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CHIMIE

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Y2,1,0 = (2 pz) =<br />

Y2,1,±1 = (2 py) =<br />

Y 2,1,±1 = (2 p x) =<br />

Y 3,2,0 = (3 d z 2) =<br />

Y 3,2,±1 = (3 d xz) =<br />

Y 3,2,±1 = (3 d yz) =<br />

Y 3,2,±2 = (3 d xy) =<br />

Y 3,2,±2 = (3 d x2–y2) =<br />

Doc. 13 Expression des O.A. 2p et 3d réelles.<br />

x<br />

q 0<br />

O<br />

z D 0<br />

j 0<br />

Doc. 14 La demi-droite D 0 est<br />

définie par la donnée de q 0 et j 0 .<br />

La donnée de q 0 définit un cône de<br />

révolution, de sommet O et de<br />

demi-angle au sommet q 0 . Celle<br />

de j 0 définit un demi-plan ; D 0 est<br />

l’intersection de ces deux surfaces.<br />

y<br />

Modèle quantique de l’atome<br />

9<br />

COURS<br />

conduit à des fonctions complexes. Le caractère linéaire de l’équation de<br />

Schrödinger permet d’obtenir des fonctions réelles : puisque Y n,1,1 et Y n,1,–1<br />

correspondent à une même valeur de l’énergie, la fonction (A . Y n,1,1 +<br />

B . Y n,1,–1) est aussi solution de cette équation et correspond à la même énergie<br />

(A et B étant deux constantes, réelles ou complexes). On obtient ainsi deux<br />

orbitales réelles, traditionnellement notées np x et np y, mais auxquelles il n’est<br />

plus possible d’associer une valeur du nombre quantique magnétique m.<br />

Le même problème se présente pour les fonctions de type d. À l’exception de<br />

Y n,2,0 , les orbitales atomiques (nd) sont complexes ; on utilise donc la même<br />

méthode pour obtenir des fonctions d’onde réelles.<br />

Le document 13 donne l’expression des O.A. 2p et 3d ainsi obtenues.<br />

Les fonctions Y(r, q, j) sont, en général, des fonctions de trois variables et il<br />

en est de même de la densité de probabilité D = Y 2 : il n’est donc pas possible<br />

de représenter, sans convention, ces deux fonctions. Nous allons, dans ce qui<br />

suit, préciser les conventions de représentation habituellement utilisées.<br />

3.2 Étude de Y ou Y 2 en fonction de r<br />

Bloquons les variables q et j à des valeurs quelconques, q 0 et j 0 , mais n’annulant<br />

pas Y(q, j). Quand r varie, le point M de coordonnées (r, q 0, j 0) parcourt<br />

la demi-droite D 0 issue de O, et définie par q 0 et j 0 (doc. 14).<br />

Les courbes Y(r, q 0, j 0) et D(r, q 0, j 0) indiquent donc comment varient la<br />

fonction d’onde Y et la densité de probabilité D, lorsque M s’éloigne du noyau<br />

le long de cette demi-droite.<br />

Notons que, à q et j bloqués, les variations de Y(r) et D(r) sont respectivement<br />

proportionnelles à celles de R(r) et de son carré (doc. 15, page suivante).<br />

© Hachette Livre – H Prépa / Chimie, 1 re année, PCSI –La photocopie non autorisée est un délit<br />

269

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