Les radicaux - Bibliothèque de Toulouse

26. ANNEE. 

N. 9364 

ABONNEMENTS; 

s sel. VI 1. rels. 15 ge. 

Les radicaux 

et nous 

la fois confirmé et nu.oe mon 

récit. Je me garderai bien de dire 

qu'il ne souhaitait pas la participation 

; chargé pour la première 

fois de constituer un gouvernement 

comment aurait-il manqué â ce 

qui avait été la conviction de toute 

Sa vie? Ses ouvertures ont donc 

été partaffement sincères ; mais, 

avec la même sincérité, il pensait 

que ni le mment ni les conjonctures 

n'étaient propices, et il ne 

nous a pas dissimule non sentiment. 

Comme Herriot, il était domine 

par le double souci du déficit budgétaire 

et des embarras de la Trésorerie. 

La (tache urgente du gouvernement 

était in ses yeux, de rétablir 

simultanément l'équilibre et 

centranee a, Out p.., parler 

en termes plus exacts, de rétablir 

la a » par l'équilibre. 

Data le conflit Mare la 'déflation 

et la stimulation, il penchait pour 

la déflation, ou du moins il jugeait 

t;Iposnible dé l'éviter. 11 MM a dit 

eu laissé entendre tout cela, avec 

sa droiture et son élégance de façons 

ordinaireS sachant d'av.... 

quelle serait noire réponse unani- 

Mea puisqu'il ne pouvait être quer 

tien pour aueun de nous de ouvrir 

de notre présence et de notre 

signature une politique de taxation 

de compression, de coinplaisanes 

Vii-à-vis des préteurs du Trésor. 

NOtre celas de ParticiPati. rem 

amiable ai je puis dire, s'est éclairé 

par la suiH des choses. fonceur 

Pa compris (MS la première heure. 

L'nvie, qui a combattu les lais 

et décrets-lois de M. GeeMain- 

Martin, peut-elle nous le reprocher 

atijourd cal, 

L'histoire Daladier ressemble de 

très près I l'histoire Bonen. 

Quand M. Daladier a constitué sou 

geuverneinent à la fin de janvier 

1933, lm aussi a fait une offre au 

groupe socialiste, et In puis bien 

dire que cette offre était longertarot 

el minutieusement, préparér. 

L'espoir avait été répandu au sein 

du groupe socialiste que Pareil.ée 

ne pouvoir de M. Daladier allait 

permettre enfin Pinitiattve que 

Mites allenolions et que le pays 

attendait depuis le début de la 

législature ; une tentative énergique 

el audacieuse pour sortir de, 

ehemin. battus, pour rompre avec 

les routines, les imbues et les in- 

Iteenee. traditionnelles, peur tenter 

les grandes réformes d'orgameation, 

nu même de e shmture » 

qai ranimeraient et renouvelle- 

Ment la vie natianale ! M. DaiapH 

allait s'attaquer au problème 

tnancier en e dirigeant l'économie 

», contrôler la production, 

chercher la réparation du revenu 

pnblic dans l'accroissement de la 

consomirlittion générale, Paetager 

avec les grands profits capitalistes 

fien de rogner sur les Irnitr.méats 

e' sur les salaires. 

eu,, de POEuere le sait anse,. 

moi ; au murs dès trais 

ms que tinrent les délégué, 

loPe avec M. Daladier, le 

la constitution de son nares 

espoirs s'évanouitnajorité 

groupe était 

ffun cprélngé si far, 

, elle était si désireuse et si 

mette de la participation que 

ropre déception ta laissait in- 

Sana cesse, on essayait 

le formule, saris cesse 

une nouvelle perche, 

on lançait une nouvelle 

Mais le la fin, d fallut 

jol"urà. l'évidence. Il ne sub- 

trile dé.oaerCiee 

moindre tramCle 

ral 

,,,;. m1,-reratique dans les numVrer 

. Daladier 

se jugeait me 

mimer/Tm r 

AVENTURES 1LLUSTREES 

n ET COUCOU ». 

Une série rouge 

pour les avions 

so-cIALisTE 

AtânidatrationI 311. Bau BealedAlft. TAULAVSE 200.43 C. Pee"' 5,277 

"M'AUX A Pian I S. i.e St.Saagastla (2t) Téléph.: MM» (3 h, gesapé.. .se se nuuéca) 

LES SECRETS DU G. fi. IS 

Où l'on voit une nouvelle preuve 

du patriotisme du potentat du creuset 

one ces événements d'hier 

Tque l'OEuvre ira al d'appliquer -- du moins ao 

m'oblige h début de .n administrchoR Il 

relifiler sont déjb tombés était olméde à son tour par les be- La deuxième partie d, refoule snr Enfin le même Joffre, un mois 

daes Pombre des temps. soins urgents de la Trésorerie, par les secrets du G. Q. G. que M. Robert plus tard, le 19 janvier 1915, dessus- 

On e l'impression d'évoquer un la nécessité de la e confiance », Rencard fait paraître dans Orledoit au ministre de la guerre d'en- 

,passé lointain, une période revo- par l'obligation de rassurer les nome >, et dont on a examiné, ici, voyer aux Rosses des munitions. 

lae de l'Estonie.. N"rmporle prêteurs du Trésor, grands ert pe- Ira premiers drapfires, ee fuit que Il y en avait dom ? 

poursuivons, puisqu'Il le faut. tits. Ni l'impassibilité de l'accord confirmer l'impression initiale. D'où étaient-elles sorties ? 

J'ai élabli, sans contradiction apparut finalement à 

La these de l'auteur tend à démon- Et pourquoi M Rancard ne nous 

tOut la trer l'impréparation de la guerre, et raconte-bit pas l'histoire de ce sur- 

possible qu'aucun des trois mi- monde. 

a en arcuser non pas expliotegissement de momifie. ? 

nistères qui ont immédiatement Oui, quelles que fussent ses disment, mais entre les lignes le Itst-ce par la crainte de la néces- 

précédé le 6 février -- second capoeitions antérieures, H favorable pouvoir Civil en exercice à Ce mosité d'avouer l'activité de Pintébinet 

Daladier, robinet que fût son préjugé, la décieion fi» ment-là.rimir 

? 

. 

chantonnes, cabinet Albert Sarraut sale du groupe fut unanime cette L'idée que le haut commandement 

..... n'avait fait d'appel durci ou fois encore. Aucun de nes cama- pouvait revendiquer une grosse part 

indirect é. la participation sociarades d'alors n'eut molestant d'hé- de responsabilité ne Je n'insistmi Pas st. le 

semble Pas sien' de M. Bonnard touchant le 

avoir germé dans l'esprit de M. Bouliste. 

Après Albert Sarrsut, en re- sitation Les paroles lm plus calé» 

contrôle parlementaire aux armee. 

Montant toujours le fil, on trouve goriques furent prononcées par les 

card. 

Joffre évidemment ne veut pas en 

Dans sus troisième chapitre, e le 

le premier cabinet Daladier, de ininistérialistea les plus nolomes 

enten.dre parler; et il le &dere 

drame des mandions de guerre >, 

janvier à octobre 1933 ; en remon- du groupe. Le proceverbal des 

plusieurs reprises. Ç'est tetiemeet A Paris, nos amis -du e Populaire r fore la propagande muer la presae socialiste. Notre clicha 

Paulen, qui nous avait dee* le dans naturel; ea le contrôle part...Gee 

trait plus ha., le Court ministère troi _entretiens oh les raisons du 4 premier l'angoisse de Omise sans 

montre l'auto destinée cette propagande portant à Pavant le titre de l'organe central du 

est tellement tatillonmefiant, inin- Parti, et à l'arrière, un cosse panneau portant les titres des six quotidiens soctslintes de 

de Paul-Boncour. 11 het exact que refus apparaissent avec une sorte munitions, des le 15 septembre, neus 

- teffigent; que j-e ours /é courage France. Cette auto parme t Paris où les ouvriers /M .erici' nt avec enthousiasme, 

fans ces deux dernières occasions d'évidence mn in eut Déat pour apprend que le même Joffre dès le 

des offres de collaboration foncer- rAdacteer. L'OEuvre ne pug 15 decembre multipliait siar notre ontr "nlér°,4" lajr'I'3 "3" " 1111111111111111111111111111111111111111 llllll 111111111111tinnuommuliniumumnauuentMmaluntela tam 

cô; tel irettaamasurn 

qu'i/ était -projeté fanementalg 

ont été adressies,Eu assurément La petite ramille dgi front les attaques sans utilite tactitalera n 'eondamné à augmentée le 

groupe soOialiste. Mais lamelles, Jerngiiste., siège, qui /10/15 Creuse 

que simpHipent earetenin À 

essais immédialsecar eeinuti1C dé 

.n 

impudemment d'avoir . sabot6 » 

le plus de forces allemandes poesp 

Ie. coutiiine2 si ça ne rend rien. L'ENVERS DU DRAPEAU 

et comment ? 

ble n afin d'alléger la tâche des trou- 

Nous mangerions bêtement l'argent 

Un Rat' d'AI° 

la législatona par notre e intran- 

dqà. relaté iti-même notre 

es russes. 

Mais ce qui/ faut retenir dans ce de la Patrie. Et si ça rend, si nous 

sigeance » et Dos a refus sec- 

entretient avec un cour, et Boomer 

Voila //ne confirmation prelense drame- des fourmtures de guerre, 

pouvons en tirer supériorité. mili- 

dg sen Oolté dans un article de 

taires ri pourrait parfois s'en se. e4 gértéralement encrédi- c'est l'affaire des chars d'assaut et taire, je coderai les Plans toisé vou- 

l'OEisore, tout justement a tout 

tee panai les offleiers de troupe gni l'attitude à cette occasion du roi du dra en fabriquer avec moi, afin 

vous parle 

Ainsi, lics de nontrecht 

a nette Mogioe demeuratent stupé- Creurot, M. Schneider. 

d'en avoir le Plus Possible 11.11e 

us-detx serties et liniquesidis où' faits devant la folie dé certaines Nous sommes en déconobre 1915. minimum de tenons. s 

il tR été'qüestion de participation 

protestai.% par Nous osons 17.mois de Mme sur le Voilà ce qu'un Français moyen et 

depuis- les élections écrit contre elles. - dos. Nous manquon.s d'Humes et 

moyennement patriote aurait dit. 

Les usinions du IOIc R I qui se 'd'armenient: Les plais optinàistes ar- Mais M. Schneider, lui, n'a vu 

de Mei 1032e1e Parti so.iaii.,te était souviennent de la mort du commanrivent aux frontieres'du docourage- dans cette affaire qu'une affaire 

...dé à contresignas; à avalisir le d'. réant', mort Mat voloetaire ment, lorsque le Monet d'artillerie commerciale. 

système fine Piture combat au- au cours d'une sortie de son batail- Es...le...sit le d. a d'assaut, et Il établit d'abord le devis des dé- rai rencontré un jeu, cocas banc, le Donc Je m'en faisais peu, st rose 

jotird'Inn coinme noua, 10 Système lon "stupide et sans objet, qui ne après meints avatars, en fait arcepé penses. 

héros de ce récit un homme jeune, qui ainsi m'exprimer, et lorsque le calant 

dont le déPeloppqment logique a progressait pas assez vite à son gré, tee le prieelpe par 11051 Maior uni Il dith e Ça vous coûtera trente revenait des bataillons d'Afrique et dont m'emPoi.e,it, J'essayais de le ...per 

donné les décrets-lois el la défla- sauront que ne jour-hi on M'o. ..- autorise le colonel â se rendre au mille francs pièce 

rai recueilli les souvenirs. en v.itant Bar.. aux heures en 

tion généralisée du Bloc National, .sa dal...ment à la mort non Creuset pour examiner ln possibilité 

Et si le colonel, si l'argentier na- Dans ie premier chapitre, le « Bar j'étals libre, c'esnAdire de 15 0 00 

c'en à rola que le Parti Ceint/sic point pour le conquête d'un objectif de le construction de ses c cuiras.. tional avaient d'» a C'est FM raconte comment d sed engagé heures, 

eest eefusé dan son sectarisme déterminé, mais Peur faire m'Oum terrestres >. 

obcrr 

ta ...bile régiment d'infanterie cogniale A ce sujet J'al retrouvé quelques 

une attaque et attorer sur cous le 

bien connu. Vorlô en quoi ont elin- 

Que fait Schneider ? 

Eh ! bien, M. Schneider nous au- Roshefon-eur-gfer, dans quelles conditions notes grtatonnées à l'évoque. Jasons 

plus d'artillerie ennemie possible.., le Schneidee exige une commode rait laissé tomber.., privant ainsi, s'yen, été rapidement nommé caporal, il tee .umets. Peutétre ferourelles 

esté son intolérance rime intran- aux seules lins de favoriser 1ue opé- minimum de Pois cents véhicules, volontairement, Par «sera de Iner, été chargé de surveiller un groupe de mie. saisir mon état d'esprit à re 

mgeasce. Pas pour ÇA, ou pas nous. rations russes à quelques milliers an prix de trente mille francs pièce, pour une question un bénéfices, Par- trente homme, sursit comme lai a Mar.- casse, cet. De% époque on in n'avala 

En revanche nous n'avons lamais de ki/omètres. 

un délai de livrai.« de six à sept 

mie française de son 00111 ie pl. teille et aussi pourquoi, a son armee, d pas enoore vingt ms 

refusé notre collafboration k une Je ne dis aucun mal de la concep- mois et l'assurance que. pour cette redoutable. 

tété cassé de son emde et Pond de quia. 

action de réforme démocratique ae tion stratégique. 

fourniture, l'état ne consultera au- 

Et puis M. Schneider ajoute e « Et Incts de prison il avait, en route, bien 

a Marseille est «me des entes Se enta 

plaçant radine Sur le Pion et s'ir Mais l'application compacte de cune maison concurrente. r j'en veux le monopole Is. 

malgré Id, e perdu troC soldats attar. 

vivantes de France et rien ne donne 

prograntreve duemli radicaf. Nous end, ééserces. 

-Tont autre «lue Schneider, animé Et si l'Etat lui avait dito e Non. lés au buffet d'une gare. 

mienu cette impression m'use groin,. 

n'avons jamais eu l'occasion de I. Et faire tuer-, pour rien, sans in- du désir de servir la Patrin le Pt. 

Plus j'on aurai, raus l'armée sera Joli également expliqué, en an court natte etre les quais rte te Joliette. Elle 

renforcée. Je vais en commander d prologue, pourquoi je ne aubliema pas le est cosmopolite aussi. /Mer les races 

refuser, parce quûn ng nous ro. tention offensive, des hommes sur vite possible aurait simplement dit: 

jamais demandée. Non seulement /e front-français où l'on préparait sole s55 mets à Porcines tout de 

quiconque .ra outillé a ? 

no. On personnage principat écorce au- s'y oeiNoient, parlant iodes tee lon, 

Mors, Schrimder emmt dit t Bon, thentique bignint. oses ar «gant Cc. 

nous ne l'avons pas refusée, mais des opérations- de maures, peraIleq 

sme. Je ne ses pas ce que cela 

Oseras. OUBERT. re valatpticite de, r(nt>" et le noetb,4 

mats moi je ne vetos en fais pas >, 

none raeons of erte. 

toet au moins nus .en- coûtera. Mois noot la nemss bien, 

de voyagel.re enenent avec eue let lue 

procédé à la fois scabreux et té.. Dès que j'en aurai terminé deux ou 

privant ainsi l'armée de sou mine 

4. 

0.4 Osée'Ie due yeoelitmeet de tolu 

Pnom BLUM. Meus, 

trois je vous les Cermet pone des 

la mieua outillée, la plus pendue. 

Ctagee demi, la rue conterie 

laine 

11. L'adjudant B... aatun8 dorée du moleone de Larme de 

'N'estes pas que cette affaire révèle 

utununtimummummumumuut lll llllllll mann llllll 1111111/111111111111111111M11111111111111111111.111111111111111111111111 

Tes ionnee Jours panseront elle ce- Rom., en passant par 108 filler de trot/ 

un homme ? 

En pleine guerre, quand il est or- 

Peadant et malgré ma reerm Dm le tees' eus peieent autour de la rare 

rang, 

nent d'alter vite, de Prodoilre brou- 

le n'avals pas complaerreeni 

coup, un homme arrête tout en vous 

dde.péré de faire une mn.ss sous a Et tout ce monde yeettoulont, le 

disant t « D'abord aaye.. Palis je les drapeau. 

verbe suas, d croire tree Merl. d I« 

serai seul à fabriquer. Enfle je vous Tous les chefts ne sont peut-être PreprICA sing.tdre docsimiter on 

demande sept mon, Et je ne travail- pas Paroi. Pal le temps d'eu rem., enelques jours le paagnst 0 sen e00054 

lerai que si vous m'assurez un ad- dre, des gelons! > 

renne mdridio.n028. 

