Télécharger le numéro - La Gazette de Côte d'Or

32
Culture
HIT FNAC DIJON GAMING
1.
2.
3.
4.
5.
Call of Duty : Black Ops II
Activision (PS3)
Assassin’s Creed III
Ubisoft (Xbox 360)
Halo 4
Microsoft Studios (Xbox360)
Fifa 13
Electronic Arts (PS3)
Farcry 3
Ubisoft (PS3)
Call of Duty : Black Ops 2
FPS / Activision
L’HISTOIRE : Avec près de 12 millions d’unités écoulées
depuis sa sortie, Black Ops 2 est le carton vidéoludique
absolu de cette fin d’année. Suite du précèdent volet sorti
il y a deux ans, le titre se déroule pour l’essentiel en 2025,
au cœur d’un conflit opposant les USA à la Chine. Pas de
bouleversement majeur côté scénario, on a entre les mains
un Black Ops pur jus… Les méchants… et les gentils… On
apprécie une narration plus travaillée et surtout une histoire
moins approximative que son prédécesseur.
GRAPHISMES : Le rendu est clairement inégal. Certains
tableaux vont vous en mettre plein les mirettes et vous
plongez en totale immersion. D’autres semblent plus
obsolètes et pour tout dire un peu bâclés. Néanmoins le
level design tient la route du début à la fin.
GAMEPLAY : En termes de jouabilité ce nouvel opus est
tout simplement remarquable. Les sensations sont là. Et
pour un FPS, c’est l’essentiel. En revanche l’intelligence
artificielle est franchement grotesque par moment. Vos
ennemis sont clairement aux fraises. Dommage.
Medal of Honor
FPS / Electronic Arts
L’HISTOIRE : Cet épisode va vous faire voyager aux
quatre coins du monde. Dans la peau des soldats d’élite du
Tier 1 vous devrez déjouer la menace terroriste internationale
grandissante. À vous les missions en Somalie, dans les
Philippines, ou du côté du Pakistan. Un espace de jeu riche et
varié, LE point fort de Warfighter. .
GRAPHISMES : Ce jeu est clairement bien foutu. Les
lumières, les explosions, la modélisation des personnages et
des environnements valent le
détour malgré quelques bugs
d’affichage çà et là. Sans
grande conséquence toutefois
sur le rendu général. On
aime l’ambiance qui se dégage des théâtres
d’opération. On s’y croirait presque dis donc !
GAMEPLAY : On retrouve ses marques
rapidement, le gameplay étant quasi similaire
au volet précèdent. On reprochera en revanche
à Warfighter son aspect trop linéaire, trop
scripté. On se sent au final assez peu libre.
Need for speed :
most wanted
Course/Electronic Arts
L’HISTOIRE : Vous êtes bloqué dans
les bouchons place Darcy à Dijon ? Prenez
votre mal en patience et passez vos nerfs sur
le nouveau-né de la série Need For Speed.
Manette en mains, conduisez et remportez
des bolides qui en ont sous le capot ! Dans la
ville de Fairhaven, tout est permis ou presque.
Profitez-en pour vous faire flasher sans recevoir
de procès-verbaux, pour semer la police et
pour tout détruire sur votre passage lors de
courses folles. Les dérapages et la conduite en
contresens sont vivement conseillés. Ce Need
For Speed, qui a petit goût de Burnout, ne fait
pas dans la finesse. Mais ça défoule !
GRAPHISMES : Franchement au top.
Même à grande vitesse, les graphismes sont
impressionnants de réalisme. Les voitures
sont fidèlement modélisées et les accidents
La Gazette - jeudi 29 novembre 2012
15/20
DURÉE DE VIE : Comme d’habitude la campagne
solo sera bouclée en sept heures grand max… disons
cinq pour les acharnés. Il faudra alors se tourner vers le
.
mode multijoueur bien plus épais et vraiment addictif. À
noter la présence d’un mode zombie des plus fameux
RB
13/20
L’intelligence artificielle montre aussi des
faiblesses.
DURÉE DE VIE : Trop court, bien trop
court. La campagne solo ne tient pas au-delà de
cinq heures de jeu. Le mode multijoueur sauve
. heures supplémentaires RB
heureusement la mise et promet quelques
17/20
spectaculaires. Les cinématiques avant les
duels enrichissent l’ensemble. Concernant la
bande son, des musiques entraînantes et des
moteurs qui font du bien aux tympans.
GAMEPLAY : Pas de grande révolution
pour les habitués de la série ou de Burnout.
Pour les débutants, la prise en main sera assez
rapide. Et il ne faut pas craindre de froisser de
la tôle !
DURÉE DE VIE : Pour terminer le jeu à
100 %, il faut bien compter entre dix et quinze
heures. Reste
.
ensuite le mode multijoueur en
ligne qui devrait en scotcher plus d’un devant
l’écran AG