanéité étant désormais décalée entre chaque<br />
référentiel d’observation qui lui sont relié par causalité, et ceci par à la vitesse<br />
limite de propagation de la lumière qui transporte l’information interactionnelle et<br />
causale de chaque phénomène, et ceci à travers l’Univers (limite dans le sens<br />
matériel ?).<br />
Voici un bref résumé sur les différents concepts physique et théorique qui<br />
prévalaient avant 1905, et qui ont servi de prémisse à Albert Einstein pour la<br />
formulation de la relativité restreinte. Il s’agit dans un premier temps, de la<br />
découverte par l’astronome Danois Christensen Roemer en 1676, de la vitesse<br />
de propagation de la lumière à travers l’espace et qu’on pensait infini avant cette<br />
date. Vitesse qu’il a trouvée et démontré à partir des mesures qu’il a effectuées<br />
sur le passage des satellites naturels de Jupiter derrière celle-ci et effectuées à<br />
des endroits bien différents de son orbite. Il a ainsi constaté que le temps de<br />
passage des lunes derrières Jupiter étaient plus long selon la position de la<br />
planète sur son orbite, ce qui indiquait que la lumière avait une vitesse de<br />
propagation limite à travers l’espace, qu’il calcula. L’orbite de Jupiter est de<br />
forme elliptique tous comme les autres planètes du système solaire, elle possède<br />
donc des positions sur son orbite qui sont soit plus près (périgée) ou plus éloigné<br />
(apogée) du Soleil.<br />
Dans un deuxième temps nous avons la découverte de la théorie de la<br />
gravitation Universelle en 1667, et de l’absence apparente de référentiel inertiel<br />
(position d’observation) absolu ou de reperd de repos absolu à travers un<br />
système de coordonné Universel. En fait tout bouge dans l’Univers, ce qui<br />
découle directement du caractère non absolu des positions dans l’espace, et mis<br />
en relief par Isaac Newton. Ce phénomène est causé essentiellement par le<br />
mouvement des corps dans l’espace et de leur attraction mutuelle, comme la<br />
rotation de la Terre sur elle-même et de sa translation autour du Soleil. Ce qui<br />
63
indique clairement que deux événements différents situés au même endroit, mais<br />
effectuer en des temps différents, comme se lever chaque matin du même lit.<br />
N’aura pas la même position absolue par rapport à le voûte céleste, mais elle<br />
sera plutôt décalée de plus de 2 592 000 km, à cause du déplacement relatif de<br />
la terre sur son orbite. Nous retrouvons également la théorie ondulatoire des<br />
champs électromagnétique, qui combine en réalité les différentes<br />
caractéristiques observées des champs électriques et magnétiques, découverte<br />
par le physicien britannique James Cleck Maxwell en 1865. Mais la véritable<br />
donnée physique qui a permis à la relativité restreinte de voir le jour, a été<br />
fournis par l’expérience de Albert Michelson et de Edward Morley qui a eu lieu en<br />
1887. Elle a démontré d’une manière quasi définitive que la vitesse de la lumière<br />
était absolue et indépendante des référentiels d’observations, elle est la même<br />
partout et dans toutes les situations. Ils ont mesuré celle-ci dans le sens du<br />
mouvement orbital de la terre, qui est de 30 km/sec et dans la direction<br />
perpendiculaire de celle-ci, en espérant que la vitesse serait plus élevée selon la<br />
loi de composition des vitesses de Galilée. Pour finalement constater que la<br />
vitesse de la lumière était la même dans les deux cas. Au lieu de mesurer une<br />
vitesse de 300 000 + 30 = 300 030 km/sec dans le sens de la trajectoire orbital<br />
de la terre, ils ont plutôt trouvé une vitesse constante de 300 000 + 30 = 300 000<br />
km/sec, ce qui a été validé par la suite par de nombreuse expérience. (mais<br />
certains présentait des petites différences qui ont été tous simplement laissés de<br />
coté ?) .<br />
Ce qui impliquait que la bonne veille loi de la composition des vitesses de<br />
Galilée, n’était plus valide pour des objets ayant des vitesses proches de celle de<br />
la lumière. Afin de toujours garder la vitesse de la lumière constante à elle-même<br />
et selon les différents référentiels d’observations utilisés et leur mouvement<br />
propre à chacun d’eux. Il fallait désormais appliquer des relations et des<br />
transformations mathématiques de proportionnalité comparative des vitesses<br />
relatives de chaque référentiel (v/c), avec celle de la lumière qui est la vitesse<br />
limite de tout l’Univers (transformation de Lorentz). Cette transformation ou<br />
formaliste relativiste mathématique, a une influence majeure sur l’espace et le<br />
temps qui sépare les référentiels d’observations des événements étudiés et<br />
comparés entre eux, en effectuant entre autre une sorte de contraction sur les<br />
distances et une forme de dilatation sur le temps. Plusieurs physiciens et<br />
64
mathématiciens avant Einstein ont essayé de remédier à cette situation<br />
(Poincaré etc..), mais sens véritablement y parvenir. Et pour finir nous avons la<br />
découverte du quantum d’énergie ou quanta de Max Planck en 1900, qui se<br />
traduit par la plus petite action d’énergie possible sur la matière.<br />
Les nouveaux attributs de la matière :<br />
Les Transformations de Lorentz<br />
Formalisme mathématique Relativiste qui fait<br />
contracter les distances et dilater le temps par<br />
des relations de V/C. Et ceci afin de laisser<br />
invariant la vitesse de la lumière dans chacun<br />
des référentiels d’observation ou de la<br />
translation de leurs coordonnées. La vitesse de<br />
la lumière reste ainsi toujours égale a elle-<br />
même pour chaque référentiel.<br />
La relativité restreinte relit désormais et de manière définitive l’équivalence entre<br />
la masse et l’énergie, dans un seul et même concept théorique de matière-<br />
énergie (E=mc 2 ). La masse d’un corps est tout simplement représenté par son<br />
inertie et par son potentiel d’énergie maximum au repos. La vitesse de la lumière<br />
devient absolu en relativité restreinte et représente la vitesse limite supérieur de<br />
tout l’Univers et pour tous les référentiels d’observations, elle est de 299 792,458<br />
km/sec. C’est la vitesse absolue de la lumière qui détermine en réalité, la<br />
quantité d’énergie maximum qui peut acquérir une particule de matière en<br />
mouvement. Et elle définit en quelque sorte, la nouvelle relation de<br />
proportionnalité des vitesses relative (v/c), qui modifie à tout jamais la perception<br />
habituelle de l’espace et du temps d’autrefois, et ceci afin d’obéir à la nouvelle loi<br />
de conservation non additive de Lorentz des vitesses d’ordres relativistes<br />
d’Einstein. Cela veut dire également qu’a partire d’énergie, il est possible<br />
désormais de créer de la masse ou de nouvelle particule de matière, et qu’à<br />
partir de la masse il est possible de créer de l’énergie. La relativité restreinte relie<br />
65
donc chaque observateur à un référentiel d’événement bien précis, et qui<br />
possède alors leur propre coordonnée spatiale et temporelle.<br />
Mais ici il ne faut pas oublier, qu’il s’agit en réalité d’un formaliste qui est associé<br />
aux mathématiques relativistes, qui mesure et interprète les choses physique du<br />
monde extérieur qui nous entours. Et le temps est interpréter seulement dans le<br />
cadre de mesure pris de manière instantanée pour décrire la durée phénoménale<br />
d’un événement bien déterminer. C’est-à-dire ayant un début et une fin dans<br />
l’aspect causale des choses de la nature. Il s’agit en réalité que l’interprétation<br />
d’un temps subjectif et non objectif, et ceci dans le sens qu’il ne s’agit pas de la<br />
substance première qui est relié à sa véritable nature, mais plutôt que de son<br />
interprétation comme chose qui lui est attachée comme description. En fait la<br />
véritable substance première du temps semble bien ce située en dehors des<br />
choses matériels et de la nature et son écoulement objective, d’écrit la<br />
succession et le passage de l’Éternel moment ou instant présent, qui caractérise<br />
la succession vibrato-énergétique des choses de la nature.<br />
Le temps et l’espace en relativité restreinte, ne sont plus des quantités absolues<br />
et d’interprétations d’ordre Universel, comme c’était le cas jadis à l’époque de<br />
Galilée et de Newton. Il n’a plus de grand manitou capable de voir en même<br />
temps et de manière simultanée, l’Univers dans son ensemble ( ?). Il s’agit d’un<br />
nouveau système de coordonnée qui est relatives à chaque référentiel<br />
d’observation d’un même événement ou d’événement distinct, mais qui sont<br />
séparés dans le temps par des distances et des vitesses d’ordre relativiste.<br />
Chaque référentiel d’observation est ainsi déterminer en relativité par quatre<br />
coordonnées, soit trois coordonnée cartésienne de métrique spatiale (x,y,z), pour<br />
indiquer la position exacte d’un observateur dans l’espace et une coordonnée<br />
pour le temps, pour fixer un évènement. Ce système de coordonné à quatre<br />
dimensions (Minkowski et les quadrivecteurs d’énergie-impulsion, il s'écrit<br />
, est directement influencée par les distances et les vitesses de<br />
dimension relativiste. Qui a pour effet de contracter les distances et de dilater le<br />
temps, et forme une sorte de sphère d’influence causale et événementielle, qui<br />
croit alors à la vitesse de la lumière à travers l’espace. En Physique relativiste, la<br />
vitesse de la lumière équivaut à la mesure de la distance qui sépare deux<br />
événements, soit par exemple les points de départ et d’arrivé d’un trajet et divisé<br />
66
par le temps qui s’est écoulé entre les deux. Mais la distance entre les deux<br />
événements varient également en fonction des référentiels, et selon leur propre<br />
mouvement respectif. Pour que c soit toujours constante dans tous les<br />
référentiels d’observations, les observateurs doivent mesurer différemment<br />
l'intervalle de temps qui sépare les deux événements et la distance qui les<br />
sépares de ceux-ci. Dès lors, chaque observateur, et chaque référentiel<br />
d’observation dispose de sa propre mesure du temps et de l’espace. C'est le<br />
paradoxe très bien connu du "voyageur de Langevin" ou le "paradoxe des<br />
jumeaux". Et ceci vu que les lois physiques de la nature sont représentées et<br />
exprimées partout à travers l’Univers de la mêmes manière (principe de<br />
covariance).<br />
Les deux postulats de la relativité restreinte.<br />
1°. Les lois physiques sont les mêmes partout et dans tous les systèmes<br />
de coordonnée en mouvement uniforme les uns par rapport aux autres.<br />
Elles restent toujours invariantes dans chaque référentiel d’observation.<br />
2°. La vitesse de la lumière devient absolue et aura toujours la même<br />
valeur dans le vide, quel que soit le système de coordonnées, pris comme<br />
référentiel.<br />
Les coordonnées de métrique spatiale (x,y,z), qui servent à indiquer la position et<br />
l’emplacement réel d’un objet ou d’un observateur dans l’espace, ne sont pas en<br />
réalité des valeurs absolus et à caractère Universel par rapport à la terre et par<br />
rapport à la voûte céleste. Car il n’existe pas de référentiel d’inertie absolu ou de<br />
reperd de repos absolu dans l’Univers (sauf peut-être aux limites de Planck).<br />
Elles sont influencées entre autre par la rotation de la terre sur elle-même, de<br />
son déplacement orbital autour du soleil, du mouvement du soleil autour de notre<br />
galaxie et du mouvement de notre galaxie dans le groupe locale, etc… Le temps<br />
qui détermine la durée d’un événement, résulte en fait de la vitesse limite et<br />
supérieur auxquels est transmise l’information causale à travers la nature et<br />
l’Univers. Le temps de la relativité (ou sa variable de mesure) n’est pas de nature<br />
absolue et Universelle pour tous les référentiels d’observations. Le temps est<br />
donc influencé par la vitesse de la lumière dans le formalisme mathématique<br />
relativiste, qui est de nature absolue et par les distances qu’elle parcoure. La<br />
67
elativité restreinte exprime en réalité, une forme de causalité spatio-temporelle<br />
qui converge vers les différents référentiels d’observations d’un même<br />
événement et qui sont alors situé à des distances relativistes les uns par<br />
rapports aux autres, ou de la simultanéité qui est différer par la vitesse de<br />
propagation interactionnelle et informelles de la lumière, qui est utilisé pour le<br />
calcule de l’interception d’une trajectoire par exemple. La relativité restreinte est<br />
un concept qui est construite autour de l’équivalence entre la masse et l’énergie,<br />
et elle se calcule à partir d’une relation mathématique de proportionnalité avec la<br />
vitesse de la lumière (v/c). Qui influence directement les distances parcourues<br />
entrent référentiels, en les contractants et le temps écoulé en le dilatant !<br />
L'énergie cinétique ou de mouvement d'un corps, est donnée dans la mécanique<br />
classique Galélienne par l'expression : E = 1/2 mv ², avec m pour la masse et v<br />
pour la vitesse d’un corps. Or, dans la théorie de la relativité restreinte, cette<br />
énergie est donnée par l'expression où est le facteur<br />
(gamma) de Lorentz. On peut alors remarquer que E tend vers l'infini lorsque v<br />
tend vers c (E = mc 2 /0), mais sans toute foi jamais l’atteindre. On peut en déduit<br />
que la vitesse d'un corps ne peut être supérieure ou égale à celle de la lumière.<br />
Le temps et l’espace deviennent donc en relativité restreinte, que l’expression de<br />
simple variable permis tend d’autre et relative à chaque référentiel, sujette elles<br />
aussi aux différentes manipulations et transformation mathématique, comme<br />
celle de Lorentz.<br />
V/C<br />
Contraction des<br />
Longueurs<br />
Masse /<br />
Masse au repos<br />
Dilatation<br />
Temporelle<br />
0 1,000 1,000 1,000<br />
0,1 0,995 1,005 0,995<br />
0,5 0,867 1,155 0,867<br />
0,9 0,436 2,294 0,436<br />
0,99 0,141 7,089 0,141<br />
0,999 0,045 22,366 0,045<br />
Les différents effets de la relativité restreinte sur la matière.<br />
Cet aspect non absolu du temps et de l’espace pour chaque référentiel<br />
d’observation, est essentiellement dut par l’invariance de la vitesse de la lumière,<br />
cette vitesse restera toujours constante et égale à elle-même quel que soit le<br />
reperd ou le référentiel d’observation de référence. Cette invariance est indiquée<br />
68
par le 1- dans l’expression de la formule suivante et indique clairement<br />
de l’impossibilité d’aller plus vite que la vitesse de la lumière en relativité<br />
restreinte et générale. Principe qui semble bien défier à première vue, la loi de<br />
composition des vitesses et des impulsions de la physique classique et non<br />
relativiste (leur addition et leur soustraction arithmétique), et envers également<br />
l’absence apparente d’interaction instantanée à distance ou de la simultanéité<br />
des événements, que permettait jadis la physique classique galiléenne et<br />
newtonienne. Et qui pourtant nous semblent bien acquises de nos jours et qui fait<br />
parti du bon sens des choses, mais qui reste toujours valide cependant aux<br />
vitesses et aux distances ordinaires et non relativistes.<br />
Mais ici ce n’est pas la vitesse d’une particule qu’il faudrait prendre en<br />
considération, mais belle et bien de l’énergie dut à son impulsion à un moment<br />
précis. Avec la vitesse nous savons que les particules de matière acquièrent de<br />
l’énergie, donc pour la nature et ses lois fondamentales il ne s’agit plus de<br />
temps, mais de pur phénomène vibratoire des particules en fonction des<br />
événements causales et des relations qu’entretient la matière et les interactions<br />
fondamentales. La nature n’a pas conscience d’elle-même selon les postulats de<br />
la science actuelle, il est donc évidant que les notions de temps pour elle n’ont<br />
aucune signification sensible ou perceptible, si ce n’est que des phénomènes de<br />
cause à effets qui émerge directement des principes d’équilibres et d’harmonies<br />
de la nature et qui découlent directement des 4 interactions fondamentales qui<br />
représentent les différents états réactionnels de la matière-énergie. Donc ici au<br />
lieu de il suffirait de remplacer la relation de vitesse proportionnelle v 2 /c 2<br />
par sa valeur correspondante en impulsion ou de son état d’énergie vibratoire<br />
selon sa vitesse (en électron-volts). Ainsi la dimension temporelle du temps ne<br />
devient qu’une dimension d’interprétation mathématique, n’ayant plus de<br />
véritable interprétation objective dans le monde réel, sauf que pour la perception<br />
de mouvement et de durée. L’énergie dans l’Univers devient états vibratoires<br />
pour chaque particule et on se débarrasse pour toujours du paradoxe des<br />
jumeaux de Langevin. La métrique du tissu Univers devient alors former<br />
d’espace-énergie uniquement et plus d’espace-temps. La matière étant une sorte<br />
de repliement de l’espace sur lui-même et ce trouvant dans différents états<br />
vibratoires d’énergie en interactions constantes.<br />
69
Ainsi, un objet qui voyage à une vitesse relativiste, donc très proche de celle de<br />
la lumière, se rétrécira en contractant toutes les distances qui sont situées<br />
entrent les molécules et les atomes qui le composent, et selon le même principe<br />
du formalisme mathématique de la relativité restreinte, cité un peut plus haut. Ce<br />
qui donne également aux atomes de l’objet, un niveau d’énergie vibratoire et de<br />
stabilité plus élevée. On peut donc en déduire qu'un corps animé d'une vitesse<br />
relativiste provoquera une certaine forme de dilatation virtuelle du temps, celle-ci<br />
semblera s'écouler à un rythme beaucoup plus lent qu'au repos. Pour cet objet<br />
relativiste les distances sembleront beaucoup plus longues, vu de sa propre<br />
contraction moléculaire et le temps lui sembleront ainsi plus long ou passer plus<br />
lentement, comme s’il voulait se figer dans le présent en se rapprochant de plus<br />
en plus de la vitesse de la lumière. Le système acquière ainsi plus d’énergie ce<br />
qui modifie son mouvement en l’accélérant et sa durée réactionnelle diminue par<br />
des stabilités d’énergie vibratoire de plus en plus grande au fur et a mesure que<br />
les impulsions du système augmentent. Le temps d’Einstein n’existe plus de<br />
manière formelle ou objective, ce n’est plus une dimension de la nature à part<br />
entière, mais devient qu’une simple interprétation mathématique pour mieux<br />
apprécier les mouvements et la durée dans l’écoulement de l’éternel présent.<br />
Voici un premier petit exemple :<br />
On découvre une nouvelle civilisation Extraterrestre au temps X, disons un<br />
certain dimanche de l'année 2000. Celle-ci est situer à 4 années-lumière de la<br />
terre. (4 x 10 000 000 000 km du Soleil). Nous lui faisons parvenir un message<br />
qui lui indique le départ d'un astronaute dans 4 ans, qui aura lieu après la<br />
réception d'un message de confirmation de leur part. En 2004 l'astronaute par<br />
vers la nouvelle civilisation à plus de 99% de la vitesse de la lumière. Mais voila<br />
les ET ont une autre manière de mesurer le temps, mais cela n'est pas majeur<br />
car il savait que le départ a eu lieu.<br />
Pour eux, ce temps X correspond à l'année 4000 (disons). Donc à la vitesse de<br />
99% de la lumière, il attente l'astronaute terrien pour l'année 4004 + 5 ans de<br />
voyage = 4009 (mesure approximative bien sur). Résumons : à l'arrivez de<br />
l'astronaute sur la planète des ETs, la terre se trouve en 2009 et les ET en 4009,<br />
ce que l'astronaute peut très bien constater, le voyage a bien duré 5 ans dans le<br />
temps réel des référentiels planétaires des deux planètes. Mais pour ce qui est<br />
70
de ses propres perceptions et mesures de temps, les données sont très<br />
différentes et le voyage lui aura semblé n'avoir durée que huit mois, en toute<br />
conformité avec la relativité restreinte.<br />
Mais alors que se passe t'il dans tous ça, en fait-il y a un temps imaginaire<br />
absolu pour tous les systèmes de l'Univers, il s’agit du moment présent ou du<br />
temps présent, une sorte de concept porté sur la réalité Universelle présente<br />
pour tous les systèmes et tous les référentiels. Pour l'astronaute qui a voyagé à<br />
plus de 99% de la vitesse de la lumière, ce n'est pas le temps qui a retentit, mais<br />
tout son système de référence a subit un changement d'état vibratoire de<br />
l'énergie et de la matière composant le vaisseau de l'astronaute. Ainsi les<br />
atomes et les molécules du vaisseau ont moins réagit sur le plan vibratoire,<br />
versus l'état initial, et par ricochait l'état même de la conscience de l'astronaute<br />
aura subit les mêmes effets. D'ou l'aspect de la dilation du temps, ou encore du<br />
temps qui coule moins vite.<br />
De quoi s’agit-il en fait ?<br />
Et bien si nous fournissons de l'énergie à une particule quelconque, la physique<br />
nucléaire (et ceci grâce à Einstein et E=mc 2 ) nous dis que le système va acquérir<br />
de l'énergie et accélérera selon certains principe de causalité physique. Plus la<br />
vitesse approche de celle de la vitesse de la lumière et plus le système semblera<br />
suspendu dans le temps en quelque sorte. A la vitesse de la lumière, les photons<br />
sont en fait des particules intemporelles et sont suspendues dans le temps, dans<br />
une sorte d’états de maximalisation de leur énergie intrinsèque, ayant une masse<br />
nulle et cela jusqu'elles interagissent de nouveau avec leur milieu extérieur. Mais<br />
pour moi il s'agit plutôt ici d'une autre chose que le temps proprement dit, pour<br />
expliquer et interpréter l'origine de ce phénomène. J'interprète la chose de la<br />
manière suivant. Plus le système acquière de la vitesse pour se rapprocher de<br />
celle de la vitesse de la lumière et plus son niveau de stabilité énergétique, et<br />
donc vibratoire, aura tendance à se stabiliser pour devenir maximum à c. Pour<br />
moi cela veut dire que les distances entre les particules vont diminuer par<br />
l’absorption et l'augmentation des différents niveaux d'énergie-vibratoire. Toutes<br />
les différentes structures interne des particules qui compose un objet, vont<br />
également rétrécire en y inclurant les orbitacles électronique des atomes. Pour<br />
moi le rapprochement des particules est la contraction de l'espace situer entre<br />
71
elles, est causée par l'augmentation intrinsèque de l'énergie-vibratoire du<br />
système (contraction des longueurs de Lorentz)<br />
Le temps réactionnel entre les différentes interactions électromagnétique et les<br />
particules en sera tout autant toucher par leur diminution d'affinité réactionnelle<br />
respectif entre elles. Mais ici il ne s'agit pas directement du temps qui est là que<br />
pour interpréter et mesurer les différents changements et évolution d'états du<br />
système observé et de leur durée, afin de quantifier les différents niveaux<br />
d'énergie mis en cause. Pour moi il s'agit plutôt des niveaux d'énergie-vibratoire<br />
de chaque particule qui tendent vers des niveaux de stabilisation de plus en plus<br />
stable et de plus en plus élevée, ce qui se traduit par une diminution ou d'un arrêt<br />
interactionnelle entre les particules à la vitesse c et d'une certaine forme de<br />
suspension temporelle ou plutôt vibratio-énergétique du système en question<br />
(dilatation du temps de Lorentz). Ici il ne s'agit pas d'une véritable interprétation<br />
de la dilatation du temps, que nous observons et exprimions en mathématique<br />
pour comprendre le phénomène et le rendre palpable. Mais plutôt d'une<br />
suspension réactionnelle et interactionnelle des champs d’énergie<br />
électromagnétique ou vibrato-énergétique pour toutes les particules du système,<br />
qui subissent alors une augmentation et une sorte de stabilisation de leurs<br />
différents niveaux d'énergie et donc vibratoire, Pour moi c'est plutôt de cette<br />
forme qu'il faut interpréter la véritable dilatation du temps dans la relativité. Les<br />
particules semblent figées avec des niveaux d'énergie très grande ce qui<br />
augment leurs niveaux vibratoires intrinsèques de chaque une d'elle et leur durée<br />
de vie (muon relativiste). Ainsi la fixation d’aspect temporelle du système à la<br />
vitesse c, est une propriété vibratoire intrinsèque du système et non par la<br />
dimension temporelle comme t-elle, qui n'est en réalité qu’une des différentes<br />
formes interprétatives du formalisme mathématique relativiste.<br />
Voici un autre exemple concret :<br />
Nous avons trois observateurs situés dans des référentiels d'observations très<br />
différents, un qui est sur terre, un autre qui se trouve à proximité du soleil et le<br />
troisième qui va suivre une grande éruption solaire en direction de la terre. À<br />
l'instant initial et précis de l'éruption solaire, notre observateur qui se trouve à<br />
proximité du soleil prend notre de l’éruption en cours, il est pour lui 12H 00 min,<br />
et il avise immédiatement celui qui doit suivre l'éruption solaire et fait parvenir en<br />
72
même un message radio à la terre, il est maintenant 12H 01 min. Le troisième<br />
observateur sur terre prend son dîner et n’a pas encore connaissance de ce qui<br />
vient d'arriver au voisinage du soleil. Vu que le message radio n'arrivera que<br />
dans 8 longues minutes plus tard pour l'aviser (le Soleil se trouve à 8 minutes<br />
lumière de la terre). Suivons maintenant notre pauvre voyageur de l'espace qui<br />
surfe présentement sur une vague de particules solaire. Celui-ci doit ajuster<br />
constamment sa direction pour rejoindre la terre, et pour cela il doit tenir conte<br />
des paramètres relativistes, vu qu'il s'est que la position de la terre qu'il appercoit<br />
n’est apparent, car elle est décaler par rapport à sa position véritable dans<br />
l'espace interplanétaire et cela à cause de la vitesse limite de propagation de la<br />
lumière. Il en tient donc compte dans ses calcules de trajectoire. Huit minutes<br />
plus tard notre observateur terrestre reçoit le message lui faisant part de l'instant<br />
initial précis du début du phénomène, il est maintenant 12 H 9 min et pour lui<br />
c'est le début de l'expérience. Mais pour celui qui est resté près du soleil, ça fait<br />
déjà huit minutes que l'expérience a débutée.<br />
Au bout de quelques jours, notre voyageur qui suit la tempête solaire, se rend<br />
vite compte qu'il doit raccourcir de plus en plus les différents paramètres de ça<br />
trajectoires, car il se rapproche de plus en plus et la lumière diffusée par la terre<br />
met de moins en moins de temps à lui parvenir et il veut bien sur entrer chez lui.<br />
S'il n'avait pas tenu compte des paramètres relativistes pour ajuster de manière<br />
constante sa trajectoire en se fiant par exemple qu'à la position visuelle de la<br />
terre, qui n’est en réalité qu’apparente, il aurait tout simplement manqué de<br />
carburant et surtout il aurait rejoint un point de l'orbite terrestre, qui aurait été<br />
situé bien loin en arrière de sa véritable position dans l'espace, car la terre se<br />
déplace sur son orbite. Par contre notre voyageur aurait également subit les<br />
influences de la relativité, il arrivera sur terre un peut plus jeune, son<br />
déplacement s’étant effectué plus rapidement que la terre. En fait s’est<br />
l’accélération qui détermine le facteur de contraction et de dilatation de Lorentz<br />
sur la matière. Alors le calcule des paramètres relativistes ne servent en fait qu'à<br />
rétablir des cohérences mathématiques entre les coordonnées en déplacement<br />
et sur des référentielles d'observations d'espace différent, elle explique comment<br />
faire pour standardiser tout le monde dans des relations compréhensible et<br />
standardiser, et ceci afin d'uniformiser les liens qui les séparaient par des<br />
73
distances ou des vitesses d'ordre relativiste et pour que tous se trouve dans tous<br />
ça et à travers l’espace.<br />
74
Pourquoi laisser entretenir une t'elle confusion sur l'interprétation de la dimension<br />
réelle du temps par rapport au monde extérieur et réel, vu qu'il ne s'agit en fait<br />
que d'une simple interprétation réelle certes car mesurable, mais plutôt d'ordre<br />
mathématique seulement. Pourquoi ne pas nommer cet état de fait d'une<br />
manière plus claire et plus intelligible sur le plan de la cohérence envers la vraie<br />
nature de la dimension temporelle attribuer au temps ? Ceux qui connaissent les<br />
fondements de la théorie, sais de quoi il parle mais pour ceux qui ne la<br />
connaisse pas c'est une autre chose. On leur laisse croire en fait à une toute<br />
autre forme d'interprétation de la véritable nature du temps et par le fait même il<br />
ne comprenne plus rien de quoi on parle. Veut t-on vraiment entretenir une t'elle<br />
forme de confusion interprétative qui ne sert à rien en réalité. Peut-on tout<br />
simplement dire ce qu’il en est de vrai et de vérifiable pour le bon sens quotidien<br />
et la physique ne s'en remettra que mieux car mieux compris et mieux apprécier<br />
pour sa juste valeur.<br />
La dimension temporelle est bien réelle dans le cadre du formalisme<br />
mathématique relativiste, mais qu'apparente et subjective dans notre Univers<br />
réel. L'aspect dimensionnel de temps relativiste décrit cependant à merveille un<br />
véritable phénomène de la nature que nous ne connaissons pas en réalité et de<br />
la véritable nature de celle-ci. Mais ceci est à l'origine de l'interprétation<br />
mathématique de la dilatation de temps et des contractions des distances en<br />
relativité. Il s'agit de la vision du temps située au deux coté du miroir d’Alice, le<br />
réelle et le descriptif. Le descriptif décrit toujours le réelle mais ne dit pas en<br />
réalité de quoi il s'agit ou de quelle essence elle est faite.<br />
Conclusion :<br />
Est-ce vraiment le temps qui est responsable de la mesure, ou plutôt des<br />
différents mécanismes vibratoires de la matière-énergie qui soutiennent la<br />
variabilité transitoire des choses à travers la nature et qui définit en quelque sorte<br />
l'interprétation temporelle des choses. Ce sont les liens causals établis entre les<br />
différentes structures interactionnelle et vibratoire de la matière-énergie, qui<br />
définit chaque phénomène de la nature et de leur durée mesurable dont découle<br />
l’interprétation du temps. Ces différents liens causals, sont déterminés par les<br />
différents mécanismes structurels qui définit l’essence même de toutes choses à<br />
travers la nature et l’Univers à travers la manifestation des lois interactionnelles<br />
75
qui supportes et leurs donnes consistance sur le plan de la matérialité de<br />
choses. Ce n'est pas le temps en lui-même qui fait cela ou qui est le moteur de<br />
cela, le temps n'est pas une encapsulation quelconque d'énergie-vibratoire. Mais<br />
le temps par contre sert bien à décrire cette encapsulation quelconque qui décrit<br />
les phénomènes d'énergie-vibratoire et interactionnelle. L'indéterminisme de la<br />
mécanique quantique découle directement de cette forme d’interprétation qui est<br />
porter sur la nature substantielle et virtuelle du temps, qui n'existe que pour<br />
exprimer et en capsuler les différents comportements de la matière-énergie sous<br />
forme de champs sur les différent plan vibratoires. La dimension temporelle de la<br />
relativité, représente en fait une structure matricielle qui est axées sur les<br />
différents comportements de la matière-énergie, et non du temps en lui-même.<br />
La relation V/C, qui décrit les paramètres observables qui caractérisent si bien le<br />
comportement des choses sur le plan vibrato-énergétique. Et c'est cela qui fait<br />
que les distance ce contracte et que le temps se dilate, ce n'est pas le temps,<br />
mais plutôt sa mesure qui est prise et portée sur la durée phénoménale des<br />
choses de la nature et qui indique les différents états de la matière-énergie sur le<br />
plan vibratoire. La dimension temporelle qui en découle n’est donc que purement<br />
d’interprétation virtuelle, et stipule en réalité que la matière-énergie est en étroite<br />
relation avec la métrique gravitationnelle de l’espace qui forme le tissu support<br />
fondamental de l’Univers. Le temps ne fait que décrire le système en relation<br />
évolutive avec tous ses paramètres interactionnels de la nature.<br />
Est-ce vraiment le temps qui fait évoluer ceci par rapport aux choses de la<br />
nature, bien sur que non, cela vient de l'aspect interactionnelle de la matière-<br />
énergie et de l'influence qu'elle porte au-delà de ses propres frontières, et qui<br />
communique ainsi sa présence à sont entourage ce qui fait évoluer et transiter<br />
toutes les choses de la nature. Ces différents phénomènes de contraction des<br />
distances, de dilatation du temps, de l’augmentation de masse et d’énergie aux<br />
vitesses relativistes, influence directement l’écoulement ordinaire du temps par<br />
tout de phénomène vibratoire. En fait ce n’est rien d’autre en réalité, que la<br />
mesure de la durée entre deux événements, et qui est d’ailleurs très étroitement<br />
associé à chacun des référentiels gravitationnels d’observations.<br />
76
Comment se Représenter les Effets de la Relativité :<br />
En Relativité Restreinte, pour conserver la constante de la vitesse de la lumière<br />
invariante dans chacun des référentiels d'observations. On utilise le formalisme<br />
mathématique de transformation de Lorentz, pour contracter les distances et<br />
dilater le temps, par une sorte de relation des proportionnalités qui est en gros de<br />
V/C. Ensuite on se dit que toutes les données sont inter relié pour analyser les<br />
événements dans un système de coordonnée à métrique d'espace-temps de 4<br />
dimensions de Minkowski (3 d'espace et une de temps).<br />
La Relativité nous indique donc, que pour chaque référentiel d'observation<br />
relativiste. C'est le temps et l'espace même, dans lequel beigne en quelque sorte<br />
le référentiel qui va subires les effets de la relativité (contraction des distances et<br />
dilatation du temps). Ainsi pour chaque référentiel d'observation, qui sont distant<br />
les uns par rapport aux autres. Il y aura une sorte de simultanéité évènementielle<br />
différée par rapport à la vitesse limite de la lumière (C). Maintenant comment<br />
faire pour bien se représenter le phénomène en question sur les transformations<br />
de Lorentz.<br />
Voici donc un exemple pour se représenter un peut le phénomène. Par une<br />
bonne nuit d'été sans Lune, nous décidons de jeter un petit regard dans la<br />
direction du ciel. Et voilà qu'une étoile bien particulière s'offre à notre regard. Une<br />
étoile permis bien d'autre, mais celle-ci est très spéciale, car celle-ci nous<br />
intrigue à un t'elle point que nous décidons de lui apporter toute notre attention et<br />
toutes nos réflexions. Nous savons que son aspect et sa position dans le ciel et<br />
sur la voûte céleste, n'est en fait qu'apparence. Et ce que nous apercevons est<br />
en réalité qu'une simple image et non l'étoile elle-même. Nous savons également<br />
que la lumière de l'étoile à mis un certain temps pour se rendre jusqu'à nous, vu<br />
que la lumière à une vitesse limite de 300 000 km/sec et il s'agit d'une invariance<br />
relativiste.<br />
Maintenant poursuivons notre raisonnement et regardons de plus près ce qu’il en<br />
est en réalité. Disons que l'étoile est Véga de la constellation de la Lyre, celle-ci<br />
se trouve à 25 années-lumière de la terre. Alors nous décidons d'analyser les<br />
différents paramètres orbitaux du Soleil et des différentes étoiles de la Voutre<br />
Céleste. Nous obtenons ainsi la trajectoire et la vitesse orbitale réelle de toutes<br />
77
les étoiles. Maintenant nous validons nos différents résultats obtenus et nous<br />
constatons que la lumière que nous apercevons de Véga et des autres étoiles,<br />
ont été émis en réalité dans des périodes de temps très différents. La lumière de<br />
Véga par exemple, à voyager à travers l'espace durant 25 longues années en<br />
direction de la terre.<br />
Voici notre Ciel en question qui pointe vers le centre de notre Galaxie, La Voie Lactée.<br />
Nous remarquons également que la réelle position des étoiles sur la Voutre<br />
Céleste, par rapport à ce que nous pouvons observer sur la photo ci-haut, sont<br />
en réalité décalées et très différentes par rapport à leurs positions apparentes<br />
que nous observons. En fait nous pouvons nous représenter le phénomène en<br />
faisant une sorte de juxtaposition transparente et décalée des deux images<br />
obtenues et une en arrière de l'autre. La première image en avant plan c'est<br />
notre photo ci-haut avec les positions apparentes, et en arrière plan nous<br />
installons notre image imaginaire sur les positions réelles par rapport à notre<br />
Galaxie, et qui représente le ciel de manière éclaté, dilaté et étalé en profondeur<br />
et vers le centre de notre Galaxie la Voie Lactée.<br />
78
La position des étoiles que nous observons sur la photo par rapport à leurs<br />
positions réelle dans le ciel, à bien subit une forme apparente de dilatation<br />
temporelle dans le temps et par rapport à la vitesse limite de la lumière et une<br />
forme de contraction des distances également. Mais tout ceci n'est en réalité que<br />
le fruit d'une simple apparence relativiste, car la position de Véga que nous<br />
observons depuis la terre, n'est pas la position réelle de l'étoiles par rapport à<br />
notre Galaxie la Voie Lactée. Ici ce n'est pas le tissu d'espace-temps qui nous<br />
entours, qui subit les effets de la relativité, mais bien notre propre référentiel et le<br />
tout n'est qu'apparence bien sur, car n'étant pas réellement un véritable<br />
phénomène relativiste. Car en fait la relativité et les transformations de<br />
Lorentz n'intervenaient que pour parler de chose situé à l'intérieur et dans<br />
des référentiels qui sont en mouvement relatifs l'un par rapport à l'autre. Et<br />
bien en relativité, tous les référentiels d'observations relativistes vont tout<br />
simplement subirent le même genre de phénomène, en suivant les<br />
transformations de Lorentz par des relations de proportionnalité des vitesses<br />
(V/C). C'est précisément ce facteur de proportionnalité des vitesses, qui fait se<br />
contracter les distances et dilater le temps de manière apparente et relative entre<br />
les référentiels, et tout cela pour garder la vitesse de la lumière constante et<br />
invariante, dont découle le principe de covariance et de la relativité du<br />
mouvement en Relativité.<br />
Remarque :<br />
Bien que la vitesse de la lumière soit belle et bien limite dans et à travers<br />
l'Univers. Cela ne veut pas dire que les observables qui sont mesurés et<br />
interprétés à partir d'un référentiel, soit en fait la représentation de la déformation<br />
d'une parcelle de l'Univers locale qui se trouve tout juste au alentour du<br />
référentiel en question. Rien et absolument rien nous indique que cela et tous les<br />
phénomènes qui l'entourent, ne découle pas en fait de certaine autre propriété<br />
de la matière ou du tissu qui support l'Univers. Pourquoi stipuler que ce sont des<br />
parcelles d'Univers qui se trouve tout autour de chaque chose faite et composée<br />
de matière, et donc prix comme représentant définitif de tous les référentiels.<br />
Pourquoi l'Univers se transformerait-il à se point, en épousant toutes les formes<br />
de matière qu'il contient. Pourquoi ça ne serait pas justement le contenant qui<br />
serait si malléable en se déformant de toutes les manières possibles pour<br />
79
s'ajuster au contenu ? Et pourquoi ce ne serait pas plutôt le contraire et bien le<br />
contenu qui serait à l'origine de toutes ses choses d'aspects relativistes et<br />
découlant directement de certaine propriété de la matière contenue dans<br />
l'Univers. Une propriété qui serait alors relié aux différentes propriétés<br />
énergétique et vibratoire de la matière et par rapport à la vitesse limite de C.<br />
Ici nous avons un effet miroir, mais pourquoi avoir choisi le coté le plus obscur et<br />
le plus mystérieux, pour nous expliquer les choses de la nature. Dite moi<br />
pourquoi de l'autre coté, il ne pourrait en être tout aussi valable et réelle dans<br />
nos différentes formes interprétatives des lois de la nature.<br />
Ce qui louche en relativité c'est l’interprétation du temps !!!!!!!<br />
Le temps est décrit par une variable en Relativité, qui a son tour décrit<br />
l'écoulement éternel de l'instant et du moment présent (qualitatif qui est d'ordre<br />
absolu dans l'Univers). C'est une caractéristique vibratoire et énergétique de la<br />
matière-énergie, qui décrit l'évolution, le mouvement et les interrelations<br />
interactionnelles de la matière-énergie sur le plan des échanges, de l'influence et<br />
des transfères d'énergie. Le temps n'a pas de dimension que de par sa propre<br />
interprétation relativiste et de sa forme purement de formalisme mathématique.<br />
Les relations de proportionnalité V/C, ne représente en fait que des<br />
interprétations d'ordre mathématique pour décrire les comportements de la<br />
matière-énergie et du monde observable, et non de l'essence même du<br />
phénomène qui est observé. Ainsi la dilatation du temps vient d'un phénomène<br />
intrèsèque de la matière-énergie et non du tissu d'espace-temps qui l'entoure, le<br />
tissu devient ainsi un tissu d'espace-énergie tout simplement.<br />
Il y a un temps Universel qui caractérise le passage et l'écoulement du moment<br />
présent pour tout ce qui se trouve à l'intérieure de l'Univers. La Relativité du<br />
temps, viens de son aspect différer qui est stipuler par l'invariance de C, et donc<br />
du principe de simultanéité et de causalité différée en rapport avec C et pour<br />
chaque référentiel. La Relativité ne mesure pas et n'interprète pas l'essence<br />
première qui est relié au passage temps (de l'instant présent), mais elle mesure<br />
seulement les caractéristiques qui sont prient sur le vif et face à l'écoulement de<br />
celui-ci et selon les principes de causalité des choses et c'est tout. Dans notre<br />
réalité objective et tangible qui est celle de la nature, il ni a donc pas d'autre<br />
80
dimension parallèle qui peuvent-êtres attribuer au temps, sauf celles qui suives<br />
les caractéristiques du plan vibrato-énergétique de la matière-énergie. L'espace-<br />
temps imbriqué et étroitement interdépendant, n'est donc qu'un simple objet<br />
mathématique et relativiste. Ce n'est pas le tissu de l'espace qui subit les effets<br />
du temps, mais bien la matière-énergie elles-mêmes. ( donc pas de métrique<br />
Minkowskienne à 4 dimensions )<br />
En Relativité, on ne fait que mesurer les apparences,<br />
que l’on retrouve et mesures à l’intérieures des<br />
référentiels par rapport au monde extérieurs !<br />
81
La Relativité Générale :<br />
La relativité générale a été élaborée en 1915 par Albert Einstein, elle intègre<br />
désormais dans ces cadres mathématiques, les principes de la gravitation<br />
Universelle reliée aux principes de la relativité restreinte. La relativité générale<br />
devient ainsi une métrique et une géométrie gravitationnelle variable. Elle bannie<br />
à tout jamais les vieux concepts absolus d’espace et de temps de la mécanique<br />
céleste de Newton, mais qui reste cependant toujours valable aux vitesses non<br />
relativistes. La gravitation ne sera plus jamais interprétée et représentée par une<br />
force comme les autres. Mais devient en réalité un concept plus subtil, qui est<br />
relié à la masse des corps et de leurs actions directes sur la courbure<br />
géométrique de l’espace et du temps. Le tissu spatio-temporel de l’Univers est<br />
ainsi déformé par la seule présence de matière-énergie, qui devient en relativité<br />
générale de la matière-espace-temps. La courbure de l’espace-temps ainsi créé,<br />
va désormais influencer la trajectoire des ondes électromagnétiques et de la<br />
matière, leur faisant ainsi suivre des trajectoires géodésiques, qui représente la<br />
distance la plus courte entre deux points dans une géométrie d’Univers à espace<br />
courbe.<br />
Métrique de l’espace-temps courbe.<br />
82
Tout comme pour la relativité restreinte, la courbure de l’espace est étroitement<br />
associée et reliée à celle du temps dans une relation de proportionnalité V/C, et<br />
relative pour chaque référentiel d’observation. Les ondes gravitationnelles qui ont<br />
pour effet de courber l’espace et le temps, sont représenté en mécanique<br />
quantique par le graviton, et voyage à travers l’Univers à la vitesse de la lumière.<br />
La relativité générale détermine et explique à elle seule la véritable géométrie de<br />
l’espace, qui sans la présence de matière-énergie ou de matière-espace-temps,<br />
ne pourrait tout simplement pas exister, tout comme l’Univers d’ailleurs. Elle est<br />
responsable de toutes les formes et de toutes les dimensions véritables des<br />
objets célestes, comme les objets planétaires, stellaires et galactiques de notre<br />
Univers. La gravitation est d’ailleurs la seule et véritable interaction de la nature<br />
qui est responsable de la structure de l’Univers, et qui définit le monde<br />
macroscopique de l’infiniment grand. La relativité générale est un concept<br />
mathématique de géométrie variable de l’espace-temps, qui est appliqué aux<br />
masses et à leurs différentes interactions gravitationnelles.<br />
La matière-énergie, c’est-à-dire les atomes et les autres particules de matières,<br />
comprime tout autour d’eux en quelque sorte, le tissu Universel d’espace-temps,<br />
et déforme ainsi la structure géométrique de l’espace. Ainsi un corps qui tombe<br />
en chute libre sur la terre, ne subit pas de force gravitationnelle comme t’elle,<br />
mais subit plutôt l’influence de la courbure géométrique gravitationnelle. Ce qui a<br />
pour effet d’accélérer les corps en chute libre, par des changements très<br />
brusques de référentiel de courbure géométrique à densité variable du tissu<br />
espace-temps qui l’entoure. Comme si l’objet se déplaçait en fait à la même<br />
vitesse en se rapprochant de la terre, mais à travers différent intervalle de temps<br />
et d’espace. Ainsi le temps nous semble passer plus rapidement à la surface de<br />
la terre qu’en orbite autour de celle-ci et à vitesse plus grande.<br />
L’Univers est en fait constitué d’un tissu d’espace, qui est créer et entretenu de<br />
manière permanente par la présence et l’influence vibratoire de la matière-<br />
énergie. L’espace sert entre autre de support pour la propagation des ondes<br />
électromagnétiques, comme s’il s’agissait de l’éther d’autrefois de Maxwell. Un<br />
vaisseau spatial qui voyage dans l’espace à une vitesse relativiste, comprime le<br />
tissu d’espace qui se trouve alors tout autour de lui, et qui résulte en fait du<br />
nouvel état vibratoire de la matière-énergie du vaisseau. Ce nouvel état<br />
84
vibratoire est acquit grâce aux vitesses relativistes, qui fait évoluer le système<br />
vers un nouveau référentiel tissulaire d’espace-énergie. L’aspect temporel est<br />
donc un phénomène purement illusoire, qui est relier tout simplement au<br />
formalisme mathématique de la relativité, pour décrire l’évolution des différents<br />
états vibratoires de la matière-énergie qui travers différent courbures<br />
densitométrique des champs gravitationnels.<br />
L’Origine des Choses Indéfinissables<br />
Temps et graviton, il s’agit ici peut-être d’un effet de la manifestation interactionnelle des<br />
gravitons sur les différents champs de matire-énergie et de leurs différents comportements<br />
vibrato-énergétique en relation avec les champs gravitationnelle.<br />
Je vous offre un petit voyage dans l’Univers qui va vous schématiser un peut<br />
les différentes connaissances actuelles en physique. Dans un premier temps il<br />
faut se situer dans une dimension très étrange et mystérieuse, située au plus<br />
grande profondeur de notre Univers. Un lieu qui décrit un monde<br />
incompréhensible et imperceptible pour l’entendement et la compréhension<br />
humaine, ou toutes choses n’ont tout simplement plus de sens descriptible aux<br />
yeux de la physique contemporaine. Ce lieu est le mure de Planck et nous<br />
allons nous situer juste au niveau de sa limite, de manière à pouvoir surfer à sa<br />
surface. Il s’agit de la plus petite dimension de l’échelle spatiale jamais connue<br />
jusqu’à lord, qui est de l’ordre de 10 -33 mètres (longueur de Planck), le temps y<br />
est également représenté par sa plus petite unité de mesure possible qui est<br />
de 10 –44 secondes (temps de Planck). Nous sommes maintenant rendues à<br />
l’échelle la plus fondamentale de la nature, qui est connu et pressentie par nos<br />
lois physiques. Dans ce lieu il existe une forme de pure énergie, qui définit une<br />
dimension colossale de l’ordre de plus de 10 28 électron-volt (énergie de Planck)<br />
et d’une température de 10 32 kelvins (température de Planck).<br />
L’Univers vu à travers cette dimension beigne dans une espèce de fluide<br />
(espace-énergie) de consistance plutôt continue et qui s’étant dans tout<br />
l’étendu de notre Univers, elle le définit et le supporte en quelque sorte. Il s’agit<br />
du fluide fondamental qui est situé tout juste aux limites du tissu originel<br />
d’espace-temps, dont l’essence même n’existe toujours pas sous cette échelle<br />
de la nature. Il n’y a plus de dimension spatio-temporelle perceptible en<br />
dessous de cette frontière, et les trois dimensions spatiales et celle du temps<br />
se confondent dans une seule et même dimension indéfinissable d’énergie<br />
pure. Il n’y a pas de notion de haut, de largeur, de bas ou de distance et il n’a<br />
pas également de notion temporelle.<br />
85
Ce fluide est là tous simplement tout autour de nous et personne ne peut le<br />
définire ou le décrire. Il est là et partout à la fois et il ne fait qu’un avec<br />
l’Univers. C’est de ce fluide indéfinissable et sans consistance véritable, que<br />
toute essence d’espace-temps émerge ou a émergé, pour créer toute la<br />
matière-énergie qui existe à travers Univers, et qui se fait de manière continue<br />
par les fluctuations quantiques de vide.<br />
Maintenant levons notre regarde au-delà de cette frontière la plus mystérieuse<br />
de l’Univers. Si nous prêtons une certaine attention sur ce qui se passe tout<br />
autour de nous. Nous allons remarquer de plus en plus de petite forme<br />
ondulante qui émerge par-ci et par-là. Le tout ce fait à une vitesse folle et à<br />
partir de cette petite membrane virtuelle et imaginaire qui délimite en quelque<br />
sorte, les frontières physique et perceptible du monde matériel de notre<br />
Univers. Situé juste un peut au-dessus du niveau de cette membrane, c’est<br />
notre Univers d’espace-temps standard qui commence et les petites<br />
ondulations se matérialise sous forme de fluctuation quantique. Ce niveau<br />
représente la plus petite échelle de la nature, d’où émerge toute la matérialité<br />
spatio-temporelle des choses de notre Univers et du monde sensible.<br />
Il arrive parfois que les fluctuations quantiques on un peut plus d’énergie<br />
vibratoire que l’habitude. Alors survient un phénomène ou un événement<br />
extraordinaire et d’une très grande beauté pour la destiné et la structure<br />
matérielle de notre propre Univers. La fluctuation quantique se disloque peut à<br />
peut de la membrane d’énergie pure qui l’englobe et la soutient de tout les<br />
cotés et de tout part, elle vibre un peut sur elle-même à très grande vitesse et<br />
se recourbe et se replie finalement sur elle-même. Nous venons tout juste<br />
d’assister à la naissance de la plus petite particule fondamentale de matièreénergie<br />
de l’Univers. Dont l’influence et la traversée vers notre monde<br />
physique à laisser les toutes premières traces de l’interaction gravitationnelle,<br />
qui a fait vibrer le tissu d’espace-temps qui l’englobe et qui se trouve tout<br />
autour d’elle, sous forme de plissement et de courbure de toutes sortes. Nous<br />
venons tout juste d’assister à la naissance de l’interaction gravitationnelle.<br />
S’agient-ils alors des quarks qui sont situé sur une échelle de l’ordre de 10 –18<br />
m, peut-être car pour l’instant personne ne le sait véritablement. Mais il peut<br />
s’agire également de particule intermédiaire beaucoup plus petite que les<br />
quarks, mais qui ne sont pas encore prévu et découvertes dans les différents<br />
modèles standard de la physique actuelle.<br />
Appelons pré-Quarks, cette nouvelle particule qui vient tout juste de sortie<br />
virtuellement de nul part. Que s’est-il passer au juste lors de la création de<br />
cette particule ? La membrane d’énergie pure est définit et délimitée par une<br />
sorte de texture de consistance inconnue, et juste au-dessus de celle-ci c’est le<br />
tissu d’espace-temps de notre monde. Mais ce qui sort de la membrane par<br />
contre est de consistance et d’essence spatio-temporelle, formée de champs<br />
d’intensité variable qui sont alors axées sur les différents états vibratoires de<br />
l’énergie pure qui est plus fondamentale.<br />
86
Celle-ci ce repli alors sur elle-même et donne ainsi une certaine forme qui est<br />
toujours indéfinissable, si ce n’est que par une certaine forme qui est définit par<br />
les limites interactionnelles permises de la nouvelle particule sur le plan<br />
vibratoire. C’est une sorte de transition de phase que subit alors l’énergie pure,<br />
avec tout plein de nouvelles propriétés sur le plan physique et matériel, qui<br />
émerge dans notre Univers.<br />
Cette nouvelle particule interagit avec son nouveau milieu spatio-temporel<br />
ambiant qui l’englobe de tout les cotés, comme une sorte de voilure aux<br />
dimensions et densité impénétrable. Cette influence créer des zones de<br />
turbulence et d’influence sur le tissu originelle d’espace-temps ou d’espaceénergie,<br />
il s’agit de la courbure qui est associée à la métrique gravitationnelle<br />
et qui se rapporte à la densité matérielle des choses de la nature. Les ondes<br />
gravitationnelles sont des zones de compression et de torsion du tissu originale<br />
d’espace-temps ou d’espace-énergie. La matière n’est donc en réalité que le<br />
fruit de tourbillons d’énergie prit à l’état pur, enrobé dans une parcelle<br />
indéfinissable du tissu d’espace-temps, son essence est donc faite d’une sorte<br />
de pelure à surface d’espace-énergie, ayant l’aspect et une forme inertiel en<br />
équilibre vibratoire par rapport au tissu d’espace-temps qui l’entoure et le<br />
supporte. Cela n’est qu’une hypothèse bien sur, et ne sert qu’à vous<br />
schématiser le décor des dimensions de Planck.<br />
Les photons et les différents bosons qui sont des vecteurs d’interactions, sont<br />
véhiculer juste à la surface du tissu originelle d’espace-temps ou d’espaceénergie,<br />
quand ceux-ci ne se transforment pas en particules de matièreénergie<br />
par différentes interactions. C’est peut-être cela qui explique la<br />
résistance zéro qui est associé à la propagation des ondes de toute sorte, sauf<br />
ceux qui sont associés à la matière bien sure (distorsion du tissu originel). Les<br />
ondes électromagnétiques représentent une sorte de résonance de forme<br />
sphérique très mince, ce qui représente l’amplitude d’une probabilité d’une<br />
onde qui croit alors à la vitesse de la lumière en faisant vaguer, onduler et<br />
vibrer le tissu originel d’espace-temps qui se trouve sur sa trajectoire. Cela<br />
représente la propagation dans l’espace du paquet d’onde de probabilité d’une<br />
onde électromagnétique et quant celle-ci interagit avec son entourage, nous<br />
assistons à la réduction quasi instantanée du paquet d’onde de probabilité, et<br />
cette brisure représente l’aspect corpusculaire de l’onde. (Mécanique<br />
Quantique que nous allons voir plus bas)<br />
Situé à une plus grande échelle, nous retrouvons les six différents type Quarks,<br />
qui s’associent entre eux par groups de trois en échangent continuellement des<br />
gluons (force des couleurs) pour se stabiliser, et forme alors les nucléons<br />
(proton et neutron). Les nucléons s’associent entre eux à leurs tours et<br />
s’échangent des mésons (pion, kaon etc.) pour établire la cohésion nucléaire.<br />
Ce travail ce fait à l’intérieure des étoiles de différentes masse. Et ainsi de<br />
suite, jusqu’aux planètes, étoile et nous.<br />
87
Réflexion sur les Dimensions Physique de l’Univers Actuelle.<br />
Imaginons que par un mystérieux phénomène de la nature, entremêlé d'une<br />
extraordinaire coïncidence qui se serait produit lors de ma naissance. Qui<br />
remonte déjà à bien longtemps ? Un double de moi-même aurait été transporté<br />
ou télé transportée par effet d'intrication (EPR), sur une mystérieuse planète<br />
très hypothétique, et qui graviterait autour d'une autre étoile se trouvant<br />
justement dans une mystérieuse galaxieXYZ la plus lointaine, et située à plus<br />
de 13,7 milliards d'années-lumière de nous. (l’age de l’Univers selon la<br />
cosmologie actuelle (?) ).<br />
Aujourd'hui et en ce moment très précis de la journée, je décide d'observer le<br />
ciel étoilé avec le télescope le plus puissent de la terre, car je veux observer<br />
cette galaxieXYZ qui est la plus éloignée de nous. En ce même moment très<br />
précis, mais située de l'autre coté de l'Univers. Mon jumeau (intriqué-quantique)<br />
décide d'en faire autant. Mais cette fois-ci il doit observer dans la direction<br />
opposée de la mienne, pour observer mon lieu de résidence galactique (La<br />
Voie Lactée), qui est pour lui également le point observable le plus éloigné de<br />
lui. Nous observons donc tous les deux et de manière instantanée, la lumière<br />
fossile de nos lieux de résidence galactique réciproque. Nous observons et<br />
interprétons l'histoire passer de chacune de nos galaxies résidentes. Pour<br />
chacun de nous (les jumeaux), nous interception des images du passer de<br />
l'autre et remontons ainsi dans le temps jusqu'à 13,7 milliards d'années-lumière.<br />
Cette époque correspond juste un peut avant la naissance même de chacune<br />
de nos galaxies.<br />
La lumière reçue et analyser par nos télescopes à chaque instant, fait partie<br />
d'une photo instantanée prit sur le vif temporel immédiat, qui correspond au<br />
moment présent de chaque instant. La lumière véhicule ainsi l'information à la<br />
vitesse C, qui est la vitesse limite à travers tout l'Univers, et elle fige donc<br />
l'information qu'elle transport dans l'immensité des espaces intergalactique. La<br />
Lumière nous fournis donc une information dilatatoire prit sur le vif, sur l'aspect<br />
transitoire de l'évolution vibratoire des systèmes observés. Pour les jumeaux, le<br />
moment présent est le même pour les deux, et d'appréciation Universelle. Leurs<br />
observations et analyse des photons ressuent, leurs permettes mutuellement<br />
de conclure que c'est l'aspect vibratoire de la matière-énergie qui est le réel<br />
indicateur de l'aspect temporel des choses. Elle est le véritable indicateur<br />
temporel qui fait apprécier l'évolution transitoire des choses, l'une par rapport<br />
aux autres et cela par échange et influence mutuelle d'énergie. Le temps n'est<br />
qu'une représentation variable d'unité de mesure permis tant d'autre, et elle<br />
peut prendre n'importe qu'elle valeurs.<br />
La transition évolutive des choses, nous indiquent la vitesse à laquelle elle<br />
s'effectut par l'entremise de variable qui sont associés aux unités de mesure<br />
d'espace et du temps. Ainsi toute vitesse comparée dans une relation<br />
mathématique avec la vitesse limite grand C (v/c), va subire des contractions<br />
88
sur les distances et une dilatation sur la variable temps. Cette relation<br />
mathématique respecte la limite de propagation de C dans le vide, par une<br />
relation de proportionnalité (v/c) qui empêche l'addition des vitesses qui lui<br />
serait supérieur sinon. Cette relation est l'indicateur de l'état vibratoire de la<br />
matière-énergie. À la vitesse grand C, tous se figent et semblent immobiles.<br />
Ainsi les photons nous transmettent finalement l’information des images qui<br />
sont décalées d'un événement à l’autre, et par rapport à l'aspect vibratoire initial<br />
du système émetteur de l'information. Ainsi les photons nous donnent<br />
l'impression d'une dimension supplémentaire et réelle, pour interpréter<br />
l'information reçut. La vitesse de la lumière est la même dans toutes les<br />
référentiels, ce qui veut dire qu'elle est étroitement dépendante de la métrique<br />
gravitationnelle qui l’entour.<br />
La lumière transmet donc, comme information-énergie des états transitoires<br />
figés de l'évolution des systèmes, à une vitesse limite grand C. C'est différents<br />
états transitoires transmis par les photons, vont interagirent à leurs tours avec<br />
la rencontre de matière-énergie et communique ainsi à distance, leur influence<br />
pour définir un nouvel état évolutif et vibratoire à travers l'Univers. Maintenant<br />
les jumeaux décident d'observer respectivement dans la direction opposée de<br />
leur point initial. Ils veulent calculer la dimension de l'Univers et voire par le fait<br />
même s'il est possible de voir l'image renversée de leur première galaxie qu’il<br />
vienne tout juste d’observée et de pouvoir tester du fait même la courbure de la<br />
métrique de l'Univers.<br />
Jean-Pierre Luminet :<br />
En effet, il est impossible d'avoir une vision "en simultané" de l'univers,<br />
puisque toute observation plongeant dans l'espace nous conduit<br />
également dans le passé. Par exemple, une galaxie dont la lumière a<br />
mis 13 milliards d'années pour nous parvenir est aujourd'hui située (à<br />
cause de l'expansion de l'espace durant ces 13 milliards d'années) non<br />
pas à 13 milliards d'années-lumière (comme la plupart des gens le<br />
croient), mais à une distance beaucoup plus grande, de l'ordre de 50<br />
milliards d'années-lumière. Évidemment, on ne la voit pas là où elle est<br />
aujourd'hui. Néanmoins, la connaissance du passé permet de calculer le<br />
présent et le futur (c'est le propre des bonnes théories prédictives); il n'y<br />
a donc aucun problème à évaluer le taux d'expansion de l'univers<br />
AUJOURD'HUI, même si on ne l'observe que dans le passé.<br />
Maintenant nos jumeaux savent tous les deux, qu'ils se trouvent en réalité à<br />
plus de 50 milliards d'années-lumière de distance l'un de l'autre. Et que dans la<br />
direction opposée de chacun de leurs référentiels d'observations, il y a<br />
également une distance mutuelle de 50 milliards d'années-lumière. Nous en<br />
sommes maintenant à plus de 150 milliards d'années-lumière pour le diamètre<br />
approximatif de notre Univers. A cela, il faut rajouter à chaque extrémité, un<br />
89
espace vide de toute galaxie et située à une distance équivalente au temps de<br />
formation de leur propre galaxie et étoile. Nous avons maintenant un diamètre<br />
approximatif de 160 milliards d'années-lumière pour notre Univers. Nos<br />
jumeaux en regardant respectivement dans la direction opposée l'un par rapport<br />
à l'autre, veulent observer l'image miroir et inversée de l'autre et ainsi de<br />
pouvoir constater le rayon de courbure de l'espace qui se trouve par delà cette<br />
espace vide de toute matière.<br />
En fait, comment se fait cette jonction inter pénétrable de la métrique spatio-<br />
temporelle ? Ou est-elle ? Est-elle observable et à qu'elle distance ce trouve t-<br />
elle ?<br />
90
La Mécanique Quantique :<br />
La Mécanique Quantique s’applique au monde de l’infiniment petit et de<br />
dimension microscopique de l’Univers, elle se situ sur une échelle de l’ordre de<br />
1,25x10 -8 cm, contrairement à la relativité générale. Elle remplace en réalité,<br />
l’ancienne théorie atomiste et corpusculaire du début du XX èm siècle. Elle veut<br />
expliquer entre autre les différents comportements observés des atomes et des<br />
particules de matières-énergie, allant jusqu’aux structures moléculaires et<br />
organiques les plus complexes et les plus structurés de la nature. Construite à<br />
partir de 1924, elle analyse et interprète les différents phénomènes<br />
microscopiques de la nature, de manière purement probabiliste et purement<br />
statistique. La mécanique quantique est basée essentiellement sur la constante<br />
de Planck (1900) et du principe d’indétermination (incertitude) d’Heisenberg. Qui<br />
a démontra en 1926 que plus on essayait de préciser la position d'une particule<br />
et plus son mouvement devenait incertain ! L'énergie du rayonnement qui est<br />
alors utilisé pour analyser et voir le comportement d’un électron, réagit avec lui et<br />
modifie sont état d’énergie et sa trajectoire initiale. L'observateur "perturbe" en<br />
fait le système en cherchant à préciser les mesures de position et de vitesse des<br />
particules, et ceci en modifiant la suite cohérente des événements naturels en<br />
cours. Les relations d’incertitudes d’Heisenberg, démontres en réalité notre<br />
incapacité sur le plan technologique, de voir plus loin et plus en profondeur dans<br />
la matière, afin de comprendre véritablement ce qui ce passe aux plus petites<br />
échelles de la nature.<br />
Le monde de l’infiniment petit ne pourra plus être interprété avec un<br />
déterminisme absolu, comme c’était le cas jadis avec la théorie atomiste et<br />
corpusculaire, comme c’est d’ailleurs toujours le cas aux différentes échelles<br />
macroscopique de l’Univers (décohérence). La mécanique quantique étudie et<br />
encadre les différents quantum d’actions ou paquet d’énergie constituée d’onde-<br />
particule, véhiculer à travers l’espace par les photons et par des particules de<br />
matière-énergies. Le but ultime de la mécanique quantique est de mesurer et de<br />
quantifier les plus petites quantités d’actions observables de la nature et reliées<br />
aux différents comportements individuels des particules de matière-énergie. Elle<br />
travail en étroite relation avec la dualité onde-corpuscule et c’est approprié les<br />
effets et le formalisme mathématique relativiste. Elle intègre dans son cadre<br />
91
mathématique, la mécanique corpusculaire de Newton, la mécanique ondulatoire<br />
et électromagnétique de James Clerk Maxwell. C’est la théorie la plus complète<br />
et la plus fiable que nous possédons actuellement, pour décrire et interpréter les<br />
phénomènes interactionnelles de la nature. Elle encadre les différentes réactions<br />
chimiques et biochimiques de la matière, en passant par les phénomènes<br />
électriques, magnétiques et lumineux de toutes sortes, ainsi que les différents<br />
processus nucléaires.<br />
Il existe cependant quelques comportements de la matière, quel n’arrive toujours<br />
pas a expliqué de manière cohérente et satisfaisante. Comme par exemple des<br />
différents phénomènes d’intrications, qui lit le destin et le comportement de deux<br />
particules de matière très éloignée l’une par rapport à l’autre (les expériences<br />
d'Aspect de 1982 et de Suarez de 2002). Il s’agit en fait d’une sorte de<br />
corrélation entre particule de matière très distante et observée dans certaine<br />
expérience en physique. Corrélation entre particule de matière qui défi<br />
actuellement la grande causalité temporelle de la relativité, bien que celle-ci le<br />
permette dans son cadre mathématique. Comme si en réalité, une certaine<br />
forme de communication pouvait s’établir entre elles, et qui se propagerait alors<br />
dans l’espace beaucoup plus vite que la vitesse de la lumière (les hypothétiques<br />
tachyons). Ce type de comportement de la matière, rejoint pour l’instant un<br />
aspect plutôt d’ordre métaphysique de la nature des choses. Mais cet aspect de<br />
la nature des choses, démontre bien en réalité la limite conceptuelle et théorique<br />
qui semble être atteint de nos jours par la Mécanique Quantique. En fait<br />
plusieurs phénomènes de la nature nous sont encore et pour l’instant totalement<br />
inconnu et mystérieux, défiant ainsi notre imagination et notre compréhension de<br />
l’Univers.<br />
Les deux principaux mécanismes qui sont responsable de l’intervention du<br />
hasard en Mécanique Quantique, son le principe d'incertitude d'Heisenberg, qui<br />
dit que nous ne pouvons pas obtenir la mesure de la vitesse et de la position<br />
exacte d'une particule de manière simultanée. Et la dualité corpusculaire-<br />
ondulatoire, là c'est une autre chose, car c'est à partir de celle-là que les<br />
partisans du hasard vont se défendre et s'appuyer pour stipuler l'existence du<br />
hasard en tant qu'essence réelle et objective. Regardons donc de plus près de<br />
quoi il en retourne en fait. La matière ordinaire (proton/neutron) serait constituée<br />
92
des champs d'énergie d'ondes stationnaire en continuel état vibratoire et<br />
renfermé sur elle-même dans une certaine forme de stabilité d’équilibre<br />
dynamique. C'est l’aspect interactionnelle qui définit et délimite la forme et la<br />
consistance qui est associée aux particules de matière (pour certains physiciens<br />
elles ont tout simplement de forme ponctuelle). Les particules sont donc plus ou<br />
moins bien localisées dans l'espace qui les entours et qui les englobent. On peut<br />
s’apercevoir par exemple leurs différentes trajectoires dans les chambres à bulle<br />
ou à gaz, ou encore par différents processus électroniques de détection de<br />
trajectoire de certain type d'interaction en physique des hautes énergies. Les<br />
ondes seraient constituées (de manière interprétative et symbolique bien sur) par<br />
la propagation d'un paquet d'onde d'énergie de probabilité de forme sphérique<br />
(en volume), qui regrouperaient en fait toutes les différentes possibilités<br />
statistiques (vecteur d’état) qui sont possibles et probables, à la matérialisation<br />
éventuelle d'une onde prenant ainsi une forme particulière intermédiaire et<br />
instantanée (photon), lors d'une interaction avec la matière.<br />
L'interaction consiste donc en la réduction du paquet d'onde d'énergie initiale,<br />
par sa matérialisation instantanée sous forme d'une particule appelée photon.<br />
Voilà qui résume en quelque mot la fameuse dualité corpuscule-onde de la<br />
Mécanique Quantique. Le problème est le suivant, les particules ont des<br />
trajectoires assez bien définis, mais pas les ondes durant leur trajet, vu qu'ils se<br />
propagent sous forme sphérique de paquet d'onde d'énergie de probabilité et<br />
donc de dimension indéterministe et imprédictible en position, vitesse et<br />
trajectoire exacte. En gros nous décrivons de manière statistique les<br />
comportements possibles d'une onde, mais en définitive nous savons<br />
absolument pas en quoi il en ressort ou de quoi elles sont faites en substance.<br />
Les ondes ou les paquets d'ondes de probabilités, sont représentés par les<br />
besons (onde électromagnétique) qui transporte les interactions et qui véhicule<br />
donc à distance, l'information causale de la nature. Entre la cause et l'effet d'un<br />
phénomène causal, qui caractérise le passage d'un paquet d'onde d'un état<br />
quantique vers un autre (vecteur d’état), et lors de sa propagation dans l'espace<br />
ente les deux extrémités d’un processus causal. Et bien ici, il y a aucune<br />
possibilité de savoire à l'avance, qu'elle sera l'orientation possible vers ou<br />
l’amplitude de probabilité de l'onde se dirigera t-elle de préférence. Ici il semble<br />
bien y avoir un bris du processus causal de la nature. Mais s'agit-il vraiment de<br />
93
l'intervention du hasard pure et simple pour expliquer notre interprétation<br />
statistique et mathématique de la chose. Je ne crois pas vraiment, car ce<br />
mécanisme peut en caché un autre qui pourrait-être d'ordre plus fondamental et<br />
que nos moyens actuels ne peuvent nous permettes d'entrevoir pour l'instant. Et<br />
l'avenir peut nous réserver de bien belle et grande surprise là-dessus.<br />
Ainsi pour résumer un peut notre dilemme, nos amis défendeurs du hasard<br />
s'appuie sur deux arguments majeurs qui font partie des fondements même de la<br />
Mécanique Quantique, pour appuyer leur défense et leur thèse. En 1 nous avons<br />
un manque de précision sur les mesures de vitesse et de positon effectué de<br />
manière simultanée, et qui est d'ordre indéterministe. Celle-ci on peut y remédier<br />
assez facilement par différent processus statistique d'approximation. Et en 2 qui<br />
représente en fait l'argument principal de leur défense, et pas le moindre je<br />
l'accorde. Mais il s'agit d'un processus intermédiaire aux différents phénomènes<br />
causal de la nature, il s'agit également d'un phénomène que nous ne<br />
connaissons même pas la nature exacte de leurs manifestations. Il s'agit d'une<br />
forme de champs d'énergie pris à l'état pur (onde d'énergie) donc nous ne<br />
connaissons strictement rien, sauf certaine de leurs caractéristiques<br />
manifestables et lors de certaines interactions impliquant des particules de<br />
matière. Pour l'instant c'est le néant total en ce qui concerne les véritables lois<br />
qui définissent le lien causal et ondulatoire dans un tout bien cohérent. Entre la<br />
cause et l'effet de tout phénomène causal de la nature, il y a la propagation d'un<br />
paquet d'onde d'énergie qui relit les deux extrémités du phénomène, et qui<br />
caractérise ainsi sa durée évènementiel. C'est ce qui défit toujours nos<br />
différentes conceptions imaginables et scientifiques de la question, mais est-ce<br />
suffisant pour baisser les bras en faisant intervenir le hasard pour expliquer tous<br />
ça. Je pense que non, l'histoire de l'homme est trop jeune a mon goût pour cela,<br />
et notre incompréhension finira peut-être par trouver une autre forme<br />
d'explication pour expliquer le tout de manière plus satisfaisante peut-être. Mais<br />
d'ici là, pourquoi ne pas dire tout simplement que le hasard n'a véritablement pas<br />
d'essence en lui-même dans la nature.<br />
94
La Chromodynamique Quantique :<br />
La chromodynamique quantique ou la quantification des couleurs, découle en fait<br />
directement des concepts reliés à la mécanique quantique. Elle décrit le<br />
comportement des quarks et des gluons qui entre dans la composition et la<br />
cohésion des nucléons et des autres particules de matières. Ainsi cette théorie<br />
nous dit entre autre, qu’un proton est constitué de deux quarks up et d’un quark<br />
down, tendit que le neutron est constitué de deux quarks down et d’un seul quark<br />
up. Pour plus de précision sur ce sujet, revoir le chapitre sur les lois naturelles de<br />
la partie précédente du livre. La cohésion des nucléons à l’intérieur des atomes,<br />
est assurées par l’échange continuel de gluons, qui sont constitués d’un quark et<br />
d’un anti-quark C’est une conception théorique de la matière, qui veut décrire les<br />
différentes réactions nucléaires et tous les phénomènes reliés de près ou de loin<br />
à la radioactivité. La chromodynamique quantique est associée aux interactions<br />
nucléaires faible et forte de porté très court, situé sur une échelle de l’ordre de<br />
1,25*10 -13 cm.. La théorie des interactions et des champs électrofaibles, fait en<br />
réalité la jonction entre la chromodynamique quantique et la mécanique<br />