I 

nimum de... >. Et c'en" lui qui Inc 81 l'avais su.- 

Lorsque le traçais ON Masa aie 

le minimum. 

Il savait bien sans doute 'que des 

concurrents eussent marché plu Teiriperature 

vite et à moindres frais. 

Sans doute aussi l'outil eût-il été 

plus solide et d'usage lotus satisfaisant. 

Le doute n'est pas permis 111-clis- 

Voici l'état actuel du paquebot géant e Normandie » tel que les délégués de la Semaine d'Etudes de, leu/Mues 

Socialistes ont pu l'admirer à Saint-Nazairc. Bientôt les travaux seront terminés et des centaines de travailleurs 

omettront iuouecss l'angoisse du Marnages. 

111111.11111111111111/11111111111111/111111111111 lllll 11111 llllll 11111111 llllllll 111 ll lllll 11111110 11111111111111111111111 l lll innummums 

rand, âgé de 28 ans et le lieutenant 

dnvmoaenu q oses, ascI 

pilotaient un avionn de tourisme 

immatriculé e », sent 

tombes a, l'eau en rade de-Cannes. 

C'est le lieutenant de vaisseau Mu- 

la rupture d'une des hélices, cette 

hypothèse est b Marc.. En ce vol 

parachutes qui sont d'un type moderne, 

mals nun homologués et non 

utilisés dans les services °Made, il 

est b peu prés certain que les voilures 

ont fonctionné 

Irais que les ceintures ont été défaillantes, 

et ceci explique que les 

victimes ont vécu quelques filetante 

mares leur prise de contact avec le 

cot et n'ont pas été mutilées. 

En effet en sept:mime 1916, les 

premiem tanks modale Schneider 

apparais.nt et, nous dit M. Bonnard 

o après avoir franchi oleeigem mètres, 

s'arrêtent, s'embourbent s. 

C'est a/ors qu'on fait appel la 

/Industrie privée. 

N'est - il point particulièrement 

Instructif cet Spi.de de guerre, oh 

1¢ mercanti apparaît datas toute sa 

splendeur ? 

Peu de temps après, de véritables 

tanks surgissaient sur /es positions 

allemandes et /es écrasaient. télaient 

dm tanks mglats, fabriqués 

eu Angleterre par l'industrie privee. 

Les nôtres ne purent aborder la 

ligne de bataille que l'année sirvente. 

Comment vous étonnez vom, 

après es nue le potentat du Creusot 

ait atteint depuis la guerre le faite 

de tous lm honneurs officiels ? 

Merles Bayet, prionmrs à Rochefort-sur-Mer. 

Au lieu d'attendre que l'autobus 

ait pa., 15e, Bayet vouhtt également 

s'engager et, pour cela faire, il se 

rabattit trop sur sa drox'c, car il 

rena quipilotait. Comme nu Pa- 

heurta et renversa la barrièr, Le 

UN COMMENCEMENT D'INCENDIE quebot était en rade. g voulut pas- 

A BORD D'UN HYDRAVION ser le plus prés possible' des pinots 

mou., déporté sur sa Girod, alla 

se jeter sur l'autobus, dont les gla- 

Toulon, 29 août. Cet après-mi- sur lesquels les passagers leur Mices 

du côté gauche volèrent en 

di, à bord d'un hydravion de la masaient des signaux. Vraiseinblable- 

Mats. 

rine appartenant à la section d'enment en voulant éviter un des mats 

Dix des voyageurs, plu ou moins 

traînement du c Béarn n, un com- du bateau, le pilote actionna ses 

et UT t prd '1 ts 

mencement d'incendie Test déclare commandes trop brutalement et 

de verre ou contusionnés par la 

en plein vol alors Cl. l'appareil se comme une pierre l'avion tomba a 

Icone du choc, reçurent immédiate- 

trouvait au-dessus des salins d'Eyre- l'eau. 

Un camion et un autobus ment quelques soins, cependant que 

res. Les bateaux de la semaine Moto- 

le garde-barrière Maury, ne perdant 

Le pilote a pu amerrir. Une ve- Ntutique de Cannes qui se' trou- se té;escopent pas son sang-froid, murait F.M. P1.dette 

du cuirassé o Courbetreparages se précipitèrent et repêcer 

des pelards, car l'express veeuelie 

,illlisals et saufs les Passager. 

chèrent les deux officiers qui sont à un passage à niveau nant de Toulouse était annoncé et 

sains et saufs. L'avion qui est com- 

le camion de M. Bayet olistrcalt la 

plètement detnut a été repeche. 

voie sur lameli, il devait passer. 

UN AVION MILITAIRE CAPOTE 

DIX PERSONNES BLESSEES Avec des moyens de fortune on 

Un avion piloté par le lieutenant 

UN AVION MILITAIRE CAPOTE AU MOMENT ou L'EXPRESS dégagea la voie, permettant en mê- 

ALLAIT PASSER 

de réserve Vincent, accompagné du Agadir, 29 août. -- Un avion Mime 

tempe le passage donc longue 

sergent de réserve Collengette du litaire espagnol a capoté au cap Agen, 29 août. 'Au passage 0 ni- 

file de véhicules qui des deux côtés 

centre d'Autnat, a capoté n'Umm- Gaie, au sud d'Agadir.- veau de i'avenue de Toulouse, au de la barrière attendaient que la 

dMi, à 11 heures, près de Creusier- Le pilote a été blessé. 

début de la matinée de mercredi, un route mit libre. 

Levieux, en voulant atterrir. L'appareil a été détrnit. Brave accident s'est produit. Une empiète u été immédiatement 

Les deux 

ouverte par la police municipale 

aviateurs, grièvement 

Mn autobus, conduit pur 10 ehauf- 

blessés, ont été tramportés h l'hô- 

L'ACCIDENT d'Agen. 

' feue de M. Besace, transportait de Les personnes blessées dans cet 

uital de Vichy. L'avion est détruit. DE CARRIERES-SUR-SEINE Pnymirol à Agen de nombreux loup- 

EN RADE DE CANNES Versailles, 98 août. L'enquête mars qui se rendaient à la fou,. 

UN AVION TOMBE A L'EAU relative a amdent du Breguet 413, Arrivé au passage à niveau de la 

Cannes, 28 aout. Deux officiers 

survenu le 27 août, au chef - pllote route de Toulouse, Fautob., irai 

de marine du centre d'aviation me- Signerin et au chef mécanicien Tri- marchait heureusement à faible 

Mime de Saint-Raphaël, aphaël, le licolsoulet, 

Ma pas permis de déterrait- More, a engagea sa môme moment 

nant de vaisseau René-Louis Mu- pner 

encore les causes exactes de Où. en sens inverse arckmit un en- 

, a mion appartenant et conduit par M 

accident et qui, heuremement, ne 

paraissent pas très gravement ab' 

teintes, sent t Mme Vve Andrieu, de 

Tayrac; bille Calmette, de St-Malien; 

Mme Itocacine, de Tem.; MM 

Rabots, de Bourg-de-Visa; Delrame, 

-Vigeé et Bullet, de Terras ; Morel, 

de Pero.. 

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés 

25 cENT; 

L'UNIVERSELLE FRATERNITE, SI JAMAIS ELLE PETIT eEnt. 

BLIR PARMI LES HOMMES, NE S'Y ETABLIRA QIQuU DETRIMENT 

ET SUR LES RUINES DE L'IDEE DE PATRIE, 

Ferdinand RRUNETIRRE. 

(UN DES MAITRES DE LA RE ACTION SOCIAS.E CONTEMPOé 

RAINE). 

A midi e 18. 

A 15 berme r 

A 19 heures ; 19. 

A minuit e M. 

cia couvert er menerent. 

JEUDI 30 ADIIT 1931 

e1, ,1,1L.1* vh/é1c 

d'hui, J'étais Min devrctoir toutes lem 

aventures qui m'attendaient, le rra& 

que Odyssée qui allait boulerersor ma; 

pauvre existence. 

Comme elles uns iota, ujourd'hui., 

/es Pilles de Marseillei ec/len de /a rue 

11001mie on de la rue da ROM* I 

H11111 llllll 1111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111/ 

Notre vaillant confrère « Vooruit >, quotidien socialiste belge de langue 

flamande, va célébrer le einquantième .niversatre de ea 

lion. De grandes manifestations ouvrières se dérouleront à Dette occasion 

à Gand, le 2 septembre. Voici la puissante affiche de eimmatenaire, 

qui est à l'heure actuelle placardée eue tous les mues do. Banat*. ,

2 

Un matin le e piston e me fit ga- 

lle. Voulez-vous, me dit-ii, - sue un 

ton graulaux, tneeeouturai - devenir 

ordonnance Mun ...Meer? 

Je n'heeital Des. 

Mon mienne, remondlebe,peso 

mettez-mol tatoue repende Non 1 

. 

- Qu'estes, h dire 

- Mon capital", J'aime Mieux set 

ter comme Je suis, un simple soldat. 

Faire le domestique, moi, vous rave, 

Je disais ça simplement sana Ors. 

/mie, comme Je le 

iodles! 

L'officier bondit 

- lalal Md/ tan-i-u en ruilent 

face mauvaise contre la mienne, en 

fixant /nes yeux encore étonnés dou 

Mens, qu'une clajonetirlte avait rendit 

bannetre. ahi vous ne voulez pas taire 

le domestique pion bien! vous la serez 

quand meule. bon gril, mal gre. 

attendant vous me feues quatre Mers 

Pour vo. apprendre st discuter mes 

ordres, ar sortent, n'oublies pas ou. 

Partir d'aujourd'hui voue êtes à la die. 

Position de l'adjudant IL. en Quante 

d'ordonnan., 

L'adjudant EL 

Jo fies mes quatre 1.111'à Pue 15 

mis Ft la disPosition de mon Pal 

tron 6 

L'ad/adent 16 

Si j'avais Jusqu'au bout refusa do 

ta, ois ordonnance, ou et un daine 

quatre nord, la 000teio Pende dong mn 

renum, je n'am. par mana sertes 

des « Bat' d'AS 4. 

Tant pis pour mol. 

t:t 0 0 

or/ira...cal J'étais ordonnance. 

Moi mn avals décidé de m'engageg 

pour devenir gradé, je me trouvai/ 

i transformé, MI jour au lendemain, en 

domestlque. ! je n'avais nullement 

honte, remarques-le bien, de sotte mué 

velle qualité. Seulement, elle m'avait 

MA imposée contre ma volonté et di 

cela je souffrais Pins que la ne SM,' 

rais le air, 

rota Celd Paie quo n'amis pas sd 

retenir par lu pan de Ione lape. 

tri/isolai. briscards 001 descendaient 

du train lorsqu'ils avaient taon 

eoit. 

Ordonnance 1 Quel drôle fa métier 

Pour un soûle,: ma besogne loue.. 

hère consistait à, cirer des chms: 

Imre faite Maaffer du café, beurrer 

des tartleee et â apporter ensuite, trêd 

respectueusement, le petit déjeuner 

dans la chambre de mon a patron s 

qui aimait à élég.ter le moka-crem 

bouillant. dês son leen et au lit. 

L'apr.-midi je lamie son linge ou 

reprisais ses elmussettes. 

Ce que j'ai pu en voir, si vous sa, 

vies . que j'ai pu en supporter Peu/ 

dant les vingt jours oh quelquee 

Soins hâbleurs m'appelaient a MonsIené 

l'ordonnance nl 

main j'étaie patient, n IMPOnne et, 

is préferals ne lion dies, me.. 

servir avnu docilité mon adjudane 

B., remplissant le mieux que je non' 

mis mes fonctions de valet de chambre.; 

Je ne volas al pas encore Mt Jd 

crois, ouel genre d'homme Malt 13... 

cmaranteeinn ans environ. Petit, sec; 

nerveux. Des cheveux noire ahondants/ 

mats noces moustaches. Pas Mme, 

grincheux le dols l'avouer, sauf lorsn 

flne ses petits yeux noire s'injectaient 

de sang ét que ses lèvres se pinçaienh 

faisant apparattre sur son Mame ag 

cruel- rime. 

Alors, en ces mornents/a, gare ast, 

malheureux qui tombait sous la main' 

de l'adjudant B... 

a'y Courait Pas dei 

ees quatre jours ! 

Pour ma part, exceptée les assem 

rares ace. de rage, je ne lui ...Ja- 

sais pas de défaut. et Tétais loin d, 

prévoir la tempete «il allait mem, 

mer sur .ma tete, d mime de ses Mose... 

002 

Cela se passa un soir, mon de temps 

zunts /a dinar, 

Tétais da00 la cour, venant d'as 

eemplir une .reee. Da" le lointain 

11111111111111111111111111111111111111111111111111 

Comment on est reçu 

en Allemagne 

quand on est pas tastiste 

LEM MEIVIMRES D'UNE DELEcern- 

Ticte INTERNATIONALE 

AHRETES EN ALLEMAGNE 

Ben, 29 août. - La ddégation 

de la Jeunesse antifeeisto interna- 

tionde, vende en Allemagne pour 

rendre visita a Sheeiniann et Pour 

-Se rendre impts des cOnditions 

la vii dans les camps de concentra- 

tion, a ête arrêtée dimanche 27 

août, alors que set membres gra ne^ 

allaient dans lin des Mos de ia ban- 

lieue de Berim le Teufeisee, sous le 

prétexte de taire dê la propagande 

nanti le Mer ulo goal °erten,. da 

Reich. 

Cette délégation se eompose de l 

quatre ADSIesig gge-4u 

A mestra Carcla, COPrila et AlIonte 

.01 ding Frangera, Berthelot et Verni 

secretate des Jeunesses Arques. 

En outre, loi journaliste espagnol, 

Alvear, du lieraldo de Madrid, qui 

avait accompagné ses rompatriotes 

espagnols à Tertfe4ee, a ôte arrête 

en même temps. 

LES DEUX DBLEOCES FRANÇAIS 

VONT ETRE REMIS EN LIBERTE 

Berlin, 29 août. - Vomi quelque 

détails sur la manière dont ont été 

arrêtes les membres de la déléga- 

tion dé la Jeunesse antifasciste in- 

t r animale, qui étaient venus en 

Allemagne pour rendre delta 

rbaelmann 

Dimanche, à l'exception du Fran- 

Catir M. Feu, également arrêté, les 

délégués s'étaient rendus sur les 

bords du Teufelsee, prés de Grime- 

rfald, dans la banlieue sud de Ber- 

lin. 

'gest nu sortir du barn go on 

groupe de natIonaux-socialistes les 

entourerent et leur reprochèrent de 

se livrer à la propagande contre le j 

gouvernement du Reich. Deux na- 

tionaux-socIalistes se détachèrent 

du groupe et allèrent prévenir la 

police 

Bientôt, M. camions pleins de 

policiers et de miliciens notre vin- 

rent, malgré leur violentes protes- 

tations, les arrêter et les conduisi- 

rent au commissariat de Grune- 

wald, let Parquèrent derrière des 

/ils de fer barbelés sans leur Potin' 

ter aucune explication. Là on les 

Indila minutieusement puis un me 

Ire camion vint les prendre et les 

emmena à la prefeenre de polie 

aradoe. de ma tete, es dre.alt le 

,sombre st sinistre silhouette du fort 

,Saint.bil.lap. La prison. en., 

Un MM de pas me fit regarder do. 

, rant me : Metet te heime da en. 

11e garde ne venait à ma rems.. 

. - FA I vie., me evil. h y fou 

jute. qui 4 relent 10 idem mu- 

té parce grau se entait tangue et 

1 voudrait que tu le amènes On pis 

a se Pue. 

1 Je haussai lel BOO., PO. man.. 

Mis / 

, -011 n'y a que cela pour lui faire 

lPlaislr... 

' Dia minutes plus tard, une cafetière 

ouillente dans la main, je frappais 

lia la porte de radindantehed B... 

t- Entre I esit-tell eneeitôt. 

Il était de/d macla, lisant un Jou, 

mal. C'est avec un largo ;sourire qu'Il 

m'accueillit, en me disant : 

- Voue voeu ai., mon gareon 1 

Vraiment voue nava pas 011 1010. 

- dol fait de mon mieux, mon 

effluent. 

4 pals on gime, 9 vereai une Partie 

du aband liquide et le lui tendis. 

- merci, mon garçon. . 

C'était la première Mie qu'il me dl. 

sait ii merci 

Mals Je tue encore pins Monne lors. 

uns, ,,,,,,,, ,0,,, mer, il me Pre. 

Posa / 

- Tree bon, os soir, votre machin, 

Veule-s.v.', en geler ? 

