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QCM UE3 2010 avec réponses

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PACES<br />

UE 3 1 ère partie<br />

Session de Décembre <strong>2010</strong><br />

DUREE TOTALE DE L'EPREUVE : 1h 30<br />

Veuillez vérifier que ce cahier comporte 16 pages,<br />

20 questions numérotées de 1 à 20 :<br />

Questions 1 à 4 : États de la matière et leur caractérisation<br />

Questions 5 à 7 : Les très basses fréquences du spectre électromagnétique<br />

Question 8 : question mixte<br />

Questions 9 à 12 : Rayons X et gamma - Rayonnements particulaires<br />

Questions 13 à 15 : Méthodes d’étude en électrophysiologie jusqu’à l’ECG<br />

Questions 16 à 20 : Le domaine de l’optique<br />

La dernière page (page 16) est un formulaire.<br />

• Les questions posées sont des questions à choix multiples (<strong>QCM</strong>), de type simple ou<br />

à combinaison de propositions.<br />

• Pour chaque question, il n'existe qu'UNE ET UNE SEULE BONNE REPONSE<br />

(A, B, C, D, E, F ou G).<br />

• Quand plusieurs valeurs numériques sont proposées, le candidat choisira la réponse<br />

correspondant à la valeur numérique la plus proche de la valeur exacte.<br />

Valeurs numériques à utiliser :<br />

Ln2 = 0,69 ; Ln3 = 1,10 ; Ln5 = 1,61<br />

log2 = 0,30 ; log3 = 0,48 ; log5 = 0,70<br />

cos(45°) = sin(45°) = 0,707 ; cos(30°) = 0,866 ; sin(30°) = 0,5<br />

Constantes :<br />

π = 3,14 ; Constante des Gaz Parfaits : R = 8,31 unités S.I. ; 1 atmosphère = 101300 Pa = 750 mm Hg<br />

Accélération de la pesanteur : g = 10 m.s -2 ; Zéro de l’échelle Celsius des températures : T = 273 K ;<br />

Masse volumique de l’eau : ρ = 1 kg.l -1 ; Constante de Boltzmann : k = 1,38.10 -23 unités S.I. ;<br />

Vitesse de la lumière dans l’air : c = 300.000 km.s -1 ; Constante de Planck h = 6,62 10 -34 J.s<br />

Abréviations :<br />

seconde : s ; mètre : m ; centimètre : cm ; Hertz : Hz ; eV : électron-volt ; gramme : g ; litre : l ; k : kilo<br />

(ex : keV = kilo eV) ; TR : temps de répétition ; TE : temps d’écho ; milliosmole : mosmol .<br />

1


Questions 1 à 4 : États de la matière et leur caractérisation<br />

Question 1.<br />

Soit Cv la chaleur spécifique à volume constant et Cp la chaleur spécifique à pression<br />

constante d’un gaz. On notera Tv la transformation à volume constant et Tp la transformation<br />

à pression constante.<br />

Quelle est la proposition exacte ?<br />

A. Les chaleurs spécifiques sont des fonctions d’état<br />

B. La valeur de Cv est inférieure à celle de Cp car le travail est nul au cours de la<br />

transformation Tp<br />

C. La valeur de Cv est inférieure à celle de Cp donc une même quantité de chaleur<br />

augmente plus la température dans la transformation Tv que dans la transformation Tp<br />