quantique.<br />
95
LES ORIGINES DE LA VIE (sur le plan physique)<br />
Les Prémisses Interstellaires – Les Différentes Conditions<br />
Terrestres – Les Groupements Biochimiques Actifs – Les<br />
Premières Formes de Vie Unicellulaire – Les Premières Colonies<br />
de Bactéries – Les Organismes Pluricellulaires – L’Origine des<br />
Différents Capteurs Sensoriel – Mars, Europa, Ganymède et<br />
Titan – Tableau des Aires et Périodes Géologique.<br />
La vie n’est pas le fruit du seul hasard, mais<br />
découle belle et bien de l’évolution chimique<br />
de la matière, qui est alors organisée en des<br />
structures de plus en plus complexes.<br />
Et le tout semble bien suivre des lois physiques,<br />
Mais étroitement sous le contrôle de lois spirituel.<br />
La vie est en fait le fruit de l’évolution de la matière organique, située à des<br />
niveaux d’organisations et de structurations très complexes. La matière<br />
organique est caractérisée par des échanges chimiques réalisés entres les<br />
différentes molécules composées de carbones, d’azote, d’oxygène, d’hydrogène,<br />
de phosphore etc.. Échanges qui sont alors effectués à partir de différentes<br />
réactions d’oxydoréductions ou de transfères d’électron (processus relié aux<br />
choses d'affinité et de complémentariter entre les choses atomiques qui<br />
compose la nature). Il s’agit en fait, d’un phénomène purement chimique, qui est<br />
basé sur l’échange d’électrons ou d’atome d’hydrogène. La vie sur terre est<br />
basée sur la chimie du carbone, de part son potentielle électrochimique<br />
(électronégativité) qui est très élevée et capable d’entretenir quatre liaisons<br />
chimiques différentes à la fois. Ce qui augmentent les différentes possibilités de<br />
combinaisons atomiques et moléculaires, portés sur la diversification des<br />
molécules organiques et qui est un phénomène nécessaire aux différents<br />
processus d’évolution et de développement de la vie. Ce type de réaction<br />
chimique appliquée aux différentes molécules centrées sur la chimie du carbone,<br />
sont représentés et regroupés à l’intérieur des différentes réactions biochimiques<br />
de la matière vivante.<br />
96
L’énergie des atomes provient essentiellement de leurs différentes configurations<br />
électroniques, c’est-à-dire du nombre total d’orbites remplient d’électrons et<br />
formant différentes couches superposées que possèdent les atomes, et du<br />
nombre d’électron de valence situé sur la dernière orbite de l’atome et<br />
déterminer par la distance de ses derniers du noyau. Cette configuration<br />
électronique est déterminée par le nombre de proton confinée à l’intérieur du<br />
noyau atomique, et qui est toujours le même que le nombre total d’électron, sauf<br />
dans les états d’ionisations de la matière, l’atome présente donc une charge et<br />
un potentiel électrique neutre. Ses différents attributs de l’atome vont déterminer<br />
les différents potentiels possibles et réactionnels électromagnétiques et<br />
électrochimiques de la matière, c’est-à-dire de l’électronégativité ou de<br />
l’électropositivité d’un l’atome ou d’un l’élément chimique. Le remplissage ou la<br />
soustraction en électron de la dernière couche électronique de valence, qui<br />
s’effectuent d’une manière bien spécifique d’une couche électronique à l’autre,<br />
donne aux atomes ou aux éléments chimiques, certaines propriétés ioniques et<br />
électriques supplémentaires.<br />
Les réactions d’oxydoréductions, impliques des molécules ou des atomes<br />
donneurs d’électrons ou d’atomes d’hydrogènes, ils seront alors oxydés après la<br />
réaction, comme pour le gaz carbonique (CO2) qui est l’état d’oxydation<br />
maximum pour le carbone. Ici le carbone a donné deux de ses électrons de<br />
valences à chacun des atomes d’oxygène, dans le but d’établires les deux<br />
liaisons covalentes. L’oxygène présente une attirance, une affinité ou une<br />
électronégativitée chimique plus grande que le carbone, le rendant ainsi<br />
beaucoup plus réactif que ce dernier, envers les différentes réactions<br />
électrochimiques de la matière. L’état d’oxydation donne aux atomes et aux<br />
molécules, une certaine forme de stabilité réactionnelle, par rapport à leur état<br />
plus réduit se trouvant alors dans un milieu à forte teneur en oxygène. Ainsi<br />
l’hydrogène qui est l’élément le plus électropositif et le plus simple du tableau<br />
périodique, ne possédant qu’un seul proton et un seul électron, il aura tendance<br />
à se joindre et à donner son électron, aux éléments chimiques les plus<br />
électronégatifs, comme l’oxygène pour former entre autre des molécules d’eau<br />
(H2O). Dans ce cas l’hydrogène, tout comme le carbone de l’exemple précédent,<br />
est dans un état oxydé et l’oxygène est dans un état réduit, ayant capturés deux<br />
nouveaux électrons, rendant ainsi la molécule d’eau plus stable envers les<br />
97
éactions électrochimiques. L’oxygène a la fâcheuse habitude de voler les<br />
électrons à ses partenaires tout en les oxydant du même coût.<br />
Il y a aussi les molécules ou les atomes accepteurs d’électrons ou d’atomes<br />
d’hydrogènes, ils seront alors réduits après la réaction, comme pour le méthane<br />
(CH4) qui est l’état de réduction maximum pour le carbone. Ici les quatre atomes<br />
d’hydrogène ont donné au carbone leur seul électron de valence, pour ainsi<br />
former les quatre liaisons covalente de cette molécule. Ici l’hydrogène est dans<br />
un état oxydé, ayant joué le rôle d’un agent réducteur pour le méthane, tout<br />
comme le carbone dans la molécule de CO2, et le carbone est dans un état<br />
réduit, ayant joué le rôle d’un agent oxydant pour cette molécule, tout comme<br />
l’oxygène dans la molécule de CO2. Les molécules de méthane (CH4) ou gaz des<br />
marais, seront donc très réactives et inflammables en présence d’oxygène<br />
moléculaire (O2) contenu dans l’atmosphère, ou envers d’autres atomes ou<br />
molécules présentant une électronégativités, une affinité ou une attirance<br />
chimique plus grande, comme l’azote, le fluor et le chlore par exemple.<br />
Pouvant provoquer ainsi différentes réactions chimiques très rapides, et pouvant<br />
même êtres à l'occasion très explosive. Ainsi selon la proportion d’atomes<br />
d’oxygènes et d’hydrogènes entrant dans la composition des différents<br />
composés chimiques ou organiques. Ils seront soit dans un état oxydé ou réduit.<br />
Comme pour les hydrocarbures, les acides gras, les graisses représentées par<br />
les lipides, et tous les hydrates de carbones regroupant les sucres. Ses différents<br />
composés organiques sont très réactifs, en présence d’oxygène ou d’atomes<br />
présentant des affinités et des propriétés équivalentes, ils son caractérisées par<br />
leurs différents états réduits, pouvant ainsi servirent de réserves d’énergie pour<br />
toutes sortes de réactions biochimiques effectuées à l’intérieur des cellules.<br />
Les Prémisses Interstellaire :<br />
Les différents processus pouvant conduire à l’origine et à l’évolution de la vie,<br />
font donc partie intégrante des lois de la nature. Étant tout simplement une forme<br />
d’organisation supérieure que peut prendre la matière, qui cherche ainsi par tous<br />
les moyens possibles et selon ses différentes propriétés, à établir des affinités<br />
électrochimiques de plus en plus complexe entre les différents composants d’un<br />
milieu quelconque. Ceci afin d’acquérir une certaine forme d’équilibre envers<br />
98
leurs différents potentiels d’énergie, et non étant le seul fruit du hasard. Ainsi<br />
après la formation d’un système planétaire et selon les conditions du milieu, face<br />
aux différentes conditions nécessaire à l’éclosion et au maintient de la vie. Celle-<br />
ci se développera petit à petit à la surface de la planète en formation et prendra<br />
par la suite, toutes sortes de directions évolutives, pouvant alors se manifester<br />
sous différentes formes de vie biologique. Et pourquoi pas, pour finalement<br />
atteindre le niveau d’évolution et de développement conduisant à la prise de<br />
conscience, comme cela à déjà eu lieu sur notre propre planète.<br />
Les molécules cométaires que l'on observe provenant des glaces du noyau.<br />
-----------------------------------------------------------<br />
molécule abondance technique<br />
relative d'observation<br />
-----------------------------------------------------------<br />
eau H2O 100 IR, radio<br />
monoxyde de carbone CO 23 radio, IR, UV<br />
dioxyde de carbone CO2 6 IR<br />
méthane CH4 0,6 IR<br />
acétylène C2H2 0,1 IR<br />
éthane C2H6 0,3 IR<br />
méthanol CH3OH 2,4 radio, IR<br />
formaldéhyde H2CO 1,1 radio<br />
éthylène glycol HOCH2CH2OH 0,25 radio<br />
acide formique HCOOH 0,09 radio<br />
éthanal CH3CHO 0,02 radio<br />
formiate de méthyle HCOOCH3 0,08 radio<br />
ammoniac NH3 0,7 radio, IR<br />
cyanure d'hydrogène HCN 0,25 radio, IR<br />
isocyanure d'hydrogène HNC 0,04 radio<br />
cyanure de méthyle CH3CN 0,02 radio<br />
cyanoacétylène HC3N 0,02 radio<br />
acide isocyanique HNCO 0,1 radio<br />
formamide NH2CHO 0,015 radio<br />
sulfure d'hydrogène H2S 1,5 radio<br />
monoxyde de soufre SO 0,3 radio<br />
dioxyde de soufre SO2 0,2 radio<br />
oxysulfure de carbone OCS 0,4 radio, IR<br />
disulfure de carbone CS2 0,2 UV, radio<br />
thioformaldéhyde H2CS 0,02 radio<br />
un sucre simple : le glycolaldéhyde<br />
-----------------------------------------------------------<br />
"abondances relatives" sont en nombre de molécules par rapport à l'eau.<br />
Certaines des molécules organiques, qui sont essentielles au développement<br />
initial de la vie, sont déjà présentes dans les différents milieux interstellaires, lors<br />
de la formation des systèmes protoplanétaires et située entre autre, à l’intérieur<br />
99
des gigantesques nuages moléculaires galactiques. Matière organique dont nous<br />
retrouvons de plus en plus les traces à l’intérieur de notre propre galaxie.<br />
Plusieurs centaines de molécules interstellaires ont déjà été répertoriées jusqu’à<br />
ce jour, dont une soixantaine d'entre eux son d’origine organique entrant dans la<br />
fabrication ou constituent tout simplement la matière vivante actuelle. Les<br />
conditions gravitationnelles étant alors favorables à la concentration de tous ces<br />
éléments chimiques et organiques à la surface des objets planétaires en<br />
formations, comme les grains de poussières, les cailloux, les planétésimaux, les<br />
comètes, les astéroïdes et les planètes. Il est donc rendu possible de poursuivre<br />
et de comprendre mieux la suite des évènements, qui sont alors axés sur<br />
l’origine et l’évolution de la vie.<br />
Photo du noyau de la comète de Halley prise en<br />
mars 1986, par la sonde spatiale Giotto de l'ESA.<br />
En bas : MPI für Aéronomie (Lindau, Allemagne)<br />
et ESA, Agence spatiale européenne.<br />
A partir du moment ou nous retrouvons dans l'environnement interstellaire du<br />
carbone et de l’oxygène en abondance, la chimie du carbone peut alors se<br />
mettre en route. Les molécules présente dans ce nuage sont plus complexes<br />
que l'on pourrait le croire. Certes, aux grés des chocs, le carbone se combine<br />
avec les autres atomes présents (surtout de l'hydrogène), mais surtout la<br />
présence de poussières fournit un substrat sur lequel se produisent des<br />
réactions chimiques qui utilisent l'énergie du rayonnement stellaire. Ces<br />
100
poussières (de 0,1 mm ou moins), en rapprochant les atomes et les molécules<br />
avant leur interaction, jouent le même rôle que les catalyseurs minéraux (mousse<br />
+<br />
de platine par exemple) utilisés en chimie ou l'ion H3 . Les molécules formées<br />
résultent principalement de combinaison avec de l'hydrogène. Ces poussières<br />
forment des structures floconneuses comportant de la glace amorphe de haute<br />
densité, se comportant comme un fluide visqueux, des silicates et des molécules<br />
à base de carbone (hydrocarbures simples principalement). Ces particules vont<br />
s'agréger pour former deux types de corps solides: les planètes telluriques près<br />
du soleil et, plus loin, les noyaux des futures comètes.<br />
Une référence qui vient du net :<br />
On peut identifier les molécules présente dans ces nuages par leur spectre, en<br />
observant actuellement les grands nuages moléculaires qui parsèment le disque<br />
de notre galaxie (et des autres!). Bien qu'à l'époque de la formation du soleil la<br />
teneur en élément lourd devait être un peu moins élevée, cela nous donne une<br />
indication sur les apports de molécules extraterrestres qui ont pu être réalisées<br />
au début de l'histoire de notre planète. On y trouve plus de 120 molécules<br />
différentes, dont surtout de l'eau, du méthane, de l'ammoniac, du monoxyde de<br />
carbone, des radicaux libres (OH, H3 - ) intervenant dans les synthèses des autres<br />
molécules, mais également des molécules plus complexes. Des hydrocarbures<br />
(HC3N, CH3CN, CH3CHO...), des alcools (méthanol, éthanol) et des dérivés du<br />
cyanure se forment aussi facilement: les glaces qui recouvrent les silicates,<br />
composées d'eau, de méthanol et d'hydrocarbures, jouent le rôle de piège<br />
moléculaire qui empêche la dispersion des molécules qui peuvent se recombiner<br />
sous l'action du rayonnement UV stellaire. Un nuage de gaz situé près du centre<br />
galactique a même révélé contenir du glycolaldéhyde (C2H4O2) qui peut en se<br />
combinant conduire à du glucose ou du ribose (P. Jewell. 08/2000). Ce sucre a<br />
également été détecté dans des météorites, accompagné de composés comme<br />
le glycérol, présents dans les membranes de cellules. (Cooper & al., 2001). Le<br />
processus de formation des molécules peut parfois nécessiter plus de 1500<br />
étapes intermédiaires, mais met souvent en jeu l'ion H3 + qui se combine avec les<br />
autres éléments présents dans le milieu interstellaire. Des synthèses peuvent se<br />
réaliser sur les grains de matière interstellaire et aboutir à la formation d'acides<br />
101
aminés: outre la glycine détectée dans des nuages moléculaires, 17 acides<br />
aminés ont été identifiés dans des météorites contemporaines de l'époque de<br />
formation du système solaire, ainsi que des quinones et des molécules<br />
amphiphiles comparables à celles constituant les membranes des cellules.<br />
Détectées indirectement ou par l'analyse de météorites, ces molécules ont pu<br />
également être synthétisées expérimentalement dans les conditions régnant<br />
dans le milieu interstellaire (Munoz & al., 2002). On peut s'étonner que dans des<br />
zones à basse température (espace), des réactions chimiques puissent se<br />
produirent facilement. En fait, dans ces conditions, la cinétique des réactions<br />
n'obéit plus à la loi d'Arrhénius: la basse température ralentit l'agitation<br />
moléculaire et atomique, ce qui permet aux forces électrostatiques, importantes<br />
puisque les molécules interstellaires sont souvent chargées (radicaux libres)<br />
d'agir pour rapprocher les éléments devant réagir (cf. Pour la science 266,<br />
12/1999, p 14). Les études expérimentales de la formation de molécules dans le<br />
milieu interstellaire (Mayo Greenderg, 1984, Allamandola, 1987, Berstein, 1999)<br />
montrent qu'a partir des molécules présentent à l'état gazeux entre les particules<br />
solides il se forme des couches successives de matériel contenant de<br />
nombreuses molécules carbonées: il y a incorporation du carbone dans une<br />
"matrice contenant de l'eau sous la forme de glace amorphe (non cristallisée).<br />
L'énergie nécessaire aux réactions est fournie par les photons UV, et celles ci<br />
peuvent déclencher un réchauffement du grain de poussière de plusieurs<br />
dizaines de Kelvin, favorisant ainsi de nouvelles réactions chimiques par<br />
modification de la structure de la glace (Blake, 2001). Si ce réchauffement est<br />
trop important, il peut conduire à une vaporisation partielle des matériaux<br />
organiques du grain à la suite d'une réaction en chaîne mettant en jeu les<br />
radicaux libres piégés dans la matrice.<br />
Les Différentes Conditions Terrestres :<br />
Phénomène rendu possible grâce à la manifestation des différentes lois de la<br />
nature, qui sont principalement représentés par les interactions gravitationnelles,<br />
pour la concentration des différentes substances chimiques dans un lieu<br />
spécifique et les interactions électromagnétiques, participant aux différentes<br />
réactions électrochimiques et physicochimique. La suite des événements envers<br />
l’origine et l’évolution de la vie, dépendra alors de plusieurs conditions physico-<br />
102
chimiques du milieu. Ainsi la masse de la planète aura une importance capitale,<br />
déterminant ainsi sa capacité à maintenir et retenir une atmosphère dense à sa<br />
surface. La distance de la planète par rapport à son étoile principale, car il peut<br />
s’agire d’un système stellaire multiple, sera également une condition essentielle<br />
aux différents processus, axés sur le développement et l’évolution de la vie.<br />
L’étoile apportera ainsi un apport supplémentaire en chaleur et en énergie à la<br />
surface de la planète en formation.<br />
EPR 13°N Cy82-31. Les fumeurs noirs dans l'axe de la dorsale<br />
est du Pacifique, situé à 13°N par 2620 m de profondeur. Ils<br />
témoignent de l'activité volcanique et magmatique des fonds<br />
Océaniques. Ils déchargent dans l'eau de mer une très grande<br />
quantité de sels et sulfures poly métalliques à une température<br />
atteignant 380°C, et sont à l'origine de véritables oasis où la<br />
vie abonde. Photo sou marin Nautile français.<br />
Bien que la distance planète-étoile, soit d’une très grande importance envers un<br />
apport supplémentaire de chaleur et d’énergie, qui favorise et accélère ainsi<br />
toutes sortes de réactions chimiques et biochimiques. Celle-ci n’est pas<br />
cependant une condition obligatoire et essentielle à l’origine et au<br />
développement de la vie, elle représente seulement la situation idéale, envers<br />
les différentes conditions nécessaires à son développement, et qui est alors<br />
généralisé à l’ensemble des planètes. Surtout lorsque la vie ne se développe pas<br />
à la surface d’une planète, mais plutôt à l’intérieure de celle-ci, dans certaines<br />
régions situées plus en profondeur, dont les différentes conditions essentielles à<br />
l’éclosion, au maintient et à l’évolution de la vie, son alors tout réunis et propices<br />
à la survie des organismes vivants. Ici il s’agit d’un concept purement théorique<br />
103
sur l’origine de la vie, mais il a l’avantage de nous démontrés notre réelle<br />
ignorance concernant véritablement ce sujet. En fait, d’autre phénomène naturel<br />
peut très bien fournires un apport supplémentaire en énergie et en source de<br />
chaleur. Le développement et l’évolution de la vie, dans de t’elle condition<br />
environnementale, seront tout vraisemblablement orientée et limité qu’aux<br />
formes de vie unicellulaire et pluricellulaire les plus primitives de la nature.<br />
Prenons l’exemple de notre propre planète et de ses différents phénomènes<br />
géologiques pour illustrer ce phénomène. Comme pour les sources<br />
hydrothermales chaudes sous-marines, ce trouvant à proximité des régions<br />
volcaniques des dorsales Océaniques et situés à très grande profondeur. Les<br />
dorsales Océaniques sont situées à des endroits de la croûte terrestre, ou les<br />
plaques tectoniques de la lithosphère s’écartent les unes par rapport aux autres,<br />
causant ainsi la dérive des continents. La vie évolue et se développe à<br />
proximités de ses fumeroles chaude, atteignant parfois des températures<br />
pouvant aller jusqu’à 380°C, et ce trouvant dans un environnement à forte teneur<br />
en composée chimique réducteur et sans oxygène, comme l’acide sulfurique<br />
(H2S). Ces conditions de vie extrêmes (bactéries extrèmophiles) peuvent exister<br />
dans le sol Marsiens, d’Europa et de Titan.<br />
Formation des dorsales océaniques et les fumeroles, associé à la dérive des continents.<br />
Ces différents phénomènes volcaniques, responsables de la dérive des<br />
continents, sont causés par la remontée radiative et convective du magma, en<br />
104
provenance du centre de la terre. Les régions de la croûte terrestre située alors<br />
entre deux zones principales de convection, seront alors poussés et étirés dans<br />
des directions opposées. Si la pression et la force exercée sont suffisante pour<br />
fracturer et casser la croûte terrestre, alors nous avons la formation d’une<br />
dorsale Océanique ou continentale, comme le rift africain. L’épaisseur du<br />
planché océanique étant très mince à ces endroits, le magma réchauffe l’eau des<br />
océans qui s’infiltre alors par les crevasses et les fissures et ressorte par les<br />
fumeroles situées à proximités, chargés de sels, de minéraux de toutes sortes et<br />
de sulfures dissous.<br />
La gravitation peut avoir également une certaine influence majeure sur ce<br />
phénomène, surtout envers les différentes pressions et cisaillement causé par<br />
les différents effets de marée gravitationnelle, qui est alors exercés entre deux<br />
planètes très rapprochées, comme pour le système Jupiter-Io et Jupiter-Europe.<br />
Europe est recouverte d’une épaisse couche de glace et présente à sa surface,<br />
de grands réseaux de fractures et de fissures, causée principalement par la force<br />
gravitationnelle de Jupiter et la chutes d’astéroïdes. Pour ce qui est de la terre, la<br />
principale responsable de la chaleur interne est causée principalement par la<br />
radioactivité naturelle de certains éléments chimiques instables, et en moindre<br />
mesure par les différents effets causés par les champs électriques et<br />
magnétiques, engendrés en grande partie dans le noyau de la terre. La pression<br />
exercée par les effets des marées gravitationnelles du couple terre-lune, ont<br />
également une certaine influence, bien que très minime.<br />
Nous savons depuis quelque temps que l’activité sismique et volcanique de notre<br />
planète, elle-est précédé et suivis par une certaine forme d’activité électrique et<br />
magnétique, qui est alors propagée dans le sol et le milieu environnant, sur de<br />
très longue distance. Activité qui est alors très favorable à l’évolution de<br />
certaines réactions chimiques et biochimiques de la matière vivante, se trouvant<br />
par exemple aux fonds des océans et a proximité des dorsales Océaniques, ou<br />
ce trouve également plusieurs substances minérales et ions moléculaires de<br />
toutes sortes, ce trouvant alors en solution et en suspension dans l’eau salée,<br />
pouvant à leur tour contribuer aux différents processus du vivant. Fournissant<br />
ainsi, un apport supplémentaire en énergie et en chaleur, pouvant favoriser les<br />
105
différents processus qui sont axés sur l’évolution et le développement chimique<br />
et biochimique de certaines molécules organiques essentielles à la vie.<br />
Vu de Io, satellite de Jupiter qui présente une très grande activité volcanique. Nasa.<br />
Depuis les nouvelles connaissances acquissent et fournis par les sondes<br />
d’explorations interplanétaires, comme voyager 1 et 2 de la NASA. Nous savons<br />
que les phénomènes causés par les effets des marées gravitationnelles, peuvent<br />
avoirs de grands effets sur la géologie et l’activité interne de certains corps<br />
planétaires. L’exemple le plus frappant nous est fourni par Io, petit satellite<br />
naturel de Jupiter. Io est caractériser à sa surface par un volcanisme très actif,<br />
dont les sondes voyageurs nous ont révélés certains de leurs aspects et<br />
photographiées plusieurs d’entre eux en pleines activités volcaniques, lors de<br />
leurs passages rapides effectués à proximité de Io. Un autre exemple nous est<br />
fournit par les geysers actifs se trouvant à la surface de triton, satellite naturelle<br />
de Neptune.<br />
Maintenant poursuivons notre scénario sur l’origine de la vie. Les rayons<br />
ultraviolets, ainsi que d’autres types de radiations émient par l’étoile en formation<br />
et fournis aux différents systèmes prébiotiques en émergences sur la planète,<br />
donne une énergie supplémentaire aux différents constituants moléculaires et<br />
organiques se trouvant à la surface de la planète. L’intensité et la nocivité des<br />
rayons ultraviolets, était à cette époque beaucoup moins importante<br />
qu’actuellement, soit d’environ 30%. Cette nouvelle source d’énergie, permît tend<br />
d’autres d’ailleurs, va permettent aux différentes molécules prébiotiques,<br />
d’interagires entres-elles, afin d’établir ou de briser certaines liaisons chimiques.<br />
106
Permettant ainsi de créer de nouvelles combinaisons chimiques et organiques de<br />
plus en plus complexes. Les molécules organiques ne sont pas tous détruits par<br />
les différentes radiations ionisantes du milieu et en provenance du soleil, comme<br />
les rayons ultraviolets entre autre. Une grande proportion d’entres-elles, sont<br />
bien caché et enfouis dans les différentes structures qui compose le milieu<br />
terrestre, comme les roches, les argiles, les crevasses, l’eau, etc… Leur donnant<br />
ainsi le temps et location de poursuivre leur différente évolution organique et<br />
structurelle.<br />
Meteor Crater s'est formé il y a environ 50 000 ans et qui mesurait 45 mètres. La<br />
météorite avait une vitesse d'environ 100 000 km/h. La force de l'impact est estimée<br />
comparable à une explosion de 20 millions de tonnes de TNT. Meteor Crater a un<br />
diamètre de 1,2 km et une profondeur de 180 m. (Photo de gauche de Barringer Crater<br />
Company, Photo de droite U.S. Army Air Service)<br />
Les conditions environnementales qui règnent alors à la surface des planètes,<br />
qui sont rendu à ce stade de leur évolution, sont terribles étant remplis de<br />
volcans en éruptions, de cratère et de rivière de lave de toutes sortes, d’orage<br />
violent avec éclaire et décharge électrique. Le tout étant entouré d’une épaisse<br />
couche de nuage composé essentiellement de dioxyde de carbone (CO2),<br />
d'azote moléculaire (N2), un peut de méthane (CH4) et d’ammoniac (NH3),<br />
d’hydrogène sulfuré (H2S) et de vapeur d’eau (H2O), un peut comme<br />
l’atmosphère actuelle de la planète vénus/mars.<br />
107
Une autre source provenant du Net<br />
Les premiers métabolismes sont des réactions s'effectuent en deux dimensions,<br />
sur des surfaces minérales. L'incorporation du carbone est assurée grâce au<br />
pouvoir réducteur ("électrons) provenant de la formation de pyrite FeS2<br />
(Wachtershauser, 1989). Nous avons vu que ce minéral est aussi disponible<br />
dans la poussière interstellaire. On obtient ainsi un cycle correspondant à une<br />
version archaïque du cycle de Krebs, permettant incorporation du carbone dans<br />
des molécules organiques et production d'énergie. Les intermédiaires<br />
réactionnels, électriquement chargés, peuvent rester lié de façon électrostatique<br />
à leur substrat minéral. Les espaces entre les feuillets minéraux des argiles et de<br />
certains cristaux sont particulièrement indiqués pour cela. On doit également<br />
considérer le rôle joué par des immersions et des émersions successives du<br />
milieu réactionnel, causé par exemple par les marées. La vie ne se serait alors<br />
pas développée dans la "soupe primitive" mais sur les cotés de la soupière!<br />
Pourquoi ne pas pousser plus loin encore, et considérer que, tout comme cela fut<br />
le cas pour l'oxygène, si l'eau est aujourd'hui indispensable à la vie, cela n'a pas<br />
toujours été le cas, celle ci, au tout début du moins, ayant pour principal<br />
problème de se protéger des effets délétères de ce solvant universel ? On<br />
pourrait envisager un début de la vie "a sec", donc possible même dans l'espace<br />
interstellaire 'jusqu'a un certain point) ! Nous en somme au stade ou des<br />
particules d'origines interstellaires sont recouverts d'une couche moléculaire<br />
comprenant des acides nucléiques liés à des peptides flottent dans l'océan, se<br />
déposent sur le fond et les rives, environnés de gouttelettes sphéroïdales, parfois<br />
liés à elles. Les divers rayonnements subis, l'alternance de cycle de dessiccation<br />
et de ré-hydratation, même partielle, sont à l'origine d'un apport continuel<br />
d'énergie permettant aux synthèses de sa poursuivre. Nos paleoribosomes,<br />
attachés à des membranes primitives, voient leur complexité et leur taille<br />
s'accroître. Ils contiennent des peptides de plus en plus long, de plus en plus<br />
repliés et complexes. Les acides nucléiques deviennent, à force de<br />
complexification, capable d'auto reproduction. Qu'est ce qui les pousse vers la<br />
complexité? Tout simplement l'obligation qu'ils ont de devoir résister à<br />
l'hydrolyse, et pour cela de posséder une séquence leur permettant de se replier<br />
de façon correcte ( Eigen & al., 1981 ).<br />
108
LA CHIMIE ORGANIQUE<br />
Différentes réactions avec le dioxyde<br />
de carbone (CO2), l’eau (H2O), l’azote<br />
(N2), le méthane (CH4), l’ammoniac<br />
(NH3) réagiront avec les rayons<br />
ultraviolets solaires et les éclaires, et<br />
favoriser la formation de toutes sortes<br />
de radicaux libres et de molécules<br />
organiques plus complexes, comme<br />
l’acide formique (HCO2H).<br />
Ces molécules vont réagirent à leurs<br />
tours pour former la formaldéhyde<br />
(H2CO) et l’acide cyanhydrique (HCN).<br />
Les différentes réactions chimiques<br />
qui impliquent alors la formaldéhyde,<br />
vont favoriser la synthèse des sucres<br />
et les différentes réactions chimiques<br />
qui impliquent l’acide cyanhydrique,<br />
vont favoriser la synthèse des acides<br />
aminés, qui par polymérisation vont<br />
ensuite former les protéines.<br />
Les molécules de formaldéhydes et<br />
d’acide cyanhydrique vont ensuite<br />
réagirent entres eux, pour former les<br />
cinq principaux acides nucléiques qui<br />
composent notre ADN, notre ARN et<br />
l’ATP, et qui fournis une grande partie<br />
de l’énergie qui est utilisée par les<br />
cellules vivantes.<br />
L’attraction gravitationnelle de la planète, continu cependant à capturer les<br />
comètes et les astéroïdes de toutes sortes, qui ont le malheur de passer tout<br />
près d’elle. La chute de ces corps, sont au début plus fréquent et très violent,<br />
laissant ainsi des paysages de désolation de toutes sortes après leur collision et<br />
leur impacte sur la planète. Ces différents phénomènes de collisions et<br />
d’impacts, vont ainsi contribués à la formation d’une atmosphère de plus en plus<br />
dense, par l’apport supplémentaire de gaz volatile, comme le dioxyde de carbone<br />
(CO2), l’eau (H2O), l’ammoniaque (NH3), le méthane (CH4) et de certains<br />
hydrocarbures (CnH2n). Certaines molécules organiques, comme la formaldéhyde<br />
(NH2CO), l’acide cyanhydrique (HCN), certains acides aminées, et plusieurs<br />
composer à base de soufre, seront également apportés par ses objets célestes.<br />
La prochaine étape est très déterminante à l’éclosion et à l’évolution de la vie,<br />
certains paramètres comme la température du milieu et l’apport constant<br />
109
d’énergie sous forme de radiations ionisantes, fournit par le soleil, le volcanisme<br />
ou par les décharges électriques des éclaires entre autre, sera alors un facteur<br />
très important à la poursuite de l’évolution et du développement organique de la<br />
vie.<br />
Ainsi, à partir des différentes réactions avec le dioxyde de carbone (CO2) et de<br />
l’eau (H2O) contenu dans l’atmosphère, avec comme source d’énergie les rayons<br />
ultraviolets solaires ou les décharges électriques des éclaires. Nous avons la<br />
formation de monoxyde de carbone (CO) ou d’acide formique (HCO2H), qui à<br />
leurs tours vont réagir pour former la formaldéhyde (H2CO). Le même<br />
phénomène à lieu avec l’azote de l’atmosphère et le méthane (CH4) pour la<br />
fabrication d’acide cyanhydrique (HCN), très soluble dans l’eau. Un autre chemin<br />
110
plus rapide existe pour la synthèse de ces deux molécules organiques. Le<br />
méthane (CH4) mis en présence de molécule d’eau (H2O), va favoriser la<br />
formation de la formaldéhyde (H2CO) et le méthane (CH4) mis en présence<br />
d’ammoniac (NH3) va favoriser la formation d’acide cyanhydrique (HCN). Les<br />
différentes réactions chimiques qui implique la formaldéhyde, vont favoriser la<br />
synthèse des sucres qui sont des hydrates de carbone, et de certains lipides et<br />
acides gras. Les différentes réactions impliquant l’acide cyanhydrique, vont<br />
favoriser la synthèse par précipitation simple des acides aminés, molécules<br />
organiques très importantes entrant, par polymérisation dans la fabrication des<br />
protéines. La formaldéhyde et l’acide cyanhydrique vont ensuite réagirent entre<br />
eux pour former les différents acides nucléiques qui compose notre ADN, ARN et<br />
l’ATP. Elles sont les molécules organiques les plus importantes envers<br />
l’évolution et le développement de la vie. Certaines de ces substances<br />
organiques sont d’ailleurs déjà présentes sur terre, apporter par la chute des<br />
comètes et des cailloux de l’espace, comme cité plus haut.<br />
Un coût toutes ses conditions réunis, plus rien nous empêchent maintenant pour<br />
assister à l’éclosion de la vie. Les différentes molécules organiques se trouvant<br />
alors à la surface de la terre, lors de sa formation. Vont tout simplement subirent<br />
toutes sortes de réactions électrochimiques et physico-chimiques en fonction de<br />
leur concentration, formant ainsi des molécules de plus en plus complexes,<br />
comme certains lipides et hydrates de carbone qui son apparu un peut plus tard<br />
au court de l’évolution. La principale différence entre les hydrates de carbone et<br />
les lipides, réside dans la proportion en radical hydroxyle (OH), elles sont tout<br />
simplement plus nombreuses dans les sucres et presque inexistante dans les<br />
lipides. Ce rapport en radical hydroxyle, caractérise également l’aspect insoluble<br />
des lipides par rapporte au caractère très soluble des sucres et des hydrates de<br />
carbones, cette caractéristique deviendra très importante par la suite, comme<br />
nous allons le voir.<br />
D’autres molécules ayant de très grandes propriétés énergétiques, seront<br />
également impliquées dans la synthèse des molécules organiques, et cela dès le<br />
début de l’évolution de la matière prébiotique sur terre. Il s’agit entre autre des<br />
phosphates inorganiques (PO4 - ), des ions ferreux (Fe 2+ ) et ferriques (Fe 3+ ) en<br />
solution et ionisés par les rayons ultraviolets du soleil, des sulfures d’hydrogènes<br />
111
(SH - ) qui était très abondant à l’époque et des ions hydroxyles (OH - ). Ces<br />
différentes molécules mis en présence avec certains types d’argiles (silicates<br />
d’aluminium) de polarité négative, et envers également d’autres types de<br />
minéraux rocheux, situés à des endroits très humides et à proximité des courts<br />
d’eau, des mares desséchées ou des océans. Vont participer à différentes<br />
réactions chimiques de surface, les argiles servant alors de catalyseur pour<br />
accélérer et orienter les différentes réactions chimiques et prébiotiques, en<br />
fournissant les électrons nécessaires aux différentes réactions d’oxydoréductions<br />
de ses molécules, permettant entre autre de briser les ponts hydrogène des<br />
molécules d’eau. Permettant et favorisant ainsi la synthèse de molécule<br />
organique et prébiotique de plus en plus complexe. La vie en émergence sur<br />
terre, était donc à labrit de cette soupe de matière organique très primitive et<br />
empoisonner. Constituée d’une solution aqueuse remplit d’ion hydroxyle (OH - ) et<br />
de molécules d’eau, dont les liaisons hydrogènes sont si néfastes à la matière<br />
organique, de par leurs propriétés d’hydrolyse très occupée à couper les<br />
différentes liaisons chimiques de cette nature.<br />
Les Groupements Biochimiques Actifs :<br />
Ainsi avec le temps, plusieurs type de molécule organique feront leur apparition,<br />
et réagiront de plus en plus entre eux, pour former des liaisons chimiques de<br />
toutes sortes et très actifs. Il s’agit entre autres des liaisons de type hydroxyle (-<br />
OH) qui caractérise les alcools et des liaisons de type carbonyle (-COOH), qui<br />
caractérise les acides organiques, comme les acides aminés et les acides gras.<br />
Ses deux types de liaisons, peuvent se combiner entre eux, pour former des<br />
liaisons de type ester (-O-CO-), qui caractérise la formation et la condensation<br />
des lipides entre autre, avec l’évacuation d’une molécule d’eau (H2O). Une<br />
liaison carbonyle (-COOH) peut agir avec une liaison amine (-NH2), contenu dans<br />
les acides aminés, pour former des liaisons de type peptidique (-CO-NH-). Ce<br />
type de liaison, favorise la formation des protéines, par différents processus de<br />
polymérisation des acides aminés, avec toujours la même évacuation d’une<br />
molécule d’eau (H2O). Il existe d’autre type de liaison chimique, faisant intervenir<br />
cette fois-ci le soufre, qui était à l’époque très abondant. Il s’agit des thiols (-SH),<br />
112
qui son l’équivalent des alcools, mais dont l’oxygène est remplacé par un atome<br />
de soufre, ils sont utilisés pour la formation des esters entre autre. Les liaisons<br />
de type thiols (-SH) vont réagire avec une liaison carbonyle (-COOH), pour<br />
former les liaisons de type thieosters (-S-CO-), avec encore une fois l’évacuation<br />
d’une molécule d’eau (H2O). Les thieosters son des molécules très actives qui<br />
participe à différentes réactions de catalyse, axées sur le transfère de groupe,<br />
comme pour les molécules d’eau (H2O) et de CO2. Elles participent entre autre, à<br />
la formation des protéines en associant les acides aminés les uns à la suite des<br />
autres, en évacuent à chaque fois une molécule d’eau (H2O). Ces différentes<br />
molécules, sont en fait les nouveaux catalyseurs de la matière organique, et vont<br />
remplacer petit a petit les différentes réactions de surface.<br />
Voici les principales<br />
molécules organiques<br />
qui participent à tous<br />
les processus de la vie.<br />
Nous retrouvons les<br />
hydrates de carbone,<br />
les lipides, les aides<br />
aminées et les acides<br />
nucléiques.<br />
Il y aura également la formation de certains types de lipide bipolaire, qui<br />
mélangés avec de l’eau formeront les premières enveloppes ou vésicules<br />
organiques creuses, jouant ainsi le rôle de membrane cellulaire très primitive.<br />
Dont la partie hydrophile des lipides, constitués par le groupe hydroxyle (OH),<br />
113
seront orienter vers l’extérieur de la vésicule organique et en contact direct avec<br />
l’eau, étant plus soluble et plus compatible avec les liaisons polaires de type<br />
hydrogène. La partie hydrophobe des lipides, constitués par les groupes CH,<br />
CH2 , et CH3 , sont moins soluble dans l’eau et seront donc orientés vers<br />
l’intérieur de la vésicule organique. Permettant ainsi différentes réactions<br />
moléculaires et biochimique bien spécifiques et au sec, qui seront alors orientés<br />
et dirigés en quelques sortes sur les différents mécanismes de l’évolution des<br />
molécules organiques. Les hydrocarbures (CnH2n). Ce sont de longues chaînes<br />
de carbone et d’hydrogène, qui regroupe certains dérivés du pétrole, elles sont<br />
des molécules hydrophobes très insolubles dans l’eau, et elle ne possède pas de<br />
partie hydrophile, comme les lipides.<br />
Certains des acides aminées les plus simples, former en moyenne d’une<br />
quinzaine d’atomes chacun, seront ainsi créer comme la glycine, l’alanine, et<br />
l’acide aspartique, etc... Ces différentes molécules organiques entreront plus<br />
tard, par différents processus de polymérisations dans la fabrication et la<br />
composition des macromolécules organiques beaucoup plus complexe, comme<br />
les protéines et les enzymes. Et pour finir notre énumération des composer<br />
organiques, nous assisterons à la formation de certaines base nucléique, former<br />
de quelque dizaine d’atome seulement, comme le carbone, l’oxygène, l’azote et<br />
l’hydrogène. Les bases nucléiques sont très importantes dans les différents<br />
processus de l’origine et de l’évolution de la vie. Ses molécules associées avec<br />
un sucre, comme le ribose ou le désoxyribose et une molécule de phosphate<br />
organique (PO4), forme en fait les nucléotides qui sont en réalité les briques<br />
fondamentales et essentielles à la vie, participant à la construction de nos<br />
différentes structures génétiques composées d’ADN et d’ARN, comme l’adénine,<br />
la thymine, la guanine, la cytosine et l’uracile qui remplace la thymine dans les<br />
ARN. Voir le schéma suivant sur les principales molécules organiques qui<br />
participent à tous les différents processus de la vie.<br />
Les Premières Formes de Vie Unicellulaire :<br />
La terre est âgée de 4,6 milliards d’années environ et la vie y est apparut voilà<br />
environ 3,8 milliards d’années, sous la forme de bactéries Entre cet intervalle de<br />
114
temps, la vie s’est développé et a évolué progressivement vers une forme de vie<br />
représentée par les protobiontes (ou peut-être par des nanobactéries), ancêtre<br />
direct de toutes les formes de vie cellulaire. Ce sont des organismes biologiques<br />
très simples et très primitifs, ressemblant en quelque sorte aux virus, avant de se<br />
diriger par la suite vers l’évolution des bactéries. En premier lieu les différents<br />
composés organiques et chimiques, vont subirent d’innombrables combinaisons,<br />
selon leurs différents degrés affinités, qui est étroitement reliés à leurs différentes<br />
propriétés électrochimiques. Par la suite, après d’innombrables essaient,<br />
effectués de manière plus ou moins aléatoire envers les molécules organiques et<br />
toujours basées sur une meilleure adaptation environnementale. Certaines des<br />
composés organiques ainsi créent, finiront par établir les bases structurelles et<br />
biochimiques, envers une évolution organique de plus en plus complexes.<br />
Archéobactérie en pleine division (procaryotes).<br />
Certaines molécules organiques, vont ainsi s’unirent et s’associés avec les<br />
vésicules lipidiques, décrite un peut plus haut pour former certaines structures<br />
organiques très complexes, les protobiontes. Leur permettant ainsi de poursuivre<br />
leur évolution tout en ayant la possibilité de transmette certaine de leur nouvelle<br />
caractéristique biologique et biochimique. Différente structure moléculaire,<br />
comme les ancêtres des ARN de transfèrent ou de l’ATP, qui sont des molécules<br />
organiques de la même famille que l’ADN, vont ainsi servirent de premier<br />
catalyseur et d’énergie envers certaines réactions organiques et biochimiques de<br />
cette époque. Remplacent ainsi les différentes réactions de surface, beaucoup<br />
moins efficace et effectués de manière plus lente. La caractéristique majeure des<br />
catalyseurs, envers les différentes réactions biochimiques dans laquelle elle<br />
115
participe et contrôle, leur vienne du fait que leur structure moléculaire active n’est<br />
pas modifier ou altérées après une réaction chimique, elles sont donc capables<br />
de participer immédiatement à une nouvelle réaction biochimique. Ces<br />
différentes structures moléculaires et organiques, vont évoluer par la suite pour<br />
donner naissance au premier véritable système biologique de réplication et de<br />
reproduction cellulaire. Elles vont ainsi favoriser l’évolution de la toute première<br />
forme de vie véritable, représenter par une sorte de cellule faisant partie de la<br />
famille des procaryotes, très primitive et incomplète sur le plan de l’autonomie<br />
fonctionnelle, et qui sera l’ancêtre commun de toutes les cellules vivantes.<br />
Ces différentes structures organiques, vont évoluer et donner naissance à toutes<br />
sortes de vie unicellulaire, qui a si bien caractériser cette époque de l’évolution<br />
de la vie sur terre. En premier lieu nous retrouvons les procaryotes, qui sont des<br />
cellules ne possédant pas de noyau cellulaire bien délimité, pouvant contenir les<br />
molécules de leur ADN. Ses derniers étant tout simplement libres dans le<br />
cytoplasme de la cellule et en forme d’anneau. En second lieu nous avons les<br />
eucaryotes, qui sont des cellules de structure beaucoup plus complexe,<br />
possédant un noyau bien définit et ayant fait leur apparition un peut plus tard<br />
dans l’évolution, soit au environ de 1,6 milliards d’années. Les premiers<br />
procaryotes à faire leur apparition sur terre, sont représentés par différentes<br />
formes de bactéries très anciennes, elles sont regroupées en trois groupes bien<br />
distincts.<br />
Le premier groupe est représenté par les archéobactéries. Les archéobactéries<br />
sont les plus anciens des procaryotes et probablement l’ancêtre de toutes les<br />
cellules vivantes. Nous y retrouvons les méthanogènes, bactéries qui aimes le<br />
méthane, des phototrophes, bactéries qui aimes la lumière et des<br />
thermoacidophiles, bactéries qui aimes la chaleur. Ces bactéries vivaient à cette<br />
époque dans des environnements anaérobie, c’est-à-dire sans oxygène. Les<br />
méthanogènes possède un métabolisme basé sur le dioxyde de carbone (CO2)<br />
et l’hydrogène, tout en rejetant dans l’atmosphère le méthane (CH4). Les<br />
descendants de ces bactéries, vives actuellement en parfaite symbiose dans le<br />
tube digestif des ruminants, leurs permettant ainsi de mieux digérer l’herbe et le<br />
foin. Les phototrophes représentes les différents groupes de bactéries, qui<br />
possèdent un métabolisme axé sur la lumière et le dioxyde de carbone (CO2),<br />
116
tout en rejetant dans l’atmosphère terrestre de l’oxygène moléculaire (O2). Les<br />
thermoacidophiles vivent seulement à proximités des sources hydrothermales<br />
sulfureuses et très chaudes, se trouvant à très grande profondeur et tout près<br />
des dorsales océaniques. Elles sont tout probablement les cellules les plus<br />
proches de la véritable source originelle, avec un métabolisme basé sur le<br />
soufre. Elles vivaient à cette époque à la surface de la terre, avant la formation<br />
des océans et du changement drastique de la composition de l’atmosphère<br />
terrestre, en oxygène moléculaire.<br />
Le deuxième groupe des procaryotes, est représenté par les eubactéries. Les<br />
eubactéries sont les véritables ancêtres des bactéries actuels, et elles font partie<br />
de la deuxième famille de bactérie à faire leurs apparitions sur terre. Elles<br />
vivaient et évoluaient dans un environnement aérobie et donc en présence<br />
d’oxygène. Les plus anciennes d’entre elles possèdent un métabolisme qui était<br />
axée sur la photosynthèse, un peut comme les chloroplastes des cellules<br />
végétales actuelles et les autres possédaient un métabolisme qui était basé sur<br />
la respiration cellulaire en présence d’oxygène, un peut comme les<br />
mitochondries de cellules animales actuelles. Dans cette catégorie nous<br />
retrouvons par exemple, les cyanobactéries ou algue bleue, qui vivaient à cette<br />
époque aux abords des mers chaudes sous forme de stromatolithe, ou encore<br />
des ancêtres des bactéries Escherichia Coli, vivant actuellement en parfaite<br />
117
symbiose dans l’intestin de l’homme. Et finalement nous retrouvons le troisième<br />
groupe des procaryotes, qui est représenté par les urcaryotes. Ce sont les<br />
véritables ancêtres de toutes les cellules de type eucaryotiques actuelle. Les<br />
urcaryotes allaient permettes par la suite, l’évolution et le développement des<br />
organismes vivants supérieur, comme les protistes unicellulaires (Protozoaires)<br />
et des organismes pluricellulaires (Métazoaires).<br />
Les ancêtres des mitochondries et des chloroplastes, étaient des cellules de type<br />
procaryote. Les chloroplastes sont des organelles cellulaires, vivant actuellement<br />
en parfaite symbiose avec toutes les cellules eucaryotes du règne végétal actuel.<br />
Donnant ainsi aux plantes la possibilité d’extraire le dioxyde de carbone (CO2) de<br />
l’atmosphère, qui était alors très abondant à cette l’époque, pour fabriquer des<br />
sucres dont elle a de besoins, tout en libérant de l’oxygène moléculaire (O2) dans<br />
l’atmosphère. Provoquant ainsi une diminution constante de d’effet de serre, qui<br />
était alors causée par l’abondance du CO2. Les mitochondries sont des<br />
organelles cellulaires vivant actuellement en parfaite symbiose avec toutes les<br />
cellules eucaryotes du règne animal, étant responsable entre autre de la<br />
respiration aérobie face à l’oxygène, servant à oxyder des composés organiques<br />
simple.<br />
Près de 2,7 milliards d’année après la formation de notre planète, et 1,5 milliards<br />
d’années après l’apparition des premières formes de vie unicellulaire sur terre.<br />
L’atmosphère de la terre allait donc subir une sorte de transformation majeure,<br />
envers sa concentration moléculaire en oxygène. Transformant ainsi tout<br />
l’équilibre environnemental qui se trouvait alors à la surface de la terre, et causée<br />
essentiellement par les différents processus biochimiques de la vie organique,<br />
basé alors sur la photosynthèse. L’oxygène moléculaire est un composé<br />
chimique très toxique de part ses différentes propriétés chimiques très<br />
oxydantes, comme les radicaux hydroxyle (OH), qui sont très réactionnel en<br />
présence d’oxygène ou d’hydrogène, ou encore des super oxydes ou de l’eau<br />
oxygénée. Mettant ainsi en danger tous les composés organiques intervenant<br />
dans les différents processus biochimiques de la vie et évoluant à cette époque<br />
dans des milieux anaérobie, donc dans un environnement sans oxygène ou très<br />
peut. Les mitochondries allaient êtres la solution idéale apportée par la nature,<br />
afin de résoudre ce problème et de permettes aux organismes vivant de<br />
118
s’adapter à ce nouveau milieu aérobie, contenant de plus en plus d’oxygène. En<br />
plus de leur métabolisme basé sur la respiration cellulaire en présence<br />
d’oxygène, les mitochondries vont inventer d’autres stratégies moléculaires pour<br />
combattre les différents effets pervers et oxydants de l’oxygène, comme les<br />
antioxydants qui sont des capteurs de radicaux libres à base d’oxygène, ou<br />
encore des vitamines C et E.<br />
Les mitochondries sont donc apparues un peut plus tard dans l’évolution de la<br />
vie, juste après les ancêtres des chloroplastes. Tout comme les cellules de type<br />
eucaryote, qui ont probablement fait leurs apparitions vers cette même époque.<br />
Les ancêtres des chloroplastes et des mitochondries, sont donc des espèces de<br />
cellules bactériennes qui ont parasité à une certaine époque, les cellules de type<br />
119
urcaryotes. Qui petit à petit les ont transformées en cellule de type eucaryote, et<br />
qui depuis vivent en parfaites symbioses avec leurs cellules hôtes de type<br />
végétal ou animal. Leurs différentes associations avec les cellules urcaryotes, à<br />
permit aux eucaryotes de s’adapter beaucoup plus efficacement à l’oxygène<br />
moléculaire, tout en favorisant l’évolution des cellules eucaryotes aux dépend<br />
des urcaryotes. Les eucaryotes sont de 3 à 10 fois plus grande que les bactéries<br />
en générale. Les protistes sont les premiers eucaryotes unicellulaire à faire leur<br />
apparition, ils sont divisés en deux sous-groupes, les protophytes ancêtres de<br />
toutes les cellules végétales et les protozoaires ancêtres de toutes les cellules<br />
animales. Ce sont probablement les eucaryotes qui ont inventé la reproduction<br />
sexuée, leur donnant ainsi un avantage énorme sur le plan de l’évolution et de la<br />
diversification biologique.<br />
Les Premières Colonies de Bactéries :<br />
Aux files des années et des siècles, certaines bactéries se sont regrouper pour<br />
former des colonies, afin de facilité leur survie et leur adaptation face à<br />
l’environnement. Il s’agit de l’émergence des toutes premières sociétés<br />
cellulaires qui cohabite ensemble et effectue un certain type de partage ou<br />
division du travail de survit. Comme les stromatolithes (photo ci-haut) qui sont les<br />
premiers vestiges calcaires de colonie de cyanobactérie, qui ont peuplé la terre à<br />
cette époque. Les cellules se trouvaient donc regroupés à des endroits bien<br />
différents à l’intérieur de ses colonies. Elles avaient donc accès aux différents<br />
éléments nutritifs du milieu de manières très différentes, selon les positions<br />
respectives qu’elles occupaient à l’intérieur de celle-ci. Pour assurer ainsi leur<br />
survie, certaines de ses bactéries se sont donc mises à coopérer de plus en plus<br />
étroitement avec leurs entourages, en échange ou en transférant de temps à<br />
autres, certains de leurs éléments nutritifs ou produit de métabolisme. Processus<br />
qui a été grandement facilité par la suite par l’intervention de certaines formes de<br />
mutations génétiques, qui ont été effectués de manière tout à fait aléatoire, mais<br />
complémentaire sur le plan de l’adaptation et de l’évolution.<br />
Plusieurs facteurs environnementaux peuvent interagire avec l’ADN et causés<br />
toutes sortes de mutations, comme les rayons ultraviolets, certaines substances<br />
120
chimiques, la foudre et des erreurs de transcriptions, etc... Les bactéries ont ainsi<br />
évoluées, en favorisant et en établissant différentes formes de contactes très<br />
étroits entre elles et leur environnement et par différente forme de<br />
communication intra et extracellulaires, effectués de manières quasi<br />
permanentes entre elles. Les différentes formes de communications entrent les<br />
bactéries, étaient alors rendu possible grâces à différents processus<br />
biochimiques et génétiques axés sur certaines molécules organiques, ce<br />
trouvant alors situées à la surface de la membrane cellulaire des bactéries,<br />
ligand et récepteurs. Ainsi certaines d’entres-elles vont se spécialiser de plus en<br />
plus et se concentrée d’avantage sur la production et la sécrétion de différentes<br />
molécules, qui seront par la suite évacuée à l’extérieur d’elles pour informer les<br />
autres bactéries de ses besoins essentielles (activateur exogène de certaine<br />
séquence génétique). Nous avons ici l’ancêtre du mécanisme cellulaire, qui est<br />
reliés à la sécrétion et à la communication à distance, qui est effectuées entre<br />
autres par certains type d’hormones ou de facteurs biochimiques.<br />
De file en aiguille, avec les différentes formes de mutations génétiques, qui<br />
seront à l’avenir orientées sur les différents aspects de la communication intra et<br />
extracellulaire. Vont avoir une certaine forme de répercussion complémentaire<br />
sur le plan moléculaire et biochimique, qui seront acquissent par différentes<br />
modifications effectuées sur la structure génétique interne de ses bactéries, et<br />
devenir par la suite une acquisition qui sera de plus en plus diversifier et<br />
complexes. La cellule possède différentes stratégies moléculaires et<br />
biochimiques pouvant lui permettre de s’adapter à son environnement, et<br />
d’acquérir ainsi une certaine forme d’équilibre. Elles possèdent également des<br />
mécanismes d’ingénieries moléculaires, servant à la réparation de leurs brins<br />
d’ADN, qui à ses époques très reculées de l’évolution de la vie, n’était tout<br />
simplement pas aussi performante qu’actuellement. Plusieurs formes de<br />
mutations sont alors rendues possibles, par des erreurs effectuer pendant la<br />
transcription et la copie de l’ADN, lors de la division cellulaire des bactéries. Les<br />
cellules bactériennes possèdent également différents mécanismes leurs<br />
permettant d’échangés entres-elles, certaines morceaux d’ADN. La conjugaison<br />
bactérienne comme moyen de reproduction.<br />
121
D’autres phénomènes génétiques sont également mis en jeu, comme la<br />
découverte en 1940 des séquences mobiles d’ADN pouvant se déplacer à<br />
l’intérieur de la structure génétique d’une cellule. Élément transposable<br />
permettant une diversité génétique, encore plus grande face à l’évolution des<br />
espèces. Elle consiste pour la cellule à couper une certaine partie de son ADN,<br />
dans le but de la recoller à un autre endroit, situé à l’intérieur de sa structure<br />
génétique. Le morceau d’ADN, se trouvant ainsi déplacer de sa position initiale<br />
et recoller ailleurs dans la structure génétique de la cellule. Elle favorise ainsi<br />
différentes formes d’adaptations possibles et accidentelles envers l’expression<br />
de nouvelles caractéristiques moléculaires, biochimiques et génétiques des<br />
cellules face à leur environnement, tout en augmentant du même coût ses<br />
différentes possibilités de survie. Dont certaines de ses caractéristiques, étant<br />
les plus favorables à l’évolution et à l’adaptation des cellules envers leur milieu,<br />
seront désormais transmises et conservées sous forme héréditaire, favorisant<br />
ainsi la survie de l’espèce sur le plan de la sélection naturel. Tandis que les<br />
autres cellules et bactéries n’ayant pas réussit, en des temps raisonnables à<br />
s’adapter adéquatement à leur nouveau milieu et à leur environnement. Seront<br />
tout simplement remplacer par les nouvelles générations, dont ceux n’ayant pas<br />
les mêmes caractéristiques d’adaptation génétiques face à leur environnement,<br />
seront tout simplement appeler à disparaître.<br />
C’est le processus standard qui est attribué à l’évolution de la vie et à la sélection<br />
naturelle des espèces, ou le plus fort envers ses différentes capacités<br />
d’adaptations sur le plan génétique et physiologique, l’emporte tout simplement<br />
sur les autres et assure ainsi à sa descendance les meilleurs attributs génétiques<br />
possibles. Certaines de ses mutations accidentelles effectuées sur le plan<br />
génétique, ont ainsi favorisé différentes interventions possibles sur<br />
l’environnement, qui par le développement et l’adaptation de leur différente<br />
fonctionnalité, dont certaines d’entre elles se sont tout simplement révélés très<br />
utiles. Ont tout simplement été sélectionné afin de favoriser une meilleure<br />
adaptation possible face à l’évolution.<br />
122
La faune d'Édiacara est apparue il y a quelques 670. Origine des métazoaires (organismes<br />
pluricellulaires). Elle a été découverte dans les monts Édiacara en Australie.<br />
(Stephen Jay Gould, La vie est belle.Seuil, 1991)<br />
La faune tommotienne est apparue il y a 530 Ma (elle a durée quelques millions d'années seulement). Elle<br />
tire son nom de Tommo une petite ville de Sibérie. C’est l’étape de l’apparition des métazoaires qui est associé à<br />
la minéralisation des squelettes des mollusques.<br />
La faune de Burgess, apparue il y a 525 à 528 Ma et qui a disparue brusquement vers -510 Ma. Elle tire son<br />
nom du Schiste de Burgess, ou le Parc national de Yoho en Colombie-Britannique. C’est le "big bang" de la vie.<br />
123
Adaptation qui résulte en fait d’un processus purement biochimique, visant tout<br />
simplement des meilleures affinités électrochimiques complémentaires sur l’état<br />
vibratoire et réactionnel des différentes molécules impliquées dans ses<br />
différentes réactions chimiques et processus d’équilibre chimico-dynamique.<br />
Ainsi selon la position occupée par une bactérie à l’intérieur d’une colonie<br />
quelconque. Différents processus biochimiques, faisant partie d’un ensemble de<br />
possibilité génétique beaucoup plus vaste et pouvant être exprimé en fonction<br />
des différentes situations d’équilibre et de complémentarité environnementale,<br />
biologique et biochimique. Seront tout simplement sélectionnés et mis en<br />
contribution pour répondre aux différents besoins de survie des bactéries. Peut<br />
importait désormais la position occupée par une bactérie à l’intérieur de la<br />
colonie.<br />
La Faune de Burgess au début du Cambrien.<br />
Ces différentes contributions sur le plan génétique et biochimique, qui ont été<br />
acquit à travers toute l’évolution, seront désormais sélectionnées et activées en<br />
fonction de certains facteurs environnementaux, qui seront alors capter et traduit<br />
par les cellules, afin de mettre en activité certaines région génétique axée sur la<br />
production de certaines protéines et enzymes. Dont l’activité et l’action première,<br />
sera d’effectuées une certaine forme de complémentarité biochimique, visant un<br />
meilleur équilibre fonctionnel et dynamique de la cellule face à son<br />
124
environnement. C’est un mécanisme qui est basé sur la communication et la<br />
spécialisation cellulaire, par différents processus d’activations de certaine<br />
séquence génétique d’ordres complémentaires, et ceci afin d’adapter la survit de<br />
la bactérie en fonction de la position exacte, qu’elle pourrait occuper désormais à<br />
l’intérieur d’une colonie. De cette manière, les bactéries d’une colonie pourront<br />
êtres désormais situés à n’importe qu’elles endroit de celle-ci, et même changer<br />
de place. Ce phénomène sera par la suite à l’origine des différents gènes<br />
homéotiques, qui sont axés sur le développement et la segmentation des<br />
cellules. Phénomène qui est d’ailleurs essentielle à la différenciation et la<br />
spécialisation des cellules, composant les différents organismes pluricellulaires.<br />
Les Organismes Pluricellulaires : (les métazoaires)<br />
Ceci termine l’évolution de la vie unicellulaire, qui a été le processus de<br />
l’évolution de la vie la plus longue sur terre, s’échelonnant sur une période de<br />
temps de plus de deux milliards d’années environ. Nous allons maintenant nous<br />
diriger vers la vie pluricellulaire, qui est responsables de tout la biodiversité des<br />
organismes supérieurs, vivant actuellement sur notre planète. Elle représente<br />
d’ailleurs, les formes de vie les plus complexes du règne animal et végétal, face<br />
à l’évolution. L’étape suivant envers l’évolution de la vie, allait être et devenir très<br />
déterminant, sur le plan structurel des organismes vivants. Il s’agit de plusieurs<br />
types de mutations génétiques successives, qui ont favorisé une certaine forme<br />
de contrôle hiérarchisé sur le plan génétique, et visant une certaine catégorie de<br />
gène bien spécifique, qui pouvaient désormais contrôler et régulariser<br />
l’expression de plusieurs autres gènes. Ceux-ci possédaient des caractéristiques<br />
fonctionnelles bien définis, et acquis à des époques bien différentes à travers<br />
l’évolution et qui allait favoriser un meilleur équilibre envers les milieux extérieurs<br />
et environnementaux. Ici il s’agit des véritables gènes homéotiques de<br />
segmentation et de développement cellulaire, qui ont été acquit seulement par<br />
les cellules de type eucaryote les plus évoluées. Désormais et pour la première<br />
fois dans toute l’histoire de l’évolution de la vie sur terre, une seule cellule sera<br />
nécessaire pour développer un organisme vivant complet et très complexe.<br />
Constituer de plusieurs organes physiologiques très différents et bien définis, et<br />
qui seront étroitement reliés entre eux par différent processus de communication<br />
et de différenciation cellulaire, le tout étant sous contrôle génétique. Cette<br />
125
époque remonte à plus de 700 millions d’années environ, à l’époque géologique<br />
correspondant au Précambrien et qui est caractérisée par une sorte d’explosion<br />
des organismes vivants pluricellulaires à corps mous, comme les méduses et les<br />
éponges.<br />
Origine des Différents Capteurs Sensoriels :<br />
Certaines caractéristiques cellulaires déjà acquises et bien définis envers<br />
l’évolution des organismes unicellulaires et pluricellulaires, vont désormais<br />
servires d’ébauches pour le développement de cellule et d’organe, pouvant servir<br />
de récepteur sensoriel envers les différents stimulent en provenance de leur<br />
environnement. Voici donc une petite description, qui est d’ailleurs très<br />
hypothétique, sur l’origine et l’évolution de ces différentes caractéristiques, sur le<br />
plan cellulaire et génétique, dont la vie allait encore une foi vouloir garder la trace<br />
tout au long de son évolution. Ces différentes formes de caractéristiques<br />
moléculaires et biochimiques, sur le plan génétique et cellulaire, allaient devenir<br />
très déterminantes par la suite, envers l’évolution des organismes vivants<br />
pluricellulaires. Ainsi les différentes formes de contactent et de jonctions<br />
extracellulaires, et les différentes formes de communication inter et<br />
extracellulaires, établis entres les bactéries d’une même colonie, allaient servire<br />
de base pour la création de nouveaux type cellulaire, véritable ancêtre des<br />
cellules nerveuses et sensorielles.<br />
Les différents processus biochimiques et génétiques, qui interviennent dans les<br />
communications cellulaires et pour l’établissement de jonction de contacte entre<br />
les bactéries. Vont tout simplement évolués et devenir petit à petit très spécialisé<br />
dans la détection de différents paramètres physico-chimiques, électrochimiques<br />
et photo-chimiques de l’environnement. Les bactéries thermophiles, qui sont les<br />
plus vieux organismes procaryotique vivant à faire leur apparition sur terre, vont<br />
tout simplement transmettes certaines de leurs caractéristiques biochimiques<br />
acquises sur le plan génétiques, aux futures générations de bactéries. Afin de<br />
leur permette entre autre la détection de différente variation thermique de leur<br />
environnement immédiat. Donnant ainsi naissance beaucoup plus tard, à de<br />
véritables cellules sensorielles de type nerveuses sensible à la détection de la<br />
chaleur, et faisant partie de nos cinq sens actuelles. Ici il s’agit d’une bifurcation<br />
évolutive et structurelle des organismes vivants qui allait permettes un niveau<br />
126
éactionnel et interactionnelle plus grande face aux différents milieux de vie en<br />
évolution. (très hypothétique)<br />
La pression exercer par le flux et le relut des marées, pouvait être un indicateur<br />
éventuel pour les bactéries de la venue de leur source de nourriture ou d’un<br />
danger potentiel. Les marées de cette époque, était 30 fois plus fortes que celles<br />
d’aujourd’hui, elles pouvaient donc avoir de réelle impacte sur le par tour des<br />
mers et des océans, pouvant même menacer la survie des bactéries et de leur<br />
colonie également. La lune était 3 fois plus proche de la terre, qu’elle ne l’est de<br />
nos jours et elle en faisait le tour en 5 jours seulement, ce qui a eu comme<br />
conséquence directe d’accélérer la rotation terrestre, qui s’effectuait alors en une<br />
dizaine d’heures seulement. Aujourd’hui la lune s’éloigne toujours de nous, de<br />
quelques centimètres par années, ralentissant ainsi la rotation terrestre, de<br />
quelques secondes par millénaires.<br />
Les différentes pressions exercées sur la membrane cellulaire des bactéries,<br />
subissant alors des compressions et des entassements réguliers d’ordre<br />
physico-chimiques et pouvant être causées par le vent, les marées et les<br />
tempêtes etc… Vont donner naissance petite à petit à d’autres types cellulaires<br />
très spécialisés, possédant des caractéristiques d’ordres sensorielles, et ceci<br />
après plusieurs types de mutation effectués de manière purement aléatoire.<br />
Favorisant ainsi la survie des bactéries par l’intermédiaire de nouvelle capacité,<br />
qui leur permettraient désormais de détecter certain phénomène d’ordre<br />
environnemental. Leur permettant également d’orienter et d’ajuster certaines de<br />
leurs activités biochimiques, afin de réagir rapidement et de manière adéquate à<br />
cette nouvelle situation pouvant menacer leur survie.<br />
Ces différents processus d’adaptations sur le plan génétique, pourraient bien<br />
êtres à l’origine des premières cellules sensorielles spécialisées dans le toucher<br />
et la détection des variations de pressions, aux différentes cellules spécialisés<br />
dans la détection de certains composées chimiques, comme pour le goût avec<br />
nos papilles gustatives et finalement aux cellules spécialisées dans l’audition et<br />
pour le maintient de l’équilibre, comme pour les cellules nerveuses de la<br />
cochléaire et de l’appareille vestibulaire de notre oreille interne. Les bactéries<br />
photosynthétiques, vont plutôt favoriser une évolution et une transmission des<br />
différentes caractéristiques moléculaires, reliées aux phénomènes photo-<br />
127
chimiques de nos cellules sensorielles impliqués dans la vision, comme les<br />
cellules en formes de cônes et de bâtonnets de la rétine de l’œil. Toutes ses<br />
différentes caractéristiques biologiques et physiologiques, acquises sur le plan<br />
de l’évolution cellulaire et génétique, ont étés transmis en gardées à l’intérieur<br />
des séquences d’ADN des cellules, et ont tout simplement étés activés au<br />
moment voulut et selon les différentes pressions environnementales visant des<br />
états d’équilibre et d’harmonie structurelle toujours grandissant. Représentant<br />
alors une forme d’intron génétique, ou de structure génétique non utilisés avant<br />
leur activation.<br />
Les prochaines poussées évolutives des organismes vivants d’ordre supérieurs,<br />
vont ainsi favoriser le développement anatomique et physiologique de l’œil et de<br />
la vision, ainsi que plusieurs autres types d’organes biologiques. Cela est rendu<br />
possible grâce à différents mécanismes génétiques, axés sur la différenciation et<br />
la spécialisation cellulaire, comme les gènes homéotiques. Mécanisme qui est<br />
d’ailleurs contrôlé entièrement par les différents processus de la communication<br />
cellulaire, et effectué par l’intermédiaire de différents signaux chimiques qui sont<br />
alors libérés à l’extérieur des cellules et ayant comme objectif de coordonner<br />
l’ensemble du développement d’un organisme vivant pluricellulaire. Ces<br />
différentes molécules ont pour objectifs, d’activé certains séquences génétiques<br />
des cellules, afin de faire ressortir certains traits bien caractéristiques, reliés à<br />
certaines fonctionnalités biochimiques des cellules et servant entre autre à<br />
maintenir une certaine forme d’équilibre structurelle, entre les différents tissus et<br />
organes d’un organisme vivant face à son milieu de vie.<br />
Les différentes propriétés reliées aux déplacements des bactéries primitives,<br />
vont ce développer et contribuer aux futurs attributs des cellules musculaires,<br />
adapter pour le mouvement des organismes supérieurs. Les différents processus<br />
biochimiques et génétiques, impliqués dans la nutrition et la défécation des<br />
résidus, ainsi que les différents mécanismes impliqués encore une fois dans les<br />
différents processus de la communication inter et extracellulaire. Vont évolués<br />
pour finalement donner naissance aux premières cellules spécialisées dans la<br />
sécrétion d’hormone et de défense immunitaire. Toutes ses différentes<br />
caractéristiques génétiques et évolutives, seront désormais contenus et<br />
regroupés à l’intérieur de la structure génétique de toutes les cellules d’un<br />
128
organisme vivant, présentant ainsi les mêmes caractéristiques et attributs<br />
génétiques de base face à l’évolution et envers également les différents<br />
processus d’adaptations.<br />
Par la suite, la vie poursuivra son évolution à la surface de la terre, en prenant<br />
alors différentes formes de vie végétales et animales. Elle avancera<br />
incontestablement aux files des époques et des aires géologiques, pour<br />
finalement aboutire à notre époque avec une si grande diversité biologique. La<br />
période géologique du Cambrien, qui remonte à plus de 600 millions d’années,<br />
est bien caractérisé par l’évolution et par la progression très rapide des<br />
organismes vivants pluricellulaires, comme les plante et les animaux aquatiques.<br />
Tous ses différents processus envers l’origine et l’évolution de la vie, ne sont<br />
donc pas attribuable au hasard seul. Mais font réellement partis d’un ensemble<br />
de possibilité et de probabilité beaucoup plus vaste, porté sur l’évolution<br />
chimique et biochimique de la matière, qui est alors orientée vers des structures<br />
de la matière de plus en plus complexe, et faisant partie de la manifestation des<br />
différentes lois de la nature.<br />
Pour résumer notre histoire sur l’origine et l’évolution de la vie sur terre, nous<br />
pouvons dire que la gravitation réunis et concentre vers un ou plusieurs points<br />
bien spécifiques de l’espace. Les différentes concentrations en élément,<br />
constituées entre autre de molécule et de poussière de toutes sortes et qui se<br />
trouvent alors piégées dans un milieu interstellaire en pleine transformation. La<br />
matière subira par la suite différente réactions physico-chimiques et<br />
électrochimiques, envers les différentes propriétés physiques, chimiques et<br />
électromagnétiques de la matière se trouvant alors dans le milieu en question,<br />
pour finalement subire une certaine forme de convergence structurelle et<br />
évolutive de plus en plus complexe du système. Ces différents processus et<br />
mécanismes naturels de l’évolution structurelle de la matière, peuvent très bien<br />
expliquer et conduire à l’évolution et au développement de la vie, et pourquoi pas<br />
vers la conscience, si les conditions du milieu lui son alors favorable et le<br />
permette, comme cela c’est déjà produit envers l’évolution notre propre espèce<br />
sur terre. Après l’origine et l’évolution de la vie, il nous reste qu’à entrevoir<br />
l’évolution de l’espèce humaine.<br />
129
Et pour finir un petit peut d'imagination, et pourquoi pas. La vie est en fait un<br />
vaste milieu d’échange d’énergie, qui visent des organisations structurelle et<br />
moléculaire de plus en plus complexe de la matière organique, selon certains<br />
états vibratoires qui implique tout sorte de réaction évolutive de la matière. L’eau<br />
est un solvant organique par excellence, son caractère bipolaire favorise<br />
différente réaction moléculaire selon les niveaux d’énergies mis en causes. Deux<br />
antagonismes chimiques et très réactionnels sont alors mis en présence, il s’agit<br />
de l’oxygène et de son potentiel électronénatif très élevé, et de l’hydrogène avec<br />
son potentiel électropositis très élevé. Sous d’autre condition environnementale<br />
l’ammoniac peut jouer le même rôle de solvant organique (NH3). Nous sommes<br />
loin de connaître tous les différents milieux évolutifs planétaires, chaque planète<br />
extrasolaire ont en fait leur propre condition évolutive, en pression de surface, en<br />
composition de leur atmosphère, en différant concentration en éléments<br />
constructifs.<br />
130
Mars, Europa, Ganymède et Titan :<br />
La vie c'est quelque chose qui est isolé de son propre environnement immédiat,<br />
mais en étroite relation chimique avec celui-ci. Capable également de réaction et<br />
de rétro-action dynamique sur son propre équilibre interne avec capacité de ce<br />
reproduire et de s'auto-entretenire. La vie est un ensemble de processus<br />
chimique enfermer dans un micro environnement fonctionnel et séparer de son<br />
milieu extérieur par une sorte de membrane ou autre, mais capable d'interagire<br />