EY comme je reetais debout, les bras 

boitants, près du lit, II ajouta : 

- T... O Y 4 un autre quart sur 

la table. Serv..vons. 

- C'est pas da reg., mon adjudant. 

Tout heureux de cette gracieuseté 

Inaccoutumée et mi me laissait bien 

amerer d. Jours 8 venir, Je Pris le 

Mega.01 d'alumMium et le portal à 

mes Myren apriu l'avoir emPli :rote 

bouta ruade. 

--- Venez vous ses.ir prés de mol, 

dit encore ladjudnechst 

surtout, vous 001 lisse ceci, no ms 

Praner pas pour un naïf ! Et pour 

sent, au moment où j'ales rainstatlef 

. Med du lit, jis ne nommenais pas, 

le no devinais pas, je ne pourale pas 

manoir. 

Gee ritale 01111, ramm lien eni 

endu parler de certaines a choses A. 

ler. ! Mais j'étals loin d0 le éta- 

mer dans gens paisible ollambre mill. 

aire oil mon supérieur daignait ru 01 

frir le café et me faire un brin de .u. 

cette. 

J. n'ailes pe tarde à saisir le 

Sut .646 de Cette canrerretim p.. 

turne. 

L'a:Umlaut à... commença, Infime je 

EUS assis mu loin de id, par ofeilfrir 

une cigarette et me p.er aime. 

questions "nese , 

Que fUnt vos parents ? MM êtes. 

vous f Le métier v011e Men ? 

Puis, le Mit se prin,e, mais je . 

M. ancreou pa, fo. de egte. 

Voeines, mati garçon An deman. 

da brusquement mon ohef, entre cama 

U on . Pas à se 0000, V000 Penses 

bien me dre pour queues Tobt,ot. yens 

Vous Mes engage Dra phagnil ?- 

De la 00 u, je fie signe que out 

pool sse Ira on. margelle en me 

fixant dans les yeux tandis ell es 

meGait à Meer. 

Je voulus entu rani courageux. 

Ob 1 le femmes, Insje, 11 Y 5 

done:mas nue je n'y petee plur.. 

ti prit certainement cala pOilr Un Me 

rameagement et, sans pudeur, e 85 dl- 

mana. : 

- Me. sar, Insinua-d-il, on peut en- 

111m uni se imeer des femme,. tdd, 

.vral, Min, petit d - 

Par pude. jo natterai sous sign- 

e ce qu'il me dit eus-vite et j'en arrive 

an dénouement : ' 

et., bond fatale sa1010 sur mes 

Inhibe et auagtfle de Isagei men bre 

lare en avant ; le ecrip e. Poing que 

Ils lut decoMmi le toucha,. eaectc- 

!meut sur le nes. 

; Perdant anandstument son 'sang par 

.s narines, "Meus bonhomme n'émit 

mandant pna knocksout l et li en 

profitait pour hurler, Intamehlernent o 

An mien ! à and la Umm f 

Au serions ! 

teneueuuliouleenueulunwelue 

Ale0100en1910, APTS5 lUbs ST* 

tait subr un nouvel Interrogatoire, 

ou les mit en cellule. 

Aucune charge n'ayant pu être 

relevée contre les membres de la 

délégation antifasciste arrêtée, /a 

1'cr Oeurnln «rat et 550gO 

empetglit ont déeide 

de éra donner aucune suite d, l'afe 

faite, 

Le regrettable malentendu 

Mate 41,quel les délègues furent er 

reliés parait être dû au fait qu 

ceux-ei portaient sur eux des pl. 

tographies de 'l'hacha.mon et de 

,mprimes rédigés en langue M.». 

gère. 

La délégettnn de la Jeunes° On: 

Utast:tete sera donc rems° en li- 

berté d'un Instant à l'autre. 

I t se délégués français, Rentraie 

et Dam, en faveur deamtels le coné 

suint général de France est immée 

diateenent Intervenu auprès des aug 

torités allemandes, nnduaogiroauj go 

Mir DOW Pore 

-Tés., elegeo--___ 

Un fernder éventre 

son frire 

d'un coup de fourche 

Une question crintérèt 

let diyiseit 

Veneur-Loire, un crime sauvage s'est 

déroule au sain d'une laborieuse tamil- 

enfante 

gne, soa cadet et se deux jeunes eue 

dont la more est morte tIns nia mole, 

Diesant un coquet 'héritage. Comme 

il arriva fréquemment, chacun Ose 

membres de la famille était mécontent 

P.,e`e:e 

"..rore mal, 

frére le revendiqua pour tuner ose 

Pi/one..terres. Henri refuse net. C'est 

taons 

trere des panée, blessant., lui dee!. 

rant qu'Il pouvait partir ail n'était 

Pas matent, pull Malt 18 ch00 lui e. 

E 

s'emPara madaln none frlurche que 

ele * 

rerririe,r,lat-71 

MO, lieumme et I. Intestins per- 

forés. tut immédiatement transporté 

O /hôpital dong un met démente. 

ment oelomu le relme. il et:oâilre.; 

sertgavnea qu'on était ell queir. 

it ne saanffesta tub. mare 

e de en 

gots. 

La gendarmerie poursuit en en. 

ouate. 

g''''''" '''ne i'liïii'''.die'm'"I'll'`P,',7:-' eiwillatililsetutmositettlnumettuatat'ut..- artima /titi,- .t 

y 

3011 

sant le cadavre dmdilquelé ce 

isitilliirlaillititri 

son 

estermle ntaftnee. 51. Pente ge. . e 

q'qe"eqeg'qsleagainal. 

0 eg't d''''ilg g" Un engtfacur est officiellement chargé 

4 aras:mu d Un 

- et Mei, nie dette an lem.. , 

Val. . me ',oyez Paa M'am mie. 

Leude onnai ro, de rechercher les responsabilités 

r la mobile dijse, ih 

ce men une- folie de notre trad. 1 

de la grave mutinerie de Belle-Isle 

-. 

mat Merdier une uulre Pline.- 

Pourquoi deux poida, deux ilieee 

res .4 Prétende ceci 

di M. Albert Prinee n'aven Bob 

de magistrat, 011 coneidtvait 

Onu la véreté t 

batela rat si apereat que 4 

a Liberté s tai le sait bieu, i011011, 

c lin thumedeini d'enquête n'et 

Meel Ore05 polluée, 

eut °remonte indépendant 

est P Matitairsture, 

Vondratten en 010115 

carence e 

Gour ma part. ie aLe al Ps 

Galionmais Parantorat 

ment ceci 

Dei. Mique. volte t Menti 

IbIdem 

PRECIS/OMS 

"Ignore si M. rave:cal général f). 

rand, itingialmt Integre, et que son 

lori Oraitraje avec le prisident des 

1511555 de 4 Côtesl'Or, il y p quel. 

ques année, rernill ceiglire - 01110 

tout le secs admiratif et respect.. 

que perd avoir ce Vantent. - 

l'tdtcrs st M. remet général I3u. 

tubd seited la nie duo fayoté.. Et 

j'aj une d'Union d ee 4101, elle 

eat plutôt faite d'intunlon qlh Ils 

effligagai 

O me faut blen efEendani expti, 

quer ppgrippit POIS 0011111101 sud- 

ques-uns h avoir peur de emnurell. 

die /Ça nemmo pour lebeedles rem 

Mède, à eti début, t!h rut Fe nte. 

III Crame elle 001010 dû 'Litre, 

Irae. ma 900110 ; çieel h mal 

lin 11011110 u aklare b Won, 1 

in 

retZigde""n bd` 

- Lorsque M. l'avocat général 

Durand Aloi trouve on présence 

cadere, il ale m'a pure nettement 

sarprla 11015 l'exPresegl, d'une itri- 

mese doute. s'est manifestée thr 

sigate. Il est reSté ensuite long. 

temps immobile, pleurant. 

C'est apres ces quelques mina- 

tes de dl.. t'et redrese VI 

a dit 

- Meg d'el no eseditet. Il tant 

chercber. 

Ce n'est na'un detail, 

444 no détail entre d'autre, 

George OUBERT. 

ftleuvernent du Port 

Aérien 

de Toolsuse-Montaudran 

LIGNE FRANGE ESPAGNE mAn0C, - 

Le courrier aérien parti do Toutouee, 

as mot 1904, t té /mures, est arrivé I 

Cssabenea 15. 23 eilt 1194, h te a. art 

Le ocurrier serlen parti de Umm/dance 

le eg mot dadd, j 5 hernie, cet 011114 

a ranima., le 98 ment 1114, 4 15 b. 58, 

PROCHAINE DEPARTE. - 10. Tot, 

Mu. I Vers A. O. P. et Amimique du 

Sud, tous les dimanuhee. 

De MaraeOls 

Vers Espagne et Ma. 

roc, eervice quotidien. 

HEURE LIMITE DE DEPOT DES corp. 

BEMPONPANCMS AVION A TOULOUSE- 

GADD 

Tee Maroc, A. 0, F.. Amér.. du 

Sud ; Jougs Os déPet àt heur. 

vors Corse, d'unies, _Algérie 

Veille 

dee deperho à eu 11, 

Ver. Webb OrietiL Indochine 1 Velte 

Vent Europe du Nord el Caen.- 

Geméve Veille des départs â 14 heures. 

La singulière attitude 

du Parquet de Dijon 

- Tandis que M. Henri Che. '0- 

1011 M. Guermt, discute avec lui de 

la nécessité de remettre à la Connes 

erna SistesitY le rapport Guillaume el 

ses annexes, sodée des objeetions, 

hésite et finit par ee décider I 

tandis nue M. Rayinonal Priness poile 

tin00 d'amuser avec prudence, l'opi- 

nion publique partage en aleux daim 

depuis le 21 février, se préoccupe à 

:rameau passionnée./ dia * MYE. 

relie de la Condbe-aux-Flet s. 

Hélas t /e mystere reste entier, la 

Curiosité do faiblie insatisfaite, et 

la presse de droite, boueuse de etllu 

obscurité mi favorise el bien IPA 

projets, re-Kociume l'exigence do 

la maffia et nous mramee d'un auna 

De d février s 

Conne lia utilisent bahtlernent 

cadavre, ceux qui, Maque jour, ayant 

démontré l'assaminet prétende t gm, 

l'enquête a dé lel faite, et oublient, 

cil Poseurrenee, grie les selle Teepon_ 

s. bise de cette enquête sent lei ma. 

glaires dijonnais, ceux-la gram* 

dont ils vantent l'intelligenee et la 

probité 

Ceee-lit également que le commis. 

Miro divisionnaire Guillaume s'est 

perme de critiquer et sujet de 4 fa- 

Çon dont furent dirigées 105 reliera 

doge aussitôt, après la Mme.o 

du core de M. Albert Prince. 

CRT il est certain, Incentestaitle, 

,tte lus magistrale dijonnais out eux- 

reines ment Mules les Medina- 

none. 14 eût arrive les pernierS 

sur Me lieux ei Ont procédé eux 

conetatations avant l'arrivée de la 

brigade 0111111. 

Dams l'affaire Prince, la magistra- 

ture avait Prie lentes ses précau- 

tions. Trup. Cet a quoi ye voulais 

en venir. 

Lorsqu'un crime est cornées, qu'il 

tunerIa une entre ou non, en in- 

terroge toujours les proches de /a 

ectitne, ecu ainis, Se relations, 

itilit s'agises de n'importe, qui, mê- 

me feue astmat ou d'un officier, in 

;fele est 10 M.ne. Ou demande, s'il 

y a pas de quelle, Piao préese 

à pose ; 

-- Ouen penser-vous 

dernaele à M. l'avocat géné- 

ral Faraud, do Dijon, l'ami le plus 

lettre du conseiller Prince : 

- Qu'en pensex,ous ? croyer- 

Mme pas que le mellteurorm s'ee 

secidé 

LE /mi. SOCIALISTE 

Sur". 

le grill 

Femmes ! encore 

je réponds maintenant à la lectrice 

I duitequi ms ébeeds (esses vertement 

if,,,,r_on.'étre permis de u plalndre 

,le101inOa 

pool .41'17 

de ma pilé, mais si elle y échappe, heu- 

vodro 

vi à "olive' por 

exemple qua la 

vie, payé la femme, est au reniimIc plue 

sévère que pour l'homme. 

Je ne suie psn ms. niqis per prétendre 

cerfa:na exsorplebpereennels témoignent 

d'une srpbéorité féminine et je cornais dà 

cas heure...meg flonnunia. L4 n'ut 1.1 

le quesàon. 

11 ne s'agit -pas .dr raisonner up le plan 

de l'intelligence, du mérid, lia courage. 

je dee Io fessis dela si es n'est pape' 

rai Oslo ns la pie. 

Prime0 av bamrd de po( rencontre, sons 

choix préalable, 45,0 hommes clou nom. 

Ire hW sh Immo. Che 1. memied 

roui fromare des situations iniga!es certes. 

mais un relatif équilibre el une empenne 

rassurante. Intentée. le (eeonde(1 Vous 

ici ao bffaré par kr raepliculion dos mi- 

sec, des inesiétudes, de tourments, des 

4'5'1'e:id, lavée que depuis Aplomb la 

/mnes a Olé eue mineurt sme depuis lem 

jours rien n'a dié fait per ode 

i'e.e'f`e,,dee''' imr'tifiréreet'%% 1,o n'r. P 

ei: unoodllsIcrai. 

rat 

POlo soneit, certes, de heures d'extase 

adnérative, drp moments ad elle p500 55 

croire deus ; inkin dons les moments de 

bonheur artificiel, elle n'el ro la 1,7141,1 

d'un désir ou d'un 

La femme indépendante et une exrep, 

dam I il !cid souvent, pour apurer cette 

indépendance, comentlr 1 de dura renonce. 

mente. 

Tont est à faire, ear presque rien n'est 

fait, bac permetlle à la femme d'alleAre 

1011 majorité 

b' 

pme asecer le repect de 

in penonne et de son travail, Pt je Pré- 

tends encore qo'il es1 pI,. eailo li1 Pivira 

oie que de ramure du rroiplleiaiae dol' 

Cl plats sur to I IlInI0101lurolI. 

mlblrudnuuese fideies al exquises cone 

Mn« 5. 

GEDEOH. 

Cet awe-40--00. iotel trIo ramI dl 

reetalloge ont et* olgraes. Ir ne ma- 

terait do" plus ohne. lemme geite 

eueertmlre5:,'.'n eràeuerete.:;:;.. 

Les meneurs ont êta mis eu .1Inle 

et l'on assure quo les plue coupabl. 

seront transférés sur la maison de 

ferep dEysso. Les outres vont etre 

golet de memes disciplinaires st 

11. rsolvi. dorant le Tribunal correm 

U7eliterquot de Lorient aurait ete, 

nu.' é, Piafs cetto affaire ne serait pas 

de son ressort. En effet, ft Sam Me 

degaces et qtrelquee 

tiens Matérielles da05 la colonie, 

L'état de eante des "mile" blessés 

511 10010 0,1 Ir?arrneeiVoenr euneereci: 

mooaarcost 

dent, d'hier, le directeur de la eoionle 

West borne à déslares am devie quel. 

hue tem" "sélillies,e, inaet,tis ses, 

enrdigent.*Moei 

ti?atf4 

Perinis de prévale QU'ana/tentative dle- 

"Codet="e'a'etrets'ne 

11%'taril:emdedIstire;sb'eale. If°,1 

mis en courant de la eituation los ses 

"ear'reeuei'drel ' 

i ,free:es gens 

restent dar hile n'est 1/1" 

000000014lepeelVeurit'eris., 

dos matineries 

loUis 0e PolIo-Iota atoll la euscsm 10. 

tamMaut un gardien nommé 001101e 

orge a npied du mat dû l'Ange, 

noohmblo d. In 0.4 par des mutins 

qui voulaient e'emparer du betiment 

Demie, les détenus ont encore tente 

de sr oOnIuror. Ils 55 plall00000d 

lin 

nourriture et de mauvais traitemems. 

tilt, ils n'ont quioa bat: gêradeTi 

recouvrer la liberté qui trop souvent, 

leur a Sté enlevée Pm. uns fauta le 

Kit 

On sait aussi l'aMeetion de deo lieux 

de perdltion, qui, au lieu d'amender et 

do Pero.. eanlme la Os..." devraii 

le faire,na laissent de imurrir Irreniedia, 

niellent l'am ths ce* fideesente 

drauseimat Made as me. mn sait 

en.. 1.9..1 de ou co- 

lomes PénItmeriaires, qui faute de cr, 

dire, sont abandennées à la benne vo- 

Ione dee direct.. 

