29.06.2013
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MVS • ET • RE • MILITARIS • PERITISSIMVS HABITVS • EST • PRINCEPS • IN • SENATVM DVOBVS • LVSTRIS • LECTVS • EST
APPENDICE F. — DE L'ART DE L'ATTAQUE ET DE LA DÉFENSE DES PLACES DANS L'ANTIQUITÉ. Un exposé sommaire des méthodes poliorcétiques en usage dans l'antiquité devait nécessairement trouver place à la suite des premières pages d'une Histoire d'Annibal, attendu que cette histoire militaire s'ouvre, en Espagne, par plusieurs sièges importants : ceux de Cartéja, d'Arbocala, de Salamanque, de Sagonte ; et que, plus tard, durant leur longue occupation de la péninsule italique, les Carthaginois seront sans cesse contrariés dans leur marche par la fermeté des places fortes et des postes. Le lecteur qui se proposerait de faire de la question une étude approfondie aurait à consulter, parmi les Grecs : Polybe1, Josèphe2, Athénée, Biton, Héron, Philon et Apollodore. M. C. Wescher, attaché au département des manuscrits de la Bibliothèque impériale, vient de publier3 une Poliorcétique des Grecs, comprenant : la Mécanique militaire d'Athénée, la Construction des machines de guerre et des catapultes de Biton, la Bélopée et la Chirobaliste de Héron, la Poliorcétique d'Apollodore. Ces divers traités sont suivis des écrits de l'anonyme inédit de Bologne, qui nous a laissé un grand nombre d'extraits et d'analyses méthodiques des ouvrages d'Athénée, de Biton, de Philon, d'Apollodore. C'est ce dernier auteur que l'anonyme semble avoir étudié de préférence. Polybe, nous le savons, est né vers la fin de la deuxième guerre punique ; Athénée, Biton, Héron et Philon appartiennent à la grande période alexandrine4 ; par conséquent, les ouvrages de ces cinq savants, illustres à des titres divers, renferment tous les principes de l'art de l'attaque et de la défense des places au temps d'Annibal. Quant à Josèphe, il est du siècle de Vespasien, et Apollodore, de celui d'Adrien. Les auteurs latins nous ont aussi laissé des documents précieux touchant l'art poliorcétique. On ne lira pas sans intérêt Tite-Live5, Quinte-Curce6 et Jules César7 ; et l'on trouvera dans Végèce et dans Vitruve8 d'excellents passages, confirmant de tous points les théories des Grecs. Citons enfin, chez les modernes, Joly de Maizeroy, le père Daniel9 et l'empereur Napoléon III10. 1 Polybe, IX, fragm. XLI : siège d'Echine par Philippe ; XVI, fragm. XXIX-XXXIV : siège d'Abydos, aussi par Philippe ; VIII, fragm. V-IX : siége de Syracuse par Marcellus. — Le lecteur fera sagement de n'accepter que sous bénéfice d'inventaire les conclusions du chevalier Folard (Histoire de Polybe de dom Thuillier, avec un Commentaire de M. de Folard, Amsterdam, 1753). 2 Josèphe, Guerre des Juifs, IV, V : siège de Gamala par Vespasien. 3 Imprimerie impériale, Paris, 1867. 4 La période alexandrine se limite aux siècles d'Alexandre et d'Auguste. 5 Tite-Live, XXXVIII : siège d'Ambracie (189 av. J. C). 6 Quinte-Curce, IV : siège de Tyr (334 av. J.C.). 7 Jules César, De Bello civili : siège de Marseille. 8 Vitruve, X. — Cet auteur a traduit ou analysé les Grecs. Son texte n'est souvent qu'un calque de celui d'Athénée. 9 Le père Daniel, Histoire de la milice française. 10 Œuvres et Histoire de Jules César, passim.
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HISTOIRE D'ANNIBAL PAR LE COMMANDAN
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LIVRE DEUXIÈME. — CARTHAGE AU TE
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LIVRE PREMIER. — TEMPS DE CARTHAG
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La Phénicie n'était pas, à propr
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En Orient, ils se répandaient dans
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Les Phéniciens colonisaient pour s
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commerçants amenés à soutenir de
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partie de l'Espagne, la colonisatio
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part, conviant à de brillantes des
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CHAPITRE III. — FONDATION DE CART
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surface tranquille, des montagnes a
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La Byrsa fut fortifiée dès sa fon
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de la protéger, une marine marchan
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composent de blocs de grandes dimen
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sens ; enfin le versant septentrion
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Varron tire de λέψ, vent du sud-
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mer. Le plus considérable de tous
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des villes1, qu'habitaient des nati
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elégués au second plan, n'ont plu
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CHAPITRE V. — SPLENDEUR DE L'EMPI
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invitait à y créer de vastes expl
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Circéens, les Terraciniens, enfin
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Le souvenir des Philènes et de leu
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golfe appelé la Corne du Sud. Dans
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CHAPITRE VI. — LUTTES DE CARTHAGE
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Si les Carthaginois prennent quelqu
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obtient d'incroyables succès. Il p
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Les guerres de Sicile, dont nous ve
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Le sénat de Rome eut de longues et
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Jusqu'alors, le sénat s'était pro
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Les deux Républiques ont besoin de
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C'est ainsi qu'en 250, après avoir
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CHAPITRE VIII. — AMILCAR BOU-BARA
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emarquables, car, du fronton de l'
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la montagne et d'un autre poste à
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frein, et leurs mobiles éperons (r
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CHAPITRE IX. — GUERRE DE LIBYE. A
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d'emmener avec eux leurs femmes, le
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leurs généraux de Sicile, le brav
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vue de l'ennemi le paralysait total
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de siège d'Utique lui envoyait en
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leur coupe les mains, on les mutile
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Dès que tous les mercenaires furen
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Carthage était épuisée. Sur-le-c
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CHAPITRE X. — FONDATION DE CARTHA
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d'excellentes troupes d'infanterie
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Après la ruine de Troie (1270)1, q
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privés de l'appui de la métropole
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Asdrubal se trouvait en Espagne lor
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Ces conditions, acceptées par Asdr
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cinq membres. Ces πενταρχί
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CHAPITRE II. — SITUATION INTÉRIE
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Viennent ensuite les Lotophages et
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Cette chaîne non interrompue de co
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tributaires tous les peuples d'Afri
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sur sa base, sans espoir de retrouv
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CHAPITRE III. — FINANCES. La dire
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à Rome une contribution de guerre
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immense quantité de traits et de j
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En terminant cet aperçu, qui laiss
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CHAPITRE V. — MARINE. Tout Etat d
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de mouches, un certain nombre de ca
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navires carthaginois qu'une largeur
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Jusqu'alors, dit Polybe1, son royau
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Le docteur Barth a, de son côté,
