Octobre - Nervure Journal de Psychiatrie

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18 ■ THÉRAPEUTIQUE Ghettos américains, banlieues françaises Hérodote 2006 n°122 La Découverte, 19,50 € Au travers d’études de cas précises - New York, villes californiennes, banlieue nord de Paris, région lyonnaise et nord de la France -, les auteurs de ce numéro d’Hérodote (qui reprend les communications d’un colloque franco-américain à l’université de Cergy Pontoise en décembre 2005) analysent les similarités et les différences des processus de ségrégation aux Etats-Unis et en France. L’article de Renaud Le Goix, qui retrace l’histoire des quartiers fermés, y compris en France, corrige le discours selon lequel ces quartiers pour classes aisées seraient une importa- avaient contacté le proviseur après avoir trouvé des bouts de résine de cannabis dans le cartable de leur progéniture… Les intéressés ne « traînaient » guère sur le trajet - effectué en car – qui séparait le lycée de leur domicile, ne fumaient jamais à la maison et n’avaient pas la permission de sortir après le dîner. Pères et mères en avaient déduit que le cannabis était consommé au sein même du lycée et insisté pour que le chef d’établissement prenne des mesures adéquates. Julien et ses « comparses » n’ont rien vu venir. L’absence totale de surveillants pendant plusieurs jours d’affilée aurait dû leur mettre la puce à l’oreille. Au contraire, ils ont en ri et se sont dit : « Ils se sont rendus compte qu’ils ne pouvaient pas nous empêcher de faire du business. On les a eu à l’usure. Ils doivent être tous en arrêt maladie pour dépression nerveuse ! ». Mauvaise explication : aucun surveillant ne s’était fait porter pâle. Se sachant repérés lorsqu’ils suivaient les groupes de fumeurs de cannabis et leurs vendeurs et ayant constaté que le jeu du chat et de la souris qui s’en ensuivait ne tournait jamais à leur avantage, les surveillants ont changé leur fusil d’épaule. Ils sont arrivés au lycée bien avant l’ouverture de l’établissement, puis se sont embusqués dans les lieux de rencontre présumés – en combinant les directions précises par chacun des groupes et les limites du parc – des « jointeurs pèlerins »… Cette stratégie a été payante. Les surveillants cachés ont distinctement vu qui, au sein de chaque groupe, vendait et qui consommait. Ils ont aussi identifié plusieurs endroits où des quantités assez importantes de résine de cannabis étaient enterrées, enveloppées dans des feuilles de plastique. Une fois ces renseignements transmis à qui de droit, le chef d’établissement a fait illico presto « sonner la charge de la cavalerie ». En substance, une dizaine de voitures de police se sont garées bruyamment devant le lycée, avec sirènes et gyrophares. Leurs passagers se sont ensuite rendus directement dans différentes classes pour, en plein cours, saisir, menotter et emmener les dealers, parmi lesquels Julien. L’opération a médusé par son caractère spectaculaire. Le proviseur, exaspéré par l’intensité du trafic de cannabis qui s’opérait dans son établissement et par la difficulté d’y mettre un terme, avait donné carte blanche aux forces de l’ordre au niveau du « style » de leur intervention. Il souhaitait que cette « visite » soit ostensible et intrusive, de façon à ce qu’un message s’imprime de manière durable et dissuasive dans les jeunes esprits : la loi existe ici comme sur le restant du territoire national et nous avons les moyens de la faire appliquer (en l’occurrence, d’en sanctionner sévèrement la transgression). Ce but a été pleinement atteint, mais trop excessivement pour être « assimilable » sur