Enfin. toue. faute de crédits et 

plIIIIIIIRIIN1111111111110111BIIIIII11101111111 

GlIrdeeddleaLS.f. 

TOULOUSE-P, T. T. 

8 n, 30, 13 heures et Cl heures. .:- 

duo '1050 'parla, 

10 h. 15. - Relais de Viohy, Concert. 

1.1 heures. g- Musique euregietrée 

IdIidIlua t'Sé.keee"Rne7:1'2.de 

SI h. 30. 

Conoort symphonique. Or- 

mestre-soue 10 41irootion de Nb Nenry 

Combien, profeessom In Co.ervatoire 

de Toudoee. 

16 

- Matinée enfantine sous la 

ch/motion do Teplé 

enfantine du pegonage barque 0011 sous 

la Mrection de M. Gaillard. 

17 I. 45. - musique enregistrée (rns. 

quasi Mractionea) 

te h. 3a - Reale de 90015 P, T. T. 

te 4 ao, - Conférence et causeries: g 

g Au Paye dee Celano" si P64 M. 

misant, homme do lettre. 

Id IL 45, - programma de M'Iota. 

M. de Toulouse, minmulquda disert 

50 h. 45. - Soirée de eomédie, sous 

la (Uranie do mile Talour, profeeesur 

Idd Ocearvatolits do Toula., ex-p. 

eionnaire de PO4.. m Pregramme 

Des avions payés UN ASPIRANT DICTATEUR 151 

par le gouverneineni 

. servent à répandre 

des tracts royalistes 1 

Pont-Audemer, 97 août. - Samedi 2t 

août, nombreux étaient les habitants de 

notre ville as Pont-Audemer qui, dent 

les rues suivaient les évolutions de 

plusieurs avions medersas-da-leurs têtes, 

qUand un biplan, dailleure mets re 

marge et mena /mea tomer dee 

Proopeen. 011asun d'an prendre mn 

naissance, croyant y trouver de la ré. 

clame pour le fromage X_ ou ta gra 

me T.. Mals, stupéfaction, les tracte 

qui 0005 telbalant du Gel Malet Cl 

gale du tout-fou du roy Chartes Malin 

ge, et edamide sua travel...para 

Dans son tract Maur. Moue une cri. 

10 tonere unI ]0,11a111 maeosaiques, les 

syndicats et particulièrement entre les 

socialistes, en visant leur *az Laon 

Blum. 

P511 eus Importe In anus, travailleurs 

...audemeriens. quo Io tuut-feu du 

rie Maurras Mess IMprimer 555 e11151 

ge als delicerium et les donne Mente, 

m oue nous voulons savoir est 

01 15 eiplaa g Derlot 0, den. par 

reat à emet0b e rince, st reg a 

/a dispoeition du club de pcnbAuee. 

mer, est destine I servir la propagande 

re Action Frange. a. 

01 10 ,Reedhileue palme toujours res. 

secs et la prima aux Mega do 41 

men tai, aa deind.sbt, 

ont eu de reameles.co ging delle 

leur permet de satierale peb de 

hes Mus Pies plaisirs aériens. 

SI /a immIcIpalité de Pont-Audemer 

continuera à. verser A. lier.aa de eette 

1111,50 se/sot/an aannelbs, e st elle 

merdes exceptionetieMent la M. d. 

Preeriando ei vue de la fête On 05 

sera MW. Isies ira:milieuuc et ber 

matrIbutbles de PontAuderrer ont le 

droit de saver gi. avec leur argent, la 

municipalité contingent :4 ,:,bventfon. 

"r la propagande do l'a AM,. 

v, 

Le Comernemet rêve. un Ione- 

tiomairo pour anOir adié dire en MIE,. 

grah Pensait d. « pats du Sentira », 

Qlrettends 10 Mme gootsnettent uni 

1upe1.1. rieedgud 1drn P"' 1.01; 

matériel volant le lu 

Infester te Pays de Dada dont le Ma 

lenuis longtemps connu, ost de mettre 

t bas cotte 000,ulII005nIeoollgImI, 

['matiot de classe, dira.noral 

Tmvallienn pontedemerem Ion: 

tommes de re la_grusee Poole 

M. O pendu I, samedi S6 sont, et es' 

mox mus sa rappeter au mois Moto- 

/ -..-6embetn 1,11t1 Nonne 

APERITIF 

elmssir 

CORDIAL 

eased per In faute d'admIniatrateure 

sa 501091 ,111. la nome:tire est sou- 

vent Mouftera. unut aux raeuvale 

traite.... dot 'horreur a frange 

déja la sensibilité OC maudis., 

e'lls ne oent Pu h dentoter perlée, 

ana tome. trop gouine et incuse 

ruent apPilMtée. 

A la demande du mlnIstre de la Jus, 

tIce. un Inspecteur général des servi-. 

administratife s'est rendu d le 1113i. 

son défit/cet/en surveT. de Belles 

ists...Mer pour faire uno enquère sur 

/a mutinerie, en recheerher les causes 

et Mirs sonnette les ereponsabilités 

ont peuvent se trouver engagea 

Nona espérons. sans trep y croire, 

que os responsiMinas srvout publique. 

ment précisées et surtout chatieea. , 

- 

Un détenu s'évade de rééditai ! 

de Lorient mals d est téentêt régis 

Lorient, 28 +ma -- C- ur- ling.» elAnedi 

denCe. un détenut da la mémo coionto 

do Belle-Isls. nommé Couds Aulalx, 

aga de 21/ ans, ne Bene, cosdansS 

Par le tribuhai erreetioano, do saint, 

Etienne Mem'à sa matoritt West St.' 

de la net demieos de repiel Beim 

III. t Lortent, oil it était en traire. 

ment depuis quelques nada Il a gag., 

la campagne lorletaise. 

Ce n'est nusà, 33 heures que le lem 

ne détenu put etre aPprehende Ce ne 

On d'ail/surs es sans difficultés, sas 

tarCe 010 deal d'er Ccorp'; 

0m tau 1001 ?.11 

Im0000 II e III ,1411.teJ',,rel.' oe. 

Un détenu s'évade de la prison de lens 

Luit, 11 tett, 

sujet helge, 

C."ite'C,d1Leà 

pose,' Stait Inearcere 0 10 Priauc 

centrale de Loos-leeLille depuis le mou 

de mars 1133. 

Ce matin, vers / h. 30, travaillant 

"ofe.eil'ufle'gurt? la 011000, 10 

1dt 

OOsftlOO 01 

p55 oeIl o'recro sOberetatTea ont êta 

omis .nt restées vaines. Les 

brigades de gendarmerie de la fron- 

tière ment alertées, 

1101111111511111111111111111111111111111111111110 

La Nouvelle Idole a, de François de 

Cure/. 

En do d'émission, les dernières cous 

venu. 

reerns SECTEURS, tt Partir 0. 

500 fr. Machines parlantes G. FRIF- 

DERTDEI, P. rue de l'Industrie, TOC. 

LAUSE, Téléphone 5 297.11. 

Forno-TotibouSE 

: heUr 

a 

dansants. Der- 

niresnueges 

t; extraits de 

Mme. 

ta heures. --- Airs d'opéras; orchaMra 

viennois. Derniéres nouvelles de la ma. 

tin-de. Changea d'avant-Bourso. Le quart 

rilimure des auditeurs. 

13 heures..- Mercureies des urine, 

pmec marchde régional.. Al Cabaret 

toulousain, s Histoire de Mese fan- 

/elle radiophonique. Orchestre adepte 

nique; mélodies; mimique militaire. 

Id heuree, 1361110010 d'information 

de dernière heure. 

10 la. D, - rxtraite de flIme orohes. 

tro de tido.: aira d'end.; gniler. hm 

10 55. BO. 

Deniee nouvelle da 

rapremell. Résultats des sensu de 

André Tardieu 

M. Tardieu oublie de rappeler que 

la compagnie ...se:01101re, pente. 

rant gal/Ioder le budget franaala pl.-Ilt 

que le sol du territoire concédé, 

réclamait d l'El11, sans honnêtes 

sans d'équité ni décisives raja°. de 

droit, P. Indemnité de plue de doese 

ru Ilions ils n'am., et 0., pour lin, 

10ede l'Obtenir par le Marnage, elle 

utilisait les journaliste. 1000 service, 

mi Premier rang deSquels 1111-1111001 

Gennit. 

Rappelant qu'Il a « pailicipé à cet 

arbitrage de 1910, présidé par te Pm- 

mer président de M Cour des Comp- 

tes a, il uestbse d'exPliquer clairement 

et de faine comprendre 

ses 

Iauua que1-1f r 

alla point mals a Compagnie 

en lutte avec l'Etat dont 11 01011 ales 

fonctionnaire. II oublie de rappeler 

que sûr l'Indemnité figée à 2.suo.ao 

francs-or - Indemnité si exagérée 

qu'elle fut réduite plus lard d 1.100.000 

franserlinider - t'assemblée des mi- 

tionnaires décida de remettre d en 

président une somma de 1le11000 fr., 

destine e o rémunérer certains con- 

court a, 

II oublie de rappeler que, 11000 

faire obtenu: l'indemnité illégille et 

injuste, il recommanda de rattacher 

la MIdobo Sangha I un consortium 

franco-allemand et menaça le gen- 

vernement français, eu cas irn elut- 

ci na ululerait point, d'une intense, 

tien allemande. Opération résumée 

en ente tornade do loyal Prenais de 

O 

Pressai., 

On avis un patriote de métier, 

un des grands prêtres du enIte de la 

manche, tenter, pour arraebor quel- 

mies miniene 50 ,010101 4 la France, 

un chantage l'aide de r Allemagne a, 

Ne TOUvant nier rine Ibrtide 121 

du traité de Versailles mette d la 

diarge de l'Allernagne riademnité dç 

la N'O.« Sang., M. And. Tardleu 

ront.te 1011 ait été chargé de rédi- 

ger cette partie du traité de Ve- 

sailles 

e M. Ernest Lofons. - Vous n'étleç 

pus dee négociateure du Met. de 

Versailles ? 

« M. André Tardieu. - Non, pas de 

cela. (Rires d l'externe end.. » 

Rires ben justifies ; car la Malice 

Bot un Pen Anen, I M Tardieu n'était 

pas incapable de demander au cama- 

rade rédacteur de Cette partio 

traité le léger service ainsi rendu 

à. ses anciens patrons de la N'Odra 

Sangha I... 

« fig.-Bagdad 1 Sur ce polit, 

M. Tardieu s'est monte plus bref, M. 

Ernest Lafont, parlant d'on « tem,' 

fore s 

au ministère des Affaire., 

étrangère, « par un ...orateur 

non -pas parlementaire mais extra- 

parlementaire de M. Tardieu et de 

es amis politiques et frnanmers 

11. Tardieu set bore h dire t a Vous 

OC en et. » 

Cet, lui qui mentait en quaNfiant 

de mensenge Celte ablution ir; 

UT 110e associé Maimon et au cola- 

pliée de Maimon, Rouet. 

J'al cité plus haut les textes les 

plus IMPortants se rapportant à celte 

affaire I et ce textes échappent 

toue eouleatatton. Un jettne taire, 

YOussouf Said bey, demande la con- 

cession d'elou ligne entre Homs et 

Bagdad, et Marge un levantin, Mat- 

e., de trouver les capitaux Mena- 

mires Celui-ci s'adresse, en France. 

III. André Tardieu, alore grand jour- 

nalis. rédacteur du Bulletin de ré- 

tramer au journal « Le Temps 

Les lettres échangées, dont Il texte 

n'est pas contesté, précisent la natu- 

re du contrat liant Mairoon et Tam 

dim. Main.» prend â sou service 

l'attaché au numstére des Affaires 

étrangères Rouet et fait larder par 

des do011ments relatifs aux questiona 

orientale, Marignan. qu'utilise Id. 

Tardieu 0005 511 campagnes dot 

O Tenlps s et du a Petit Parisien 

L'amen, de Tc duel, Maimon, finit 

Par être condamné â deux nos de 

prison., 

VOiladom fers flue M. Tardieu A 

oublie a de rappeler à sea 10110. 

eues du Parlement I.., 

lI g préféré attaquer dea mort. Il a 

tenté de salir 00000e ses adversaires 

que la mort empêche de lui répondre, 

D' bIII-il 

te Un /Gelait Mime. Mord, qui 

faisait dans la Presse anglaise al 

française la campagne de ce gra. 

appelait le « libre eommerce 5, la- 

que/ consistait, pour I. marchanda 

anglais de Liverpool, h pouvoir pil- 

ler la colonie française, et ce pour- 

quo/ il reçut mi jour un chèque de 

100.000 trame des marchands do en- 

outobtmo de Liverpool. Aprês quoi, 

pendant la guerre, il fut Incarcéré 

P11 son gouvernement et condamné 

Mieseeleeregeg slealnalreseesige 

Un escroc qui usurpait 

In titre d'officier 

est appréhendé à Limoges 

; 

C'en na rePrb de bulles, 

plusieurs fois condamné à Paris 

00 L01uo 

L.ogee, 58 emart. -1,e gendarmerie 

fr" aine ' tatenalor, 

qui a amenda Os noMhreueee eeeromie. 

rien dene différentes vinee., et notamment 

k ?érige., 19 psdouu Ours. 11 entait 

fait rraea une boue de marmaille. 

un phonographe et une machine 

Sonne. avait sur Pd ...gen. Me, 

missMn,s 00 0010 régiment de Memel", 

amuie n preleadalt armement, 

deolaia d'abord se nommer Durand, 

(r8Pré9 livret ramMe. 

dernier étant den.. II finit par ego- 

nattro se nommer 0..pme Marne... 

P.. de 44 ana 00 .1 Par7 et avale ste 

deux fois condamne par le tribunal de 

Iv Selné pour es...merles, 

En attenant /V.O. véritable 

Identité du félla ininitanae. mninci e 

daa earoud la milan de Limon". 

eseamemmeeeenemamegesegegeseees 

chevaux de Paris. Cours commorciomm 

-d'ouverture des céréales de Xesv-Vork 

et de ouenos-Ayres. Orchestre opérettes. 

10 lI. IL - Redite de 6d/item/elle, 

21 heure. aes qbentre. Concert mu 

L'Heure espagnme g, de Ravel, 

sa tionres. - Musique 

tan. 

gos Mante; orehestre viennois; scènes 

comiques, 

24 heure, - Dernière& dépeth_ea. out 

lettrt mdeomlogiqueê 

par Félicien Challaye 

pour intelligences avec l'ennemi e 

Jean Leiguet a imediatement'el 

justemmt rétabli la vérité analqt,,,,,,o0ni11 

°plue ntott,, .4.1;0 bgli',:a.rd,:inetuh opaPoOcUree.qshilotlaial2er. 

ni 

rd:greet;;;;:u.i::. '01;d11::,11s: 

t 

tique /Me, un chevalier des inriene 

lar; nr i hi l'urnt4 redug 

conmaerCial ayant pour carae4rePes 

Mette l'expropriai:On totale des tri 

litne indigéhes, et po. consequenc; 

nécessaire un sanglant régime de tre 

ft:Edi e:Pte:115e:0 me'Pfl t'iPqe nu'é 

sQ0 veut do Il 

ddee 

,jap o te. M. Tardieu, qu'Isvoloby 

p'elatt'sail.t.,b'Enons lle'lede71:xple en question 

pétraeiLue; 

provenait de 4nde collectés parmi 

les admirateurs de Marel (le signa, 

taire de ces lignes, bien que radent 

point an marchand de Liverpool, y 

contribua pour une part infime) ; II 

détaosIt.ndees:i.nepadue 0:01,ml:g.cr,.0417.1 

de sacrifices faits par lui pendant 

indigènes ; il lui fut remit le 211 :nal 

MD, en une sen. solennelle, It 

qUelle aseistaient nn grand nombre 

de lords, de député., d'évdquer, de 

loSyM 

Ra 

eO/M.0,17y 

,, zfil:aeD 

//gwri vi 

ta:7ald, Com, 

vo: 

mec, tima Monnan 

Emile ,Vandervelde y représentaient 

la 1100015101 

0111015 I M. Pbier0rue"blileleeqeutueel'icie': 

Malle. la France. Cl fut, en Ph.- 

nette dit bêles, la ens émouvante 

manifestation Internationale. 

More! ergotée:me pendant la guer- 

re S C'est vrai. Pour avoir tenté de 

faire martien., malgré la censure, na 

Os IPS deriba 8. Romain 'Rolland. 

fut condamné d ex mois de prison. 

Cet emprisonnement ajouta â son 

auréole, Le berge devint un marte. 