de manière quasi autonome sur l'ensemble de s’est propre fonctionnalité par<br />
l'apport d'énergie et de minéraux extérieurs à elle-même. La vie est également<br />
capable de mouvement auto-entretenut selon une sorte de volonté moléculaire et<br />
a induction chimique visant toute sorte de complémentarité structurelle sur le<br />
plan chimique.<br />
LE MONT OLYMPUS DE<br />
MARS<br />
Le Mont Olympus de Mars est<br />
le plus grand volcan du<br />
système solaire. Avec une<br />
hauteur maximum de près de<br />
24 kilomètres, il est plus que 3<br />
fois plus hautes que le mont<br />
Everest. Il possède un<br />
diamètre de plus de 600 km à<br />
sa base et de 100 km au<br />
sommet. Le mont Olympus est<br />
vraiment un monstre.<br />
Photo : S. Bensusen-SPL-Cosmos<br />
Dans le domaine de la recherche aérospatiale et de l’exploration interplanétaire,<br />
nous pourrions assister très prochainement à la découverte de certains<br />
composée organiques très primitifs, soit sous forme fossilisée ou qui évolue déjà<br />
à la surface d’une d’autre planète ou d’un satellite naturel de Jupiter ou de<br />
Saturne par exemple. Ainsi on pourrait assister en directe aux différents<br />
processus biochimiques qui ont abouti sur terre à l’origine et à l’évolution de la<br />
vie, et même pourquoi pas de découvrir une nouvelle forme de vie unicellulaire<br />
très primitive.<br />
131
Photo de la planète Mars (Valley Marinéris et Cratère Hellas), NASA/JPL/Caltech.<br />
Europa, Photo de Voyager 2 ( NASA )<br />
Titan, Atterrissage du 15 janvier 2005. (ESA)<br />
La découverte d’une quelconque forme de vie qui évoluerait ainsi sur une autre<br />
planète que la terre. Serait pour l’espèce humaine une découverte extraordinaire,<br />
et bouleverserait alors toute notre conception acquise et nos certitudes sur<br />
l’Univers. Elle favoriserait une prise de conscience extraordinaire pour le genre<br />
humain, et remettrait en cause les prémisses même qui découlent de<br />
l’observation directe des lois de la nature. Mais quel soulagement de savoir enfin<br />
que nous ne sommes peut-être pas les seuls êtres évolués et dotés<br />
d’intelligences dans l’univers ? Les dimensions philosophiques, religieuses en<br />
prendraient pour leur rhume, et il faudrait les changer de manière à les rendent<br />
132
plus Universelle et plus juste. Cela mettrait fin et de manière définitive à notre<br />
sentiment de supériorité et d’unicité à travers l’Univers (automorphisme).<br />
Regardons maintenant dans notre propre système solaire, et voyons les<br />
différentes possibilités qu’il nous offre à ce sujet.<br />
La première planète en liste qui nous vient émiettement à l’esprit et qui peut nous<br />
offrires de t’elle possibilité, est bien sur la planète Mars. Situé à plus de 228<br />
millions de km du soleil avec un diamètre de plus de 6 795 km, soit à peut près<br />
de la moitié du diamètre terrestre. Mars se trouve à l’intérieur de la zone de<br />
viabilité du système solaire, qui est favorable à l’éclosion et au développement<br />
de la vie. Cette petite planète de couleur ocre de par l’oxydation du fer contenu<br />
dans son sol, possède une température moyenne qui varie de +20 0 C à –60 0 C<br />
dans les régions équatoriales de la planète, mais cela n’a pas toujours été le cas.<br />
Elle pourrait nous réserver de grande surprise sur l’origine et l’évolution de vie.<br />
Événement qui serait situé à une époque très lointaine dans son passé, et dont<br />
certaine trace pourrait être encore préservée sous forme de fossile dans le sous-<br />
sol qui est gelé en permanence. Les premières traces d’organismes<br />
unicellulaires fossilisés en provenance de cette planète, semble bien avoir été<br />
trouvé tout récemment à l’intérieur d’un météorite (ALH84005) récupéré en<br />
article, et vieux de plus de 16 millions d’années environ.<br />
Mars fut à une époque très lointaine beaucoup plus actif qu’elle l’est<br />
actuellement. Il y a 3,5 milliards d’années environ, le mont Olympus qui est<br />
d’ailleurs le plus gros volcan du système solaire, était alors en pleine éruption et<br />
celle-ci à sûrement durée plusieurs millions d’années vues de son importance. Il<br />
est à noter qu’il existe un gigantesque crater d’impacte qui se trouve tout juste à<br />
l’opposée de la planète et du mont Olympus, il s’agit du cratère Héllas qui date à<br />
peut-prés de la même époque. L’impacte a dut être d’une incroyable puissance<br />
et il est peut-être même le véritable responsable de l’activité sismique et<br />
volcanique de Mars datant de cette époque. D’autre caractéristique de la<br />
géologie martienne démontre sa très grande activité sur le plan géologique et<br />
sismique à une époque très ancienne. Comme la vallée Marinéris qui est une<br />
faille de plus de 4 milles km de long et de 4 km de profondeur, atteignant par<br />
endroit plus de 120 de km de largeur. S’agit-il d’un début de tectoniques des<br />
plaques qui aurait alors mal tourné et avortée, par manque d’énergie, ou s’agit-il<br />
133
d’un événement cataclysmique du genre de celui de la collision avec un<br />
gigantesque astéroïde qui aurait donné naissance au cratère d’impacte Hellas.<br />
Ont retrouve également à la surface de Mars la trace d’ancien nit de fleuve et de<br />
rivières, et dont la présence a été confirmée par les missions <strong>Spirit</strong> et<br />
Oppertunity en 2004. Il y a donc déjà eu à la surface de Mars, une très grande<br />
quantité d’eau (hématite Fe2O3).<br />
Dans le premier milliard d’années de sa formation, Mars à sûrement subis<br />
différents processus géologiques de très grandes ampleurs, qui ont alors<br />
favorisé la formation d’une atmosphère plus dense que celle qu’elle possède<br />
actuellement. Composer essentiellement de CO2, la température moyenne de sa<br />
surface, était à cette époque beaucoup plus élever également. L’évolution de la<br />
matière inorganique en matière organique par différentes réactions chimique, à<br />
sûrement eu lieu sur la planète à cette époque et ce processus de l’évolution de<br />
la vie c’est très probablement poursuivit jusqu’au premier stade de la vie<br />
unicellulaire. À cette époque également la planète contenait une très grande<br />
quantité d’eau. De nos jours cette eau est répartie dans ces régions polaires ou<br />
enfouis sous le sol gelé en permanence de la planète.<br />
Continuons maintenant notre tour d’horizon du système solaire, et regardons de<br />
plus près, les autres possibilités qui peuvent s’offrir à-nous, dans notre quête sur<br />
les débuts de la vie. Passons la ceinture d’astéroïdes et dirigeons-nous vers la<br />
planète Jupiter. Nous avons plusieurs candidates possibles à proximité de<br />
Jupiter, dont trois de ses satellites principaux que sont Callisto, Ganymède et<br />
surtout Europa. Europa est situé à plus de 670 000 km de la planète, avec une<br />
orbite rapide qu’elle effectue en 3,5 jours et un diamètre de 3126 km, à peine<br />
plus petite que la Lune avec c’est 3473 km. Les océans qui sont situer tout en<br />
profondeur d’Europa, et sous une épaisse couche de glace de quelques 50<br />
kilomètres, pourrait nous réserver un jour de grande surprise sur l’évolution et<br />
l’origine de la vie située dans les milieux extrêmes. Europa est situé à peine à<br />
250 000 km de Io et à plus de 400 000 km de Ganymède, celle-ci doit donc<br />
subire de fort effet de marée gravitationnelle du Jupiter et de ses deux satellites.<br />
Ce qui a pour effet de tirailler sa surface de tout les cotés, et dont l’intensité est<br />
plus forte que celle qui est ressentit sur terre par la lune.<br />
134
VÉNUS : Vénéra 1982 MARS : Viking-1 1976 – Viking-2 1979 – Pathfinder 1997 – <strong>Spirit</strong> 2005 – Oppertynuty 2005 NASA/JPL/GSFC<br />
135
Structure interne de Europa.<br />
Détaille de la surface de glace de Europa.<br />
136
Ces différents effets de marée gravitationnelle, sont responsable par exemple de<br />
la très grande activité volcanique de Io, avec ses centaines de volcans et<br />
caldeiras dont certains étaient actifs aux passages de voyageur 1, qui expulsent<br />
de très grande quantité de gaz sulfurique et de soufre dans l’espace et à sa<br />
surface.<br />
Les innombrables crevasses et fissures de glace qui sont visible sur tout la<br />
surface d’Europa, et qui ont été observées par les deux ondes spatiales<br />
voyageur. Seraient-elles causés par les effets directs de la force gravitationnelle<br />
de Jupiter, combinée à celle de Ganymède et de Io. Le planché océanique de<br />
Europa doit également subire de t’elle processus géologique, ce qui favorise des<br />
activités sismiques et volcaniques presque similaires à ceux que subissent les<br />
différentes dorsales océaniques de notre bonne vielle Terre. Il s’agirait alors pour<br />
Europa, d’une sorte de tectonique des plaques qui est relié à la dérive d’énorme<br />
iceberg ou de continent de glace à sa surface, et provoqué par le déplacement<br />
d’énorme quantité d’eau. La surface d’Europa paraît également très jeune, ayant<br />
que très peut de cratère d’impact à sa surface, ce qui semble indiqué une très<br />
grande activité géologique et hydraulique. Les phénomènes sous-marins<br />
d’Europa, peuvent également favoriser la création et la formation des cheminées<br />
hydrothermales, qui injecteraient tout autour d’elles de grande quantité d’eau<br />
chaude à forte teneur en sel et en minéraux de toutes sortes. Ces différentes<br />
conditions sont favorables, en toute comparaison faite avec la terre, à l’évolution<br />
et au développement de la matière organique et à l’émergence de la vie<br />
unicellulaire et pluricellulaire. Un peut comme cela a déjà eu lieu et a toujours<br />
lieu présentement sous les océans de la terre, et a proximité des sources<br />
hydrothermale chaude. Revoir à ce sujet les origines de la vie dans le chapitre<br />
des lois naturelles situé dans la première partie du livre.<br />
Mais que dire vraiment de Titan, le plus gros satellite naturel de Saturne et le<br />
deuxième en importance dans le système solaire après Ganymède. Elle est<br />
presque aussi grosse que Mercure avec un diamètre de 5150 km, et situé à plus<br />
de 1,2 millions de km de Saturne sur une orbite de 15,95 jours (synchrone). La<br />
mission d’exploration interplanétaire Cassini-huygens, qui a quitté la Terre le 15<br />
octobre 1997, à larguer le 14 janvier 2005 sur titan un module d’analyse<br />
atmosphérique très moderne, afin de procéder à l’analyse de son atmosphère et<br />
137
à pris également de merveilleuses photos de sa surface. Cette la troisième<br />
mission après les deux sondes voyager, a nous renseignés sur l’évolution et<br />
l’origine des premiers composés organiques et prébiotiques à travers le système<br />
solaire.<br />
Surface de Titan prise par Huygens à 8 km d’altitude, 15 janvier 2005. ( l'ESA/JPL/U.Az)<br />
Méthane, CH4 Éthane, C2H6 Ammoniaque, NH3<br />
Composition de l'atmosphère : 95% Diazote (N2), 2 % Méthane (CH4), Et des<br />
traces de benzène (C6H6), propane (C3H8), éthane (C2H6), éthylène (C2H4),<br />
Argon, H2O, CO2, l'acide cyanhydrique (HCN), l'acétylène (C2H2), le<br />
cyanoacéthylène (HC5N), cyanogène (CN) et d'un épais brouillards composée<br />
d'aérosols organiques. Véritables passages plus ou moins obligés de la chimie<br />
prébiotique et préorganique. La température moyenne de surface est de 94 K (-<br />
138
180° C) avec une pression atmosphérique de 160 kPa (soit 1,5 bar fois plus que<br />
la terre).<br />
Ce satellite possède à sa surface une atmosphère très dense de plusieurs<br />
dizaines de kilomètres d’épaisseur et de couleur orangée. Il s’agit donc d’une<br />
atmosphère de type réductrice, comme c’était la ça dans les toutes premières<br />
étapes de la formation de l’atmosphère terrestre, ce qui a favorisé l’éclosion et<br />
l’évolution de la vie sur celle-ci par la suite. L’atmosphère de Titan est un<br />
véritable laboratoire de chimie organique et prébiotique, avec une température<br />
moyenne de –180 0 C. Différents processus de synthèse moléculaires et<br />
prébiotique sont à l’œuvres dans l’atmosphère de Titan, ayant comme principale<br />
source d’énergie les rayons ultraviolets solaires. Les différents composés<br />
organiques sont ainsi précipités à la longue à sa surface. Mais que ce passe t’il<br />
vraiment à la surface de celle-ci, et dans des endroits bien cachés à l’abri du<br />
froid ou enfouis dans le sol de Titan.<br />
Les photos retransmises par Huygens et par Cassini, nous montres des<br />
paysages inédits et de toute beauté, composée de rivière et de fleuve asséché<br />
qui serpentent à travers montagne, collines et vallées et ceci vers ce qui nous<br />
semblent être une plage composée de matière gélatineuse de sable, de glaise et<br />
d'hydrocarbure à croûte plus ou moins solide. D'où vient ce méthane qui semble<br />
ce dégager du sol de titan de manière quasi permanente, d'un nouveau type de<br />
gaz, non plus associé aux gaz des marais comme sur la terre (activité de<br />
décomposition oxydative et biologique très inflammable), mais de gaz des plages<br />
de titan (site d’atterrissage). Provient-il des régions situées plus en profondeurs<br />
et ayant une origine par une sorte d'activité géologique naturelle. Est-il le résidu<br />
d'ancienne collision de météorite ayant laissées des nappes enfouis de méthane<br />
sous sa surface, proviennent-elles d'une activité cryovolcanique (confirmé en<br />
2005 par Huygens) ou de séisme quelconque, ou encore d'une sorte d'activité<br />
tectonique de sa croûte, dont les effets de marée engendrée par l'attraction de<br />
Saturne, en serait les causses principaux.<br />
Les forces de marée sur Titan sont d'environ 16 fois plus forte que celle sur terre,<br />
ce phénomène de tiraillement géologique est donc assez important et doit<br />
sûrement avoir un certain impact majeur pour expliquer quelque peut l'extrême<br />
jeunesse de la surface de titan, qui présente une faible densité. Mais que dire si<br />
139
nous découvrions un jour des sources ou des cheminées de type thermal<br />
(phénomènes géologiques comparables à nos fameuses sources<br />
hydrothermales ou fumeroles sulfureuse situées dans les plus grandes<br />
profondeurs de nos océans terrestres et des fausses Abyssales). Y a t-il sur<br />
Titan un phénomène de ce genre qui serait enfouit dans les profondeurs de son<br />
sol et qui pourrait réchauffer tout ses différents composées organique mélangée<br />
avec un peut d'eau liquide. Imaginer la suite si la réponse devrait-être affirmative<br />
un de ses beaux jours. Titan, Europa, Ganymède et Mars nous ont pas encore<br />
divulgué tout leur secret.<br />
Le cryovolcanisme de Titan (Sotin et al., Nature, 2005. Tobie et al., Icarus, 2005)<br />
140
Nous savons que Titan possède une atmosphère très dense, qui est 1 fois et<br />
demi plus dense que celle de la Terre (160 kPa ou 1,5 bar contre 1 bar pour la<br />
Terre). Elle est composée surtout d'azote moléculaire N2, d'argon, de méthane<br />
(CH4) et d'hydrocarbure (CnH2n) de toute sorte. Nous savons également qu'il y a<br />
de l'eau sous forme de glace en quantité non négligeable à sa surface, mais<br />
également sous forme de vapeur et de petits cristaux de glace dans sa haute<br />
atmosphère. Mais les températures de surface ne sont pas trop favorables à<br />
l'éclosion et à l'évolution de la vie (-180 o C). Mais quant même, la vie peut-elle<br />
tout de même avoir eu de très petite chance d'émerger et de se développer sur<br />
ou sous la surface de Titan. Et bien je pense que cela est très probable, bien<br />
qu'étant presque impossible selon nos différentes connaissances actuelles sur la<br />
question de l'évolution et du développement de la vie dans les milieux extrêmes.<br />
Mais nous savons au moins que Titan est très actif géologiquement et que son<br />
atmosphère possède également une activité chimique et prèbiotique très active.<br />
Regardons maintenant de plus près qu'elle(s) pourrai(en)t-être(s) le genre<br />
d'activité géologique sur Titan qui pourrait expliquer ou être responsable en<br />
grande partie de la jeunesse apparente de sa surface. En gros Titan est très peut<br />
dense, elle présente une densité bien plus faible que celle de la Lune, elle est de<br />
1.881 et donc à peine plus lourde que l'eau. Ce qui implique qu'elle est<br />
composée surtout de roche minérale et silicaté en profondeur et vers ses régions<br />
les plus centrales et composées surtout de glace de toutes sortes dans ses<br />
régions plus périphérique, se trouvant à quelques dizaines de kilomètre sous la<br />
surface. La surface semble bien être un mélange de glace, d'hydrocarbure, de<br />
goudrons, de minéraux silicaté ressemblant à de l'argile, de méthane et d'éthane<br />
sous forme liquide et solide, d'azote liquide et etc.. Le tout ce retrouve sur<br />
plusieurs kilomètres de profondeurs en moyenne. En plus nous savons<br />
également que Titan possède une topologie ou une géographie très peut<br />
prononcer, le dénivellement est inférieur au kilomètre d'altitude, par rapport au<br />
niveau moyen de la surface de celle-ci. Et en plus le module Huygens nous a<br />
dévoilé des reliefs représentant des aspects d'écoulements de liquide formant<br />
des réseaux très complexes de rivière et de fleuves s'écoulant et dévalent vers<br />
des terrains plus bas et d'aspect plus foncé également. Le module Huygens à<br />
atterrie également sur un sol qui présente des aspects visqueux ou argileux et<br />
croûté en surface dans lequel il s’est enfoncé de 15 cm.<br />
141
Sol de Titan, Huygens 2005<br />
Photo prise lors de la descente à 8 km d’altitude.<br />
Titan est à une distance de Saturne de plus 1 221 900 km en moyenne, avec<br />
une excentricité orbitale de 0.029192, donc celle-ci est plus prononcée que<br />
l'orbite terrestre autour du Soleil qui est de 0.017. Cette distance correspond<br />
finalement à plus de trois fois celle qui sépare la Lune de la Terre, qui est de 384<br />
400 km. Mais Saturne est 95 fois plus massive que la terre, Titan subit donc des<br />
forces de marée qui sont beaucoup plus importante que celle que nous<br />
retrouvions sur Terre, soit d'environ 16 fois plus, mais celle-ci est d'une<br />
amplitude moins grande, car étant étaler sur une période de plus de 15,950 jours<br />
et qui caractérise en fait la période de rotation synchrone de Titan autour de<br />
Saturne et qui est d'ailleurs l'équivalent d'une année sur Titan. Mais saturne à<br />
une période de rotation sur elle-même de 10 heures 39 minutes, ce qui engendre<br />
également certains effet supplémentaire de marée sur Titan. Par contre<br />
l'inclinaison orbitale de Titan sur son orbite n'est que de 0.33°, comparativement<br />
à 23°26' pour la Terre, ce qui semble bien indiquer que Titan n'aurait pas de<br />
phénomène de type saisonnier comme la Terre, mais peut-être sous une autre<br />
forme, selon sa position orbitale autour de Saturne et de celle-ci autour du Soleil.<br />
142
Titan reçoit de 15 à 16 fois moins d'énergie du Soleil (14.93 W/m 2 ) que la Terre<br />
(240 W/m 2 ).<br />
Nous avons ici un apport d'énergie cinétique et gravitationnelle considérable, (de<br />
la même ordre de grandeur que celle que subit Europa par rapport à Jupiter,<br />
mais de moindre ampleur que Io) qui peuvent induire des comportements<br />
géologiques de cisaillement et de tiraillement différentiel assez importante, selon<br />
la densité et la consistance des différentes couche se trouvant intercalées sous<br />
la surface de Titan. Étalée sur une très longue période de temps, ses différents<br />
processus différentiels engendrés par les effets de marée gravitationnelle, sont<br />
très probablement à l'origine de plusieurs phénomènes géologiques, pouvant<br />
ressembler quelque peut à une sorte de tectonique des plaques, mais de<br />
moindre envergure en amplitude.<br />
De qu'elle genre de phénomènes parlons-nous ici, et bien de cryoVolcanisme à<br />
base de liquide, de geysers à base d'azote ou d'hydrocarbure, de formation de<br />
crevasse et de chambre ou réservoir de glace s'étant liquéfié avec le temps, de<br />
déformation de toutes sortes avec la dilatation et contraction des sols sous l'effet<br />
de la remontée des liquides visqueux et argileux chauffés, perçant la surface en<br />
s'écoulant comme des rivières au ralentis et boueuse a souhait. Et tout ceci bien<br />
sur sens parler des effets causés par la chute d'astéroïde, de météorite et de<br />
comète. Tout cela est également très propice à certains égares à l'éclosion et à<br />
l'évolution de la vie. En superficie, les températures sont telles<br />
qu'éventuellement, des composés conducteurs pourraient se comporter comme<br />
supraconducteurs, et il faudra de longues années d'études en laboratoire<br />
simulant les conditions "titanesques" pour commencer à comprendre ce monde<br />
si radicalement différent de la Terre. Le véritable début de l'étude de titan et de<br />
ses mystères, vient tout juste de débuter, et déjà nous avons tout plein de<br />
question qui reste en suspends et qui ne demande qu'à être fouillée et éclaircie<br />
en plus grande profondeur. L'avenir des recherches fondamentales qui sont<br />
axées sur l'origine et l'évolution de la vie, vient de prendre un tout nouvel envole<br />
et les promesses de Titan sont d'ordre et déjà favorable aux différentes<br />
prémisses de l’évolution prébiotique.<br />
Si nous finissons un jour par trouver des traces de l’évolution de la vie ailleurs<br />
que sur terre. Alors cela voudrait donc dire que les différents processus de<br />
143
l’évolution de la vie, pourrait s’être produit ailleurs également que dans notre seul<br />
système solaire, du moins nous pouvons l’espérer. Si la vie existe belle et bien<br />
sur d’autres planètes dans l’Univers, pourrions-nous un jour leurs rendre visite ou<br />
pourrait-il nous rendre visite. Cela pourrait modifier pour toujours notre<br />
perception de l’Univers et sur la manifestation de ses lois, qui sont si<br />
harmonieuse et remplient de sagesse.<br />
Les tholins<br />
Les rayons ultraviolets du Soleil et les rayons cosmiques favorisent des réactions chimiques<br />
très complexe dans l’atmosphère de Titan (expérience de Carl Sagan et Bishun Khare). Ces<br />
différentes réactions chimiques participes à la formation de solide organique, les tholine à base<br />
de N2 et CH4.<br />
Par la suite ces molécules organiques tombent à la surface. Les tholines mélangée avec de<br />
l'eau, formes des acides aminés, des bases nucléotidiques et d'hydrocarbures.<br />
Concernant le silicium comme source possible ou probable pouvant favoriser des<br />
sortes de brique quelconque au développement et de l'évolution de la vie. Il ne<br />
faut pas oublier que pour le silicium cela regarde également des conditions<br />
environnementales et planétaires complètements différentes de la notre et de<br />
nos intuitions actuelles vis à vis des connaissances sur le sujet que nous<br />
possédons que très partiellement d'ailleurs. Inutile d'essayer de nous prétendre<br />
le contraire, car qui peut réellement prétendre le contraire ou se prononcée<br />
vraiment sur ce sujet. Sur d'autre planète extrasolaire qui existe en si grande<br />
quantité dans cette immensité de l'espace qui nous entoure de toute part,<br />
peuvent très bien avoir des conditions t'elle que le silicium pourrais dans<br />
certaines conditions et dans des marges impossibles mais peut-être d'ordre<br />
probable, être propice à un t'elle scénario de l'évolution et du développement<br />
d'une nouvelle source et forme de vie.<br />
Prenez par exemple des conditions environnementale et planétaire très<br />
fortement acide et très chaude, le silicium pourrait dans ces conditions êtres ou<br />
devenir un composée plus soluble et plus réactif. Mais cela est une autre<br />
histoire. Il y a également l'ammoniac (NH3) entremêlé de méthane, qui pourrait<br />
intervenir comme solution aqueuse et d'autre composé chimique, comme le fluor,<br />
le chlore et que sais-je encore. L'avenir nous le dira peut-être, mais rien n’est<br />
144
absolu dans la nature et le temps peut toujours nous réserver de bien belle et<br />
très étrange surprise. Voilà, soyons juste et disons qu'en réalité, nous en savons<br />
strictement rien sur ces éventuelles possibilités axées sur les différentes formes<br />
d'évolution et de développement de la vie, qui se trouve ailleurs que sur notre<br />
propre planète Terre.<br />
145
Cartes et Tableau Des Ères et des Périodes Géologique :<br />
Les Différentes Périodes Géologiques. (Échelle en Millions d’Années)<br />
Age<br />
Ères<br />
Période géologique<br />
0<br />
1<br />
QUATERNAIRE<br />
L’espèce humaine, 2<br />
ACTUEL<br />
Boom des hommes<br />
HOLOCÈNE<br />
PLÉISTOCÈNE<br />
2 TERTIAIRE<br />
NÉOGÈNE<br />
PLIOCÈNE<br />
5<br />
Hominidés Sivapithécus, 11<br />
MIOCÈNE<br />
24<br />
37<br />
58<br />
P<br />
h<br />
Cénozoïque<br />
Premiers singes, 40<br />
Collision de l’Inde avec l’Asie, 45<br />
PALÉOGÈNE<br />
Boom des Mammifères<br />
OLIGOCÈNE<br />
ÉOCÈNE<br />
PALÉOCÈNE<br />
65<br />
144<br />
208<br />
a<br />
n<br />
é<br />
r<br />
o<br />
z<br />
SECONDAIRE<br />
Météore au Yucatan, 65<br />
Début de la séparation de l’Afrique<br />
et de l’Amérique de sud, 170 .<br />
Mésozoïque<br />
Cratère de la Manicouagan, 210<br />
Premier mammifère.<br />
Premiers Dinosaures, 230<br />
CRÉTACÉ<br />
Extinction Dinosaure, 65<br />
JURASSIQUE<br />
Boom des Dinosaures<br />
Origine des Oiseaux<br />
TRIASIQUE<br />
Extinction, 208<br />
Extinction Permien, 250<br />
SUPÉRIEUR<br />
INFÉRIEUR<br />
MALM<br />
DOGGER<br />
LIAS<br />
SUPÉRIEUR<br />
MOYEN<br />
INFÉRIEUR<br />
245<br />
286<br />
360<br />
408<br />
o PRIMAIRE<br />
Le thécodonte ancêtre des<br />
ï<br />
dinosaures, 250<br />
q Super continent la Pangée, 300<br />
u<br />
Premiers animaux terrestres, 360<br />
e Début de la formation de la<br />
Pangée dans l'hémisphère sud,<br />
370<br />
PERMIEN<br />
Boom des Reptiles<br />
CARBONIFÈRE<br />
Boom de la vie terrestre<br />
DÉVONIEN<br />
Extinction, 365<br />
Boom des Poisons<br />
SILURIEN<br />
SUPÉRIEUR<br />
INFÉRIEUR<br />
SILÉSIEN<br />
DINANTIEN<br />
SUPÉRIEUR<br />
MOYEN<br />
INFÉRIEUR<br />
PRIDOLI<br />
438 Paléozoïque<br />
Les premiers vertébrés à<br />
mâchoires.<br />
Boom des Plantes<br />
ORDOVICIEN<br />
LUDLOW<br />
WENLOCK<br />
LLANDOVERY<br />
ASHGILL<br />
Extinction, 439<br />
CARADOC<br />
505<br />
Première Plantes terrestre, 450<br />
Premiers vertébrés aquatiques,<br />
480<br />
Apparition des animaux<br />
Les Premier Vertébrés<br />
Squelette à base de<br />
calcaire<br />
CAMBRIEN<br />
Boom aquatique de la<br />
vie, faune de Burgess<br />
LLANDEILO<br />
LLANVIRN<br />
ARENIG<br />
TREMADOC<br />
SUPÉRIEUR<br />
MOYEN<br />
INFÉRIEUR<br />
570 Aquatique, 600<br />
PROTÉROZOÏQUE SUPÉRIEUR<br />
900<br />
1600<br />
Méga-continent Rodinia<br />
Précambrien<br />
Début des métazoaires<br />
mous. Strogmatolithe.<br />
Début de la vie aérobic<br />
MOYEN<br />
INFÉRIEUR<br />
2500 Crise de l’oxygène, 1800 ARCHÉEN<br />
4500 Origine de la vie, 3800<br />
Anaérobie, Organismes Unicellulaires<br />
Flore & Faune<br />
Homme moderne<br />
Homo erectus<br />
A Africanus<br />
Grands Singes<br />
Grand Boom des<br />
Mammifères<br />
Plantes à fleurs<br />
Oiseaux<br />
Mammifères<br />
Dinosaures<br />
Conifères<br />
Reptiles<br />
Amphibien<br />
Requins<br />
Poison à mâchoir<br />
Corail<br />
Insectes<br />
Scorpions géants<br />
Plantes terrestres<br />
Fougères<br />
Crustacés<br />
Mollusques<br />
Trilobites<br />
Poison sans<br />
mâchoire<br />
Méduse<br />
Algue Plancton<br />
Stromatolite<br />
Eucaryote<br />
Procaryote<br />
Protobionte<br />
146
147
148
149
150
151
Ces cartes ont été préparées à partir des travaux de Christopher Scotese<br />
de l'Université du Texas à Arlington, principalement des deux publications<br />
suivantes: Scotese et McKerrow (1990, Geological Society of London);<br />
Golonka, Ross et Scotese (1994, Mémoire Canadian Society of Petroleum<br />
Geologists). Plus récemment, Scotese a produit des cartes qui vont de -650<br />
Ma à l'Actuel. Ces cartes beaucoup plus précises et qui montrent le détail<br />
des terres émergées vs les plateaux continentaux, ainsi que les zones de<br />
subduction et de dorsales, sont reproduites ici (référence: Scotese, C. R.,<br />
1997. Paleogeographic Atlas, PALEOMAP Progress Report 90-0497,<br />
Department of Geology, University of Texas at Arlington, Arlington, Texas,<br />
37 pp.).<br />
152
DE L’AUTRALOPITHÈQUE À L’HOMME<br />
L’Autralopithèque – L’Homo Habilis – L’Homo Erectus – Du<br />
Néandertal à l’Homme Moderne – Toumaï, Serait-il le Doyen de<br />
l'Humanité.<br />
Ce que je vous présente dans cette partie, n'est en fait qu'un très petit aperçus, car la science<br />
évolue très rapidement dans ce domaine et certaines données peuvent changer avec le temps.<br />
L’origine véritable de notre espèce, en y incluant également les<br />
Australopithèques, remontre en fait à une époque très lointaine qui se situ très<br />
probablement au alentour de 10 à 5 millions d’années selon certains<br />
paléoanthropologues. En fait personne ne le sait avec certitude, n’ayant en notre<br />
possession que très peut de fossiles qui date de cette époque. Il c’est tout<br />
simplement produit vers la fin du Miocène, époque géologique qui est situé entre<br />
24 et 5 millions d’années. Il est à noter que la dernière age glaciaire a débuté<br />
son expansion vers 6 millions d'années, c’est-à-dire vers la même époque de<br />
l’apparition de l’homme. Une sorte de découplage génétique et phénotypique<br />
dans l’arbre généalogique d’une certaine espèce de singe anthropoïde (vivant<br />
dans les arbres), qui était à la fois commune aux primates moderne et aux<br />
hominidés. Cette espèce pourrait bien être le Ramapithecus, qui remonte à plus<br />
de 12 millions d’années, dont certains aspects fossiles de leur dentition portes<br />
des traits humains. Ou encore le Dryopithecus qui était représenté sur une<br />
période de temps beaucoup plus longue, allant de 30 à 12 millions d’années et<br />
dont les restes fossiles de leur dentition, présentes des caractéristiques<br />
simiennes des grands singes actuels.<br />
Il s’agit d’une espèce de singe anthropoïde qui était à la fois ancêtre de l’espèce<br />
humaine et des pongidés, famille qui regroupe les différentes espèces de grand<br />
singe actuel, comme le chimpanzé, le gorille et l’orang-outan. Le chimpanzé est<br />
plus proche de l’homme sur le plan génétique (98,5%, le chromosome 13 est<br />
plus long chez le chimpanzé et leur chromosome 2 est divisé en deux), que l’est<br />
le gorille et l’orang-outan. L’espèce intermédiaire que nous recherchons pour<br />
retrouver les origines de notre espèce, serait donc commune à celle des<br />
Australopithèques et des chimpanzés, et donc postérieur à la grande division des<br />
153
grands singes anthropoïdes actuels, les pongidés. Le Dryopithecus serait dans<br />
cette hypothèse, l’ancêtre des grands singes actuelle et le Ramapithecus serait<br />
la véritable branche évolutive, qui aurait conduit par la suite à la lignée de<br />
l’espèce humaine. Cette époque de l’évolution humaine, correspond également à<br />
la fin de la période d’animosité de notre espèce, à travers son évolution et envers<br />
sa conscience.<br />
Le Ramapithecus ( à droite : A – type humain B – Ramapithecus ) .<br />
Ce découplage génétique qui est à l’origine de la séparation des pongidés et des<br />
hominidés, c’est tout simplement effectué à partire de certaine forme de<br />
mutation, portés sur les gènes de cette espèce commune des grands singes<br />
anthropoïdes. Dont le but était encore une fois de favoriser un nouveau<br />
processus d’adaptation de forme aléatoire envers l’environnement. Comme cela<br />
c’est déjà produit à plusieurs autres reprises et occasions à travers l’histoire et<br />
l’évolution de la vie et des espèces sur terre ! Ces différentes formes de<br />
mutations génétiques, ce sont manifestés petit à petit sur une très longue<br />
période de temps, pouvant s’échelonner sur plusieurs milliers ou millions<br />
d’années. En fait, ce n’est pas le plus fort sur le plan physique qui peut prétendre<br />
à la survie face aux temps géologiques, mais belle et bien de celui qui possèdent<br />
154
les meilleures capacités et attributs d’adaptations, et ceci sur le plan héréditaire<br />
et génétique et qui peut prétendre véritablement à ce titre. (concept du<br />
Néodarwinisme)<br />
Ces différentes formes de mutations génétiques, ont alors favorisé l’expression<br />
de certaine caractéristique bien spécifique, sur le plan du développement<br />
physiologique et neural de nos ancêtres pré-humains. Sur le plan physiologique,<br />
nous retrouvons les améliorations qui ont été apportés aux différentes structures<br />
squelettiques et aux systèmes moteurs, qui allaient permette par la suite<br />
l’articulation du langage et de la posture verticale, facilitant ainsi l’apprentissage<br />
de la démarche bipède et de la parole. Sur le plan neural, le développement du<br />
cerveau sera accentué surtout par l’expansion des aires associatives du néo-<br />
cortex, il sera caractérisé entre autre par un développement et une croissance<br />
progressive des lobes frontaux et temporaux, comme pour les aires cérébrales<br />
associées à la parole, l’aire de Broca et de Wernicke. Le développement de ses<br />
régions cérébrales situé dans le néocortex ainsi que quelques autres, sont<br />
étroitement associés aux différentes fonctions d’associations et de perception<br />
consciente les plus évolués de l’espèce humaine et du règne animal en général<br />
(fonctions cognitives et d’apprentissage entre autre). Elles sont impliquées entre<br />
autres dans la parole et la mémoire associative comportementale à long terme,<br />
mais elles sont surtout caractérisées par des capacités mentales plus grandes,<br />
de projection sur l’avenir et de prise de décision, qui sont alors basées sur<br />
différents processus de raisonnement qui sont supervisé par le lobe frontal.<br />
Le développement progressif du télencéphale, qui est représenté chez l’homme<br />
par les deux hémisphères cérébraux (le néocortex), et qui origine à c’est tout<br />
début par l’accroissement et de l’excroissance ontologique du cortex olfactif<br />
(rhinencéphale) du règne animal inférieur. Et la progression évolutive et<br />
constante du système limbique, ou cerveau de type mammalien qui origine<br />
exclusivement de l’évolution du règne des mammifères. Ont grandement<br />
contribué à l’émergence de la conscience chez l’homme et en moindre partie<br />
chez les mammifères d’ordres supérieurs. Le système limbique encadre les<br />
différentes expressions comportementales qui sont reliés aux émotions et<br />
participe également à la mémoire à court terme, qui est associé dans les<br />
différents processus d’apprentissages mémitique (ou par imitation). L’évolution<br />
155
quasi linéaire de ses deux systèmes physiologique et neurologique du cerveau,<br />
sont très représentatif des différent processus qui ont conduit à l’émergence de<br />
la conscience chez le règne animal supérieur et de son aboutissement suprême<br />
chez l’homme.<br />
Ce qui semble bien vouloir démontrer également que la conscience à suivit le<br />
même genre de schéma évolutif à travers l’évolution des différentes structures<br />
cérébrales qui est attribué aux différents règnes animaux. Et que l’homme n’est<br />
pas le seul être vivant sur terre, à être le seul détenteur privilégié et en puissance<br />
de tous les attributs de la conscience, et ceci de manière exclusive et pour lui<br />
seul. D’ailleurs certaines capacité d’apprentissage qui fait intervenir différente<br />
capacité de mémorisation et d’anticipation des mammifères supérieurs, comme<br />
le chimpanzé, le chien, le dauphin et les éléphants par exemple. Démontre bien<br />
à un certain égard, l’expression de certains type de schéma comportemental qui<br />
sont plus ou moins d’ordre conscient.<br />
L’Australopithèque :<br />
Il y a 4 ou 5 millions d’années en Afrique orientale, non loin du rift africain. Une<br />
nouvelle espèce d’hominidé venait tout juste de faire leur apparition pour la toute<br />
première fois sur la surface de la terre. Il s’agissait alors d’une espèce pré-<br />
humaine, qui faisait partie de l’une de nos nombreuses espèces intermédiaires,<br />
qui allait conduire par la suite à l’émergence et à l’évolution de la lignée humaine.<br />
L’Australopithèque était bien différent de nous sur le plan physique, et sa<br />
conscience étant tout juste sortie de la grande période de noirceur qui<br />
correspondait alors à celle de l’animosité de l’espèce humaine, époque qui était<br />
très largement dominée par des instincts de toutes sortes. Il mesurait à peine<br />
1,25 mètre avec un poids de 30 à 45 kg, il avait une allure simiesque très poilue.<br />
L'Australopithèque est en fait, le premier être vivant à acquérir la bipédie presque<br />
complète. Sa colonne vertébrale a commencé à se redresser très doucement, ce<br />
qui a libéré progressivement ses membres antérieurs, ce qui va lui être très utile<br />
par la suite.<br />
L'analyse du squelette et des articulations se trouvant au niveau des genoux,<br />
démontre également qu'il était encore arboricole en grande partie, et qu’il aimait<br />
toujours grimper et se réfugier dans les arbres, et ceci pour les plus anciens<br />
156
eprésentants de la famille des Australopithèques. Comme pour<br />
l’Australopithèque Afarensis et un peut pour l’Australopithèque Africanus, qui ne<br />
pouvait marcher debout qu’à l’occasion et sur de très courte distance,<br />
comparativement aux autres représentants d’Australopithèques qui ont suivi la<br />
route évolutive de cette famille par la suite. Son alimentation était composée<br />
presque essentiellement de baies, de fruits, de racines, de graminées, d'insectes<br />
et de petits animaux qui composait alors la foret tropicale et la savane africaine<br />
qui commençait à progresser vers cette époque. Ils leurs arrivaient aussi d'avoir<br />
à l’occasion des comportements un peut plus charognard, et il restait très près<br />
des préoccupations purement matérielles et qui était relier à leur propre survie. Il<br />
allait pourtant poursuivre leur évolution et dominer la planète pendant plus de 2<br />
millions d’années.<br />
NOM<br />
A. Anamensis<br />
AGES<br />
( millions )<br />
4,1-2,5<br />
ENDROIT<br />
GÉOGRAPHIQUE<br />
Afrique orientale<br />
TAILLE<br />
( mètre )<br />
1,25<br />
CAPACITÉ<br />
CRÂNIENNE<br />
450 cm 3<br />
A. Afarensis 4,0-3,5 Afrique orientale 1,20 450 cm 3<br />
A. Ramidus 3,5 Afrique orientale 1,25 !<br />
A. Africanus 3,5-2,6 Afrique orientale et sud 1,30 440 cm 3<br />
A. Boisei 2,5-1,4 Afrique orientale 1,50-1,70 500-550 cm 3<br />
A. Robustus 2,5-1,4 Afrique orientale et sud 1,50 500-550 cm 3<br />
L’homo Habilis 2,4-1,6 Afrique orientale et sud 1,25 600-700 cm 3<br />
L’homo Erectus 1,7-0,1 Afrique et Asie 1,55-1,70 900-1100 cm 3<br />
Néanderthale 0.5–0.035 Europe et proche orient 1,65-1,70 1200-1740 cm 3<br />
Cromagnon 35 000 ans Europe / France 1,6-1,8 1450-1650 cm 3<br />
Source : Lucy, une jeune femme de 3 500 000 ans de Donald Johanson & Maitland Edey,<br />
Robert Laffont 1983. La revue science & vie, 198-1997. Et sur le site Web de «sur les pas<br />
de nos ancêtres» : http://www.unice.fr/dess-imst/surlespasdenosancetres.<br />
157
Il est le premier représentant d’une espèce pré-humaine à marché presque<br />
entièrement debout, bien que grimpant toujours aux arbres à l’occasion pour ce<br />
mettre à l’abri. La démarche bipède fut donc un évènement prédéterminant pour<br />
le développement et l’évolution de notre espèce. Ce qui a permis de Libérer les<br />
bras et les mains, qui pouvaient alors êtres utilisés désormais pour effectuer<br />
d’autre tache quotidienne beaucoup plus complexe. Laissant ainsi plus de place<br />
au développement de leurs capacités mentales, psychiques et imaginaires qui<br />
était en émergence et pour également l’amélioration de leur propre condition de<br />
vie et de survie. La capacité moyenne de leur boite crânienne n’était que de<br />
quelque 500 cm 3 , comparativement à 1450 cm 3 pour l’homme moderne et d’une<br />
capacité moyenne de 433 cm 3 pour les grands singes actuels.<br />
Lucy, Reconstitution par Win Munns (Galerie de l'évolution: Paris)<br />
On imagine très bien un Australopithèque assit au beau milieu d’un petit groupe,<br />
constituer d’une dizaine d’individus seulement, et regrouper à l’intérieur d’une<br />
petite clairière border de petits arbres, situé en plein milieu d’une gigantesque<br />
158
foret tropicale Africaine, qui se transformait tranquillement et petit à petit en<br />
savane au climat plus chaud et plus sec. Cette transformation géologique à été<br />
causé par la séparation et l’ouverture du rift africain, qui a débuté voilà près de<br />
10 millions d’années, et qui a soulevé le relief de la cote est africaine, bloquent<br />
ainsi une grande partie de l’humidité qui était en provenance de l’océan indien.<br />
Nous voilà donc avec un petit groupe d’Australopithèque, tout occupés à<br />
ramasser quelques graines et racines pour se nourrire, restant là presque<br />
immobile et au aguets du moindre petit signe suspect. Tout craintifs et à l’affût de<br />
la venus d’un éventuel prédateur, étant prêts au moindre signe de danger à<br />
bondire et à s’élancer vers les premiers arbres qui se trouvait tous près d’eux.<br />
Les relations sociales qu’il entretenait avec leur semblable étaient d’ailleurs très<br />
simples, et se résumait qu’à quelque petit contact à peine plus développé que cel<br />
des grands singes actuels. N’ayant pas les moyens plus adéquats pour exprimer<br />
d’avantage leurs sentiments et leurs émotions face aux autres membres de leur<br />
groupe et de leur tribut, que par un langage gestuel très simple d’expression<br />
plutôt agressive, qui était sûrement exprimé et entre coupé par-ci et par-là par<br />
des grogneries et des petits sons de toutes sortes. Les Australopithèques<br />
pouvaient sûrement à l’occasion représenter des objets et des sentiments faisant<br />
partie de leur quotidien, sous forme d’un langage non verbale et très primitive,<br />
comme le font actuellement plusieurs représentants du règne animal vivant en<br />
société, comme les singes, les babouins, les chiens de prairie, etc..<br />
Les restes fossilisés de leur boitent crânienne, présente des traces de la toute<br />
première forme évolutive ou ébauche des aires cérébrales qui sont reliées et<br />
associées à la parole, il s’agit de l’aire de Broca, bien que très petite par rapport<br />
à l’espèce humaine. Ce qui semble bien vouloir démontré que les<br />
Australopithèques étaient finalement capable de faire à l’occasion, certaine<br />
représentation associative d’ordre plus abstraite de leur environnement et ceci<br />
sur le plan imaginaire et de la conscience, bien que celle-ci aient été d’ordre très<br />
rudimentaire à cette époque. Le groupe était diriger et surveillé par le male ou le<br />
couple dominant qui était alors le chef exclusif de la tribu, adoptant ainsi certains<br />
trais comportementaux de dominance qui était alors attribuée à ce rôle et<br />
exprimé par des comportements d’ordres plus instinctifs, comme par exemple du<br />
droit privilégié à la reproduction et à la nourriture. Le rôle du dominant, est de<br />
159
s’approprier plus de pouvoir et de prestige sur le groupe qui compose sa sphère<br />
d’influence immédiate. Il oriente la destiné du groupe et participe également à la<br />
sélection naturelle de l’évolution de son espèce, en favorisant la transmission<br />
héréditaire de ses propres gènes à sa descendance, et cela aux dépend des<br />
autres membres du groupe ou de son tribut.<br />
Australopithecus Africanus Australopithecus Robustus Australopithecus Boisei<br />
Documents : Modern Human Origin.<br />
L’Australopithèque qui était représenté par quelques milliers ou par quelques<br />
centaines de milliers d’individus seulement, partait pour la toute première fois à<br />
la conquête du monde qui l’entoure, mais cette conquête se limitant toutefois<br />
qu’au seul continent Africain, qui à cette époque faut-il le rappeler était remplit de<br />
richesse et de ressource naturelle de toutes sortes. Ils existaient différentes<br />
espèces d’Australopithèques (de type gracile au profile plus doux ou de type<br />
robustus d’allure plus robuste), qui à cette époque ont évolué de manière<br />
parallèle les uns par rapport aux autres. Tout comme certains groupes de<br />
chimpanzés actuels, l’Australopithèque devait utiliser à l’occasion certains outils<br />
qui lui étaient fournis par la nature, afin de se défendre ou pour ce nourrir. Ainsi il<br />
pouvait ramasser par exemple, des petites brindilles qu’il trouva par-ci et par-là<br />
sur le sol et qu’il pouvait introduire par la suite à l’intérieur des petits trous des<br />
termitières. Il pouvait ainsi ramasser au passage quelques termites afin de se<br />
nourrir et de s’en délecter, tout comme le font nos chimpanzés contemporains.<br />
Avec les branches et les pierres trouvées au sol, il pouvait les prendre pour les<br />
lancer ou pour se protéger de ses ennemies et prédateurs. L’évolution du lobe<br />
temporelle chez les Australopithèques, nous indiquent également d’une<br />
augmentation significative reliée aux comportements d’ordre social.<br />
160
L’Homo Habilis :<br />
Puis viens l’homo habilis vers 2,5 à 2 millions d’années, il est le premier véritable<br />
représentent du genre homo et de l’espèce humaine. Il était plus habile avec ses<br />
mains que ses ancêtres Australopithèques, d’où le nom habilis qui lui est<br />
attribué. L’homo habilis fabriquait des outils très simples en bois et en pierre plus<br />
ou moins taillée au paléolithique, qu’il utilisait par la suite pour effectuer certaines<br />
taches quotidiennes. Comme pour couper ses aliments, tailler les pierres en les<br />
fracassant les unes contre les autres, creuser le sol pour trouver des racines ou<br />
encore dépecer ses proies. Sa capacité crânienne était de 700 cm 3 environ,<br />
donc plus appréciable que ses prédécesseurs Australopithèques, avec une<br />
augmentation de plus de 40%. Il était cependant de la même taille, soit environ<br />
de 1,25 mètres.<br />
L’homo habilis s’est aventuré encore plus loin dans leur conquête du monde, que<br />
leur ancêtre Australopithèque. Mais cette conquête sait encore une fois limitées<br />
à l’intérieur du seul continent Africain, aucun fossile de cette espèce d’hominidé<br />
n’a été retrouvé sur les autres continents jusqu’à présent. L’homo habilis habitait<br />
la steppe africaine et à sûrement adopté des comportements sociaux beaucoup<br />
plus développer et beaucoup plus complexes que les Austrolopithèques. Comme<br />
semble bien vouloir le démontrer l’évolution de certaine partie de leur cerveau et<br />
qui sont reliés aux comportements de type social, comme le lobe frontal,<br />
préfrontale et les lobes temporaux.<br />
Homo habilis - Est Turkana, Kenya<br />
161
L’homo habilis et différentes espèces d’Australopithèques se sont courtoyés<br />
pendant une très longue période de temps. Et ceci dans une tranche de temps<br />
qui était situé entre 500 000 ans et plus de I millions d’années. Entretenaient-ils<br />
des contacts plus étroits et amicaux entre eux, s’ignorait-il mutuellement ou au<br />
contraire, optaient-ils le plus souvent pour la confrontation et la guerre entre<br />
tributs d’espèce différente. Les différents comportements de dominance et de<br />
violence, qui sont exprimés dans le règne animal et également par nos ancêtres<br />
les plus primitifs. Sont essentiellement causés par certain désir instinctif de<br />
satisfaction ou de pulsion sur le plan émotionnel, comme pour la reproduction, la<br />
faim, la soif et la peur. Ses différents types de comportements découlent<br />
directement de l’influence et du contrôle des instincts et des réflexes d’ordres<br />
plus innés. C’est dernier son originaire directement du Diencéphale (cerveau de<br />
type reptilien) et plus particulièrement sous le contrôle nerveux de<br />
l’hypothalamus et hormonale de l’hypophyse. Par la suite le système limbique<br />
(cerveau de type mammalien) qui en capsule en quelque sorte le Diencéphale,<br />
va prendre la relève et établire tout en recherchant dans la mémoire associative<br />
à court terme de l’hippocampe ou à long terme du néocortec cérébrale, le type<br />
de comportement et expression émotionnelle qui seront les mieux approprié et<br />
adapté pour la situation. Le schéma comportemental et social définitif, sera<br />
effectué par l’intermédiaire de l’amygale, qui est situé dans le système limbique<br />
et par le septum du néocortex, après de multiple va et viens et traitement des<br />
influx nerveux. Le tout sera assisté par les régions plus frontales du cerveau, là<br />
où loge sièges les fonctions cognitives les plus évoluées.<br />
Tous ces différents dispositifs qui sont associé et relié aux différentes<br />
fonctionnalités nerveuses. Ont pour objectif de faire ressortire des<br />
comportements de colère, d’agressivité et de confrontation entre les individus<br />
d’une même espèce ou d’espèce différente. Pouvant même conduire dans<br />
certain cas, à la mort et même à la guerre entre tribut différent, comme cela est<br />
parfois observé chez les babouins, les chimpanzés et également par d’autres<br />
espèces de notre époque contemporaine. Les comportements qui sont associé<br />
aux différentes formes de conflit, sont d’ailleurs étroitement et toujours reliés aux<br />
différents types de comportements qui sont relié à la dominance et sont<br />
également provoqués dans la plupart des cas, par une forme de lutte pour la<br />
survie, du droit à la reproduction ou pour obtenir le pouvoir sur les ressources et<br />
162
éserves alimentaires du territoire défendu. Il s’agit de comportements qui sont<br />
exprimés et entretenus de manière plus instinctive par rapport à l’évolution et par<br />
rapport à la conscience et la raison humaine. Ce sont des comportements qui<br />
sont reliés plus étroitement aux différents types de réflexes innés et instinctifs,<br />
qui ont été acquis tout au long de l’évolution et à travers un environnement<br />
sauvage et très hostile. Ils sont ainsi laisser leurs emprunte neurologique dans<br />
les différentes formes de schéma et de circuit comportemental de base. Il son<br />
été sélectionné par la nature et transmis d’une génération à l’autre depuis des<br />
centaines de millions d’années.<br />
L’homo habilis, contrairement à l’Australopithèque qui était omnivore et<br />
charognard à l’occasion, effectuait de temps à autre la chasse en groupe. La<br />
chasse en groupe implique différents comportements qui sont relier à une<br />
certaine forme de communication non verbale mais gestuelle et symbolique, pour<br />
l’élaboration, la représentation et la planification de stratégie plus complexe axée<br />
sur une plus grande réussite de l’entreprise qui était reliée à la chasse elle-<br />
même. Les scénarios de chasse sont alors schématisés par le cerveau et la<br />
conscience humaine, sous différentes formes d’images, de symbole et d’analyse<br />
associative très complexe, qui démontre des capacités intellectuelles plus<br />
élaborées et plus développées que leur ancêtre Australopithèque. Ces<br />
différentes capacités mentales, impliquaient un plus grand développement<br />
cérébral des lobes frontaux, temporaux et du système limbique en général. Et<br />
ceci pour mieux évaluer les différentes représentations spatiales du terrain et des<br />
obstacles à parcourir, de comment manipulé et construire les outils, de la<br />
mémorisation des rôles qui sont attribués à chaque individu de la tribu ou qui<br />
participaient à la chasse et pour la projection et l’anticipation des différents buts à<br />
atteindre et ceci selon l’espèce animale qui était chassé par exemple. Le<br />
moulage de certains restes fossilisés de la boite crânienne de l’homo habilis,<br />
présente des emprunte qui démontre une plus grande évolution des lobes<br />
cérébraux frontale et temporale, dont celles qui sont associé à l’aire de Broca et<br />
de Wernicke par exemple. Ces aires cérébrales sont directement reliées à la<br />
compréhension et à l’interprétation des symboles abstrait et du langage parlé,<br />
attribut qui renforce la vie sociale et collective.<br />
163
Tableau représentatif de l’évolution de la famille des hominidés. Professeur Bernard<br />
VANDERMEERSCH de l'Université Bordeaux.<br />
L’homo habilis à été le premier et le véritable représentant de l’espèce humaine,<br />
à inventer et a utilisé pour la toute première fois une forme de langage verbale et<br />
linguistique très évoluer. Il pouvait désormais mieux communiquer avec ses<br />
propres semblables et mieux comprendre et se représenter les objets qui<br />
164
faisaient partie de son entourage. Il pouvait maintenant mieux comprendre les<br />
différentes situations dans lesquels il pouvait se retrouver et de mieux y faire<br />
face. Pour la toute première fois dans l’histoire de l’évolution de l’espèce<br />
humaine, l’abstrait, le subjectif, le sensible et le rationnel allait dominer la raison<br />
et la pensée consciente humaine, celle-ci allait prendre et encadrer de plus en<br />
plus les différents schémas comportementaux d’ordres plus instinctifs et innés.<br />
Qu’Il pouvait désormais contrôler de mieux en mieux, et par le seul contrôle de<br />
sa propre volonté, et augmentant du même coût les changes de survit des<br />
individus et de l’espèce, grâce à ces nouvelles capacités d’intelligence en pleine<br />
émergence de la conscience humaine.<br />
Certain groupe de chimpanzé et de babouins, qui vive à notre époque actuelle.<br />
Adopte également de t’elle forme de comportement qui sont relié à la chasse<br />
collective en groupe, les loups et les hyènes ont également de t’elle trait<br />
comportementaux de groupe. Cela n’est donc pas la représentation d’un<br />
comportement qui est réservé strictement à l’espèce humaine de cette époque.<br />
Mais cela démontre en réalité, qu’un certain aspect de l’évolution de notre<br />
espèce, par rapport au reste du règne animal. Ont été axé sur le développement<br />
de plus en plus complexe de différentes régions du système nerveux et du<br />
néocortex en général. Celle-ci on finalement aboutit au langage et à la pensé<br />
plus abstraite, qui ont facilité grandement par la suite les communications entre<br />
individus et la planification plus consciente de différentes stratégies reliées à la<br />
chasse en groupe, et ceci dans le but d’augmenter les changes de succès et de<br />
réussite. Ces différentes caractéristiques qui commençaient à émerger très<br />
doucement à travers la conscience de l’homme, sont très étroitement associé à<br />
l’évolution et au développement du cerveau de type humain. Dont l’homo habils<br />
possédait à cette époque les toutes premières forme d’ébauche évolutive et<br />
véritable, et non le chimpanzé, le loup et les hyènes. Et ceci envers l’évolution<br />
des différents attributs de la conscience humaine, qui allait conduire l’homme<br />
vers des nouveaux sommets.<br />
L’Homo Erectus :<br />
Par la suite vers 1,5 à 1,3 millions d’années, est apparut l’homo erectus,<br />
deuxième véritable représentant de la lignée humaine. Il mesurait entre 1,55 à<br />
1,70 mètres, et il possédait et fabriquait des outils beaucoup plus perfectionner<br />
165
que ses prédécesseurs. Leur cerveau avait une taille beaucoup plus grande et<br />
plus appréciable, avec plus de 950 cm 3 en moyenne, soit environ une<br />
augmentation de plus de 26% par rapport à l’homo habilis. Il présentait donc des<br />
structures cervicales plus élaborées et plus complexes que l’homo habilis,<br />
possédant des attribuent mentales et associatives envers le langage beaucoup<br />
plus développé également. Il est le premier représentant de l’espèce humaine a<br />
avoir maîtrisé et apprivoisé le feu, il y a environ 500 000 ans. Il est également le<br />
premier représentant de l’espèce humaine, à sortir véritablement du continent<br />
africain. Il a également conquit l’Asie du sud est et s’est frayer un chemin<br />
jusqu’en Chine en passant par l’île de Java, qui était jadis relier au reste du<br />
continent asiatique. Nous le retrouvons également sur le continent européen et<br />
au Proche Orient, dont il a semblé bien avoir atteint l’apogée et le maximum de<br />
ses capacités intellectuelles et culturelles.<br />
Il devait être représenter par quelques millions ou par quelques dizaines de<br />
millions d’individus, et qui était éparpiller à travers des dizaines voir même<br />
quelques centaine de milliers de tributs différents. Celle-ci pouvait compter pas<br />
plus d’une trentaine d’individu chacune. Avec de t’elle capacité à voyager à<br />
travers le monde, nous pouvons affirmer qu’il possédait de très bonne capacité<br />
pour planifier et organiser des projets de longue durée et de grande envergure.<br />
Démontrant ainsi des capacités imaginatives et intellectuelles beaucoup plus<br />
performantes que leurs prédécesseurs habilis. L’homo erectus allait ainsi ouvrir<br />
les portes pour l’exploration et la conquête de toutes les richesses et toutes les<br />
ressources naturelles de notre planète, qui à cette époque était tout simplement<br />
de dimension et de conception inimaginable et inépuisable, pour toutes les<br />
futures générations à venir de l’espèce humaine. Leur conquête de la planète est<br />
également responsable de l’origine des différentes races humaines actuelles,<br />
c’est dernier étant tout simplement les descendants directs des différentes tribus<br />
d’homo erectus qui se sont alors établi dans les différentes régions continentales<br />
de la planète. Qui à cette époque, a tout simplement servit d’isolement pour les<br />
différentes tribus qui se trouvaient alors séparés les unes par rapport aux autres,<br />
par de très grandes distances.<br />
Les conflits entrent les différentes tribus d’homo erectus, lors de la quête de<br />
nouveaux territoires de chasse et de nourriture ou à travers des expéditions pour<br />
166
l’acquisition de nouvelle femelle. Devait être à l’époque une chose assez<br />
courante, lorsque des tributs différents se raconteraient en ces lieux pour la toute<br />
première fois et par pur hasard. Les différents types de comportements qui sont<br />
reliés à la dominance, se sont donc développés d’une manière extrême sur le<br />
plan de la conscience humaine en émergence, tout en favorisant du même coût<br />
les guerres entre les tributs et les individus d’une même espèce. Les<br />
caractéristiques qui sont reliées de dominance, sont étroitement responsable<br />
entre autre des formes de classification et de subdivision des individus, sous<br />
forme caste ou de classe qui sont relié aux différents avantages de la subdivision<br />
du pouvoir à travers les individus d’une tribu. La compétition effectuée entre les<br />
tributs et reliés à la conquête et la préservation des territoires de chasse et de<br />
cueillettes, avait pour objectif d’augmenter les changes de survie, tout en<br />
augmentant leurs différents sentiments de pouvoir envers la domination de leurs<br />
ennemis et sur la nature en général. Les différentes capacités intellectuelles et<br />
mentales de l’homo erectus, étant plus développer et faisant également preuve<br />
de beaucoup plus de prévoyance et d’anticipation que ses prédécesseurs. Ils<br />
vont lui permettre d’acquérir différentes capacités d’associations et de<br />
représentations subjectives, qui seront beaucoup plus élevé et beaucoup plus<br />
efficace. Ces différentes capacités mentales ont permis à l’homo erectus de se<br />
faire une meilleure représentation et une meilleure compréhension du monde et<br />
de l’environnement dans lequel il se trouvait. Leur donnant ainsi différente<br />
possibilité d’interactions sur celui-ci et selon le bon vouloir de leur imagination,<br />
comme la manipulation et le transport du feu.<br />
Les différents phénomènes de la nature, devaient donc commencer à cette<br />
époque, à intriguer et à intéresser d’avantage l’imagination et la curiosité de<br />
l’homo erectus, et ceci de manière de plus en plus consciente et introspectif. Le<br />
conduisant inévitablement par la suite, à s’interroger sur certains aspect des<br />
phénomènes naturels qui l’entourait. Il a sûrement observé pendant ses<br />
voyages, toutes sortes de phénomènes naturels qu’il ait sûrement essayé<br />
d’interpréter à sa manière et de façon tout à fait provisoire et très primitive, et<br />
ceci selon les connaissances qui étaient acquissent et le niveau de conscience<br />
atteint pour ces époques. Comme par exemple, afin de se mètres à l’abri lors de<br />
l’observation de gros nuage gris qui se dirigeait dans leur direction et qui était<br />
presque toujours précurseur de l’arriver imminente d’orages ou de tempête très<br />
167
violente, ce qui pouvait menacer leur survit immédiate et de lès mètre ainsi en<br />
position de danger. Leur mémoire et leur intellect, pouvait désormais comprendre<br />
par appréhension associative, les conséquences de certaines manifestations et<br />
observations causale de la nature, et ceci par l’observation et la représentation<br />
de leur cause à effet. Ces différents phénomènes de la nature, ont également<br />
forcé l’homo erectus à faire plus de prévoyance, face à leur survie et envers leur<br />
avenir à moyens termes. Ce qui a favorisé et renforcé les toute première forme<br />
de la pansé rationnel, abstraite et subjective envers l’évolution de la conscience<br />
humaine. Ce qui allait devenir par la suite, bien des centaines de milliers<br />
d’années plus tard, un processus purement essentiel à la future compréhension<br />
et représentation des véritables causes de certains phénomènes naturels,<br />
comme par exemple de la compréhension des causes qui fait que des<br />
montagnes entières, peuvent exploser dans certaine circonstance lors d’éruption<br />
volcanique très violente.<br />
Sur le plan génétique, des mutations qui ont été portés sur les différentes<br />
structures moléculaires et cellulaires et qui se sont produits au tout début des<br />
différents processus qui ont conduit à l’évolution des organismes pluricellulaires<br />
(métazoaire). Ont favorisé et faciliter différentes capacités dynamiques de<br />
câblages, entres les différents réseaux et circuit d’associations de neurone et de<br />
168
cellules nerveuses du néocortex et du cerveau en général. Propriété moléculaire<br />
et cellulaire qui ont tout simplement été sélectionnés et conservés face à<br />
l’évolution qui a conduit à l’émergence de notre propre espèce et ceci depuis ses<br />
origines même. A la longue, cela a favorisé des capacités d’adaptations<br />
dynamiques inégalées de notre système nerveux à travers toute l’évolution de la<br />
vie et des organismes vivant d’ordre supérieur sur terre. Tous ses différents<br />
processus d’évolution et d’adaptations héréditaires du tissu nerveux qui compose<br />
le cerveau de l’espèce humaine, ont donc favorisé à la longue une forme<br />
d’évolution supérieure de la perception consciente de notre espèce, vu que nous<br />
en avons la preuve par notre propre existence sur terre.<br />
Ce niveau d’organisation cérébral qui a grandement participé à élargire<br />
d’avantage le spectre des différentes capacités et possibilités qui sont<br />
attribuables à la conscience humaine. Et qui vont même au-delà de simple<br />
représentation de réflexe et d’instinctif purement d’ordre inné. Réflexes et instinct<br />
qu’elle englobe et qu’elle essaie pourtant de mieux contrôler, et qui ont été<br />
forgés au cours de l’histoire évolutif de la vie, sur des aspects ayant la forme<br />
d’automatismes sensoriels et émotionnels. Comme par exemple pour ce qui est<br />
de l’activité neuronale du Diencéphale, qui représente le cerveau de type<br />
reptilien dans l’évolution. Tous ces différents processus ont grandement<br />
contribué à propulser la perception consciente de l’homme vers de nouvelle<br />
dimension de l’existence, et qui seront désormais axées sur le monde invisible<br />
des idées. Le monde des idées est basé essentiellement sur des aspects<br />
d’interprétation introspective d’ordre plus sensible de l’esprit humain, et ceci face<br />
à la nature elle-même. C’est-à-dire de l’être abstrait qui s’interprète lui-même de<br />
manière très subjective et qui compose-le-moi conscient de chacun de nous, et<br />
qui préserve en même temps notre propre individualité.<br />
Ses différentes capacités mentales, ont ainsi favorisé une forme de<br />
développement et de perception des choses, qui se sont orienté de plus en plus<br />
vers une sorte de représentation symbolique interne et consciente de l’individu.<br />
Comme s’il pouvait désormais s’observer de l’extérieur de lui-même et ainsi<br />
d’être le témoin privilégié de ses propres actes, dont il pouvait également évaluer<br />
et anticiper les conséquences immédiatement grâce à l’aspect rationnel et moral<br />
de son esprit. À quelle étape de l’évolution humaine ce phénomène a t’il vraiment<br />
169
eu lieu plus précisément, ceci reste pour l’instant un véritable mystère, mais le<br />
processus a sûrement débuté avec les australopithèques et même à certains<br />
stade antérieur de leur évolution (les singes ont-ils certains concepts reliés à la<br />
morale, et qui découle en majeur partie de la culture ?). Car les espèces<br />
animales les plus évolué, comme les chimpanzés, ont une certaine forme de<br />
conscience de leur propre existence et de leur propre individualité. Ils peuvent<br />
entre autre se reconnaître dans un miroir, ce qui est caractéristique de l’auto<br />
représentation et de la conscience du moi.<br />
Homo Erectus.<br />
Ces différentes capacités d’analyse, d’association et d’interprétation mentale,<br />
sont d’ailleurs beaucoup plus évoluer et beaucoup plus développée que celles<br />
des animaux par exemple, qui à leur niveau et selon des degrés divers, agisse<br />
de façon instinctive et de manière plus ou moins innés envers le pressentiment<br />
de ses différents types de phénomènes naturel. Trahissant ainsi quelque fois,<br />
des comportements causés strictement par différents réflexes automatiques et<br />
d’ordre fonctionnel purement physiologique et biochimique. Les différents<br />
représentants de l’espèce humaine, qui vivaient alors à ses époques très<br />
reculées de notre histoire évolutive, ont donc assisté à leur insu à l’émergence<br />
170
d’une nouvelle forme de perception consciente. Il s’agit de l’esprit rationnel de<br />
l’être humain, qui mettait en vedette la raison assistée par la morale.<br />
L’esprit rationnel permet d’évaluer et de prévoire les véritables conséquences de<br />
nos actes et de nos actions sur l’environnement et envers nos semblables, que<br />
seul la raison projette de faire et la morale évalue les conséquences directes ou<br />
indirectes, envers les différentes notions culturelles très relatives de bien et de<br />
mal. L’orgueil et l’égoïsme sont donc des attributs de la conscience qui découle<br />
directement de certaines caractéristiques qui sont reliées à la dominance, et qui<br />
servent entre autre a interfacer sans l’assistance de la raison, les aspects plus<br />
instinctif et innés du moi. Ces comportements se situent aux niveaux les plus bas<br />
de la conscience et de la raison humaine, elles relient en réalité et de manière<br />
virtuelle les trois types de cerveaux qui nous composent, soit le cerveau reptilien,<br />
mammalien et le néo-cortex de l’homme. La combinaison fonctionnelle de ses<br />
trois types de cerveau qui participe et compose en quelque sorte la manifestation<br />
de la conscience humaine. Ceux-ci peuvent très bien déterminer à elles seul par<br />
exemple, les véritables intentions de la manifestation d’un esprit quelconque et<br />
ceci selon ses moindres petits désirs et caprices qui fait partie intégrante de sa<br />
propre personnalité et de sa propre individualité sur le plan de l’existence et par<br />
rapport à son entourage.<br />
Certains phénomènes de cause à effets de la nature, ont donc été compris et<br />
interprété de différente manière et ceci très tôt dans l’histoire et l’évolution de<br />
notre espèce. Ce qui a d’ailleurs grandement contribué à l’éveille de la<br />
conscience intellectuelle, morale et spirituelle de l’homme par le phénomène de<br />
la transmission des connaissances effectué par la culture et les traditions orales<br />
de ses époques. La nature nous à donc servit d’intermédiaire et de tuteur pour la<br />
compréhension initiale de certains de ses phénomènes naturels et envers l’état<br />
apparent d’équilibre se trouvant dans celle-ci. D’une certaine manière, la nature<br />
nous à transmises certaines notions morales et de sagesses, envers ses propres<br />
principes d’équilibre et d’harmonie qui pouvaient alors être observé, étudié et<br />
interprété de manière très symbolique de l’imagination très créative de l’espèce<br />
humaine de ces époques. Et qui sont en réalité une sorte d’écho mentale et<br />
spirituelle de l’interprétation des choses sur le plan de la conscience humaine,<br />
sur les lois de la nature qui semble vouloir en découler et dont elle-même (la<br />
171
conscience) fait partie intégrante. A partir de cette époque l’esprit de l’homme à<br />
donc commencer à vouloir percer les secrets les plus intimes de la nature, afin<br />
de facilité son adaptation qui devenait de plus en plus efficace et afin<br />
d’augmenter également son propre niveau de confort matériel envers sa vie et sa<br />
survie, et ceci afin de domestiquer de plus en plus la nature elle-même.<br />
Du Néandertal à L’homme Moderne :<br />
Ensuite est apparut l’homme de Néandertal, il y a environ 500 000 ans sur le<br />
continent européens et aussi au proche orient. L’homme de Néandertal avait une<br />
capacité crânienne de 1450 cm 3 en moyenne, et il ne semble pas être cependant<br />
un véritable représentant de la lignée évolutive de l’espèce humaine. Il faisait<br />
tout simplement partie d’une sous espèce très éloignée et cousine de la notre,<br />
qui a évolué de manière parallèle. Il était beaucoup plus massif et musclé que<br />
l’homme actuel, son crane démontre un développement démesuré de ses<br />
arcades sourcilières avec un front très fuyant. C’est l’homme de Cromagnons,<br />
qui est le véritable représentant direct de la lignée évolutive de l’espèce humaine<br />
actuel, et qui est du genre homo sapiens sapiens (l’homme qui sait qu’il sait). Il<br />
est apparut en Europe centrale vers 35 000 ans environs, mais ses ancêtres<br />
immédiats (l’homme archaïque) sont apparus vers -100 000 ans et ils ont<br />
coexisté avec le Néandertal pendant la dernière grande période de glaciation. Il<br />
vivait à l’intérieur des cavernes et chassait surtout des gros gibiers<br />
Néandertalien (à gauche) et Cro-Magnon.<br />
172
La lignée des premiers homo sapiens (l’homme qui sait) ou l’homme archaïque,<br />
ancêtre directe de l’homme moderne et de Cromagnon, semble bien vouloir<br />
remonté à plus de 100 000 ans, et ayant évolué en parallèle avec l’homme de<br />
Néandertal. Durant toutes ces différentes étapes de l’évolution de l’homme,<br />
différents types de comportements reliés à la dominance, ce sont donc modifier<br />
et ce sont de plus en plus adoucie pour mieux s’adapter à leur nouvelle condition<br />
de vie sociale et culturelle. Ils se retrouvaient également dans des conditions de<br />
vie de plus en plus faciles, qui leurs offrait de plus en plus de confort matériel. Ce<br />
sont eux qui on vraiment conquit le monde, en s’établissant un peut partout sur la<br />
planète, et démontrant ainsi leur dominance et leur suprématie envers toutes les<br />
autres espèces du règne animale sur la planète.<br />
C’est d’ailleurs vers cette même époque, que l’homme qui était toujours piqué de<br />
curiosité et qui ne trouvait toujours pas de réponse concrète et satisfaisante sur<br />
la manifestation et le comportement de certain phénomène naturel. Comme pour<br />
les éruptions volcaniques qui pouvait faire disparaître une montagne d’un seul<br />
clin d’œil, des inondations et des tremblements de terre très dévastatrice, les<br />
éclaires, les ouragans, les saisons, les naissances et la mort, etc... Phénomène<br />
qui défiait toujours leurs imaginations, leur entendement et leur raison qui on été<br />
acquis à travers l’évolution de l’histoire culturelle de l’homme sur terre. Ils ont<br />
donc tout simplement commencé à douter de leur propre capacité intellectuelle<br />
et mentale, et ils ont créé les toutes premières formes d’esquisses à saveurs<br />
mystique et religieuse, qui ont été basées sur certaines formes de croyances<br />
bien symboliques. À partir de cet instant très précis de notre évolution, l’espèce<br />
humaine allait désormais donner toute l’autorité nécessaire à sa propre<br />
imagination, pour enfin pouvoir interpréter et expliquer tout ce qui se trouvait en<br />
dehors de sa porter conceptuelle et envers sa propre compréhension des choses<br />
qui l’entoure. Ce qui lui offrait du même coût, une certaine forme de contrôle et<br />
de pouvoir sur la nature, qui allait désormais orienter et diriger la destiné de sa<br />
propre espèce. Et Bien sure, ce rôle revenait de droit à la seule classe<br />
dominante de ses époques, qui en était les seuls héritiers possibles à pouvoir en<br />
bénéficier tout en manipulant et exploitant ce nouveau type de contrôle sur les<br />
populations.<br />
173
Certains culte funéraire on ainsi eu lieu chez l’homme de Néandertale, d’après<br />
certaines découvertes archéologiques qui ont été effectué sur des sépultures qui<br />
date de cette époque. Il s’agit en fait des premières formes de culte funéraire, qui<br />
aurait été inventé par l’homme de cette époque, et caractérisé par des trous<br />
frontaux que présente la majorité des crane Néandertaliens. L’ébauche des<br />
premières formes de religion venait d’être inventé, et la première secte religieuse<br />
ou mythique n’était plus tellement loin, et pointait même déjà à l’horizon pour<br />
hanter et influencer les comportements futurs de l’espèce humaine. Avec un t’el<br />
pouvoir sorti tout droit du merveilleux monde des idées et qui était maintenant en<br />
leur possession, il pouvait faire tout ce qu’il désirait, leur pouvoir étant désormais<br />
supporté par des assises mythiques bien solide. Et ceci dans le seul but<br />
d’orienter la destinée humaine selon leur seule volonté, tout en profitant<br />
également et très largement des privilèges et des prestiges qui était dut à leurs<br />
rangs et position sociale. (Comportement d'origine dominant et d’ordre plus<br />
instinctif par rapport à l'évolution de la conscience spirituelle et morale)<br />
Vers -12 000 ans, les glaces de la dernière glaciation on commencée à reculer<br />
en Europe et en Amérique du Nord. Cette époque correspond à la formation des<br />
grands lacs de l’Amérique du Nord et de la mer noire en Asie de l’Est. Petit à<br />
petit l’homme moderne a poursuivit son évolution, il s’est sédentarisé de plus en<br />
plus et c’est regrouper à l’intérieur de petit village. Il a tout d’abord inventer<br />
l’agriculture et fait la domestication de certains animaux, dont le chien et le bétail<br />
voilà environ 12 000 ans. Cette période de l’histoire humaine correspond au<br />
Néolithique, qui est celle de la pierre polis contrairement à l’époque du<br />
paléolithique. Aux files des siècles, les villages et les villageois se sont regroupé<br />