D. La valeur de Cv est inférieure à celle de Cp donc pour obtenir une même température<br />

finale, il faut apporter moins de chaleur dans la transformation Tp que dans la<br />

transformation Tv<br />

E. Dans le cas des gaz parfaits, Cv et Cp sont égaux<br />

F. Au cours de la transformation Tp, la chaleur est égale à la variation d’énergie interne<br />

du système<br />

G. Au cours de la transformation Tp, le travail est égal à la variation d’énergie interne du<br />

système<br />

Question 2.<br />

Un autocuiseur, de volume V = 15 litres, est rempli à la température t = 24°C d'une masse<br />

d'eau meau, et d'air sous une pression Pi de 10 5 Pascal. On le ferme, et on porte sa<br />

température à 120°C (état final). On considèrera qu’il y a assez d’eau pour éviter<br />

l’évaporation complète de l’eau.<br />

Quelle est la proposition exacte à l’état final ?<br />

A. Si l’on considère l’air comme un gaz parfait, sa pression Pf à 120 °C est<br />

approximativement de 5.10 5 Pascal, ce qui correspond à un rapport Pf /Pi = 120/24<br />

B. La pression de vapeur (vapeur d’eau) est la pression de vapeur saturante, à l’équilibre<br />

C. La pression totale est la somme de la pression de l’air et de la pression de vapeur sèche<br />

D. A la température de 120°C, il n’y a plus de différence évidente entre vapeur d’eau et<br />

eau liquide, on parle alors de fluide supercritique<br />

E. A l’équilibre, la pression de vapeur sèche est égale à la pression de vapeur saturante<br />

F. Si la valeur de la pression de vapeur saturante de l'eau (notée Pvs) est donnée par<br />

l’expression : Pvs = (t/100) 4 [unité de Pvs en atmosphère, si t en °C], alors à 120 °C<br />

Pvs est inférieure à 10 5 Pascal<br />

G. Le couvercle étant fixe, la transformation est adiabatique<br />

2


Question 3.<br />

Au sujet de la pression osmotique d’une solution, notée π, quelle est la proposition fausse ?<br />

A. La mesure de la pression osmotique π π d’une solution fait intervenir une membrane<br />

perméable à l’eau<br />

B. π se manifeste par une différence de pression hydrostatique, véritable pression<br />

mécanique susceptible d’entraîner une rupture de la membrane sur laquelle elle<br />

s’exerce<br />

C. π se manifeste par une différence de pression hydrostatique qui, à l’équilibre, annule le<br />

flux volumique net à travers la membrane<br />

D. π permet de traduire une différence d’osmolalité efficace, par une différence de<br />

pression hydrostatique<br />

E. Les solutés non osmotiquement efficaces exercent une pression osmotique négative<br />

sur la membrane<br />

F. La mesure de π s’applique de préférence aux solutés macromoléculaires<br />

osmotiquement efficaces, en faible concentration molale<br />

G. La mesure de π s’applique de préférence aux solutés macromoléculaires<br />

osmotiquement efficaces, pour lesquels la membrane est imperméable<br />

Question 4.<br />

On mesure chez un malade alité une température centrale égale à 38,7 °C vers 8h du matin.<br />

Quelle est la combinaison de toutes les propositions exactes ?<br />

1. Ce malade a de la fièvre<br />

2. Ses thermorécepteurs centraux sont inactivés<br />

3. Des frissons pendant toute la nuit précédente ont pu faire augmenter sa température<br />

4. Sa température centrale ne présente plus de variation circadienne<br />

5. L’hypothalamus antérieur est fortement activé<br />

6. Sa température de consigne est augmentée par rapport à 37 °C<br />

7. Sa température rectale est plus basse que sa température cutanée<br />

A : 1 + 2 + 7 B : 5 + 6 + 7 C : 3 + 4 + 7 D : 2 + 4 + 6<br />

E : 1 + 3 + 6 F : 2 + 3 + 5 G : 4 + 5 + 6<br />

3


Questions 5 à 7 :<br />

Les très basses fréquences du spectre électromagnétique<br />

Question 5.<br />

Dans un champ magnétique statique B0 , on effectue une bascule de 90° de l’aimantation<br />

