Pratiques langagières de jeunes urbains : peut-on parler de «parler» ?

MELLIANI, F. (2000) : La langue du quartier. Appropriation <strong>de</strong> l’espace et i<strong>de</strong>ntité
urbaine chez <strong>de</strong>s <strong>jeunes</strong> issus <strong>de</strong> l’immigration maghrébine en banlieue rouennaise,
Paris, L’Harmattan.
MOÏSE, C. (2002) : «<strong>Pratiques</strong> <strong>langagières</strong> <strong>de</strong>s banlieues : où sont les femmes ?», in
VEI-Enjeux n° 128, pp. 46-61.
RUBI, S. (2003) : «Les comportements ‹déviants› <strong>de</strong>s adolescents <strong>de</strong>s quartiers
populaires : être ‹crapuleuse›, pourquoi et comment», in Travail, genre et société, n°
9, Paris, L’Harmattan, pp. 39-70.
SOURDOT, M. (2002) : «L’argotologie : entre forme et fonction », in La linguistique,
Vol. 38, pp. 25-39.
STEWART, Ch. & FAGYAL, Zs. (2004) : «Engueula<strong>de</strong> ou énumération ?
Attitu<strong>de</strong>s envers les contours intonatifs enregistrés dans ‹les banlieues»,
communication au colloque Situations <strong>de</strong>s banlieues : enseignement, langues,
cultures, Cergy-Pontoise, 24-25 novembre 2004.
TRIMAILLE, C. (2003a) : «Variations dans les pratiques <strong>langagières</strong> d’enfants et
d’adolescents dans le cadre d’activités promues par un centre socioculturel, et
ailleurs…», in Cahiers du français contemporain, n° 8, pp. 131-161.
– , (2003b) : Approche sociolinguistique <strong>de</strong> la socialisation langagière
d’adolescents, Thèse <strong>de</strong> doctorat, Université Stendhal – Grenoble III.