le plan psychologique. Peu après, des parents d’élèves et des personnels du lycée ont contesté tion récente des Etats-Unis. Les études précises sur les processus conduisant à la ségrégation urbaine par le départ des classes moyennes et par la dynamique du marché immobilier, commencent seulement en France. On sait, bien sûr, comment ça marche, mais il est utile de connaître précisément les quartiers ou les zones touchés par la ségrégation, choisie ou subie selon la classe sociale à laquelle on appartient, si l’on veut contrôler sinon bloquer ce processus (voir les articles de Didier Desponds et de Martine Berger). Frédérick Douzet montre, à travers l’exemple de la Californie, comment l’aggravation de la ségrégation conduit à une « balkanisation » politique de l’Etat. C’est là tout l’enjeu des établissements scolaires et de leur réputation. l’aspect cowboy ou « Starsky et Hutch » de l’intervention policière, même si les faits, sur le fond, la justifiaient. Ils ont estimé que les jeunes fautifs ont été « cueillis » comme des terroristes détenant des otages ou s’apprêtant à faire sauter une bombe et ont critiqué fortement cette « pédagogie » de l’humiliation (vis-à-vis des élèves interpellés) et de la terreur (vis-à-vis des leurs condisciples). Ils auraient préféré que chaque élève arrêté ne le soit pas en public, mais après avoir été préalablement et discrètement convoqué dans le bureau du proviseur. Julien et ses camarades interpellés ont reconnu les faits. Vus les témoignages des surveillants et le cannabis ensuite saisi dans diverses caches, il aurait été vain et même dangereux de nier. Ces jeunes ont tous fait l’objet d’une comparution immédiate devant le juge et, dans le même temps, ont été exclus définitivement du lycée. Le fait qu’ils soient tous mineurs, leur franchise et leur absence d’antécédents judiciaires ont joué en leur faveur au tribunal. Aucune peine de prison ferme n’a été prononcée contre eux. Les sanctions ont consisté en des peines de Travail d’Intérêt Général (TIG) (4), assorties de mesures d’obligation de soins (sous la forme d’un suivi psychologique ou / et éducatif). C’est dans le cadre de celles-ci que j’ai rencontré Julien, deux mois environ après son arrestation. L’adolescent oscillait entre le chagrin et la colère. Il se tenait la tête à deux mains et ressassait plaintivement : « Les « flics » n’auraient pas dû nous choper et nous attacher devant les autres », tout en admettant qu’être interpellé faisait partie des « risques du métier » de vendeur de drogue. Julien ne savait pas que la police avait le droit d’intervenir à l’intérieur d’un lycée. Plusieurs entretiens ont été nécessaires pour que ce jeune puisse s’exprimer et prendre un peu de distance avec l’impact émotionnel des circonstances de son arrestation. Au début de cette prise en charge, nous avons bien sûr dit clairement à l’adolescent que le contenu de nos entretiens serait étanche en termes de secret professionnel, que nos rencontres étaient la conséquence d’un partenariat bien compris et non d’une collusion ou d’un mandat – sur le mode d’une sous-traitance - avec les services de justice. Parallèlement à cela, l’association des parents d’élèves du lycée et une partie des enseignants ont obtenu du chef d’établissement la tenue d’une réunion destinée, à la lueur de ce qui venait de se passer, à convenir de modalités plus subtiles en cas de nécessité de recourir aux forces de l’ordre. Judicieusement, l’assistante sociale et l’infirmière scolaires ont profité de cette rencontre pour lancer l’idée - dans une optique d’action sanitaire et non d’ « innocentation » des élèves