pour former petit à petit des petites villes, il s’agit des toutes premières citées<br />
comme celle qui a été découverte à Jéricho et qui remonte à plus de 10 000 ans.<br />
Les peuples de cette époque nous ont légué plusieurs mythes à leur sujet, qui<br />
allait ce transformer plus tard en véritable légende, et qui a leur tours seront<br />
intégré et interprété sous plusieurs formes de religion. La formation des<br />
premières villes et le début des premières grandes conquêtes des villageois de<br />
cette époque, fut marqué par de grand changement qui allaient bouleverser pour<br />
toujours la civilisation humaine en émergence. De nouvelle règle et de nouvelles<br />
lois ferons leur apparition, pour faire la gestion et pour contrôler la population des<br />
villes, qui devenait alors de plus en plus grande. Les exploits des premiers<br />
174
conquérants et des premiers véritables bâtisseurs de citées, fut alors élevé aux<br />
rangs de Divinité ou de demi-Dieu. Ainsi nous retrouvons des noms mythiques<br />
comme Hercule, Ulysse, Sanson et de bien d’autre.<br />
Stonehenge<br />
Tranquillement différents peuples feront leur apparition sur le vieux continent<br />
européen. Et bientôt une nouvelle immigration de population en provenance<br />
d’Asie et dont origine les différentes langues indo-européennes, vont déferler<br />
pour remplacer et influencer la culture des veilles tribut d’origine araméenne<br />
(siminites) de l’europe. C’est dernier avaient construit Stonehenge vers -2500<br />
ans, au tout début de l’age du cuivre, et plusieurs autres sites d’origine mono et<br />
mégalithique, ces sites leurs servaient entre autre, soit de calendrier<br />
Astronomique, de sépulture ou de lieux de culte. Les peuples indo-européens<br />
avaient domestiqué le fer, le chevale et la roue, qu’ils ont apportés avec eux<br />
dans leur conquête européenne, vers -2300 ans. De fil en aiguille, nous allons<br />
assister à la naissance des peuples barbares de la Germanie (Allemagne), dont<br />
les Anglo-Saxons, qui représente les Saxons et les angles qui se sont installés<br />
175
en Angleterre. Et nous retrouvons également l’origine des peuples celtiques de la<br />
Gaule vers –1000, qui s’établire sur le territoire qui correspond actuellement à la<br />
France. Le Grec, le latin, dont découle l’Espagnole et le français, sont également<br />
des langues d’origines indo-européennes. Un peut avant la conquête des<br />
peuples Indo-européens, les peuples de l’Égypte du sud et du nord comancère à<br />
se réunire pour former une grande civilisation vers -3100 ans, et à entreprendre<br />
la construction des toutes premières pyramide égyptienne, vers -2500 ans. Situé<br />
plus à l’Est de l’Égypte, nous retrouvons l’ancienne Mésopotamie, qui a été le<br />
véritable berceau de notre civilisation Occidentale et qui correspond à l’Irak<br />
actuel. La grande citée-État de Sumer, a vu naître la première forme d’écriture<br />
vers –3500 à -3300 ans. Abraham était originaire de cette région et de la cité<br />
d’Uruk en -1800 ans. Et on parlait déjà à cette époque dans certains textes de<br />
Sumer et de Ninive, du déluge et de l’arche de Noé (l'épopée de Gilgamesh),<br />
ainsi que la tour de Babel (qui veut dire Babylone en hébreu), et ceci plus de<br />
2500 ans avant l’ancien testament ou de la Tora, qui a été initié par Moise.<br />
Ensuite Babylone va prendre forme et dominer la région pendant des siècles.<br />
Représentation sous forme de générations humaine ( 25 ans ).<br />
Générations Années Description de l’époque<br />
0 2000 Notre génération actuelle.<br />
20 1492 Découverte des Amériques par Colomb.<br />
80 0 Naissance de Jésus<br />
109 - 725 L’âge du fer.<br />
152 - 1800 L’âge du bronze.<br />
180 - 2500 Début du Chalcolithique, ou l’âge du cuivre.<br />
200 - 3000 Invension de l’écriture à Sumer en Irak.<br />
400 - 8000 Début du Néolithique, ou de la pierre polit.<br />
1480 -35 000 Naissence de l’homme moderne.<br />
140 080 -3 500 000 Origine possible des premiers hominidés.<br />
2 600 080 -65 000 000 Fin du Cétacé, disparition des Dinosaures.<br />
152 000 080 -3 800 000 000 Origine de la vie sur notre planète.<br />
Les conquêtes des citées-États, allait se poursuivre de plus belle et petit a petit<br />
nous allons assister à la naissance des premières véritables nations et empires.<br />
Les ennemies d’hier devenaient ainsi les meilleurs alliés et amis de demain ou<br />
d’une autre époque. Les conquêtes ont donc participé à la reconnaissance et à<br />
l’acceptation des différences culturelle et à l’appartenance aux clans, qui<br />
176
caractérisait si bien les voisins d’autrefois. Pendant tout ce temps de nouvelle<br />
règle et de nouvelles lois marchantes de dimension plus économique et politique,<br />
vont êtres développé soigneusement sous plusieurs forme très hiérarchisée, et<br />
ceci pour mieux concurrencer et remplacer le commerce plus communautarisme<br />
des époques plus anciennes. Et ceci afin de permettre à l’homme de la classe<br />
dominante, de dirigé et d’orienter comme il le désirait, la division des différentes<br />
taches qui était relié aux travails de la population qui était alors sous leur<br />
contrôle. La population paysanne de ces époques, était plus souvent<br />
qu’autrement victime et soumise à l’esclavage et à l’exploitation qui était effectué<br />
et dirigé par la classe dominante de ces époques.<br />
Ainsi avec le temps, sont apparue différentes formes de système politique qui<br />
était plus ou moins ouvert à la démocratie. Dans l’ordre nous retrouvons le<br />
Communautarisme Tribale, le Socialisme, le Démocratique, l’Aristocratique des<br />
seigneurs d’entreprise, le Monarchique dont découlent les différentes formes de<br />
Féodalisme et d’Impérialisme et pour finir nous avons le Capitalisme. Les<br />
dictatures ne sont que la représentation suprême d’un système établit sous<br />
forme Monarchique. Il est à noter que les Monarchies ont l’habitude de distribué<br />
le pouvoir sous forme d’Aristocratie bourgeoise, que représentent les seigneurs,<br />
les princes ou les gouverneurs régionaux. Et ceci dans le seul but de maintenir<br />
sur le peuple et la population, la cohérence du pouvoir autoritaire d’un royaume.<br />
Ainsi le Capitalisme n’est qu’une nouvelle forme de représentation plus<br />
démocratisée et plus décentralisée de la nouvelle Monarchie Institutionnelle sur<br />
le plan économique et financier mondial, qui a tout simplement donné aux<br />
peuples, le pouvoir et le prestige illusoire de pouvoir enfin s’Aristocratiser à<br />
outrance à travers l’exploitation de leur semblable et de leurs peuples. La<br />
Démocratie n’est pas une sous représentation du Capitalisme, dont ce dernier ne<br />
peut qu’évoluer à la longue sur le plan socio-économique, que vers une société<br />
qui ce Monarchise en institution et qui s’Aristocratise en classe dominante de<br />
plus en plus. Car le Capitalisme des temps dure et plus sombre, qui se trouve à<br />
la limite non éternelle de l’exploitation des différentes ressources et richesses de<br />
la planète, ne recherche en définitive que le profit, la rentabilité et la compétition<br />
à outrance, ne visant qu’à diviser les différents groupes d’intérêts par<br />
l’exploitation et le mensonge fait à leur population.<br />
177
Puis vers –640 va émerger de l’ombre la toute nouvelle société grecque,<br />
constitué de plusieurs cité-États dont Athènes, Sparte et bien d’autre. Elle<br />
donnera naissance entre autre à la philosophie et donnera un nouvel essor aux<br />
sciences. Les Ioniens grecs, mouvement fondé par Thalès et dont la philosophie<br />
était basée sur l’étude des principes naturels de la nature (les premier véritable<br />
scientifique), et les Pythagoriciens qui les ont suivis par la suite. Connaissaient<br />
déjà le secret des éclipses solaire et lunaire, qui était causée par l’interposition et<br />
le jeu d’ombre des astres avec le soleil. Ils savaient également que la terre était<br />
ronde et qu’elle tournait avec les autres planètes et les comètes autour du soleil<br />
(dont découlera le système héliocentrique de Copernic, bien des années plus<br />
tard). Démocrite vers –470, émit même l’hypothèse que la Voie Lactée était<br />
formée d’un amas d’étoiles très éloignées.<br />
Platon (-427) plongea ses réflexions sur le monde des idées, dans une<br />
dialectique (discussion) qu’il associa alors au principe de la transcendance de<br />
l’esprit sur la matière. Dont seul Dieu pouvait créer l’essence et connaître les<br />
véritables secrets qui étaient reliés au monde de perception sensible. Les<br />
Platoniciens adopterons la représentation des astres héliocentrisme des<br />
Pythagoriciens. Aristote (384-322 av. J.-C.) associa plutôt le monde des idées à<br />
l’évolution des formes qui émergeait alors de la matière par immanessance, les<br />
idées de Platon devenaient ainsi qu’une simple propriété de la matière. Aristote<br />
introduit les principes de la métaphysique et il a établit les bases conceptuelles<br />
de la logique en philosophie. Les Aristotéliciens adopteront désormais la thèse<br />
géocentrisme d’Anaximandre (610-547 av. J.-C.) qui était un disciple de<br />
Pythagore. Ce qui allait être un recule incontestable sur le plan de l’évolution<br />
scientifique de l’humanité, dont découlera le système de Ptolémée en l’an 140 de<br />
notre ère, et qui sera imposée par la suite jusqu’à l’intervention de Nicolas<br />
Copernic (1473-1543) au XVI èm siècle. Aristarque était un illustre astronome de<br />
l’école d’Alexandrie, école de géométrie et de mathématique fondée par Euclide<br />
vers –300. Il exposa de manière remarquable la théorie des mouvements des<br />
planètes autour du soleil et Hipparque en –150 découvrit la précession des<br />
équinoxes, mais sans en connaître la cause. Mais la plus par de ses<br />
connaissances seront perdues par la suite, pour ne refaire surface qu’à l’époque<br />
de la renaissance. Le Moyen age a été une époque transitoire de l’humanité qui<br />
a été très obscure, et qui a suivit la chute de l’empire romain vers 300 de notre<br />
178
ère. Cette époque a été constituée de conquête de toutes sortes et<br />
d’obscurantisme, qui a précipité le monde et le continent européens dans l’oubli<br />
des anciennes connaissances, et elle fut composé en très grande partie de fait<br />
mythique et religieux de toutes sorte.<br />
Les différentes autorités religieuses de cette époque, faisaient sûrement partie<br />
du pouvoir tribale des sociétés plus anciennes, ou lui étaient tout simplement<br />
associées de près. Pouvoir qu’ils devaient également abuser à l’occasion,<br />
comme cela a eu lieu à différentes époques de notre histoire moderne et qui<br />
s’exerce toujours dans certaines de nos sociétés actuelles. Faisant ainsi ressortir<br />
certains traits bien caractéristiques sur les différents types de comportements qui<br />
sont reliés à la dominance, dont découle pouvoir, contrôle et convoitise de toutes<br />
sortes. Car ici, il faut bien l’avouer et le dire, que pendant une certaine période<br />
de temps, la religion et les croyances mystiques ont grandement abusé de leur<br />
autorité sur la foi, et ont grandement contribué au maintien de l’ignorance des<br />
peuples et des nations, et ceci par le contrôle et la peur idéologique et<br />
dogmatique qu’elles exerçaient pour influencer les individus. Elles ont par le fait<br />
même, grandement contribuée au ralentissement du progrès scientifique et<br />
technique, qui était alors relié au développement de la pensée de l ’humanité tout<br />
entière à travers son évolution. Se débarrassant et opprimant tous ceux qui<br />
menaçaient le pouvoir en place, ou qui ne pensaient tout simplement pas comme<br />
les autorités religieuses ou politiques de l’époque.<br />
Ici pour sans convaincre d’avantage, il suffit de se rappeler l’histoire de Galilée,<br />
qui a été confronté au pouvoir religieux au court du XVII èm siècle et de bien<br />
d’autres personnages historiques, qui n’ont pas eux la même chance que lui, et<br />
qui on finit sur le bûché au temps de l’inquisition (les soient disant sorcier et<br />
sorcières entre autre). L’esprit religieux dont la foi est basée sur de bonne<br />
philosophie de vie et sur de vraie valeur spirituelle, comme la morale et la<br />
sagesse, et non juste en fonction de ses aspects qui sont plutôt d’ordres<br />
historiques, comme cela semble bien être le cas de nos jours et pour une très<br />
grande majorité de la population. Est en réalité un bien fait pour l’humanité, vu de<br />
son aspect incontournable sur le plan de l’évolution sociale à travers l’espèce<br />
humaine et envers également les attributs de notre conscience face à l’inconnu.<br />
Mais que dire de ceux qui cherche par tous les moyens possibles, à imposer leur<br />
179
valeur et leur idéologie religieuse aux autres. Se précipitant ainsi dans le piège<br />
de la conviction et des préjugés de toutes sortes, limitant ainsi leur propre<br />
raisonnement et bafouant du même coût toutes leurs principes de bases et de<br />
sagesse qui sont axées sur le respect, la tolérance et la compréhension de<br />
l’autre, mais surtout envers la liberté d’expression de tous et chacun. Foi aveugle<br />
qui résulte en réalité de l’orgueil et de la recherche du pouvoir, et qui n'est<br />
nullement axée sur une véritable compréhension de la sagesse et de la nature.<br />
Face aux différentes lois Universelles, cet état d’esprit envers toutes formes de<br />
fanatismes religieux ou autres états d’âmes mystiques du même genre. N’adhère<br />
en réalité à aucun principe d’équilibre et d’harmonie qui se retrouve dans la<br />
nature, et par lequel l’espèce humaine semble bien avoir été créé de toute pièce<br />
et sortie tout droit de ses différents principes à saveurs évolutionnistes, dont seul<br />
Dieu connaît véritablement les mystères les plus profonds. Mais concerne plutôt<br />
un aspect de la conscience humaine qui est appelé à évoluer d’avantage, envers<br />
l’expression de sentiment très négatif de haine, de jalousie et de cupidité<br />
pouvant conduire à la guerre ou à toutes autres formes de conflits. Pour que<br />
l’humanité puise enfin ce dégager en partie, de cette emprise et de cet état<br />
d’esprit envers l’influence religieuse et mystique, il a fallu attendre jusqu’au début<br />
de la renaissance, situé vers le XVII èm siècle environ. Et qui correspond en fait, à<br />
la quatrième phase de l’évolution humaine. Nous sommes donc rendus à l’étape<br />
de l’age adulte de l’humanité, celle-ci se voulant d’ailleurs plus mature et plus<br />
raisonnable que par le passer, et qui se terminera par une forme de<br />
gouvernement ou de représentation sur le plan mondiale.<br />
Depuis quelques siècles, la science à démontrer une certaine forme de volonté<br />
pour remplacer et prendre la place, qu’occupaient j’adisse les anciennes formes<br />
de croyances envers des idéologies religieuses et mystiques. Mais la véritable<br />
place de la science, n’est pas vraiment situé à ce niveau sur le plan des<br />
connaissances et de la compréhension humaine, qui fait partie intégrant du<br />
monde sensible. Par contre la science à sa véritable place au niveau de l’étude,<br />
de l’analyse et de la recherche des connaissances, qui sont alors orienté vers<br />
une meilleure compréhension de la nature. La science empêche également à<br />
certain égard, l’encouragement de conduite plus aveugle et sectaires par<br />
exemple. Elle est tout simplement l’outil idéal pour développer et comprendre<br />
180
l’évolution des concepts de l’esprit humain. Nous permettant peut être un jour, de<br />
trouver la réponse à notre véritable nature et de notre véritable destinée face à<br />
l’espace infini et a Dieu, sur le plan de la conscience spirituelle.<br />
Toumaï, Serait-il le Doyen de l'Humanité :<br />
Dernière nouvelle jeudi 7 avril 2005<br />
De nouvelles données ont été présentées quant à la controversée mise au jour<br />
du crâne surnommé Toumaï, au Tchad en 2001. À l'époque, l'équipe du<br />
paléontologue français Michel Brunet avait présenté les ossements fossilisés<br />
datant de sept millions d'années comme étant ceux du plus vieil ancêtre de<br />
l'humain mis au jour jusqu'à aujourd'hui.<br />
Mais des confrères s'étaient interrogés sur cette théorie, la remettant même en<br />
question en affirmant que le crâne était plutôt celui d'un ancêtre du gorille. Or,<br />
l'équipe du professeur Brunet affirme, dans la dernière livraison du magazine<br />
Nature, que la mise au jour de nouveaux restes et une reconstruction en 3D<br />
confirment que le fossile serait le plus vieil hominidé connu.<br />
Les nouvelles preuves fossiles<br />
L'équipe a analysé deux mandibules et une prémolaire supérieure mises au jour<br />
au même endroit que le crâne, les fragments de mâchoire et les trois dents<br />
découvertes en 2001. Les chercheurs français soutiennent que les os fossilisés<br />
révèlent des similitudes importantes avec les restes d'hominidés. Selon eux,<br />
pas de doute, Toumaï appartient à la branche humaine de l'arbre de l'évolution.<br />
La reconstitution faciale<br />
La reconstitution électronique en 3D du crâne a été effectué selon deux<br />
protocoles indépendants, l'un purement géométrique, l'autre utilisant les<br />
contraintes anatomiques existant dans les crânes de primates. L'analyse<br />
morphométrique de la reconstruction finale montre que Toumaï se range bien<br />
dans le groupe des hominidés et non dans celui des grands singes.<br />
181
La Presse canadienne, 2005<br />
De nouvelles études semblent confirmer l'appartenance de Toumaï :<br />
-PAR MALCOLM RITTER-<br />
NEW YORK (AP) - Deux nouvelles études publiées jeudi dans la revue "Nature" tendent à<br />
confirmer que Toumaï, un fossile découvert en 2001 par une équipe dirigée par le français<br />
Michel Brunet, et présenté comme le plus vieil ancêtre connu de l'homme moderne, appartient<br />
bien à la famille des hominidés.<br />
Des membres de la mission paléoanthropologique franco-tchadienne dirigée par Michel Brunet,<br />
professeur à l'université de Poitiers, avaient mis au jour les restes fossilisés dans le désert du<br />
Djourab au Tchad: des fragments de mâchoire, des dents et un crâne. La découverte avait été<br />
présentée comme les restes d'un hominidé baptisé Sahelanthropus tchadensis, alias "Toumaï".<br />
Vieux de six à sept millions d'années, le fossile remonte à une période qui a vu une<br />
séparation majeure sur l'arbre de l'évolution entre la branche humaine et celle des<br />
chimpanzés. Le Pr Brunet affirme que Toumaï est le plus vieil hominidé connu, mais<br />
d'autres scientifiques ont contesté cette thèse, estimant qu'il pourrait être un ancêtre des<br />
grands singes plutôt que le doyen de l'humanité. Si de nombreux scientifiques pensent<br />
désormais que le S. tchadensis est probablement un hominidé, le débat n'est pas encore<br />
tranché.<br />
De nouveaux éléments tendent à confirmer la thèse du Pr Brunet, notamment une reconstitution<br />
virtuelle en trois dimensions du crâne de Toumaï. Mais certains experts considèrent que ces<br />
éléments n'apportent pas la preuve certaine que le S. tchadensis était un hominidé. Une grande<br />
question est de savoir si la créature était bipède. Le Pr Brunet estime, au vu des preuves<br />
182
disponibles, que se serait une "grande surprise" s'il s'avérait que Toumaï ne présentait pas<br />
cette caractéristique essentielle des hominidés. Mais il convient avec d'autres scientifiques que,<br />
pour en être sûr, il faudrait trouver et analyser des os de Toumaï pouvant fournir une preuve<br />
comme un genou, une hanche ou un pied.<br />
Dans "Nature", le Pr Brunet et des collègues rapportent la découverte de deux nouveaux<br />
fragments de mâchoire et de la couronne d'une dent dans la zone où a été exhumé Toumaï.<br />
Des analyses montrent des similitudes avec les fossiles hominidés et des différences avec les<br />
caractéristiques des grands singes, soulignent-ils.<br />
Ils présentent également une reconstruction par ordinateur du crâne, qui a été déformé lors de<br />
son long séjour sous les sables du désert tchadien. Elle confirme que le S. tchadensis partage<br />
plusieurs caractéristiques avec des hominidés plus récents, soulignent les chercheurs. En<br />
outre, la position d'un orifice où passe la moelle épinière est conforme à ce que l'on observe<br />
chez l'homme mais pas chez les singes, ce qui suggère la bipédie, observent-ils.<br />
Rick Potts, directeur du Programme sur les origines de l'homme à la Smithsonian Institution,<br />
rétorque que l'emplacement de cette cavité ne prouve pas forcément que Toumaï marchait<br />
debout. Il pense toutefois que la créature était probablement un hominidé.<br />
David Begun, de l'université de Toronto, au Canada, demeure également prudente, même s'il<br />
estime qu'il y a de bonnes chances que Toumaï était bipède. "Je serai convaincu lorsqu'ils<br />
trouveront une articulation de genou", dit-il.<br />
Bernard Wood, de l'université George Washington, déclare de son côté qu'il y a trop peu de<br />
preuves pour pouvoir affirmer avec certitude que le S. tchadensis est un hominidé. Il évoque<br />
également l'hypothèse selon laquelle la créature pourrait appartenir à une branche de l'arbre de<br />
l'évolution qui n'a plus de représentants vivants.<br />
Source : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Sante...ntroverse.shtml<br />
183
LES ATTRIBUTS DE LA CONSCIENCE<br />
Aspect de la Conscience Relié à la Dominance – Évolution du<br />
Cerveau et Comportements Reliés à la Dominance – Première<br />
étape de l’évolution du cerveau – Deuxième étape de l’évolution<br />
du cerveau – Troisième étape de l’évolution du cerveau – La<br />
Perception et les Aspects de la Nature Humaine – La Perception<br />
Subjective des Couleurs – Conclusion Partielle – Précision<br />
Additionnelle – Résumé<br />
Une des principales raisons concerne l’échec de l’espèce humaine, envers son<br />
incapacité à effectuer une distribution plus juste et plus équitable des richesses<br />
et des ressources naturelles de la terre. Et envers également son manque de<br />
prévoyance sur la véritable destinée de l’humanité, par rapport à la nature et aux<br />
lois Universelles. Sont essentiellement attribués aux différents niveaux de la<br />
conscience morale et spirituelle qui est atteint par les individus, et de leur<br />
différents impactes socioculturelle qui peuvent en résulter sur le plan de la<br />
conscience collective, et pouvant se manifester sur le monde qui nous entour.<br />
Elles sont d’ailleurs étroitement reliées à l’expression de certains types de<br />
comportements qui sont reliés à la dominance, faisant face à certains type de<br />
pouvoir qui nous sont attribués, et dont nous avons bien du mal quelque fois à<br />
gérer les différents excès et abus sur le plan individuel, émotionnel et spirituel.<br />
La raison humaine n’étant tout simplement pas assez éclairée sur le plan de la<br />
morale et de la spiritualité, pour comprendre ses véritables intérêts sur le plan du<br />
développement collectif et spirituel. L'esprit incarné dans un corps physique<br />
possède s’est propre attribut évolutif sur le plan spirituel, mais selon ceux-ci il va<br />
subire également une très forte influence du monde matériel qui le constitue. Et<br />
cette influence lui sera transmise par l'intermédiaire de son cerveau via son<br />
périsprit. Cela est notre sujet dont nous allons maintenant explorer et discuter ici,<br />
dans ce chapitre.<br />
Ce constat d’échec sur le plan moral et spirituel, fait référence à la nature même<br />
de notre propre espèce, et ceci envers nos attributs, nos aptitudes et nos<br />
différents niveaux de connaissance acquissent en sagesse et en compréhension<br />
sur le plan individuel et collectif. Ces valeurs culturelles ont été exprimées et<br />
transmises à travers toutes les époques de l’histoire et de l’évolution humaine.<br />
Évolution qui c’est effectué d’une manière quasi linéaire et qui avec le temps<br />
nous a permit de conquérir et d’exploiter toutes les ressources et les richesses<br />
184
de notre planète. Nous confrontant actuellement à toutes les situations auxquels<br />
nous nous retrouvons et qui sont d’une importance capitale et sans précèdent à<br />
travers toute l’histoire humaine, menaçant même la survie de notre propre<br />
espèce, dont l’homme est actuellement le seul responsable.<br />
La résultante de nos valeurs intellectuelles, morales et spirituelles acquises et<br />
transmises tout au long de notre évolution. Démontre en fait, nos différents<br />
niveaux de conscience et de compréhension acquise envers la nature et envers<br />
nos semblables (sur le plan collectif et historique). Le manque de sagesse<br />
envers le partage des richesses et le manque de responsabilisation sociale<br />
envers sont prochains. Sont en réalité des comportements reliés au pouvoir, dont<br />
l’abus est totalement contraire à l’esprit d’altruiste et de partage sur le plan de<br />
l’équilibre et de l’harmonie Universelle. Elles font plutôt ressortires des<br />
comportements reliés à la compétition, ne servant qu’à entretenir des formes de<br />
préjugés de toutes sortes entre les individus. Ce qui démontre une volonté de<br />
vouloir normaliser et étiqueter tous les aspects de la société moderne, afin<br />
d’encadrer et de catégoriser l’accès aux différents prestiges et privilège, qui sont<br />
offerts seulement par l’élite en place et qui est d’ailleurs renfermé sur elle-même.<br />
Et ceci pour mieux se cacher aux yeux des non initiés, de peur de montrer leur<br />
indifférence, leur hypocrisie et leur mépris envers les différentes conditions<br />
humaines de pauvreté et de misère. Dont le but réel est de maintenir l’illusion<br />
fausse de leur supériorité humaine, envers le rôle de soumission et de<br />
mensonge qui est alors imposée aux restes de la population. Dictant même au<br />
passage leur conduite et cela pour mieux profité sournoisement du vol de la<br />
richesse collective de toute l’humanité.<br />
La vraie liberté humaniste et spirituelle, ne pose pas de t’elle balise et de t’elles<br />
conditions envers l’humanité, elle se contente tout simplement de suivre la<br />
nature dans l’amour, le partage et la fraternité. Et ceci dans un respect mutuel de<br />
leur propre existence et liberté respective. Dont les richesses son tout<br />
simplement partagée à part égale, afin de permettre à tout le temps et le<br />
privilège de pouvoir exprimer enfin un sourire à la vie. Pour l’évolution de<br />
l’ensemble de nos sociétés actuelle, il s’agit en fait des différentes orientations<br />
qui ont été choisis et sélectionnés par les représentants de la classe dominante<br />
et dirigeante de l’espèce humaine, et ceci à travers toutes les époques de notre<br />
185
histoire, afin d’orienter et d’influencer notre développement intellectuel, moral,<br />
spirituel et sociale face à l’évolution. Voilà en quelque sorte, la résultante morale<br />
et spirituelle qui est porté sur l’évolution de la raison et de la conscience<br />
humaine, et retracée à travers l’expression de certains types de comportements<br />
qui sont reliés à la dominance à travers toutes les époques de notre évolution. La<br />
véritable destinée humaine reste toujours très obscur pour le moment, mais elle<br />
concerne véritablement la survie de notre propre espèce et donc de l’évolution<br />
de la conscience humaine, sur le plan intellectuel et spirituel.<br />
Aspect de la Conscience Relié à la Dominance :<br />
Nous faisons ici, allusion à certains type de comportements reliés à la<br />
dominance et associés à certains types de désirs passionnels et émotionnels,<br />
comme la convoitise et l’abus de pouvoir. Qui sont en fait, des sentiments reliés<br />
très étroitement à l’amour propre et à l’orgueil des individus et de leur aspect<br />
égoïsme, qui est parfois exprimés à des niveaux différents selon le degré de<br />
compréhension atteint par leur conscience spirituelle et morale. Ses différents<br />
sentiments sont également associés à une perception et à une vision plus<br />
égocentrique du monde qui nous entour, ne visant la plupart du temps que des<br />
intérêts d’ordre strictement personnel, et qui ne tiennent nullement comptes des<br />
véritables intérêts collectifs sur le plan de la coopération, du respect et de la<br />
destiné humaine. Ils font parties en réalités des différents états d’âmes et de<br />
conscience qui son permis les plus primitives sur le plan de la raison. Se<br />
rapprochant d’avantage aux pulsions et aux instincts animaux, qui sont alors<br />
axés sur les différents comportements de dominance, pour ainsi s’approprier le<br />
moindre petit objet de ses désirs obsessionnels, sans ce préoccuper d’avantage<br />
des conséquences pouvant résulter de leur propre acte. Ce sont des sentiments<br />
moins éclairés sur le plan de la connaissance et de la compréhension humaine,<br />
basées sur la spiritualité, la morale et les principes d'harmonie et d'équilibre.<br />
Mais vise plutôt des sentiments de supériorité par l’entremise de préjugés de<br />
toutes sortes, ne servant qu’à classer et catégoriser les individus. C’est une<br />
forme d’orgueil qui est mal contrôler et maîtrisé, se rapproche d’avantage plus à<br />
un sentiment émotionnel instinctif. Caractérisant ainsi les différents attributs de la<br />
conscience humaine, qui évolue vers la sagesse, la spiritualité, la cohabitation et<br />
le respect de la liberté de tous et chacun.<br />
186
Ces différents types de comportements qui sont reliés à la dominance, sont en<br />
fait, reliés très étroitement à certains traits bien caractéristiques de la matière<br />
vivant et envers l’évolution et la survie des individus. Dont le but ultime est de<br />
permettre la préservation et la survie des espèces à travers le temps. Ce sont<br />
des comportements qui ont été imaginés par la nature, dont les lois qui<br />
régularisent et contrôle l’évolution de celle-ci, ont tout simplement permis sur le<br />
plan génétique, moléculaire et cellulaire, de faire l’acquisition de certains types<br />
de comportement réactionnel de plus en plus complexes et étroitement reliés aux<br />
différents processus d’adaptations naturels. Les premiers traits<br />
comportementaux de la matière vivante reliée à la dominance, viennent donc de<br />
la nature elle-même et faisant face à elle-même, elles sont dirigées et contrôlées<br />
par différents processus d’équilibres et d’harmonie environnementale. Ces<br />
différentes possibilités organisationnelles et structurelles de la matière<br />
organique, envers les différents processus d’équilibre et d’harmonie<br />
environnementale, ont ainsi permis aux différents organismes vivant de s’adapter<br />
aux différents changements environnementaux et de franchir les différentes<br />
barrières du temps. Permettant ainsi leur évolution sur terre et éventuellement<br />
sur d’autres planètes également, découlant tout simplement des mêmes<br />
principes évolutifs de la nature et de l’Univers dans son ensemble.<br />
Cette forme d’évolution de la matière organique, et plus particulièrement envers<br />
l’évolution du cerveau humain. Allait inévitablement aboutir un jour ou l’autre vers<br />
la conscience, puisque cela c’est déjà produit sur terre envers l’évolution de<br />
notre propre espèce. Ainsi un nouvel aspect de la nature situé à un autre plan<br />
d’existence, fera son apparition et favorisera ainsi une adaptation beaucoup plus<br />
efficace, améliorant du même coût les différentes conditions de vie. La<br />
conscience obéit cependant aux même lois d’évolutions de la nature, qu’elles<br />
doivent tout simplement réapprendre par l’observation et l’expérimentation, afin<br />
d’augmenter son niveau de connaissance et de compréhension pour interagir de<br />
manière plus efficace avec elle (la nature). Ainsi les différentes lois de la nature,<br />
finiront un jour par êtres conceptualisés par la conscience de l’homme et à<br />
travers son esprit, sous forme de modélisation à base de valeur spirituelle et<br />
morale. Elles seront comprises dans leurs véritable sans, au fur et à mesure de<br />
l’évolution et du développement de l’espèce humain. Ici il s’agit bien sur des<br />
187
différents concepts qui sont reliés à l’équilibre et à l’harmonie de la dynamique<br />
Universelle, et face à la destiné humaine.<br />
Les différents concepts créés par la conscience humaine, envers les différentes<br />
interprétations portées sur l’observation et la manifestation des différents<br />
phénomènes de la nature. Sont dans un premier temps exprimer et interpréter<br />
dans un cadre religieux et mystique (voir le chapitre sur ‘De l’Australopithèque à<br />
l’Homme’). La limitation des connaissances portées sur les véritables causes des<br />
phénomènes naturelles, en sont étroitement responsables. La conscience de<br />
l’homme voulant tout simplement refléter sur la nature, ses propres impressions<br />
ressentis en lui-même, et qui ont été imaginés et ressentis au court de son<br />
évolution sur terre, et celle-ci découlant directement de la conscience de lui-<br />
même par rapport à sa propre individualité. Il a tout simplement extrapolé à<br />
l’extérieur de lui-même, une forme de représentation du monde dans lequel il se<br />
trouve, pour ainsi s’en faire une image communicante le plus fidèle possible et<br />
pour avoir également l’impression de pouvoir dialoguer et interagir avec la nature<br />
de manière consciente. L’homme a compris très tôt et depuis bien longtemps<br />
déjà, que la nature lui était grandement supérieure, et cela à tous les égards, le<br />
poussant à s’interroger d’avantage sur lui-même. L’homme a également compris<br />
très tôt, que la seule manière d’interagir et de dialoguer véritablement avec la<br />
nature, étaient d’entretenir des relations très étroites avec ses différentes lois<br />
d’harmonies et d’équilibre dynamique. Qui ont alors étés symbolisés et<br />
interprétés au niveau de la conscience humaine, par une certaine forme d’échos<br />
portée sur l’évolution des différents concepts spirituels qui sont alors relié aux<br />
différentes valeurs morales (dont origine religion, culte et mysticisme). Forme de<br />
représentation qui voulait tout simplement imiter et reproduire, les différents<br />
comportements de la nature observés.<br />
Avec le temps et le développement des technologies, la compréhension de<br />
l’homme sur les différents mécanismes fondamentaux des phénomènes de la<br />
nature. Va petit à petit enlever le voile du mystère sur certains phénomènes<br />
naturels et de permettre enfin à l’homme, d’inventer de nouveaux outils et de<br />
nouveau concepts pour l’aider à analyser et à comprendre mieux le monde qui<br />
l’entour. La science va désormais devenir notre maître absolu, envers le dialogue<br />
que nous entretenons continuellement avec la nature et notre relation avec<br />
188
l’Univers va prendre désormais une nouvelle orientation de plus en plus critique<br />
et spirituelle. Dans ses conditions, nous pouvons dire que la science n’est pas<br />
autre chose qu’un simple aspect évolutif de la raison et de la conscience<br />
humaine, envers les religions et le mysticisme, elle les complète tout simplement<br />
de manière plus intelligible. La science cherche toujours à comprendre et à<br />
expliquer d’avantage le comment des choses qui nous entour, et elle fait toujours<br />
face à notre grande quête de la vérité absolue qui est axée sur le pourquoi des<br />
choses. Elle est assistée dans tout cela par notre raison rationnelle et<br />
irrationnelle, de notre entendement qui fait partie du monde sensible et<br />
perceptible. La science est cependant toujours confrontée au même dilemme<br />
que les religions de jadis, et n’apporte pas réellement de véritable réponse aux<br />
plus grands mystères de la nature, elle nous éclaire seulement sur notre<br />
ignorance. Ainsi la véritable nature de la matière-énergie et de son évolution vers<br />
des structures matérielles constructale de plus en plus complexe, aboutissant<br />
finalement à la conscience par l’entremise de l’évolution d’organisme vivant, t’elle<br />
que l’homme. Sont pour l’instant toujours laissé sans réponse et l’essence même<br />
de notre existence est un véritable mystère.<br />
La science est l’outil de la compréhension et de la raison de la conscience<br />
humaine, elle ne peut remplacer les valeurs d’ordres plus spirituelles et morales<br />
d’une société. Ses valeurs fonts partis intégrantes des attributs et des aspects de<br />
la conscience humaine et de l’intelligibilité de l’esprit, et elles sont indispensables<br />
et indissociables à la cohésion et à une bonne cohabitation sociale entre les<br />
différents peuples et les individus. La science ne remplace pas la foi, mais est un<br />
outil pour la renforcée et de la rendre moins aveugle, elle ne détruit pas<br />
également le mystère d’un être Divin, mais semble plutôt le confirmer par<br />
certains détour. Le mystère de la foi est d’ailleurs axé sur l’espoir et l’espérance<br />
d’un avenir meilleur pouvant améliorer les différentes conditions humaines et de<br />
soulager du même coût sa propre conscience face à l’injustice, qu’elle soit basée<br />
sur des valeurs religieuses ou non. La foi découle d’une certaine forme de<br />
croyance et n’est pas juste représenter par des valeurs d’ordres religieux, mais<br />
est également une valeur qui est étroitement liée à notre propre existence sur le<br />
plan de l’entendement de la conscience et de son aspect un peut plus spirituel.<br />
Car en fait, nous avons tout fois en nous même dans un premier temps, ce qui<br />
est la première forme d’une croyance et la science est l’outil idéal pour entrer en<br />
189
elation et en harmonie directe avec la nature et envers la compréhension de ses<br />
différents états d’équilibres. La science doit être appuyée et suivit par des<br />
valeurs spirituelles et humaines, et cela dans le seul but de ne pas mettre<br />
l’humanité tout entière en péril.<br />
Par contre les véritables sans des lois évolutives de la nature, envers la<br />
conscientisation spirituelle des différents principes Universels d’équilibre et<br />
d’harmonie, ne seront véritablement comprises et admises par la majorité de la<br />
population, que dans différentes situations et épreuves pouvant nous impliquer<br />
tous, ou de manière individuelle selon les esprits et leur évolution. L’espèce<br />
humaine est présentement confrontée à cette étape de l’évolution spirituelle de la<br />
conscience humaine. Il s’agit de la mondialisation des marchés, qui nous<br />
conduira inévitablement vers une nouvelle forme de gouvernement mondiale, et<br />
des différentes règles qui lui seront appliquées dans l’avenir. Ces différents<br />
processus de la mondialisation des marchés, sont loin d’êtres terminés, car en<br />
fait, son objectif principal est de soumettre l’humanité tout entière, face à elle-<br />
même et envers sa destiné. C’est une étape inévitable à travers l’évolution de la<br />
vie consciente et de son développement sur notre planète, aux dimensions et<br />
aux ressources de plus en plus limitées dans le temps. C’est la plus grande<br />
épreuve qui est offert à la nature humaine, afin de nous confrontés tous au plus<br />
grand défit collectif de toute l‘humanité, et de faire face ainsi à nos véritables<br />
valeurs spirituelles et morales acquises aux courts de notre évolution et par<br />
rapport à notre véritable nature, qui est faut-il le rappeler, d’origine animale sur le<br />
plan physique de la question.<br />
Aucune intervention en provenance de l’extérieur de notre espèce (sauf les<br />
différentes formes d’interventions du monde spirituel et des esprits), ne pourra<br />
interférer avec la suite des événements, auxquels nous sommes tout désormais<br />
confrontés. C’est un test que l’humanité doit relever d’elle-même, démontrant<br />
ainsi sa véritable volonté de survivre et de vivre en harmonie et en équilibre<br />
envers la nature et envers ses propres semblables. Sauf cependant si la<br />
situation dégénère dans une forme apocalyptique et menace la planète tout<br />
entière. Mais cela fait partie d’une autre histoire, faisant d’ailleurs référence à<br />
toutes les mythologies religieuses créer par l’homme. Cet intérêt porté sur les<br />
valeurs historiques des religions, par rapport à leurs véritables fondements<br />
190
moraux et spirituels, a plutôt favorisé toutes sortes d’injustices sociales et<br />
d’iniquités par l’entremise des préjugés et des différences entre les individus et<br />
les peuples (caste), et ceci face aux différents abus effectués par le pouvoir<br />
religieux et politique, dont la preuve nous est acquit à travers toutes les<br />
différentes époques de notre histoire et de notre évolution. L’humanité sera t’elle<br />
assez sage pour passer à travers cette situation et ce défit planétaire, et ainsi<br />
franchire une nouvelle étape de son évolution et de son développement sur le<br />
plan de la conscience, de la sagesse et de la spiritualité. Cette étape est<br />
représentée par la cinquième phase de l’évolution humaine, et qui correspond à<br />
celle de la sagesse, de l’harmonie et de la paix sur terre, et qui a d’ailleurs été<br />
imaginé et idéalisé dans toutes les religions et à travers toutes les époques de<br />
notre histoire, par le paradis perdu.<br />
Car en fait, le véritable défit de la conscience humaine est d’admettre tout<br />
simplement ses véritables tords sur le plan de l’orgueil et de la conscience. Et<br />
ceci envers la compréhension de certaines choses de la nature qui nous<br />
dépassent et qui pour certaine d’entre elle, ce trouve tout simplement en dehors<br />
de notre porter conceptuelle. Et dont l’homme manifeste toujours la fâcheuse<br />
habitude de se mettre à son égale, pour mieux la contrôler et la soumettre à ses<br />
moindres petits caprices. Pour essayer ainsi de la manipuler pour son seul<br />
avantage sans tenir compte véritablement de ce qui l’entour et envers également<br />
ses propres responsabilités envers la nature, ses propres semblables et envers<br />
également sa véritable destinée. Il s’agit tout simplement de dominer nos<br />
instincts les plus primitifs, envers l’orgueil et certains types de comportements<br />
reliés à la dominance, qui lui sont associés très étroitement et directement<br />
soumise à son emprise et influence. Contrôle pouvant être effectué par la raison<br />
humaine, qui est d’ailleurs le seul véritable attribut que possède notre<br />
conscience, pour essayer de contrôler et de diriger notre véritable destinée<br />
collective sur le plan de la sagesse et de la morale et de sortir l’humanité une fois<br />
pour toute, de son indifférence instinctive la plus totale, envers la condition<br />
humaine sur le plan internationale auquel on fait face de nos jours.<br />
Évolution du Cerveau et Comportements Reliés à la Dominance :<br />
Dans la suite de ce chapitre, nous ferrons références aux différents types de<br />
comportements reliés à la dominance, pour illustrer certains aspects spirituels de<br />
191
la nature humaine, envers la morale et la sagesse qui a été exprimé à travers<br />
toutes les différentes époques de notre évolution. Nous allons également<br />
démontrer que cet aspect spirituel de la nature humaine est intermédiaire à<br />
l’évolution de notre espèce, et qui par le fait même est appeler à évoluer<br />
d’avantage sur le plan de la conscience, au même rythme d’ailleurs que notre<br />
niveau de compréhension envers la nature. L’évolution de la conscience<br />
représente en quelque sorte, notre véritable but et notre véritable raison d’être<br />
sur le plan de l’existence spirituelle et matérielle. Regardons maintenant dans les<br />
quelques lignes qui vont suives, un petit résumer de l’évolution du système<br />
nerveux, basé sur le développement et l’acquisition de ses différents types de<br />
comportements reliés à la dominance. Dont les prémices comportementales et<br />
évolutives, ont été établis progressivement par les différents réflexes biologiques<br />
et physiologiques qui ont été conditionnés de manière automatique par les<br />
organismes vivants les plus simples et les plus primitifs de la terre, comme les<br />
bactéries, les éponges, les méduses, les vers, et les plantes etc... Tous ses<br />
différents mécanismes d’adaptations génétiques et biologiques, ont été élaborés<br />
en étroites relations par rapport aux différentes lois d’harmonie et d’équilibre<br />
environnemental de la nature. Les lois de la nature qui dirigent et orientent les<br />
différentes réactions chimiques et biochimiques de la matière, sont en fait les<br />
principales responsables et la cause première, de tous ces différents<br />
mécanismes comportementaux exprimés par les organismes vivants.<br />
Ces différents types de réflexes biologiques, sont tout simplement le résultat de<br />
certaines réactions moléculaires et biochimiques, qui ont été acquis lors de<br />
l’évolution des différentes molécules organiques sur terre. (ADN, ARN, protéines,<br />
enzymes, etc…) Leurs différents niveaux d’organisations et de fonctionnalités ont<br />
tout simplement été orientées et structurées par l’évolution et l’adaptation des<br />
organismes vivants unicellulaires, de type bactérien et ceci par rapport à leur<br />
environnement. Les premiers types de comportement cellulaires des bactéries,<br />
ont donc été axés sur la survie des individus et de l’espèce, et le tout étaient<br />
coordonnés par toutes sortes de signaux chimiques intérieurs et extérieurs. Par<br />
la suite les organismes vivants unicellulaires, ce sont regroupés en différant<br />
colonies de bactéries. Les bactéries pouvaient ainsi entrer en relation et en<br />
communication, par certains signaux chimiques libérés dans leur environnement<br />
immédiat et pouvant provoquer des réactions biochimiques de toutes sortes. Cet<br />
192
aspect de l’évolution organique et moléculaire dirigée vers la communication<br />
extracellulaire, est à l’origine de l’évolution des différentes cellules sensorielles,<br />
qui ce son développer par différents processus d’adaptation génétique et<br />
environnementale et qui par la suite se sont tout simplement spécialisés à<br />
l’intérieur des organismes pluricellulaire de plus en plus complexe. Certaines<br />
protéines et molécules organiques situer à la surface de la membrane cellulaire,<br />
sont tout particulièrement spécialiser pour la réception et le traitement de ces<br />
différents signaux chimiques. Il s’agit en fait, d’une forme de processus<br />
biologique et biochimique effectués de manière totalement inconsciente, que<br />
possède tous les organismes vivants, envers une certaine forme de perception<br />
sensorielle et interactive avec leur environnement immédiat. L’origine et<br />
l’évolution de la vie, sont abordés plus en détailles dans le chapitre précédent.<br />
Les organismes vivant les plus simples de la nature, comme les bactéries et les<br />
algues microscopiques. Interagissent donc avec leur milieu, selon une forme<br />
d’affinité chimique et biochimique qui découle également des lois spirituelles que<br />
représentent les quatre interactions fondamentales de la nature. Puisant ainsi<br />
directement dans leur environnement immédiat, les différents éléments nutritifs<br />
essentiel à leur survie et adoptant également à l’occasion, certains<br />
comportements reliés à leur reproduction, pour la préservation de leur espèce.<br />
Ces différents comportements bactériens reliés à la survie, sont donc rendus<br />
possibles et réalisés grâces à différents processus biochimiques, qui regroupent<br />
en fait toutes les différentes réactions chimiques de la matière vivante. Elles<br />
impliquent des phénomènes et des réactions d’oxydoréductions de la matière,<br />
effectués par l’échange d’électron ou par l’échange d’atomes d’hydrogènes. Le<br />
but de ces différents processus chimiques de la matière organique, est de<br />
favoriser l’échange de certains groupements d’atomes, servant entre autre à<br />
l’édification et la régénération cellulaire et pour également l’édification des<br />
différents mécanismes réactionnels utilisés par les molécules de la vie, les<br />
enzymes entre autre. Ce sont des phénomènes physico-chimiques de la nature,<br />
qui sont à la recherche constantes de différents processus d’équilibre<br />
dynamique, qui caractérise si bien le mouvement et l’évolution du merveilleux<br />
monde du vivant.<br />
193
Ses différents processus biochimiques, sont donc établis selon une certaine<br />
forme de complémentarité et d’affinité électrochimique, entre certaines protéines,<br />
enzyme et autres molécules organiques, qui sont elle-même en étroites relations<br />
et contrôlés par la structure génétique interne des cellules bactériennes. La<br />
sélection naturelle, allait donc favoriser la survie et l’évolution des organismes<br />
vivants, présentant alors les meilleures capacités d’interactions et d’adaptations<br />
comportementales face à leur environnement, et pouvant êtres également<br />
transmis de génération en génération. Ainsi, si la girafe possède actuellement un<br />
long cou, ce n’est pas parce qu’elle se nourrie à la cime des arbres. Mais belle et<br />
bien par ce que la nature en a voulut ainsi sur le plan génétique, et la girafe s’est<br />
tout simplement adapter à ses nouvelles conditions de vie physiologique, en se<br />
nourrissent justement à la cime des arbres. (Concept du néodarwinisme).<br />
L’évolution a donc favorisé sur le plan génétique et physiologique, l’expression<br />
de certain caractère bien spécifique des êtres vivants, qui allaient se développer<br />
par la suite à travers d’organisme pluricellulaire de plus en plus complexe. Cette<br />
forme de direction évolutive envers les organismes pluricellulaires et envers les<br />
prémices d’une certaine ébauche du système nerveux. Représentée au tout<br />
début de l’évolution par certaines cellules bactériennes possédant une forme de<br />
sur spécialisation sur le plan génétique, et étant axées sur les différentes formes<br />
de communications inter et extracellulaires. A permit aux organismes vivant<br />
pluricellulaires de maintenir une certaine forme de contrôle sur l’intégrité de leurs<br />
cellules, et ceci afin de coordonné l’ensemble de leurs activités physiologiques et<br />
biochimiques de leur organisme. L’équilibre ainsi maintenu par l’échange<br />
continuel d’information moléculaire, axées sur la surveillance et le maintient de<br />
leur fonctionnalité individuelle et collective, par toutes sortes de rétroaction<br />
réactionnelles sur le plan des réactions biochimique d’équilibre dynamique. A<br />
permit aux organismes vivant de surmonter les différents obstacles de leur survie<br />
et de contrôler ainsi d’une manière beaucoup plus efficace, leurs différents<br />
métabolismes en fonction des exigences et des modifications de leur<br />
environnement immédiat (capacité d'adaptation). L’évolution de la vie et du<br />
système nerveux n’a donc jamais été le fruit du hasard seul, elle faisait tout<br />
simplement partie d’un ensemble de lois de la nature et de possibilités adoptives<br />
beaucoup plus vastes et beaucoup plus complexe, et qui présentaient des<br />
fonctionnalités auto programmables, et le tout contenu tout simplement à<br />
194
l’intérieur de nos gènes. Ces derniers ont été élaborés initialement par toutes<br />
sortes de propriété physico-chimique, qui visait des formes de<br />
complémentarisation réactionnelles et structurelles, dans l’évolution de la matière<br />
organique.<br />
Anatomie d’une cellule eucaryote.<br />
Seulement environ 10% de tout l’ADN contenu à l’intérieur de nos cellules<br />
actuelle, soit environ de 30 000 à 100 000 gênes, ont une activité génétique qui<br />
est axées sur la production de protéines et d’enzymes. Ces gènes sont très<br />
souvent distribués de manière non continue sur la chaîne d’ADN, et les ARN pré-<br />
messager qui découle de leur transcription, dois subire différents processus<br />
d’épissage et de remodelage avant d’être transporté sous la forme d’ARN<br />
messager raccourcie et transformé en ARN de transfère, pour êtres finalement<br />
utilisés par les ribosomes dans leurs différentes activités de synthèse de<br />
protéine. Activité qui est essentielle pour le bon fonctionnement et à la survie de<br />
nos cellules, cette activité de transcription est associée aux gènes de type exons.<br />
Les introns représente plus de 90% de l’ADN non codant, qui n’est pas utilisé par<br />
195
nos cellules actuelles. Il s’agit peut être en réalité, des résidus de cette longue<br />
course évolutive, envers les différentes stratégies d’adaptation utilisée par les<br />
cellules face à leur environnement, et qui ont été tout simplement conservés par<br />
la nature à l’intérieur de nos cellules actuelles. Les introns pouvaient donc êtres<br />
réutilisés à l’occasion par les cellules, et ceci à différentes époques de leurs<br />
évolutions et selon les besoins. Les introns pouvaient ainsi servires en quelque<br />
sorte, de banque de donnée supplémentaire sur le plan génétique, et pouvaient<br />
éventuellement servir à augmenter les possibilités envers les différentes<br />
capacités d’adaptations cellulaires, qui étaient alors effectué de manière<br />
beaucoup plus efficaces et de manière beaucoup plus économique.<br />
Ces différentes capacités d’adaptations génétiques, contenue à l’intérieur des<br />
gènes, pouvaient êtres sélectionnés à tout moment et selon les différentes<br />
pressions évolutives exercées sur les bactéries et envers l’équilibre<br />
environnemental du milieu dans lequel elle se retrouvait. Ceci était rendu<br />
possible grâces aux différentes propriétés organisationnelles et structurelles des<br />
gènes et de leur très grande souplesse envers les différents processus<br />
biochimiques d’adaptations environnementaux, qui sont analysée de plus près<br />
dans le chapitre consacré à l’origine de la vie. Cet aspect de l’évolution<br />
génétique sur le plan environnemental, allait évoluer par la suite, vers les<br />
véritables gènes homéotiques (homéobox) de développement et de<br />
segmentation des organismes vivants, pour ainsi donner naissance aux<br />
différents mécanismes de coordination et de différenciation cellulaire. Favorisant<br />
ainsi le développement, l’adaptation et l’évolution des premiers véritables<br />
organismes pluricellulaires beaucoup plus évolués et beaucoup plus diversifiés<br />
et complexes, que leurs ancêtres unicellulaires.<br />
Les bactéries ont ainsi évolués en favorisant des contactes très étroits avec la<br />
nature et avec leur environnement immédiat, et ceci en fonction de certains états<br />
d’équilibre, d’harmonie et de complémentarité sur le plan des échanges<br />
fonctionnels et des réactions biochimiques et génétiques. Les différents<br />
comportements exprimés par les bactéries envers leur environnement, ce sont<br />
donc établis en fonction de leur survie individuelle et de la survie de leur espèce.<br />
Survie qui découle elle-même, de la recherche d’une certaine forme d’état<br />
d’équilibre chimique et biochimique toujours croissant, par rapport aux différentes<br />
196
possibilités et capacités d’adaptations face à l’environnement. La compétition<br />
naturelle établit entre les différents organismes vivants unicellulaires et entre les<br />
différentes espèces de bactérie de cette époque. S’effectuait donc d’elle-même<br />
et de manière totalement automatique, envers la sélection naturelle des espèces<br />
et envers également les différentes mutations et les différentes capacités portés<br />
sur la réorganisation génétique des bactéries. Les forçant ainsi à évoluer<br />
d’avantage par l’acquisition de nouvelle forme de capacité complémentaire et<br />
adaptative de plus en plus complexes envers leur environnement.<br />
Ses différentes affinités physico-chimiques et biochimiques avec leur<br />
environnement et envers les autres organismes vivants de leur entourage. Ont<br />
permis aux bactéries de se nourrir, de se reproduire, de se regrouper en différant<br />
associations ou colonies, de coopérer en fonction des différents contactes de<br />
proximité établis entre-elles (ancêtres du fonctionnement nerveux) et de fuire en<br />
fonction des dangers. Ces différents types de comportements cellulaires ainsi<br />
que quelques autres, étaient à cette époque les seules qui pouvaient êtres<br />
exprimer envers l’environnement et effectués de manière totalement<br />
automatique, étant tout simplement de purs réflexes sur le plan physico-chimique<br />
et biochimique. Les futurs comportements reliés plus étroitement à la dominance,<br />
dont les prémisses évolutives sont axées sur la survie des individus et de<br />
l’espèce, ainsi que tous les autres types de comportements à caractères plus<br />
instinctifs. Ont donc des origines et des bases moléculaires, génétique et<br />
cellulaires très anciennes, faisant tout simplement partie des différentes<br />
réactions élémentaires de la nature, envers l’évolution de la matière organique et<br />
génétique. Dont la nature à tout simplement voulut garder les différentes traces,<br />
à travers l’évolution de tous les organismes vivants, dont le tout découle tout<br />
simplement d’une sorte d'origine commune sur terre.<br />
Première Étape de l’Évolution du Cerveau :<br />
Petit à petit avec la complexification des organismes pluricellulaires et envers<br />
surtout l’émergence de nouveaux gènes de types homéotiques, qui vont<br />
favoriser la segmentation, de différenciation et le développement de différents<br />
tissus (ou feuillet) cellulaires d’un organisme vivant. Qui avec le temps sont<br />
devenus de plus en plus complexes, permettant ainsi aux différents organismes<br />
pluricellulaires, d’avoir en leur possession et en leur contrôle, plusieurs types de<br />
197
cellules regroupées en différant organes ayant des activités et des<br />
fonctionnalisées physiologique bien différent les unes par rapports aux autres.<br />
Certaines de ses cellules pouvaient coordonner l’ensemble des tissus et des<br />
organes constituant un organisme, et ceci de manière à maintenir une forme<br />
d’équilibre parfaites de leurs différentes activités biochimiques et moléculaires,<br />
axée entre autre sur la production et la secrétions de certaines molécules<br />
extracellulaires, le tout coordonné et contrôlé pour faire face aux différents<br />
besoins imposés par l’environnement. Ici il s’agit d’une sorte de contrôle<br />
hormonale sur l’homéostasie cellulaire, qui est axé sur le maintient de l’équilibre<br />
interne d’un organisme vivant.<br />
La nature va donc petit à petit assisté à la naissance et à la spécialisation des<br />
premières cellules de type nerveux. Ne servant à l’époque qu’à établir différents<br />
réseaux de communications de plus en plus complexes entre les différents tissus<br />
cellulaires d’un organisme vivant et pouvant également régulariser l’ensemble de<br />
ses fonctionnalités physiologiques. D’autres types de cellules qui étaient alors en<br />
étroites relations avec les différentes conditions d’équilibres environnementales,<br />
vont ainsi faire leur apparition et établires des jonctions de toutes sortes avec les<br />
cellules de types nerveuses. Il pouvait s’agir également d’une certaine forme de<br />
différenciation cellulaire effectuée par les cellules de types nerveuses, ayant<br />
acquis alors cette nouvelle spécialisation moléculaire et biochimique.<br />
Fonctionnalités qui ont été acquises de façon purement aléatoire sur le plan de<br />
l’évolution génétique et transmise de génération en génération, ce trouvant tout<br />
simplement favorable à l’adaptation et à l’évolution de l’espèce, et ceci après<br />
avoir effectué plusieurs autres tentatives qui ont échoué. Ce sont les premières<br />
formes de cellules sensorielles reliées aux cellules de types nerveuses, elles<br />
peuvent déterminer à elles seul, le comportement global d’un organisme vivant<br />
pluricellulaire.<br />
Le stade des colonies de bactéries et d’algues, dont les individus vivaient de<br />
manières indépendantes et presque immobiles, et des organismes<br />
pluricellulaires fixes et ancrés au sol, est maintenant réellement franchit. Car ici,<br />
il s’agit d’un nouveau type de comportement relié au mouvement et au<br />
déplacement que peuvent désormais entreprendre les organismes<br />
pluricellulaires, sous le contrôle et la surveillance de leurs cellules nerveuses.<br />
198
Ainsi à partire des colonies de bactéries et des protozoaires unicellulaires<br />
(famille des protistes), en passant par les éponges qui représente les premier<br />
véritable organismes pluricellulaires. Nous voilà maintenant rendu à la première<br />
forme d’évolution du système nerveux, et qui est étroitement associés aux<br />
différents organismes pluricellulaires dotés de mouvement. Il s’agit des<br />
cœlentérés, qui regroupe les organismes vivants à l’intestin creu, comme l’hydre<br />
et la paramécie et qui possèdent quelques neurones éparpiller dans leur corps,<br />
sans aucune autre structure plus élaborée, que par de simple connexion inter<br />
neuronales. Il y avait également les vers plats primitifs et les tribolites<br />
arthropodes à huit pattes, qui possédaient des structures nerveuses encore plus<br />
complexes que les cœlentérés. Ses organismes vivants ont marqué la période<br />
géologique transitoire situé entre le Précambrien et le Cambrien (qui remonte à<br />
plus de 600 millions d’années).<br />
Tous ces différents phénomènes axés sur l’évolution de la vie et de ses<br />
différents mécanismes d’adaptations, nous ramènent en réalité à certains<br />
principes Universels qui sont axés sur l’équilibre et l’harmonie. Principe qui nous<br />
démontre en fait, comment la nature communique et s’exprime envers elle-<br />
même, et qui sur le plan de la conscience humaine sont tout simplement<br />
associés aux différents concepts spirituels envers la morale et la sagesse. Ainsi<br />
nous pouvons dire que l’évolution de la conscience humaine et du cerveaux,<br />
199
s’est effectués en réalité à travers et en étroite relation avec les prémisses<br />
spirituelles de la nature. Celles-ci découlant tout simplement des mêmes lois<br />
fondamentales et évolutives de l’Univers, qui dirige l’évolution et le<br />
comportement de l’ensemble des différents niveaux d’organisation de la matière.<br />
Les premiers organismes pluricellulaires, n’avaient pas de structure neurologique<br />
bien définit et situé à un endroit bien particulier de leur corps. Servant entre autre<br />
à centraliser les différents signaux chimiques en provenance de l’extérieur, pour<br />
ainsi en faire l’analyses et l’interprétation, comme c’est le cas pour le cerveau. Il<br />
s’agit en fait, de la première étape de l’évolution du système nerveux, qui est<br />
représenté par l’association de différents types de ganglions nerveux répartis à<br />
l’intérieur d’un organisme vivant d’aspect plutôt segmentaire (voir le schéma ci-<br />
haut). Chaque ganglion étant composé de quelques cellules nerveuses réparties<br />
à travers tout l’organisme, les ganglions sont reliés entre eux par quelques fibres<br />
nerveuses, les axones. Dont les représentants les plus fidèles du règne animal,<br />
en faisant abstraction des mollusques et des arthropodes qui regroupe entre<br />
autre les insectes et les crustacés, et qui possède un système nerveux un peut<br />
plus évolués, sont les vers plats représentés par les plathelminthes. Ainsi la<br />
forme segmentaire du plathelminthe, dont chaque segment sont entièrement<br />
autonomes et interconnectés entre eux par des axones, pour leur coordination<br />
générale. Donne au plathelminthe la capacité, lorsqu’il est couper en deux par<br />
exemple, de régénérer complètement les parties manquantes de chaque unes<br />
des extrémités, donnant ainsi naissance à deux organismes complets et<br />
fonctionnels.<br />
Tous ces différents processus chimiques et biochimiques de l’évolution de la<br />
matière organiques et de la vie, son rendu possible grâce à la manifestation des<br />
différentes lois fondamentales de la nature et de l’Univers. Il s’agit de la théorie<br />
des concentrations, qui veut décrit le comportement des systèmes complexes.<br />
Dans un premier temps, il s’agit des différentes concentrations en matière<br />
organique et minérale entrant dans la composition d’un milieu quelconque.<br />
Celles-ci détermineront ainsi, de part leurs propres propriétés réactionnelles, les<br />
différents degrés et potentiel d’affinités physico-chimiques et biochimiques qui<br />
pourront êtres établis entre les différentes structures organiques et moléculaires<br />
du milieu. Le tout s’orientant par la suite, vers une forme de convergence<br />
200
structurelle et évolutive de la matière organique, et cela sera toujours effectué en<br />
étroitement relation avec l’acquisition de nouvelle forme d’états d’équilibre de<br />
plus en plus complexes, offerts par les différentes capacités d’adaptations<br />
génétiques des organismes vivants face à leur environnement. Il s’agit en fait<br />
(pour l’évolution moléculaire de la vie), d’une sorte d’amalgame réactionnelle<br />
contenu dans l’ensemble de la nature, envers les différentes possibilités portées<br />
sur l’évolution de la matière qui se trouvent dans l’Univers. Et qui fait partie d’une<br />
sorte de structure matricielle portée sur l’évolution chimique et organique<br />
contenant toutes les propriétés des substances encadrées, et qui contient<br />
l’ensemble des mécanismes virtuellement possibles découlant directement du<br />
fonctionnement fondamental des lois Universelles. Dont l’homme actuel n’a<br />
conscience que d’une infirme partie de leur véritable fonctionnement.<br />
Phénomènes qui se résument en gros par des phénomènes d’attraction et de<br />
répulsion.<br />
Deuxième Étape de l’Évolution du Cerveau :<br />
La deuxième étape de l’évolution et du développement du cerveau, implique<br />
cette fois-ci un certain niveau d’organisation et de spécialisation d’un système<br />
nerveux. Prenant alors la forme d’un cerveau situé à un endroit bien précis à<br />
l’intérieur d’un organisme vivant. Cette étape de l’évolution des espèces<br />
animales et du cerveau, est associé à la période géologique du Cambrien, qui<br />
remonte à plus de 600 millions d’années environ, et qui c’est poursuivit toutes au<br />
long des périodes géologiques suivantes. La perception inconsciente ainsi<br />
véhiculée du monde extérieur, donne au cerveau un certain niveau de perception<br />
envers ses différentes possibilités d’interventions sur l’environnement. Il s’agit de<br />
tous les types de comportements instinctifs innés, qui sont étroitement relié aux<br />
émotions et aux réflexes automatiques, comme la faim, la soif, le désir, la colère,<br />
la fuite et la peur.<br />
La principale caractéristique de l’évolution des ces différents types de cerveau du<br />
règne animale, qui font partie de cette catégorie. Sont représenter par différents<br />
niveaux d’organisations et de développement de certaines régions bien<br />
spécifiques du cerveau. Nous retrouvons en premier lieu le cerveau de type<br />
reptilien, qui représente l’un des cerveaux le plus primitif du règne animal et qui<br />
ressemblent beaucoup a celui que possèdent actuellement les reptiles. Il est<br />
201
composé principalement du tronc cérébral, qui comprend le bulbe rachidien et le<br />
mésencéphale, qui est composés entre autre des tubercules quadrijumeaux<br />
(ancien cortex visuel) qui sont associés aux réflexes oculaires de l’iris, du noyau<br />
rouge (qui produit la Dopamine) et du locus Niger. Il s’agit de la partie du cerveau<br />
qui est associé aux différents types de réflexes innés, comme l’équilibre, la<br />
respiration et les battements du cœur, et qui contrôle également la vigilance et le<br />
sommeil. Par la suite nous retrouvons le cervelet qui intervient dans la<br />
coordination et le maintient du tenus musculaires. Le cortex olfactif qui est aussi<br />
dénommé Rhinencéphale, est situé tout au sommet du Diencéphale, dans la<br />
partie ventro-antérieur du cortex. Il est constitué d’une excroissance du<br />
pédoncule qui se termine par le bulbe olfactif, qui interviennent dans tous les<br />
phénomènes associés à la perception sensorielle et olfactive des odeurs. Le<br />
Diencéphale est composer entre autre de l’hypothalamus, du thalamus et de<br />
l’hypophyse.<br />
Les trois types de cerveaux à travers l’évolution.<br />
L’hypothalamus est le centre nerveux qui régularise tous les instincts et réflexes<br />
reliés aux émotions, par les différentes liaisons qu’il entretient avec les autres<br />
parties du cerveau et plus particulièrement avec l’hypophyse, le thalamus, le<br />
rhinencéphale, le système limbique pour les mammifères et le tronc cérébral. Il<br />
régularise la température interne du corps, les variations des battements<br />
cardiaque, l’augmentation du flux sanguin, la libération des hormones dans<br />
l’organisme et favorise l’expression émotionnelle de tous les différents types de<br />
schémas comportementaux instinctifs. Cette partie du système nerveux centrale,<br />
compose en réalité le système neurovégétatif autonome, assisté par certaine<br />
partie du tronc cérébrale. C’est-à-dire capable de s’auto régulariser par différents<br />
processus biologiques de base, pour le maintient de la vie et cela sans avoir<br />
202
ecourt à l’intervention de la conscience, comme dans les différents états<br />
comateux ou pendant le sommeil. Il est diviser en trois parties bien distinctes, il<br />
s’agit du système nerveux sympathique qui prépare le corps à l’action, et du<br />
système nerveux parasympathique qui entretient et maintient l’état de repos et<br />
de relaxation du corps, et entre les deux nous retrouvons le système<br />
orthosympathique.<br />
Coupe Anatomique du Cerveau.<br />
Le thalamus est directement situé au-dessus du tronc cérébral, et il est le relais<br />
sensoriel par excellence, pour toutes les formes de sensibilités provenant du<br />
corps, sauf en partie pour le système olfactif. Il reçoit et distribue tous les<br />
afférents nerveux sensitifs en provenance de la partie dorsale de la moelle<br />
épinière, servant à la perception sensitive du monde intérieur et extérieur d’un<br />
organisme vivant. Le thalamus établit ainsi des contactes très étroits avec toutes<br />
les aires primaires du néocortex cérébral. L’hypophyse est en fait, une sorte de<br />
glande sécrétrice servant entre autre d’usine pour la fabrication de certaines<br />
hormones et ayant des effets très important sur le contrôle du métabolisme et<br />
des autres glandes de notre organisme, comme la thyroïde, les gonades ou<br />
203
glande sexuelle et les glandes surrénales (Médulo et Cortico), etc… L’hypophyse<br />
est directement sous le contrôle de l’hypothalamus, et s’est par elle que son<br />
libérer les hormones dans la circulation sanguine. Le cerveau reptilien est<br />
responsable en grande partie de certains comportements instinctifs primaires et<br />
des réflexes innés qui sont d’ailleurs réalisés de manière entièrement<br />
automatique et résultant intégralement du câblage nerveux. Le cortex cérébral<br />
est essentiellement représenter par le rhinencéphale, partie du cerveau associés<br />
à l’odorat et situé sur la face interne du cortex antérieur. Les animaux de cette<br />
catégorie, ne présentes donc aucune ou très peut de capacité d’apprentissage<br />
relié à la mémoire.<br />
En second lieu nous retrouvons dans l’évolution des espèces, les cerveaux de<br />
type mammalien, qui en plus des parties neurologiques énumérer<br />
précédemment, nous retrouvons le système limbique. Qui est en fait la partie du<br />
cerveau ou ce situe le véritable siège des émotions et des sentiments à<br />
caractère plus ou moins instinctif ! Le système limbique à la forme d'une boucle<br />
qui entoure le troisième ventricule cérébral, et est composé de l’amygdale, de<br />
l’hippocampe, du cortex cingulaire, de l’habénula, du septum, etc... Ces<br />
différentes structures cérébrales sont intimement connectées entre eux et<br />
reçoivent de multiples informations venant de tout le système nerveux, et plus<br />
particulièrement du cortex cérébral et de l'hypothalamus. L’amygale est associé<br />
à la manifestation des différents comportements émotionnels et encadre<br />
l’expression des sentiments, comme la colère, la faim et la violence, et etc... Le<br />
cortex cingulaire est situé juste au-dessus du corps cailleux (partie du cerveau<br />
qui unit les deux hémisphères), et il enveloppe en quelque sorte le système<br />
limbique, il participe entre autre à l’inhibition musculaire.<br />
Le septum est situé tout juste au-dessous du genou du corps cailleux, qui se<br />
trouve dans la partie antérieure du cerveau. Le septum est associé aux<br />
différentes manifestations des sentiments et des émotions qui sont reliés à<br />
l’olfaction et aux comportements plus sociaux, il est relié très fortement à<br />
l’amygale. L’hippocampe est le centre de la mémoire à courts thermes et sert<br />
également de relais à la mémoire associative à plus long terme du néocortex.<br />
L’hypocampe est impliqué dans la sélection des schémas comportementaux et<br />
des différents phénomènes d'apprentissages. Le système limbique représente<br />
204
une forme d’évolution de niveau supérieur, qui s’est effectué à partir du<br />
Rhinencéphale reptilien. Les animaux de cette catégorie, démontres des signes<br />
d’apprentissages, et donc d’une certaine forme de conscience animale et très<br />
primitive. Certaine espèce d’oiseaux par exemple, sont capable d’apprentissage<br />
par imitation. Le cortex du lapin est presque occupé entièrement par le système<br />
limbique et plus nous nous rapprochons de l’homme, ce dernier devient de moins<br />
en moins important au dépend du néocortex, qui prend alors la relève dans la<br />
régularisation des émotions.<br />
Représentation des différentes parties du télencéphale de l’homme.<br />
Le néocortex cérébrale qui est représentés par les deux hémisphères cérébraux<br />
(le Télencéphale), sont très peut développer dans le règne animal, contrairement<br />
à l’espèce humaine. Et selon les espèces animales les plus primitives, comme<br />
les poisons et les reptiles, le cortex cérébral est très petit, presque inexistant et<br />
leurs cerveaux ne possèdent pas de structure équivalente au néocortex cérébral.<br />
Le cortex préfrontal et frontale du néocortex, qui est associé aux différents<br />
processus de la conscience et qui sont reliés aux raisonnements, est en fait la<br />
dernière structure cérébrale à s’être développer au court de l’évolution du<br />
cerveau. Le cortex frontal est responsable entre autre, des différents processus<br />
qui sont relié à la prise de décision consciente. Pour les espèces animales de<br />
cette catégorie qui appartient au règne des mammifères, il s’agit en fait d’un<br />
cerveau qui est associé strictement aux différents comportements reliés aux<br />
émotions, aux instincts, aux réflexes innés et aux différentes préoccupations<br />
205
eliées étroitement à la survie de l’individu et de l’espèce. Il s’agie en fait, d’un<br />
véritable cerveau d’expression émotionnelle.<br />
L’expression de certains traits qui sont relié aux différents comportements de<br />
dominance, son donc exprimer de façon plus directe et plus agressive à<br />
l’intérieur de ses différentes espèces animales de natures plus primitives. Faisant<br />