Le peuple anglais vengea Moral ' 

Ci...SC.1,110n de Dundee PMU dé- 

luté, d une énorme majorité, en 

1191.29; er,,éémleotrten.b59R2e1, quelque 

dl elatreul,;.11.17e 

été primn I Oui, tomlie Socrate 

et comme Saint-Pan Comme Lénine 

et gomme Gandhi. M André Tardieu 

est en liberté, gomme M. Raoul Péret 

0,,t.,,..f1 

.iipyturre-Ettenne Flan,. 

' como 

me, jusqu'à sa rime, était en liberté 

M. Tardieu a cru devoir inscrire 

an nombre de se adversaires Reger 

Casernent, bien que delui-cl, I ma 

emaissanm, ne nit Jamais attaque 

personnellement. 

Mals Roger Casernent, alors en- 

sol général de l'Empire- britannique 

au Congo léopoldien, a vigoureuse, 

ment dénoncé les horreurs de ce pé- 

gime, dont M. Tardieu, défenagur 

sollefissionnaires français, se sent, à 

jette titre, solidaire. 

Taerd'iellet, R--ugiunelrode'qtri smi reulne ardu'. aSII*.. 

lemande mm Irlande pendant la mer. 

eenanne iu1.1. 

o ngnee te° aud.reS tueg ut p0 

mont 0r0dP0o 

du Casernent était un patrInia !San* 

des. Cela n'a rien à voir à la ques, 

lion o.. 

(d sevre.) 

EXAldEttS ET 

UN GRANo CONCOuRS NATIONAL 

OEG INVENTEURS 

venteure franc., l'Association des Ine 

mem:es et Pet. Parie. Frimmee 

Le pl00 important groupement g100 

vient de prendre l'initiative 

à parlie du lb Ptembre psoobObel. 

Erhnd COngres Nationat qui tiendra sel 

assise pendant 2 à 3 loure. au Pale 

de congre Ou parc des z.poet...* 

Porte de Vermille, à Fera. 

-DO esse Mies.. y seront étudleell. 

d'importantes décisionS Y Pero., 

en raison de la positon adeptee er 

Sénat dao les discussions du projet 

lot sur les breves même.. Mits 

Chanere des Député. 

Les Pouvoirs Publics et le Parlement 

Seront nen., les grands Groupent/ente 

Techniou., Industnels 

Prennent aiy faire représentes, enfin te* 

oelolnip000 iméressés, c'est-d-dire te. 

le FOSICala pos.e.tms do brevets, 

cences, dephts de modèles, certifirat.et 

garantie, sont instamment Psi. 

neer en masse. 

Pour perMettre aux plus humble et 

/rendre port aux travaux du COng/6M 

11 ne sera demandé que 1110.010 1/0fla 

00 

c.'1P.1, et /mur 95.0 001001,01 

100 

en.scrire. Ponr ren,eisgssg, 

complémentaires et pour obtention 

temairaa.mrs, s'adresmr au ConeretE 

riat Général du Congres National dol 

Inventeurs, parc des ExposiMons. Porté 

Os Vessaill., Paris. 

Trois fraudeurs d'alcool 

arrêtés à Roubaix 

500u1011, os août. - Trois fraie 

Ameye. parce et Lebeau, qui men 

uns eamt10010 chargée de 5.50 

00111 010 direction réglo. 

nee de Mlle ...ont ref 

Tir le moindre explication e 

0'105e re11'0es'.'I0 2:1110 

a me P rie 

vo préjudice de n.tat n 

transports entre la distille 

lima du service des poudres. 

Les six fondre, d'ale, al 

seeneemat ramtsss 'h, 

lanare en Jim-m.6e POIlr m mes o 

Lee trete fraudeur» areetes eon 

professionnel, ale ta cortaigaando, 

notanyrnent tr.nt. 

50001 0e OS icllos de n.ebarine 

valeur da la 

Chier se& 

é M.Sto essmait 

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

4e. 

, ornIttltIlluntIltrillérttnint0111111101111111171111/1111111ErntrEllItIttieluttauttumtaut,,,,,,,,,,num.,, 

..ilnintiunniuminnulunn 

POIIR NOS 

EiîFrillerS 

4iii11111111111111111111111111111111111111111à. 

artnn,,...ustsustsstmututintolninimilitimnninigillultimilmilmmitrutillffillmictrottutinitimuttlinttuttnisnimmturrâneinnillt 

VACAr' 

Ge: 

Heureux les enfants que les parents peuvent envoyer ta la ruer ou à la 

oampagne ! Saikon que 90 pour 100 des gosses de la région parisienne 

restent dans les faubourgs de la capitale, errant dans les rues, tandis 

que le pète au la mère travaille à l'usine ou au bureau t Ces quelques 

images -en disent long sur cette iniquité sociale, laquelle ne finira 

qu'avec le régime. 

La source Dédé et Douci. tonnait une grande activité, fartant n'est Pas du et de Crossons, aussi donne-t-il tue!, de mettre en déroute la foule des pauvres mala- pas le droit de faire ça. lei, c'est ma propriété I Parles 

malades Y viennent en foule. lia sont joyeux de trou- des ordres révères et les policiers zélés partent au pas de des. M. Grossous qui assiste à ca odieux spectacle, est don, dit k féroce bonhomme, c'est vous qui me faites 

ver un remède à si bon compte... Mais ce spectacle tacon. course.,. Ils ont vite fait, avec leurs doux moyens halxr fort joyeux. C'est une honte, dit Dédé, vous n'avez une concurrence déloyale. La loi le défend t La loi I 

Quelle lai ? Eru,rrr « M. Grossous ayant créé une kilomètres. u Et M. Grosso-us ravi, bouche lui-même la 

belle ville d'eau, il est interdit 1 quiconque de se ensuit source miraculeuse découverte par nos amis. Pas possi-, 

da sources qui peuvent st trouver dans un rayon de 50 ble, c'est une erreur, protestent ceux-ci I Cette sons. Ott 


ses- 

utile et peut guérir les a.., il dee P. Possible qu'une M. Gressetae qui commande en maitre. Ils comprennent 

loi soit aussi mal faite. Allons dans la maison où se alors pourquoi /es lois sont si mal faites, ou Pie& 

foot les loin... Mtaii Ys, ge çonstetent que c'etr eoçoa bien fuites pour l'intérêt à M. Gxonsous. 

vt-

OMO' 4' 

La Situation viticole'lleux grues accidents 

rectioanale nous pouvons, je crois, 

faire quelque crédit discourait 

avant la Révolution, devant ou au- 

ditoire de Paysans russes, il savait 

que les formules savantes litaient 

pas â la portée de ces hommes in- 

cultes. Il aimait â leur répéter sim- 

plement les phrases et les mots 

d'ordre les plu simples : s Vous 

êtes dans la misère parce que vo. 

ne possédez rien. Et O côté de vous 

de riches propriétaires ont aces- 

puré ettr7, 

terres :erre ?ule' e 

les 

même pas travailler. Il faut que vous 

repreniez les terres aux paysans ri- 

ches'''. 

Lénine savait pomtaat, mi,. Me 

personne, que mime les moulicks 

se seraient empares des terres des 

koulacks, tous les problèmes ne 

r 

se- 

pas résolus. Il n'allait pas 

Polsere cela les embrouiller en leur 

parlant de Porgamsation future de 

l'U. 113. R. S., de la N. E. P. et du 

len quinquennat 

Il faut soulever tous /es vignerons 

français contre les magnats vitivoles 

d'Algérie. Il faut les dresser duo 

bloc contre /a sure...dieu algé- 

rienne, en faveur d'un contingente- 

ment algérien. Ce soulèvement cons- 

tituera le premier acte de légitime 

défense. 

IL FAUT REFAIRE 1907. 

Et quand l'agitation profonde de 

toute une hmnense régen viticole 

cesse est la chose le plus grave qui sera devenue assez forte pour demi- 

menace nos vignobles, et la cause le r les yeux de ces messieurs du 

certaine de l'avilismment des prix gouverne/dent et qu'ils auront coup- 

Prs gel est fini de rire et qu'Il 

atie enfili se décider à faire quelque 

chose, nous leur mirons e Ioda ce 

que nous voulons si, en leur soumet- 

tant l'excellente motion du congrès 

d'Avignon. 

Je me souviens des attaques direc- 

tes dont nous fûmes l'objet de la 

part tien viticulteurs algériens quand 

en 1932, ils profitèrent du titre al- 

coolique inférieur de nos vins, causé 

par la basse température noie .ous 

avions subi tout l'été, pour 

éditer des brochures ijurieuses 

Mon point de vue 

J'ai lu dans le e Midi Socialiste s 

du 25 août, la dernière chronique de 

Vigrferon sur la situation viticole, 

dere laquelle il commente assez lep- 

gisement mon mticie du 19 août fie 

me hâte de profiter de l'occasion qui 

m'est offerte, pour saluer ici, l'hom- 

me qui a si régulièrement et si bril- 

lamment tenu dans ce journal la 

'calorique viticole, et qui a depuis 

longtemps de, entremis is meil- 

leure et la plus intelligente campa- 

gne pour la défense de la viticulture 

française. Je veux l'assurer mie j'ai 

suivi cette campagne avec le plus 

vif intérêt, et que rien de ce qu'il 

a émit n'est passé pour nani ina- 

aerFu. 

Et je veux ainsi, après l'aven' re- 

mercié des créole°nu qu'an bien 

voulu apporter dans ce débat, 

aire que notre second sur la < for- 

mule de ralliement si 

sera, je l'es- 

père, à la suite des expliestiOns que 

m vais donner, bien près d'être 

partait, 

Si j'ai tellement insisté sur la lutte 

m'il faut entreprendre contre les 

vins d'Algérie, .çèest parce que 10 

surproduction algeienne est, en ce 

moment, le seuil point vraiment né- 

vralgique, et que cette surproduc- 

tion qui ne fait 010ene croit, sans 

/1 est évident Dm si nous Pou- 

nions arriver à obtenir ce que de- 

mandaient les congressistes d'Avi- 

gnon d'avril 1932 (et le dételer. 

autan0 que Vigneron que nos grau- 

des associations vitscoles aient fait 

leur deuil de cette résolution) 

e 131m00e à put. de 65 millions 

d'hectolitres appliqué au-dessus de 

55 millions dans :a métro.. et 

inedessus de 10 millions en Algé- 

rie n, la partie serait gaga, 

Mais eest justement pourobtenir 

'ce statut qu'il 100dm lu, rc é lvi. qu'ils firent circuler partout jusque 

fensive et mener une longue lutte duoaoot peopersoauiaoos,rtdnou 

sans trêve ni merci. Et comme ams lesquelles i/s se moquaient iuselem- 

t de nous et de n. vins 

Et je reste confondu qu'il ne se 

soit trouvé personne pom oser repu- 

quer vertement à ces gros bonshom- 

mes clebs de moreaie et de basse 

insolence. 

Aucun de nos représentants, au- 

d"'"gos associais"uPm"orreie'oUlfe; 

nana 

euncue de n 

n'a cru devoir répondre la ces gens, 

et osé entreprendre contre eux une 

âpre lutte, 

toute guerre, il faut, autant que pos- 

sible, savoir margeai l'on se bat, et 

obéir â un mot d'ordre non pas 

seulement précis mais concis, j'avais 

imposé comme cri de guerre capable 

In soulever toute une population 

s Guerre aux vins difigérie a et 

comme mot d'ordre :r Contingente- 

ment algérien d'abord .. Ces deux 

formules peuvent en efRt réaliser 

l'unanimité des viticulteurs français, 

et elles sont, il me semble, brèves, 

simples et concises, ce qui, à mon 

senS, n'est pas un mince mérite. 

Je m'excuse de la comparason 

va suivre, mais elle me paraît assez 

bien illustrer ce (me j'essaie d'en- 

pliquer : quand Lénine, â qui, pour 

Chacun de nous s'apercevra bien- 

tôt que Pour ne pas mourir il im- 

port, de se décider â la mener vive- 

ment en ne comptant que sur mi- 

me. 1 

ce en concerne I orgamsalson insue. 

SAINT-BRES. 

151111111111111/ lllllll 11111111111111111111111111111111111111111111111I111111111111111111111111111» 

NOS FAUCONS ROUGES 

ARRIVENT CE MATIN, EN GARE MATABIAU, 

à 10h. 40 

Le bile...lev des Faucons Rouges 000I.mins, de retour de la 11510- 

bulbe Rouge de Saint-Claude, où d a joué un rôle si important, d'a- 

gaces les chroniques que nous ayons publié sur son séjour, arrivera ce 

'matin, jeudi, en gare Platablau d 10 te. 44 venant de Saint-Claude par 

Lyon, dite, AlarbOnne. 

005 000 camarades, que les familles des faucons nous excusent de 

leur en dOààer si tardivement la nouvelle. 

Nous ne Cavons eue qu'hier soir vers 22 heures 30 par un télégramme 

de l'aide de confiance. 

Nos cangoades disponibles sont pries de Peur a lit gare vers 10 la. 30 

pour recevon nos jeunes touristes. 

Leur voyage aura été particulièrement pénible car, sauf erreur il 

aura duré 18 heures. 

Ils sont en effet parNs de Saint-Claude 0100 000e el 16 h. 54 et sont 

passés d Homo 19 h. 33, Lien 23 h. 11; à Avignon 2 h. 30; Sète e 

5 h. 27; Narbonne O 7 heures. 

Sont plus peuticulierement convoqués par l'aide de confiance, tous 

Ire faucons et aides, qui devront venir à mestabiats en TENUE. 

Les parents des Faucons, sont avisés qu'a la sortie de la gare un 

défilé aura hm jusqu'au Foyer du Peuple Oie les jeunes voyageurs seront 

remis. Après quai, c'est-d-dire vers me, les enfants seront remis aux 

parents. 

La dislocation aura donc lieu au Foyer du Peuple, rue du Taon. 

Nous espérons que tous les militants libres de leur temps ce mati/ 

seront entre 10 h. 30 et 10 h. 45 à la gare Matabiau. 

le 

DAME AUX YEUX VERTS 

glpar J.-Joseph RENAUD 

T'es eu 

Non, je suis de Saillenerd, en 

Saône-et-Loire... Là oh il y a des 

essuies et du bon pinard.- 

Moi, Fr:Empaille Ravoingt... 

I'suis né nelf dfiartilly, prês 

d'Avrancles... Je mania engagé h 

dix-huit ans, en 1915, on mn réfor- 

mé â soixante pour .nt après Ver- 

dun.., les gala... Faut que j'eus tou- 

jours â l'air. Alors, M'avait', h la 

cambrousse. Tiens, egos'dc ru. cer- 

tificats. 

Racle, rentrée en hâte avenue 

Dharles.Floquet, avec Philo, avait 

'ci: au cadran eutomatique te 

FEUILLETON DIS a MIDI . (25) 

numéro de téléphone d¢ la police 

judiciaire, quai des Orfèvres. 

Car elle aemt eu peur, dans un 

café nu un bureau de Poste, que ses 

paroles ne fussent entendues. 

Quand le standard de la polons ju- 

diciaire répondit, elle demanda, 

d'une voix nasale, qu'on n'aurait Int 

reconnaître 

Pais-je dire quelques mas 

/inspecteur primipal Gardoure ? 

De la part de qui ? 

C'est personnel... 

Les journaux avaient annoncé que 

Gerdoure, un des nielleurs hommm 

de la préfecture, était chargé guède- 

lement de l'affaire d¢ la rue Ampère. 

UNE MOTO BLESSE GRIEVEMENT 

UNE CYCLISTE 

Iller matin, vers 7 heures 30, le 

sieur F.nçois Ab..f, 28 ans, des- 

sinateur industriel, demeurant au 

lotissementide la Barrière de Muret 

circulait en motocyclette sur les 

allées Charles de Fille, lorsqu'A han 

teur de la rue du Martinet, â la suite 

d'une fausse manoeuvre, il s heure, 

et renversé la cycliste Mme Victo- 

rine Tourte, 31 ans, desneurent 199, 

rue des Fontane s. 

L'accidentée qui était atteinte 

d'un, plaie à la tête et d'une plaie 

ouverte à la jambe gauche a été 

aussitôt transportée à la clanique 

Ambroise Paré, 25, Ailées Charles de 

Pille. 

de l'ena 

tZee Mer as pas 

pcansuce',ns 

e cet acci- 

dent. 

Enquête ouverte au 7e arrondis- 

sement. 

UN TRAM RENVERSE UN ENFANT 

Le même jour, à 14 heures, un 

autre grave accident s'est Pradat 

sur les allées de Brienne, â proxi- 

mité du monument d'Héra... 

Un tram de /a ligne 1 a griève- 

ment blessé, un jeune garçon de 14 

ans, le petit Parraud, demeurant 12, 

Boulevard Lascr.ses, qui eircUlait 

en bicyclette sur les allées. 

