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Afrique noire: sociétés ouvertes - unesdoc - Unesco

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Le Courrier<br />

des Lecteurs<br />

ET L'EDUCATION<br />

MUSICALE?<br />

A l'année 1953 de votre<br />

chronologie de I'<strong>Unesco</strong> (numéro<br />

de novembre 1991, «Un pacte<br />

planétaire»), vous n'avez pas<br />

indiqué, entre autres faits majeurs,<br />

la fondation, à Bruxelles, de la<br />

Société internationale pour<br />

l'éducation musicale (ISME). .<br />

C'est sans doute une omission<br />

involontaire...<br />

J. Lohmann<br />

Rêbénacq (France)<br />

L'ISME (International Society for<br />

Music Education) est née, en effet,<br />

en 1953, lors d'une Conférence<br />

internationale sur l'éducation<br />

musicale qui s'est tenue à<br />

l'initiative de ¡'<strong>Unesco</strong> et à laquelle<br />

ont participé des enseignants de<br />

quarante pays. Cette société vise,<br />

d'une part, à mieux intégrer<br />

l'éducation musicale dans<br />

l'enseignement général et la vie<br />

communautaire, et, d'autre part, à<br />

la stimuler en tant qu'activité<br />

professionnelle. Faute de place,<br />

nous ne pouvons donner, dans<br />

cette chronologie, qu'un résumé<br />

succinct des nombreuses activités<br />

menées par I'<strong>Unesco</strong> ou liées à<br />

celle-ci. Une version enrichie de<br />

cette chronologie de 45 années<br />

devrait paraître ultérieurement<br />

sous forme de livre.<br />

EDUCATION MEXICAINE<br />

Dans votre première chronique de<br />

l'histoire de I'<strong>Unesco</strong>, parue dans<br />

le numéro d'octobre 1991,<br />

«Enfances en péril», vous avez<br />

omis de mentionner, en 1947,<br />

certains faits importants.<br />

A la Conférence générale,<br />

Manuel Gual Vidal, qui deviendra<br />

par la suite ministre de l'éducation<br />

du Mexique, fut le premier à<br />

proposer un projet d'éducation de<br />

base. Approuvé en séance<br />

plénière, celui-ci fut mis en ruvre<br />

en 1948 dans une zone de l'Etat<br />

mexicain de Nayarit. Une<br />

expérience similaire eut lieu en<br />

même temps dans la région de<br />

Marbial, à Haïti.<br />

Cette expérience mexicaine est<br />

relatée, étape par étape, dans un<br />

livre extrêmement instructif pour '<br />

les enseignants, qu'ils soient du<br />

Mexique ou d'ailleurs: Santiago<br />

Ixcuintla par Mario Aguilera<br />

Dorantes et Isidro Castillo, Mexico<br />

1970.<br />

Je me doute que vous ne pouvez<br />

faire, dans cette chronologie si<br />

intéressante de 45 années, le<br />

détail de toutes les activités de<br />

I'<strong>Unesco</strong>. Mais sachant le rôle<br />

décisif et enrichissant que joue<br />

votre Organisation en matière<br />

d'éducation, notamment rurale, je<br />

tenais à ajouter cette précision.<br />

Maria Elena Guerra y Sanchez<br />

Pâtzcuaro (Mlchoacán), Mexique<br />

LA FEMME INVISIBLE<br />

J'ai été stupéfait de lire dans<br />

l'article de Perdita Huston,<br />

L'alliance des femmes avec la<br />

nature (à la page 15 du numéro<br />

de mars 1992, «Paroles de<br />

femmes»), que «les femmes (...)<br />

fournissent gratuitement, au foyer<br />

ou ailleurs, un travail sans salaire<br />

et donc sans valeur depuis la nuit<br />

' des temps».<br />

C'est insensé! Ce travail<br />

entièrement gratuit que font les<br />

femmes, en particulier au foyer, a,<br />

au contraire, une valeur<br />

inestimable!<br />

Comment peut-on écrire une<br />

pareille énormité?<br />

G. Sirven<br />

Salnt-Cêré (France)<br />

Si Perdita Huston avait écrit une<br />

telle chose, votre indignation serait<br />

entièrementjustifiée. Mais il n'en<br />