résultante des protons, dans le plan transversal (O,x,y), en un temps t1.<br />

Quelle est la proposition exacte ?<br />

A. Le temps t1 dépend des temps de relaxation T1 et T2<br />

B. Le temps t1 doit être divisé par 2 pour réaliser une bascule de 180°<br />

C. Cette bascule des spins est d’autant plus rapide que la valeur de B0 est grande<br />

D. La fréquence de rotation des spins autour du champ radiofréquence B1 est de l’ordre de<br />

42 MHz si B0 est égal à 1 Tesla<br />

E. Les spins se déphasent pendant l’impulsion radiofréquence<br />

F. Cette bascule n’est possible que si les gradients de champ magnétique sont à la<br />

résonance<br />

G. On mesure le signal RMN dans le plan transversal (O,x,y)<br />

Question 6.<br />

Au sujet du temps de relaxation transversal T2 , quelle est la proposition exacte ?<br />

A. Il s’agit d’une constante de temps, qui peut être exprimée en s -1<br />

B. La vitesse de relaxation transversale est d’autant plus grande que T2 est petit<br />

C. T2 dépend de l’importance des inhomogénéités du champ magnétique statique B0<br />

D. T2 est souvent inférieur à T2*<br />

E. T2 dépend du temps d’écho dans une séquence de spin-écho<br />

F. T2 dépend du temps de répétition dans une séquence de spin-écho<br />

G. T2 est influencé par les échanges de type spin-réseau<br />

4


Question 7.<br />

Pour réaliser une image en IRM, on applique un gradient de sélection de coupe Gz dans la<br />

direction (O,z).<br />

Quelle est la proposition exacte ?<br />

A. Le gradient Gz doit être appliqué avant l’impulsion radiofréquence de 90°<br />

B. Le gradient Gz permet de faire des coupes parallèles à l’axe (O,z)<br />

C. Le gradient Gz est une variation linéaire du champ magnétique radiofréquence<br />

D. Le gradient Gz permet de distinguer les protons en fonction de leur position<br />

sur l’axe (O,z)<br />

E. Gz doit être augmenté pour augmenter l’épaisseur de coupe<br />

F. Le temps d’application de Gz doit être court pour obtenir une pondération T2<br />

G. Le temps d’application de Gz doit être long pour obtenir une pondération T1<br />

Questions 8 : mixte :<br />

- Les très basses fréquences du spectre électromagnétique<br />

- Rayons X et gamma - Rayonnements particulaires<br />

Question 8.<br />

La fonction y = y0 e -ax peut correspondre à divers phénomènes.<br />

Quelle est la proposition exacte ?<br />

A. Si y est un nombre de photons transmis à travers un écran d’épaisseur x, a est<br />

une CDA (couche de demi-atténuation)<br />

B. Si y / y0 = 1/2 pour x = x0 , alors a /x0 = Ln2<br />

C. Si y / y0 = 1/2 pour x = x0 , alors y / y0 = 1/100 pour x = 10 x0<br />

D. Si y est un signal RMN au temps d’écho x d’une séquence spin-écho, a est une vitesse<br />

de relaxation longitudinale<br />

E. Si y est un signal RMN au temps d’écho x d’une séquence spin-écho, a est un temps<br />

de relaxation transversal<br />

F. Si y est un nombre de noyaux radioactifs au temps x, a est une période radioactive<br />

G. Pour un radioélément donné, si y est le nombre de noyaux radioactifs au temps x,<br />

il est impossible de modifier a pour réaliser un examen scintigraphique<br />

5


Questions 9 à 12 :<br />

Rayons X et gamma - Rayonnements particulaires<br />

Question 9.<br />

Concernant la production des rayons X, quelle est la proposition fausse ?<br />

A. Dans un tube à rayons X, l’interaction entre un électron accéléré et le champ<br />

coulombien du noyau d’un atome de l’anode est le mécanisme de production des<br />

rayons X le plus important sur le plan quantitatif<br />

B. Dans un tube à rayons X, plus de 95% de l’énergie des électrons arrivant sur l’anode<br />

est dissipé sous forme de chaleur<br />

C. En augmentant l’intensité de chauffage du filament du tube à rayons X, on augmente<br />

le nombre d’électrons émis par effet thermoélectronique et donc le nombre de photons<br />