interpellés et de leurs acheteurs (5) - d’une réflexion avec les élèves (intéressés) sur les effets du cannabis et les « motivations » des jeunes qui en consomment. Ces per- sonnes ont sollicité notre équipe et la pâte a pris. Une dizaine de jeunes sont venus dans nos locaux, à plusieurs reprises. Nous leur avons fourni des informations et de la documentation. A la fin de l’année scolaire, ces élèves ont installé une exposition dans le hall du lycée, assortie d’un débat où nous avons répondu à des questions d’élèves, de parents et de professionnels au sujet des usages et des usagers de « joints ». L’existence de cette action de prévention et le fait que l’association où nous travaillons y soit partie prenante ont eu des incidences positives sur le devenir psychologique de Julien. L’adolescent a peu à peu « digéré » la honte intense qui, selon ses mots, l’avait « détruit » lorsque les policiers l’ont menotté en classe. En effet, « on » pouvait désormais associer le nom de son lycée et le mot « cannabis » sans penser automatiquement à l’intervention policière dont il avait, avec quelques autres, fait les frais. Julien a pu dès lors avancer dans la compréhension de sa consommation régulière de « joints ». S’il en fumait tous les jours – et depuis plus d’un an -, c’est précisément parce qu’il souffrait d’une hypersensibilité au regard (au sens large : oculaire, mais surtout verbal) que les autres portaient sur lui. Il redoutait par-dessus tout qu’on se moque de lui, en particulier de sa silhouette chétive, de son maniement médiocre du langage et de la situation sociale modeste et problématique dans laquelle se trouvaient ses parents, ouvriers au chômage. L’idée qu’on puisse l’humilier – camouflée sous une réelle facilité à entrer en contact - l’angoissait en permanence. Il recherchait les effets calmants du cannabis pour « gérer » cette crainte, que les conditions de son interpellation par la police avaient décuplée ! Nous avons suivi Julien pendant près d’un an, à raison d’un entretien toutes les deux semaines. A la fin de nos rencontres, il s’était réinscrit en Seconde dans un autre lycée, où il travaillait correctement. Il était surtout parvenu à faire face à ses difficultés psychologiques sans se ruer sur le shit, dont il faisait à présent un usage très ponctuel. Conjuguée aux sanctions judiciaires, cette forte dimi- Du traitement de la crise au long terme Les présentations lors du 19e Collège Européen de Neuropsychopharmacologie qui a été organisé du 16 au 20 septembre 2006 à Paris, ont été centrées sur la qualité de vie des patients, leur santé physique et l’observance du traitement. Plus de 70% des patients atteints de schizophrénie sont au chômage. Ils sont significativement moins satisfaits de leur qualité de vie dans le domaine de la santé, de la situation financière, de l’emploi, des activités quotidiennes et des relations sociales. Dans des études récentes, les patients sous antipsychotiques atypiques ont de meilleurs revenus. Selon une autre étude, les patients sous olanzapine ont plus souvent un emploi que ceux qui prennent de l’halopéridol. Pour Fernando Cañas, chef d’un Département de psychiatrie à Madrid, les éléments principaux de la gestion de l’épisode psychotique aigu comprennent : l’alliance thérapeutique (attitude empathique, non critique, prévisible, parole rassurante, etc), l’évaluation du risque et la sécurité des patients et du personnel. La sédation a été longtemps utilisée comme une camisole chimique pour maîtriser le patient agité. Cette approche est déconseillée dans les recommandations actuelles. Les effets secondaires, lors du