Des témoins ont transporté /e 

blessé dans une pharmacie voisine 

où on lui donna les premiers soins. 

Il présentait au bras droit, une pro- 

fonde blessure qui nécessitera pro- 

bablement, me intervention 05110e, 

fécale, 

Voici comment se serait Pendait 

l'accident 

L'enfant qui circulait sur l'allée 

en bordure de la ligne de platanes, 

a été happé au passage par la re- 

morgue du convoi et précipite sous 

le lourd véhicule. La jeune victime, 

interrogée, n'a pu fournir de Plus 

amples précisions. 

La remorque du tram qui présente 

des traces de choc a été mise au 

garage â la disposition de la justice. 

Le jeune Parera u été transporté 

â l'hospice de la Grave et la famille 

a été avisée. 

111111fifi111111/11/111111111111111111111191111111 

A orom de l'amidon' 

do Madone 

. 

No. recevons la lettre suivante 

D'après la relation parue dans un 

quotidien de Toulouse, concernant 

un accident d'automobile dont j'au- 

rais été l'un des autours, il se lite- 

rait résulter qu'avec ma voiture de 

In force de 7 chevaux, j'aurais forte- 

ment ébrmlé et buté contre un mur 

un gros autobus allant à Cadens. 

Cette note étant erronée puisque 

c'est le contraire qui s'est produit, 

je vous serais reeomaissant de bien 

vouloir insérer ma Protetafien. 

Avm nes remerciements, veuillez 

agréer, etc... Adolphe MARQUES, 

23, rue de l'Union, Tosslo.e 

mirmmminninumumumems 

BRASSERIE PE RE L EON 

axematio. /Méru wAr.sume 

minuit. Emme. ses, 

Ouvert toute l'Année 

plate Esquirol. Teeph. : 220-39. 

MUMM1111111111110111111111111111111111111ne 

[es nouveaux touristes 

Les touristes d'aujourd'hui or res- 

semblent pas à ceux de judis. 

Jadis, en voyage, si tant cst que 

vom fissiez des voyages, vous ren- 

triez dans un restaurant, dans un 

hôtel et vous deneadiez une cham- 

bre, un repas sans autre souci que 

d'en menaitrr le prix. 

Si vous vous trouviez bien vous 

preniez l'adr.se es pensant s J'y 

reviendrai... Si vous vous tfievier 

mal vous partiez en disant L 5 Je 

n'y remettrai plus les pieds s. 

Mais vous gardiez cette observa- 

tion pour vous, et le patron ignorait 

eprès votreelépart, quelle était votre 

. . 

p . 

Il n'en est plus de même aujour- 

d'hui 

Non sente:rient le voyageur arrive 

dans un resourant comne en pays 

conquis, dévisageant les diecis atta- 

blés déjà, comme dos gêneurs, élève 

la vos, enlève sa veste comme sil 

était chez lui, mais encore il pré- 

tend ne se faire servir qu'après 

avoir longtemps examiné /e menu, et 

discuté /e prix avec le garçon. 

Ce sanu gene,_slont beauemP lu- 

gent qu'il se confond avec l'impoli- 

esse, nous vaut, h Toulouse, en ce 

mois d'août, qui est le mois du plus 

gros passage, des scènes inerarra- 

b1 

J'ai assisté à plus de vingt. 

Une famille arrive; encombre dee 

minutes tous les passages, provo- 

quant la bousculade des garçons 

chargés de plats. Lê chef de cette 

escouade cherche sans se Presser la 

meilleure plaee, t'es lui importe que 

le rempart élevé par sa Outille au 

Après quelques irstents, je stan- 

dard Vola, neu/ame I 

Monsieur Cerhoure ? 

Oui... qui me Pain ? 

Je sui une amie de cette pau- 

vre Mrs Kalis Thomson... J'ai ren- 

contré plusieurs fois chez die ne mi- 

sérable Henri Itrioude... Or, par ha- 

mrd, je Mens de l'aperosvor h la 

gare du Nord... Il venait de Prendre 

usa billet et alait monter dans un 

train 

A la gare du Nord?... Vous êtes 

sûre, niMame 7... 

Absolument sûre 1 II était dé- 

guise en ouvrier.- Une casquette, de 

gens souliers, un foulard muge et 

bleu, de veux eetements, une sale 

valise. Il a pris l'express 121, direc- 

tion de Bruxelles, départ à 005, 28. 

Je ne me nomme Pas, ne verbe 

pas être mêlée à cette affaire. Mais 

10 vous assure que mon information 

est rigoureusement exacte. 

Mais, madame, vous pouvez 

vous nommer sans aucune mainte. 

Nous savons âtre discrets... Je vous 

promets que Madame I Madame I 

Un déclic._ 

Plus personnel-. La d.énouderice 

avait raccroché. - 

LE MIDI SOCIALISTE 

centre 1¢ le circulation soit fatal à 

la vaisselle de la maison. 

Fine/ment il s'assabit, là manque 

une chaise pour le chien. Mais le 

Paterfamilias en découvre uae lem- 

cupée à l'autre bout de la salle. Il 

va le chercher, sans demander au 

chicol Oui est assis en face, si elle 

"àheruen 'sue deearrr1e1:e"s5e0.Les valises, 

/es manteaux s'amoncellitht saur la 

banquette, interdisant is gusconene 

de s'asseoir devant le 

Le gosse chiaille de tous ses pou- 

mons. Le caniche naine. 

Cette installation dure Ptimiena 

minutes. Ensuite de elna en 

de la carte, autour de laquelle une 

discussion ardente s'engage entre 

les divers membres de la famille. 

Exclamations, roppétalleeS, réclama- 

tions. 

Et soudain remord ne pouvant se 

faire soit sur le prix, soit sur le 

choix des plats, toute la smala se 

lève, reprend ses frusques et s'en 

â Uloseedai:e 1'7¢ ne'ol"I'CL"Ce 

mois-ei. 

Avant 1914, on eut dit de ces ger,. 

la r ce sont des mufles, biais il Mh' 

avait pas de ces gens-ta. 

Aujourd'hui on dit : a ce sont deS 

loustics a. Et avec un air admiratif. 

Menses procédés pour la chambre. 

J'ai vu un client prtundre une cham- 

br dans l'après-midi, saris rien 

demander, y faire monter sa valise 

et ressortir sans eller visder la 

piAce. 

Il rentre en pleine nuit à l'hôtel, 

se fait accompagner b la chambre, et 

dès le premier coup d'oeil, tempête, 

pousse des cris d'orfraie, reprend sa 

valise, et après avoir :stimule, tout 

l'étage, s'en va, déclarant que le lo- 

gement ne lui convient pas. 

Nous sommes au siècle du eans 

gêne. Et le sans gêne présente beau- 

coup d'avantages. 

Mais ne pensez-vona que l'excès 

en tout est un défaut; et que s'il est 

parfois opportun de donner une 

leçon ou un avertissement an com- 

merce de l'hôtellerie et de la restau- 

ration, fi est dangereux d'en user 

avec des manières si cavalières ? 

FE1)05. 

RIU1111111111111R1111 llllllll 11111111r9 

!ANIS MÂTA110111)1 

z Exiger ha Maga .WATADORD" E 

tieumwoutuumumantspummua 

Chez nos Boulistes 

UNION SPORTWE 

LES AMIS DE RAYNAL 

Le dimanche 26 avril, la section 

bouliste des Amis de Raynal rece- 

vait sur son boulodrome /es cinq 

e.ellentes quedretres de l'Amicale 

Bouliste des Trams, en Partie a 9I- 

cale, ainsi que de nombreux invités 

qui avaient tenu à assister à cette 

belle démonstiation bouliste. 

Après une réception des Plus cer* 

diales au siège, les parties furent 

immédiatement organisées. 

Les six terrai. des Amis de Suc- 

cal forent l'objet d'une grande ani 

mation. 

Nombreux furent tes visiteurs 

-pour suivre très ottentivement les 

parties. 

L'élégante et excellente riandrette 

féminine d, Raynal à laquelle s'était 

joint leur président, fit l'admira- 

fion de tous. 

A 18 h. 30 au siège fut offert un 

apéritif d'honneur par les Anns de 

Raynal. Le président prit la parole 

ot déeere éprouver une très grande 

joie d'être parmi ses amis et les re- 

mercia du très grenat honneur gaien 

lui avait témoigné en venant en 

auSSi grand nombre répondre â son 

invitation et leva son verre â /a 

prospérité et à la grandeur des deux 

des amis. 

Le président de l'Amical, Bouliste 

des Trams, dans une allocution très 

applaudie remercia les Anim de 

Raynal du très chaleureux accueil 

cde,si il:urn.,0aVnae.éjt,é0 rgegree, Linsfilequeu: 

qu'ils avaient bien voulu remettre 

â Madame la Présidente au nom des 

Amis de Raynal. 

Un grand concert fut organisé où 

plasieurs chanteurs de ta/ont se 

firent remarquer; 

Ce ne fat (MI une heure assez 

tardive que les Jouis de l'Amicale 

Bouliste des Trams prirent congé 

avec promesse de se rencontrer chez 

eux â une date des plus rapproché.. 

Cette société organise comme tom 

les ans, sOn !n'and enneourS de PS 

chue à Suint-Sort', bote de nombreux 

Plis et réconmenses d'une réelle 

valeur. Ce concours aura lieu le di. 

manche 2 septembre, après-midi ; 

il est ouvert â tous les membres 

ad.hérents ainsi edà IIM, les mem- 

bres honoraires et bienfafienrs. 

Les inscriptions et le tirage au 

sort auront liera à la réunion géné- 

rale du samedi ter septembre à 21 

heures eu siège Boulys Bar, 2 ¢1 4 

Chemin de Negreneu-s. 

La distribution des prix et récole 

penses aura lieu au siège à /8 heu- 

res le dimanche 2 septembre; à Pis- 

su, de la.quelle il sera organisé na 

aperitif-concert. A 20 heures it Sera 

La main MM.,. sur le récepteur 

elle disait â Philo, d'une voix qui 

sifflait un peu comme de la soie 

froiseée 

Ahl "Oul, la petite Georgette Ca- 

ron, fertnme Brioude, regrettera de 

m'avoir lad mettre à la porte du 

pensionnat des Remues 

Et surtout, Brioude va se trou- 

ver à nouveau â l'ombre, c'est beau- 

COUP plue importent... 

L'inspecteur alla trouver le chef. 

Son instinct de palmier la affirmait 

que celte information était véridi- 

que. Monsieur Barthélemy, voalà es 

que je viens d'apprendre.- Ça m'a 

l'air sérieux 1._ 

En tout cas, il faut suivre, dit 

le chef quand il fut au couro.nt... Et 

vitel... On /e ferait bien Pincer Ma* 

la police belge, mais les formalités 

d'extradition sont longueu et deplei- 

surdes... 

Voilà, chef. 

Voyons._ Ah 1 loi.,. L'express 

121 s'arrête is ComPiagaei è 155. dl* 

Il est trop tard... Pourvu qu'il n'Y 

11.eonde pas... Ah! fit heeres. h St- 

Quentin.- 

-- Justement n.ons avons là Mar- 

tin et Lareanbem qui s'occupent de 

mette affaire de contrefaçon 

servi un très copieux rePas de 

mieux arrosés par 1m bons soins de 

Mile Morin-Jeanne Lasse, 11, tenan 

dee du siège. 

Réunion générale le samedi ler 

septembre à 21 heures au siège. 

Compte-rendu des rencontres ami 

cales du dinenohe 26 avril ; verse- 

ments des cotisations mensuelles 

dispositions â prendre Pour le dé- 

placement du dimamhe. 

BOULE SPORTIVE CARNOT 

Réunion des sociétaires aurourd'hui 

jeudi, au siège, Bar Lélé, 5, rue Constant 

tins, le 3 Oaoût, à 21 heure. grécimr. 

Formation des quadrette. pour les pan 

lies amicales du dimanche 2 septembre 

Ordre du jour r 

yersemen, cotisations. 

BOULE SPORTIVE BONNEFOY 

Ce soir jeudi, 30 août, réunion générale 

au siège à 2/ heures, café Family. 

Réception en match amical sur notre 

terrain de z Boute Amicale de la Colonne 

Photos du banquet. 

BOULE NOIRE 

DU RESERVOIR BONNEFOY 

Réunion générale ce soir jeudi 30 août 

la 18 heures. 

Inscription pour ie bouquet officiel de la 

société fixé as 2 septembre: Organisation 

des partie de pêche et de boule nui 

aurontlieu à cette occasion: Communioat 

tions importantes à tous les sociétaires. 

111M11111111111111115 llll 1 l 1 llllll lllll 1111 lllll 

TRAVAILLEURS, 

Prenez vos repas au 

RESTAURANT COOPÉRATIF OUVRIER 

de l' "AURORE" 

8, Petite rue StItene Toulouse 

Repas fi fr. Cachet 4.0 - Pension Mt 

(Vin en sus Poeboire irnerdit) 

Menu sein, varié, confortable 

Accueil fraternel 

minnuounnillininnuftennimuy 

ÇA ET LA 

CONGRES DEPARTEMENTAL 

DE L'UNION NATIONALE 

DES COMBATTANTS 

Les Membres de FIL N. C. Pour- 

ront retirer Mur carte de congrea- 

siste et de banquet, pour le Congres 

des ler et 2 septembre, Malu'à c. 

soir 19 heures, au siège, 22, alléeS 

Jean-Jaurès. 

Leu camarades qul feront le 

voyage avec les autobus de n La Dé- 

pêche n voudront bien se faire Inn 

mire à l'Office des Voyages, Hall de 

« La Dépêche n, rue d'Alsace-Lor- 

raine. 

LES FETES ANNUELLES 

DE L'ESCOLO SERAS PIRENEOS 

Esroha doras Pireneos vs 

célébrer, mtte annee, Sm fêtm an- 

nuelles les 8 et 9 septembre Pro- 

chain, dans la coquette cité de St- 

Gandena reine de notre Commise.. 

La jolie félibre, de Sarraneolin 

( 5 août courant) n'a été que la pré- 

face de, ce fees, dont on parle déjà 

daos toute la région. Leur éclat sera 

digne dmn félibreen précédentes de 

la vaillante s Emolo n. Elles attire- 

ront, par leur ampleur, leur .rac- 

tère hautement artistique, une foule 

nornbrease de fed-..es et d'amia du 

terroir. 

Le programme détaillé et définitif 

va paraître incessamment; mais nous 

pouvons an.nomer, d'ores et déjà, 

que ces t'êtee comprend/ fit, dans la 

soirée du 8, une veillée gasconne, 

avec une représentation donnée en 

langue d'Oc 10e une vaillante troupe 

ariefimise et accomPattnee Par fies 

chants et danses du terroir. 

.hlrdenfainiel'e hLreiles 

la mairie, sut grand défilé de 00500- 

mm Ima., une messe felibrnenne, 

ès l'église paroissiale â 11 heures. 

L'après-midi, une grande Cour d'A- 

mour, avec proclametion des prix 

de Jeux Floraux de l' s Escido 

poésies, danses, choeurs gascons et 

laneedodens. 

Le soir, à 19 h. 30, grand trinquet 

feibréen, la l'hôtel Ferrure (cotisa- 

tion, 25 fran.); fête populaire et 

bal en plein eir. 

Le lendemain 10 septembre, la 

fête sera complétée par une excur- 

sion la Saint-Bertrand-du-Commin- 

ges, la de romaine et médiévale 

aux sites délicieux, dont les feuilles 

gallo-romaines et I, musée sont ce- 

lehr. d-ans le monde entier. 

Pour la soirée du 8 septembre et 

la Cour d'Amour du 9, la célèbre 

société chorale a Les Chaateurs du 

Cornminges a., les e Troubadours du 

Commines a, les groupes costumés 

des chanteurs et danseurs régionaux 

de Saint-Girons, Montréjeau, Lu- 

chon, Sarrancolin et Lannemezan 

prêteront leur ce cours. Mlle Ju- 

liette Bissel, la grande diseuse oc- 

citane, dont le pr.tigieux talent 

emballe les fontes méridimales, 

preedra part à la soirée du 8 et 

triomphera une fois de plus d.evant 

le public saint-gaudmois. Tous vou- 

dront l'entendre. 

Un grand concours de costumes 

eggioneux pyrénéens au. lieu /e 9 

septembre, Des médailles et des di. 

pliuresseront distribués comme 

récompenses. Nous souhaitons qu'a 

provoque une vive émulation. 