X émis par l’anode<br />

D. Les photons X émis par un tube à rayons X ne sont pas tous des photons de<br />

fluorescence mais, de façon générale, tous les photons de fluorescence sont des<br />

photons X<br />

E. Dans le spectre du rayonnement émis par un tube à rayons X, la position des raies<br />

dépend de la nature du matériau constituant l’anode, mais l’énergie de la raie Kα est<br />

toujours inférieure à celle de la raie Kβ<br />

F. On peut utiliser en imagerie radiologique des photons X de 140 keV par exemple<br />

G. Il peut exister des photons X de 140 keV et des photons γ de 140 keV ; seule l’origine<br />

de ces photons permet de les différencier<br />

Question 10.<br />

Concernant les applications des rayonnements ionisants, quelle est la proposition fausse ?<br />

A. Sur une image radiologique, le contraste entre 2 tissus dépend de la différence de leurs<br />

coefficients d’atténuation<br />

B. En imagerie radiologique, le détecteur reçoit les photons transmis par le patient,<br />

tandis qu’en imagerie scintigraphique, le détecteur reçoit les photons émis par le<br />

patient<br />

C. En tomographie par émission de positons, ce sont des photons γ qui sont détectés<br />

D. Le fluor 18 est, parmi les radioéléments utilisables en tomographie par émission de<br />

positons, un de ceux qui émet les photons les moins énergétiques<br />

E. La radiothérapie interne vectorisée nécessite l’administration au patient d’un<br />

radiopharmaceutique portant un radioélément émetteur α ou β-<br />

F. La curiethérapie est une technique de radiothérapie utilisant des sources radioactives<br />

scellées introduites dans l’organisme<br />

G. La radiothérapie externe met en œuvre des rayonnements électromagnétiques<br />

ionisants (X ou γ), ou des faisceaux de particules chargées accélérées<br />

6


Question 11.<br />

Concernant les interactions rayonnement-matière, quelle est la proposition fausse ?<br />

A. La principale différence entre une interaction par effet photoélectrique et une<br />

interaction par effet Compton réside dans le fait que, lors de la 1 ère , le photon est<br />

totalement absorbé, tandis que lors de la 2 ème , il ne perd qu’une partie de son énergie<br />

B. Dans un milieu donné, la probabilité d’interaction par effet photoélectrique décroît<br />

rapidement quand l’énergie des photons incidents diminue<br />

C. Le rayonnement diffusé Compton pose un problème de radioprotection car il peut être<br />

émis dans toutes les directions<br />

D. Dans les tissus mous, l’effet Compton est le mécanisme d’interaction le plus probable<br />

pour un photon de 100 keV<br />

E. Pour se protéger des rayonnements X et γ on utilise le plus souvent des écrans en<br />

plomb, tandis que pour se protéger des rayonnements β-, il vaut mieux utiliser des<br />

écrans constitués d’un matériau de faible numéro atomique, comme du plexiglas<br />

F. Les photons utilisés en imagerie médicale ne sont pas susceptibles d’interagir <strong>avec</strong> les<br />

tissus par effet de production de paires car leur énergie est trop faible<br />

G. Si la couche de demi-atténuation (CDA) d’un matériau pour des photons de 100 keV<br />

est de 2 cm, alors l’atténuation d’un faisceau de photons de 100 keV après traversée de<br />