traitement de l’épisode aigu, peuvent altérer le fonctionnement cognitif, s’accompagner d’un vécu subjectif assez négatif et, de ce fait, nuire à l’observance du traitement. C’est pour ces raisons qu’il est nécessaire de tenir compte des préférences du patient et de son état somatique. Le traitement utlisé en urgence doit être rapidement efficace, avoir une bonne diffusion et peu d’effets secondaires. Il doit permettre un switch facile au traitement à long cours. Actuellement, il est admis qu’il vaudrait mieux calmer le patient que de le sédater. Dans le cas de patients présentant des troubles majeurs du comportement ou sujets à des crises d’angoisses importantes, on peut associer ponctuellement une benzodiazépine. F. Cañas rappelle que l’association de l’olanzapine IM et de benzodiazépine est déconseillée. Il précise que le passage de l’halopéridol vers l’olanzapine ou l’aripiprazole est simple et peut se faire 24 heures après l’administration de l’halopéridol. Andrezina et al. (Psychopharmacology, in press) ont démontré que dans le traitement de l’épisode aigu l’aripiprazole 9,75 mg en IM (cette forme n’a pas encore obtenu l’AMM en Europe) est aussi efficace que l’haldol 6,50 mg en IM. Comme les autres antipsychotiques, l’aripiprazole est un antagoniste des récepteurs dopaminergiques D2, mais son originalité consiste en son activité d’agoniste partiel des récepteurs dopaminergiques. L’aripiprazole serait aussi efficace que l’olanzapine mais moins sédatif. Il a moins d’effets secondaires que l’halopéridol, à l’exception de nausées et d’insomnies plus fréquentes. Le Pr. Fagiolini de l’Université de Pittsburg a rappelé que les antipsychotiques provoquent une up-regulation (une augmentation du nombre des récepteurs dopaminergiques suite à leur blocage par les antipsychotiques). L’aripiprazole pourrait stimuler ces récepteurs, mais l’effet d’agoniste partiel paraît significativement moins puissant que le blocage des récepteurs dopaminergiques. Lors du switch rapide d’un antipsychotique vers l’aripiprazole, il faudrait tenir compte du risque d’effet de rebond de certains antipsychotiques à effets anticholinergiques ou antihistaminergiques. Cet effet de rebond peut être interprété par le thérapeute comme une rechute et pousser ce dernier à arrêter l’aripiprazole. Dans ce cas, un chevauchement de l’ancien traitement et de l’aripiprazole serait préférable. Le ziprazidone 10 mg per os (cette molécule n’a pas encore l’AMM en France) a montré dans le traitement de l’épisode aigu, une efficacité équivalente à celle de l’halopéridol 2,5- 10 mg et moins d’effets extrapyramidaux. Le ziprazidone a une grande affinité pour les récepteurs D2, 5HT1A et 5HT2A. La schizophrénie est souvent associée à une comorbidité et une mortalité plus fréquentes. Les maladies cardiovasculaires sont la cause principale de la mortalité élevée chez les patients chroniques. Le Pr. Cañas met en avant comme facteurs de risque pour les troubles cardiovasculaires le tabagisme, l’alcool, la sédentarité, ainsi que la surcharge pondérale, les troubles métaboliques, l’allongement du QT provoqués par certains antipsychotiques. Le Pr. Thomas (Université de Lille) explique que l’efficacité du traitement N°7 - TOME XIX - OCTOBRE 2006 nution de sa consommation (et donc du coût correspondant) avait supprimé en lui toute envie de vendre du cannabis. ■ Pascal Hachet Psychologue , Point Ecoute « Le Tamarin » 1bis, rue Léon Blum, 60100 Creil. Tél. 03 44 64 12 53 Références (1) HACHET P., Ces ados qui fument des joints, Paris 2000, Fleurus, 188 p. (2) HACHET P., Histoires de fumeurs de joints, Paris 2005, In