Les adhésions pour le banquet du 

Téléphonez -leur de monter 

dans le tram a Senn-Quenun pen- 

dant les deux minutes d'arrêt._ 

soros bee précis, qu'ils montent 

dans le train â Saint-Quentint_ Ils 

connaissent le signa/ment ; préve- 

nez-les gre /e fugitif s'est emnouflé 

en ouvrier.- Et qu'ils soient pru- 

dents. Aht mi, atorst.. Car ce Briou- 

de m'a Pair d'un costaud et oui mit 

s'y prendre... 

Qu'ils procélent b l'arrestation, 

soit l'arrêt de Busigny, soit â 

t'arrêt d'Aulnove... eu encode à celui 

de Maubeuge Avec de la deCie011 

nouba mesi des précautions. Sinon, 

en effet, avec un gaillard .mme 

ciedni-Ià on pourrait avoir de la 

Soyep tranquille, chefl... Pour 

ce Oravall-là, Martin et Larembeou 

sont des as... alartin a été Mi-même, 

â la préfecture, instructeur de jiu- 

jitsu... Et Larembeen a un coup de 

poing à assommer un boeuf._ Brime 

d.c n'aura même pas le temps d'éter- 

nuer que ses poignets seront déjà 

dans les menottes... 

Maintenant le nauséabond com- 

partiment de troisième classe dor- 

usait entièrement. 

9 et l'excursion du 10 seront reçues lant ruSainte-Famille, conduite 

Par M. B. Sarrieu, félibre majoral par Si, Siarcel Genet, 44 ans - 

secrétaire de l' z Escolo t, â Saint 

Mollet, pris Begnes..-de.tuchon 

(Haute-Garonne). Nons souaaiton 

qu'elles soient nombreuses, 

nilié rue 

deilotP; paIm7le oh"'auefftets: 

esmion appartenant â M. Brouillai,- 

entrepreneur de transports, 5, all 

Ic 

é. 

José Garcia, demeurant 47, pie. 

Bachelier. 

Par Sllite du choc, les deux vela» 

cules ont été légèrement 

gés. 

TROUVAILLES 

eleeelachb.mi,.1,e:grzeiiès:euacLb. bf rb2.14x,, _az/ e2o,,,mait 

drelgss Jeep:nie 1%.c.monult,e,loandéciergt I tai mr.e,p6Aterez.4,6,0eneuem joonnigt. 

de s'occuper spécialement de la ter.eeeiet _de dame 

situation du chômage artisanal dans 5.7. roc 

Zere, 1un,eiala'g cIZY1'} éerte' 

H n R ts' 

le département de la Haute-Garone. 

e cette comission : 

Ont été désignés pour faire partie :Beteenejse,..re, ep.7.teaf 

ra n 

e,it,:oztni:: 

d 

tloM"; Iaffg'e 

S'dIh'amnp, pld 

réeds'inienét ciu yra- 

' t'Fsédé- trois minutes pour bicyclette 

spdiirénilste, 1,ideudennst.' 

llllll llll llllllllllllllllllllllllllllll 1'1 1'11111111III 

un gant, une roste d'enfant. 

Combes, président du syndicat de 1 Chien d'arrêt répondant nout 

:l'ameublement 

; Tissier, vice-prési- BLACK érauh:ppêvaiaIduen.dRi.koriC.N., 

Laer.lins'Yirelse.t snitdu:arbiltle':ingte'Caineet 911111111111111 lllll 1111111111111111111111111111, 

a estimé qtfily avait lieu d'ouvrir 

me enquête, aria de 5mo apProxi- IELAECTIRICITIE 

mativement a nembre d'artisans 

atteints par chômage. Aussi, la 

d 

BAISSE DE PRIX 

commission invite les artisans e 

nationalité français, h se faire ins- 

erire sans retard au siège de la LA SOCIETE TOULOUSAINE DR, 

Fédération, 1, rue d'Astorg, à Tou- BAZACLE a Ilionnete d'informer 

Mue,. Elle engage les artisans vie- ses abonnés que, conformément à 

émeu du Mômege a faire connaître: l'invitation qui lui en a été faite par 

I. Leur situation par lettre, dans les pouvoirs publics, elle fera béné- 

/aque/le ils voudront bien indiquer: filicoioer psoesstéariboeunreees.demcoo,:didtieonzet 

leur nom, prénom, profession, adres- duit., applicables la consomma- 

" 

, ..., 

Depuis quelle année ils ha- 1934 

vaillent â leur compte personne/ ; 1° Une réduction sur le prix d'é- 

vent en chômage. 

Depuis quelle date ils se trou- tiel.lirlaoileesoernanéorpgCcipu..éieontd'ao,tte,eu 

La commission prie les intéresses ment le tarif maximum. 

de vouloir bien se conformer exac- Dom il n'y a aucune démarche à 

Riment aux indicatioes ciRlessus, â faire pour bénéficier de cette réolue. 

seule fin de facilite' travaux, et lion. 

que los résultats de cette enquête 2. D'autre part, en vue de faciliter I 

Puissent refléter au.] exactement le développement de Peliectricite 

gne possible la situation du marché pour 1m usages domestiques, un Urfa 

On travail artisanal deus le dépar- dégressif sera proposé au choix des . 

tesnent de la HacLII,Garonne. Les abonnés qui en feront la demande, 

intéressés sont également Priés de se Des ruades MM.,. Pour mite- 

faire Connaître le plus tôt possible: demande, ainsi que les renseigne.0051 

au 

deruier mitéle7, maitoinotsn stsglazi 

Société, soit 

MARCHE AUX FOURRAGES 

électriciens 

chez les prtucipaux 

de la ville. 

Ce tarif dégressif ne sers midi.- 

ble qu'A l'éclairage des appartements - 

et locaux habités oh il est fait usage 

d'appareils domestiques tels que 

fers, réchauds, etc..., à l'exclusion 

des Mena à usage commerce]. De 

plus, les abonnés n'ont intérêt à' 

opter pour ce tarif que s'ils sont 

msuscep,atio.taib:l.nensaudedn'a:ti:elaufnd,i,re p.utne,¢7ic,o.driszonamar:ti 

t'importance de leur installations 

avant 1¢ 31 décembre 1934 et s'erse 

iront dans I. conditions premes,, 

ibleineflil;leront 

du nouveau tarif rem 

effet rétroactif depuis le mois de 

LE CHOMAGE ARTISANAL 

Le comité de la Fédération des 

artisans de Toulouse et de /a ré.gion 

a tenu le 17 août, une réunion nn- 

portante, ou cours de laquelle a été 

examiné le chômage artisanal. 

Après avoir entendu un rapport sur 

cet, question et un compte rendu 

effectué par aine délégation du bu- 

Sainfoin, de 16 â 19 francs foin 

de 13 I 14 fr.; paille, de 6 à 2 fr. 

le tout les 50 kilos, 

M. BAILE Jean-Joseph, 48, rue St- 

13ernard-Lapujade, â Toulouse, pré- 

vient qu'il ne payera pas les dettes 

que pourrait contracter sa femme, 

Hermine BAILE, oui a quitté le 

domicile conjugal. 

DANS LA RUE 

REBELLMN ET COUPS 

AUX AGENTS 

sous-brigedier Ramendes, de 

la sûreté a conduit au service le 

nommé André L..., 20 ans, sans do- 

mirette fixe. 

Après interrogatoire de M. le Com- 

missaire de police chef de la sûreté, 

L.., a été inculpé de rebellion et de 

coups et blesse00 à agents et déféré 

au Parquet. 

COUPS 

Les époux de Nayville Edouard, 

domiciliés rue de Provence, ont por- 

té plainte au 6e arrondissement 

contre le notruné Ducros, domicilié 

mai sou 

qui, 

alors qu'ils étaient de Pa.age dene 

le dit chemin, leur aurait porté des 

cOUlle TENTATIVE DE VOL 

M. Léon Folique, fourreur, 37 rue 

d, Rémusat, a porté plainte un ler 

arrondissement, contre me femme 

intonnue qui, ce matin, vers 9 heu- 

res s'est présentée à son magasin et 

a tenté de se faire remettre un 

manteau d, fourrure que lui avait 

confié une cliente pour le réparer. 

ENCORE UNE ! 

111, Joseph Barlalyé, 29 ans, menui- 

sier, 49, route de Rend, a porté 

plainte contre inconnu au Sr arron- 

dissement pour vol de sa bicyclette, 

commis dans la nuit du 28 au 29 

courent, dans ie couloir de l'im- 

meuble dans lequel il habite. 

UN CYCLISTE RENVERSE 

Hier matin, vers 7 h. 30 l'automo- 

bile conduite par le chauffeur Mar- 

cel Valette, au servie, de M.,Marc, 

Place du Salin, 25, sort.* en recu- 

lant de son garage, lerfiaelle a 

renversé le sieur Garcia, 24 a., qui 

sortait du numéro 19 de la rue de 

l'Homme Armé, monté â bicyclette. 

Le vélo a été écrasé. Garcia, après 

avoir reçu des soins à l'Hôtel-Dieu, 

ailé reconduit à son domiene. 

Les Ness.m 5001 550a gravité. 

Enquête ouverfi an Se erendis- 

sement 

COLLISION 

Mardi vers 16 h. 20, uni collision 

si.t produite entre l'auto circu- 

On n'y entendait plus que la chan. 

suo monotone et metallique du long 

train poursuivant sa course vers le 

Nord. 

Brioude lui-mème, malgré ses ter- 

rfilles préoccupations, avait cédé au 

sommeil; il n'entendit pas crier la 

station de Saint-Quentin... 

... Soudain, le sens du danger qu'il 

avait acquis en ses années d'aven- 

tures le réveilla d'un seul coup... Et 

ausitôt, sans transition, l'évadé tut 

ludde, alerte, prêt â tout.- 

Il ne bougea pas.. La tête rem 

versée arriêre, le visage en naein 

mus le lumignon, oscillant, les Vesn 

presque dos, on eût pu croire qu'il 

dormait toujoes 

Où se trouvait le périt dont son 

a subconscient 

venait de l'aven- 

dr 7... 

Entre les cils de ses yens appa- 

remment fermés, son regard chercha 

autour de lui-. 

Sur les durs bancs, les corps en- 

chevêtrés ronflaient bestialement... 

Bavoingt, surtout, et si fort qu'il 

semblait râler... AumIlle menace 

pour Brioude dans ce compartiment. 

Mai là, à gauche, derrière la vitre 

de la porte donnant sur le couloir, il 

vit que d.eux hommes l'observaient I 

Vssages d'agents de police.., 

111111111 lllllllll lllllllll milignummui 

Counier artistique 

CONCERT PUBLIC 

PLACE DE LA PATTE-D'OIE 

L'Harmonie La Sirène Toulo.aie 

ne donnera Ce sols' jeudl â 21 heuree 

Un concert public sur la place de la 

Patte-d'Oie. L'Harmonie dirigée par 

M. Adolphe Ichse fera entendre la 

P.:grattante suivant Saveers 

ne s, marche (Andrieu) ; 2 a OU. 

Verture Italienne s (Zeret» ; 3° < 

Périchole s, fantaisie (Offenbach) 7, 

4. < Le Feria s, suite d'orchestre 

(LaeOrne) " 

a Cappella s, ballet 

(Leo Delibes) ; Cocorico fer. 

tolsie (L. Gante). 

II5IMMIIIMIMM5110111111111111M111111 

OUI! Nais h NeiReare d5 Mutes., 

'ut la BIÈRE DARRIBAU 

La Vie 

Vie Socialiste 

POUR REVEL 

AUX ADULTES 

Le, camarades Adultes désime ss lais 

re inscrire pour la sortie de Revel, sont 

priés de s'actieeees à le Peimam.. 

tenue , le umnerade 

toue la 

jouie, eu eafé 8oliD8. de /8 heures à 

11h. 30. Sil et impezible de es rendre 

la ...eue., écrire a. camarade' 

Grille, café au DK-Avril, 48, rue Cane 

Pans. 

AUX JEUNES 

Lee mea... de. mem. dès J." 

lime. Somalie., d'Adulte et d. Ch,. 

Travailliste, Soi n'ont pas enoom 

Parvenir leurs adiaions pour le banquet 

du 2 septembre, à Salnt-Ferréol, sors ,a' 

vités à les envoyer jusqu'au icufll 30 ai?).1 

incl., au camarade Gardiès, é Revel. 

Pausé ce délai ô eere imeomible 

Participer au hinauet et à la fête sme 

sive. 

leurs, la poche â mouchoir de l'u.a 

deux /aman passer un rom do la 

carte bien connue de la préfecture.m. 

On était sur sa tacet_ On Pavot 

rejointl... On attendait, saos doute. 

In prochaine station pour t'arrête,: 

Il ne voulait pas être repris, Non 

il préférait courir n'importe quel 

risque 1 

Que fere?... Une seule voie restait 

libre o la portière à sa droite... 

C'est.Adire le saut ser /a voie deld 

10 0010 des ténèbres._ Par meg 

vitesse de cent kilomètres à Theme, 

Terrible daingerl... Mais plutôt 0110 

qu'être 5501 000 I- 

Peut.être ne seraibil ire bic 

et pourrait-il ramper jusqu'à ua 

queleonque 7... 

Il hésita pourtant-. 

Georgette, Jammes I.- Sana. 

que deviendraient-ils 7... Mes 

serait pire encore s'il était reprt 

condamné, exécuté peut-être.- 

Il sentit d'ailleurs tme s'il pensell 

à eux le courage lui uneefeema-7 

Il fut tout â l'action iMilailleate. 

S'il sautait nvec g. tr. 

Man en CAPPOet 71Ve4 la vitesee.\ 

bien parallèle au traie, Par e05yes, 

peut-èhe qu'avec un Paz 

daance il sMs tirerait.. 

gen», 


Jeunesses SociaISte5 

GROUPE FELIX LOVIT 

Illumun san 

droito. jourS 12 serAI. 

21 hnu000 sole12 do lues 

lus 0454 

P socs iud 

E. G. 

011000E ENELS 

drs5u 

T12s du g,eups qIle eut, 

edre à lu rc'°°° raie, ruA 34 

lv sou u eu d' sel des 

s t.Nsuvis. eu, uulls euneuostle 

Vuras. 'e ii Qesui'rucs d,usss, 

Le Seurélolor Ch. Somsuv 

Tee, I,. nunmhess du Ueueee .000 

à 21 heuoss, 

.suquès 00,0 le eudi 30 oeil, 

.ièss, nuM Lotutus 

Quno ion très juueuelsets. 

Pelomnciediuecrouhls. 

Ls Seoeéleiev,. P. 

GROUPE JULES 013050E 

Réuuiuu du guuues I, joudi 10 suis, I 

21 tus urs., eu s 65v, 

lus n unrudus ourdis d'Hee SA 

1. Seueéu,rirs 

A. P. 

SECTION DE CROIX4)AI.IIOADZ 

Tonstue euruueudrs sono poids d'nssi. 

à le réuE,uu do lu SeCoue qui euor 

ues.oir. 621 l,euens,v,s silos, 

Vo I'irueeeesroe As lord12 du joue. 12 

1eéssees du ouurs ssr dnoluucu,. 

O, COSTEC, 52, F55 de Rémusel, 25 

'sarurss dseeoeroéss 

SYNDICAT 

DES SERVICES PUBLICS 

Riunun do lu C. A. ovsdisdl 31 suéS, 

4 21 houes., Beuiso du Treosil. 

SYNDICAT 

DES SERVICES PUBLICS 

Soueue de l'OuEnt 

Réurrluo de I, Section. sujuu,dltuel su' 

dr 3 Oueue, à I, douces du TrouvA, 

Solo ira do nuità lb hou s. 1 

Sssuiusdsiuruloll houros. 

Qeseriur, io,euetsu,eoe, 

Poisser, ruidiepousublo du terra In, no' 

COURONNES MORTUAIRES 

L'Ioe000rtelle s. s. rus Jese'Uuau 

Chois U deloislts 

tlseesrts. shateus, OeIllet, .05.. esse 

Lleeoesdtoes 52 hôtels, TAI. 222.20. 

IuIIJlIItàlltItII111uttItIIIIIlIIIIlIIuIuIIHtl5 

L5 Vie les S0t0 

AUX AMII3OSNIIRS 

Blunices des blottIes mariés du '11110. 

OU 0110 dol Auri005uleru unulou 

Laugirl,, no suie, jeudi, 4 01 bourru. 

Objet 301e des Çueus, 

L'SVAaST-EchuOD TOULAUSAINO 

Le prinidout de I'Auauit,ûuedo Tuer' 

murales d'Arnaud-fle,uurd, s l'Iiuueoue 

d'Ieleemoe lv pupulstiur du quaetiee, 

quo la lOts de u ounléis serra dru 12 

dllul'cehe, 2 septembre pelulia'li, eue 

Ou 9h es Upocud-uerer'rd. 