6 cm de ce matériau est de 87,5%<br />

Question 12.<br />

Concernant la radioactivité, quelle est la proposition fausse ?<br />

A. L’activité d’une source constituée d’un radioélément décroît d’autant plus vite que la<br />

constante radioactive de ce radioélément est faible<br />

B. Un radioélément peut être à la fois émetteur γ et émetteur β-<br />

C. L’émission d’un photon γ peut résulter de la transformation isomérique d’un noyau<br />

métastable<br />

D. Un noyau peut se désexciter en émettant un photon γ ou un électron de conversion<br />

interne<br />

E. Un atome peut se désexciter en émettant un photon de fluorescence<br />

F. Un atome peut se désexciter en émettant un électron Auger<br />

G. La capture électronique est une transformation isobarique qui, comme la<br />

transformation β + , concerne les noyaux contenant un excès de protons<br />

7


Questions 13 à 15 :<br />

Méthodes d’étude en électrophysiologie jusqu’à l’ECG<br />

Question 13.<br />

Quelle est la proposition exacte ?<br />

A- Le champ électrostatique créé par une charge q en un point M est inversement<br />

proportionnel au carré de la distance qui sépare q et M<br />

B- Pour une charge positive les lignes de champs s’orientent vers l’intérieur<br />

C- La force électrostatique produite par un champ électrique est susceptible de déplacer<br />

une particule ; le travail fourni lors du déplacement de cette particule est dépendant du<br />

chemin suivi<br />

D- Le travail fourni lors du déplacement de cette particule est égal à la somme des<br />

énergies potentielles existant au point de départ et au point d’arrivée<br />

E- Les surfaces équipotentielles sont de plus en plus proches au fur et à mesure que l’on<br />

s’éloigne du centre<br />

Question 14.<br />

Quelle est la proposition fausse ?<br />

A- Un condensateur est constitué de plaques chargées symétriquement en charges<br />

positives et négatives<br />

B- Dans un condensateur le champ électrique entre les plaques est orienté de la plaque<br />

négative vers la plaque positive<br />

C- Dans un condensateur plan, le potentiel électrostatique diminue <strong>avec</strong> la distance de la<br />

plaque positive vers la plaque négative<br />

D- Lors de la charge d’un condensateur, la constante de temps correspond au temps mis<br />

pour que la charge atteigne 63% de sa valeur maximum<br />

E- Dans un oscilloscope l’accélération de la particule est le premier stade de la<br />

progression de la particule vers l’écran<br />

F- Le potentiel du moment dipolaire dépend de l’inverse du carré de la distance séparant<br />

le barycentre des charges du point où s’exerce le champ électrique<br />

G- Le champ créé à distance par un dipôle est proportionnel au gradient du potentiel<br />

8


Question 15.<br />

Quelle est la proposition fausse ?<br />

A- Dans le cas des canaux calciques, pour un potentiel de membrane de -60mV, le<br />

courant calcique est nul car le gradient électrochimique est nul<br />

B- On parle d’hyperpolarisation quand le potentiel de membrane passe<br />

de -60 mV à -84 mV<br />

C- Dans la méthode du potentiel imposé on mesure un courant et on maintient<br />

un potentiel<br />

D- En analysant les canaux sodium en potentiel imposé on observe une entrée de sodium<br />

quand le potentiel de membrane passe de -60 mV à 0 mV<br />

E- Le courant sodium s’estompe rapidement du fait de l’inactivation des canaux sodium<br />

F- Le courant sodium est lié à des canaux voltage dépendant<br />

9


Questions 16 à 20 : Le domaine de l’optique<br />

Question 16.<br />

Le schéma précédent présente plusieurs chemins lumineux à travers des milieux d’indice de<br />

réfraction différent :<br />

- chemin ABCDE, à travers les milieux matériels transparents n1, n2, n3 puis n1,<br />