ainsi ressortir un comportement plus instinctif envers la reproduction et la<br />
défense du territoire par exemple. Nous retrouvons actuellement ce type de<br />
comportement instinctif et inné chez la totalité des espèces du règne animale<br />
possédant un cerveau. Ces différents comportements reliés à la dominance et<br />
associés aux différentes émotions ressentis et interprété de manière plus ou<br />
moins instinctif. Ont permis en réalité, à toutes les espèces animales de<br />
s’adapter à leur environnement, qui allait ainsi leur donner la capacité d’agir et de<br />
s’adapter très rapidement, aux différentes situations environnementales pouvant<br />
menacer entre autre leur propre survie.<br />
Troisième Étape de l’Évolution du Cerveau :<br />
La troisième étape de l’évolution du système nerveux, fait intervenir des<br />
structures associatives et d’analyses cérébrales beaucoup plus complexe,<br />
envers le développement du cerveau et du néocortex en particulier, comme pour<br />
les noyaux striés lenticulaires, composée du puttamen, du palladium et du noyau<br />
coudé, qui sont associés entre autre aux mouvements et à la coordination<br />
musculaire relative aux émotions. Le néocortex est la partie du cerveau qui est<br />
associé aux fonctions les plus évolué et les plus élevés de la conscience. Il joue<br />
un très grand rôle dans la mémoire associative et à la représentation de l’état<br />
corporelle interne ou externe (cortex somatosensoriel) par rapport à<br />
l’environnement. Et plus particulièrement, le cortex préfrontal de l’homme est<br />
relié à la prise de décision, à la capacité à ressentir et d’exprimer des émotions<br />
volontaires et ceci par l’intermédiaire de différent processus de raisonnement<br />
cognitif, qui sont alors axés sur la perception consciente et sensible du monde<br />
qui nous entour. La conscience de l’homme est ainsi capable d’auto<br />
représentation, d’anticipation et d’auto projection. Cette étape de l’évolution du<br />
cerveau, est caractérisé par une prise de conscience beaucoup plus élargie sur<br />
l’environnement, permettant ainsi des possibilités d’interactions et des actions<br />
beaucoup plus complexes et beaucoup plus élaborés. Ce type de cerveau est<br />
206
spécifiquement relié aux différentes familles de mammifère qui sont permis les<br />
plus évoluer de la nature, et sont tout particulièrement développés chez l’espèce<br />
humaine et chez la famille les Primates.<br />
La Perception et les Aspects de la Nature Humaine :<br />
Le niveau de développement supérieur du cerveau et du néocortex, est<br />
spécifiquement représenté par le niveau de conscience qui est atteint par<br />
l’espèce humaine, avec ses différentes capacités mentales et cognitives<br />
(comportement psychologique), basées sur le raisonnement. La conscience<br />
humaine se distingue par un aspect et une capacité d’analyse et d’association<br />
qui est beaucoup plus subjective, plus rationnel et beaucoup plus abstrait sur les<br />
différentes formes de représentation symbolique qu’elle peut effectuer sur le<br />
monde extérieur qui nous entourent. L’organisation structurelle et fonctionnelle<br />
du cerveau de l’homme, lui permet entre autre de prendre conscience de lui-<br />
même et de sa propre individualité face au monde extérieur. Comme s’il pouvait<br />
dès à présent se voir de l’extérieur par l’intermédiaire de ses différentes facultés<br />
associatives somatosensoriel et d’introspection ! Ceux-ci lui sont fournis grâces<br />
aux différentes capacités des cellules nerveuses à entretenir différentes formes<br />
d’embranchement et d’inter connexion qui sont effectuées entre les différents<br />
réseaux de cellules nerveuses et réparties sur l’ensemble des régions du<br />
cerveau. Situé tout au sommet de cette hiérarchie cognitive et nerveuse, nous<br />
retrouvons la conscience du moi, qui englobe l’ensemble des fonctionnalités du<br />
cerveau et de la perception consciente, qui est représenté plus directement par<br />
l’esprit de l’homme. Ces différentes caractéristiques, définissent très bien les<br />
différents attributs de la pensée schématique et représentative de la conscience<br />
humaine basée sur la raison. Cela donne au genre humain, la possibilité de<br />
maîtriser et de contrôler de manière beaucoup plus efficaces, les différentes<br />
conduites instinctives, et de mieux prévoir les événements et les conséquences<br />
futures de ses propres actes.<br />
Ses différents niveaux d’organisations du cerveau, font ainsi évoluer l’expression<br />
de certains types de comportements associés à la dominance, vers des niveaux<br />
de complexité et de subjectivité encore jamais atteinte dans la nature. Évolution<br />
de l’homme qui avec la création du langage et l’expression de comportement de<br />
plus en plus sociale, allaient nous conduire vers la prochaine phase de<br />
207
l’évolution et du développement de l’espèce humaine (elle correspond à la<br />
troisième phase). Il s’agit cette fois-ci de la création de concept de plus en plus<br />
abstrait qui sont alors reliés aux différentes valeurs d’ordre plus spirituel, et qui<br />
sont étroitement associés aux différents principes de morale et de spiritualité, qui<br />
a leur tours sont symbolisé et représenté par les cultures et les religions. Dont<br />
les prémisses initiales ont été acquises par l’observation et l’interprétation des<br />
différents comportements de la nature elle-même. Ces différents processus de<br />
l’évolution de la conscience humaine, seront abordés plus en détaille dans le<br />
chapitre traitant de l’Australopithèque jusqu’à l’homme.<br />
Schéma d’une neurone avec le corps cellulaire (C) avec ses nombreuses<br />
dendrites (D); l'unique axone (A) avec ses ramifications terminales (R)<br />
et les boutons synaptiques (BS). L’influx nerveux est transmis par les<br />
dendrites et acheminé à la cellule via son axone.<br />
Schéma représentant différent types de neurones.<br />
208
Les différentes formes de désirs passionnelles et émotionnelle face à la<br />
dominance. Présente donc actuellement des niveaux de complexité beaucoup<br />
plus élaborer et beaucoup plus subjectif envers les différents comportements de<br />
même type qui était alors adopter dans la préhistoire humaine. Et envers<br />
également les différents moyens utiliser par les individus pour les satisfaire,<br />
comme par exemple d’une manipulation plus discrète et sournoise de notre<br />
entourage et de notre environnement. Afin de tromper, d’influencer et de<br />
brouiller, la vigilance et nos véritables intentions personnelles envers les autres.<br />
Et ceci dans le but ultime de nous procuré certains privilège et certains prestiges<br />
aux dépends de nos semblables, tout en nous gratifiant sur le plan matériel et<br />
psychique. Désir passionnel ne visant qu’un but strictement personnel et sans<br />
tenir compte des véritables intérêts collectifs, pouvant même conduire à la<br />
guerre. Dont l’homme est le plus haut représentant du règne animal, à connaître<br />
et maîtriser véritablement les différents mécanismes. Ce type de comportement<br />
obsessif sur le plan matériel et psychologique, sont d’ailleurs adopter de manière<br />
extrême, par toutes les dictatures actuelles qui adoptes des mesures<br />
oppressives pour contrôler, tromper et exploiter leur population. Démontrant ainsi<br />
de l’hypocrisie et de la cupidité à l’état la plus pure, qui découlent directement de<br />
l’orgueil de certains individus voulant à tout prix, exercer leur pouvoir que pour<br />
leur propre plaisir et satisfaction personnelle.<br />
Ces différentes caractéristiques plus évoluées sur le plan de la conscience<br />
humaine et axée sur l’expression des différents types de comportements reliés à<br />
la dominance. Sont donc exprimé de manière beaucoup plus évolués à l’intérieur<br />
de notre espèce. Leurs différentes formes de manifestation à donc été favorisé<br />
par l’évolution, le développement et la spécialisation de certaine région du<br />
cerveau. Comme pour l’évolution des lobes cérébraux frontaux et temporaux du<br />
néocortex, qui sont beaucoup plus développer chez l’homme que chez les<br />
primates par exemple. Le cerveau est le siège de la conscience et poursuit son<br />
développement dès la conception d’un être humain et cela jusqu’à la mort de<br />
l’individu. Différents processus neurologiques et environnementaux, vont ainsi<br />
aider au développement et au conditionnement du cerveau. Le cerveau possède<br />
des capacités dynamiques, qui sont rendu possible par différents processus de<br />
régénération et de croissance du tissu cérébrale, qui découlent eux-même des<br />
différentes propriétés cellulaires, moléculaires et génétiques dont il a acquit les<br />
209
différents attributs fonctionnels au court de son évolution. L’apprentissage<br />
renforce et aide la stabilisation de la mémoire comportementale, et participe à<br />
l’établissement de nouveaux type schéma neurologique entre les différents<br />
réseaux de neurones.<br />
Le cerveau peut donc établir au court de son développement, de nouvelle<br />
relation associative envers les différentes structures d’analyse primaires et<br />
secondaires du néocortex et du système nerveux central en général. Processus<br />
qui est favorisé par la pousse des dendrites et des axones et par l’établissement<br />
de nouveaux contactent et jonctions envers les différents réseaux ou circuits<br />
d'axones, dendritiques et somatiques. Il favorise ainsi de nouvelle capacité<br />
d’apprentissage et démontre de très grande capacité d’adaptation face à notre<br />
environnement. La plasticité et le dynamisme du cerveau envers ses différentes<br />
capacités de mémorisation, d’imagination, d’apprentissage, d’instinct, d’intuition,<br />
d’attention, de concentration, de vigilance et envers les différents mécanismes<br />
de la perception et de la conscientisation. Donne à l’espèce humaine certains<br />
des attributs qui la caractérise si bien par rapports aux autres espèces vivantes<br />
sur notre planète, il s’agit en fait, des attributs qui caractérisent si bien la pensée<br />
et la conscience humaine.<br />
L’un dès premier aspect qui caractérise si bien la nature humaine, et qui est<br />
généralisé au règne animal, mais qui est exprimé à des niveaux de complexité<br />
différents. Vient et découle en fait, de l’influence qui résulte de notre propre<br />
constitution physiologique, cellulaire et moléculaire et qui relié étroitement aux<br />
différents comportements instinctifs et innés. Il détermine ainsi, un ensemble de<br />
possibilité bien précise et déjà programmer à l’avance à l’intérieur de notre<br />
cerveau, et porté sur les différents types de schémas de comportements à<br />
adopter face à différentes situations environnementales bien précises et pouvant<br />
nous influencer. Dont les bases fondamentales ont été établies et dirigées par<br />
l’évolution de notre propre structure génétique et par les différentes capacités<br />
d’apprentissages et de développements dynamiques de notre cerveau. Et dont<br />
les prémisses architecturales et organisationnelles se retrouvent tout simplement<br />
cacher dans l’origine même des différents processus évolutifs qui ont conduit à<br />
l’émergence de notre propre espèce sur terre.<br />
210
Les différents messages ainsi véhiculés par les différents processus<br />
physiologiques de la perception inconsciente, ne sont pas effectué de manière<br />
instantanée, comme pour les hormones ou pour la propagation d’un l’influx<br />
nerveux, qui est dirigé et contrôlé par les neurones. Les neurones sont les<br />
cellules du cerveau responsables de la propagation de l’influx et du potentiel<br />
électrique entre les cellules nerveuses. La propagation de l’influx nerveux n’est<br />
pas effectuée cependant de manière instantanée et demande un certain délais<br />
de transmission, de l’ordre de quelques millièmes de seconde pour se rendre au<br />
siège de la perception consciente. L’influx nerveux voyage donc à travers les<br />
dendrites, les axones et le corps cellulaire des neurones, en raisons de cent<br />
mètres par seconde en moyenne. Les différents processus de la perception<br />
conscience sont donc décaler en fonction du temps, déterminant ainsi un certain<br />
seuil ou délais envers la prise de conscience face au stimulis, et de la réaction<br />
comportementale qu’il implique en retour anticipé et projeté vers le monde<br />
extérieur. Les différents processus de la conscientisation sont donc très lents par<br />
rapport à certains phénomène naturel, comme pour les différentes réactions<br />
chimiques entres les particules. Thème que nous avons déjà abordé dans le<br />
chapitre consacré aux différentes lois naturelles.<br />
La Perception Subjective des Couleurs :<br />
Prenons l’exemple de la vision pour illustrer ce phénomène de la perception et<br />
de la conscientisation. La lumière émit par les objets qui nous entourent, vont<br />
éventuellement entrer à l’intérieur de l’œil par la pupille. Elles vont êtres ensuite<br />
déviés et réfractés de leurs trajectoires initiales par le cristallin, servant en<br />
quelque sorte de lentille convergente. La lumière sera ainsi concentrée et dirigée<br />
vers le fond de l’œil, à un endroit se trouvant au centre de celui-ci, dénommé la<br />
fovéa. C’est dans cette région de l’œil, qu’on retrouve les cellules sensibles et<br />
réceptrices de la lumière. Nous y retrouvons les cellules en formes de connes,<br />
pour la perception des couleurs et les cellules en formes de bâtonnets, pour la<br />
perception des nuances de gris, utilisé surtout pour la vision de nuit. Ces cellules<br />
sensorielles possèdent en leurs surfaces des récepteurs chimiques leurs<br />
permettant de réagire à différentes longueurs d’onde de la lumière.<br />
La couleur est donc un concept purement abstrait qui n’existe pas réellement<br />
dans la nature, étant tout simplement attribuée aux différents concepts<br />
211
associatifs découlant directement des différents processus de la perception<br />
consciente. Qui permet au cerveau de se faire une certaine représentation ou<br />
schéma mental, associé aux différents objets du monde extérieur qui l’entour et<br />
qu’il perçoit. La vision des couleurs est une caractéristique évolutive, acquise par<br />
les espèces du règne animal les plus évoluer seulement. Pour la nature, la<br />
lumière n’est qu’une manifestation d’énergie électromagnétique, attribuer par ses<br />
différentes caractéristiques physiques, comme la longueur d’onde, la fréquence<br />
et l’amplitude. Ses différentes caractéristiques physiques de la lumière, peuvent<br />
très bien influencer le comportement et la stabilité de la matière, se manifestant<br />
alors sous différentes formes et selon le niveau d’énergie impliquée.<br />
La réaction envers la lumière et les différents récepteurs chimiques des cellules<br />
en formes de connes et de bâtonnets, provoque une forme de variation du<br />
potentiel électrique envers l’équilibre biochimique normal de ses cellules. Ce<br />
phénomène est la première phase de la perception humaine et elle à pour<br />
objectif de déclencher les influx nerveux qui se propageront par la suite à travers<br />
le nerf optique, pour rejoindre les régions du cerveau les plus profondes et<br />
associé aux différents stimuli visuels. L’influx nerveux, sera par la suite dirigée<br />
vers les régions du chiasma optique. Cette partie de l’anatomie du cerveau, est<br />
une forme de carrefour qui contrôle la circulation des influx nerveux qui voyage à<br />
travers le nerf optique, et par lequel une grande partie en provenance de chaque<br />
oeil, seront croisés et rediriger par la suite vers les hémisphères opposés du<br />
cerveau. Ainsi l’hémisphère droit du cerveau, voit ce que l’œil gauche regarde et<br />
l‘hémisphère gauche du cerveau voit le champ visuel capter par l’œil droit. De là,<br />
ils seront ensuite dirigés vers les tubercules quadrijumeaux associés aux<br />
réflexes oculaires de l’iris et vers les corps géniculés latéraux, qui se trouvent de<br />
chaque coté du thalamus, avant d’êtres redistribués en parallèle dans les<br />
différentes parties du cerveau pour y êtres associés et analysés plus en<br />
profondeurs. Comme l’hypothalamus, le système limbique et dans certaines<br />
parties du lobe occipitales du cortex cérébral, qui se trouve dans la partie<br />
postérieure du cerveau et servant principalement aux différent traitement de<br />
l’information visuelle.<br />
L’information visuelle ainsi recueillie, sera traiter de différente manière dans<br />
différentes parties du cerveau, avant de pouvoir établir toutes formes de<br />
212
éactions et d’actions possibles sur l’environnement. Nous voici donc rendu à la<br />
deuxième étape de la perception conscience. Le cerveau ne perçoit pas le<br />
monde comme nous le concevons, il doit dans un premier temps faire le<br />
traitement de toute l’information qui lui est fournit, afin d’établir les différents<br />
concepts qui sont associés à la conscience. C’est-à-dire à la notion des couleurs<br />
et des formes par exemple, ou encore des concepts plus évolués associés à<br />
l’aspect plus subjectif, plus rationnel et plus abstraits de la pensée humaine,<br />
comme pour le langage. La deuxième étape de la perception consciente consiste<br />
en réalité, à établir les différentes relations entre les stimuli sensoriels perçus du<br />
monde extérieur et de faire les associations appropriées envers les différents<br />
schémas mentaux, déjà existant et mémorisées à l’intérieur des différentes aires<br />
associatives du cerveau, et ceci afin de faire la meilleure représentation possible<br />
de la situation dans lequel le cerveau se trouve.<br />
Les aires associatives secondaires du cerveau, qui recouvrent la majeure partie<br />
du néocortex cérébral, sont tout particulièrement sollicitées pour cette tache.<br />
Tous ses différents processus de la perception consciente, ont pour objectifs de<br />
prendre une décision raisonnable et finale. Afin d’adopter une action et un<br />
comportement volontaire (cortex extrapyramidal), qui sera alors ajusté de<br />
manière adéquate sur le plan émotionnel, et ceci en fonction des différents<br />
stimuli et du contexte perçu du monde extérieur. Cette tache finale revient plus<br />
particulièrement au cortex préfrontal, étant relié directement aux autres aires<br />
primaires du cerveau, à l’hypothalamus, au système limbique, etc...<br />
Comportement dont les différentes représentations, symbolisation et<br />
schématisation mentales, sont regroupées dans un ensemble nerveux beaucoup<br />
plus vaste, et mémorisée à l’intérieur des cortex cérébraux associatifs, sous la<br />
forme d’image et de souvenir de mise en situation et ceci en fonction de leurs<br />
différentes caractéristiques sur le plan émotionnelles et comportementales. Il<br />
s’agit sur le plan neural, de l’association très étroite de petit groupe de neurone,<br />
formant en quelque sorte des micros circuits regroupés et interconnectés entre<br />
eux en différant réseaux nerveux rapprochés et distants. Formant ainsi<br />
différentes structures nerveuses très complexes, pouvant être répartie sur<br />
l’ensemble du cerveau. Voici donc en gros, la représentation d’un schéma<br />
mental avec laquelle la pensée et la conscience travail. Certaines de ses<br />
213
structures nerveuses, mémorisées dans différentes parties du cerveau, peuvent<br />
êtres innés, comme pour les réflexes de régularisations corporelles entretenues<br />
par le système autonome ou acquis par l’apprentissage. Elles représentent en<br />
fait, les différents types de schémas comportementaux, à travers lesquels le<br />
cerveau peut choisir et adapter un type de comportement, pour ainsi pouvoir<br />
manifester sa présence au monde extérieur.<br />
Tous les différents mécanismes neurologiques et physiologiques, effectués pour<br />
permette la réalisation d’une action et d’un comportement, après leur analyse par<br />
les aires associatives. Font parties en réalité de la troisième et dernière phase de<br />
la perception consciente, qui est représentée par l’action comportementale elle-<br />
même. Elle consiste à coordonner les mouvements et les émotions, qui sont<br />
alors effectués par d’autre partie du cerveau. Comme pour le cortex moteur<br />
primaire et le cervelet, servant entre autre à déterminer et activer les parties du<br />
corps qui sont impliquées dans les mouvements, à contrôler le tonus des<br />
muscles. Des noyaux lenticulaires assistés par le système limbique et de<br />
l’amygale, pour favoriser et finaliser l’expression émotionnelle du corps en<br />
fonction du type de comportement à adopter. Du tronc cérébral pour le maintient<br />
de l’équilibre et de l’attention. De l’hypothalamus et de l’hypophyse, pour la<br />
préparation et la régulation du métabolisme générale du corps, augmentation du<br />
rythme cardiaque et la dilatation des vaisseaux sanguins, pour ainsi favoriser<br />
l’action à entreprendre, etc… L’hypothalamus et l’amygale font souvent partis de<br />
comportement instinctif associé à la colère et à l’agressivité, qui sont en réalité<br />
des arcs réflexe plus anciens et donc plus rapide. Le tout est synchronisé d’une<br />
manière parfaite, dans le but de nous permettre d’agir d’une manière cohérente,<br />
envers le monde qui nous entours (40 hz). Ils forment en quelques sortes des<br />
souvenirs comportementaux, qui sont alors reliés étroitement à certains schéma<br />
neural mémorisé dans les différents cortex moteurs et de coordination de la<br />
motricité du cerveau.<br />
Poursuivons maintenant notre analyse sur les différents trajets de l’influx nerveux<br />
visuelle, et asseyons d’illustrer plus en détaille les différents processus<br />
concernant la deuxième étape de la perception consciente. Chaque partie de<br />
l’information nerveuse recueillie, sera alors traitée selon leur origine et selon leur<br />
importance, dans plusieurs parties différentes du cerveau, comme nous l’avons<br />
214
déjà mentionné précédemment. L’information visuelle sera ainsi traité en<br />
parallèle tout en étant en étroite relation et en coordination parfaite avec les<br />
autres processus d’analyse et de traitement effectué ailleurs dans le cerveau.<br />
L’analyse des couleurs et des formes entre autres, suivent des trajets, ou des<br />
circuits nerveux bien spécifique. La représentation et l’identification des objets<br />
perçue sont effectuer par l’aire visuelle secondaire, comme par exemple de la<br />
représentation verbale d’un l’objet regardé, des formes ou des couleurs. Certains<br />
groupes de neurones sont tout spécialement bien adapter à ce genre de<br />
traitement. Toutes les parties de l’image visuelle, seront ainsi traités et mis en<br />
relation par différents réseaux neuraux. Les couches IV et VI des cellules<br />
nerveuses du cortex cérébral participe grandement à la communication entre les<br />
différentes régions du cerveau. Lesquels établiront par la suite des relations très<br />
étroites entre eux, par une forme de câblage effectué par des faisceaux<br />
d’axones, afin établir une certaine forme de corrélations associatives entre les<br />
différentes parties du cerveau. Prenant ainsi la forme de structure neurologique<br />
très complexes pouvant relier des réseaux de neurones distants, par différentes<br />
connections et d’interconnections de réseaux neuraux. Ses différents processus<br />
seront effectués simultanément dans plusieurs régions bien différentes du<br />
cerveau, et ils convergeront par la suite vers d’autres structures cérébrales tout<br />
en subissant toutes sortes de processus d’amplification et d’inhibition axée sur la<br />
propagation de l’influx nerveux.<br />
Ainsi certains liens avec le système limbique, et plus particulièrement avec<br />
l’hippocampe, seront alors effectuer pour retrouver la signification immédiate des<br />
objets observés et pour déterminer également les contextes dans lequel on se<br />
trouve. Et cela sera effectué en fonction des parcours initiaux établis et suivies<br />
par chacune des différentes connections et inter-connections des réseaux<br />
neuraux distants. Dans un deuxième temps, elles ont pour taches d’établir<br />
d’autres liens avec d’autres réseaux inter neural situés ailleurs dans le cerveau.<br />
Pour ainsi établir des contacts avec d’autres parties associatives du cerveau,<br />
comme avec l’air de Wernicke pour retrouver le schéma mental qui est associé à<br />
la signification verbale d’un objet regardé, par exemple. D’autre processus de<br />
traitement neural, sont également effectués en parallèle et de manière<br />
indépendante, n’ayant aucun rapport immédiat avec les stimuli visuels, apportant<br />
ainsi leur propre contribution à la schématisation globale et mentale du corps et<br />
215
de l’environnement. Ainsi l’état du schéma corporel interne, est maintenu de<br />
façon permanence par le système somatosensorielle situé dans le lobe pariétal<br />
du cerveau (en y incluant les noyaux lanticulaires (putamen/pallidiu)). Ils seront<br />
par la suite croisés avec les différents traitements associatifs visuels. De cette<br />
façon la coordination du corps est toujours effectuée en parfaite harmonie, et<br />
ceci en fonction des différentes réactions imposées par l’arrivé en continus de<br />
nouveaux stimuli, et toujours basé sur le schéma de l’état corporel précédent du<br />
corps qui est en parfait état de synchronisation, évitant ainsi des mouvements<br />
désordonnés et incohérents de toutes sortes.<br />
Schéma mental de la perception conscience, l’aspect visuel seulement.<br />
Le cortex frontal et préfrontale, étant le sièges des fonctions mentales et<br />
psychiques les plus évolués du cerveau et de la conscience humaine. Son rôle<br />
consiste à recevoir, de discriminer et regrouper toute l’information résultant des<br />
différents circuits et réseaux neurologiques précédents, ainsi que les autres<br />
processus de traitement neuraux ne découlant pas directement des stimuli<br />
visuels, pour en faire l’analyse et la synthèse finale assisté de la raison. Il nous<br />
manque cependant un circuit neural intermédiaire qui est très important, afin de<br />
compléter la deuxième phase de la perception conscience et de pouvoir enfin<br />
passer à l’étape suivante qui est l’action comportementale proprement dite,<br />
comme nous l’avons vue précédemment. Cette étape est en fait, l’un dès plus<br />
grand mystère de la science actuel, il s’agit de la prise de conscience elle-même<br />
216
par rapport à son essence (Platoniciens), ou par rapport à son émergence<br />
(Aristotéliciens) qui est représenté par l’esprit de l’homme.<br />
Le cerveau avec ses quelques dix milliards de neurones, recueilles et traite<br />
l’information qui est perçu du monde intérieur et extérieur par certains cellules et<br />
organes sensoriels. Mais les différents processus neurophysiologiques de la<br />
perception consciente, sont effectué par des liaisons nerveuses si innombrable.<br />
Pouvant être de plusieurs centaines de millions de milliards de connexions et<br />
d’interconnexions de toutes sortes, qu’il nous est tout simplement impossible<br />
pour l’instant du moins, de comprendre sont fonctionnement interne plus en<br />
détaille. Il s’agit d’un phénomène qui est purement matériel et basé sur la<br />
propagation d’un mini courant électrique (influx nerveux) à travers la matière<br />
vivante, dirigés et orientés par différentes fibres nerveuses. Formant ainsi des<br />
schémas mentaux, sous forme de circuits et de réseaux neurologiques d’une<br />
complexité indéchiffrable. La véritable prise de conscience qui découle de tous<br />
ses différents processus neurologiques, reste pour l’instant un mystère non<br />
résolut et le plus total. La conscience a des prémisses de perception matérielle<br />
qui est véhiculés par les neurones et l’électricité moléculaire, mais elle-même<br />
est-elle de consistance ou d’essence purement matérielle, ou se trouve t’elle tout<br />
simplement situé à l’extérieur du corps par une sorte de mécanisme de<br />
transcendance, et qui se situerait dans un autre plan d’existence (spirituelle,<br />
périsprit et âme) encore inexploré par l’homme.<br />
À chaque parcourt neurale de l’influx nerveux, que se soit à travers les axones,<br />
les dendrites ou à travers chaque réseau et interconnexion de réseau nerveux. Il<br />
y a transmission et émanation d’onde électrique, magnétique et<br />
électromagnétique. Phénomène qui est causé essentiellement par le<br />
déplacement des électrons et des ions qui sont situés de part et d’autre de la<br />
membrane cellulaire et à travers l’espace synaptique situé entre les neurones.<br />
Créant ainsi des zones de polarisation et de dépolarisation électrique et<br />
magnétique, qui suivent les différents trajets de l’influx nerveux à travers les<br />
réseaux de neurones. Ce phénomène serait-il à la base de la conscience, lui<br />
servant en quelque sorte d’intermédiaire et ce situant en réalité sur un plan<br />
vibratoire beaucoup plus haut par rapport à notre niveau d’existence matériel. Et<br />
qui serait tout simplement inconcevable et imperceptible pour le niveau de<br />
217
conscience et de compréhension atteint par l’espèce humaine actuelle !<br />
L’énergie dégagée et transportée à travers les neurones, les circuits nerveux et<br />
les réseaux neuraux, forme également une sorte de schéma radiatif et<br />
énergétique qui découle directement des différents processus de la perception<br />
consciente et des propriétés biophysiques du tissu cérébral, schéma qui est<br />
formé en parallèle à celui du monde neuronales. Pour l’instant tout cela ne sont<br />
que des concepts très hypothétiques, axés sur la véritable nature et consistance<br />
de la conscience. L’avenir avec de nouvelles technologies et de nouvelles<br />
découvertes fondamentales axées sur le fonctionnement du cerveau, pourront<br />
peut-être nous fournir un jour, un début de réponse plus satisfaisante.<br />
Voici, pour conclure un petit résumé de la perception conscience, juste pour<br />
nous rafraîchir quelque peut la mémoire. L’influx nerveux rendu au niveau<br />
supérieur du système nerveux, subira différents traitements effectués en<br />
parallèle, pour y être analysé et associé par différents processus de la perception<br />
consciente. Faisant alors intervenir toutes les parties du cerveau dans une dense<br />
énormes d’influx nerveux synchronisés. Rendu à ce niveau, la véritable essence<br />
de la prise de conscience nous échappe toujours, et nous ne pouvons pas<br />
encore l’expliquer véritablement, cette étape de la perception consciente reste un<br />
mystère total. Ces différents processus nous permettent ainsi de prend<br />
conscience de la situation dans lequel nous nous retrouvons, afin d’agir à des<br />
stimuli par l’adoption de certain comportement volontaire et réfléchit face à une<br />
situation quelconque, ou par l’adoption de comportement plus instinctif ou inné.<br />
Conclusion Non Définitive :<br />
Les différents types de comportements qui sont reliés à la dominance, font donc<br />
partie intégrante de la nature humaine et ils nous ont suivies tout au long de<br />
notre évolution. Étant beaucoup plus instinctif et moins élaborer dans le passé,<br />
lors de la sortie de notre espèce de la grande période de noirceur, qui a été celle<br />
de l’animalité (Australopithèque par exemple). Ils ont tout de même évolué au<br />
même titre et de manière parallèle avec l’homme, et ils font désormais partie<br />
intégrant des plus profondes valeurs qui sont enfuient au plus profond de chacun<br />
de nous, caractérisant ainsi notre propre individualité psychologique par rapport<br />
aux autres. Les différents types de comportements reliés à la dominance, ont<br />
d’ailleurs été favorisé par l’évolution et la sélection naturelle des espèces, et ceci<br />
218
envers les différents phénomènes d’adaptations environnementales, qui<br />
pouvaient avoir une certaine forme de résonance aux niveaux de la conscience<br />
et sur le plan héréditaire. Il ne tient donc qu’à nous de favoriser l’expression de<br />
t’elles typent de comportements associés à la dominance. Et ceci selon notre<br />
propre volonté, nos différentes préoccupations sur le plan sociales et envers<br />
notre esprit de responsabilisation face à notre communauté et face à nous-<br />
même. Donc en fonction de nos différentes valeurs morales et spirituelles<br />
acquises et de l’intérêt que nous portons envers nos semblables sur le plan<br />
sociale et culturelle. Car le déterminisme de l’expression de t’elle comportement<br />
relié à la dominance, dépendra toujours des valeurs morales et des<br />
connaissances acquises au court de notre vie. Mais également selon certaines<br />
situations de stress et d’angoisse auxquels nous sommes confrontés parfois à<br />
l’intérieur de nos sociétés modernes, comme la criminalité violente et la guerre,<br />
ainsi que tout les autres petits bobo de l'humanité, pouvant influencer notre<br />
perception des choses.<br />
Les différents processus de la perception consciente, peuvent également êtres<br />
altérés dans leur propre fonctionnement interne. Comme par exemple des effets<br />
ressentis par l’usage de certaines substances et drogue ! Ou encore par<br />
certaines lésions cérébrales pouvant êtres causés par des malformations<br />
congénitales ou génétiques, axés sur le développement du cerveau. Ou tout<br />
simplement de manière accidentelle, causée entre autre par certaine maladie<br />
infectieuse ou par des accidents, comme les cancers et les hémorragies<br />
cérébrales par exemple. La perception conscience d’un l’individu envers les<br />
différentes interprétations possibles du monde sensible, en provenance de son<br />
environnement extérieur et intérieur, peuvent ainsi êtres modifiés et altérés,<br />
selon les parties cérébrales qui ont été touchées par les lésions. Ainsi une lésion<br />
se trouvant dans l’aire associative secondaire du lobe occipital, peut influencer la<br />
reconnaissance visuelle et verbale des objets. Un individu ne pourra plus par<br />
exemple, prendre conscience d’une certaine réalité faisant parti de sa vie<br />
quotidienne, ou d’être tout simplement dans l’incapacité de l’extérioriser vers<br />
l’extérieur et dans son entourage.<br />
L’incapacité d’identifier et de faire certaines relations pour extérioriser et<br />
coordonnée de manière consciente et rationnelle, une action à entreprendre.<br />
219
Démontre en réalité l’état du mauvais fonctionnement de certaine partie du<br />
cerveau, qui sont alors atteints par des certaines formes de lésions ou mal<br />
formation corticale. Elles peuvent êtres axés principalement sur l’une ou l’autre<br />
des trois étapes de la perception consciente, que nous venons tout juste de<br />
décrire. Ainsi la déficience intellectuelle provient d’un disfonctionnement<br />
associatif, causée par certaines lésions du néocortex cérébral, celle-ci fait donc<br />
partie de la deuxième ou de la troisième étape de la perception consciente.<br />
Toutes les formes de paralysie neuro-moteur, font partie de la troisième étape de<br />
la perception consciente, elles peuvent être causées entre autre par une lésion<br />
de la moelle épinière. Mais qu’en est-il vraiment de phase intermédiaire située<br />
entre la deuxième et la troisième étape, celle qui résulte en fait de la véritable<br />
prise de conscience d’un individu, ici il s’agit d’un mystère qui semble être<br />
étroitement en liaison avec le monde spirituelle !<br />
D’autre région du cerveau peuvent êtres atteints par des lésions cérébrales et<br />
altérées ainsi la perception consciente de notre environnement. Comme<br />
certaines lésions situées dans la région de l’hippocampe du système lymbique,<br />
ou à l’intérieur de certaines aires d’association secondaire du néocortex (qui<br />
caractérise la mémoire associative neuronale et comportementale à long<br />
thermes). L’hippocampe est la partie du cerveau servant entre autre à la<br />
mémorisation d’évènements récent et à l’apprentissage (mémoire à court terme).<br />
Alors imaginer une t’elle situation appliquée à la vie de tous les jours, sans être<br />
capable de se souvenir du moindre événement qui vient tout juste de se<br />
produire, ou faisant appelle seulement à des souvenir ancien. Tout comme les<br />
personnes atteintes de la maladie d’Alzamer. L’état de conscience d’un individu<br />
envers l’interprétation qu’il fait de son environnement, dépend donc du bon<br />
fonctionnement de son cerveau et du bon développement de celui-ci. Certaines<br />
substances chimiques utilisées de notre industrie alimentaire, ont certains effets<br />
dégénératifs sur le cerveau, pouvant provoquer de t’elle effets à long terme sur<br />
l’homme d’un certain age. Ils s’agie entre autres de la presque totalité des<br />
insecticides et des pesticides, qui peuvent provoquer entre autre des maladies<br />
pulmonaires graves, comme lapse et certaine forme d’allergie. Mais que dire de<br />
l’aspartam, qui est utilisé comme supplément aux sucres naturels, et qu’on<br />
retrouve actuellement dans les bosons Diète sans sucre, et de bien d’autre<br />
220
produit de consommation alimentaire à large diffusion. Les gras transes et toutes<br />
les autres additifs pour la conservation des produits alimentaires.<br />
Les différents types de comportements qui sont reliés à la dominance, ont évolué<br />
à travers toutes les différentes époques de l’évolution humaine et sont<br />
caractérisées de nos jours par des notions psychologiques plus spécialisés<br />
envers les différentes valeurs sociales, culturelles, morales, spirituelle et<br />
intellectuelles. Ces valeurs ont été acquises et nous ont influencé tout au long de<br />
notre vie présente, et ont été renforcées par l’acquisition et transmission de<br />
différentes valeurs sur le plan culturelle et sociale. Certains de s’est<br />
comportement, définisse en fait des sentiments plus ou moins incohérent envers<br />
le pouvoir et la convoitise, dont nous avons fait référence tout le long de ce<br />
chapitre. Et qui de nos jours, n’ont plus la même importance face à l’évolution et<br />
envers le bon fonctionnement de nos sociétés actuelles, étant même à certains<br />
égards très néfastes et très négatifs envers les intérêts collectifs et faisant face à<br />
un partage et à une distribution plus équitable et plus juste des différentes<br />
richesses et ressources de la terre. Tandis que d’autres types de comportements<br />
sont d’ailleurs beaucoup plus cohérents et beaucoup mieux adapter à notre<br />
situation planétaire actuelle. Démontrant ainsi un réel désir de trouver des<br />
solutions véritables et concrètes à ses différents problèmes d’injustices et<br />
d’iniquité sociale et ceci dans un esprit de coopération, comme le partage,<br />
l’altruisme, la charité, la compassion et la bonté etc… L’état des différentes<br />
conditions de pauvreté de nos sociétés actuelle, est donc caractériser par une<br />
forme d’échos, qui résulte d’une sorte de conscience collective. Celle-ci reflète<br />
l’expression de nos différentes valeurs morales et spirituelles sur le plan collectif,<br />
et qui nous sont retransmise d’une certaine manière, dans nos différentes<br />
sociétés par le pouvoir politique et public. Cet aspect de ricochait, nous démontre<br />
ainsi le niveau des valeurs acquises et exprimées qui est atteint par l’ensemble<br />
de la population d'une société. Nos choix collectifs et nos lois, sont donc très<br />
déterminant pour le futur progrès de l’humanité tout entière.<br />
La prochaine étape de l’évolution du cerveau et de la conscience humaine, sera<br />
t’elle favorisée par un plus grand développement des valeurs d’ordre plus<br />
spirituelles, et basée sur la morale et la sagesse. Dont certaine partie du<br />
cerveau, semble bien vouloir favoriser l’expression sous forme de comportement<br />
221
d’ordre social et amical (Septum entre autre). Exerçant ainsi un meilleur contrôle<br />
sur nos différentes pulsions et désir, envers certaines émotions et instincts que la<br />
raison humaine n’arrive pas toujours à contrôler parfaitement. Il arrive même<br />
fréquemment que les instincts et les émotions exercent une certaine attraction<br />
dominante et incontrôlable sur la raison même d’un individu. La prochaine étape<br />
de l’évolution du cerveau et de l’homme, représente-t-elle plutôt une sorte de<br />
défi, qui est envoyé par la nature elle-même et dont l’être humain doit<br />
absolument relever, pour la survie de son espèce.<br />
La conscience est donc loin d’être comprise dans s’est moindre détaille, et ceci<br />
envers ses différents processus neurologiques et envers les différentes régions<br />
cérébrales qui y sont étroitement associées de près ou de loin. Nous allons<br />
revenir sur le concept de l’énergie et de la conscience dans le prochain chapitre.<br />
Pour certaines personnes le siège réel de la conscience se situerait à l’extérieur<br />
du corps de l’être humain, lui étant cependant très étroitement relié. Ou étant tout<br />
simplement le résultat des différentes émanations des champs<br />
électromagnétiques et vibratoires, qui compose son activité biophysique. Mais<br />
tout ceci est une autre histoire, et soyons donc très vigilant dans les prochaines<br />
acquisitions et aux différentes recherches scientifiques dans ce domaine. Car<br />
pour les neurosciences, la conscience est le fruit purement et simplement de<br />
l'organisation et de l'activité cérébrale du cerveau.<br />
La conscience est donc l’un des plus grands mystères de la création et de<br />
l’Univers. Venant tout juste après le mystère sur la véritable nature et<br />
consistance de l’énergie pris à l’état pur. Cette dernière semble être la véritable<br />
substance première, qui constitue toute chose de la nature qui se trouve à<br />
l’intérieur de l’Univers. La matière n’est qu’une des différentes formes que peut<br />
revêtir certains états vibratoires de cette énergie et ceci en fonction de certains<br />
de ses différents états d’équilibre sur le plan vibratoire et dynamique. Alors dans<br />
ces conditions, pouvons nous en conclure que la conscience n’est que l’une de<br />
ses différentes formes très complexes, que peut revêtire entre autre la matière-<br />
énergie dans ses différentes formes évolutives. Nous savons que la matière qui<br />
nous entour et qui nous composent, est constitués en réalité et en grande partie<br />
par le vide et en moindre mesure par de l’énergie pris à l’état pur. La matière est<br />
l’une des conséquences évolutives, qui découle directement de la manifestation<br />
222
des différentes lois de la nature qui gouverne et contrôle l’ensemble de notre<br />
Univers. Alors la conscience découle t’elle également des mêmes lois matérielles<br />
et spirituelles sur le plan évolutif des choses.<br />
Les lois de la nature ont permis à la matière de s’associé sous différente forme<br />
moléculaire. Évoluant par la suite vers des structures minéralogique et organique<br />
de plus en plus complexe, ce qui a favorisé l’évolution et le développement de la<br />
vie, pour finalement aboutir à l’espèce humaine. Ayant comme principale<br />
caractéristique, la conscience de lui-même et du monde qui l’entoure et ceci de<br />
manière purement introspective et sensible.<br />
Précision Additionnelle sur l’Essence Psychologique de Basse :<br />
Ce qui caractérise l'être sur le plan neurologique, et qui semble bien découler<br />
directement de l'action et de son niveau d'évolution spirituelle. Concerne le<br />
niveau structurel et organisationnel de base du cerveau, qui est dans sont<br />
ensemble évolutif et adoptif, mais que l'on modifie et modèle constamment à<br />
tous les jours. Le tissu cérébral est moulé en quelque sorte par les actions de la<br />
volonté d'un esprit, et ceci durant toute la vie d’un sujet. Comme substance, cela<br />
se définit sur le plan neurologique par l'Éthique psychologique et fondamentale<br />
d’un être (schéma neurologique de base et d'ordre plus instinctif) et qui définit<br />
nos valeurs les plus fondamentales qui sont cachées au plus profond de nous-<br />
même. C'est cette essence qui est modulé, influencé et dirigé par l’aspect<br />
culturel et social, et dont découlent directement nos comportements et conduites<br />
d’aspect moral et spirituel. Ces différents processus sociologie, cache<br />
directement en fait, les différents processus qu’effectue la raison, pour encadrer<br />
et contrôler par l’apprentissage, l’accès à nos comportements d'ordres plus<br />
instinctif et plus fondamental que l’évolution cérébrale nous a légués et qui serait<br />
incohérent en société. C'est par l'entremise de notre raison et de nos valeurs<br />
morales et spirituelles, que nous agissons et évoluons dans notre milieu, mais<br />
tout ceci concernes également des valeurs plus irrationnelles et plus subjectives,<br />
comme l'amour, la fraternité, etc... C’est dernier sont directement relié à l'action<br />
de l'esprit sur la matière et ceci par l'intermédiaire de son cerveau. Ils<br />
représentent le monde des sentiments, et de son aspect sensible qui est porter<br />
sur la perception et l'interprétation du monde qui nous entours.<br />
223
Résumé :<br />
En gros ont perçois le monde extérieur avec les nerfs sensoriels qui composent<br />
notre système nerveux périphérique et cela jusqu'à la moelle épinière. Ici nous<br />
parlons de quelques relais synaptique pour la transmission de l'influx nerveux.<br />
Disons que cette première étape est assez rapide et qu'elle dépend du sens<br />
sensoriel qui est impliqué dans le mécanisme de la perception. Par exemple le<br />
nerf optique va être beaucoup plus rapide à la transmission de l’influx nerveux,<br />
que les nerfs plus périphériques, comme pour ceux qui sont reliés à la<br />
transmission de la sensation du touché par exemple. Disons en moyenne de<br />
quelque dizaine de milli-secondes sont suffisant pour parcourir le trajet, et du<br />
double pour le retour de l'information dans le cas d'une boucle réflexe, comme<br />
dans le cas du tendon d’achile situé sous le genou. Donc disons 10 msec pour<br />
l'arrivée de l'information nerveuse jusqu’à la moelle épinière et dans le cas du<br />
nerf optique, ce délais pourrait corresponde à l'arriver de l'information nerveuse<br />
aux niveaux des corps géniculé latérale qui se trouve de chaque coté du<br />
Thalamus. Le thalamus est une sorte de carrefour pour l’entrée des nerfs<br />
sensitifs et sensoriels du touché et de la douleur entre autres, qui se trouve et<br />
parcoure la partie dorsale et dorsaux-latérale de la moelle osseuse.<br />
Un autre délais de 5 msec pour monter le long de la moelle jusqu'au Thalamus<br />
ou du lobe occipital pour les mécanismes neurologiques impliqués dans la vision.<br />
Nous sommes maintenant rendu approximativement à un délai de 15 msec, c'est<br />
déjà un bon délai. Après tout va dépendre du type d'information, mais pour que<br />
l'information se rende jusqu'à la conscience, il va falloire qu'elle soit traitées par<br />
les différentes parties du néocortex de manière simultané, et cela est un autre<br />
bon 20 msec environ. Car rendu a se niveau de notre analyse, il y a déjà plusieur<br />
type d'échange informel qui parcoure en parrallèle différents réseaux de réseaux<br />
de cellules nerveuses à travers le cerveau. Et tout son impliquer dans différents<br />
processus d'analyse et d'association de l'information perçut et traiter et retraiter<br />
dans tous les sens, par les différentes aires secondaires qui forme la mémoire<br />
associative comportementale à long terme, ou l'espace de travail. Une partie de<br />
celle-ci, et de plusieurs régions cérébrales du cortex, vont simultanément se<br />
dirige vers le lobe frontal et préfrontale (là ou siège les perceptions cognitives les<br />
plus hautes, volonté, concentration, abstraction, prise de discision etc...). Ici nous<br />
224
sommes rendues vers la phase finale des différents processus de la perception<br />
consciente. Tout sa, disons encor environ 20 msec, pour un totale de 35 msec.<br />
En même temps, différentes formes de réponses vont être élaborer de manière<br />
parallèle et de manière simultanée aux autres types de traitement initiale de<br />
l'information nerveuse. Au fur et a mesure qu'avance le traitement de<br />
l'information nerveuse, les réponses fournis par les différentes formes de<br />
traitement cortical, vont-êtres tranquillement soit amplifier ou soit discriminer par<br />
toutes sortes de mécanisme et processus de synchronisation. Le tout est<br />
effectué par différent processus d'analyse et d'association croisée, situé dans<br />
différents réseaux et réseaux de réseaux de neurones et de par rapport à leur<br />
différent type et liens d'embranchement respectif. Cette étape est la plus<br />
mystérieuse de tout et correspond à une certaine prise de conscience, qui<br />
prépare par anticipation l'action à fournire ou a entreprendre au stimuli reçus.<br />
Bon ici nous discutons seulement du processus neurophysiologique de la prise<br />
de conscience, et non de l'essence même et de l’aspect sensible de celle-ci, qui<br />
reste encore le plus grand des mystères permis les mystères.<br />
La réponse aux stimulis initiales, est maintenant en route pour être préparer à sa<br />
manifestation comportementale extérieure. L'info nerveuse est désormais<br />
associée à l'aspect émotif par d’innombrable relais qu'elle a déjà effectué dans le<br />
système limbique et plus précisément dans l'Amygale (associé à l'aspect des<br />
comportements émotif du corps). Celle-ci est passer également par les noyaux<br />
Lenticulaire, pour y être associé aux différents types de mouvement à<br />
entreprendre et pour coordonner les différents tissus musculaire qui seront<br />
associé à la perception spatiale du corps. Maintenant l'info se dirige vers le<br />
cervelet pour coordonnées et tonusifier tous les muscles qui seront impliqués<br />
dans le comportement qui sera adopter et sélectionné. Ici nous avons un autre<br />
15 msec, dont au grand totale qui est de 50 msec, pour l’instant.<br />
Bon tout cela est très approximatif, et entre 50 et 500 msec (1/2 sec) qui est<br />
associé au cycle de synchronisation gamma (30 à 150 MHz) et qui est attribué<br />
aux mécanismes biophysique de la conscience. Il y a tout de même une très<br />
grande différence. Mais en fait tout cela était pour expliquer et démontrer qu'il y a<br />
bien un décalage entre le phénomène perçus et l'adoption d'un comportement<br />
225
conscient. Mais il ne faut pas oublier qu’ils existent cependant plusieurs autres<br />
formes d’ondes cérébrales de synchronisation.<br />
En fait toute matière est composé essentiellement d'énergie, la mécanique<br />
quantique nous dit également que tout objet matériel est constitué de champs<br />
d'énergie qui est représenté sous différentes formes d'états vibratoires et qui<br />
caractérise les différents états d'énergie des particules plus fondamentales lors<br />
de leur interaction avec leur milieu qui les entours (quarks et leptons qui<br />
représentent la famille des électrons entre autres). Le tout évolue par toutes<br />
sortes de mécanismes chimiques, physique et biochimique vers des structures<br />
cellulaires et neuronales de plus en plus complexe, pour aboutire finalement à<br />
l'étape de la prise de conscience (dont l'homme n'est pas le seul tributaire de<br />
cette caractéristique dans le monde du vivant). Mais celle-ci justement, est-elle<br />
vraiment juste le fruit d’une forme d’émergence ou d’immanessence quelconque<br />
qui serait alors attribuable et associé à l'activité électrique du cerveau (à la<br />
manière d'Aristote) et comme la science l'atteste actuellement (réductionnisme<br />
matérialisme), ou est-elle plutôt contrôler et manipuler de l'extérieur par différent<br />
mécanisme de transcendance qui est associé à l’esprit ( à la manière de Platon).<br />
Voilà ou je veux en venir en fait, comment à partir de mécanisme fonctionnel<br />
purement d'ordre matériel et basé sur l'activité induite par une multitude d'influx<br />
nerveux qui parcoure à tout moment et en tous sens notre cerveau. Comment la<br />
conscience qui est d'ordre purement subjectif et à consistance plutôt d'ordre<br />
abstrait faisant parti du monde sensible et qui est axée sur l’interprétation<br />
consciente des sensations ! Comment celle-ci peut-elle tout simplement émerger<br />
et se dégager de son tissu fondateur à fondements et mécanisme purement<br />
d’ordre matériel, et représentant ainsi qu’une sorte d’émanessence qui serait<br />
alors appliqué à la fonctionnalité d’un système complexe. Ou serait-elle plutôt<br />
représentatif d’une forme de transcendance, qui impliquerait dans des liaisons et<br />
des échanges inter croiser d'énergie d’ordre spirituelle et plus fondamentale, et<br />
qui serait par exemple étroitement entretenu sous forme de résonance<br />
(harmonique électromagnétique ou éthérique) avec le tissu cérébral et ceci par<br />
l’intermédiaire du péresprit, composant le fluide vital qui est directement sous<br />
l’action de la seule volonté de l’esprit. La conscience peut-elle s’expliquer et se<br />
comprendre par l’une de ses hypothèses ?<br />
226
Ce qui est troublant dans les différents processus de la conscience, ce sont tout<br />
ses attributs d'abstraction que se soit : de la pensée, de l’entendement de l’être,<br />
de l'imagination, de son aspect intellectuel qui est porté sur l'analyse, de l’auto<br />
interprétation et de l’auto projection des choses et dans le temps, du merveilleux<br />
monde des rêves, de l'intuition. Et ceci sans oublier son aspect de sensibilisation,<br />
qui traduit de manière compréhensible le monde réel qui nous entoure. En fait<br />
tout n'est que du domaine de sensibilité dans la perception des choses. Le<br />
cerveau et tous ses différents circuits neurologiques constitués de neurone, sont<br />
là pour transporter sous forme d'influx nerveux (courant d'électricité moléculaire)<br />
la perception du monde dans lequel nous baignons. Tous ces différents circuits<br />
neurologiques (réseaux de réseaux de regroupement de neurones branchés de<br />
différente manière en parallèles) nous permettent de nous manifester<br />
physiquement et d'inter agire avec le monde physique, par tout sortes d'action<br />
motrice et intelligible sur notre propre environnement immédiat.<br />
La couleur, par exemple est un phénomène purement sensible et donc<br />
d'abstraction pure, tout comme tous les autres sentiments comme l'amour, la<br />
fraternité etc... Mais pour ce qui est des couleurs par exemple, et bien pour la<br />
nature il s'agit plutôt de phénomènes purement physiques ou vibratoires qui sont<br />
alors reliés aux différents phénomènes d'énergie. Ainsi les couleurs en dehors de<br />
leur perception sensible des choses, n'existe pas réellement dans la nature et en<br />
dehors du monde sensible.<br />
Les neurosciences décrivent très bien à l'heure actuelle, les différents processus<br />
et les différents phénomènes neurophysiologique et biophysique qui sont<br />
impliqués et relier dans la perception consciente. Il s'agit de phénomène<br />
purement d'ordre physique et biologique qui sont relié aux différentes modes de<br />
transport de l'information nerveuses par les neurones et les axones-dendrites.<br />
Mais la science est entièrement muette sur l'aspect réel de la conscience comme<br />
t'elle, ou de la conscience d'avoir conscience de quelques choses (la conscience<br />
phénoménale). La conscience phénoménale est ce qui semble définir en quelque<br />
sorte, l'essence même de la conscience et du moi intime, et son origine fait<br />
intervenir une sorte d'interface qui se situerait alors entre le monde composé de<br />
matière à celui d’un autre monde qui serait de dimension plus spirituelle, et<br />
composé d'une substance faite d’une toute autre nature. Une sorte d'interface<br />
227
qui unirait le monde fait de matière avec celui des idées et de l'aspect intelligible<br />
des choses, de l'âme qui par le périsprit est unit à l'esprit et au monde spirituel.<br />
Le monde de matière et le monde de l'intelligibilité des choses, semble vraiment<br />
être fait de nature différente, l'un par rapport à l'autre. Mais d'aspect plutôt<br />
complémentaire dans leur manifestions et sur l’échelle constructale des choses<br />
de la nature.<br />
Nous pouvons comparer cette nature d'aspect différente des choses à ceci. La<br />
matière est composer de champs d'énergie sur le plan vibratoire. Celle-ci<br />
s'associe en différant structure de plus en plus complexe par tout sorte de<br />
processus d'affinité structurelle et électro-physico-chimique, pour aboutire<br />
finalement à la complexité du cerveau de l'homme. Mais qu'est-ce que l'énergie<br />
pris dans son état la plus pure, et bien pour l'instant c'est le mystère le plus totale<br />
en science, qui ne fait pour l'instant qu'observer, mesurer et interpréter ses<br />
différents mécanismes interactionnels et les lois qui les définisses et sembles<br />
leurs attribués consistance et soutenir tout ça. Mes en gros on peut dire qu'il<br />
s'agit de phénomènes d'attraction et de répulsion (électromagnétique et autre).<br />
Et bien cette énergie pris à l'état pur, semble bien rejoindre en quelque sorte, les<br />
phénomènes et les notions qui sont d'ordres plus subjectifs et plus abstraits et<br />
qui sont portés sur l'essence même des choses de la nature. Au même titre<br />
d'ailleurs que l'essence même de la conscience d'avoir conscience ou<br />
conscience phénoménale (conscience d’avoir conscience de soi). L’objectivité<br />
des différents objets de la nature, ne viennes que de leurs différentes formes de<br />
relation qu’il entretienne entre eux, et non de la substance même qui définit une<br />
entité sur le plan matériel.<br />
En fait les deux opposées de l'échelle constructive de la matière dans la nature,<br />
énergie pure qui compose toutes choses de matière et l'aspect de la conscience<br />
phénoménale, se rejoigne ainsi en niveaux d'abstraction subjective et<br />
interprétative qui compose le monde composé de perception sensible. Comme si<br />
nous y retrouvions en fait, la même nature fondamentale et substantielle qui<br />
représente et définit la naturalisation de l’échelle constructale de départ de la<br />
nature et celles de la fin constructive de l’échelle constructale qui est relié au<br />
cerveau de l'homme et qui caractérise son aspect conscient et intelligible dans<br />
un plan évolutif de la substance spirituelle. Deux choses aux dimensions si<br />
228
différentes et qui sont d’ordre purement abstrait, que la science actuelle a bien<br />
de la misère à définir et à interpréter. Il semble s'agire en fait, de la<br />
représentation d'une même et unique substance sur l’échelle constructale de la<br />
nature.<br />
Les différents niveaux d'abstraction de la pensée et des différents sentiments de<br />
l'homme, ne semble pas être originaire du monde purement matériel, au<br />
mécanisme et fonctionnalité purement mécanique. Cela représente t-il un<br />
nouveau changement de paradigme en neurosciences, un nouveau paradigme<br />
qui intégrerait les principes de la conscience dans l’étude de l’évolution de la<br />
matière, et bien l'avenir nous le dira peut-être !<br />
Tellement de question et pourtant si peut de réponse !!!<br />
229
Petit Résumé sur la Genèse du Cerveau :<br />
Il y a plusieurs étapes dans le développement embryonnaire humain, mais ce<br />
qui nous intéresses ici ce sont les caractéristiques génétiques qui favorise le<br />
développement, la différenciation, la migration et la structuration des tissus qui<br />
forme les organes d'un organisme quelconque.<br />
Dans un premier temps et après la fécondation de l'ovule (ovocyte), nous avons<br />
un premier stade de développement cellulaire qui est appeler morula. Il s'agit<br />
d'une étape de transition d'une durée de quelques jours, l'ovule initiale se<br />
multiplie en une vingtaine de cellules très compacte et sans effectuer de<br />
véritable différenciation cellulaire pendant son transite dans le conduit ovarien<br />
de la trompe de faloppe à l'utérus. Ensuite nous avons le stade blastula qui<br />
dure de 6 à 7 jours et qui correspond en gros à l'implantation de l’œuf aux<br />
parois de l'utérus. À l'étape de la gastrulation qui va suivre et qui va correspond<br />
aux véritables stades initiaux de l'organogenèse, et donc du début véritable de<br />
la différenciation cellulaire. L'embryon se développe et commence alors par<br />
former les trois feuillets de cellules (endoplasme, mésoplasme et exoplasme)<br />
qui participerons par la suite à constituer tous les organes et tissus de<br />
l'organisme par toutes sortes de différenciation cellulaire et qui seront sous le<br />
contrôle des gènes bien spécifique. Entre le 20 iem et le 29 iem jours de la<br />
gestation, nous retrouvons le stade principal de neurulation, ce stade<br />
correspond au début du développement du système nerveux central et<br />
périphérique qui se poursuivra alors jusqu'à la naissance et même toute la vie<br />
par la suite.<br />
Durant tous ses différents stades de développement cellulaire et embryonnaire,<br />
certaine catégorie et de regroupement de gènes seront activités à des moments<br />
bien spécifiques et participeront ainsi à la différenciation des différentes<br />
structures cellulaire et nerveuse de l'organisme. Cet ensemble de structure<br />
génétique porte le non de gène homéobox de segmentation et de<br />
différenciation cellulaire. Ces gènes favorisent entre autres la communication<br />
intra et intercellulaire pour un groupe de cellules déterminées et par toutes<br />
sortes de protéines et d'hormones de croissances qui vont activer et favoriser<br />
l'activation de certaines séquences génétiques, celles-ci vont permettre la<br />
230
différenciation des nouvelles cellules souches en tissus quelconques. Les<br />
gènes de développement cellulaire contrôle ainsi le nombre de cellules<br />
nécessaire pour chaque organe du corps, et exerce toutes sortes de contrôle et<br />
de fil back rétroactif pour le maintient de l'équilibre de l'organisme et des tissus<br />
vivant, mais ils sont également assistés par d'autre type de gènes dans leurs<br />
travail.<br />
Les prémisses du développement des tissus nerveux et des autres cellules<br />
d'organes du corps sont donc sous le contrôle des gènes. Un coût les trois<br />
feuillets embryonnaires sont bien mis en place, il se produit une sorte<br />
d'invagination de la membrane extérieure de l’œuf et l'infiltration de cellules<br />
mésoblasmique à l'intérieur de celle-ci, ce qui va favoriser la création du tube<br />
neurale. Le développement du cerveau commence donc ainsi en gros, en<br />
premier il s'agit de l'élaboration du cerveau reptilien qui est composée du tronc<br />
cérébral, de la protubérance, du cervelet et du diencéphale. Les partie les plus<br />
primitives du cerveau apparaisse donc en premier et par la suite va suivre le<br />
cerveau mammalien ou le cortex du système lymbique qui est relier aux<br />
émotions et pour finir nous avons le télencéphale ou le néocortex (cortex)<br />
cérébrale qui est le siège de la mémoire associative à longs thermes et de la<br />
perception consciente et sensible. En fait le développement de l'embryon et du<br />
fœtus retrace en quelque sorte les différentes étapes de l'évolution du règne<br />
animale jusqu'à l'homme.<br />
La communication entre les cellules nerveuses est dirigée et contrôlée par des<br />
gènes qui favorise la production de ligands ou de récepteur membranaire, des<br />
canaux ioniques et de neuromédiateur servant d'intermédiaire entre celle-ci. En<br />
fait les gènes ne contrôlent pas directement les différents schémas associatifs<br />
des réseaux nerveux, mais les orientes de par leur affinité communicationnelle<br />
et de transmission de l'influx nerveux (leurs potentiels d'affinité et d’action). Des<br />
facteurs environnementaux peuvent également venir interférer au bon<br />
développement du tissu nerveux. Au début et jusqu'à la naissance des cellules<br />
nerveuses se multiplies et établis différentes jonctions et contactent entres-elles<br />
par l'intermédiaire de leurs axones et dendrites. Elles ne sont pas nombreuses<br />
au début entre les cellules et cette association définit en quelque sorte les<br />
différents schémas comportementaux et réactionnels qui sont d’ordres innés et<br />
231
instinctifs sur l'environnement.<br />
Chez l'homme ce processus est très lent et se poursuit pendent toute l'enfance<br />
et même durant la puberté. Par contre à la naissance la division des cellules<br />
nerveuses subisse une chute drastique et quasi totale (sauf pour certaine partie<br />
du lobe temporale et de quelques autres régions du cerveau), et la matière<br />
blanche (axones et dendrites) commence à ce myélinisés en s'enveloppent<br />
d'une gaine isolante et protectrice. La pousse et les jonctions entre axones,<br />
dendrites et corps cellulaire des cellules nerveuses, favorisent l'établissement<br />
ou le renforcement de différent schéma mental et donc de caractéristique<br />
associative. Ces différents processus vont êtres favorisés par la sécrétion de<br />
certain facteur de croissances ou d'hormones. Ce mécanisme de sécrétion sert<br />
en quelque sorte de conduit pour la pousse des axones et dendrites qui<br />
s'orientent alors vers leurs cellules ciblent.<br />
Ainsi les gènes contrôlent parfaitement la structuration et l'organisation<br />
générale de base des différentes parties fondamentales du cerveau et du corps<br />
en générale, mais n'intervienne que très peut dans l'établissement de différent<br />
schéma nerveux spécialisé, que par leurs axes de croissance qui est favoriser<br />
par leur secrétions de facteur de croissance et autres. Ainsi l'apprentissage<br />
survient par la répétition, qui favorise par renforcement le nombres des<br />
jonctions et des contactes entre différentes cellules nerveuses. Cela veut dire<br />
également qu'un clone génétique, n'est pas ou ne sera pas le double parfait<br />
d'un autre individu, mais représentera simplement la copies phénotypique de<br />
celui-ci.<br />
En gros l'esprit peut influencer sur tous ses différents processus physiologique<br />
et chimique de développement et de différenciation cellulaire, mais il ne les<br />
contrôle pas en totalité et de manière objective.....<br />
232
LES ENSEIGNEMENTS SPIRITUELS DE<br />
L’ÉVOLUTION<br />
L’évolution et l’histoire humaine, nous à permis d’apprendre de bien belle et<br />
grande chose sur le plan des connaissances, de la sagesse, de la spiritualité et<br />
de la morale. La compréhension de certains phénomènes naturels et le niveau<br />
de conscience et de développement qui est atteint actuellement par notre<br />
espèce, en est le fruit incontestable. Elle nous donne tous les moyens<br />
nécessaires pour interagir et entrer en relation de manière beaucoup plus<br />
harmonieuse et beaucoup plus efficace avec la nature, et ceci afin de prévoir<br />
entre autre certains de ces comportements qui pourraient nuire à la survie de<br />
notre espèce. La nature nous enseigne toujours cependant à porter une attention<br />
bien particulière à l’équilibre environnemental et à l'harmonie si fragile de notre<br />
petite planète, qui est en fait le berceau de toute l’humanité et notre seul et<br />
véritable mère nourricière de tout l’Univers connu à ces jours.<br />
La nature nous a donné la chance d’évoluer et de prendre conscience petite a<br />
petit des différentes lois qui gouvernent et qui contrôlent son évolution. Elle a<br />
donné à l’humanité tout entière, le plus grand des cadeaux que l’on puisse<br />
imaginer et trouver dans tout l’Univers. Il s’agit de la conscience de nous même<br />
et de la raison, qui sont en réalité des outils indispensables à toute bonne<br />
relation et cohabitation dans la nature, et pouvant nous conduire également vers<br />
une réelle compréhension de l’Univers. Pour ainsi nous aider à comprendre<br />
mieux et à connaître d’avantage le milieu dans lequel nous vivons et nous<br />
évoluons, afin de nous permette éventuellement de quitter notre berceau<br />
terrestre et de voyager à travers cette immensité de l’espace qui semble bien<br />
être d'un ordre plus spirituel. Comme si la nature voulait en réalité, nous assister<br />
et nous démontrer les différentes voient et routes à suivre, pour nous permettre<br />
enfin de vivre en toute harmonie et en parfaite équilibre avec elle, dans un esprit<br />
mutuel de sagesse et de compréhension.<br />
Cette interaction entre l’homme et la nature, c’est-à-dire entre le psychique<br />
spirituel de l’homme (son Esprit) et les différentes lois de la nature qui définisse<br />
et orientent les différents comportements de la matière. Doivent êtres assistés<br />
dans leur différente relation, par des valeurs d’ordres morales et humaines,<br />
233
pouvant mieux refléter sur le plan de la conscience, les différentes lois de la<br />
nature. Et ceci afin de trouver une base commune, qui est axée sur une certaine<br />
forme de communication virtuelle et consciente, pour ainsi favoriser le respect et<br />
une meilleure compréhension comportementale et environnementale de nos<br />
différentes relations avec la nature. La morale et la spiritualité sont en réalité les<br />
seul et véritables outils de la raison irrationnelle humaine, pour nous permettent<br />
de dialoguer en tout respect avec la nature et d’entrer ainsi en relation plus<br />
étroite avec elle. La nature a ses propres règles qui sont d'ordre de perception<br />
physique et spirituelle, que l’homme doit tout simplement apprendre et<br />
comprendre pour s’y soumettre et de respecter par la suite, sinon il se met en<br />
situation de conflit pouvant menacer ça propre survit en tend qu’espèce<br />
dominante sur la terre. Voilà en réalité le véritable but évolutif et spirituel de la<br />
conscience humaine, apprendre à vive en paix et en harmonie avec l’Univers et<br />
envers ses propres semblables, et s’est d’ailleurs le seul moyen pour notre<br />
espèce de franchir la barrière du temps et de l’extinction et pour mieux évoluer<br />
dans la sagesse et la spiritualité comme esprit en progression et évolution<br />
charnelle.<br />
Tout aux longs des différentes époques de notre histoire, l’homme a toujours<br />
désiré dominer et domestiquer la nature et l’environnement dans lequel il se<br />
trouvait, et cela sans tenir compte véritablement de son équilibre réel, dont il<br />
n'avait tout simplement pas conscience à certaines époque. Aux époques plus<br />
anciennes de notre histoire, il était tout simplement inconcevable pour l’homme,<br />
d’entrevoir l’épuisement des richesses et des ressources naturelles de la terre, et<br />
de comprendre les véritables impacts à long terme de nos actions envers une<br />
mauvaise exploitation et le non-respect de la nature. La conquête des richesses<br />
et l’exploitation des différentes ressources naturelles, s’effectuaient alors sans ce<br />
préoccuper véritablement de la nature et de son équilibre si précaire, dont les<br />
ressources étaient tout simplement renouvelables à volonté et sans limite selon<br />
les croyances de ses époques. L’homme à donc établie plusieurs systèmes<br />
politiques et économiques, servant entre autre à gérer et à contrôler l’exploitation<br />
des ressources naturelles et cela a été même appliqué à sa population en<br />
général, sous forme d’esclavage et d’exploitation humaine de toutes sortes,<br />
démontrant ainsi sa véritable nature reflétant ses intentions et son niveau<br />
d’évolution morale et spirituelle sur le plan de la conscience.<br />
234
Tous les systèmes politiques et économiques qui existent actuellement sur terre,<br />
sont basés en réalité sur une distribution inégale des richesses et des<br />
ressources de la terre. Celles-ci étant plutôt diriger et contrôlé par les individus<br />
qui possèdent le réel pouvoir, qui se servent en réalité du reste de la population,<br />
comme une sorte de levier économique pour servir que leur propre intérêt et<br />
avantage. Mais il y a un frein à tous cela, et à toute cette injustice sociale. Car il<br />
adviendra une époque dans l’évolution de l’espèce humaine, ou la terre ne<br />
paraîtra plus aussi grande qu’on le pensait, et que ses différentes ressources<br />
naturelles ne sembleront plus vouloir se renouveler aussi facilement et<br />
rapidement qu’auparavant, mais semblerons plutôt vouloir diminuer à vue d’œil,<br />
ce qui engendra des difficultés économiques de toutes sortes. L’humanité toute<br />
entière aura alors atteinte un semblant d’équilibre, envers son commerce<br />
économique et envers également l’exploitation de ses différentes ressources<br />
naturelles, dont les marges de profits ne seront plus aussi élever qu’auparavant,<br />
et cela contrairement aux désirs de certains individus, comptant par mis les plus<br />
privilégiés de la planète. L’humanité tombera alors et tout probablement dans<br />
une forme de crise politique et économique planétaire et sans précédant à<br />
travers son histoire.<br />
C’est une étape inévitable de l’évolution de l’espèce humaine, et qui est axé<br />
essentiellement sur le plan de la conscience morale et spirituelle. Cette étape<br />
vient tout juste avant les différents processus pouvant nous conduire réellement<br />
vers une forme de mondialisation ou de gouvernement planétaire. Mais avant de<br />
franchire cette éventuelle étape, l’homme doit apprendre à partager et a cohabité<br />
en parfaite harmonie sur sa petite planète, et d’établir des politiques socio-<br />
économiques équitables pour l’ensemble de sa population mondial. Et pour se<br />
faire l’homme doit abolir les préjugés entre les différents peuples de la terre et<br />
faire preuves de plus d’altruismes envers leur prochain. C’est seulement envers<br />
cette seule condition de l’évolution de la conscience morale et spirituelle, que<br />
l’humanité tout entière pourra vraiment espérer franchire un jour cette étape et<br />
nous conduire vers un monde meilleur pour tous, ce qui n'est nullement pas le<br />
cas présentement.<br />
Cette situation sera alors étroitement associée et exploitée par certain culte et<br />
secte religieuse, sous une forme d’Apocalypse ou de toutes autres formes<br />
235
d’événement catastrophique du même genre. Faisant alors ressortir l’esprit des<br />
prophètes de tout temps et de toutes les époques de l’histoire humaine.<br />
L’humanité tout entière comprendra alors, la véritable signification de la mise en<br />
garde de la vision des prophètes, et qui est basé sur la véritable destiné de<br />
l’espèce humaine. Mais cette fois-ci, elle ne sera pas appliquer qu’à une seul et<br />
petite région bien spécifique de la planète et se trouvant à une époque bien<br />
précise dans le temps, car cette fois-ci, elle sera belle et bien appliquée et de<br />
manière virtuelle, à l’ensemble de l’humanité.<br />
Alors que pourrait-il bien se produire par la suite, cette situation semble d’ailleurs<br />
correspondre de plus en plus à notre époque. Dans un premier temps, il est à<br />
prévoir que les dirigeants et les individus qui possèdent le réel pouvoir de la<br />
planète, chercheront par tous les moyens possibles à entreprendre différents<br />
processus de négociations, afin de protéger le peut qu’il le reste. Espérant ainsi<br />
refaire partir leur propre économie sur le plan national, et utilisant la force s’il le<br />
faut pour influencer le pouvoir et leur situation sur le plan mondial (Irak + Pétrole<br />
et Chine + Dérivation de l'économie vers l'extrême Orient). Mais les autres pays,<br />