Press, 164 p. (3) Il s’agit d’un néologisme. (4) Ainsi, Julien a dû effectuer huit semaines de travaux d’entretien (peinture, jardinage, etc.) dans plusieurs associations locales. (5) Ces derniers, « simples » consommateurs de cannabis, n’ont pas fait l’objet de poursuites pénales mais d’orientations éducatives en alternative à une condamnation (et non en plus de cette dernière comme dans le cas de Julien). Notre équipe a reçu plusieurs dizaines de ces jeunes, souvent accompagnés par leurs parents. Sur le plan scolaire, ils furent temporairement exclus, pendant trois jours, du lycée. se traduit par la diminution du nombre des hospitalisations. Il résume les résultats d’études récentes selon lesquelles les rechutes sous olanzapine et risperdal sont significativement moins fréquentes que celles sous halopéridol. Dans l’étude naturalistique STAR (Schizophrenia Trial of Aripiprazole, Kerwin et al. Schizophrenia Res., submitted) les patients sous aripiprazole gardent leur traitement significativement plus longtemps que ceux sous olanzapine, risperdal ou quétiapine. L’aripiprazole améliore significativement leur qualité de vie (Corey- Lisle et al., 14 e Congrès de l’Association Européenne de Psychiatrie, Nice, 4-8 mars, 2006). Plus de la moitié des patients abandonnent leur traitement. Les raisons en sont différents : effets secondaires du traitement (50%), absence de critique (30%) et absence d’efficacité (15%). L’étude CATIE (Clinical Antipsychotic Trials of Intervention Effectiveness) est indépendante, sponsorisée par la NIMH (National Institut of Mental Health). Elle compare, dans des conditions réelles et sur une période de dix-huit mois, l’efficience et la tolérance de certains antipsychotiques (olanzapine, quétiapine, risperidone, ziprazidone) et de la perphénazine (neuroleptique classique de référence aux Etats-Unis) dans la schizophrénie. A 18 mois, 36% des patients demeuraient sous olanzapine. Ce pourcentage est respectivement de 26 pour la rispéridone, de 25 pour le perphénazine, de 21 pour le ziprazidone et de 18 pour la quétiapine. En même temps, l’olanzapine a été associé à significativement plus de prise de poids et à des problèmes métaboliques (hyperglycémie, hypertriglycéridémie et hypercholestérolémie). L’aripiprazole n’a pas été inclus à ce stade de l’étude, mais l’étude STAR a observé non seulement son efficacité mais aussi une réduction rapide et significative des triglycérides et du LDL-C, une augmentation du HDL- C (facteur protecteur contre les accidents cardiovasculaires) et une perte de poids (de 1,3kg,). 47% des patients l’ont préféré à leur traitement antérieur. ■ Vesselin Petkov Symposium Bristol-Myers Squibb/Otsuka - ECNP du 18/09/2006.
N°7 - TOME XIX - OCTOBRE 2006 Centre Hospitalier de Castelluccio Ajaccio Recrute 2 Médecins psychiatres temps plein ou Assistants spécialistes en psychiatrie Pour 2 secteurs de psychiatrie générale POSSIBILITÉ DE LOGEMENT SUR PLACE Adresser candidature et C.V. à : Monsieur le Directeur des Affaires Médicales Centre Hospitalier de Castelluccio BP 85 20176 Ajaccio Cédex Tél. : 04 95 29 36 08 / 04 95 29 38 24 IME les Abeilles 13990 Fontvieille recrute 1 Médecin Pédopsychiatre ou psychiatre (H ou F) à Plein Temps en CDI *** CONTACTER : Mr le Directeur de l'IME les Abeilles Rue Michelet 13990 Fontvieille Tél. 04 90 54 63 55 email : rv@imelesabeilles.com Femme Médecin Généraliste cherche poste en psychiatrie pour formation en DIU Psychiatrie Générale Toutes régions Tél. 06 67 25 85 58 Recrute PH temps plein Pour travail en EXTRA - HOSPITALIER Secteur 16 de Psychiatrie Adulte Contacter Mme le Dr Roche-Rabreau 