- chemins (a), (b) dans le milieu n2,<br />

- chemins (c) dans le milieu n1, puis (d) dans le vide,<br />

- chemins (e) et (f) dans le milieu n3.<br />

10


Soient les propositions suivantes :<br />

1. Le trajet ABCDE existe<br />

2. Le trajet ABCDE implique n2 > n1 et n3 > n1<br />

3. Le trajet ABCDE implique n3 < n1 < n2<br />

4. Les trajets (a) et (b) existent<br />

5. Les trajets (c), (d), (e), (f) n’existent pas<br />

6. θ1 = θ4 = θ5<br />

7. Les vitesses V1, V2 et V3 de l’onde lumineuse respectivement dans les milieux<br />

matériels n1, n2 et n3 sont telles que V2 > V1 > V3<br />

Quelle est la combinaison de toutes les propositions exactes ?<br />

A : 1, 2, 4 et 6 B : 1, 3, 5 et 7 C : 2, 4, 5 et 7 D : 1, 4, 5 et 6<br />

E : 1, 3, 6 et 7 F : 1, 3, 4 et 6 G : Autre combinaison<br />

Question 17.<br />

Le tableau suivant correspond à l’étude de trois miroirs. Sur chaque ligne, propre à un miroir,<br />

se trouvent des données permettant de déduire les valeurs manquantes.<br />

Les distances sont exprimées en centimètres. Si une donnée est précédée d’un point<br />

d’interrogation (?), il faudra en déterminer le signe.<br />

Miroir Type f p p' grandissement Image Image<br />

transversal réelle ? renversée ?<br />

1 -10 1<br />

2 +10 +30<br />

3 -24 (?) 0,5 oui<br />

Soient les propositions suivantes :<br />

1. Les miroirs 1 et 2 donnent une image virtuelle droite<br />

2. Les miroirs 2 et 3 donnent une image réelle renversée<br />

3. Les miroirs 2 et 3 sont convexes<br />

4. Le miroir 3 est convergent<br />

5. L’image produite par les miroirs 2 et 3 est deux fois plus grande que l’objet<br />

6. Le miroir 1 est un miroir plan<br />

7. Les miroirs 1 et 2 donnent une image virtuelle<br />

8. Le miroir 2 est divergent<br />

Quelle est la combinaison de toutes les propositions exactes ?<br />

A : 2, 3, 4 et 6 B : 1, 2, 5 et 7 C : 1, 5, 6 et 8 D : 1, 3, 4 et 7<br />

E : 4, 6, 7 et 8 F : 2, 3, 5 et 8 G : Autre combinaison<br />

11


Question 18.<br />

Soit le schéma suivant représentant deux lentilles L1 et L2 séparées d’une distance D. Les<br />

points F1 et F2 sont respectivement les foyers de L1 et L2.<br />

Un objet réel est placé à gauche de la lentille L1. Soit p1 la position de cet objet. En<br />

considérant que l’image obtenue à travers L1 devient l’objet pour L2, déterminer, à l’aide des<br />

schémas de la page suivante, l’image définitive obtenue à travers le système formé par les<br />

lentilles L1 et L2 pour les trois situations données dans le tableau :<br />

Situation L1 L2 Condition<br />

1 convergente convergente |p1| < |f1|<br />

2 divergente convergente |p1| > |f1|<br />

3 divergente divergente |p1| < |f1|<br />

Quelle est la proposition exacte ?<br />

A. Les situations 2 et 3 donnent une image définitive renversée<br />

B. Les situations 1 et 2 donnent une image définitive droite<br />

C. Les situations 1 et 3 donnent une image définitive réelle<br />

D. Les situations 1 et 2 donnent une image définitive réelle et renversée<br />

E. Les situations 2 et 3 donnent une image définitive réelle et droite<br />

F. La situation 3 donne une image définitive virtuelle et renversée<br />

G. Toutes les propositions précédentes sont fausses<br />

12


Question 19.<br />

Soient les propositions suivantes :<br />

1. Lorsque deux ondes monochromatiques de pulsations différentes, issues de deux<br />

sources lumineuses S1 et S2, existent simultanément, on observe un phénomène<br />

d’interférences. L’éclairement en un point M de l’écran d’observation est alors égal à la<br />