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Les marchés du Soudan étaient, al
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suivre une voile carthaginoise. Mai
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Byrsa par ces rues, où il se défe
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Ce qui donne surtout une haute idé
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Ainsi, en Europe comme en Afrique,
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CHAPITRE X. — RELIGION ET MŒURS
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Les liens de la famille étaient fo
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il importe de fouiller sans relâch
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CHAPITRE XII. — CONCLUSION. L'esq
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LIVRE TROISIÈME. — ANNIBAL EN ES
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Asdrubal, de son côté, avait depu
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de sa fortune parce seul fait, qu'i
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Doué d'une force d’âme invincib
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moulure gracieuse. De riches anneau
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Charles XII, qui se contentait d'un
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L'avarice ! Polybe lui-même ne cra
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La perfidie ! Les Romains ne craign
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par la grandeur de la cause. Enché
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ives du haut Duero. La distance à
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gauche y étaient écrasés par les
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Montaigne1 avait dit : A peine est-
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monde que Rome, alors, ne pouvait p
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ives du Rhône et du Palencia. Depu
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d'excellents esprits, disciples de
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Pyrénées et les Alpes. Telle est
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sens. Quelques partisans des Barca,
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dimensions. De ce côté, d'ailleur
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eçut à la cuisse1 un trait (tragu
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Un incident inattendu parut un inst
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faut pas oublier non plus que, à s
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que celles mêmes de l'envoyé roma
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or, à la date de la signature, les
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vers laquelle on marchait ; une des
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Lorsqu'on tient l'Italie septentrio
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L'entrée en est couverte par les p
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Les Alpes maritimes décrivent, du
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Deux mille ans plus tard, le géné
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cours, de 480 kilomètres, est gén
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l'offensive, passèrent le Pô et s
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le nom de Celto-Ligurie ; c'était
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politiques conformes à son caract
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CHAPITRE V. — L'ARMÉE D'ITALIE.
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légionnaires. En somme, des gens s
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général enfermait sous sa tente l
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Fut-il aussi créé des hôpitaux m
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vraisemblablement besoin d'être do
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variées en astronomie, en météor
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Après la légion carthaginoise mar
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Turcos. Aussi pouvons-nous sans cra
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moment du combat1, et, malgré la d
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jours d'assaut qu'ils rendaient les
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en Italie, en Afrique et aux îles
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La cavalerie légère se recrutait
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Annibal disposait d'une force parti
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Cette armée, diminuée de près de
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Annibal l'installa dans ces fonctio
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izarres. Entassement presque inform
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descend normalement sur l'Èbre, à
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L'Alga descend du massif de Nostra-
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En résumé, la Catalogne est une p
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mais voici venir la divergence : l'
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disposition une petite armée de 10
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mécomptes qui peuvent attrister le
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En résumé, la route suivie par ce
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(Pyrénées-Orientales), ni de la b
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pied des hauteurs de Saint-Elme, el
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CHAPITRE II. — MARCHE D'ANNIBAL D
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Voilà tout ce que Polybe et Tite-L
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le camp d'Annibal sur le Rhône ét
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Roquemaure, et cette ligne représe
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obstacle sérieux : aussi arriva-t-
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CHAPITRE III. — PASSAGE DU RHÔNE
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Mais tous les obstacles n'étaient
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frêles embarcations. Outre les che
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une torche à la main, les travaux
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jusqu'à l'Isère1, et là, faire u
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d'Annibal1 ; mais il est démontré
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écits de Polybe et de Tite-Live, m
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servi de pâture au parallèle, un
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APPENDICE B. — NOTES SUR CARTHAGE
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femmes dans le lit nuptial ; et, sa
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siècle jusqu'à la ruine de Cartha
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7° classe. — Buste de cheval. R,
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Le cheval ailé représente Pégase
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Le poids est généralement faible,
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Ces renseignements, si intéressant
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exploitait par la méthode dite des
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ciel ouvert1. Établi, comme la pre
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Daux, révoquant en doute l'exactit
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APPENDICE E. — NOTICE ICONOGRAPHI
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Il faut également considérer comm
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extrêmement gros, pour l'ordinaire
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névrobalistiques1. Les criophores
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Pour ouvrir une brèche, les mineur
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En terminant, nous émettons le vœ
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exposer ce qu'il a vu, de ses yeux,
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souvenir des prophètes, des races
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lesquels le Tombeau de la Chrétien
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Les Imazir'en ne sont point des Sé
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ace. Dans cet ordre d'idées, nous
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désigne ordinairement sous le nom
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