seront probablement en désaccords avec les solutions qui seront alors<br />
envisagés, et cela pourra entraîner le monde entier dans des conflits majeurs de<br />
toutes sortes, pouvant impliquer plusieurs nations aussi varier les une que les<br />
autres.<br />
Voici donc ma manière de vous faire partager une certaine forme de prophétie<br />
apocalyptique, qui n’a d’ailleurs rien d’extraordinaire, car elle sort en réalité tout<br />
droit de mon imagination qui à été influencé par l’actualité de tous les jours. Par<br />
la suite, il ma suffit de faire une certaine forme de projection mentale vers<br />
l’avenir. Donc en fait, il est très facile d’imaginer ce genre de scénario, et selon le<br />
niveau d’horreur que nous désirons lui faire exprimer. Le merveilleux monde du<br />
cinéma s’en occupe d’ailleurs très bien et cela à tous les jours. Mais ici il y a un<br />
problème majeur, c’est que je ne suis nullement un prophète, mais tout<br />
simplement un homme bien ordinaire avec un peut d’imagination et d’idéalisme<br />
de par sa nature. Pourtant je suis capable d’entrevoir présentement le même<br />
genre de scénario que les véritables prophètes du passé (!!!). Comme d’ailleurs<br />
une très large partie de la population actuelle est capable également de le faire !<br />
236
Alors cela est-il un signe avant-coureur que la situation planétaire actuelle est<br />
réellement en danger et très préoccupante.<br />
Par contre nous pouvons affirmer que l’espèce humaine est réellement arrivée à<br />
une sorte de croisée des chemins envers ça propre destiné, et seul l’avenir<br />
pourra nous indiquer de la validité de nos décisions et actions actuelles. Situation<br />
qui est devenu aujourd’hui incontournable face à tous les aspects de la vie sur<br />
notre planète. Tout au long de notre évolution, la nature nous à démontrer qu’elle<br />
pouvait gérer d’une manière beaucoup plus efficace que l’homme, les différentes<br />
situations d’équilibre dynamique envers les différents écosystèmes qui la<br />
composent et qu’elle gère et entretient de façons si harmonieuse. La nature<br />
présente un état d’équilibre qui est sans équivalent, et c’est d’ailleurs<br />
l’enseignement qu’elle a toujours désiré nous faire comprendre, sur le plan moral<br />
et spirituel. À chaque époque de l’évolution de l’homme, elle à définit les<br />
différents paramètres servant à favoriser notre adaptation et notre évolution sur<br />
terre, voulant à tout pris éveiller notre conscience, pour nous préparer et nous<br />
diriger vers notre époque actuelle (petit voyage virtuelle).<br />
La nature nous confronte donc présentement, à une nouvelle situation<br />
d’harmonie et d’équilibre, prenant la forme cette fois-ci d’un défit planétaire pour<br />
toute l’humanité, envers la mondialisation mal dirigée et mal organisée par son<br />
manque de fraternité et de partage. Elle nous démontre encore une fois que la<br />
vie doit s’effectuer dans le respect et envers une certaine situation d’équilibre et<br />
d’harmonie envers tous et chacun face à l’environnement et face aux autres. Une<br />
nouvelle chance et une nouvelle orientation, nous est donnée face au devenir de<br />
l’espèce humaine, et cela ne dépendra que de nous afin de prendre les bonnes<br />
décisions, pour ainsi passer à travers cette situation planétaire. Nous pouvons<br />
retrouver le paradis perdu, il suffit d’exprimer davantage de sagesse et de moral,<br />
dans notre vie de tous les jours. Époque qui correspond à celle ou l’homme aura<br />
compris une fois pour toutes ses véritables erreurs sur le plan humain et envers<br />
également l’équilibre de la nature. C’est l’époque de la véritable conquête de<br />
l’espace.<br />
237
238
DEUXIÈME PARTIE<br />
La Science Face à Dieu.<br />
Trop de mystère ne son pas encore résolut,<br />
de manière absolue par la science,<br />
pour ne pas douter encore<br />
de la présence véritable<br />
d’un Dieu à travers<br />
l’Univers.<br />
239
240
INTRODUCTION<br />
DEUXIÈME PARTIE<br />
LA SCIENCE FACE À DIEU<br />
Introduction – Les Conceptions Théoriques de l’Esprit Humain –<br />
L’Énergie de la Matière – Le Big-Bang en Question – Autres<br />
Sujets – Conclusion, Vers l’Utopie.<br />
Dans ce chapitre nous allons discuter et passer en revue, les différents concepts<br />
théoriques et fondamentaux de la science actuelle, qui sont encore associés très<br />
étroitement de nos jours, aux plus grands mystères de la nature et de l’Univers.<br />
L’étude et la compréhension de ses différentes énigmes de la nature, font parties<br />
en réalité du véritable défit de toute l’humanité, en plus de celui de nous<br />
connaître et de nous respecter d’avantages les uns par rapports aux autres. Il<br />
s’agit entre autre de l’origine et de l’évolution de l’Univers, du comment et du<br />
pourquoi est-il structuré d’une t’elle manière, au lieu d’une autre. De la véritable<br />
nature et de la véritable consistance de l’énergie (ou de la matière-énergie), qui<br />
constitue en réalité toutes choses se trouvant à l’intérieur de l’Univers, et étant<br />
par le fait même la seule et véritable essence créatrice et évolutive de tout<br />
l’Univers. Et pour finir nous allons discuter de la conscience elle-même, face à<br />
ces différentes possibilités évolutives sur le plan intellectuel et technologique,<br />
ainsi que spirituel et moral. Pour nous assister dans cette démarche et pour nous<br />
aider à mieux comprendre tout cela, nous allons utiliser les concepts<br />
fondamentaux de la mécanique quantique et de la relativité générale, sans pour<br />
autant retracer leur histoire et leur cadre mathématique respectifs.<br />
Nous allons dans un premier temps, essayer de mieux comprendre les différents<br />
fondements théoriques et conceptuels, de la mécanique quantique et de la<br />
relativité générale, auxquels la science s’appuient actuellement pour interpréter<br />
et comprendre la nature. Nous allons par la suite essayer de mieux comprendre<br />
leur réelle implication et leurs réels portés, envers le fonctionnement et<br />
l’évolution de notre Univers. Afin de voir si elles méritent toujours leurs véritables<br />
241
prétentions théoriques et conceptuelles quelles nous offrent. Qui peut entre autre<br />
prédire et encadrer l’ensemble des comportements observés dans l’Univers, sur<br />
l’origine et la manifestation de tous les phénomènes de la nature, que nous<br />
pouvons observer, étudier et constater. Dieu est-il vraiment mort, comme semble<br />
vouloir l’affirmer la science actuelle, ou reste t’il plutôt une faible lueur d’espoir.<br />
Sur quelle base théorique la science s’appuie t'elle, pour affirmer une t’elle<br />
chose. L’objectif des prochains chapitres, vise à nous donner une meilleure<br />
compréhension possible des différents concepts fondamentaux de la science<br />
moderne. Le tout sera effectué à travers un langage et des exemples très<br />
simples.<br />
Les grands concepts théoriques et fondamentaux de la science actuelle, qui<br />
découle directement de la mécanique quantique et la relativité général. Ne résout<br />
pas pour l’instant et de manière absolue, les différents mystères de la nature,<br />
que j’ai cité un peut plus haut et que nous allons explorer plus en détaille un peut<br />
plus loin. Dans ses conditions et basé sur la recherche de la vérité, nous<br />
pouvons affirmer que notre compréhension de l’Univers est encore très<br />
incomplète et très limitée sur le plan scientifique, car en fait notre civilisation est<br />
encore très jeune sur le plan des connaissances et de la compréhension.<br />
Pouvons nous réellement affirmer le contraire dès à présent, et dire que rien<br />
nous échappe dans l’Univers, que tout les mystères de la nature son à la porter<br />
de la compréhension humaine. L’avenir de l’humanité nous réserve encore de<br />
bien belle et grande surprise, et rien en définitive ne peut véritablement défier<br />
l’imagination de l’homme, véritable source créatrice d’avenir et de technologie.<br />
L’Univers, la matière-énergie et la conscience sont en réalité, des concepts qui<br />
défient toujours et encore la compréhension et l’imagination de l’homme, et ceci<br />
pour bien longtemps encore.<br />
Dans de t’elle condition, pouvons nous véritablement affirmer que Dieu est bel et<br />
bien mort, condamné et cloué sur la croix par l’esprit scientifique et prétentieux<br />
de l’homme. La science est un outil, une méthode d’analyse et d’investigation<br />
utilisée par la conscience de l’homme, et il devrait plutôt sans servires pour<br />
mieux comprendre la création et l’Univers qui l’entour. Non, absolument rien pour<br />
l’instant nous permet d’affirmer de t’elles chose, et d’affirmer hors de tout doute<br />
raisonnable que Dieu existe ou qui n’existe pas. Si Dieu existe véritablement,<br />
242
alors il se manifeste à tous les jours à travers la nature, sa parole et sa volonté<br />
se transmettre alors par les lois de la nature, envers lesquels se manifeste tous<br />
les phénomènes de la nature, et c’est à nous d’étudier et de comprendre<br />
comment interagir en équilibre et en harmonie avec elle. Dieu est-il un être vivant<br />
fait à l’image de l’homme, ou s’agit-il plutôt de l’Univers lui-même, pris dans son<br />
ensemble et à travers lequel nous sommes en étroite relation et en étroite<br />
interaction. Alors soyons à l’avenir un peut plus sage dans nos différents<br />
commentaires et dans nos différentes réflexions, afin de ne pas détruire trop vite<br />
la dernière étincelle d’espoir et d’espérance qu’ils nous restent, pour nous aider<br />
éventuellement à construire un avenir meilleur pour toute l’humanité.<br />
Voici un petit résumer, qui est axé sur les différents comportements de la<br />
matière, et qui va nous aider à mieux comprendre les différents concepts<br />
scientifiques qui seront présentés un peut plus loin. Il s’agit d’un concept voulant<br />
résumer la forme par laquelle se manifestent tous les phénomènes de la nature,<br />
et dont nous avons déjà discuté dans le chapitre sur les lois naturelles. Il englobe<br />
les différents mécanismes associés aux quatre interactions fondamentales de la<br />
nature. Cette manière de voir la manifestation des lois naturelles à travers le<br />
comportement évolutif de la matière, va nous permettre de mieux comprendre la<br />
suite des événements. En fait, tous les phénomènes de la nature se manifestent<br />
en réalité par l’intermédiaire des quatre lois ou interactions fondamentales de<br />
l’Univers, qui orientent et contrôles les différents comportements de la matière-<br />
énergie, ce trouvant dans la nature.<br />
Dans un premier temps nous retrouvons dans un milieu quelconque, des<br />
éléments chimiques de toutes sortes qui sont alors regroupé en différentes<br />
concentrations plus ou moins dense. Les différentes concentrations en éléments<br />
chimiques du milieu, vont ainsi nous aider à déterminer un ensemble de<br />
possibilité et de probabilité réactionnelle très vaste et très complexe de la<br />
matière, qui est d’ailleurs impossible à réaliser et à concevoir avec notre<br />
technologie et nos connaissances actuelles. Ses différentes réactions chimiques,<br />
résulteront en réalité des différentes propriétés chimiques, électromagnétiques et<br />
physiques de la matière, ainsi que l’influence extérieure que peut subir<br />
également le système. Ainsi l’énergie potentielle contenue à l’intérieur du<br />
système, va déterminer en fait les différentes formes de convergences<br />
243
structurelles et organisationnelles, vers laquelle peut s’orienter la matière-<br />
énergie. L’orientant ainsi petit à petit vers une certaine forme évolutive de plus en<br />
plus complexe, se manifestant alors sous nos yeux, par la manifestation d’un<br />
phénomène naturel quelconque. Pour résumé, voici les trois points majeurs de la<br />
théorie des concentrations : les concentrations, les affinités électromagnétiques<br />
et physico-chimiques et la convergence structurelle et évolutive des systèmes de<br />
matière-énergie.<br />
244
LES CONCEPTIONS THÉORIQUES DE L’ESPRIT HUMAIN<br />
Les Constantes Universelles – Le Piège des<br />
Constantes – Vers de Nouveaux Concepts<br />
La véritable compréhension de la nature, s’effectue par un esprit critique et par la<br />
recherche expérimentale et analytique de tout ce qui nous entours et envers<br />
également la compréhension des phénomènes fondamentaux de la nature. Qui<br />
sont alors observés et mesurés de manière très rigoureuse, et dictée par la<br />
méthode d’analyse scientifique, dont les prémisses remontent à Galilée. Et ceci<br />
afin de découvrir les différents modes de fonctionnement des phénomènes<br />
étudiés et observés, dont certains sont en réalité cachée à la perception humaine<br />
et contenue à l’intérieur même des lois invisibles de la nature, et basé sur<br />
l’échange d’énergie. Les différents contrôles expérimentaux et instrumentaux, qui<br />
sont alors imposés et exigés par le milieu et la communauté scientifique. Sert en<br />
fait, à cerner dans son ensemble et dans ses moindres petits détailles, les<br />
différents comportements possibles d’un phénomène étudié. La compréhension<br />
et l’analyse de ses différents paramètres, nous permettrons ainsi de connaître<br />
mieux les causes et les raisons véritables de la manifestation du phénomène, et<br />
de prévoir ainsi ses différents comportements et effets possible envers la nature<br />
et l’environnement. De cette manière, il nous sera plus facile par la suite de<br />
vérifier et de reproduire à volonté le phénomène en question et d’interagire avec<br />
ses derniers.<br />
Cette manière de procéder, nous assure ainsi une représentation et une<br />
compréhension plus fidèle et plus fiable de la réalité physique qui nous entour.<br />
Prenant alors la forme de règles mathématique très complexes, qui vont nous<br />
servires par la suite à une meilleure description et une meilleure compréhension<br />
humaine de la nature, sous forme de théorie, de concept, d’hypothèse et de<br />
théorème etc... Ce que nous recherchons finalement, c’est une véritable<br />
représentation consciente de la nature elle-même et des lois qui gouverne et<br />
contrôle sont évolution, afin de nous indiquer les différentes voies à suivre,<br />
pouvant nous orienter vers une meilleure relation avec elle. Car il nous est<br />
impossible pour l’instant, de connaître la véritable destiné de l’Univers prit dans<br />
son ensemble. La science est donc un outil, qui a été donné et qui est utilisé par<br />
la conscience humaine, afin d’augmenter ses propres connaissances réelles sur<br />
245
la nature, permettant ainsi d’élargir son spectre de perception et d’interactions<br />
possibles sur son environnement, dans le but ultime est de lui permettre de<br />
poursuivre son évolution sur terre. Le niveau de compréhension intellectuelle que<br />
nous avons actuellement de l’Univers, résulte donc de la bulle perceptible que<br />
nous avons de celui-ci, et qui nous est offert par nos différents moyens<br />
d’observations technologiques et scientifiques actuelles, mais également d’ordre<br />
spirituel. La science n’a donc pas pour objectif de remplacer la foi ou de trouver<br />
un substitut quelconque à Dieu. Elle a par contre, le réel objectif de chercher à<br />
comprendre d’avantage la création elle-même, à travers les différents<br />
comportements de la matière se trouvant dans l’Univers, et qui pourrait peut être<br />
un jour nous apportés des véritables raiponces sur l’origine et la destiné réelle de<br />
l’homme face à l’Univers.<br />
Les Constantes Universelles :<br />
Ainsi le piège des constantes Universelles, sur laquelle sont basées à l’heure<br />
actuelle les grandes théories de la physique moderne. Peut très bien fossé ou<br />
laisser libre d’interprétation en quelque sorte, la véritable compréhension de<br />
certain phénomène naturel caché a la perception humaine, qui sont alors<br />
observés et étudiés dans notre Univers. Nous donnant ainsi l’impression d’une<br />
certaine limite conceptuelle qui ne peut être franchit, et qui nous empêcheraient<br />
en réalité d’avoir une meilleure compréhension de l’Univers qui nous entours.<br />
Comme cela a déjà eu lieu à différente époque de notre histoire et de notre<br />
évolution ! Erreur qui pourrait venir entre autre, d’une certaine forme<br />
d’extrapolation ou d’ajustement mathématique, qui favoriserait ainsi une certaine<br />
forme de standardisation entrant dans le cadre d’une théorique bien précise.<br />
Laissant tout simplement de cotés par exemple, les données faisant obstacles à<br />
l’interprétation du phénomène étudié, en espérant que ceux-ci n’ont pas de<br />
véritable impact sur le réel comportement observé et sur les conclusions finales<br />
des travaux qui en découle. Minimisant ainsi leur réelle interprétation, et pouvant<br />
cacher des comportements de la matière-énergie plus subtile et plus profond<br />
pouvant servir à leur véritable interprétation.<br />
Ce qui aurait pour effet de tromper notre vigilance et de favoriser certains<br />
préjugé bien acquit par les milieux scientifiques, envers la compréhension<br />
véritable de certain aspect comportemental de la nature, et de prendre pour<br />
246
acquit de leur non-existence, dont pourtant les preuves ne son pas encore<br />
apporté et démontré sur le plan scientifique. Temps et aussi longtemps qu’une<br />
théorie physique plus complète, ne sera pas découverte et développé pour<br />
décrire mieux l’Univers qui nous entours, et pouvant expliquer d’une manière<br />
plus satisfaisante tous les comportements de la matière-énergie, qui nous sont<br />
encore inconnue ou inexpliqués. Nous pouvons dire et affirmer que certain<br />
comportement de la nature qui son encore inexpliqué de nos jours, font tout<br />
simplement partie du domaine du possible et du probable de demain, et que<br />
l’avenir peut nous réserver de grande surprise à cet égard.<br />
Théorie qui pourrait détrôner une fois pour toute, certains aspects de la nature<br />
qui sont encore reliés actuellement, à certains phénomènes d’ordres plutôt<br />
métaphysiques de la matière-énergie (comme la conscience, la nature de<br />
l’énergie et des substances plus fondamentales et associées au pourquoi des<br />
choses). Il s’agirait alors d’une théorie qui pourrait décrire les véritables<br />
comportements et lois de l’Univers, pouvant prédire et expliquer du même coût,<br />
la manifestation de tous les phénomènes de la nature, que nous pouvons<br />
observer et étudier. Favorisant ainsi une véritable description des différentes<br />
causes naturelles, dont sont originaires les différents aspects d’équilibre et<br />
d’harmonie de la nature. Théorie qui pourrait unire également et de manière<br />
absolue, les différents concepts de la Mécanique Quantique et de la Relativité<br />
Générale, que nous allons discuter un peut plus loin, et qui sont à l’heure<br />
actuelle si contradictoires et si incompatibles l’une par rapport à l’autre. Une<br />
théorie qui pourrait unifier également le monde matériel à celui d’aspect<br />
beaucoup plus métaphysique, et qui est relié à la conscience humaine et au<br />
monde spirituel à perception et interprétation sensible.<br />
Rien dans l’Univers n’est laissé aux hasards, et rien n’est d’origine mystérieuse<br />
et magique. Il s’agit tout simplement de la manifestation de certain phénomène<br />
naturel, qui n’ont tout simplement pas encore trouvé d’explications et qui<br />
démontre en réalité notre véritable incompréhension des lois de la nature dans<br />
leur ensemble. Un jour tous ses phénomènes inexpliqués, finiront par êtres<br />
compris, favorisant ainsi une véritable compréhension des lois de la nature. Et<br />
qui le sait vraiment, si un jour de nouvelle découverte nous permeterons pas<br />
d’inclure, dans le cadre d’une théorie physique plus complète décrivant la nature,<br />
247
des aspects qui nous paraisse actuellement plutôt d’ordre mystique et spirituel,<br />
semblant découler directement de l’esprit et de l’imagination de l’homme.<br />
Faisons preuve de patience et laissons-nous le temps de comprendre les<br />
véritables choses de la nature, et ouvrons également notre esprit à une véritable<br />
sagesse, orienté cette fois-ci vers une meilleure compréhension et un meilleur<br />
respect de la nature. Mettons de coté notre orgueil, ne serait-ce que pour un<br />
instant, qui ne sert en fait qu’à nous aveugler sur les véritables aspects et<br />
connaissances de la nature. L’Univers a encore bien des choses à nous<br />
apprendre, et ils nous réservent bien d’autres surprises, qui pourront nous<br />
étonner au plus haut point, j’en suis extrêmement convaincu.<br />
Le Piège des Constantes :<br />
Les différents concepts théoriques et fondamentaux de la mécanique quantique<br />
et de la relativité générale, sont d’ailleurs incompatibles l’une par rapport à<br />
l’autre, et ne relit pas véritablement le monde de l’infiniment petit au monde de<br />
l’infiniment grand. Et ceci envers une théorie plus complète, qui pourrait unifier<br />
totalement et de manière définitive c’est deux concepts d’Univers si déférent à<br />
l’heure actuelle, sous une forme de relativité quantique de la gravitation ou de<br />
relativité complexe. Et ceci à cause du seul principe d’incertitude ou<br />
d’Heisenberg, qui gouverne l’ensemble des propriétés de la mécanique<br />
quantique, et qui à la fâcheuse habitude d’interpréter de manière probabiliste et<br />
statistique les différents comportements de la matière-énergie et des particules,<br />
ce qui est incompatible avec la relativité générale.<br />
L’Unification possible des différentes forces de la nature, serait selon certains<br />
enfouit à l’intérieur du fameux monde remplit de mystère de Planck. Et qui aurait<br />
existé seulement pendant une infime fraction de seconde au tout début de la<br />
création de notre Univers, selon les différents modèles conceptuels du Big-Bang<br />
(moi je n’y crois pas !). Ce monde aux dimensions spatiales de l’ordre de 10 -34<br />
mètres, et situé à une époque très lointaine de 10 -44 sec, aurait été le siège de la<br />
création de tout l’Univers. Avec une énergie colossale de plus de 10 -28 électron-<br />
volts et une température de l’ordre de 10 -32 degrés Kelvin. Ce merveilleux monde<br />
enfouit dans les profondeurs de la constante de Planck, aurait donné naissance<br />
à plus de 10 80 atomes de matière-énergie en l’espace de quelques secondes<br />
seulement. Alors je vous laisse imaginer le reste, car au-delà de cette frontière<br />
248
du miroir d’Alice et de cette singularité infinie, plus rien de connu n’existe, et tout<br />
en fait peut être possible. Alors homme de science, de religion et de poésie, à<br />
vos plumes et faite-nous parts de votre imagination et de votre esprit de<br />
créativité, pour nous décrire enfin ce qui ne peut être décrit par la physique<br />
contemporaine.<br />
Les différentes constantes Universelles, comme la constante de Planck<br />
(h=6,6x10 –34 Joules), qui correspond en fait à la plus petite action possible qu’on<br />
puisse porter sur la matière, et qui définit en réalité les plus petites limites<br />
statistiques et probabilistes permissent sur les différents comportements de la<br />
matière-énergie. La constante de Planck est baser sur le principe d’incertitude<br />
d’Heisenberg, qui ne peut mesurer de manière simultanée et absolue, la position<br />
et la vitesse exacte d’une particule. De la constante gravitationnelle<br />
(G=6,673x10 -11 Nm 2 kg -2 ) qui se veut représentatif de la plus petite moyenne<br />
Universelle de l’interaction gravitationnelle entre les corps ou de la plus petite<br />
unité de courbure de densité spatio-temporelle. De la constante de Hubble de<br />
1929, qui veut mesure la densité et les dimensions exacte de l’Univers, dont<br />
celle-ci nous est pour l’instant caché dans son ensemble. Elle veut nous indiquer<br />
en réalité, la vitesse moyenne d’éloignement des galaxies les unes par rapports<br />
aux autres et selon la distance qui les sépares de nous, et qui varie selon les<br />
modèles de 50 à 80 km/s par Mpc (Méga parsec, Mpc = 3,26 millions d’années-<br />
lumière). Il y a également c qui est la vitesse de la lumière (299 792,498 km/s)<br />
qui représente la vitesse supérieure et absolue de tout l’Univers et pour tous<br />
référentiels d’observation, mais qui semble pourtant être véhiculer par le support<br />
d’espace-temps ou d’espace-énergie qui forme le tissu Universel ou l’éther<br />
d’autrefois. Mais il y en a d'autre que je passe sous silence pour l'instant.<br />
Ces différentes constantes Universelles, qui cherchent en fait des<br />
approximations des valeurs de la nature, nous limitent ainsi en quelque sorte et<br />
de façon très symbolique bien sur. À poursuive les recherches en dehors des<br />
sentiers déjà battus de la physique fondamental et appliqué, qui vise entre autre<br />
une meilleure compréhension des lois de la nature et de l’Univers. Ici aux file des<br />
années, l’humanité pourrait très bien faire de nouvelle découverte qui pourrait<br />
éventuellement changer l’interprétation de l’une ou l’autre de ces constantes<br />
Universelles ou d’en modifier quelque peut la portée, et qui pourrait du même<br />
249
coût bouleverser notre propre conception de la physique actuelle et de l’Univers<br />
dans son ensemble. Comme cela à déjà eu lieu à plusieurs autre reprise au court<br />
de notre courte histoire et évolution sur terre, et qui aura-s’en doute encore lieu<br />
dans l’avenir de l’humanité. Celle-ci pourrait même nous laisser entrevoir des<br />
possibilités insoupçonnées juste qu’à présent. Les différentes constantes<br />
physiques peuvent donc être comparées, comme faisant partie d’une certaine<br />
forme de limitation de l’esprit humain. Elles symbolisent en fait une véritable<br />
profession de foi sur le plan intellectuelle et scientifique, ayant comme objectif de<br />
pré mouvoir le culte et le dogme réductionnisme, par l’entremise de conférence<br />
de toutes sortes, et soumisse de plus en plus aux différentes lois du marchée et<br />
de la rentabilité absolue. Je cite à ce sujet un petit extrait de Louis de Broglie :<br />
"L'Histoire des Sciences montre que les progrès de la Science ont été<br />
constamment entravés par l'influence tyrannique de certaines conceptions que<br />
l'ont avaient fini par considérer comme des dogmes. Pour cette raison, il convient<br />
de soumettre périodiquement à un examen très approfondi les principes que l'ont<br />
avaient fini par admettre sans plus les discuter". La Science veut-elle vraiment<br />
exprime une nouvelle forme de croyance, dont les valeurs d’ordres économiques<br />
sont placées tout simplement au-dessus des valeurs d’ordres plus morales et<br />
fondamentales.<br />
Les constantes Universelles sont en fait des valeurs et des concepts qui peuvent<br />
être arbitraires, et qui ont été établis selon nos différentes connaissances de la<br />
nature aux fils du temps et des époques. Elles peuvent très bien évoluer à<br />
l’avenir et cela au même degré que notre propre espèce sur terre, car en fait<br />
elles sont tributaires et étroitement associées aux nouvelles possibilités<br />
scientifiques et technologiques. Technologie qui nous laisse entrevoir entre autre<br />
les dimensions actuellement admises de la sphère perceptible de notre Univers<br />
immédiat, et qui est loin d’être terminer bien sur ! Les constantes Universelles<br />
nous permettent tout simplement de pouvoir conformer et d’optimiser les<br />
différents concepts et formalisme théoriques et mathématiques actuels, qui sont<br />
alors axées sur les différents comportements perceptibles de la matière-énergie<br />
à travers les différents phénomènes observables de la nature. Elle serve en fait a<br />
nous aidé pour une meilleure compréhension et une meilleure interprétation des<br />
lois comportementale et phénoménale de notre Univers. Et ceci afin de nous<br />
donner une certaine forme de représentation consciente de celui-ci, pour nous<br />
250
permettrent finalement de mieux comprendre les différents mécanismes qui<br />
contrôles et gouvernes son évolution par l’intermédiaire et la manifestation des<br />
lois de la nature et spirituelle. Sur ce point, elles sont donc essentielles pour la<br />
compréhension de l’Univers, mais elles sont également appeler à évoluer aux<br />
même niveau que nos futures connaissances. Évolution qui pourrait très bien à<br />
elle seul, changer véritablement nos différentes conceptions futures de l’Univers.<br />
La science est là pour évoluer et pour toujours se remettre en question, afin de<br />
toujours rester fidèle à la plus juste représentation de la nature.<br />
Vers de Nouveaux Concepts : ( ou vers un nouveau paradigme )<br />
Selon les différentes époques de notre histoire et selon les nouvelles acquisitions<br />
sur le plan des connaissances, les concepts théoriques sont appeler à évoluer et<br />
à s’adapter au même rythme et aux même niveaux que l’humanité effectue de<br />
nouvelle découverte. L’histoire de l’humanité tout entière nous en apporte une<br />
preuve absolue, et ceci par rapport aux différentes orientations idéologiques et<br />
conceptuelles des peuples et des nations à travers les époques. Elles ont été<br />
apportées par de nouvelles connaissances acquises par de nouvelles techniques<br />
d’observations de plus en plus précise sur les différents comportements de la<br />
nature. Dans la plus haute antiquité ont expliquait tous ce qui nous entours,<br />
comme étant constitué de quatre éléments de base, soit : la terre, l’aire, l’eau et<br />
le feu. Ainsi on disait que le bois était constitué d’un mélange de feu et d’air, de<br />
part le seul fait qu’il pouvait brûler dans un feu et de l’air en sortait sous forme de<br />
fumé. Les connaissances de l’époque et les différents moyens techniques<br />
utilisés pour observer la nature plus en profondeur, ne permettait tout<br />
simplement pas d’entrevoir autre chose que cela, elle se limitait qu’a la surface<br />
des choses. L’interprétation et la perception que nous avons eux de la nature à<br />
chaque époque, va donc de pair avec les différents outils disponibles et utilisés<br />
pour observer et sonder de manière plus précise les différents comportements<br />
de la nature. Pourtant Aristote savait à son époque que la terre était ronde, il<br />
affirma que si les éclipses de lune étaient toujours formées par la projection de<br />
forme circulaire de l’ombre de la terre sur la lune, c’est que cela voulait dire que<br />
la terre était ronde et non plate, et ceci bien avant la découverte des Amériques<br />
par Christophe Colomb.<br />
251
Le remplacement du système du monde géocentrique d’Aristote-Ptolémée, par<br />
celui plus récent de Copernic au court du XVII èm siècle, qui s’appuyait sur des<br />
véritables données d’observations de la voûte céleste, et basé entre autres sur<br />
l’observation des satellites de Jupiter et des éclipses de la Lune. N’a pas été une<br />
chose facile, face aux différentes croyances populaires de l’époque, et qui était<br />
alors bien ancrées dans la population, mais l’évidence a fait son chemin et petit à<br />
petit toute l’humanité a finit par adopter le système du monde de Copernic. Ce<br />
qui démontre bien l’évolution des points de vue et des concepts à travers<br />
l’histoire et l’évolution humaine, et envers également l’acquisition de nouvelles<br />
connaissances techniques sur le plan de l’évolution de la conscience.<br />
Ainsi à l’époque d’Aristote (384-322 av. J.C), on croyait que l’état naturel d’un<br />
corps était d’être aux repos, s’il ne subissant aucune influence de l’extérieur.<br />
Alors à partir de ce point de vue, un corps lourd devait tomber plus vite qu’un<br />
corps léger et selon leur attirance respective vers la terre. Ne subissant alors<br />
aucune force reliée à la gravitation et voulant acquérir tout simplement l’état de<br />
repos le plus rapidement possible. Les différentes connaissances de l’époque<br />
sur les objets planétaires et de la structure véritable de l’Univers et de ses lois,<br />
ne permettait tout simplement pas d’entrevoir les différents concepts reliés à la<br />
gravitation. Ce phénomène était selon les connaissances, les croyances et les<br />
concepts de l’époque, une évidence absolu et incontestable et cela jusqu’à<br />
l’entrer en scène de Galilée au tout début du XVII èm siècle. En étudiant le<br />
roulement et le mouvement des billes sur un plan incliné, Galilée s’aperçut<br />
qu’Aristote avait tort concernant la chute des corps de poids différents et de leur<br />
tendance à être au repos. Lors de ses expériences, il a démontré que les corps<br />
semblaient plutôt acquérir de la vitesse sur un plan incliné, et qu’il avait en réalité<br />
la même vitesse à l’arrivé du parcourt, qu’ils s’agissaient alors de corps léger ou<br />
lourd.<br />
La véritable action d’une force appliquée à un corps, avait donc pour résultat de<br />
modifier la vitesse de ce dernier, et non pas simplement de le mettre en<br />
mouvement. Par la suite Newton introduira la fameuse notion de force<br />
gravitationnelle, qui n’aurait d’ailleurs et sans doute jamais put effectuer ou<br />
entrevoir, sans les nouvelles notions introduites par le système du monde<br />
héliocentrisme de Copernic. Ce nouveau concept par rapport à la masse des<br />
252
corps et associés aux différents mouvements planétaires. A permis a Isaac<br />
Newton d’introduire le concept associé à la gravitation Universelle et de<br />
l’attirance mutuelle des corps selon leur masse et leur distance, qui selon la<br />
légende la chute d’une pomme aurait tout simplement inspiré. Ils créa la<br />
mécanique céleste et confirma son hypothèse par la prédiction des différents<br />
mouvements orbitaux des planètes autour du soleil.<br />
Ensuite sont arrivés au début du XX èm siècle, la relativité générale et la physique<br />
quantique, que nous venons tout juste d’explorer quelque peut et qui ont<br />
transformé à tout jamais notre véritable perception de l’Univers. En déclassant<br />
entre autre la physique classique de Galilée et de Newton. Ici nous pouvons<br />
donc constater que rien n’est vraiment définitif et absolu dans la représentation<br />
et la compréhension de l’Univers. Tout peut changer selon de nouvelle<br />
découverte et selon de nouvelle connaissance acquise sur la compréhension de<br />
la nature. Alors rien et véritablement rien n’est figé dans le béton de manière<br />
définitive et pour l’éternité, et que la compréhension de l’Univers est appeler à<br />
évoluer d’avantage encore et encore, au même rythme que l’évolution de<br />
l’homme sur terre. Ainsi l’homme pourra toujours ce permettre de voler comme<br />
les oiseaux, qu’ont croyait pourtant impossible au début du XX èm siècle, de<br />
marché sur la Lune et sur d’autres planètes éventuellement. Et tout cela en<br />
défiant par l’imagination les concepts idéologiques de nos pères<br />
institutionnalisés, dont les idées son défendu avec tant d’ardeur pour ne rien voir<br />
changer de leur privilège et qu’ont recouvre de prestige par-dessus prestiges, et<br />
ceci sans trop les offusquer bien sur !<br />
Notre analyse et notre approche sur les différents concepts théoriques et<br />
fondamentaux de la science moderne, ne sera pas porter juste sur l’aspect<br />
matériel de la nature. Nous allons également combiner et entremêler à ces<br />
différents concepts théoriques et scientifiques des lois de la nature, un nouvel<br />
aspect d’ordre plus spirituel et plus moral qui caractérise si bien la conscience<br />
humaine et qui semble bien refléter les principes d’équilibre et d’harmonie de<br />
l’Univers. Si la conscience existe belle et bien, et nous en sommes véritablement<br />
la preuve vivant sur terre, alors c’est qu’elle découle directement de certaines<br />
lois évolutives de l’Univers, qui nous sont tout simplement encore inconnus. Lois<br />
qui orientent l’évolution de la matière organique à travers différents niveaux<br />
253
d’organisations constructales et structurelles de la matière, pour finalement<br />
aboutir à des structures neurologiques de plus en plus complexe et très difficile à<br />
entrevoir. Principe qui veut nous rapprocher d’avantage vers une nouvelle forme<br />
de conception de la matière-énergie.<br />
254
L’ÉNERGIE DE LA MATIÈRE (ou la parole de Dieu)<br />
Les Échelles d’Énergies Comparées – L’Énergie et<br />
la Conscience – Énergie et Temps – Qui est Dieu ?<br />
Avant de débuter notre discussion sur ce sujet, nous allons dans un premier<br />
temps définir un peut plus la lumière, afin de mieux comprendre notre sujet<br />
principal qui est basé sur l’énergie. Cette partie fait suite au chapitre sur les lois<br />
naturelles de la première partie du livre. La lumière n’est qu’une très petite partie<br />
du spectre plus large d’ondes électromagnétiques, qui comprend entre autre les<br />
rayons gamma, X, ultraviolet, visible, infrarouge, micro-onde et radios. C’est une<br />
mince gamme d’onde électromagnétique qui est tout simplement rendu visible de<br />
par son niveau d’énergie vibratoire qui a la particularité de réagire avec certaine<br />
molécule sensorielle de la rétine de notre oeil. Toute matière est en réalité<br />
constituée d’énergie, et exprimée sous différente forme d’équilibre vibratoire. Les<br />
ondes électromagnétiques sont caractérisées par différent attribut physique,<br />
comme la fréquence qui exprime le nombre de pique ou de crête par seconde,<br />
de la longueur d’ondes qui caractérise la distance entre les crêtes et de<br />
l’amplitude qui est associé à l’intensité de l’onde.<br />
Spectre des ondes électromagnétique, Source Astrovision Spectre.<br />
255
Les ondes électromagnétiques ont une vitesse de propagation limite dans<br />
l’espace qui est de 299 792,458 km/sec. La lumière du Soleil voyage donc<br />
pendant 8 minutes et sur une distance de plus de 150 millions de km, avant<br />
parvenir jusqu’à la Terre. Elle parcourt la distance Terre-lune en une seconde et<br />
fait un peut plus de 7 fois le tour de la Terre dans le même délai. La lumière émit<br />
par les étoiles que nous observons depuis notre planète, nous dévoile en réalité<br />
un aspect de leur passé. Ainsi une étoile qui est éloigné de nous de 5 ou 10<br />
années-lumière, nous montre en fait l’aspect qu’elle avait voilà 5 ou 10 ans. La<br />
galaxie d’Andromède qui est situé à plus de 2 millions d’années-lumière de nous,<br />
nous montre en réalité une image d’elle qui remonte à plus de 2 millions<br />
d’années, à cette époque l’homo habilis venait tout juste de faire son apparition<br />
sur la Terre. La galaxie d’Andromède est donc présentement plus vieille de 2<br />
millions d’années, par rapport à l’image que nous pouvons observer d’elle<br />
présentement sur Terre.<br />
L’énergie pure n’a pas de consistance et pas de forme perceptible par nos sens,<br />
et sa nature réelle restera un mystère pour encore bien longtemps, celui-ci étant<br />
enfouit dans les propriétés et les dimensions les plus infimes et les plus intimes<br />
de l’Univers. On peut tout simplement observer et mesurer les différents effets<br />
qu’elles produisent sur les particules et le monde fait de matière. On détermine<br />
ainsi sa présence par les différents changements d’états d’équilibres vibratoires<br />
de la matière-énergie, et qui dévoile en réalité la présence et la manifestation de<br />
l’une ou l’autre des quatre interactions fondamentales de la nature. L’énergie<br />
manifeste sa présence seulement lorsqu’elle interagit avec son entourage, et se<br />
présente alors sous différente forme de champs de force d’énergie très variable<br />
et très diffue à mesure qu’on s’en éloigne. C’est l’aspect interactionnelle de ses<br />
différents champs d’énergie, qui donne véritablement une consistance au monde<br />
matériel, et de ceux-ci va découler les différentes formes qui sont attribuable aux<br />
différentes particules de matière-énergie.<br />
Située tout juste aux limites des dimensions de Planck (10 -34 cm), qui définit en<br />
fait la frontière de la matérialité des choses qui compose notre Univers matériel,<br />
avec celle de l’échelle qui n’est composée que d’énergie prix dans ses différents<br />
états permis les plus pures. Nous retrouvons une substance bien étrange, qui n’a<br />
jamais été observé jusqu’à maintenant, et qui le sera peut-être jamais. Il s’agit<br />
256
d’une forme d’énergie qui est dans l’un de ses états les plus purs et les plus<br />
fondamentales. Cette énergie n’est pas totalement stable, et ondule<br />
constamment à la recherche d’équilibre avec elle-même et avec son entourage.<br />
Certaines de ses ondulations, franchisses quelque fois la frontière qui délimite<br />
ses deux mondes, et l’énergie prend alors la forme dans notre Univers de<br />
fluctuation quantique. Si la transition a suffisamment d’énergie, il peut arriver<br />
quelque se recourbe sur elle-même et acquière ainsi une nouvelle forme de<br />
stabilité sur le plan vibratoire et énergétique. Cet nouvel état d’équilibre,<br />
empêche l’énergie de retombé dans son état antérieur qui était plus<br />
fondamentale, et pour fusionner à la substance d’énergie initiale qui est située<br />
sous les limites de Planck. Cet nouvel état vibratoire est caractéristique du<br />
monde de matière, et l’équilibre intrinsèque de la substance énergie sur elle-<br />
même, compose en fait les premières composantes et attribut fondamentale de<br />
la matière. La matière est donc en réalité, composé de champs d’énergie qui se<br />
trouvent sous différente configuration d’équilibre sur le plan vibratoire et<br />
énergétique.<br />
Cette transition du plan vibratoire de la substance énergie, qui émerge dans<br />
notre Univers. Forme en fait une nouvelle structure organisationnelle, qui oriente<br />
l’évolution d’équilibre vibratoire de ses nouveaux systèmes de matière, et<br />
représenté par de nouveau schéma interactionnelle. Le diffus devient maintenant<br />
particulaire, et il sera désormais séparé de l’ensemble sur le plan des essences,<br />
mais qui lui sera toujours maintenus en contacte cependant, par toutes sortes<br />
d’échanges d’énergie. Une nouvelle dimension vient d’être été créées, et ceci à<br />
partir d’une petite transition de l’état plus fondamentale de l’énergie pure, qui<br />
était située sous les limites et frontière de Planck, et qui est maintenant séparé<br />
que par quelques petites propriétés qui sont désormais axées sur l’équilibre<br />
dynamique et intrinsèque des particules. Chaque substance particulaire qui<br />
composes la matière, sont dans des états vibratoires différents et ils sont<br />
toujours et constamment à la recherche d’une forme d’équilibre plus stable sur le<br />
plan énergétique. Cette prémisse de la matérialité des choses particulaire qui<br />
compose notre Univers, serait situé entre 10 -34 cm qui définit la limite de Planck à<br />
celle de 10 -18 cm qui caractérise le monde des Quarks.<br />
257
Leurs influences, qui se traduit par différente forme d’échange d’énergie<br />
vibratoire transmit et véhiculer dans l’espace par les différents vecteurs<br />
interactionnelles dénommés boson. Ces derniers, son créée lors des interactions<br />
entre particules, et ils vont aussitôt disparaîtrent du notre monde matériel, pour<br />
réapparaître de l’autre coté du miroir d’Alice ou du mure de Planck, qui est<br />
composée essentiellement d’énergie à l’état plus pure. Leurs trajectoires<br />
deviennent ainsi invisibles pour notre Univers fait de matière. Ainsi une particule<br />
de matière après avoir échangé quelques vibrations énergétiques avec son<br />
entourage, va retourner tout simplement dans l’un de ses états d’équilibre plus<br />
stable et plus fondamental, et va reprendre ainsi sa forme plus ou moins<br />
originelle sur le plan vibratoire. Mais ceci juste après avoir émit dans l’espace,<br />
une certaine quantité quantifiable d’énergie interactionnel, dont l’information sera<br />
véhiculée par un beson. L’information d’énergie interactionnelle sera ainsi<br />
transportée à travers l’espace, jusqu’à elle rencontre une nouvelle particule de<br />
matière. De cette rencontre va découler la transmission de l’information causale<br />
de la nature. La dualité onde-particules qui compose le principe d’indétermination<br />
ou d’incertitude d’Heisenberg en physique quantique, est donc en réalité la<br />
manifestation et la représentation d’un seul et même phénomène, mais qui serait<br />
situé sur des niveaux et des échelles structurelles et organisationnelles<br />
différentes de l’énergie plus fondamentale.<br />
Les Échelles d’Énergies Comparées :<br />
La matière qui nous entour, est en fait constitué en très grande partie par du vide<br />
et pour un très faible pourcentage d’énergie à l’état pure. L’énergie semble<br />
s’organiser en différant structures matérielle de plus en plus complexe et de plus<br />
en plus difficile à explorer à mesure que nous descendons dans les profondeurs<br />
de la matière. Nous connaissons bien de nos jours le monde des atomes, qui est<br />
constitué de nucléon (proton + neutron) et d’électron. Les atomes correspondent<br />
au niveau d’organisation de la matière qui est responsable des différentes<br />
propriétés chimiques et électromagnétiques de tous les objets matériels qui nous<br />
entours. Ils interagissent entre eux pour former toutes sortes de molécules, et<br />
évolue ensuite vers des structures d’organisations de la matière de plus en plus<br />
complexe, qui a finalement abouti sur terre à l’éclosion et à l’évolution de la vie.<br />
258
À cette échelle de la nature, les interactions électromagnétiques règnes en<br />
maître.<br />
Les cellules vivantes sont situées sur une échelle qui est de 10 -6 mètres<br />
(microns) environ, et la distance qui se trouve entre les cellules et l’homme est<br />
équivalent à la distance qui se trouve entre l’homme et les continents de la<br />
planète, comme pour le continent australien par exemple. La dimension des<br />
atomes est de l’ordre 10 -10 mètre (Amstrongs) et il s’agit d’un niveau<br />
d’organisation constructale de la matière qui est intermédiaire. Le monde des<br />
atomes est d’environ dix milles fois plus petit que celui des cellules vivantes, ce<br />
qui équivaut à une échelle qui serait situé entre l’homme et dix fois le diamètre<br />
du soleil, qui a un diamètre de 1 390 000 km, soit 1 090 fois plus grosse que la<br />
terre.<br />
Pour suivons maintenant notre voyage, et dirigions-nous vers le noyau de<br />
l’atome, que se trouve à 10 -15 mètres (fermi), c’est-à-dire dans un espace qui est<br />
cent mille fois plus petites que le précédant. À cette échelle nous retrouvons un<br />
autre Univers qui est complètement différent et qui est gouverné par les forces<br />
nucléaires. Ici nous commençons à distinguer les protons et les neutrons, tout<br />
comme les atomes qui s’échangent entre eux des ondes électromagnétiques, les<br />
nucléons s’échangent des pions, pour maintenir leur cohésion nucléaire et pour<br />
stabiliser leurs différents états vibratoires et d’énergie. Cette échelle est<br />
équivalente à celle qui est comprise entre l’homme et le système solaire. Plus<br />
nous nous rapprochons d’un nucléon et plus les forces nucléaires son colossale<br />
et difficile à franchire. Maintenant traversons la barrière nucléaire et entrons à<br />
l’intérieur même d’un nucléon, qui est situé à une échelle de l’ordre de 10 -18<br />
mètres. Ici nous pouvons distinguer très nettement la structure des quarks qui<br />
composent les protons et les neutrons. Nous remarquons également que chacun<br />
d’eux est composé de trois quarks et échange entre eux et de manière continue<br />
des gluons, qui est l’équivalant à des ondes électromagnétiques pour les Quarks.<br />
Cette échelle de la nature correspond à la plus petite que nous connaissons<br />
actuellement, et elle est équivalente à celle qui est comprise entre l’homme et les<br />
galaxies. Notre voyage n’est pas encore terminer, car tout au loin nous pouvons<br />
encore distinguer une autre structure qui semble bien entrer dans la composition<br />
même des quarks, mais de forme très mal définit. Pour l’instant nous ne pouvons<br />
259
pas aller plus loin, car ici s’arrêtent les connaissances acquises en physique des<br />
particules, et au-delà de cette frontière c’est le mystère le plus absolu et le plus<br />
total. Cette frontière correspond au mure de Planck, qui délimite notre monde et<br />
la matérialité des choses par rapport à celui qui est composée seulement<br />
d’énergie. Cette échelle est comprise entre celle de l’homme et celles des<br />
superamas de Galaxie.<br />
Pendant toute la durée de notre voyage aux plus profondes échelles de la<br />
nature, nous n’avons pas rencontré de structure bien définit et ponctuelle de la<br />
matière. Mais seulement des régions délimitées par des champs de force très<br />
intenses et très différents les uns par rapports aux autres. C'est ce qui donne en<br />
quelque sorte, une certaine consistance et une certaine forme aux différentes<br />
structures énergétiques qui compose la matière et que nous avons rencontré et<br />
traversé à différentes échelles bien caractéristiques de la nature ! La<br />
démarcation de ces différentes échelles corresponde en fait au différentes<br />
interactions de la nature, que nous connaissons et que nous avons décrit dans<br />
un chapitre antérieur. Pas de véritable forme ni de véritables structures<br />
matériels, juste des champs de force d’intensité variable et organiser selon<br />
différente structure énergétique de plus en plus petite (la forme et la dimension<br />
des particules, leurs viennes de leurs dimensions interactionnelles). Donc la<br />
matière que nous connaissons si bien et qui est présente tout autour de nous,<br />
n’a pas de forme ni de consistance matérielle comme t’elle, mais est plutôt<br />
constitué de champs vibratoires énergétique (Mécanique Quantique).<br />
La matière découle directement d’une certaine forme d’équilibre dynamique<br />
vibratoire et inertiel de l’énergie prit à l’état pur. Cette énergie irradie tout autour<br />
d’elle des champs de force de différente nature, qui influence et organise les<br />
différentes structures d’échelles de la matière-énergie. C’est cette forme de<br />
grandeur de champs interactionnelle, qui donne aux particules de matières une<br />
certaine consistance et une certaine forme. L’énergie déteste la solitude et<br />
s’associe sous différente forme de combinaison pour former des structures de<br />
matière-énergie de plus en plus complexe. Aux échelles les plus petites de la<br />
nature (s’il y en a une !). Elle crée tout autour d’elle une forme de repliement du<br />
tissu originel d’espace, qui est l’éther d’autrefois. Leurs différentes interactions<br />
vont permettre à notre Univers à trois dimensions, de prendre forme et se<br />
260
manifester à nos sens. Elles forment dans un premier temps les plus petits<br />
représentant ou constituant de la matière-énergie, qui compose notre monde<br />
matériel et qui nous sont encore inconnu. Le tout s’organise et évolue par la suite<br />
vers des structures de plus en plus complexes, pour finalement donner<br />
naissance aux différentes particules qui entre dans la constitution des quarks et<br />
des atomes (à noter que la physique actuelle considère ces particules<br />
ponctuelles et donc indivisible). La matière formée d’atomes, n’est rien d’autre en<br />
réalité que la représentation et la manifestation de ses différents champs de<br />
force et d'énergie, qui interagissent entre eux dans la nature.<br />
Voilà ce que nous apprend la science et la physique des particules, par<br />
l’observation et l’étude des différents comportements de la matière-énergie. Pour<br />
l’instant elle ne prouve nullement l’absence ou la présence d’un Dieu<br />
quelconque, ne serais-je que pour expliquer l’origine de cette énergie pure. Nous<br />
pouvons manipuler et observer la matière-énergie sous tous ses angles et toutes<br />
ses formes possibles et imaginables, mais elle gardera toujours son secret<br />
enfouis au plus profond de d’elle-même, étant le secret le mieux garder de tout<br />
l’Univers. L’énergie prend forme et se manifeste par différents niveaux vibratoires<br />
qui recherche des états d’équilibres dynamiques, ce qui donne consistance et<br />
forme à la matière-énergie, celle-ci s’organise par la suite sous différente<br />
structure évolutive d’échelle, dont découle la théorie constructale de la matière.<br />
L’Énergie et la Conscience :<br />
Qu’elle est le véritable but évolutif de la matière-énergie, qui semble bien vouloir<br />
organiser la matière en structure de plus en plus complexes. Et qui a favorisé<br />
l’émergence et l’évolution des organismes vivants sur terre, dont l’aboutissement<br />
suprême est le cerveau et la conscience humaine. Que se cache t’il en réalité<br />
dans cet aspect invisible de la manifestation de la matière-énergie et de l’esprit<br />
humain ? L’Univers est-il seulement le fruit du hasard, entre-coupé ici et là de<br />
certain principe aléatoire qui contrôle sa destinée, et qui lui donne cette<br />
consistance si cohérente. Ou Obéit-il plutôt à une sorte de destiné beaucoup<br />
plus grande, qui serait alors tout simplement situé sur un autre plan d’existence,<br />
si la réponse est oui, alors c’est à-nous de le découvrir. Les principes d’équilibres<br />
et d’harmonies, qui découlent directement de la dynamique qui se manifeste à<br />
travers les différents comportements fondamentaux de la nature.<br />
261
Comportements qui sont soumis aux lois de l’Univers, t’el qu’a gravitation, les<br />
interactions électrofaibles (électromagnétisme/nucléaire faible) et nucléaire fort.<br />
Vont déterminer en réalité les différentes formes possibles, que peut prendre<br />
l’évolution des systèmes complexes, composées de matière-énergie et ceci à<br />
travers tout l'Univers.<br />
Le cerveau découle directement de l’une de ses différentes formes de<br />
possibilités, bien que très complexe, qui est directement associées aux différents<br />
principes évolutifs de la matière-énergie dans l’Univers. Cette forme de<br />
complexification évolutive de la matière organique, c’est effectué sur une très<br />
longue période de temps. Et ceci à partir de l’évolution du tissu nerveux, qui ses<br />
échelonnés sur plusieurs ères géologiques, comme nous l’avons exploré<br />
quelque peut dans d’autre chapitre de ce livre. Mais la complexification du tissu<br />
cérébrale chez l’homme, ne semble pas suffire à lui-même, pour expliquer<br />
l’aspect plus sensible qui est associé à la perception conscience. Comme si la<br />
conscience faisait partie en réalité, de la manifestation d’une sorte de matrice<br />
d’énergie plutôt d’ordre spirituel (Esprit), à travers laquelle on retrouverait toutes<br />
les possibilités réactionnelles et comportementales intelligibles du cerveau.<br />
L’esprit serait également le véritable siège de la mémoire, par lequel celle-ci ne<br />
ferait que transiter par l’intermédiaire du cerveau. Cela voudrait dire également<br />
que la conscience se situerait en dehors du corps et même du cerveau.<br />
Les différents schémas comportementaux ou espace de travail, sont représentés<br />
par différent embranchement associatif de réseaux de réseaux de neurones.<br />
Serait en fait que la conséquence directe, des différentes capacités dynamiques<br />
et plastiques du tissus nerveux. Processus qui sert entre autre à établir, renforcir,<br />
maintenir et sélectionner différents schémas comportementaux neurologiques.<br />
La mécanique cérébrale servirait ainsi de simple récepteur-émeteur pour l’esprit,<br />
dont le principe vitale qui est associé à la manifestation des comportements<br />
d’intelligibilité, serait tout simplement véhiculer par l’intermédiaire du périsprit,<br />
celui étant la véritable moulure du cerveau, et qui serait directement tributaire du<br />
bon fonctionnement cérébral du cerveau.<br />
La consistante de la conscience semble être immatérielle, tout comme la<br />
véritable consistance ou essence de l’énergie qui est axée sur la matérialité des<br />
choses qui compose notre monde matériel. Le premier est une sorte<br />
262
d’immanessence qui émerge de la complexification structurelle de l’évolution de<br />
la matière organique à travers le tissu nerveu, et le second représente l’essence<br />
même de la matière sur le plan de pure énergie. Tous les deux découles<br />
directement de l’évolution de la matière et des différentes formes que peut<br />
prendre celle-ci. Mais toutes les deux sont également située aux deux extrémités<br />
de l’échelle évolutive de la matière à travers l’Univers, et représente ainsi les<br />
deux extrêmes de l’évolution de la matière. A travers ces deux concepts<br />
d’essence, dont l’un est relié à la substance de l’énergie qui forme la matière, et<br />
l’autre qui est associé à la substance qui est associé à l’émergence de la<br />
conscience, et qui découle de l’évolution du cerveau. Semble bien vouloir se<br />
rejoindre à quelque part et ceci à travers leur différente forme d’interprétation<br />
sensible et abstraite des choses. Leur essence semble bien vouloir représenter<br />
le même type de substance, mais caractérisé par différent niveau de complexité<br />
structurelle qui découle directement de l’évolution des systèmes de matière<br />
composés d’énergie à travers l’Univers. Comme si en fait la matière, n’était en<br />
fait que la représentation de certains principes d’évolution Universelle beaucoup<br />
plus large et directement associé au monde spirituel et aux principes<br />
d’intelligibilité des choses.<br />
Les différents aspects de la conscience humains, sont-elles vraiment reliée de<br />
manière absolue à l’évolution du cerveau, comme le pensent les matérialismes<br />
réductionnistes à travers les neurosciences. Ou démontre t’elle plutôt et hors de<br />
tout doute raisonnable, une certaine forme d’existence et d’évolution qui serait<br />
effectuée de manière parallèle entre deux mondes de consistance et de niveau<br />
vibratoire ou éthérique très différents. Et qui serait alors très étroitement reliés<br />
entre eux, pour former une sorte de dualité entre le monde matériel et monde<br />
spirituel ou entre un monde purement mécanique versus celui des idées du<br />
monde sensible, ou encore entre réductionniste aux fonctionnalités purement<br />
matérielle versus le principe d’intelligibilité des choses. Et oui, nous retrouvons ici<br />
cette même forme de dualité qui a interposé Platonicien et Aristotélicien, ou<br />
religion et athéisme ou matérialisme réductionnisme à travers notre histoire.<br />
Mais dans les deux cas, nous pouvons en conclure que l’aspect spirituel de la<br />
consciente humaine, est en réalité une forme de représentation sensible des lois<br />
et des principes qui sont reliées à évolution de la matière à travers l’Univers. La<br />
263
eprésentation consciente et sensible de certains sentiments qui sont relié aux<br />
mécanismes d’affinité, d’attraction et de répulsion, ou d’amour, d’harmonie, de<br />
fraternité, de haine, de jalousie et bien d’autre. Sont en fait la représentation et<br />
l’interprétation sensible de la conscience des différents mécanismes observés et<br />
qui sont reliés à la manifestation de certain comportement de la nature. Une<br />
sorte d’introspection que peut faire la nature sur elle-même, et ceci par notre<br />
intermédiaire. L’observation et l’interprétation des différents comportements de la<br />
nature, nous informent des différentes règles a suives pour vivre en parfaite<br />
équilibre et en parfaite harmonie avec elle. L’évolution de la conscience par<br />
l’entremise des valeurs morales et spirituelles, sont en fait étroitement reliée et<br />
associés à l’interprétation sensible des différents comportements d’équilibre<br />
dynamique et d’harmonie, mais qui sont d’ordre plus mécanique dans la nature<br />
en suivant des lois comportementales qui sont associés aux quatre lois plus<br />
fondamentales de notre physique contemporaine. L’homme à tout simplement<br />
empruntée à la nature, certaines de ses règles pour gérer et planifier sa vie<br />
quotidienne et sociale.<br />
Biologiquement nous somment fait à l’image de la matière, mais la conscience<br />
qui est l’essence de la psychologie humaine, est beaucoup plus proche du plan<br />
vibratoire et énergétique de l’Univers. Cette dernière serait situer plus près de la<br />
véritable essence de la matière-énergie, qui semble tirer sont origine au plan<br />
spirituelle de la nature. La conscience est donc basée sur les mêmes principes<br />
évolutif et comportemental de la nature, et découle d’une certaine portion faisant<br />
partie d’un tout Universel. Nous devons donc vivre en équilibre et en harmonie<br />
avec la nature, et ceci afin de mieux la comprendre et mieux la connaître. La<br />
conscience humaine cherche par tous les moyens possibles à comprendre la<br />
véritable nature et essence première de l’énergie pure. Et ceci afin de pouvoir<br />
percer une fois pour tout son véritable mystère, qui est par le fait même celui de<br />
l’Univers tout entier, face à la création. Mais la conscience n’est que l’une des<br />
différentes formes, bien que très complexe sur le plan neurologique, par lequel la<br />
matière-énergie veut bien ce dévoiler et se manifester à nous. L’énergie ce<br />
manifeste à nous sous différentes formes vibratoires et forme les bases<br />
fondamentales de toutes les substances matérielles et immatérielles, connue ou<br />
encore inconnu à travers l’Univers. L’énergie est en fait le tout premier des plus<br />
grands mystères scientifiques et mystiques de la nature, suivit de très peut par la<br />
264
conscience elle-même. Pour avoir plus de détail au sujet de la conscience et de<br />
son évolution, référez-vous au chapitre sur les attributs de la conscience de la<br />
première partie de ce livre.<br />
La génétique est à la base de la complexification et de l’évolution des<br />
organismes et des êtres vivants, et le développement du cerveau n’échappe pas<br />
à son contrôle et à cette règle. Par contre le cerveau possède différente capacité<br />
dynamique qui sont reliés à l’apprentissage et à la mémorisation, ce qui lui a<br />
permit de s’adapter de manière beaucoup plus efficace à son environnement<br />
extérieur. Ainsi chaque comportement qui est exprimés vers le monde extérieur,<br />
relève d’un mécanisme neurophysiologique très complexes. Dont les différentes<br />
possibilités ont été induites, par l’association de différents réseaux de câblage<br />
neurologique très complexe. Constitué entre autre de réseau de neurone, de<br />
jonction neuromusculaire, neuroendocrinienne (hormone) et même de jonction<br />
neuro-immunitaire. Le tout fonctionne grâce à un minime courant électrique qui<br />
se propage entre et à travers les neurones, et dont la source est d’origine<br />
moléculaire et chimique.<br />
Pour être capable d’exprimer et de manifester un certain type de comportement<br />
dans notre entourage, nous devons avoir les moyens et les différents<br />
mécanismes neurobiologiques et neurophysiologiques pour le faire, et que<br />
l’évolution nous a fournit. Tout comme les différents comportements que nous<br />
imposons aux rebots de type industriel, et que nous devons programmer<br />
d’avance les moindres petits détails, qui seront portés sur les différentes étapes<br />
et actions de production en entreprendre. Mais cela est-il la preuve pour autant<br />
que l’âme n’existe pas, et qu’il n’existe pas d’autre réalité que la notre dans<br />
l’Univers. Après tout sans l’intervention de l’homme, que pourraient bien faire les<br />
rebots Industriels. En vérité personne ne peut réellement répondre à cette<br />
question de manière absolue et définitive. Peut-être existe t-il à travers l’Univers,<br />
d’autre forme d’intelligente ou de conscience que la notre, ainsi que d’autre<br />
forme de vie qui pourrait-être totalement différentes de la notre. Les lois de la<br />
nature qui ont participé et qui ont favorisé les différents processus qui ont permis<br />
l’émergence et l’évolution de la vie sur terre. Sont-ils si rare que ça à travers<br />
l’Univers, n’étant pas l’expression représentative de lois d’ordre plus Universelle.<br />
Mais de cela j’en doute très fort, car la vie fait belle et bien partie intégrante des<br />
265
différentes prémisses évolutives de la matière organique, qui se structure alors<br />
vers des niveaux de complexification de la matière de plus en plus complexe. Et<br />
cela semble bien être très représentatif de la manifestation d’une ou des lois<br />
Universelles.<br />
La matière vivante évolue avec le temps et s'adapte petit à petit à toute sorte de<br />
situations de survie. Ainsi la matière organique s'organise de plus en plus et de<br />
toutes les manières possibles, et ceci grâce aux différentes capacités<br />
structurelles et biochimiques de nos différentes molécules d'ADN (molécule de<br />
base de notre hérédité, ou acide nucléique). La vie évolue ainsi vers des<br />
sommets de plus en plus haut en complexité. Mais la vie recherche un équilibre<br />
de plus en plus stable sur le plan matériel des choses, elles cherchent des<br />
situations de complémentarité sous différentes formes de liaison chimique, et qui<br />
vise du même cout toutes sortes de situation d'équilibre dynamique. La vie est<br />
donc une quête incessante qui est axée sur la recherche d'états d'équilibre<br />
dynamique et physico-chimico-électromagnétique entre s’est différent constituant<br />
moléculaire et capable du même coût de capacité de nutrition et de reproduction<br />
ou d'auto réplication.<br />
La vie est donc le résultat d'une sorte d'équilibre chimique, qui s'établit alors<br />
entre les choses qui sont composées de matière organique et à base de<br />
carbonne. Sur le plan purement matériel et descriptif, il s'agit en fait de<br />
comportement auto-programmer et entièrement automatique qui sont alors<br />
dictées par la simple expression des lois interactionnelles de la nature, ici nous<br />
nous faisons allusion aux interactions électromagnétique de la nature. Mais voilà<br />
que la vie évolue tellement, qu'elle se dirige à la longue vers l'établissement de<br />
structure nerveuse de plus en plus complexe.<br />
Jusqu'alors, le comportement de la matière organique n'était que le fruit de pur<br />
réflexe organique et composé essentiellement d'automatisme électrochimique de<br />
toutes sortes. Des protozoaires (unicellulaire) aux métazoaires (pluricellulaire),<br />
les lois chimiques de la vie sont les mêmes partout. Mais voilà qu'au fil du temps<br />
et des ères géologiques, la nature se met à concevoir des cerveaux de type<br />
mammalien, qui correspond en gros à l'émergence de l'embranchement des<br />
mammifères, vers 200 millions d'années environ. C'est dernier possède un tout<br />
nouveau type de système nerveux, qui va évoluer par la suite vers le cerveau<br />
266
d'un troisième type, qui est représenté par celui de l'homme moderne avec une<br />
excroissance du nécortex cérébrale. Rendu à ce niveau, le comportement de la<br />
matière par de simple manifestation de réflexes et d'automatisme conditionné à<br />
partire des prémisses de base héréditaire, ne semble plus adapté pour expliquer<br />
toutes ses nouvelles capacités dynamiques, fonctionnelles et comportementales<br />
que peut désormais manifester les organismes vivant qui sont par mis les plus<br />
évolués et les plus complexes de la nature et du règne animal.<br />
Chaque comportement du règne animal et végétal à ses propres prémisses qui<br />
remonte aux lois associatives et complémentaires de la matière. Ceux-ci sont<br />
d'ordres beaucoup plus fondamentaux, et régisses en gros les différents<br />
potentiels et les différents mécanismes d'actions-réactions manifestant des<br />
choses de la nature qui sont composées de matière vivante ou inerte. Ils s'agis<br />
de processus biochimique, électrique, magnétique et physico-chimique, mais<br />
dans la matière vivante le tout ou presque tout, est directement associé aux<br />
différentes formes de contrôles des structures biogénétique. Les gènes<br />
surveillent en gros les phénomènes d'architecture et d'actions plus globales des<br />
organismes et qui sont associé à certains phénomènes, mais pas tout car d’autre<br />
ne sont pas directement associé aux contrôles héréditaires, mais lui étant<br />
complémentaires en structuration évolutive et adaptatoire de la vie. Voici un<br />
exemple avec certaines vitamines qui ne sont pas synthétiser par nos cellules,<br />
mais directement puiser dans leur environnement extérieur. Certaines vitamine<br />
s'associe avec d'autre molécule comme des protéines, pour former entre autre<br />
certains co-facteurs qui son essentielle à l'activité moléculaire et biochimique de<br />
la cellule (Cycle de Crebb de la respiration cellulaire par exemple des<br />
mitochondries).<br />
Tous ces différents mécanismes d'échange dynamique et d'auto affinité<br />
structurelle, sur le plan des interactions énergétique entre les particules et<br />
macro-molécules de matière. Vont évoluer en structure de plus en plus<br />
complexes et ceci au fur et a mesure que l'on remonte les règnes du monde du<br />
vivant. Ainsi pour un vers de terre, une éponge ou une méduse par exemple, la<br />
recherche de nourriture va s'effectuer par des liens plus directs avec son<br />
environnement, et par l'intermédiaire de capteurs chimique bien spécialiser. C'est<br />
la nature et les liens qu'elle entretient avec les choses qui la compose qui a<br />
267
permis tout cela. Il s'agit d'un phénomène d'affinité interactionnel sur le plan<br />
chimico-électromagnétique, qui a convergé et orienté le tout vers cette forme de<br />
structuration évolutive de la matière organique, par toute sorte de processus qui<br />
sont reliées et associées à la recherche d'une forme d'équilibre dynamique et de<br />
complémentariter vibratoire entre les choses composées de matière vivante. Ce<br />
schéma évolutif de la matière vivante, favorise donc pour les organismes vivant<br />
les plus simples, des phénomènes d'ordres purement automatiques, ces derniers<br />
étant former d'embranchement et de circuits cellulaire et moléculaire de type<br />
réflexe automatique tout simplement.<br />
Mais plus nous progressons dans les différents règnes animaux et plus les<br />
différents types de schémas comportementaux semblent bien défier cette règle<br />
d'or qui découle directement du fonctionnalisme purement réductionnisme et<br />
matérialisme de la question des athéismes. En fait plus nous nous élevons dans<br />
le règne animal et plus le cerveau prend la relève et agisse comme intermédiaire<br />
directe à tout schéma comportemental non instinctif. Il y a toujours les<br />
comportements d'ordres instinctifs et innés, qui sont l'héritage de l'évolution de la<br />
vie à travers les ages. Mais leur activité s'arrête qu'aux différents phénomènes<br />
de base des organismes vivant d'ordre supérieur, il leurs serves désormais que<br />
d'alertes pour la survie et les autres instincts de conservation.<br />
Au-delà du règne animal des reptiles (cerveau de type reptilien) et en se<br />
dirigeant de plus en plus haut dans la hiérarchie animale. Le cerveau évolue de<br />
façon quasi parallèle et vers des niveaux de complexification organisationnelle<br />
de plus en plus grande et de plus en plus complexe. Il passe par le cerveau de<br />
type mammalien des mammifères primitifs, là il prend de plus en plus la relève<br />
des schémas purement instinctifs et innés des émotions (faim, soif etc...) et les<br />
encadres (système limbique) par un semblant de sentiment d'ordre plus abstrait<br />
et beaucoup plus subjectif comme interprétation introspective des<br />
comportements innée à l'origine. Rendu à l'homme, nous rencontrons un<br />
nouveau type de cerveaux, c'est le type de cerveaux humain caractérisé par son<br />
néocortex énorme et le nombre bien défini et bien délimité de ses circonvolutions<br />
cérébrales. Le néocortex joue un rôle associatif et de mémoire comportementale<br />
très important.<br />
268
Alors si les schémas comportementaux ne découlent simplement que de réflexe<br />
et d'automatisme très complexe, mais qui sont définit à la base par toutes sortes<br />
d'embranchement et de renforcement de circuits nerveux, représenter par toutes<br />
sortes de regroupement et embranchement de différents réseaux de neurone par<br />
lequel circulera et cheminera l'influx nerveux. Comment peut-on dire dans ses<br />
conditions, que la conscience qui définit notre a priori intime de la perception de<br />
soi et de son entendement, découlerait tout simplement de tout ceci et<br />
émergerait de mécanisme purement automatique et mécanique de la matière. Si<br />
cela était vraiment le cas, alors la conscience ou la simple impression d'avoir<br />
conscience, n'aurait tout simplement pas son mot à dire dans l'ordre<br />
comportemental des choses. Vu que ceux-ci serait tout simplement la<br />
conséquence directe de tous ses mécanismes et automatismes d'ordre purement<br />
matériel et neurologique, et par le fait même la conscience en ne serait pas la<br />
cause même ou première de nos fais et actes, de notre volonté et sentiment de<br />
liberté, car tout serait dicté à l'avance et à notre insu. Alors là oui, tout ne serait<br />
qu'illusion.<br />
Alors comment dans de t'elle condition, pourrions-nous avoir la simple<br />
impression d'avoir plus ou moins le control de nos actions et comportement. La<br />
matière de par elle-même ne peut avoir conscience d'elle-même. Alors pourquoi<br />
en est-il autrement et avons-nous conscience de nous même et des choses qui<br />
nous entourent. La conscience ne peut découler ou émerger tout simplement de<br />
l'embranchement de la matière nerveuse aussi complexe soit-elle, car la<br />
conscience présuppose de la volonté de ses actions sur les choses et décide de<br />
les faire. Une amalgame de réflexe automatique et conditionné en schéma<br />
comportemental par l'évolution, aussi complexe soit-il, peut-il vraiment simuler la<br />
conscience et les ressentiments ressentis de la sensibilité des choses qui nous<br />
entoure et qui nous imprègnent. Et bien non, sauf si l'on admet un principe qui se<br />
situ en dehors des choses de matière. Et bien ce principe est l'aspect<br />
d'intelligibilité des choses qui évolue. Et ce principe qui est axée sur l'intelligibilité<br />
ne peut-être située qu'à l'extérieure des choses purement faits de matière.<br />
Il y a la matière, mais au-delà de celle-ci, il y a un autre monde qui est par-<br />
dessus tout et qui englobe tous, c'est le véritable monde fait de spiritualité. Là ou<br />
émerge véritablement chaque être de la nature dotée de sensibilité intelligible et<br />
269
de perception consciente. C'est un monde dont découle et origine le monde<br />
matériel auxquels nous sommes tous confrontés pour une certaine période de<br />
temps. Alors si la matière est dotée de principe d'intelligibilité qui surpasse en<br />
structuration les comportements et manifestations de la matière seule. Alors il<br />
faut bien admettre que soit la matière détiens en son propre saint un t'elle<br />
principe ou soit encore que ce dernier vient d'ailleurs et est de saveur plus<br />
fondamentale en essence et en substance.<br />
Mais en fait, qu'est-ce qui fait bouger et interagire toute choses, et bien on peut<br />
dire que c'est la chose qui les influences le plus directement. Et selon les<br />
différentes échelles de la nature, la chose qui est toujours de constitution la plus<br />