somme de leur éclairement respectif.<br />

2. Deux vibrations lumineuses monochromatiques qui ont des amplitudes différentes<br />

donnent des éclairements différents.<br />

3. Deux ondes monochromatiques synchrones et sensiblement parallèles issues de deux<br />

sources lumineuses secondaires cohérentes S1 et S2 donnent un phénomène<br />

d’interférences. L’éclairement en un point M de l’écran d’observation est alors égal à :<br />

et étant les éclairements respectifs des deux ondes au point M lorsqu’elles<br />

existent seules et la différence de phase des deux ondes au point M.<br />

4. On parle de cohérence temporelle si les deux sources secondaires S1 et S2 sont atteintes<br />

au même instant par le même train d’onde.<br />

5. Les franges d’interférences sont destructives lorsque les deux vibrations arrivent en<br />

phase au point M sur l’écran, c’est-à-dire lorsque :<br />

où L2 - L1 représente la différence de marche des deux vibrations au point M et λ leur<br />

longueur d’onde.<br />

6. Les franges d’interférences lumineuses sont imparfaitement contrastées lorsque le<br />

contraste C est tel que 0 < C < 1.<br />

7. Les franges d’interférences lumineuses sont parfaitement contrastées lorsque les deux<br />

ondes monochromatiques issues des deux sources lumineuses secondaires cohérentes<br />

ont des amplitudes différentes.<br />

Quelle est la combinaison de toutes les propositions exactes ?<br />

A : 2, 3, 4 et 6 B : 1, 2, 4 et 6 C : 2, 3, 5 et 6 D : 3, 4, 5 et 7<br />

E : 2, 4, 6 et 7 F : 1, 4, 5 et 7 G : Autre combinaison<br />

14


Question 20.<br />

On considère le dispositif des fentes d’Young et l’on place devant chaque fente un tube de<br />

verre de longueur intérieure ℓ = 3 cm dont on négligera l’épaisseur des parois. On éclaire ce<br />

dispositif au moyen d’une lumière monochromatique de longueur d’onde λ = 660 nm.<br />

On dispose d’abord dans ces deux tubes de verre identiques de l’air sous pression<br />

atmosphérique (indice de l’air nA = 1,00029).<br />

On remplace ensuite, dans le tube placé devant F2, l’air par un gaz inconnu dont on veut<br />

déterminer l’indice de réfraction nG. On constate alors, sur l’écran d’observation, un<br />

déplacement du système de franges du côté de F2 correspondant à 22 interfranges.<br />

Soient les propositions suivantes :<br />

1. Lorsque les deux tubes sont remplis d’air (d’indice nA), l’expression littérale de la<br />

différence de marche des deux ondes au point M (d’abscisse x) sur l’écran est égale à :<br />

où a est la distance entre les deux fentes et D celle entre les fentes et l’écran.<br />

2. En présence de gaz dans l’un des tubes, la valeur de l’interfrange n’est pas modifiée.<br />

3. Lorsqu’on place le gaz dans le tube devant F2, la différence de marche des deux ondes<br />

au point M devient :<br />

4. Le déplacement des franges sur l’écran est alors égal à :<br />

5. L’expression littérale de la valeur de nG est :<br />

6. L’expression littérale de la valeur de nG est :<br />

7. L’expression littérale de la valeur de nG est :<br />

Quelle est la combinaison de toutes les propositions exactes ?<br />

A : 1, 2 et 7 B : 1, 3, 4 et 5 C : 1, 2 et 6 D : 1, 2, 3 et 5<br />

E : 1, 2, 4 et 7 F : 3, 4 et 6 G : Autre combinaison<br />

15


Réponses aux <strong>QCM</strong> de l’<strong>UE3</strong> 1 ère partie, décembre <strong>2010</strong> :<br />

1 C<br />

2 B<br />

3 E<br />

4 E<br />

5 G<br />

6 B<br />

7 D<br />

8 G<br />

9 D<br />

10 D<br />

11 B<br />

12 A<br />

13 A<br />

14 B<br />

15 A<br />

16 F<br />

17 E<br />

18 D<br />

19 A<br />

20 C<br />

16

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