01.64.30.72.08 CENTRE ENTRE HOSPITALIER OSPITALIER PAUL AUL GUIRAUD UIRAUD VILLEJUIF ILLEJUIF (94) Recherche 2 Praticiens Hospitaliers Psychiatres à temps partiel pour le secteur 92G13 (St Cloud, Garches) Joindre le Dr Ph. LASCAR Tél. : 01 42 11 70 95 LE CENTRE HOSPITALIER DES PAYS DE MORLAIX (Finistère) 3 secteurs de psychiatrie générale, un secteur de pédopsychiatrie et un secteur d’alcoologie Agglomération touristique de 30 000 habitants située à 60 Kms de Brest (Ville Universitaire) à proximité de la mer (Roscoff, Carantec, baie de Morlaix), desserte TGV et voie expresse Recherche des praticiens en psychiatrie générale et infanto-juvénile Adresser candidature et CV à : Centre Hospitalier, Direction des Affaires Médicales BP 97237 - 29672 Morlaix Cédex Renseignements auprès de la Direction des Affaires Médicales : 02 98 62 69 11, ou des chefs de services de psychiatrie par l’intermédiaire du standard : 02 98 62 61 60. LES ETABLISSEMENTS HOSPITALIERS DU BESSIN (BAYEUX - CALVADOS – NORMANDIE – 20 MN DE CAEN) RECHERCHENT EN URGENCE 1 PSYCHIATRE TEMPS PLEIN SUR UN POSTE VACANT A POURVOIR IMMEDIATEMENT POUR LE SECTEUR 14G05 DE PSYCHIATRIE ADULTE DU CENTRE HOSPITALIER DE BAYEUX EXERCICE PRINCIPAL EN CMP, PSYCHIATRIE DE LIAISON DEMANDE *** > POUR TOUS RENSEIGNEMENTS S’ADRESSER : DR ISABELLE DUPONT, CHEF DE SERVICE TEL. 02 31 51 51 48 > LETTRE DE CANDIDATURE ET C.V. A ADRESSER A : - MONSIEUR LE SECRETAIRE GENERAL ETABLISSEMENTS HOSPITALIERS DU BESSIN B.P. 18127 – 14401 BAYEUX CEDEX TEL. 02 31 51 51 50 - DOCTEUR ISABELLE DUPONT CHEF DE SERVICE, SERVICE DE PSYCHIATRIE ADULTES RUE D’ARGOUGES – 14400 BAYEUX ANNONCES PROFESSIONNELLES ■ 19 Pour vos annonces professionnelles contactez Madame Susie Caron au 01 45 50 23 08 ou par e-mail info@nervure-psy.com Centre Français de Protection de l’Enfance Association loi 1901 créée en 1947 Recherche 1 Pédo-Psychiatre ou 1 Psychiatre pour son Centre Familial de Lozère sur Yvette (91), lieu d’accueil, d’observation et de travail de la relation mère-enfant. CDI Temps partiel (0,11 ETP) CCN66 *** Adresser lettre de motivation et CV : Monsieur le Directeur Général 23 place Victor Hugo - 94270 Le Kremlin Bicêtre L’INSTITUT LE VAL MANDÉ Etablissement Médico-social relevant de la Fonction Publique Hospitalière Recherche 2 Médecins Psychiatres à 50% pour ses sites de Saint-Mandé (200m de Paris) et Corbeil (91) *** Toute candidature est à adresser à : Monsieur le Directeur, 7 rue Mongenot, 94165 Saint-Mandé Contact : Service des Ressources Humaines Tél.: 01 49 57 70 12 • E-mail : drh@ilvm.fr FONDATION SANTE DES ETUDIANTS DE FRANCE CENTRE MEDICAL POUR ADOLESCENTS DE NEUFMOUTIERS EN BRIE (77) Dans le cadre de son projet d’établissement et du SROSS 3, l’établissement Recherche 2 MEDECINS SPECIALISES EN PSYCHIATRIE Temps plein Pour prendre en charge : - une unité d’accueil post aigu pour adolescents de 10 lits - une unité pour patients 13 – 15 ans de 20 lits, dans le cadre d’une prise en charge soins-études. Expérience souhaitée : auprès d’adolescents avec expérience de la vie institutionnelle et des missions transversales. Evolution possible vers un poste de chef de service. Participation aux astreintes médicales. Rémunération : selon les dispositions de la Convention Collective d’octobre 1951. Recrutement possible par détachement. Renseignements complémentaires auprès de Monsieur BRAUN, Directeur, ou auprès du Docteur BIE, Psychiatre. Tél : 01 64 42 46 46. Fax 01 64 42 46 19 Courriel : cmpa.neufmoutiers@fsef.net Adresse : CMPA : 19 rue du Docteur Lardanchet, 77610 Neufmoutiers-en-Brie.
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