fondamentale selon la science moderne et formelle, ce sont les élections, les<br />
neutrinos et les photons (si on oublis pour un court instant les Quarks) !<br />
Cette âme ou cet esprit qui origine du monde spirituel, notre véritable être en<br />
substance et essence. Serait attaché à notre corps depuis sa naissance et lui<br />
serait relié par un élément intermédiaire pour l'interfacer au monde de matière.<br />
Cette interface serait située (Gabriel Delanne, «l’Évolution Anémique») au niveau<br />
du cerveau, dont il prendrait la moulure exacte et pour fusionner l'aspect<br />
comportemental des deux être de nature différente (matériel et spirituelle), mais<br />
ne faisant désormais plus qu'un dans leur manifestation. En l'homme se cachent<br />
deux natures en interposition, celle des instincts et des émotions qui découlent<br />
du monde biologique et celle de la raison et de l'intelligibilité sensible des choses<br />
qui découle de l'esprit mais qui est directement sous l'influence du premier. Le<br />
véritable devoir de l'homme est d'apprendre et d'approfondire toutes ses choses,<br />
afin de mieux contrôler ses propres instincts et passions qui le dominent, et qui<br />
l'aveugle de sa véritable destiné Universelle et spirituelle.<br />
Par exemple, l'action de l'esprit pourrait se faire sentir ou se manifester par<br />
l'intermédiaire du principe actif et d'action sur la matière qui nous entours, soit les<br />
interactions qui impliqueraient par exemple les pré-lepton (hypothétique) et dont<br />
l'action est véhiculée par les besons vecteurs d'interactions. Ainsi les Quarks, qui<br />
forme la matière hadronique (les nucléons ou noyau des atomes composé de<br />
proton-neutron) et les leptons (comme les électrons) sont les plus petites<br />
particules que nous connaissons en physique actuelle et qui formes la matière et<br />
les principes actives de celle-ci avec les vecteurs d'interactions, comme les<br />
270
photons. Cela correspond peut-être a une représentation grossière mais<br />
intermédiaire du véritable fluide Universel. Plus bas de cette échelle de la nature<br />
la science est muette.<br />
Alors je pense que le fluide Universel serait plus fondamental encor, une partie<br />
va alors croître en structure pour former les Quarks et la matière, et une autre va<br />
évoluer vers les leptons et englober la matière plus grossière formé de Quarks.<br />
Je crois que le fluide vital est plutôt construit autours de ce dernier (structure<br />
leptonique), qui avec les ondes électromagnétiques (beson) vont former le<br />
principe évolutif et actif (ou vitale) de la matière ordinaire et selon ses propriétés<br />
chimiques. La manifestation de la volonté des esprits, est peut-être alors<br />
illustrées par les différents phénomènes de la réduction du paquet d'ondes<br />
(matérialisation) d'une onde d'énergie en Mécanique Quantique, et lors d'une<br />
interaction avec la matière par exemple (l'origine du hasard et de<br />
l'indéterminisme (incertitude d'Heisenberg ou matérialisation d'une onde-champs<br />
d'énergie) de la science réductionniste et matérialisme contemporaine, la science<br />
pure et dure !!!!).<br />
Mais qu'elle serait les liens possibles entre Mécanique Quantique et esprit.<br />
En Mécanique Quantique, toute est représentée par des champs d’énergies<br />
(Dirac qui intégra la relativité restreinte dans les équations de Strodinger de<br />
1927) qui son soit de forme d'onde de champs stationnaire et bien localisés dans<br />
l'espace pour les particules (fermion), découlant des équations d'onde sur la<br />
matière de De Broglie de 1923, ou bien comme étant des ondes (beson) qui<br />
transporte et véhicule les interactions (information causale) à distance. Les<br />
interactions sont encadrées par la constante h de Planck (1900), qui représente<br />
la plus petite action possible sur la matière Il s'agit du principe de base de la<br />
Mécanique Quantique, c'est-à-dire de la dualité onde(Maxwell/Planck)-<br />
corpuscule(Newton/Einstein). Mais en fait, il ne s'agit ni de corpuscule et ni<br />
d'onde, mais bien de champs d'énergie pris sous différente forme d'état<br />
quantique ou quanton (voir « les mots et les maux de la physique » de Jean-<br />
Marc Lévy Leblond). L'objet mathématique quantique encadre sous forme de<br />
statistique et probabilistique, les différents comportements de la matière sous<br />
forme de vecteur d'état ou fonction d'onde, mais ce modèle n'est pas en même<br />
temps l'objet même qu'elle étudie et interprète, mais juste une modélisation de<br />
271
ce dernier. La forme repliée et stationnaire des ondes de matière (fermion),<br />
explique ainsi le principe d'exclusion de Pauli via le spin. Les fermions de spin<br />
1/2 ne peuvent pas se superposer dans le même espace, tendit que les beson<br />
de spin entier le peuvent (interférence). La mécanique quantique encadre le<br />
comportement de la matière-énergie (particule et onde) et non son déplacement<br />
à travers l'espace.<br />
Il existe un autre paradoxe en mécanique quantique, il s'agit cette fois-ci de la<br />
coexistance simultané de différents états quantiques d'une particule ou d'une<br />
onde par exemple, elles peuvent êtres dans un état exciter et non exciter en<br />
même temps (principe du chat de Strodinger sur l'évolution du formalisme de De<br />
Broglie dans le temps et l'espace d'une onde de matière, 1926). Il s'agit de la<br />
cohérence quantique qui n'existe pas dans le monde macroscopique, c'est-à-dire<br />
qui est situé à notre échelle, et ceci à cause des différents processus statistiques<br />
de décohérence qui brouille le tout quantique aux plus grandes échelles<br />
(supraconductivité et herperfluidité au base température par exemple).<br />
Il y a aussi le phénomène de la non-localité quantique, introduite par<br />
l'indétermination ou l'incertitude d'Heisenberg de 1926. Ce dernier postulat de la<br />
mécanique quantique, nous indiquent clairement qu'il est impossible d'obtenir la<br />
position et la vitesse d'une particule et ceci de manière simultanée, mais soit<br />
l'une ou soit l'autre. La vitesse d'ordre relativiste des particules lors des<br />
interactions et les différents procédés et délais intermédiaires de mesure en son<br />
la cause principale (en accore avec les principes de la relativité restreinte et la<br />
cohérence quantique). Mais qu'est-ce que cela veut bien dire en définitive ? Et<br />
bien que nous savons strictement rien des véritables causes fondamentales de<br />
ses phénomènes. Lors d’une excitation d'une particule par exemple, une<br />
particule de matière va réagire en émettant une certaine onde d’énergie tout<br />
autour d’elle, pour retomber par la suite dans un état de stabilité plus stable ou<br />
fondamentale. Cette onde peut-être une onde électromagnétique comme la<br />
lumière, ou d'un autre type (mésons, gluons, graviton) et va transporter au loin<br />
l’énergie et l’information causale de l’interaction. Mais voilà, cette onde n’est pas<br />
de nature matérielle et on ne peut pas savoir ou décrire à l’avance ses différents<br />
comportements (que j'ai cité plus haut). On interprète et schématise donc les<br />
ondes de manière statistique et probabilistique, sous la forme d’une onde<br />
272
sphérique qui englobe la particule émettrice (interaction), et celle-ci va croître<br />
dans l’espace à la vitesse de la lumière. L’amplitude représente alors la plus<br />
forte concentration de l’onde de probabilité du champ d'onde d’énergie, qui<br />
croient et qui s’éloigne de la particule initiale à la vitesse de la lumière. Un jour<br />
ou l’autre, cette onde va interagire à nouveau avec une autre particule de<br />
matière, et cette réaction va déterminer a elle seule la réduction instantanée et<br />
indéterministe de l’ensemble statistique des amplitudes de probabilités<br />
(l'émergence du pseudo hasard), qui était associé à la propagation de l’onde<br />
initiale dans l’espace. Cette réduction instantanée du paquet d’onde va nous<br />
fournir enfin, la trajectoire incidente et la quantité réelle d’énergie qui était<br />
contenu dans le système avant l’interaction. Il est à noter que le photon est la<br />
matérialisation et l’aspect particulaire ou corpusculaire d’une onde<br />
électromagnétique lors de son interaction. Ainsi en science, nous pouvons<br />
déterminer et interpréter le comment de la manifestation d’une interaction, mais<br />
nous ne savons rien de plus concernant l’essence même des particules ou des<br />
ondes que nous étudions et ni du pourquoi il interagisse entre eux. L’Univers<br />
nous cache donc encore ses plus grands secrets.<br />
La science ne dit strictement rien, sur l’essence même qui compose<br />
véritablement la substance des choses de matière-énergie dans la nature. Cette<br />
essence est la caractéristique première qui définit le pourquoi de l’existence et<br />
de l’origine véritable des choses dans l’Univers. Et du pourquoi celles-ci<br />
interagissent-elles ainsi et pas autrement à travers les lois de la nature. La<br />
nature et l’essence même de l’énergie qui compose toute matière dans l’Univers,<br />
nous es totalement inconnu. Alors dite moi pourquoi cette réduction<br />
indéterministe et instantanée (qui semble s'effectuer à vitesse supraluminique)<br />
du paquet d'onde, ne serait pas justement la conséquence directe de l'action de<br />
la volonté d'un esprit sur la matière, par l'intermédiaire de son périsprit et du<br />
principe vital. Cela expliquerait très bien le comportement purement<br />
indéterministe que nous observons à cette échelle de la nature. En plus cela<br />
expliquerait aussi pourquoi nous pouvons observer plus avant pour l'instant, car<br />
étant confronté à un phénomène relié à l'essence même de la matière à travers<br />
ses différentes formes éthérique.<br />
273
L’Énergie et le Temps :<br />
Le temps, que représente t-il en fait ? S’agit-il véritablement d’une nouvelle<br />
dimension de notre Univers ?<br />
Qu'est-ce que le temps, et bien le temps n’est que la représentation d’une unité<br />
de mesure, qui est alors attribué à deux limites observable et mesurable d’un<br />
processus causal de la nature. C’est notre mémoire consciente qui définit le<br />
temps de manière appréciable dans la perception conscience des choses. Le<br />
temps caractérise et définit du même coût, la durée événementielle et<br />
phénoménale qui fait transmuter les choses de la nature, par transformation,<br />
transition ou changement d'état vibratoire de toutes sorte, sur le plan de<br />
l’équilibre dynamique et énergétique des choses. Le temps n'est que la mesure<br />
qui est délimité par deux points qui relit le passage et la transition du moment<br />
présent, et qui caractérise une cause et un effet de tous les processus causals<br />
de la nature. Le temps n'est pas la cause première ou le moteur principale de lui-<br />
même, qui fait que les choses de la nature interagissent et échange de<br />
l’information, sur le plan vibratoire et énergétique des choses.<br />
Le temps n'est pas l'essence de la substance qui est associé aux dimensions<br />
temporelles, car le temps n'est que l'interprétation de cette chose sur le plan de<br />
la temporalité des choses. Elle (la dimension temporelle) n'est que la mesure sur<br />
le plan vibratoire et énergétique de la matérialité, qui interprète les choses qui<br />
sont transitoire et en mouvement et qui sont définit par des événements d'ordre<br />
plus ou moins ponctuelle, comme pour le temps de Planck par exemple, qui<br />
délimite la frontière de la matérialité des choses dans l’Univers.<br />
Le temps est définit par le passage incessant de l’éternel moment présent, et ce<br />
moment présent définit le plan vibratoire et énergétique des choses de la nature<br />
qui compose l’Univers. Le temps n’est donc que l’expression interprétative de<br />
simple variable de grandeur physique, et ceci pour décrire les véritables<br />
phénomènes transitoires et qui sont associé au plan vibratoire et énergétique<br />
des choses de la nature. Les transitions sont alors effectuées par l’intervention<br />
de l’une des quatre interactions fondamentales de la nature, qui transporte et<br />
véhicule l’information et l’énergie par l’intermédiaire de bosons de toutes sortes.<br />
Les bosons ne sont pas des structures de matière comme t’elle, mais ils sont<br />
274
plutôt associés aux différents états que peut prendre l’énergie à l’état pure. Sur le<br />
plan de la perception consciente et sensible, le temps est relié aux différents<br />
processus qui sont reliés à la mémoire et à des phénomènes psychologiques et<br />
cognitifs plus fondamentaux. Comme les différents processus de projection et de<br />
représentations introspectives et symboliques, de l’appréhension, de<br />
l’anticipation et pour finir de notre propre entendement, qui interprète et analyse<br />
en lui-même, le monde réelle qui nous entoure et dont nous percevons qu’une<br />
infirme partie. Kant (1792) stipule même dans sa « Critique de la raison pure »,<br />
que l’espace (étendu) et le temps (écoulement du moment présent) ne serait<br />
qu’une illusion qui découlerait en réalité d’un simple processus de la perception<br />
consciente, relié à la mémoire sensible des objets.<br />
La physique nous apprend que le plus petit instant mesurable par la constante<br />
de Planck, ce que certains appellent un « chronon ». Représenterait une forme<br />
de quantification de l’essence première qui est relié au temps, mais qui<br />
caractérise en réalité l’aspect vibratoire et énergétique de la matière-énergie en<br />
évolution à travers l’Univers. Ce temps, décrirait en fait le passage d’un moment<br />
présent, et pour un chronon l’Univers serait sans mouvement, d’aspect suspendu<br />
et immobile, mais qui transiterait d’états en états par de petit saut du moment<br />
présent, qui est associé à la transition vibrato-énergétique des choses de la<br />
nature. L’écoulement du moment présent est la seule propriété tangible de la<br />
matière-énergie, qui est relié au passage du temps. Alors adieux aux voyages<br />
temporels vers le passer ou le futur lointain, car seul le présent existe et qui à de<br />
part lui-même, une certaine forme de consistance évolutive, pour définire en<br />
quelque sorte, l'essence même des différents champs interactionnelles de<br />
matière-énergie, dont est composée chaque particule de l’Univers. C’est ce<br />
mécanisme vibrato-énergétique, qui fait réellement évoluer les choses à travers<br />
les différentes échelles constructale de la nature.<br />
La durée caractérise les différents processus, qui sont associés à la causalité<br />
évènementiel et phénoménale des choses qui interagissent dans l’Univers. Dont<br />
découlent directement les différents phénomènes associés au plan vibratoire et<br />
énergétique, et que nous interprétons tout simplement par le temps. Il s’agit de la<br />
représentation de différents mécanismes de la nature, qui sont relié entre eux de<br />
manière dynamique, et qui sont continuellement à la recherche d’états d’équilibre<br />
275
intermédiaire et de plus en plus stable, sur le plan vibratoire et énergétique. Ici ce<br />
n’est pas le temps qui intervient en premier lieu ou comme substance première,<br />
mais belle et bien de phénomène vibrato-énergétique, que le temps ne fait que<br />
décrire et qui forme en réalité la véritable substance première. Servant entre<br />
autre à faire la description des différentes transitions des choses à travers la<br />
nature, définit par leur processus de causalité. Le temps par définition, n'a pas de<br />
consistance ou de substance propre, il n'est pas la cause première des choses et<br />
il est tous simplement la description et l'interprétation de ce qu'ils adviennent aux<br />
choses qui sont en relations mutuelle. C'est sur le plan vibratoire et énergétique,<br />
qu’une essence réelle peut être associée à une certaine forme consistencielle<br />
qu’on peut relier au temps.<br />
Mais si le temps de Planck indique bien (et je dis si ?) la plus petite unité de<br />
mesure d'une durée, qui peut-être relié au différent comportement manifestable<br />
du monde matériel (unité d'action). Alors là je dirais oui, le monde est vraiment<br />
d'aspect suspendu et quantifié à cette échelle de la nature et dans l'immobilité la<br />
plus complète à travers cet intervalle de temps et de mouvement de Planck. Tout<br />
l'Univers serait sur un plan suspendu et en plein processus de transition d'ordre<br />
quantifiable, mais que rien ne pourrait arrêter. Ici nous ne parlons plus de tissus<br />
Universels d’espace-temps, mais bien de tissus Universels d’espace-énergie tout<br />
simplement.<br />
Qui Est Dieu ? :<br />
Dieu n'est pas juste un nom, un attribut, une représentation d'un ensemble de<br />
lois ou de principe d’ordre spirituel et moral. Non, car Dieu est un mot tout<br />
comme les autres mots de notre vocabulaire, un épiphénomène qui veut<br />
identifier tous les Dieux des autres religions à travers le monde et les autres<br />
cultures, et qui ont existées ou qui existe toujours de nos jours. C'est un nom, un<br />
mot de notre langage qui englobe un certain nombre de concept indéfinissable<br />
en réalité et qui se trouve au-delà de notre compréhension sensible et de notre<br />
entendement humain. Nous ne pouvons pas conscientiser dans son ensemble et<br />
dans son intégralité, tout les véritables attribuent que contient véritablement la<br />
réalité Universelle de ce mot qui est attaché au concept et au non de Dieu. Tout<br />
comme nous ne pouvons pas conscientiser ni même imaginer dans un tout,<br />
notre propre Univers dans son intégralité et de toutes les choses qui le<br />
276
composent (n'essayer pas !!!! ). Il s’agit d’un mot qui englobe un concept est trop<br />
éloigner de notre propre perception humaine, de nos différentes représentations<br />
symboliques des choses et même de notre imagination, pour s'en faire une<br />
véritable image représentative de sa véritable réalité spirituelle et matérielle, dont<br />
découle l'ordre Universel.<br />
Dieu n'est pas un être barbu, ni même une personne, car Dieu personnifie en fait<br />
des principes qui sont plutôt d'ordres spirituels, mais dont certains aspect de la<br />
causalité de s’est principe émerge et créer notre propre Univers matériel. On ne<br />
peut percevoir ni même conceptualiser ou même conscientiser le concept ou<br />
l'identité de Dieu.<br />
Mais par contre, il est là et toujours là, tout près de nous et faisant partie de tous<br />
ce qui nous entours en même temps. Nos souffles et notre respiration en sont les<br />
témoignages les plus directs, qui nous relit dans un dialogue et une interrelation<br />
sans cesse renouveler et sans jamais se détacher ou se délasser de nous et de<br />
tout ce qui existe et qui nous entours. Il est le représentent immédiat du principe<br />
omniscient qui transcende toute chose, ce n’est pas une personne, mais le<br />
principe qui relit toute chose à travers la spiritualité qui oriente et définit les<br />
principes évolutifs des choses de la nature et qui vise harmonie et équilibre. Il est<br />
là par mis nous et par mis vous, il est même le représentent directe de tout ce<br />
qui existe dans la nature visible et invisible des choses. Il ne faut pas avoir peur,<br />
ni craindre car il est là et sera toujours là. Sa parole est remplie de sagesse et de<br />
bonté et son souffle est transporter par toutes les interactions et les lois de la<br />
nature à caractère Universelle ou non, et il ne peut en être autrement car il est là<br />
et partout à la fois. Il sera toujours là tout près de nous et de vous, ne vous en<br />
faite pas !<br />
Un ou Plusieurs Dieux :<br />
La métaphysique est la science fiction des science actuelle et une simple<br />
extrapolation de celle-ci, et rien nous indiques quelle pourra devenir un jour une<br />
réalité conceptuelle à part entière ou en partie, tout comme les voyages dans<br />
l'espace ou voler comme des oiseaux des temps jadis ou l'homme ne connaissait<br />
pas encore toutes ces choses. La métaphysique est l'extrapolation introspective<br />
de la conscience en soi ! De la chose qui nous sensibilise dans la conscience du<br />
277
monde qui nous entoure, elle est son essence propre. Et cette essence est<br />
subjective par rapport aux choses de matière qui sont-elles objectivent.<br />
Donc la métaphysique découle de notre entendement et de notre interprétation<br />
anticipative sur les choses de l'extérieur qui se reflète en nous et sous formes<br />
d'idées. Et c'est à partir de cela que nous déduisons la réalité Universelle. Les<br />
Dieux viennent donc de cette forme d'interprétation et d'approche analytique<br />
sensible, dont la source vient de la projection de nos différents états de<br />
sensibilités psychologiques intérieurs. Les Dieux sont donc la réflexion de notre<br />
état de mystification intérieure qui son en appréhension et projeté sur le monde<br />
extérieur.<br />
Mais l'Univers existe belle et bien et enferme en lui-même la seule réalité<br />
objective d'ordre absolu. Mais la conscience aussi découle de cette même réalité<br />
d'ordre absolu, elle lui est subordonnée en substance et donc le seul Dieu<br />
possible ne peut-être que l'essence de l'origine de toute chose qui sont relative<br />
les unes par rapport aux autres.<br />
Le Bien et le Mal :<br />
C'est à chacun de nous de le dire et de le comprendre, la notion de bien et de<br />
mal est très relative et s'attache à une perception psychologique que nous avons<br />
et associons aux notions morales et spirituelles. Elles ont également des origines<br />
interprétatives socioculturelles qui découle plus directement de notre éthique<br />
individuelle et fondamentale qui est axée sur notre fort intérieur et sur le monde<br />
ressentit et interprété. Le bien et le mal n'existe pas réellement et objectivement<br />
en dehors de toute perception sensible et spirituelle des êtres ou esprit, car dans<br />
la nature il n'a que des relations d'harmonies et d'équilibres.<br />
Par contre les sentiments nous permettrent de ressentire de la douleur ou du<br />
plaisir par l'intermédiaire de nos sens et de nos affectes. Notre conscience les<br />
ressent en elle-même et à travers son essence propre qui est d'origine spirituelle,<br />
et notre raison rationnelle les associes aux différents concepts moraux de bien et<br />
de mal, qui entre alors en relation directe avec nous. Il s'agit d'une catégorisation<br />
de notre perception du monde qui se reflète alors sur celui-ci et qui découle<br />
directement de notre manière de l'appréhender. Elles nous orientent vers la<br />
278
compréhension et la connaissance des choses et de leur inter-relation les uns<br />
par rapport aux autres.<br />
Dieu n'a pas créé le mal, car le mal n'a pas d'essence propre. Il n'est que le fruit<br />
de notre perception et de notre méconnaissance des lois Universelles et Divines,<br />
mais Dieu le permet par l'entremise de notre libre arbitre. Le bien est l'aspect<br />
spirituel des choses et le mal son apprentissage. Dieu n'a pas créé le mal, car ce<br />
dernier n'existe pas. Ce qui est interprété par le mal et tout simplement la cause<br />
de nos différentes transgressions des lois de la nature, et ainsi nous récoltons se<br />
que nous avons semés. C'est la perception d'une chose, qui est le fruit d'une<br />
interprétation que nous associons au mal, car celui-ci est en nous et cherche à<br />
nous responsabiliser d'avantage sur nos actes et comportement, mais le mal est<br />
aussi ce qui nous oblige à progresser et ainsi d'aller en avant, toujours vers<br />
l'avant.<br />
L'instinct de l'homme est donc l'émergence de cette compréhension qui le mais<br />
face à face avec lui-même et sa propre raison !<br />
Le mal existe donc par les actions des esprits les uns par rapport aux autres et à<br />
ce titre il est bien réel.<br />
279
LE BIG-BANG EN REQUESTIONNEMENT<br />
Structure Universelles Face Aux Big Bang –<br />
Vers de Nouveaux Concepts<br />
Il ne faut pas oublier que le Big Bang n'est qu'un modèle théorique qui est porté sur<br />
l'interprétation de l'Origine et de l'Évolution de l'Univers. Ce modèle n'est pas du même<br />
coût, cette même réalité qu'il veut représenter.<br />
L’origine de l’Univers a toujours été un véritable mystère, et depuis fort<br />
longtemps que l’homme s’interroge à ce sujet. Depuis la plus haute antiquité que<br />
l’homme est émerveillé par la beauté extraordinaire de la voûte céleste, qu’il<br />
pouvait observer et contempler à sa guise toutes les nuits avant de s’endormire.<br />
Ce qui n’est plus le cas de nos jours, ayant obstrué le merveilleux spectacle du<br />
ciel par la pollution de notre technologie, nous privant ainsi d’une source<br />
d’inspiration et de poésie d’une extraordinaire beauté. Ce merveilleux spectacle<br />
de la nature a inspiré et intrigué l’homme au plus haut point, qu’il décida un beau<br />
jour de satisfaire d’avantage sa curiosité et de commencer à rechercher<br />
véritablement des raiponces à ses questions. Au début la question de son origine<br />
ne se posait même pas, la philosophie, la poésie et les religions en fournissaient<br />
des réponses très satisfaisantes, et le ciel était tout simplement la demeures des<br />
Dieux.<br />
Les différentes connaissances techniques et scientifiques qui ont été acquises<br />
aux courts des derniers siècles et plus particulièrement au court du XX èm siècle,<br />
ont mit en doute les dogmes religieux et mystiques d’autrefois sur l’origine de<br />
l’Univers. La découverte et l’interprétation des différentes forces et interactions<br />
de la nature, ont remis en question la validité des vieux concepts. Et désormais<br />
la manifestation et le comportement des différents phénomènes de la nature,<br />
seront analysés et interprétés de manière plus rigoureuse et plus objective, en<br />
s’appuyant sur de véritable donnée d’observation et d’investigation de la nature.<br />
Données qui seront fournis entre autre, par les différentes recherches effectuées<br />
en physique des particules et en astrophysique. L’avancée technologique<br />
extraordinaire qui c’est produit à la fin du XIX èm et début XX èm siècle en est pour<br />
280
quelque chose, et qui est d’ailleurs sans commune mesure dans toute l’histoire<br />
de l’humanité. Nous avons de nos jours une meilleure compréhension sur les<br />
différents mécanismes fondamentaux de certain phénomène naturel de l’Univers.<br />
Plusieurs éléments nous permettent aujourd’hui, d’entrevoir une certaine forme<br />
de structure évolutive pour l’Univers tout entier. Mais plusieurs questions de<br />
grandes importances restes encor et toujours en suspendent et sans réponse à<br />
ce jour, pour se prononcer de manière définitive sur la véritable question de<br />
l’origine et de l'évolution de l’Univers. Plusieurs hypothèses sont actuellement<br />
mises de l’avant pour tenter de répondre à cette question fondamentale, et<br />
voyons maintenant la plus populaire d’entre elles.<br />
L’hypothèse du Big-bang de la cosmologie, n’est en fait que l’une des différentes<br />
formes possibles, que nous utilisons pour ce représenter la naissance de<br />
l’Univers. Elle voulait à l’origine concurrencer directement la vision symbolique<br />
de la genèse biblique de l’église chrétienne, mais cependant elle semble plutôt la<br />
renforcée en certains points, par une simple analogie qui est portée sur les<br />
différentes étapes de la création de l’Univers. Le Big-bang ne fait en réalité que<br />
déplacer le véritable problème de l’origine de l’Univers à un autre niveau, car en<br />
fait-il nous dit pas ce qu’il avait avant celui-ci (la singularité ou Dieu). Le Big-bang<br />
découle directement des principes de la relativité générale qui sont portés sur la<br />
gravitation Universelle. La relativité nous dit que la vitesse de la lumière est une<br />
constante absolue et d’ordre Universel, et cela pour tous les référentiels<br />
d’observations se trouvant dans l’Univers. Ainsi pour expliquer la représentation<br />
et l’uniformité des lois physiques de la nature, et ceci à travers tout l’Univers et<br />
pour qu'elles soient exprimées partout de la même manière malgré les distances<br />
énormes qui nous séparent du reste de l'Univers. Il devenait alors facile<br />
d’imaginer une origine commune à toute la matière-énergie qui compose<br />
l’Univers, et ceci par une formidable explosion d’énergie et de matière à partir<br />
tout simplement d'une singularité qui émergeait directement du néant. Pourtant<br />
nous sommes encore bien loin d’avoir acquis toutes les connaissances et la<br />
compréhension nécessaire, pour vraiment connaître l’origine réelle de l’Univers<br />
et de son évolution subséquente. Nous sommes qu’au tout début de la recherche<br />
et nous sortons tout juste de l’ignorance, face à l’évolution de notre espèce sur<br />
terre, et ceci envers une infirme partie de l’Univers qui nous est actuellement<br />
toujours inaccessible.<br />
281
Plusieurs découvertes en astronomie et en astrophysique, sembles bien vouloir<br />
confirmer en apparence la théorie du Big-bang. Dont la fameuse constante de<br />
Hubble découverte en 1924, et qui établit une certaine relation entre le décalage<br />
spectrale vers le rouge des galaxies avec leur vitesse de récession qui est<br />
étroitement associé à leur distance. Et la découverte en 1965 du fond de<br />
rayonnement cosmologique fossile (micro-ondes) de 2.7 k, qui a été observé<br />
depuis dans tout l’Univers. Ses découvertes prouvent t’elles pour autant et hors<br />
de tout doute raisonnable, la théorie du Big-Bang. L’explication physique et<br />
cosmologique qu’on nous fournisse actuellement sur ces différents phénomènes<br />
galactiques, son-elle vraiment la cause principale et physique de la manifestation<br />
de ses phénomènes observés, pourrait-il s'agire par exemple du reflet d'un<br />
mirage, ou d'une forme d'illusion d'optique. D’autres causes naturelles qui nous<br />
sont encore inconnu, ne pourraient-elles pas éventuellement nous fournires<br />
d’autres réponses pour expliquer ces phénomènes. Peut-il s’agir tout simplement<br />
d’une mauvaise interprétation du phénomène observé, après tous nous ne<br />
sommes pas sur place pour vérifier.<br />
Mais laissons parler à ce sujet Geoffrey Burbidge, Fred Hoyle et Jayant V.<br />
Narlikar à travers leur article publier dans la revu la recherche en avril 1998, en<br />
voici un petit extrait : "Le fond de rayonnement fossile, dont les tenants du Big-<br />
bang font l’un des piliers de leur théorie, a pour l’essentiel une longueur d’onde<br />
voisine d’un millimètre. Ce n’est cependant pas le rayonnement de fond<br />
cosmologique invisible à l’œil. Il existe un fond d’ondes radio plus longues. Il y a<br />
un rayonnement infrarouge, un rayonnement X et un fond de lumière stellaire.<br />
Personne n’affirme que ces autres rayonnements proviennent de l’origine de<br />
l’Univers. On considère qu’ils ont leur source dans des objets astronomique bien<br />
définis. Mais pour des raisons historiques, il en va différemment des micro-<br />
ondes. Elles seules sont censées être la signature du Big-bang.<br />
Pourtant, si l’on calcule la quantité totale d’hélium dont on connaît la présence<br />
dans la matière visible, l’énergie libérée sous forme de rayonnement par la<br />
production de cet hélium à partir de l’hydrogène est exactement celle nécessaire<br />
pour produire le fond micro-ondes. Cette correspondance suggère fortement que<br />
le rayonnement micro-ondes soit tout simplement de la lumière stellaire<br />
dégradée. La raison pour laquelle ce rayonnement est si homogène est que la<br />
282
lumière stellaire se répand uniformément à travers d’immenses distances dans<br />
les phases d’expansion de notre région de l’Univers. La lumière stellaire est<br />
ensuite absorbée puis de nouveau rayonnée sous forme de micro-ondes par les<br />
particules intergalactique lors des phases de plus grande contraction des<br />
oscillations. On retrouve ainsi précisément la température bien connue de 2,73<br />
kelvins. Le rayonnement micro-ondes n’est nullement expliqué par la théorie<br />
standard. Il est introduit arbitrairement dans les conditions de départ. Le fait que<br />
sa température soit de 2,73 kelvins n’avait rien d’inéluctable, elle aurait pu être<br />
différente. Si les observations avaient donné 10 kelvins, c’est cette température<br />
qui aurait été prise en compte par la théorie. FIN DE L’ARTICLE".<br />
Collision de galaxies, à gauche NGC 2207 & IC 2163, à droite NGC 6872 du Paon situé à<br />
plus de 300 MAL. Photo Nasa & Télescope spatial Hubble.<br />
D’autres arguments sont également en faveur d’un Univers quasi-stationnaire,<br />
comme les Quasars. Ils s'agis d’objets extragalactiques d’aspect ponctuel situé<br />
aux confins de l’Univers, à plusieurs milliards d’années-lumière de nous. Ils sont<br />
tous probablement les objets les plus vieux de l’Univers, selon la théorie du Big-<br />
bang. Ils sont caractérisés par un fort décalage spectral vers le rouge et par de<br />
très forte émission électromagnétique (ici l'effet Creil pourrait expliquer cela), qui<br />
sont aussi puissante qu’une galaxie tout entière, d’où leur non de quasi-stellar-<br />
object. Le télescope spatial Hubble nous montre plusieurs clichés de ses objets<br />
extragalactiques, comme étant en réalités la manifestation de la collision entre<br />
283
galaxie à noyau plus actif que la normale, accompagnée d’une très grande<br />
flambée de création d’étoiles qui semble résulter directement de la collision, d’où<br />
leur forte puissance en rayonnement électromagnétique. Dans ces conditions<br />
ces objets ne seraient plus les objets les plus vieux et les plus éloignés de<br />
l’Univers. Mais belle et bien d’un phénomène qui résulte des interactions<br />
gravitationnelles entre galaxies, déjà constituées d’étoiles jeunes et veilles<br />
entremêler de poussière intergalactique de toutes sortes. Les observations de<br />
l’Univers effectuées par le Télescope spatial Hubble, repousse d’ailleurs de plus<br />
en plus les frontières de l’Univers connu à ce jour, et il découvre toujours des<br />
galaxies fortement éloignées et formées d’étoiles de toutes les générations, ce<br />
qui repousse de plus en plus loin l’origine véritable de l’Univers (13,7 milliards<br />
d'années selon le modèle du Big Bang).<br />
Nous sommes situés dans une région de l’Univers très vaste et peuplé<br />
d’innombrables galaxies, de nuage d’hydrogène et de poussière, d’amas<br />
globulaire, d’étoiles, de naine brune et de planète errante de toute sorte. Et ceci<br />
sans parler des autres corps célestes qui font également partie de cet ensemble,<br />
et qui nous sont encore totalement inconnu jusqu’à ce jour. Le tout étant inonder<br />
et baignant dans divers champs d’énergie, comme les champs magnétiques<br />
galactiques et extragalactiques, différents champs électriques, des radiations<br />
électromagnétiques de toutes sortes, du rayonnement cosmiques et de différents<br />
champs gravitationnels. L’Univers possède également une structure plus ou<br />
moins complexe ayant la forme d’une éponge, et qui résulte de l’interaction<br />
gravitationnelle locale de l’ensemble de ses constituants.<br />
Ainsi le décalage spectral des galaxies vers le rouge, découvert par l’astronome<br />
américain Edwin Hubble en 1929, et attribuer par la suite à la fuite des galaxies<br />
et de leur éloignement progressif les unes par rapports aux autres, et qui est un<br />
argument majeur dans la théorie du Big-bang. Peut très bien avoir comme<br />
origine ou comme explication, une autre cause naturel que celle qui est<br />
généralement attribuer à la seule vitesse d’expansion des galaxies. Il pourrait<br />
s’agir entre autre d’une certaine propriété physique qui est reliée à une sorte la<br />
fatigue de la lumière ou par rapport aux différentes propriétés qui sont reliés à<br />
l'énergie du vide quantique, et qui franchit alors des distances énormes à travers<br />
différentes zones de densité et d’intensité de champs magnétique et électrique.<br />
284
Ou encore de certain effet lié à la gravitation sur de grande distance. Comme si<br />
la gravitation voulait ralentir et piéger la lumière dans son espace courbe, et<br />
ayant pour effet de dilater ses différentes longueurs d’ondes. Nous sommes en<br />
fait, qu’au tout début de l’étude de l’Univers et de ses différentes propriétés<br />
d’ensembles. Nous connaissons d’ailleurs assez mal la véritable composition de<br />
notre propre entourage galactique, alors pourquoi affirmer haut et fort que nous<br />
avons déjà résolut le plus grand mystère des mystères de la nature, qu'elle<br />
prétention !<br />
La Structure Universelle Face au Big-Bang :<br />
Le Soleil est une étoile moyenne de type spectral G5, et il est situé dans une<br />
région périphérique de notre galaxie à plus de 36 000 années-lumière de son<br />
centre. Notre galaxie est de type spiral avec un diamètre de plus de 100 000<br />
années-lumière. Elle est composée d’un noyau central très dense, constitué<br />
essentiellement d’étoiles vieilles et de couleur rougeâtre. Le centre de notre<br />
galaxie est visible pendant l’été dans la direction de la constellation du sagittaire,<br />
il s'agit de la Voie Lactée qui se trouve alors au zénith dans le ciel. Quatre bras<br />
spiraux sorte de son centre et vont se perdrent dans les profondeurs de l’espace.<br />
Notre galaxie est constituée de plus de 100 milliards d’étoiles de toutes les<br />
grosseurs et de toutes les couleurs, de nébuleuses de gaz et de poussière de<br />
toutes sortes, de matière interstellaire et d’amas globulaire. Les amas globulaires<br />
sont le résultat de l’association gravitationnelle très serrée de milliers d’étoiles,<br />
voir même de dizaines de milliers. Les amas globulaires ont généralement une<br />
forme circulaire, et tourne autour de la galaxie sur des orbites très elliptique en<br />
plusieurs centaines de millions d’années. Les amas globulaires et le noyau de la<br />
galaxie sont peuplés d’étoiles vieilles, contrairement aux régions plus<br />
périphériques. Elles font partis de la population d’étoile de type 2, celle-ci étant<br />
plus pauvre en éléments lourds que les étoiles de population de type 1, dont fait<br />
partie le soleil et qui sont répartis d’une manière générale plus en périphérique à<br />
travers le disque de la galaxie.<br />
Notre galaxie n’est pas seule, elle est accompagnée dans son périple Universel<br />
par deux petits compagnons galactique, que sont les deux nuages de Magellan.<br />
Notre galaxie est bien visible par les belles soirées d’été sans Lune, il s’agit alors<br />
285
de La Voie Lactée qui parcourent le ciel de long en large jusqu’au zénith, et<br />
ayant la forme d’un long nuage immobile et d’aspect laiteux. Ce sont les étoiles<br />
qui la composent qui lui donne cet aspect et il suffit de se lever la tète pour<br />
observer ce merveilleux spectacle. Par contre pour pouvoir l’observer, il faut<br />
s’éloigner des grands centre urbain, car il est impossible de la voir avec la<br />
pollution lumineuse des grandes villes. Notre galaxie et son entourage immédiat<br />
fait partit en réalité de l’une des plus petites structures galactiques de l’Univers. Il<br />
s’agit du groupe local de galaxie qui est composé d’une trentaine de membres de<br />
toutes les grandeurs et de toutes les formes. On y retrouve également des amas<br />
globulaires isolés et errants, des objets planétaires et des nuages de poussière<br />
et de gaz intergalactique de toutes sortes. Le tout est réparti dans un rayon de<br />
plus de 3 millions d’années-lumière.<br />
La position du Soleil dans notre galaxie, La Voie Lactée.<br />
Ensuite nous retrouvons les amas de galaxies, qui sont des structures<br />
galactiques intermédiaires qui regroupent plus d’un millier de galaxies et qui sont<br />
répartis dans un rayon de plusieurs dizaines de millions d’années-lumière. Notre<br />
groupe local est situé sur l’une des périphéries de l’amas local de galaxie, et il se<br />
dirige vers l’amas de virgo situé dans la constellation de la vierge, et qui est<br />
centré sur la galaxie elliptique géant Messier 87. Les superamas de galaxie sont<br />
les avants dernières structures de l’Univers qui est connu à ce jour, et regroupe<br />
en fait les autres structures intermédiaires de galaxies, comme les amas et les<br />
286
groupes locale et le toute répartie sur environ 150 millions d’années-lumière. Le<br />
tout est sous le control de l'influence gravitationnelle et forme des structures de<br />
plus en plus complexes, comme le Grand Attracteur. Découvert en 1990 par Alan<br />
Dressler et son équipe, et qui est situé à plus de 350 millions d’années-lumière<br />
de nous, dans la constellation du Paon et de Centaure.<br />
Nom de la Galaxie<br />
Galaxies Composant le Groupe Locale.<br />
Type<br />
Diamètre<br />
kpc<br />
Distance<br />
kpc<br />
Masse<br />
Solaire<br />
Constellation<br />
La Galaxie La Voie Lactée Sb 30 0 15*10 10 Sagittaire<br />
Grand Nuage de Magellan GNM Irr 1 7 53 1*10 10 Dorade-Table<br />
Petit Nuage de Magellan PNM Irr 1 3 60 2*10 9 Toucan<br />
Messier 31 Sb 50 690 30*10 10 Andromède<br />
Messier 32 E2 1 660 3*10 9 Andromède<br />
NGC 205 E5 2 640 1*10 10 Andromède<br />
Messier 33 Sc 8 690 1*10 10 Triangle<br />
Galaxie du Sculpteur E 1 85 3*10 6 Sculpteur<br />
Galaxie dans Fornax E 2 170 2*10 7 Fornax<br />
NGC 147 E5 1 660 1*10 9 Cassiopée<br />
NGC 185 E5 1 660 1*10 9 Cassiopée<br />
IC 1613 Irr 1 1 740 3*10 8 Triangle<br />
Galaxie du Lion 1 E4 1 230 3*10 6 Lion<br />
Galaxie du Lion 2 E1 1 230 1*10 6 Lion<br />
NGC 6822 Irr 2 470 4*10 8 Lion<br />
Carina E3 2 100 - Carène<br />
Sextants E 2 100 - Sextant<br />
Système de la Petite Ourse naine 1 67 1*10 5 Petite Ourse<br />
Aquarius Irr 0,4 920 - Verseau<br />
Système du Dragon E2 1 67 1*10 5 Dragon<br />
E = Elliptique Irr = Irrégulière Sb-Sc = Spirale.<br />
La structure de l’Univers qui est connu à ce jour, ressemble à une éponge<br />
constituée de bulles dont les parois son occupés par les amas de galaxies, et de<br />
filament très allongé qui représente les superamas de galaxies, servant entre<br />
autre d’interface de jonction entre les bulles. Le reste est constitué de<br />
gigantesque nuage de gaz et de poussière extragalactique et de vastes régions<br />
plus sombres de plusieurs centaines de millions d’années-lumière, situés soit à<br />
l’intérieur des bulles ou à l’extérieur de celles-ci. Alors imaginer maintenant que<br />
287
notre propre groupe local se trouve précisément à la périphérie de l’une de c'est<br />
super-super structure de l’Univers, comme le Grand Attracteur. Et que toutes les<br />
autres structures équivalentes de l’univers qui nous entours, et qui sont d’ailleurs<br />
très hypothétiques, présenteraient justement les mêmes caractéristiques<br />
gravitationnelles. Alors dans de t’elle condition il serait tout à fait normal de voir<br />
toutes les galaxies s’éloigner de nous, étant tous attirées vers la région centrale<br />
de leur propre super-super structure de l’Univers. Ce qui nous donnerait<br />
l’impression d’observer depuis la terre, une forme de dilatation des distances<br />
cosmiques. Ce phénomène pourrait fort bien expliquer par exemple le décalage<br />
spectral vers le rouge de Hubble et qui concerne la fuite des galaxies. Voila qui<br />
mais fin au bref résumé des différentes structures de l’Univers, et à quoi peut<br />
bien ressembler la région de l'univers dans laquelle nous nous retrouvons.<br />
AMAS de GALAXIES<br />
Superbe image du ciel<br />
profond et de l'Univers,<br />
qui a été observé avec<br />
la caméra ACS et le<br />
spectromètre NICMOS<br />
de Hubble. Cette image<br />
représente plus de 10<br />
000 galaxies de toutes<br />
les formes et de toutes<br />
les grandeurs. Ils<br />
existent autant de<br />
galaxies dans l'Univers<br />
visible, que le nombre<br />
d'étoiles qui est<br />
contenue dans notre<br />
propre Galaxie la Voie<br />
Lactée (100 milliards<br />
environ). Ce pourrait-il<br />
que nous soyons seuls<br />
dans une t ‘elle<br />
immensité ?<br />
Hubble Space Telescope.<br />
Alors que dire de plus, pour les autres structures de l’Univers et des différents<br />
champs d’énergie dans lequel ils se trouvent et par lequel ils interagissent en<br />
288
permanences. Les effets que peut subirent la matière-énergie et les ondes<br />
électromagnétiques dans de t’elle milieux cosmiques, et sur de t’elle distance,<br />
sont d’ailleurs toujours inconnu actuellement. N’ayant pas assez de preuve<br />
scientifique et de connaissances requises à ce sujet, pour réellement pouvoir<br />
comprendre l’Univers sur de t’elle échelle de la nature. Les véritables<br />
connaissances sur l’ensemble du phénomène que nous venons tout juste<br />
d’explorer quelque peu, ne sont pas encore véritablement acquises par<br />
l’humanité actuelle, et fait toujours partie de la supposition et non de la science.<br />
Ainsi qui nous dit vraiment que le décalage vers le rouge, ne résulte pas en<br />
réalité d’un phénomène qui est relié à la fatigue des ondes électromagnétiques.<br />
Fatigue causée par leurs différentes interactions avec ses énormes champs<br />
d’énergie et de matière intergalactique et extragalactique, et effectué sur de très<br />
grande distance. Les ondes électromagnétiques traverses ainsi d’énormes<br />
régions qui présente des densités très différentes et constituées de différents<br />
champs électriques, magnétique et gravitationnelle entre autre.<br />
Pour l’instant au lieu de s’aventurer trop loin sur la création et l’évolution de notre<br />
Univers. La science devrait plutôt refaire ses propres devoirs sur le sujet, et non<br />
de faire une démonstration de foi qui n’est pas réellement vérifiable à cette<br />
échelle de la nature. Nous savons qu’il s’agit en fait que d’une simple théorie de<br />
travail permis tant d’autre, mais elle apport des implications mal définit et<br />
trompeuse, qui porte à croire à sa réelle démonstration par le public en général,<br />
ce qui n’est nullement pas le cas. Alors démontrons un peut plus de sagesse et<br />
de vigueur dans nos réflexions, et poursuivons sans relâche notre étude et notre<br />
quête sur les différentes manifestations de la nature, pour éclairer de plus en<br />
plus notre conscience. Avant de s’aventurer dans des conclusions trop hâtives<br />
sur l’origine et la destiné véritable de l’Univers. Et par le fait même de critiquer<br />
l’existence d’un Dieu, dont l’homme ne respect même plus le nom, et de l’espoir<br />
qu’il rejette du revers de la main par manque de morale sur le plan sociale et<br />
humaine.<br />
Ce qui suit fait partie d’une réflexion purement personnelle. Si l’Univers est<br />
réellement infini, sans borne et sans limite. Nous pouvons dans ce contexte<br />
affirmer que l’Univers est également de toute éternité et immortelle envers ça<br />
propre destiné. L’évolution de l’Univers selon ses prémisses serait donc quasi-<br />
289
stationnaire, ni ouvert, ni fermé. Il évoluerait tout simplement de manière très<br />
localisée et d’une douceur remarquable. Chaque région de l’Univers se<br />
transformerait petit à petit et selon les influences portées par les différentes<br />
interactions gravitationnelles de leur entourage immédiat. En fait toutes les<br />
régions de l’Univers subissent une t’elle forme d’évolution et selon l’influence qui<br />
découle de l’ensemble de ses composantes, du plus petit au plus grand et des<br />
particules aux amas de galaxies. Dont les effets combinés se répercute à<br />
différente échelle de la nature, pour finir par être représenté par certaine forme<br />
de comportement et de manifestation, qui se ressemble à certains égards et qui<br />
se répercute finalement sur l’ensemble de l’Univers, à la manière des fractals.<br />
Structure de l’Univers : La représentation des Superamas est entièrement hypothétique et<br />
s’appuie sur aucune véritable observation directe.<br />
290
Pour illustrer ce phénomène d’échelle sur la manifestation des lois de la nature.<br />
Prenons l’exemple qui suit et comparon la structure de l’Univers actuelle à une<br />
toute autre échelle. Faisons la comparaison suivante avec les différents<br />
comportements atomiques et moléculaires. Donc à partir d’une échelle de 10 22<br />
cm, qui correspond aux distances qui se trouvent entre les amas de galaxie, et<br />
dirigeons-nous vers une échelle de 10 –12 cm, pour les atomes. Un ordre de<br />
grandeur qui défi notre propre imagination et qui pourtant est belle et bien réelle<br />
dans la nature. Dans notre exemple les ondes électromagnétiques seront<br />
associées aux différentes interactions gravitationnelles, et les noyaux atomiques<br />
seront représentés par les galaxies. Les électrons représentent les étoiles et les<br />
amas globulaires, et les différents regroupements d’atomes en molécules seron<br />
représentées par les amas et les superamas de galaxie. Ceci n’est qu’une<br />
représentation très fictive et qui se veut très symbolique de la réalité. Ne voulant<br />
en fait que schématiser la résultante qui est portée sur l’influence des corps, par<br />
l’intermédiaire des différentes interactions de la nature et qui peut être<br />
transposée sur différentes échelles de l’Univers à la manière d’un fractal.<br />
Dans un premier temps les atomes vont chercher à former des molécules. Les<br />
atomes s’unissent alors par des liaisons chimiques complémentaires en fonction<br />
de leurs différents niveaux d’énergies disponibles. Ils vont ainsi partager et<br />
associer leurs électrons libres. Pour ce faire, ils font intervenir des champs<br />
magnétiques et des charges électriques, en fonction de leurs différentes<br />
réactions électrochimiques et électromagnétiques. Ainsi les atomes vont finirent<br />
par s’assemblées, pour former des molécules de plus en plus complexes. Ces<br />
différents comportements électrochimiques et électromagnétiques des atomes,<br />
peuvent êtres représentés et transposés à l’échelle galactiques. Comme les<br />
galaxies qui vont se regrouper par différente interaction gravitationnelle, en<br />
différant associations plus ou moins complexes, pour former les amas et les<br />
superamas de galaxies, et qui sont représenté dans notre exemple par les<br />
différentes molécules. Ainsi les lois de la nature qui gouvernent et contrôles les<br />
différentes interactions électromagnétiques des atomes et des molécules. Se<br />
retrouve ainsi représenté sur des échelles de la nature infiniment plus grande,<br />
par le même genre de manifestation et de comportement de la matière-énergie.<br />
Mais qui fait appelle cette fois-ci à d’autre loi de la nature et aux interactions<br />
gravitationnelles. La structure de l’Univers est peut être baser sur le même type<br />
291
de phénomène ou de relativité d’échelle, car l’Univers présente peut être une<br />
structure et un niveau d’organisation de dimension l’infini.<br />
Pour l’instant cette représentation de l’Univers est purement symbolique et ne<br />
s’appuie sur aucun fait d’observation scientifique, il ne s’agit que d’une vision<br />
d’esprit. Mais les différentes relations entre la relativité d’échelle à travers<br />
l’Univers de notre exemple, font belle et bien partie des concepts de la grande<br />
théorie d’unification des lois de la physique. Qui veut unir la relativité générale et<br />
la mécanique quantique, dans une seule et grande théorie unifiée de relativité<br />
quantique. Le problème résulte actuellement de la quantification de la relativité<br />
générale.<br />
Ici nous ne parlons pas encore d’Inflation, de l’énergie et de la matière<br />
sombre/noir, des quasars avec l’effet CREIL (décalage spectral vers le rouge de<br />
l’hydrogène qui entour les étoiles à neutrons et les pulsars, phénomène rendu<br />
possible par la diffusion et l’émission successive) et de l’accélération de<br />
l’expansion qui caractérise le modèle moderne du Big Bang. Enfin avec tout ce<br />
qu’on lui ajoute pour l’ajuster au fur et a mesure a certaine observation, je me<br />
demande si finalement le big Bang n’était pas devenu tout simplement l’objet<br />
d’un dogme, devenus bien mystérieux depuis des années.<br />
292
Les Voyages Spatiaux :<br />
AUTRES SUJETS<br />
Les Voyages Spatiaux – Formule de Drake<br />
Les distances qui séparent les étoiles entre elles sont énormes. Si nous prenons<br />
l’étoile la plus près de nous, qui est Alpha Proxima du Centaure situer à 4,2<br />
années-lumière dans la constellation du même non, soit à plus de 3,9*10 16<br />
mètres. C’est une distance énorme qui est plus de 5 000 fois la distance qui<br />
sépare Pluton du Soleil, qui est elle-même plus de 1 500 fois plus éloignée que<br />
la distance qui sépare la terre de la lune. A la vitesse de nos ondes<br />
d’explorations spatiale actuelle, qui est de l’ordre de 35 km/sec et propulsé à<br />
l’aide de combustible solide. Cela nous prendrait plus de 40 000 ans pour faire le<br />
voyage aller seulement. Par contre si nous envoyons nos ondes d’exploration à<br />
partir d’une base lunaire, et que nous employons la propulsion nucléaire ou<br />
ionique, que nous ne maîtrisons pas encore. Le voyage pour un aller simple<br />
pourrait s’effectuer en 4 000 ans, soit à une vitesse dix fois plus vite et<br />
équivalente à un millième de la vitesse de la lumière. Et si maintenant nous<br />
allons plus loin dans l’évolution humaine, et que nous employons cette fois-ci la<br />
propulsion par annihilation matière-antimatière ou de tout autre forme de<br />
technologie qui nous permettraient de franchire des vitesses encore plus<br />
grandes. Le voyage pour un aller simple pourrait se faire en 400 ans seulement,<br />
et la vitesse serait équivalente à un centième de celle de la lumière. Il est même<br />
possible d’imaginer des moyens de propulsion qui nous feraient voyager encore<br />
plus vite, soit à un dixième de la vitesse de la lumière. A cette vitesse le voyage<br />
serait d’une durée de 42 ans seulement. Ici des voyages interstellaires sous<br />
forme de colonie de l’espace et construite sur des astéroïdes propulsés, serait<br />
alors envisageable pour des aller simple. Mais qui le sait vraiment ce que nous<br />
réserve l’avenir, peut être qu’une nouvelle découverte en physique des particules<br />
viandera tous remettre en question.<br />
Mais pour acquérir cette forme de technologie très avancée, qui nous<br />
permettraient entre autre de faire des voyages intersidéraux. Il semble bien y<br />
avoir une sorte de condition essentielle, que toute civilisation évoluer doit<br />
293
obligatoirement franchir sur le plan technologique et sociologique. Si elle désire<br />
réellement augmenter leur niveau de connaissance et de savoir qui leur<br />
permettrait du manipuler de t’elle forme d’énergie. Il s’agit en fait pour une<br />
civilisation quelconque, d’élever son niveau de conscience morale et de sagesse<br />
envers ses propres semblables. L’acquisition de t’elle moyen technologique, ne<br />
peut s’effectuer que par des investissements massifs et de très grande ampleur,<br />
en ressource humaine et naturelle. Ce qui monopoliserait une grande partie de la<br />
population d’une planète, dans un effort collectif sans précèdent et axée sur un<br />
projet de développement commun, dont le but ultime serait consacré à<br />
l’avancement spirituel et au progrès de leur propre civilisation. Et pour ce faire, il<br />
doit y avoir des situations socio-économiques stables, sans guerre ou de conflit<br />
majeur qui peuvent nuire à la réalisation de cet objectif, ce qui provoquerait la<br />
faillite ou l’auto destruction d’une civilisation.<br />
Photo et schéma de la station spatiale internationale. Photo Nasa.<br />
La construction et le maintient des différentes stations orbitales et planétaires,<br />
occuperaient ainsi une grande partie de leurs ressources et de leurs temps. Une<br />
flotte efficace de vaisseaux spatiaux interstellaire attacher aux ravitaillements, à<br />
l’exploration, aux différentes opérations de sauvetages et de dépannage<br />
d’urgence interstellaire et finalement à la défense et à la sécurité. Devront être<br />
disponible en permanence pour veiller à la sécurité et à la survie de leur<br />
population et de leurs différentes colonies spatiales. La raison pour laquelle la<br />
population d’une planète doit acquérir un niveau moral et de sagesse plus<br />
élevée, est évidente par elle-même. Si nous avions actuellement de t’elle<br />
294
possibilité technologique pour faire des voyages intersidéraux. Qu’elle serait<br />
notre véritable intention à la découverte d’une nouvelle civilisation extraterrestre,<br />
qui serait par exemple moins avancé que la notre sur le plan technologique. Et<br />
bien, il est tout à fait probable que nous essayerons dans un premier temps, de<br />
les conquérir et d’exploiter leur ressource planétaire tout en mettant la population<br />
en esclavage et en tutelle. Cette situation provoquera à coût sur, toutes sortes de<br />
conflit interplanétaire entre espèce et entre civilisation, ce qui pourrait même aller<br />
jusqu’à détruire des planètes et des civilisations tout entières.<br />
L’espèce humaine possède t’elle réellement la sagesse nécessaire à l’utilisation<br />
et à l’usage de t’elle technologie, qui peut détruire une planète tout entière d’un<br />
seul coût, et toute vie qu’elle contient. Nous vivons actuellement des situations<br />
de conflit majeur entre les différentes nations de la planète. Dont les principales<br />
causes sont pour l’instant une forme d’intolérance et de non-respects des valeurs<br />
culturelles des autres, et des désires qui sont reliés au pouvoir et à la richesse<br />
quasi absolue, et ceci sans tenir compte véritablement des intérêts d’ordre<br />
collectif. Les différentes situations socio-économiques reliées au pouvoir,<br />
découle présentement de l’influence qui est dictées et maintenu, par les<br />
différentes classes dirigeantes et dominantes de nos sociétés humaines. Cette<br />
forme d’exploitation psycho-socio-économique des masses, nous empêchent<br />
tout simplement d’entrevoir de nouvelle solution politico-sociale et économique<br />
plus adaptée, à cette nouvelle et éventuel état de crise planétaire qui s’approche<br />
à grand pas. Et pourtant la solution existe belle et bien, il s’agit tout simplement<br />
de favoriser une forme de partage plus équitable des richesses et des<br />
ressources de la terre. Les différents processus de négociations qui sont<br />
actuellement mis en oeuvres, sur la mondialisation des marchés et le commerce<br />
international. Vont t’elles réellement nous apporter des solutions concrètes, à<br />
cette situation de pillage et d’injustice d’ordre planétaire.<br />
Car avant d’aller plus loin dans le futur développement de l’espèce humaine, il<br />
faut inévitablement passer par ses différents processus socio-économiques sur<br />
le plan international et mondial. Si une nation possédait véritablement une t’elle<br />
technologie, basé entre autre sur l’antimatière. Il est pratiquement évidant qu’elle<br />
n'hésiterait pas un seul instant pour l’utiliser dans un ultime espoir de conserver<br />
ses acquis ou pour tout simplement se défendre en dernier recourt. L’espèce<br />
295
humaine détruira t’elle un jour sa propre planète, par des conflits d’ordres si peut<br />
louables aux yeux de la sagesse et de la spiritualité. C’est d’ailleurs le véritable<br />
défit qui lui reste à franchir, pour atteindre finalement la cinquième phase de son<br />
évolution sur terre, et qui est la prochaine étape qui le conduira vers l’age de la<br />
sagesse et vers une dimension de la conscience beaucoup plus éclairé<br />
spirituellement. Pour enfin acquérir un niveau de vie sans équivalence à travers<br />
toutes les différentes époques de notre histoire. Là où enfin il fait bon de vivre et<br />
que tous partagent le même sentiment de sécurité et de paix. Car en fait la<br />
véritable question n’est plus de savoir si la vie a put se développer ailleurs dans<br />
l’Univers, sur d’autres planètes très lointaines. Mais plutôt de savoir si les<br />
voyages interstellaires, sont réellement possible, ce qui donnerait à l’humanité un<br />
espoir inégalé sur sa solitude apparente à travers l’Univers et qui propulserait<br />
également ses options de croyance et de religions, vers des valeurs et des<br />
idéaux beaucoup plus Universelle. La mondialisation est une étape ultime et très<br />
déterminante pour la survie de toute civilisation, car celle-ci caractérise<br />
l’évolution spirituelle de peuples. Mais tout processus de mondialisation doit se<br />
faire dans l’élévation de la conscience spirituelle, car sinon il est pratiquement<br />
impossible de franchire cette étape, sans conflit majeur et très destructeur.<br />
La vie existe ailleurs que sur terre, et elle s’exprime sûrement sur différentes<br />
formes physique et biologique, il ne faut plus en douter. Si la vie existe dans<br />
l'Univers, alors d'autre forme de vie ayant atteint des stades d’évolutions pouvant<br />
aboutire à une forme d’émergence de la conscience, existe également.<br />
Cependant l'émergence de la conscience suit des règles de développement<br />
organique, qui sont eux-mêmes directement sous le control des lois naturelles et<br />
Universelles. L’émergence de la conscience, sur le plan neurophysiologique de<br />
la question, se fait donc petit à petit et sur une très longue période évolutive de la<br />
matière organique, afin de diriger et d’orienter celle-ci vers des niveaux<br />
d’organisation structurelle très complexe. Les civilisations ayant atteint le stade<br />
de développement des voyages interstellaires, possède ainsi des schémas<br />
sociaux, comportementale et morale plus avancée que les nôtres. Et sans la<br />
domestication et la maîtrise de leurs instincts de dominance les plus primitifs, sur<br />
la gestion et le partage de leurs différentes richesses et ressources<br />
environnementales et planétaires. Et bien, il est fort à parier qu'un t'elle niveau<br />
de développement, est tout simplement impossible à franchir, sans favoriser<br />
296
l’intervention de conflit majeur de toutes sortes. Les Ets existent sûrement, et ils<br />
viennent peut-être nous visiter, et ceci à cause de la masse des témoignages qui<br />
s’est effectué depuis bien des années et cela à travers la planète tout entière.<br />
Mais je ne crois pas qu'il nous veules du mal, dans le sens de nous dominer et<br />
de nous exploiter totalement. Cette notion de dominance est caractéristique du<br />
schéma évolutif et comportemental atteint par l'homme à travers son évolution, et<br />
celle-ci est loin d’être terminer. Vous n'avez qu'a pensé aux différentes<br />
technologies qui sont reliées aux nanotechnologies, pour comprendre que s'il<br />
était vraiment de leurs intentions de nous envahires, et bien cela serait fait<br />
depuis belle lurette déjà. L’Univers est rempli de ressource minéralogique,<br />
différents procédés de synthèse organique du carbone, peut-être envisagé à<br />
partire de culture de micro-organisme, et l’eau peut-être puisée directement sur<br />
les comètes ou de certaines Lunes, comme Europa. S’ils sont déjà là, et bien ils<br />
nous surveillent de loin, et ils suivent peut-êtres les lois de l’évolution spirituelle<br />
de la nature, qui dicte entre autre la non-ingérence entre civilisation planétaire<br />
différente et émergente. Ils voudront peut-être intervenir un beau jour, pour nous<br />
prévenir des dangers, que peut nous faire subire nos propres dirigeant dans<br />
leurs différentes courses et recherche de pouvoir. Pouvoir qui est basé<br />
essentiellement sur l'économie d’exploitation de masse et le mensonge. Dans<br />
ses conditions, il est désormais facile de comprendre que nos propres dirigeants<br />
ne veulent points libéralisé réellement la population planétaire, ce qui leur<br />
feraient perdes leur propre contrôle sur les populations. La dominance et les<br />
sentiments de pouvoir qui en découle, sont des attrais majeurs pour ceux dont la<br />
vie de leurs prochains ne compte guères, le pouvoir leur sert de levier pour<br />
asservir, exploiter et soumettre leur semblable à leur seul et propre profit.<br />
Imaginer maintenant une société humaine, qui serait basée sur des lois de<br />
développement plus durable et rempli de sagesse, d’égalité et de justice pour<br />
tous. Une société ou le partage des ressources et des richesses de la planète se<br />
ferais véritablement, devenant même un réflexe spirituel exprimé par tous et pour<br />
la sauvegarde de l’environnement. Une société dont les valeurs seraient d’ordre<br />
plus Universel, et non plus délimité par la partisanerie et le rejet des autres a<br />
cause de leur différence. Et bien plus un système socio-politique en place<br />
actuellement, n'aurait encore d'attrait pour l'ensemble de la population mondiale,<br />
297
qui est soumise à l'heure actuelle aux injustices et aux inégalités de toutes<br />
sortes. Nous sommes tous maintenut étroitement dans un état de dépendance<br />
exploitable par la classe dominante, sans aucun autre espoire d’obtenire la<br />
moindre petite parcelle d’autonomie collective sur le plan régionale, et ceci face à<br />
la survit même de notre civilidation. Surtout lorsque celle-ci rencontera encore<br />
des catastrophes naturelles, qui pourraient-êtres à l’avenir de plus en plus de<br />
grande envergure et provoquées directement pour la plupart d’entres-elles, par la<br />
mains de l’homme.<br />
C'est peut-être de cela, que nos dirigeants planétaire et avide de pouvoir, ont<br />
réellement peur. Ils ont peut-être peur de l'ouverture d’esprit et de l’éveille de la<br />
conscience de l'homme, qui pourrait s’orienter vers des notions et des croyances<br />
d’ordre plus Universel et plus spirituel. Valeurs pouvant transcender les religions,<br />
les cultures de toutes les nations et qui serait alors exprimé à l'égales des<br />
véritables sentiments et valeurs humaines envers nos semblables, qui sont en<br />
réalité nos frères de la terre. Ils ont peut-êtres peurs, que la population dise enfin<br />
sa suffit, et désire désormais appliquer des véritables règles de développement<br />
sociale et spirituelle à travers le monde. Orienté cette fois-ci, vers de nouvelle<br />
manière de voir et faire les choses, dans le but de favoriser un nouveau système<br />
réellement démocratique et non soumis aux lois du marché, visant la paix et le<br />
respecter de chaque liberté et culture de tous. C'est peut-être de ça, que nos<br />
dirigeants planétaire ont réellement peur ! Il cache des vérités qu’ils ne<br />
connaissent ou qu’ils ne comprennent pas, aux sujets des civilisations<br />
extraterrestres par exemple, qui nous visiteraient peut-êtres, et dont-ils ne<br />
voudraient pas reconnaître ou cacher la présence.<br />
Formule de Frank Drake :<br />
Selon la formule de Frank Drake, soit t = T * fp * ne * fv * fc. Ou t représente le<br />
taux d’émergence annuelle des civilisations techniques et présentes dans notre<br />
galaxie. T représente la formation annuelle des étoiles dans notre galaxie. fp est<br />
la fraction des étoiles qui possèdent un système planétaire. ne représente la<br />
moyenne des planètes par système planétaire. fv est la fraction ou la vie s’est<br />
vraiment développer sur une planète et fc est la fraction des planètes ou la vie a<br />
conduit au développement d’une civilisation technique avancée. Selon cette<br />
298
formule qui est d’ailleurs très hypothétique, ils existeraient présentement<br />
plusieurs centaines de milliers de civilisations technologiquement avancées dans<br />
notre propre galaxie seulement, et plusieurs millions ayant des niveaux<br />
inférieurs. Alors imaginer maintenant un Univers composé de centaines de<br />
milliard de galaxies, qui sont elles-mêmes composées de centaines de milliards<br />
d’étoiles. Avec tous ses chiffres en tètent, pensé-vous vraiment un seul instant<br />
que nous sommes seuls dans l’Univers, bien sur que non. Les différentes<br />
recherches qui ont été effectuées jusqu’à présent sur les différents systèmes<br />
extra-planétaires. Semble bien vouloir démontrer en réalité, que la naissance et<br />
l’évolution des planètes autour des étoiles est une condition plus générale à ce<br />
qu’ont croyait jadis, envers les différents stades de l’évolution et de la formation<br />
des étoiles.<br />
Les lois de la nature qui sont impliquées dans les différents processus de<br />
l’origine et de l’évolution de la vie, sont appliqués à l’ensemble de l’Univers. Un<br />
quelconque événement naturel qui s’est déjà produit à un endroit donné de<br />
l’Univers, ne fait pas partie du hasard. Et aura de toute évidence les mêmes<br />
probabilités et possibilités de se reproduire ailleurs dans l’Univers. Une autre<br />
région qui présenterait alors sensiblement les même conditions initiales et qui lui<br />
seront offert par la nature. Ses différentes lois évolutives de l’Univers axées sur<br />
l’organisation et la complexification des différentes structures de la matière-<br />
énergie, nous sont tout simplement encore inconnu dans leur ensemble pour<br />
l’instant.<br />
Ici il ne s’agit plus de savoir si nous sommes seuls dans l’Univers, mais belle et<br />
bien de savoir si un jour il serait possible d’établir une forme de contacte ou de<br />
communication avec d’autres civilisations d’origines extraterrestres. Si nous<br />
n'avons pas encore établit de contacte ou reçus de message d’une autre<br />
civilisation, cela veut peut être dire qu’aucune civilisation avancée sur le plan<br />
technologique, ne se trouve présentement dans les parages immédiats de la<br />
terre. Et qui se trouverait par exemple à l’intérieur de la bulle électromagnétique<br />
d’influence humaine, qui a été créé depuis une cinquantaine d’années déjà, par<br />
la technologie télévisuelle et radiophonique. Cette bulle composée d’ondes<br />
électromagnétiques, voyage dans l’espace à la vitesse de la lumière, et couvre<br />
donc depuis les années 1950, une sphère de plus de 60 al de diamètres qui<br />
299
augmente toujours d’année en année. Cette dimension est d’ailleurs très minime<br />
comparée à l’échelle de la galaxie ou de l’Univers, elle englobe que quelque<br />
centaine d’étoiles permis celles les plus proches. D’ailleurs il faudrait se poser<br />
sérieusement la question, à s’avoir qu’elle longueur d’onde faut-il réellement<br />
utiliser pour effectuer les recherches. Celle de l’hydrogène situé à 21 cm est-elle<br />
véritablement la bonne, est-ce vraiment une bonne idée de se brancher sur la<br />
fréquence la plus utilisée par l’hydrogène interstellaire. Celle-là même qui est<br />
absorbée et diffusée de toute part par la matière et la poussière qui se trouve<br />
entre les étoiles, et qui brouille et nous empêche en quelque sorte de voir plus<br />
loin. Ou s’agit-il tout simplement que les civilisations extraterrestres ne sont tout<br />
simplement pas intéresser à prendre contact avec nous, pour quelques raisons<br />
que se soit. Pensons aux différents phénomènes OVNIs qui ont été vus de part<br />
la monde entier, et ceci depuis bien des années déjà, mais plus particulièrement<br />
à partir de 1947.<br />
Les principales arguments utilisés sur l’impossibilité d’effectuer des voyages<br />
intersidéraux et pour effectuer un quelconque contact direct avec une civilisation<br />
extraterrestre. Et cela sans passer par des transmissions électromagnétiques,<br />
qui serait alors décalé dans le temps et sûrement très brouillés selon les<br />
différentes technologies employées. Il s’agit en fait de la fameuse théorie de la<br />
relativité générale d’Albert Einstein de 1915, et donc nous avons discuté au tout<br />
début de ce livre. Mais qui le sait vraiment si un jour un nouvel Einstein, ne<br />
viendra pas tout simplement remettre en question les fondements même de la<br />
physique. Notre civilisation est encore très jeune, et ça ne fait qu’un siècle en<br />
réalité que nous avons exploré le monde quantique et relativiste de la matière-<br />
énergie, dont nous continuons à explorer avec des instruments de plus en plus<br />
perfectionnés. Alors que dire des prochaines découvertes à venir sur les lois de<br />
la nature, sont t’elle devenu absolues elles aussi aux yeux des physiciens et face<br />
à l’avenir de l’humanité. Voilà pas si longtemps, ont n'aurait jamais cru possible<br />
de voler comme les oiseaux, de transmettre image et son au-delà des continents<br />
et de manière instantanée et encore moins de faire des explorations planétaires<br />
ou d’aller sur la Lune.<br />
En fait tout est permit à l’imagination de l’homme, qui est d’ailleurs la seule et<br />
véritable gardienne de l’espoir, et qui sert entre autre de précurseur et de<br />
300
prémisse aux différentes idées créatrice et fantaisiste de la science fiction. Qui<br />
par la suite peut prendre forme et devenir ainsi précurseur de toute nouvelle<br />
réalité, toujours axé sur les plus grandes percées d’ordre technologique ou<br />
scientifique de la communauté humaine. Alors ne soyons pas trop pessimisme<br />
envers l’avenir et envers la possibilité de faire des voyages intersidéraux, car rien<br />
n’est loin d’être acquis en ce domaine. Seul l’avenir pourra véritablement nous<br />
confirmer de manière absolue et définitive cette possibilité de faire des voyages<br />
spatiaux.<br />
301
VERS LES CONSÉQUENCES ACTUELLES<br />
L’Effet de Serre – Démographie et Guerre – Maladies<br />
et Épidémies – Les Autres Dangers – Conclusion.<br />
La nature réagira d’elle-même<br />
à tout changement de son<br />
état d’équilibre et d’harmonie<br />
initiale, que l’homme par<br />
mégarde pourra lui infliger, le<br />
mettant ainsi en très grand<br />
danger face à lui-même.<br />
L’homme moderne possède donc des attributs intellectuels, morales et<br />
sociales très avancés par rapport aux autres espèces du règne animal et<br />
par rapport aux différentes époques de son histoire et de son évolution sur<br />
terre. Ces différentes capacités mentales et spirituelles, sont d’ailleurs très<br />
étroitement reliés à un certain degré de conscience, qui est axé sur<br />
l’analyse associative et sur l’interprétation du monde qui nous entours.<br />
Ces différentes caractéristiques de la conscience humaine, ont été<br />
acquises par l’évolution de certaines parties bien spécifiques de notre<br />
cerveau et envers également les différentes connaissances apprissent et<br />
transmissent à travers toutes les différentes époques de notre histoire. Cet<br />
aspect de l’évolution du cerveau et de la conscience humaine, qui ont été<br />
associé tout au long des chapitres précédents, à certains types de<br />
comportements reliés à la dominance, et ceci pour mieux illustrer les<br />
différents types de comportements de l’homme, face à la recherche et à la<br />
conquête du pouvoir et de ce qu’il veut en faire. Ont été suffisamment<br />
approfondis, pour nous donner une très bonne idée de la véritable nature<br />
de l’homme, face aux prestiges, aux privilèges et aux différents incitatifs<br />
qu’il ce donne parfois pour y parvenir, et ceci afin de soulager son esprit<br />
de convoitise et de cupidité. Surtout si nous le laissons seul devant un<br />
grand coffre ouvert et remplis de trésor.<br />
La curiosité et le désir d’acquérir plus de pouvoir, a toujours poussé<br />
l’homme à explorer et exploiter tout ce qui l’entour, afin d’élargir son<br />
territoire et ses richesses. Il a ainsi démontré une préférence envers la<br />
méprise et la destruction de tous ce qui pouvait nuire à sa conquête du<br />
monde, et cela même envers ses propres semblables. L’homme à la<br />