est rien. Elle va, en fait, dans le<br />

même sens que vous. Dans le<br />

passage en question, elle met en<br />

accusation ceux qui considèrent ce<br />

travail non rémunéré des femmes<br />

comme un «don« naturel, et qui<br />

refusent de le prendre en compte,<br />

le jugeant «sans valeur». Le .<br />

Courrier a consacré à ce sujet<br />

tout ce qui étouffe l'importance du<br />

rôle économique des femmes<br />

dans la société un numéro<br />

entier, au titre significatif: «La<br />

femme invisible» (juillet 1980).<br />

CITOYENNE DU MONDE<br />

Fidèle lectrice du Courrier de<br />

I'<strong>Unesco</strong>, je tiens à vous féliciter<br />

pour la qualité de votre revue que<br />

je dévore chaque mois avec,<br />

curiosité, enthousiasme et plaisir.<br />

Plongée au sein du microcosme<br />

pluri-ethnique que constitue l'île de<br />

. la Réunion (peut-on rêver nom plus<br />

joliment évocateur?), je suis<br />

particulièrement sensible à la<br />

diversité, la complémentarité et la<br />

richesse des documents ,.'<br />

iconographiques, informations et-<br />

points de vue rassemblés par vos<br />

soins.<br />

Je vous encourage à continuer'<br />

d'nuvrer dans le sens d'une plus;<br />

grande connaissance et d'une<br />

meilleure compréhension des<br />

peuples entre eux.<br />

Sylvie Buren<br />

La Ravlne-des-Cabris (La Réunion)<br />

AVIS AUX AMATEURS<br />

DU COURRIER<br />

Lecteur depuis de nombreuses<br />

années du Courrier de I'<strong>Unesco</strong>, qui<br />

offre une ouverture exceptionnelle<br />

sur le monde, sur les autres, et<br />

travaille à rapprocher les hommes<br />

par cette valeur, noble entre<br />

toutes, qu'est le savoir, je . ,<br />

recherche, afin de compléter ma<br />

collection, les numéros suivants: "<br />

juillet-août 1956, octobre 1960,<br />

janvier, avril, et juillet-août 1962,<br />

avril 1965, mai 1968 et janvier<br />

1982.<br />

De plus, je propose 113<br />

exemplaires du Courrier de<br />

I'<strong>Unesco</strong> queje possède en<br />

double, s'échelonnant de 1964 à<br />

1980 (dont les collections<br />

complètes de 1976 et 1978).<br />

Harold Labesse<br />

12, avenue Benolst Lévy<br />

94160 Saint-Mandé (France)<br />

PETRA: LE TRESOR DU<br />

PHARAON<br />

Conférencière de voyages<br />

culturels, je connais bien Pétra et<br />

je suis heureuse que vous ayez<br />

consacré un article à ce site<br />

admirable (dans votre numéro de<br />

janvier 1992, «L'enjeu<br />

démographique»).<br />

Mais vous avez fait, dans la<br />

photo de la page 47, une erreur<br />

d'identification. Contrairement à<br />

ce qu'affirme votre légende, ce<br />

monument n'est pas le Tombeau<br />

aux obélisques, mais le Khazné<br />

Firaoun (le «Trésor de Pharaon»),<br />

le plus important et sans doute le<br />

plus beau monument du site.<br />

Lectrice fidèle et attentive de<br />

votre revue depuis vingt ans, je me<br />

devais de vous signaler cette<br />

erreur.<br />

Monique Tillot<br />

L'Escarène (France)<br />

CORRECTIF<br />

Deux erreurs regrettables se<br />

sont glissées dans l'article<br />

d'Annick Tréguer, «Les murs chí¬<br />

canos parlent», que nous avons<br />

publié à la page 22 de notre<br />

numéro «Les arts de la rue»<br />

(avril 1992). Dans la citation ini¬<br />

tiale il fallait lire évidemment<br />

«East Los Angeles», le quartier-<br />

ghetto dépourvu de musée, et<br />

non «Los Angeles». Quant à la<br />

photo du bas de la page 24, elle<br />

ne montre pas Estrada Courts<br />

(East Los Angeles), mais bien<br />

Chicano Park à San Diego. Nous<br />

présentons nos excuses à<br />

l'auteur et à nos lecteurs.

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