universite toulouse iii - paul sabatier - desc orthopedie
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comparaison avec les séries de la littérature qui, pour la plupart se sont fixées ce délai pour<br />
juger de l’efficacité de leur technique chirurgicale conservatrice. La mise en place d’une PTH<br />
moins de deux ans après la réalisation du forage / greffe spongieuse correspondait à un<br />
événement traduisant l’échec de celui-ci. L’absence de réintervention à 2 ans était considéré<br />
comme un succès. Le paramètre durée de forage ( ou survie du forage ) nous paraissait aussi<br />
fondamental. Elle correspond au temps écoulé entre l’intervention et la dernière consultation<br />
de revue pour les patients qui vont bien et, en cas d’échec, entre le forage et l’arthroplastie de<br />
hanche.<br />
Un suivi régulier des patients en consultation à 3, 6, 12 et 24 mois avec un bilan clinique et<br />
radiographique standard (hanche face / profil / face 30° flexion) a permis de juger de<br />
l’évolution clinique et radiographique de l’ostéonécrose (stabilité / aggravation).<br />
Un courrier adressé aux 265 patients pris en charge pour ostéonécrose non traumatique<br />
pendant la période d’inclusion (cf. annexes) a permis d’étudier au mieux les principaux<br />
facteurs de risque mais aussi le score fonctionnel et de satisfaction du traitement dans le<br />
groupe à succès (score de womac). Nous nous sommes particulièrement intéressés au<br />
tabagisme qui nous semblait très fréquent chez nos patients porteurs d’ostéonécrose.<br />
Nous avons eu 72 % de réponses dans la série globale et 80 % parmi la série étudiée. Il n’y a<br />
aucun perdue de vue dans la série forage et greffe spongieuse.<br />
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