fâcheuse habitude d’exploiter et d’épuiser les différentes ressources de la<br />
nature, sans faire la moindre planification à long terme et sans effectuer<br />
également un véritable partage des richesses. Et cela malgré les<br />
différentes conséquences que cela peut entraîner envers l’environnement<br />
et envers lui-même. L’insouciance et l’incohérence qu’il démontre ainsi<br />
face à une véritable compréhension de la nature, reflète en réalité le niveau<br />
de conscience qui est atteint par son évolution et son développement<br />
spirituel et moral. L’homme a pourtant le droit et le devoir d’utiliser tous les<br />
pouvoirs nécessaires, qui lui sont accordés et mis à sa disposition pour<br />
302
lui permettre d’agire de manière plus convenablement sur son<br />
environnement. Et ceci afin d’améliorer son propre confort de vie et pour<br />
également acquérir toutes les connaissances nécessaires à son<br />
développement et à son épanouissement individuel et collectif.<br />
En fait, tout est permis à l’homme sur le plan de la morale et spirituel, il doit<br />
tout simplement raisonner d’une certaine manière afin d’éviter de subire<br />
les conséquences néfastes de ses propres actes de destruction et il doit<br />
également prêter une attention plus particulière à son prochain et envers le<br />
respect de l’équilibre naturel des choses. L’homme possède une<br />
conscience qui lui permet de comprendre et d’interagire avec la nature, qui<br />
nous est d’ailleurs supérieur à tous les égards, et ceci malgré tout ce qu’on<br />
puisse en dire. L’homme n’a cependant aucune légitimité morale de<br />
détruire et de tuer sans aucune raison. De dominer et d’exploiter de façon<br />
perverse ses propres semblables, soit pour des raisons de profitabilités ou<br />
d’abus. De créer et de favoriser des injustices et des iniquités sur le plan<br />
social et humain, car en fait nous sommes tout égaux et libres sur le plan<br />
de la spiritualité, de la morale et envers la nature.<br />
Sans une bonne gestion et une meilleure planification de l’exploitation des<br />
différentes ressources naturelles de la terre, nous nous dirigeons<br />
inévitablement vers leur épuisement total. La Terre étant d’une dimension<br />
bien précise par rapport aux différentes interventions et impactes, que lui<br />
fait subire actuellement l’espèce humaine tout entière. Il arrivera un beau<br />
jour, ce qu’il doit inévitablement arriver envers l’équilibre naturel et<br />
environnemental se trouvant à la surface de celle-ci. C’est-à-dire vers une<br />
pénurie de plus en plus grande des différentes ressources et richesses de<br />
la terre, et ceci face à une population mondiale toujours croissante. Il est à<br />
prévoir que cette situation favorisera alors des conflits et des guerres de<br />
toutes sortes, entre les peuples et les différentes nations de la terre. Mais<br />
ou cela peut nous conduire, si nous ne changeons pas immédiatement nos<br />
différentes manières de faire envers la nature et envers nos semblables.<br />
Nous détruisons à l’heure actuelle tout ce que la nature à mit tellement de<br />
temps à réunire et a préparé, pour afin trouver une forme d’équilibre<br />
environnementale. La terre possède actuellement une biodiversité si<br />
complexe, qui évolue dans des habitats très différents les uns par rapports<br />
aux autres. Plusieurs de ses écosystèmes de la biosphère terrestre, ne<br />
pourront tout simplement pas survivent ou s’adapter de manière adéquate<br />
à des changements si dramatiques, qui sont portés sur l’équilibre<br />
environnemental de la planète.<br />
L’homme pourrait êtres éventuellement l’une de ses espèces condamner à<br />
disparaître de la surface de la terre. Comme le sont actuellement plusieurs<br />
espèces du règne végétal et animal, à un tau d’extinction jamais vu<br />
auparavant à travers toutes les époques géologiques de la terre. Pour la<br />
première fois dans toute l’histoire et l’évolution de l’espèce humaine, la<br />
303
terre semble être devenue trop petite pour continuer à entretenir la survie<br />
et l’évolution de l’espèce humaine tout entière. Sans retournement<br />
drastique de nos différentes priorités politiques, économiques et sociales,<br />
la prochaine étape de l’évolution humaine, sera peut-être caractérisé par<br />
des événements catastrophiques et sans possibilité de retour en arrière. Et<br />
ceci semble de plus en plus proche qu’on le croit, il s’agit d’un intervalle de<br />
temps pouvant s’échelonner sur une période de quelques dizaines<br />
d’années à un siècle seulement. Il est donc très important et urgent d’agire<br />
immédiatement, pour nous-même et pour nos petits enfants.<br />
Présentement l’espèce humaine est confrontée à plusieurs type de danger<br />
potentiel, pouvant menacer sa propre survie sur la surface du globe. Au<br />
lieu de trouver des solutions adéquates et concrètes pour résoudre cette<br />
situation très désavantageuse, nous jouons présentement à l’autruche et<br />
nous nous écartons de nos véritables responsabilisées collectives et<br />
individuelles, envers le genre humain et envers également l’environnement<br />
et la nature. Si nous continuons à ne rien faire, face à l’accumulation<br />
croissante des différentes situations pouvant menacer la survie de notre<br />
propre espèce. Il pourrait bien arriver un beau jour, que nous soyons tous<br />
confronté à des situations catastrophiques et incontrôlables, pouvant avoir<br />
des impacts majeurs sur l’équilibre environnemental de la planète. Un jour<br />
qui semble de plus en plus proche de notre époque actuelle, et qui semble<br />
déjà pointer à l’horizon. Voici quelques-unes de ses situations, à laquelle<br />
nous saurons tôt ou tard confronté.<br />
L’Effet de Serre :<br />
Il suffit de pensé à l’effet de serre et à ses différentes conséquences<br />
possibles sur l’environnement, dont les effets pourraient bien se faire<br />
ressentir d’ici un siècle seulement. L’effet de serre est provoqué<br />
essentiellement par l’accumulation dans l’atmosphère de certaines<br />
molécules très volatiles, comme le dioxyde de carbone (CO2), le méthane<br />
(CH4) et l’eau (H2O), ainsi que plusieurs autres. La caractéristique<br />
principale de ses molécules, concerne leur propriété à retenir le<br />
rayonnement thermique et infrarouge de la terre, qu’elles absorbent et<br />
diffuse par la suite dans l’atmosphère qui la retient. Ces molécules<br />
contribuent ainsi à l’augmentation de la température moyenne de la surface<br />
de la terre. Les différentes ententes et négociations internationales, qui ont<br />
déjà été entreprises sur l’environnement, comme celle de Mexico, de Tokyo<br />
et de Kyoto, devront donc à l’avenir êtres prient et appliquées de manière<br />
beaucoup plus sérieuse. Car au niveau des différentes ententes actuelles,<br />
qui est axées sur la diminution des gaz à effet de serre de 6% en moyenne.<br />
L’application de ses normes, n’aura que très peut d’effet et d’impacts réels,<br />
sur le réchauffement futur de la planète. Les USA, L’Inde, la Chine et<br />
plusieurs autres pays, n’ont pas encore signé le protocole de Kyoto, et ses<br />
pays serons dans l’avenir, les principales pollueurs de la planète.<br />
304
Nous faisons face actuellement à une augmentation de plus de 30% de CO2<br />
par rapport au début de l’ère industrielle, qui a débuté vers le milieu des<br />
années 1800. Selon certain modèle météorologique, nous pourrions faire<br />
face à une augmentation de plus de 60% de CO2 d’ici l’an 2100, si cela se<br />
confirme réellement, alors le réchauffement de la planète sera inévitable et<br />
d’une ampleur indescriptible. Nous retrouvons actuellement des traces de<br />
cette pollution, dans les régions les plus isolé et reculés de la planète,<br />
comme le continent arctique et antarctique.<br />
Une augmentation de 1 à 5 degrés Celsius est possible d’ici quelques<br />
dizaines années seulement et selon certaines estimations, nous aurions<br />
déjà atteint actuellement une augmentation moyenne de 0,6 o C. Plus<br />
l’augmentation réelle de la température moyenne sera élevée et plus les<br />
effets seront catastrophiques sur l’environnement (exponentiel). Dans un<br />
premier temps les différents effets se feront ressentire par des variations<br />
climatiques très brusques et de courtes durées, ils seront alors situés et<br />
localisés dans certaines régions bien spécifiques du globe. Ces différents<br />
phénomènes seront espacer aux débuts par de longue période de temps,<br />
mais elles se rapprocheront de plus en plus par la suite. Démontrant ainsi<br />
l’établissement d’un nouveau processus d’équilibre environnemental de la<br />
nature.<br />
Voici donc une liste des premiers effets environnementaux, qui pourrait<br />
très bien résulter d’un réchauffement possible de la planète. Situation qui<br />
ressemble beaucoup d’ailleurs, à ce que nous vivons déjà sur le plan<br />
international et environnemental, n’est-ce pas. Pensons à la crise du<br />
verglas qui a eu lieu au Québec en janvier 1998, et qui a plongé plus de la<br />
moitié de sa population dans la noirceur la plus totale. Le Québec est une<br />
province du Canada qui à une population de plus de 7 millions d’habitants,<br />
et celle-ci est répartie sur un très vaste territoire. La crise a durée plus de<br />
cinq jour dans la région de Montréal, mais c’est prolongé sur plusieurs<br />
semaines dans certaines autres régions du Québec. La crise a été causée<br />
par des pannes électriques d’une ampleur jamais vue auparavant.<br />
L’accumulation du verglas sur les files et les pylônes de transport<br />
électrique d’hydro Québec, on fait que plusieurs de ses structures se sont<br />
tout simplement écroulées sous le poids du verglas. Une autre crise de<br />
verglas est survenue en 2002 au Vermont, qui est situé sur la cote Est des<br />
USA, et le Québec fut touché une autre fois en 2005, dans la région de<br />
Sept-Îles sur la cote Nord, mais cette dernière fut de moin grande<br />
envergure que celle de 1998. Pensons également aux grandes inondations<br />
qui se produise depuis quelque temps et un peut partout sur la planète. De<br />
certaine sécheresse qu’ont retrouve également un peut partout depuis<br />
quelque temps et pouvant provoquer des incendies majeurs de foret. Des<br />
ouragans et des tornades, qui semblent vouloirs démontrer de plus en plus<br />
de violence et qui sont de plus en plus fréquents.<br />
305
La Nasa Confirme le Réchauffement de la Planète.<br />
Les mesures du système<br />
"Clouds and the Earth's<br />
Radiant Energy System"<br />
(CERES) montrent la radiation<br />
solaire réfléchie (à gauche) et<br />
la chaleur émise par la Terre (à<br />
droite) le 1er janvier 2002. Sur<br />
les deux images, les zones les<br />
plus claires représentent les<br />
gros nuages qui bloquent la<br />
radiation solaire et la chaleur<br />
sous forme d'infrarouges émis<br />
par la Terre.<br />
Des scientifiques de la NASA (l'agence spatiale américaine), Columbia<br />
University, New York, et du Laboratoire National Lawrence Berkeley, Berkeley,<br />
Californie ont démontré que la Terre absorbe plus d’énergie solaire qu’elle n’en<br />
émet vers l'espace.<br />
Le bilan énergétique de la Terre n'est plus équilibré<br />
Avec un cumul d'environ 0,85 watts par mètre carré, leurs travaux mettent en<br />
évidence que le bilan énergétique de la Terre n'est pas nul et conduira à un<br />
réchauffement de la température moyenne de la Terre d'environ 0,6°c d’ici à la<br />
fin du siècle.<br />
Les scientifiques à l'origine de ses nouvelles informations précisent qu'avant les<br />
années 1960, le surplus ne dépassait pas quelques dixièmes de watt et que ce<br />
n'est que depuis le début du XXième siècle que le phénomène s'est emballé.<br />
Vers une augmentation du niveau des océans<br />
Les conséquences prévisibles et déjà visibles sont une augmentation des<br />
niveaux moyens des océans à cause notamment de la fonte des calottes<br />
glaciaires et surtout de la dilatation thermique des océans. Depuis 1993, des<br />
satellites de mesure du niveau des océans ont enregistré une élévation de 3,1<br />
cm par dizaine d'années.<br />
C'est donc un défi considérable qui attend l'espèce humaine. Nous relâchons<br />
actuellement dans l'atmosphère 7 milliards de tonnes de carbone par an. Pour<br />
stabiliser la situation, il faudrait descendre à 2 milliards de tonnes.<br />
Les années comprises entre 1997 et 2002, en excluant les années<br />
suivantes, ont été permis les années les plus chaudes de l’histoire, depuis<br />
l’époque industrielle. Nous battons régulièrement des records de<br />
température chaude, avec des hivers de plus en plus doux. Depuis quelque<br />
temps, et durant la saison estivale nous avons dans nos régions tempérées<br />
de plus en plus de journée avec des températures chaude et très<br />
accablante, de par leur taux d’humidité très élevé et dépassent souvent les<br />
306
35 o C avec le facteur humidex. Ces différentes conditions atmosphériques,<br />
favorise également la création d’énorme nuage de smogs à l’intérieur de<br />
nos grandes villes. Le smog est un nuage de pollution qui est constitué<br />
essentiellement par l’ozone (O3), et qui est créé par l’échappement des<br />
hydrocarbures de nos véhicules. Le smog diminue grandement la qualité<br />
de l’air que nous respirons et il est très nuisible pour la santé publique. La<br />
présence du smog, est directement associé à une augmentation drastique<br />
du nombre d’hospitalisation de personnes souffrantes de maladie<br />
pulmonaire, de différentes formes d’allergies et d’insuffisance cardiaque,<br />
surtout pour les personnes âgées et à risque.<br />
Cette courte description sur les différents impactes possible sur<br />
l’environnement, et qui pourrait être causé par l’effet de serre, n’est que la<br />
première phase concernant les conséquences possibles du réchauffement<br />
de la planète. La deuxième phase, si elle se réalise vraiment, sera plus<br />
catastrophique et plus persistante que la précédente. Dans un premier<br />
temps nous assisterons à des sécheresses de plus en plus persistante<br />
dans les régions équatoriales, favorisant ainsi les famines, les maladies et<br />
les épidémies de toutes sortes. Les régions plus tempérer et arctique<br />
seront tant qu’à eux, beaucoup plus chanceux, n’étant confronté qu’à des<br />
climats de plus en plus doux et chaud. Nous assisterons également à la<br />
fonde progressive des glaciers des régions polaires, comme cela semble<br />
déjà être le cas dans les régions arctique du pole Nord. Provoquant ainsi la<br />
monté des océans par l’accumulation de l’eau et par la dilatation de celle-ci<br />
causé par des températures moyennes plus hautes. Inondant ainsi toutes<br />
les régions côtières se trouvant en dessous d’une certaine limite du niveau<br />
de la mer, et qui selon certaine estimation pourrait être au alentour de 30<br />
mètres. La fonde des glaciers aura également des conséquences très<br />
graves sur le climat mondial, pouvant même changer la situation<br />
climatique de plusieurs régions de la planète et qui sont totalement<br />
inconnu pour l’instant. Mais l’une des plus grandes crainte, est orienté vers<br />
les l’effet d’emballement possible, qui pourrait-être provoquer par la<br />
libération subite du méthane qui est présentement contenu à l’intérieur du<br />
pergélisol des régions arctique. Le méthane a un effet multiplicateur de<br />
plus de mille fois supérieures que le CO2, sur le réchauffement planétaire.<br />
Plus nous attendons pour trouver des solutions concrète à l’effet de serre<br />
et à la pollution en général, plus la situation deviendra incontrôlable et<br />
irréversible. Dans un proche avenir, une des causes majeures qui<br />
favorisera l’augmentation et l’émission des gaz à affect de serre dans<br />
l’atmosphère, sera dut essentiellement par l’augmentation démographique<br />
et l’industrialisation des pays pauvres. L’Afrique, l’Inde et la Chine ainsi<br />
que plusieurs autres pays en voient de développement, contribuerons<br />
davantage à l’avenir à l’augmentation de la pollution et des gaz à effet de<br />
serre. Le développement industriel de ses pays se poursuivra, et sans<br />
aucune véritable entente ou négociation sur le plan des politiques<br />
307
international, orienté vers un partage plus équitable des richesses et des<br />
ressources naturelles de la terre et sur l’application immédiate de solution<br />
face à la pollution atmosphérique. Le développement des pays pauvres,<br />
sera effectuer au dépend de la qualité l’aire et de l’environnement<br />
planétaire. Cela n’enlève pas pour autant la véritable responsabilité des<br />
pays riches et industrialisés, concernant leur propre contribution<br />
historique à l’augmentation des gaz à affect de serre et ceci malgré la<br />
signature de plusieurs protocole de réduction. Les pays en voit de<br />
développement, voudront-ils vraiment nous écouter, ou le désir de<br />
richesses et de conforts matériels les pousserons à poursuivre d’avantage<br />
leurs propres développements, sans tenir compte réellement des<br />
avertissements en provenance de l’occident face au danger potentiel. Ils<br />
ont le droit également d’améliorer leur propre condition de vie et de confort<br />
matériel.<br />
La provenance des carburants fossiles, comme le pétrole, le charbon et les<br />
gaz naturelle, qui sont responsables de l’augmentation du CO2 dans<br />
l’atmosphère et de l’effet de serre sur terre. Nous proviennent des<br />
différentes réserves sédimentaires de la nature, qui ont été enfouis dans le<br />
sol et conservé depuis des dizaines et des centaines de millions d’années<br />
à travers les différentes périodes géologiques de la terre. Le pétrole est le<br />
fruit de la décomposition d’organismes animale des milieux marins et<br />
aquatiques, comme la précipitation et la sédimentation du zooplancton<br />
dans les fonds sous-marins. Le charbon est le résultat de la décomposition<br />
naturelle des plantes terrestre et marécageuse. L’origine de leur formation<br />
résulte de leur décomposition dans des milieux anaérobies et de leur<br />
accumulation successive sur le plan géologique, qui ont été recouvertes<br />
par la suite par différentes couches sédimentaires et minéralogiques. La<br />
période géologique du carbonifère est en grande partie responsable des<br />
réserves fossiles de charbon et des hydrocarbures comme le pétrole. La<br />
révolution Industrielle du milieu du XVIII èm siècle à été basé sur<br />
l’exploitation et la consommation de ces différentes ressources naturelles<br />
de la terre, entre autre pour la production d’énergie et elle est étroitement<br />
responsable de notre niveau technologique actuel.<br />
Aujourd’hui nous effectuons donc le processus inverse de la nature, avec<br />
la production et la consommation des produits dérivés du pétrole, et par la<br />
production d’énergie par le charbon. Nous redistribuons en fait, les stocks<br />
de CO2 qui ont été stocké par la nature et qui ont permis d’établir les<br />
conditions d’équilibre environnementales actuel. La modification résultant<br />
de l’augmentation dans l’atmosphère de la concentration en CO2, aura pour<br />
effet de revenir en arrière. Favorisant davantage des conditions de vie<br />
environnementales plus anciennes, dont la plupart des organismes vivant<br />
actuelles, ne sont tout simplement pas adaptés de manière adéquate, pour<br />
surmonter des changements effectués de manière si brusque. Notre<br />
308
technologie nous a permit d’évoluer et de comprendre d’avantage la<br />
nature, elle nous détruira peut-être si nous la surveillon pas de plus près.<br />
Démographie et Guerre :<br />
La richesse que détient présentement les pays les plus riches et les plus<br />
industrialisés de la planète, ne durera pas éternellement. Et, puisque la<br />
démographie est toujours grandissante dans les pays les plus pauvres,<br />
nous allons très rapidement nous retrouver avec un déséquilibre énorme<br />
dans la distribution et le partage des richesses et des ressources<br />
naturelles de la terre. Cette situation deviendra un véritable problème<br />
majeur, d’ici quelques dizaines d’années seulement, avec l’arrivé de plus<br />
de deux milliards de nouveaux pauvres sur la planète, principalement en<br />
Afrique et en extrême orient. Cette situation deviendra à coût sur, l’un des<br />
plus grand défit de toute l’humanité pour le prochain siècle et ceci envers<br />
une mondialisation plus équitable des marchés.<br />
La disparité pourrait devenir de plus en plus grande, entre les pays les plus<br />
riches et les plus pauvres de la planète. Les laissant ainsi sombrer dans la<br />
détresse, le désespoir, la maladie, la pauvreté et la famine la plus totale.<br />
Cette disparité pourrait favoriser des conflits et des guerres de toutes<br />
sortes. Et cela juste pour le profit de quelques individus très privilégiés de<br />
la planète, qui nous contrôlent et nous dirigent dans le seul but de garder<br />
juste pour eux, les différentes richesses de la terre. Sans un partage<br />
véritable et plus équitable des richesses et des ressources de la terre, nous<br />
nous dirigeons vers des situations conflictuelles très graves et qui<br />
pourraient survenir dans un avenir très proche, pouvant alors provoquer<br />
des conflits et des guerres majeures entre les différentes nations. La<br />
pauvreté favorisera la montée de l’intégrisme sur toutes ses formes, qui<br />
sera alors causée par l’indifférence et l’insouciance du monde occidental.<br />
Nous sommes d’ailleurs déjà confrontées à cette nouvelle situation, avec<br />
les derniers événements faisant référence à la monté du terrorisme<br />
international, dirigé surtout contre les intérêts américains, certains pays<br />
européens et envers le capitalisme sauvage et oppresseur en générale.<br />
Pour un peut plus de détail à ce sujet, référer vous à la situation<br />
conflictuelle du Proche Orient et de l’Asie centrale du début des années<br />
2000, et qui est amplement décrite dans l’introduction.<br />
Présentement ce sont les Américains assistés par certains anciens pays<br />
colonisateur de l’Europe qui influence, contrôle, surveille et dirige les<br />
différentes politiques économiques sur le plan du développement<br />
international et mondial. Sans se préoccuper d’avantage de la réelle<br />
situation des autres pays et démontrant également aucune approche et<br />
aucun désir envers une certaine forme de partage plus équitable des<br />
différentes richesses de la terre, qui est pourtant la seul et véritable<br />
solution à tous nos problèmes actuels. Quand sera t’il d’ici quelques<br />
309
années seulement, avec le pouvoir et la situation économique toujours<br />
grandissante de la Chine. Se pliera t’elle aux bonnes volontés des pays<br />
Occidentaux, lors d’une nouvelle situation conflictuelle et économique très<br />
graves, comme par exemple de la prise par les Américains du contrôle du<br />
pétrole du moyen orient et faisant suite à leur diminution drastique par la<br />
suite.<br />
Maladies et Épidémies :<br />
Une des grandes peurs au niveau des maladies et des épidémies de ce<br />
début du XXI èm siècle, concernes surtout une situation pandémique comme<br />
celle de la fameuse grippe espagnole de 1917-18, qui a fait plus de 20<br />
millions de victimes de part le monde. La particularité du virus de la grippe<br />
qui en a été la cause à cette époque, provenait d’une certaine forme de<br />
mutation située à l’intérieur de sa structure génétique. Dont l’homme ne<br />
possédait pas à cette époque, l’immunité requise envers la fabrication<br />
d’anticorps pour le combattre. En fait, le virus influenza qui est le virus de<br />
la grippe, n’est jamais semblable d’une année à l’autre, il a la fâcheuse<br />
manie de se présenter à nous sous de nouvelles formes à chaque fois. Le<br />
virus influenza subit en moyenne une mutation majeure dans sa structure<br />
génétique à tous les 70 ans, et dont les effets peuvent êtres aussi<br />
dramatiques que celle de la grippe espagnole de 1917-18. Une t’elle forme<br />
de mutation génétique, semble bien vouloir s’opéré à l’heure actuelle et<br />
être en pleine préparation pour les prochaines décennies. D’où les craintes<br />
ressenties présentement dans différents secteurs scientifiques et<br />
médicaux.<br />
Le virus influenza est originaire des pays situés en extrême Orient du sud<br />
Est, comme le Vietnam, le Laos et la Chine. Dans ses pays l’élevage des<br />
volailles (poulet et canard) et du porc s’effectuent librement et à travers<br />
même les activités paysannes, mettant ainsi en contact les différents<br />
agents servant à la fois d’incubateur et de propagation du virus. Le virus<br />
influenza est un parasite naturel des volailles qui vivent dans ses régions.<br />
Et vu de leurs nombres très élevés, il arrive de temps à autre qu’une<br />
certaine forme de mutation génétique, après avoir effectué plusieurs<br />
tentatives d’adaptations infructueuses, finit par acquérir les<br />
caractéristiques biochimiques lui permettant de changer d’ôte et d’espèce.<br />
Mais avant d’arriver jusqu’à l’homme, le virus doit trouver un intermédiaire<br />
animal pour s’adapter au changement d’espèce. Il se trouve que le porc<br />
joue très bien ce rôle sur le plan génétique, et envers sa proximité très<br />
étroite avec les habitants de ses régions. Le virus influenza subit alors<br />
plusieurs autres formes de mutations, mais une seule suffira pour<br />
contaminer l’homme et se propager ainsi à travers la planète. Voilà et c’est<br />
parti pour une nouvelle épidémie mondiale de grippe. D’autre virus peuvent<br />
également subire de t’elle phénomène associée aux mutations adaptatives,<br />
pensons aux fièvres hémorragiques, à la remonté de la variole qu’on<br />
310
pensait alors éliminer voilà pas si longtemp, au virus du Nil qui remonte<br />
présentement dans les Amériques etc...<br />
Voici le virus de la grippe, dont les<br />
virions ont un diamètre de 200<br />
nanomètres seulement.<br />
Photo : Linda M. Stannard<br />
En 1957, plus de 70 000 Nordaméricains<br />
succombaient à la<br />
grippe asiatique.<br />
En 1968, 34 000 autres mouraient sur<br />
notre continent de la grippe de Hong<br />
Kong.<br />
Les différentes mutations que peut subirent la structure génétique des<br />
êtres vivant en général, sont en fait des phénomènes purement naturels qui<br />
se produise que très rarement, et elles sont effectuées normalement sur<br />
une très longue période de temps. Surtout envers les différents essaient,<br />
dont la plupart sont effectuer de manière aléatoire et complètement inutile,<br />
afin de trouver la bonne combinaison qui sera alors compatible à une<br />
certaine forme de contamination et d’adaptation biologique. C’est un<br />
phénomène tout à fait naturel qui est attribué à l’évolution des espèces.<br />
C’est un processus naturel qui a permit de faire en réalité, différentes<br />
formes d’adaptations possibles sur le plan génétique et environnemental,<br />
et c’est d’ailleurs le principal agent qui a permit l’évolution de la vie sur<br />
terre. Voir à ce sujet le chapitre sur les lois naturelles et également le début<br />
du chapitre sur les attributs de la conscience. La vitesse par laquelle le<br />
virus influenza effectue ses différentes formes de mutations pour sauter<br />
d’une espèce à l’autre, vient en fait du très grands nombres d’agents<br />
porteurs du virus, qui se trouvent alors à proximité des agents pouvant<br />
êtres infectés.<br />
Il existe cependant un autre danger, qui peut menacer la sécurité planétaire<br />
de manière très sournoise. Il s’agit cette fois-ci, d’une situation très<br />
hypothétique qui dérive directement de nos différents procéder de<br />
production industrielle en alimentation, et qui sont de plus en plus<br />
centralisé pour favoriser la consommation de masse sur de grande échelle.<br />
C’est un phénomène qui est relié de plus en plus à l’uniformité des<br />
structures génétiques des organismes vivant, et coupant du même coût la<br />
biodiversité. Comme les différentes espèces d’animaux d’élevages et<br />
d’abatages (poulet, cochon, vache etc…) et la culture des plantes. Si un<br />
jour l’humanité est confrontée à une situation d’épidémie de très grande<br />
envergure, prenant la forme d’une pandémie planétaire et de forme très<br />
contagieuse, un peut comme la maladie de la vache folle (prion) ou de la<br />
fièvre aphteuse des années 1990. Alors nous serions peut être confronté à<br />
une situation très grave et pouvant dégénérer très rapidement. Ce scénario<br />
311
ien que très hypothétique, nous portent tout de même à réfléchir sur nos<br />
différentes façons de faire les choses dans l’industrie alimentaire. La<br />
solution serait peut-être de la décentraliser le plus possible, et plus centré<br />
sur les besoins réels de chaques régions.<br />
Voici également un autre danger potentiel, qui peut menacer la sécurité<br />
planétaire à long terme. Il s’agit cette foi-ci des OMG, qui sont en fait des<br />
organismes biologiques qui ont été modifiés génétiquement de manière<br />
artificielle par l’homme, pour ainsi les rendes plus productifs ou<br />
résistantes à certains facteurs environnementaux (résistance aux<br />
herbicide, insecticide, fongicide etc). Il s’agit d’organisme vivant<br />
transgénique qui on été créé par différent procédé biotechnologique, et<br />
ceci afin qu’il acquière certaine caractéristique bien précise, sur le plan de<br />
la production et de l’élevage industriel. Dont le seul but visé est de créer<br />
une forme de dépendance envers les semences qui ont des gènes<br />
modifiés, comme les PGM (Plante génétiquement modifiée) par exemple.<br />
Les fermiers devront désormais acheter les semences de leur culture,<br />
ceux-ci étant protégés par des dépôts de brevet de toutes sortes. Les PMG<br />
ne vise que la consommation de masse et la rentabilité pure et simple sur<br />
de grande échelle, dont seul quelque multinationale Pharmaceutique et<br />
Biotechnologique pourrons en bénéficier. Les nouvelles caractéristiques<br />
acquises sur le plan génétique et biochimique, de ses nouveaux produits<br />
de consommation et de leur différente possibilité d’adaptation de leur<br />
écosystème face à la nature, qui seront effectuer dans l’avenir face à<br />
l’évolution et à l’environnement. Sont pour l’instant laissé sans réponse.<br />
Nous avons actuellement aucune maîtrise parfaite et absolu sur les<br />
différentes connaissances qui sont requît, et qui concernent une véritable<br />
compréhension des différents processus d’insertions aléatoires<br />
génétiques. Processus qui pourraient englober par exemple, la totalité des<br />
effets sur les différents mécanismes d’adaptations naturelles, qui<br />
pourraient en résulter à moyen ou à long terme. Les PMG peuvent très bien<br />
un jour ou l’autre, menacer l’humanité tout entière.<br />
Il faut se poser la question, comment les plantes et les autres organismes<br />
que nous modifions génétiquement (organisme transgénique), vont-ils<br />
réagires aux courts des cents prochaines années. Ils feront face à de<br />
nouveau processus d’adaptation, qui seront d’ordre purement naturel et<br />
qui seront alors axés sur certaine forme de mutation génétique, dont les<br />
différentes orientations possibles, nous sont pour l’instant parfaitement<br />
inconnu. C’est un processus d’adaptation qui est amplifier et rendu<br />
possible grâce aux très grand nombre d’organisme qui sont mis en cause,<br />
et vivant en étroite relation les uns par rapports aux autres. Un peut comme<br />
le processus que nous avons décrit précédemment, pour le virus de la<br />
grippe influenza. D’autre forme de mutation et d’adaptation, peuvent même<br />
s’effectuer sur des périodes de temps très courtes par rapport à l’évolution<br />
naturel, il pourrait s’agire par exemples de quelques générations humaines<br />
312
seulement. Pour plus de détaille sur ce sujet, revoir le chapitre sur les lois<br />
de la nature et plus particulièrement sur les différents processus<br />
d’adaptations génétiques du chapitre sur l’origine et l’évolution de la vie.<br />
Pour les PGM, nous parlons essentiellement d’insertion aléatoire de<br />
plusieurs gènes (promoteur + gène + terminaison) dans le génome des<br />
plantes. Le tout ce mélange aux transposons ou gènes sauteurs, aux<br />
transferts horizontaux de filament génétique entre espèces différentes, aux<br />
éléments chimiques et aux radiations ionisantes mutagènes. Tout ceci peut<br />
venir un jour à bousculer et modifier l’équilibre de tout ça. Les gènes sont<br />
morcelés et non continu dans l’ADN des cellules eucaryotes. La<br />
transcription de l’ADN en ARN s’effectue donc de manière distribuée, et<br />
l’ARN pré-messagé doit enlever les séquences non codantes (intron) dans<br />
sa chaîne par un processus d’épissage avant d’être transformé en véritable<br />
ARN messager, puis en ARN de transfère pour y être finalement traduite<br />
par la suite en protéine par les ribosomes. Le danger des PGM ce situ<br />
justement a ce niveau envers les différents processus de contrôles<br />
génétiques. Rien nous indique pour l’instant qu’une insertion aléatoire<br />
(technique d’hébridation biotechnologique), ne subira pas par exemple,<br />
une transposition aléatoire avec ou sans transfert horizontal par la<br />
présence d’organisme étranger (bactérie). Et si le phénomène favorisait un<br />
jour l’activation d’une nouvelle séquence génétique et donc de l’émergence<br />
dans la nature d’un nouveau type de gène. Et bien si cela arrivait, toute la<br />
nature cherchera à s’adapter et à retrouver une nouvelle forme d’équilibre<br />
complémentaire. Qui le sait réellement ?<br />
Les insectes (comme les abeilles), les plantes et les micro-organismes, qui<br />
vivent en étroite relation avec les PMG et les PMG eux-mêmes, vont<br />
inévitablement réagires les uns par rapports aux autres et à leur nouvelle<br />
condition de vie. Car en fait, ont ne peut pas contenir la vie dans la nature,<br />
tout est en perpétuelle évolution et mouvement dans l’Univers, et cela sera<br />
tout simplement effectué par certain processus d’adaptation purement<br />
naturel, sur le plan génétique et biochimique. De la même manière que le<br />
phénomène que nous connaissons si bien aujourd’hui, et qui nous<br />
préoccupe de plus en plus. Il s’agit de la résistance aux médicaments, qui<br />
est développé par certain type de bactérie, et que nous retrouvons<br />
présentement de plus en plus dans nos hôpitaux. Situation qui a été<br />
provoqué par la prescription à outrance de certain médicament émit par les<br />
médecins, et ceci afin de traiter le moindre petit problème de santé. Ou par<br />
différents incitatifs, qui ont été offert aux médecins par l’industrie<br />
pharmaceutique, et ceci pour favoriser la vente de leurs propres<br />
médicaments. Les organismes qui vivent à proximités des PMG pourraient<br />
développer par exemple, de nouvelle forme de stratégie de défense ou de<br />
résistance (herbicide, insecticide ou fongicide). Celle-ci pourrait être<br />
acquise par une forme de mutation génétique, qui aura été effectué de<br />
manière parfaitement accidentelle et naturelle. Visant tout simplement une<br />
313
meilleure adaptation biologique et biochimique de ses organismes face à<br />
leur nouvel environnement, comme cela c’est déjà effectuer à toutes les<br />
étapes antérieures de l’évolution du vivant sur terre.<br />
Tous ses différents processus d’adaptation, auront comme objectif final de<br />
permettre aux différents organismes de s’adapter le mieux possible à leur<br />
nouveau contexte environnemental de leur écosystème. Ce qui pourrait<br />
devenir à la longue très nuisible pour notre santé. Par exemple des<br />
mauvaises herbes pourraient développer des résistances spécifiques aux<br />
herbicides utilisés dans l’agriculture, forçant ainsi leurs épandages de plus<br />
en plus en grande quantité, et de forcer ainsi le développement par<br />
l’industrie Pharmaceutique et Biotechnologique de nouveau type de<br />
résistance de plus en plus forte aux herbicides. En fait, qui peut réellement<br />
prévoir ou savoir véritablement comment la nature va réagire à ce nouveau<br />
contexte évolutif et axé essentiellement sur l’adaptation environnementale,<br />
personne en réalité !<br />
Pour illustrer un peut ce phénomène, qui est axé sur différent type de<br />
processus moléculaire et biochimique, qui pourrait intervenir dans les<br />
différents mécanismes d’adaptations des PMG et sur le plan génétique. Et<br />
bien prenons par exemple les l’hymphocytes B, qui compose le système<br />
immunitaire et qui participe à la reconnaissance et a la destruction des<br />
corps étrangers chez l’homme. Les cellules souches des l’hymphocytes B,<br />
effectuent différentes opérations et réorganisations moléculaires de leurs<br />
molécules d’ADN, durant leurs phases de maturation cellulaire. Ce<br />
processus favorise la production et la prolifération de nouvelles cellules<br />
combattantes, qui sont alors très bien adapté pour combattre les différents<br />
corps étrangers qui envahissent notre organisme. C’est dernier on la<br />
capacité de libérer et produire des anticorps de manière très efficace et<br />
très spécifique, et ceci en l’espace de quelques heures seulement. Il faut<br />
dire cependant que les cellules souches des l’hymphocytes B, ont une<br />
structure génétique très particulière. Mais la nature trouve toujours des<br />
solutions envers les problèmes d’adaptations rencontrés. Ces derniers<br />
sont d’ailleurs toujours basés sur les même principes de complémentarité<br />
physico-chimique environnementale, et ayant pour objectifs de toujours<br />
favoriser l’adaptation et l’évolution naturelle des organismes vivants, les<br />
uns par rapport aux autres.<br />
De nouveaux phénomènes épidémiques et même pandémique pourraient<br />
résulter de ses différents processus d’adaptation naturels, à moyen et long<br />
terme. Comme par exemple de nouvelle réaction allergène, provoquée par<br />
de nouvelle molécule de certain organisme transgénique, favorisant ainsi<br />
des réactions inflammatoires des muqueuses de façon très vigoureuse. Ou<br />
encore à certaine forme d’empoisonnement alimentaire (système gastrique<br />
et intestinal), donner naissance et favoriser de nouveaux type de cancer.<br />
Les organismes vivant en étroites relations avec les PMG, pourraient eux<br />
314
aussi subirent des transformations héréditaires pouvant nuire aux récoltes<br />
et même à la santé publique. De nouvelle fièvre hémorragique (virale ou<br />
bactérienne par transfert horizontal ou autre forme mutation possible)<br />
pourrait également faire leur apparition, ou de nouvelle maladie encore<br />
insoupçonnée aujourd’hui. L’effet de serre pourrait également apporter sa<br />
contribution, en accélérant ou amplifiant ces différents processus et<br />
mécanismes d’adaptations sur le plan génétique, dans des directions<br />
évolutives totalement nouvelle et inconnu de nous actuellement. Le débat<br />
reste ouvert sur les biotechnologies et sur la manipulation des gènes<br />
(hybridation pas insertion aléatoire), mais soyons tout de même très<br />
vigilent et prudent, dans leur application.<br />
Les Autres Dangers :<br />
Plusieurs autres dangers menaces également notre planète et la destiné<br />
humaine, elles concernent cependant certaines caractéristiques<br />
géologiques et géographique bien précise, et situées dans certaines<br />
régions de notre planète, ou ce rapportant tout simplement à certains<br />
phénomènes célestes. Dont l’homme n’a cependant aucun contrôle et<br />
pouvoir sur la manifestation de ces phénomènes naturel. Il s’agit par<br />
exemple de phénomène de type Tsunamis ou raz de marée. Ce phénomène<br />
naturel est caractérisé par des glissements gigantesques de flan de<br />
montagne ou de volcan, qui sont directement déversé dans les océans et<br />
les mers. Il peut également être causé par la chute de météorite ou par un<br />
tremblement de terre par exemple. La principale conséquence envers la<br />
manifestation d’un t’elle phénomène naturel, est caractérisé par la création<br />
de gigantesque raz de marée, pouvant atteindre plusieurs dizaines ou<br />
centaines de mètres de hauteur, inondant ainsi certaine région côtière de la<br />
planète fortement peuplée.<br />
Un phénomène volcanique bien particulier est également prévu. Il s’agit<br />
cette foi-ci de la fameuse caldeiras qui recouvre une bonne partie de la<br />
région de YellowStone situé au État Unis. L’explosion de celle-ci<br />
engendrerait une catastrophe d’une ampleur inimaginable, c’est un<br />
phénomène qui semble survenir avec une périodicité de l’ordre de 600 000<br />
ans environ, et dont les probabilités de la prochaine manifestation de<br />
l’explosion de la caldeiras, sont attendu d’ici à quelques dizaines de<br />
milliers d’années. Présentement la caldéras est dans une phase de<br />
renflement et de soulèvement qui est mesurable. Attestant ainsi d’une<br />
certaine élévation du niveau du sol de quelques centimètre par années. La<br />
chambre magmatique de la caldeiras se trouvant sous elle, à donc atteint<br />
une certaine forme de remplissage et d’équilibre, dont les pressions<br />
interne manifeste déjà une augmentation de pression constante sur ses<br />
parois. Ce phénomène est-il un signe précurseur de l’explosion éventuelle<br />
de la caldeiras de YellowStone, provoquant ainsi le plus grand cataclysme<br />
315
que l’humanité tout entière n’aura jamais subit. Ici prions Gaia, pour son<br />
indulgence.<br />
Au cours de la longue période de l’évolution des espèces vivante sur terre,<br />
il y a eu cinq principales périodes géologiques qui ont été caractérisées<br />
par des extinctions massives d’espèces animales et végétales, voir le<br />
tableau sur les ères et les périodes géologiques qui se trouve à la page<br />
144. Les différentes périodes géologiques en questions, son l’Ordovicien<br />
supérieur qui sait produit vers 439 millions d’années, avec une extinction<br />
de plus de 12% des toutes les espèces marine; les trilobites furent<br />
particulièrement affectés. L’Ordovicien a vu naître les premier vertébré<br />
sans mâchoire, comme les premiers poissons primitifs ou agnathes. Cette<br />
période géologique vient tout juste après le Cambrien, qui est la période<br />
géologique qui a été caractérisé par une explosion brutale des différentes<br />
forme de vie animale et végétale dans les océans, dont entre autre<br />
l’apparition des tribolites. Il y a eu un événement très important à la fin de<br />
l'Ordovicien, il s’agit d’une grande période de glaciation, qui s'est<br />
concrétisée par la présence d'une calotte glaciaire au pôle sud et d’un<br />
abaissement des niveaux marins. Cette glaciation serait-elle à l’origine de<br />
cette extinction massive ?<br />
Position des continents au Permien, vers 250 millions d’années.<br />
Ensuite nous avons le Dévonien supérieur vers 367 millions d’années, avec<br />
l’extinction de plus de 14% des espèces marine, causée très probablement<br />
par l’augmentation du volcanisme lors de la collision de plusieurs plaques<br />
continentales, qui commençait vers cette époque a former le super<br />
continent de la Pangée. Cette époque correspond également au premier<br />
animal terrestre.<br />
La plus terrible des extinctions s’est produite à la fin du Permien, qui est<br />
situé vers 250 millions d’années, et qui correspond à un taux de plus de<br />
95% d’extinctions de toutes les espèces vivantes sur terre et dans les<br />
316
océans. Cette époque géologique correspond au début de la séparation de<br />
l'Amérique du Nord avec l'Afrique, l'Europe et la Sibérie entre en collision<br />
avec le continent Laurentia (Amérique Nord + Europe). Cette collision est à<br />
l’origine de l’activation des trappes d'Oural de la Sibérie, et de la formation<br />
des Appalaches. C’est l’époque de l'expansion des terres continentales<br />
vers l'hémisphère nord de la planète, qui a suivit la dislocation du Super<br />
continent de la Pangée, qui s’est formé vers 300 millions d'années, soit au<br />
Carbonifère. Cela a provoqué des modifications dans la circulation des<br />
courrant marins et atmosphérique, avec impacte sur le climat qui devient<br />
plus sec. La crise du Permien semble bien avoir été causé par un<br />
gigantesque phénomène volcanique du au trappes d'Oural de la Sibérie,<br />
qui est caractéristique des points chauds. La caldéras de l’Oural aurait été<br />
percé de toute part, laissant la lave et les gaz s'échapper et s’accumuler<br />
dans l’atmosphère durant des milliers d'années. Le CO2 libéré, aurait<br />
augmenté de plus de 5 degrés la température moyenne de l'atmosphère<br />
terrestre, ce qui aurait favorisé la libération du méthane contenu dans les<br />
réserves gelée des fonds océaniques. La libération du méthane va<br />
participer à un certain phénomène d'emballement sur l'effet de serre,<br />
phénomène qui aurait durée plus de 80 000 ans environ, et qui aurait<br />
provoqué par la suite une augmentation de température totale de 10 degrés<br />
celcius.<br />
Paysage du Crétacé Copyright : Karen Carr<br />
L’avant dernière des grandes extinctions, fut celle du milieu du Trias<br />
supérieur, qui a eu lieu vers 208 millions d’années, avec comme résultat<br />
l’extinction de plus de 40% des toutes les espèces vivantes. Celle-ci a eu<br />
lieu à la même époque que la création du cratère de la Manicouagan situé<br />
au Québec, et qui date de 214 millions d’années. La chute d’un astéroïde,<br />
serait-elle la cause véritable de cette extinction massive durant cette<br />
époque. La dernière des extinctions massives en date, est celle qui c’est<br />
produit à la fin du Crétacé. Celle-ci a eu lieu voilà 65 millions d’années,<br />
avec comme conséquence l’extinction de plus de 25% des toutes les<br />
espèces, en plus de toutes les familles de dinosaure. La fin du Crétacé a<br />
été caractérisée par la chute d’un astéroïde de plus de 10 kilomètres de<br />
diamètre, qui serait tombé au large du Yucatan situé au sud du golfe du<br />
317
Mexique. Créant ainsi à l’impacte, un cratère de plus de 300 km de diamètre<br />
et un gigantesque raz de marée ou Tsunamis, d’une hauteur jamais vue<br />
auparavant. La collision aurait provoqué un assombrissement du soleil<br />
pendant une durée de plusieurs mois, principalement causée par les<br />
poussières, les cendres et des débris de toutes sortes qui ont été propulsé<br />
dans l’atmosphère. Ce désastre a été à l’origine de la disparition des<br />
dinosaures et de plusieurs autres espèces animales et végétales vivants à<br />
cette époque sur la terre. L’hypothèse de la chute d’un astéroïde, est basé<br />
sur le taux d’Iridium, qui est contenu en proportion plus forte à l’intérieur<br />
des couches sédimentaire qui corresponde à cette période. Il est à noter<br />
que le phénomène aurait peut-être été amplifié par la très grande activité<br />
volcanique des trappes du Deccan situé en Inde. L’activité des trappes du<br />
Deccan aurait durée plus de 1 million d’années, formant d’immenses<br />
empilements de lave basaltique et de coulées volcaniques étendues sur<br />
plusieurs dizaines de milliers de km² (il s’agit d’un volcanisme de point<br />
chaud).<br />
Et pour finir, il faut également mentionner la diminution de la couche<br />
d’ozone situé dans les régions polaires de notre planète, et qui est<br />
également très préoccupante et qui pourrait devenir très catastrophique<br />
d’ici quelques temps. Avec comme conséquence possible, une<br />
augmentation du nombre de cancers de la peau. Le seul moyen d’arrêter la<br />
progression de ce phénomène, est de suspendre et de remplacer<br />
immédiatement la production des CFC (ChloroFluoroCarbures) et des gaz<br />
du même genre servant à la réfrigération et à la congélation des aliments,<br />
et qui sont utilisés par les entreprises et pour l’usage domestique. La<br />
diminution des différentes ressources marines, causé essentiellement par<br />
la sur pèche et par une mauvaise gestion sur l’exploitation des stocks de<br />
poissons, comme la morue, le saumon, le crabe et de bien d’autres<br />
espèces. Est de plus en plus constatés à travers le monde et fait également<br />
partie des défis que l’humanité doit relever dans son avenir et pour ça<br />
propre survit.<br />
Conclusion :<br />
Alors la prochaine et la sixième extinction massive des espèces, sera t’elle<br />
causé et provoqué par l’homme. Imaginer maintenant une situation<br />
catastrophique, qui pourrait combiner certain aspect apocalyptique décrit<br />
un peut plus haut. Alors commençons dès à présent à prendre nos réelles<br />
responsabilités individuelles et collectives dans le but d’influencer nos<br />
politiques sur le plan du développement national et international, et ceci<br />
afin de favoriser un partage plus juste et plus équitable des différentes<br />
richesses et ressources de la terre. Le tout devra être effectué dans un<br />
esprit de coopération, de solidarité et d’entraide. Et ceci afin de mieux nous<br />
protéger des prochaines sautes d’humeurs de la nature, et démontrons<br />
également un meilleur respect envers l’environnement et la nature, car<br />
318
l’avenir et la destinée humaine en dépend grandement pour les prochains<br />
siècles.<br />
319
CONCLUSION, en route vers l’utopie !<br />
Nous observons et analysons les différents comportements de la nature, que<br />
nous regroupons par la suite à l’intérieur de différents modèles physiques qui<br />
décrit des lois interactionnelles. Ces différentes modélisations théoriques,<br />
cherches à encadrer le mieux possible les différentes formes de manifestations<br />
des lois de la nature. La science s’occupe donc à mieux comprendre le comment<br />
des choses, leur fonctionnement et leurs différents mécanismes de base. Le tout<br />
est exprimé sous forme de formalisme mathématique très complexes, et sert par<br />
la suite à comprendre le monde matériel qui nous entoure. Le comment est<br />
strictement relié aux comportements matériels des choses, et décrit leurs<br />
différentes relations interactionnelles et mutuelles. Cette démarche rente dans le<br />
cadre purement réductionnisme du monde matériel, et tout semble aller pour le<br />
mieux, jusqu’à un certain point.<br />
La Mécanique Quantique semble avoir atteint une certaine limite conceptuelle, et<br />
qui semble bien être infranchissable pour l’instant. Cette limite est associée<br />
directement à la dualité ondulatoire et corpusculaire des champs de matièreénergie,<br />
et qui est d’ailleurs responsable de l’interprétation indéterminisme de la<br />
réduction instantané d’un paquet d’onde, lors d’une interaction particulaire<br />
(particule). C’est ici qu’intervient essentiellement l’essence même qui est attribué<br />
au hasard, et qui est associé à la croyance du réductionnisme matérialisme.<br />
L’ensemble des probabilités (onde de probabilité ou vecteur d’état), qui décrit<br />
toutes les trajectoires et les niveaux d’énergie possible d’une particule de matière<br />
en interaction, est contenu dans l’onde de probabilité qui caractérise le paquet<br />
d’onde. Aucun moyen de savoir à l’avance qu’elle sera la trajectoire et l’énergie<br />
d’une particule en interaction. Ce principe d’indétermination ou d’incertitude<br />
d’Heisenberg, découle directement de notre méconnaissance réelle de l’essence<br />
même des choses, et de nos différentes limites instrumentales d’investigation et<br />
d’interprétation, sur les plus petites particules de matière composée de champs<br />
d’énergie.<br />
En Mécanique Quantique, les particules sont représentées par des champs<br />
d’énergie. Lors d’une excitation, une particule de matière va réagire en émettant<br />
une certaine onde d’énergie tout autour d’elle. Cette onde peut-être une onde<br />
électromagnétique comme la lumière, ou un autre type de beson vecteurs<br />
d’interaction (mésons, gluons, graviton) pour transporter au loin l’énergie et<br />
l’information de l’interaction. Mais voilà, cette onde n’est pas de nature matérielle<br />
et on ne peut pas savoir ou décrire à l’avance ses comportements. On interprète<br />
donc les ondes de manière statistique, et sous la forme d’une onde sphérique qui<br />
englobe la particule émettrice, et qui croient dans l’espace à la vitesse de la<br />
lumière. L’amplitude représente alors l’onde de probabilité du champ d’énergie,<br />
qui croient et qui s’éloigne de la particule initiale à la vitesse de la lumière. Un<br />
jour ou l’autre, cette onde va interagire avec une autre particule de matière qui se<br />
trouve au loin, et cette réaction va déterminer à elle seule la réduction de<br />
320
l’ensemble statistique des probabilités, qui était associé à la propagation de<br />
l’onde dans l’espace. Cette réduction instantanée du paquet d’onde, va nous<br />
fournir enfin, la trajectoire et la quantité d’énergie qui était contenu dans le<br />
système avant l’interaction. Il est à noter que le photon est la matérialisation et<br />
l’aspect particulaire ou corpusculaire d’une onde électromagnétique, lors de son<br />
interaction. Ainsi en science, nous pouvons déterminer et interpréter le comment<br />
de la manifestation d’une interaction, mais nous ne savons rien de plus<br />
concernant l’essence même de particules ou des ondes que nous étudions.<br />
L’Univers nous cache donc encore ses plus grand secrets.<br />
La science dit strictement rien, sur l’essence même qui compose véritablement la<br />
substance des choses dans la nature. Cette essence est la caractéristique qui<br />
définit le pourquoi de l’existence et de l’origine véritable des choses dans<br />
l’Univers, et pourquoi celle-ci agit-elles ainsi et pas autrement. La nature et<br />
l’essence même de l’énergie, qui compose toute matière dans l’Univers, nous est<br />
totalement inconnue, et seul la métaphysique et les religions s’interroges encore<br />
et toujours à son sujet. L’interprétation de l’essence ou de l’émergence de la<br />
conscience à partire des structures fonctionnelles très complexes du cerveau,<br />
fait également partie de l’un des plus grand mystère scientifique. La science n’a<br />
pas encore véritablement intégré, dans ses différentes prémisses<br />
fondamentales, les caractéristiques de l’existence et de l’évolution de la<br />
conscience, et ceci à travers ses propres études sur l’évolution de la matière<br />
organique et ses différentes échelles de complexifications. Pourtant la<br />
conscience, semble bien être un attribut essentiel sur l’évolution du cerveau et<br />
du principe intelligent qui émerge de la matière.<br />
Se pourrait-il quand définitive, se monde serait plutôt construit et basé sur des<br />
prémisses et de fondement, qui découlerait alors directement de lois d’ordre plus<br />
spirituel. Au lieu d’être tout simplement l’expression pure et simple, de l’évolution<br />
réductionnisme de la matière des athéismes, aux mécanismes indéterminisme<br />
ou le hasard fait ses propres lois. Le monde sensible, dont découle directement<br />
la perception conscience, le principe intelligent, l’entendement et la pensée,<br />
serait-il alors la véritable source qui composerait l’essence des choses sur le<br />
plan spirituelle. La matière n’étant alors qu’une forme secondaire de l’expression<br />
de l’évolution spirituelle, obéissant à des lois de complémentarité structurelle et<br />
évolutive des choses composé de champs d’énergie. Lois qui seraient basées<br />
sur des principes d’harmonies, d’équilibres dynamique, et dont découle tous les<br />
processus d’attraction et de répulsion de la nature. L’amour, la fraternité et la<br />
bonté seraient alors représentatif des lois cohérentes et spirituelles de tout<br />
processus d’évolution à travers la matière et la nature. Se pourrait-il que la<br />
matérialité de choses ne soit que le fruit d’une simple illusion, et que l’Univers<br />
dans son ensemble soit en fait une sorte d’émergence plus grossière de<br />
l’évolution du plan spirituelle, qui orienterait et dirigerait les lois évolutives des<br />
systèmes, des mondes et des êtres. Et dont les différents comportements nous<br />
sembleraient tout simplement matériel, à cause de notre point d’observation qui<br />
est intermédiaire et de consistance matérielle, et qui est porter sur l’interprétation<br />
321
de la perception introspective et sensible des choses qui nous entours.<br />
L’essence spirituelle, dont découlerait la véritable substance d’énergie pure qui<br />
se trouve aux limites de Planck, et qui définit la frontière véritable de la<br />
matérialité des choses. Cette dernière serait-elle en fait, la véritable et unique<br />
substance de base de l’Univers, qui se présenteraient alors a-nous sous<br />
différente forme de consistance matérielle ou plus ou moins éthérique. L’esprit<br />
qui est formé directement de cette substance spirituelle, serait-il immortelle vis à<br />
vis son double matériel ?<br />
La nature est interprétable et suit des lois évolutives tout à fait cohérentes et<br />
compréhensibles, qui organise et structure la matière selon des plans<br />
constructales qui orientes la matière vers des échelles de plus en plus complexe.<br />
Et le monde sensible, qui émerge de l’activité neurologique du cerveau, ou<br />
spirituelle via l’esprit. Donne à la matière des caractéristiques qui sont de l’ordre<br />
des sentiments, et semble refléter sur le monde réel, le fruit de ses propres<br />
réflexions d’ordres subjectifs et sensibles. Comme si les lois interactionnelles de<br />
la nature, découlaient de prémisse purement spirituelle, et qui compose la partie<br />
invisible de la matière composée de champs d’énergie pure.<br />
La matière suit donc les lois évolutives de la nature, qui influence ses moindres<br />
comportements. Il en est de même également pour la conscience au cours de<br />
son évolution. Car au début, comme nous l’avons vu au chapitre sur “Les<br />
Attributs de la Conscience”, le cerveau est directement relié à la nature par<br />
différent type de comportement composé uniquement de réflexe automatique et<br />
innés. Avec le temps le cerveau évolue aux cours des différentes périodes<br />
géologiques, pour aboutire finalement à la conscience chez les mammifères les<br />
plus évolués. Rendu à cette étape de l’évolution du cerveau des mammifères, la<br />
conscience semble être associée à une essence d’ordre spirituelle, et non<br />
d’origine purement matérielle qui émanerait directement de l’activité cérébrale du<br />
cerveau. Et comme nous l’avons vue, le cerveau et la conscience de l’homme en<br />
émergence, va être directement soumis à ses différents mécanismes de base.<br />
Ces derniers sont étroitement reliés à l’évolution des espèces et à leur instinct de<br />
survit, de reproduction et de dominance.<br />
Les premières sociétés humaines, ont donc battit leur société et leur civilisation à<br />
partire de ses différentes caractéristiques de base et très fortement instinctives.<br />
Le temps passe et l’homme invente les premières lois associées à la conquête et<br />
au regroupement sociologique des clans et des tributs. Ces lois seront des lois<br />
de conquérant, à saveurs très dominantes, dont les différents codes de conduite<br />
à contenu très mythique, seront les précurseurs des religions et des politiques<br />
futures. L’homme à donc basé ses lois et règlement socio-politique, selon un<br />
partage inégal des ressources et des richesses. Favorisant toujours la classe<br />
dominante sur le plan socio-économique. Mais ceci à une fin, car le processus<br />
de mondialisation à laquelle nous faisons fasse à notre époque, demande une<br />
conscience spirituelle plus grande, axé sur le partage et l’entraide. Car la<br />
322
compétition, la concurrence et l’exploitation à outrance, peut nous conduire<br />
directement à notre propre perte en tant que civilisation.<br />
Il faut donc changer nos différentes manières de faire et de voir les choses, si<br />
nous voulons franchire la cinquième phase de l’évolution humaine et les<br />
différents processus qui nous mènerons un jour ou l’autre vers la mondialisation<br />
véritable. Et voir désormais les choses sous un autre angle que celui baser sur<br />
des aspects de dominances. Des valeurs plus spirituelles sont désormais de<br />
vigueur, car seul la morale et la compréhension plus fraternelles peut nous<br />
permettent de franchire toutes ses étapes.<br />
Voici donc mon rêve d'Utopie, un rêve fait de tout plein d'idéalisme et<br />
d'irrationalité. Mais c'est un rêve très beau qui est remplit d'espoir et<br />
d'espérance pour tous.<br />
Un monde idéal, c'est un monde fait de partage, de fraternité, de bonté et<br />
d'entraide. Un monde ou la compétition est remplacé par le respect et la<br />
compréhension de l'autre. Là où la nature et l'homme vive en étroite relation et<br />
en étroite harmonie l'un face à l'autre. Un monde ou tout son libre de vivre selon<br />
ses propres capacités physiques ou intellectuelles, ou la solidarité familiale et<br />
sociale est de vigueurs et faite de justice pour tous et pour le respect de tous. Un<br />
monde sans frontière et sans misère, ou tous partages le fruit de leurs efforts.<br />
Un monde ou l'éducation et l'épanouissement personnelle est un droit acquis<br />
pour tous, tout comme la santé. Dans ce monde il n’y a pas de structure<br />
politicienne pour la gouvernance, mais plutôt des structures de conseille<br />
populaire et de citoyens, ou tous ont le droit de parole et d'écoute. Un monde<br />
remplit de sentiment de responsabilité envers soi-même, les autres et la nature.<br />
Un monde ou tout est fait pour aider ceux qui sont dans le besoin, un monde<br />
dont l'esprit de charité et de partage n'est plus à redéfinir.<br />
Dans ce monde il y a campagnes à perte de vue, et tous sont remplient de toutes<br />
les beautés les plus merveilleuses les unes que les autres, et ceci à travers le<br />
monde entier et selon la grâce de Dieu et celle des hommes. Des campagnes<br />
remplis de douceurs et d'harmonie, là où il fait bon vivre en paix et en toute<br />
justice. Aucune méga construction ou intrusion quelconque sur l'équilibre si<br />
fragile de l'environnement et de la nature. Aucune règle ou lois favorisant<br />
privilège, prestige ou incitatif fait aux dépends des autres ou visant leur<br />
exploitation. Dans ces campagnes tous sont autonomes sur le plan énergétique,<br />
avec panneaux solaires et éoliens de 12 kilowatts par maison. Et sur le plan de<br />
la survie tout est gratuit, et rien n’est incité à être centralisé pour créer des<br />
formes de dépendances artificielles et abusives sur le plan économique ou des<br />
échanges commerciaux. L'éducation se fait à même la vie et le travail de tous les<br />
jours et chaque profession se pratiquent de manière pleine et entière et selon le<br />
désire de tous et chacun. L'épanouissement personnel est libre d'accès à tous et<br />
pour tous. Dans ces campagnes tous participes aux bien êtres de la collectivité<br />
323
et cela est également extrapolé sur la terre tout entière et entre toutes les<br />
différentes communautés de cultures et de nationalités différentes.<br />
La liberté et le respect de vivre est de mise, compris et exprimé de tous et laissé<br />
à leurs propres sentiments de responsabilisation de tous et chacun et selon les<br />
forces et faiblesses de tous et chacun. Des campagnes ou valeur et dignité<br />
humaine vont de paire avec technologie et progrès de l'homme, ou la santé et la<br />
détresse sont combattu avec toute la tendresse et la sagesse de l'homme sur le<br />
plan spirituel. Des campagnes ou les oiseaux chantent et gazouillent là où ils le<br />
veulent, et ou les regards qui se croisent là où ils sont, porte des sourires de joie<br />
et de gaieté à profusion.<br />
Et bien ces Campagnes sont en réalités nos propres campagnes, mais qui sont<br />
en devenir seulement, et seulement si nos rêves et nos désirent nous permettent<br />
de les construire ou de les modifier !<br />
Il devrait pourtant exister une base dans nos sociétés actuelle, pour ceux qui ne<br />
désirent point vivre par la compétition et l'individualisme, ou qu'ils ne peuvent pas<br />
tout simplement pour différentes raisons de santé ou autres. Pourquoi cette base<br />
d'amour et de sagesse sur la vie et le partage de celle-ci n'existe pas encore !<br />
Une base sans conditionnement préalable ni aspect normatif de tout genre ne<br />
visant l'identification de la différence de l'autre et des autres ! Une base fait<br />
entièrement de tendresse et de fraternité, ou même l'environnement semblerais<br />
nous parler et nous respecter. Une base, oui une base sociologique et<br />
économique, pour tous ceux que la vie appelle à vivre en toute sagesse et en<br />
toute bonté. Une base ou l'espoir de vivre est de norme et n'est pas mise au<br />
rancart. Une base ou les lois de l'homme seraient enfin d'expression beaucoup<br />
plus humaine tout simplement, et ceci pour tous les jours qui passeraient ou qui<br />
serait à venir.<br />
Et bien, si tout cela n’existe pas encore dans nos sociétés, c'est parce que dans<br />
nos sociétés actuelles, tous doivent dépendre des uns des autres. Un monde<br />
remplis de folie, ou tous doivent tout simplement s'exploiter et s’ignorer<br />
mutuellement. Car seul l'économie et la rentabilité son de règle et règne en<br />
maître absolu, pour la seule volonté de quelque uns, permis les privilégiés des<br />
privilégiés de la planète ! La centralisation à outrance s'accapare de la dignité<br />
familiale et de son temps d'expression plus humaniste envers parents, enfant et<br />
ami(e)s. Le tous visent toujours le plus gros morceau, et le plus gros morceau fini<br />
toujours par s'en aller voir ailleurs, là où le profit est bon et plus attrayant. Et<br />
nous revoilà encore une fois laisser à nous même, mais cette fois-ci nous<br />
n'avons plus les moyens de faire autrement ou de nous redresser, car cette foisci<br />
nous sommes belle et bien appauvris de cette sagesse de vie, que nous avons<br />
oublié depuis tant d'années et de siècles. Nos régions sont désormais vide en<br />
ressources et en contenu de développement durable.<br />
Dans ce monde il y a ceux qui désirent partager et ceux qui veulent tout<br />
324
s'accaparer aux dépend des autres et de la nature même. C'est le cycle de vie<br />
qui est relié à l'économie de dominance, et qui transite à travers l'homme et sa<br />
patrie qui est par mis les autres patries, qu’il désire tenir à l’écart, pour son<br />
propre bonheur irréfléchi et incohérent pour le bien de tous et chacun.<br />
Mais tout le monde l'est à quelque part désireux de construire et de vive ce rêve<br />
Utopique, mais tout ceci est caché au plus profond de leurs et de nos cœurs. Ce<br />
si beau rêve, il est en nous et fait partie de nous, de vous et de tous. Il y a juste<br />
un petit quelque chose qui nous et qui vous empêchent de vouloir le vivre et de<br />
le réaliser, et de l'exprimer d'avantage tout autour de nous et tout autour de vous<br />
et de tous. Ce petit quelque chose se nomme orgueil et vanité, qui tisse un petit<br />
voile qui enveloppe et englobe juste un petit peut notre cœur et le désir<br />
d'exprimer notre réelle volonté de vivre en toute sagesse par mis tous et parmi<br />
vous.<br />
Car en fait, tout cela n'est qu'une question de douceurs et de désire de vivre en<br />
toute volonté de partage, de solidarité et d'entraide fraternelle. Mais tant que<br />
l'instinct de l'homme tissera ses petites toiles qui assombrie les parcelles de<br />
bonheur de son cœur. Et bien il ne pourra pas en être autrement dans notre<br />
réelle et réalité de tous les jours. Alors les ami(e)s rêvons un peut, car si nous<br />
rêvons alors demain sera beau et bien construit et fait de ses petites parcelles de<br />
bonheur, que le voile du cœur à la longue ne pourra tout simplement plus<br />
contenir en son propre saint. Et un jour, oui un de ses beaux jours, la lueur de ce<br />
monde imaginaire en devenir, qui pointe déjà si faiblement à l'horizon, devinera<br />
une réalité. Et cette réalité il nous appartient et vous appartient de la bâtires des<br />
aujourd’hui.<br />
Toute société à saveur démocratique, devrait avoir dans ses propres lois une<br />
base pour la sécurité sociale pour tous, mais une base qui respectes l'être et qui<br />
le met en valeur en toute dignité et en tout respect les uns avec les autres.<br />
Comment cela pourrait-il être possible, comment cela pourrait-il se construire<br />
sans bafouer la liberté de tous, et finalement comment cela pourrait-il être réelle<br />
et rentable, et ceci malgré toutes nos différences sur le plan culturel, sociale et<br />
économique ?<br />
Et bien, en faisant tous pour cela se réalise tout simplement !<br />
Une nation quel quelle soit et quel que soit ses politiques sociales et<br />
économiques, sur le plan intérieur, se doit tout simplement de bien traiter les plus<br />
démunis et les moins avantager par la vie, et ceci doit-être fait par ceux-mêmes<br />
qui détiennent et possèdent le pouvoir décisionnel et politique d'un état, d'un<br />
peuple et d'une nation. Les leviers de la spiritualité sociale leur appartient en<br />
apparences, et se sont leurs décisions qui peut permettes que ce levier devienne<br />
une réalité à par entière, et non plus faisant partie d'un rêve, d'une Utopie ou<br />
d'un idéalisme.<br />
325
Une base sociale se compose de plusieurs choses, dont l'une des plus<br />
importantes est la participation active à la vie sociale de tous les jours, et à la<br />
solidarité de la communautées. Le partage dans les fruits de l'entraide et la<br />
bontée de donné en toute coopération, le fruit d'un travail à base solidaire de<br />
fraternité et de compassion entre nous, entre vous et entre tous. Là où nul n'est<br />
oublier et laisser pour compte face à lui-même et a l'ennui, ou encore à la<br />
solitude. Solitude oublier qui laisse des traces à la longue, et qui par manque de<br />
valorisation sociale qui sollicite parfois à faire ressortire des vises cacher ou des<br />
méfaits contre autrui. Et ceci simplement conditionner par une forme de<br />
découragement à long terme, qui fait perde espoir a tous ceux qui sont laissés<br />
comme ça dans l'oubli, et rien d'autre pourtant n'est fait pour donner appuis,<br />
encadrement et réconfort. Car de nos jours on exploite même la détresse<br />
humaine, et ceci est une grande honte.<br />
Pour ce faire, il faut décentraliser la production dans toutes les régions et qui est<br />
d'ordre essentiel pour une base de survie et de vie sociale fait de solidarité, de<br />
compassion et de coopération entre les individus, mais également entres les<br />
régions entre-elles. C'est-à-dire, produire le plus possible et à très faible coût,<br />
production de forme artisanale non soumise aux règles inflationnistes des<br />
marchés internationaux ou locaux. Une base servant de pilier d'appuis et de<br />
départ pour tous ceux qui en non de besoins ou qui ne peuvent espérer<br />
autrement.<br />
Nous pourrions regrouper par exemple, toutes ses nouvelles façons de faire<br />
dans des nouvelles politique qui serait axées sur le développement régional et<br />
visant également une coopération inter-régionnale. Ceci ne pourra se faire qu'en<br />
partenariat avec les entreprises, les institutions d’enseignements, les chômeurs,<br />
les personnes de l’aide sociale, les étudiants, les personnes âgées, les<br />
organismes communautaires, les entreprises d’économies sociales, les<br />
municipalités ainsi que bien d’autres intervenants. Nous pourrions ainsi<br />
développer des coopérations en matière de récupération et recyclage des<br />
déchets, de la production de biens et services, des ateliers de réparation, du<br />
travail artisanal, des loisirs, du tourisme, de la formation, de l’aménagement<br />
municipal et régional, de l’habitation sociale à coût raisonnable, d’un service de<br />
garderie totalement gratuite pour les plus démunis, de véritables soins à<br />
domicile, d’agriculture régionale avec leur propre centre de distribution, de<br />
pisciculture, d’aquaculture, etc… Les personnes âgées pourraient ainsi aider nos<br />
jeunes avec le transfère de leur connaissance et de leur expérience de travail.<br />
Redonnant ainsi aux personnes âgées, la véritable place qu’ils leurs reviennent<br />
de plein droit dans nos sociétés. Tous les produits et services seraient offerts à<br />
des coûts très avantageux, pour tous les participants et aux personnes les plus<br />
démunis en général.<br />
Cette nouvelle façon de faire pourrait garantir un revenu minimum raisonnable et<br />
garanti pour tous et n’ayant aucun rapport avec le revenu actuel des assistances<br />
sociales. Ce qui favoriserait l’amélioration des conditions de vie sociale, culturelle<br />
326
et matériel pour tous les participants, leur redonnant du même coût une certaine<br />
forme de dignité et d'espoir, que le système leur enlève actuellement. Cette<br />
reforme des politiques régionales, ne favoriserait pas l’entretient de faux<br />
préjugés, comme c’est le cas actuellement. Une telle politique de réforme<br />
régionale, favoriserait également un plus grand esprit d’entraide, de solidarité et<br />
de partage envers la population des régions. Elle favoriserait également une<br />
forme d’autofinancement des projets et entre les individus, face aux pouvoirs de<br />
plus en plus centralisateurs des états. L’apprentissage de nouvelles<br />
connaissances et de toutes autres mesures servant à l'amélioration constante<br />
des conditions de vie sociale, culturelle et matériel des participants serait de<br />
vigueur. La participation serait établit sur une base volontaire en respectant<br />
véritablement les valeurs et les capacités de chacun des individus. Des<br />
environnements de travail n’ayant aucune notion de compétition face aux<br />
individus et aucune notion de rentabilité face aux structures économique de<br />
l’État, favorisant ainsi des environnements de travail sans stress. Chaque<br />
communauté régionale pourrait ainsi développer leur propre stratégie de<br />
développement et de coopération inter-régionale. Pour la première fois, depuis<br />
bien longtemps, nous pourrions enfin tous affirmer que nos instances<br />
gouvernementales ont vraiment à cœur la lutte contre la pauvreté, axées sur de<br />
véritables valeurs de partage sur le plan moral et humain.<br />
Ce scénario très optimiste et Utopique qui est porté sur le développement<br />
régional coopératif, et qui n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, n’est pas<br />
compatible avec la mentalité du capitalisme sauvage de nos différentes sociétés<br />
actuelles, qui sont surtout orientée vers le profit et la rentabilité à outrance, le<br />
tout évoluant dans des milieux très compétitifs et normatifs. Elles favorisent en<br />
fait, un monde individualiste axé sur des valeurs de consommation purement<br />
matérielle, divisant ainsi les intérêts de la population et leur regroupement en<br />
général. Pour se réaliser, les États devront donc avoir en leur possession tous<br />
les outils et tout le pouvoir requis, afin de ne pas être absorbés ou écartés des<br />
marchés économiques internationaux, et c’est ce que vise exactement la<br />
mondialisation des marchés actuellement.<br />
Voilà, c'était mon Utopie d'une réforme sociale qui était axée sur le<br />
développement régional décentralisé et coopératif, mon rêve d'un monde<br />
idéaliser à outrance pour le bien de tous et chacun.<br />
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