Le lundi O supleerubro, b 05 transes, 

un Ouille orru III'rl 

eumpugulo do loue 

AIS uouelr, un b'llcul leu dAlleur 

eldiurnea la 1010. 

plu vit' d'iulerenor lets les adhgenuls 

que lv bauquvl aneuul aura hou b lui. 

050utie 30 Acptsmbaa, à midi, au leu. 

luueaut Amdérp, Vltuu CUrie n de Lus' 

Cccl hinul quo tom ces esmueud 

o ut lets oueOiu $110111 lOucOs à S lIt 

ClIC 1011mo qu Oeil uuus pnemetten do 

mises sens euei,aller et de resuorrsr lus 

licol do cema00000 e qui uulueetesjetee 

Le polo dit bunquol sot de 05 erueea 

leupage 51 aeerleu eeurpriel 51 deit tIre 

eelod rElui le cl soliteuilee dcili'P dl' 

lui, auc 001eadoe 3005510. 3002,3 tt 

Lu PALI.AII1ENNE 

L'Eeludla,cilou lu Palladrucue, dell' 

eness do lutes salir au 

lualeueu,eut tut000auaeis. t OlguOlSu 

01cv sou 110e Onelorl,o, LICe 

memliler actIfs ds oeils suelélé, 00010' 

plouCs des meurlires h Ocelles,, dlv 05' 

refis et lolo qui eut bIen vuuuso 

des à eus, se malle et su ruule rsms'lI 

01 Oéliuequernul il manche molin b 'Ils 

Msjuu'que. 15 Pallsdlnues, d'numed erra 

les eu000itée tueuRs, dueuoea 10 suIe 

- -'-- LE 51001 SOCIALISTE 

m100uunrOoret à Palma do Msllueut. 

Oeils beillnelo goludlsellea, 010e de leu 

siucnd lues luOs 505 effuc'le puera e 

mesloor d'gue du eteem uellshiqele do 

dMIO,llLD N000C°IEYS 21H RAISIN 

DécorNE mrueuells sumodl terser 

11101,1 0034, b 11 l''ueee 1Htulenr, uu 

ellor, Ont 03501010e. 30, eue de Nddee' 

014es dea leur. - Vvesemuul dol ru' 

tlSuliouu. Suu'oellos udhéuiees. Qetoll005 

dlrseam. 

OI1C'OIISOTS 11ES SEIWIC3IS S, V, 

LoB ehomiuels do la g or do Tuu. 

le000, ppuu1ouOut suE Entuber D. V., 

suut lEu 105 b cvlinter h In 03,0101 3d 

sucE lino le moud1 Dl août 1934, deeo la 

geaedn solo de 1111101 Duolen, su per' 

O or 115go, 0 50 SourIs 

Al oIt la eluniru, un lunch, Flou 0200' 

50 I'IrruubOr dru releoiloo, 

3'IstIS 

100ueAun es 01110 00 doge, rUt Rlelleo 

0000e du 10110 013e lmeOotvaL 

Tulu Ire cnuuamdls de lu tun,Oié 1000 

potée d'tteo pOslolIls. Préuoerr Alduapou' 

seblo de LoeOorcOu,q Thou, et BulleR,, 

Pv'ldrllOt ROuer 551 ehnrga O euluouse 

la dél050h - Le 500rélelen 0015go, 

UO20N OPORTOVE PROLarARIENNE 

Ce 001e à 51 heures, 3 10 Ouuesn dIs 

Ten003. susetebtée géudOnlo Or l'oiSon 

Opurluoo Proléivols1000. 

Ours ju0000esuinOflll Y mut 500ulule. 

meut mueequés t Druu;èem 03311m 

EieoliOuet, Baye000e, Abadlo Sot 05, Du. 

PoInt, P5010. FsuI040I, Olreoi'.uu tleuv. 

uoaue, llambOa. 01100 O et lI. 010. 

Oedee du Iuur 1 000bslemouv h Revel 

le 01 mnurluo I soPlerubre. er,ulleuve 

d'srinlylltme à y Iruspulor; épetuue,O 

190, 20E 500 eS 1000 males5 Iuudueue. 

bnul000, tincds, diellul. 0010,0 4000e; 

50100menle. Pu'Cer 100K erlsedulsuree Us 

bleu nouleir abu001rr lev mulilelu do 

bItk't. 

lIOItu1110IuI051IISOI000IlI511ItSIeuIII111IIu 

.a Vie Sportive 

NATATION 

UNE GRANDE REIINIOOI NAUTIQUE 

A LA P150103] DUPER 

Le T. O. O. C., oeolluuuurl ou tilelo dot 

gtarldsa edenioce Ouutlqueo reroues 10 

uuduedl tee usptrmboe rue nuolueur, h 20 

torture2, loquAce permi000 de culueeu et 

Us laEleo'pulC Use 010010 Rruuiu ur Cul. 

lIIOC, Uue des meillaucrs équIpes de 

Pe° 

1011050e ruee010 

eptolono do la oOgbOO cus geabos 50' 

OliUmoo,o. 51 toI cr51 110v Ils SOni5000 

010,00000 000001005cnoblouuauou 

0 30101, s0000t 01001e O ElulItos. 1,05 

p000il 00E 050001 leu oac011u005s 005 

uueu 111e talUs dv 0cSdI, eoolouao. ut 

O uouua, O_asiees, S5iOI.Lps, 000..., 

til0 Icude rlcouelouulo nulhlOO'Otu quI 

eulIboasI 1,000005 à 010011, 010 101511015 

e000uolla, Erais. ou roIde. il y u lieu do 

sICnObor 00503100v dl 501000 loIr,, 

ue0001uo,, dnaielleete dIto, quI ptoe. 

0e dducUléOeil'OuuOglllm, 

L5200cselcoilcrasouloue 105105. 

0050 beoev heocorebeea pour 

100e les aoe000r0014. Nous lolos 105 

000peOlal005 dvsmhtnoonln001la 

d'aUi 00000 £0110 01101 0 In ocairbo 00 Etu 

000, 101e nUOI,100 dél,cluto III csc 1' 

10 4 In 10.501e etc dU 90001 mmc. 

000vla0000letduraloua. nous ber III' 

Ongvovboe le,v,leo'oile, o,liuelll'U 

01 daos leos les 000. sl'snt le 1 seplenl. 

51e, mIl nIant 111. Abc llullnrd, pllondrOl 

0e 10 cr0100 II l'ohulquo do tal,i, 

suIt au soeudlaAab dl 11 010111e do SI,,' 

RICYCS,DITTIIO NEUVEP Auras. 

51es frulsnOs 000001 Osos viomà j, 

12001051105, 

CIomess Olsus Csseeà 

0000e. 250 Or. 200 00. 

5100505. 'Paltetlo, 

'215 les 215 5e. 

?uon001 10111es. - rotes libes . 2 ts'etses 

gonés boue 

003 000010100 ne 101 

pe.s mIlIlebooa, Uouna II ulIru 000 0100e 

à 000001 ado oionmmoo us.auaàs la tels 

00111105 Ur loue, 1100010 1m 05 l'U e. dl, 

se100, ro ose Oslo dv SssSrssv'slees' 

lu qun.ot bIOEu2é. 

linou 100111000 010 quo le geelr uolcnm. 

mo do Il Colulair éltaaegrro, d'aulp ou' 

Oie 00100e 51 X,,., rI eus 050011e 15e 

M_bolS OU SONT bbS PRCOSIOSAES 

lOAlnTu.N t - Le p0011 todloel, 

eouuyurrrut do la alalue de iv 14. 

110110, pelleodàt àotoolobo 10000 hast 

et 10111111 le Ilsmbouu do lucoollbso. 

lsuo, O OOatoerounoeoe I O ,Iereo»j. 

ObUs I 00 Inoolirlpo IUjoAi'ol'lOubsu 

eubjoet 100eemregue ou, ou loomuel 

Use bobo balitueu, mIlle Iro 0000111 

u la Iauoioee du subir. Qitulour do 

In Uiçu000lnn lait I100alomuroe, 10e 

el000uox lot scIé lu oetiom eu xauae. 

0es ole ta 0±110,111e cl l0010na le 

0191mo alllidlm100ali000 Uus dO. 

OeelE'ICbr, E03'm, aUtel nos 1301m' 

Clos, Ils eroxuleo1 000 voleodrl 

érouuluel, l'coteuu'uti du plétu 40010e. 

li'tttootioO, 

Cures un u t'lclOit aor élbeleiqee. 

Put'blro I but les Aluu bobite 00 10 

00000e et n'oOit 005 ecvbo do 01051001 

d'abioiee le sum Ieterrrnpo'tebbO 

5 

OnlU, 00, lOtIS Us mntoot,lc000auecv$ 

1100, 05 dLIoInsbecI011, Ulo Iiaua000l et. 

0155 0110es 5001116 aU 010000 0es PlIer 

sou pOIo&lx51 U cl deo dlp Ossus 05 

duu gi 132501,001 ulSOulb alu 10,0511 50" 

Ornnsnr Aeoaeolersobmou.000u 

a IslIceclIIc domuelcua3oCoes 

5101 rada tsr 1. osooaorm 0000.51.01 u 

s000015a usuueàl Sf50 serRer o. 5 1155' 

brIs, 00 51 .obess. 500101 lI 0101 05000e 

00030 ecveid p00111 do O'eevos do no 

loulou rI cnvl0000 dcl 000001 00 0100 

051es tt,areber. sa clos noslos 2105111105 

Ocua 110110000 1011v. 0 30 100 prIt, 

51e, sI, 011101. 000 000110v Iim100nUn. 

P000 la dev',odesourolu e'adrroor 

O l'Olsbitoaonila, tb000usli, 

5001101e h blacoot, Il, 0110 vIol .10111 

511101 Ut COeOu'cS oU Olos SI. alEnlocu. 

GII1000L AU 0005000 - 0110 lu 

0000cl do 0mo quo Ils 030mo dab mm 

d'Olre trop 10111, 50 05' 00', do tuéAoe SALIES'DU'SALAT 

0000ee, h la sonde lolo 0m pelota ail.. p0111 'oe rI 101, 1 poloeybour. 111, nlae,5 

0es OraolUe Ilont U'OOed mil I I' o'lra'Ie. Il 

1,05 etpelslnbull055 000lidiomtos seul qu lIera arma u p000 10111.0 P10001010 

111001, ouI peou 010' 

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La Vie Syndicale 

SYNDICAT 

DES SCISVICES PUBLICS 

DE TOULOUSPI 

ET DE LA HAUUE-GARONNZ 

Seolioe Ooi,elèeo 

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20 19 I'iotiPOl 5000 10 crI. rcaIIoe, do £10515005 Or I Sn000bOnes 1002 15 

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tiretto-ta 

Voici trois leenes femmes, pourquoi 

Jeunes? Elles peuvent ceps l'être, tnMs 

pour une es , ion 

Donc ûois jeunes femmes sortent Par ficite 

pluie diluvienne. 

L'une a un msnmau de Chine imper- 

Meabilisé marine de forme raglan, il 

est fermé par un système a éclair jus. 

qU'au cou duels och. pouvant 

contenir mouchoir, porte-monnaie, boite 

poudre etc.... un mot remplaçant le 

.0 à main, Sont egalement fermées par 

entente it éc/alr . 

Les poigne. sont assez étroits et une 

...Ire (Mir une hauteur de dix centimètres 

environ) permet de passer 

ment la main et de maiMenir strictement 

le poignet h l'abri de l'eau, puûqujelle 

est munie du système oItclair a. Des 

boutons blancs, un petit col de Chine 

imperméable blanc font a morte 

une In hie parure. 

La seconde promeneuse a un vêtement 

e marron ; °réifiant largement, 

m m e 

loyat 

MABLE 

On dit bien qu'en mode, Il y a Mei.. 

quelque chose de nouveau, male le on 

qui affirme cela ne sonnait pas la Pint- Nul ne contestera qu'. Intérieur 

e/1M éprouvée parfois pour extraite de n7 tenu est un lieu eù use se t 

le mode ce quelque chose)) susceptible 

autrefois ae.ai 

2:; 

de vo. Intéresser, vous mes camarades non.. ., nous revoyons la grande che- 

leetriCes. 

minée oh flambe, énorme, la hache do. 

Ah / bien sûr, les journaux bourgeois I. Gammes éclairent et réchauffent po- 

puisent à pleines mains si l'o. dort lits et gratuité .s. à l'entour. 

dans la anode ; le luxe a Malaise des Plie ont disparu Ies ho-Mea et,Sittre 

nouveautés ê révéler ; mais /e Popo/aire 

ponsidere Inutiles certaines descriptions, n1j1;;;.", e;,5eur.,71.410:11e, 

Ir. nia, 

certains modèles et nous devons alors 

restmindre le champ de nos observations. fait soue la Iambe, même en campa- 

Que nous Importe, tenus, à moi, /es ,éltriltdelle on les tlammes or sut. 

robes luicueu.s de tel ou tel couturier ? iztly 

Noua sommes de la classe laborieuse et Suivant en cela /a Mi de l'évolution 

par conséquent n'avons point de temps à aconomfque, le foyer s'est modifie, mais 

perdre en visites, en réceptionS. en Ser- fi reste te ce/Vendant le lieu où la famille 

ties mondaines pour lesquelles cet me- 

ress tte eue,Pergit,e.zr,.z..î,rets. 

détes sent créés. Ils restent pour nous, res vendu perte leurs fanes 

'des objets de curiosité. 

eu capitalisme. 

Nous devons être, West-ce pas? éro- Il faut doue que là un a.isement 

dée... coquettes et n'avoir qu'une vienne réconforter /lemme, la femme, 

petite teinte de frivolité, assez pour refi- lasses, Il faut que la ménagère y préler 

femmes. 

Peii,o- un aecueil riant.i 

Ceci p.& de quoi vais-le aujour- pas trêa le e ni x a ro ;Jle" 

d'hui vous entretenir? Nous avons en- fuyer Maltant Et nous prendrons 

semble vu, /a semaier passée, les robes un intérieur modeste sachant bien que 

d'été, nous nous entretiendrons Ment& est donc Hume ? /es Hemra 

neuf il faire elles-mère. cette coiffure, 

soit en laine, soit en albêne, en cos.. 

net, il faut enugoyer un crochet 

P' 

très fin 

âtre pue Ser'dûlionalnsed sone 

et travailler en demikeides. 

Ce n'est pou très dit/ici:le puisqu'il auf. 

ze,..p,evt 

fit de faire a un rond à plat d'ensiron 

25 eentimetree de diamètre. 

Quand il est obtenu faire deux ou 

VIENT DE 

trois ra.s s.s augmenter ni 

nuer, et cont.tionner alun en 

nuant progressivement un cercle qui, 

suivant inversement le demes du béret 

arr era moment eil restera un 

trou suffi.nt pour la pme sur la tète. 

rogramme dActien 

Ia faut au pl. 100 gr, do laine, 

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du Parti Socialiste 

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Iltre de lait, quatre ufs bien fraie. 

100 grammes de sucre en poudre, une 

demi gouese de vanille, un soupe.) de 

de sel fin. 

Sattre les Mance d'eu es en neige 

OmIt eerme. Lee verser dans un moule 

earatnéssé optés y avoir mélangé d. 

noisettee três finement pil.a. 

Cuire su bain-marie. 

Démouler et servir entouré d'une ere 

me vanille faite avec las J... d'o-ufa 

Io lait et la vanille. 

Omelette eapagnole. 

Mettez A &Ire, dane la pot., av. 

ds l'huile, dee tomates coupeee ea, 

de.,Ajout. mi peu d'ail et de curry, 

Laies. mijoter suez lon.ement 

Quand v.s Mg55 les tomates cuite% 

wrsee dessus des mets bien battue, 

salée et poivrée. I) Mut qu'ils r.om 

vrent tee tomates. 

Fait. ensuite glleser la pstuaratûn 

sur un plat 101501, 

Cette omelette est, me ditnn, excele 

rente froide; elle peut, par .nséiMent. 

se préparer le midi pour le soir. 

Mari.. fraie au lare. 

Ayez des haricots en graine trbe 

frais ; faites.les &in de la manière 

ordinaireLL'eau de cuisson demi laquelle 

roue aurez mis en même temps que lee 

haricots, un ou deux poireaux non bom 

née, fera eu bon potage en Y ajoutant 

du vermicelle. 

Lorsque sont cui. les haricots,15oute 

tefiget. Par ailleurs faites revenir flans 

On beurre de petits lardons, ajoutesY 

haricots, rein.s bien le tout, vers. 

un peu de Pean de cuieson, un petit 

bouquet de persil et lies...terun 

moment 

Serve. sau.edré de persil ou de ées 

feuil frais. 

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