ECOLE DOCTORALE ABIES THESE
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Institut National Agronomique Paris-Grignon<br />
<strong>ECOLE</strong> <strong>DOCTORALE</strong> <strong>ABIES</strong><br />
<strong>THESE</strong><br />
présentée par<br />
Christel LEYRONAS<br />
pour l'obtention du grade de Docteur<br />
de l' Institut National Agronomique Paris-Grignon<br />
Spécialité : Phytopathologie<br />
AVANCEES DANS LA COMPREHENSION<br />
DES NEOTYPHODIUM ET EPICHLOE, CLAVICIPITACEES ENDOPHYTES<br />
DES GRAMINEES FOURRAGERES ET À GAZON.<br />
METHODES DE LUTTE.<br />
Soutenue le 26 mai 2005<br />
Président B. TIVOLI Ingénieur de Recherche, INRA Rennes<br />
Rapporteurs J.L. NOTTEGHEM Professeur ENSA.M<br />
Y. BARRIERE Directeur de Recherches, INRA Lusignan<br />
Examinateurs G. RAYNAL Professeur INA-PG<br />
J.M. SENG Maître de Conférences Université Paris-Sud,<br />
Directeur Biotransfer<br />
G. SICARD Directeur Technique FNAMS<br />
INRA, UMR Epidémiologie végétale et écologie des populations, 78850<br />
Thiverval-Grignon
REMERCIEMENTS<br />
En Ardèche (où je suis née) on a une devise : "Mountaren tan que pourren" (Nous<br />
monterons tant que nous pourrons). Cette devise ne trahit pas une pensée carriériste mais une<br />
volonté de bien faire, autant que l'on peut.<br />
Parmi les ardéchois célèbres qui ont essayé de faire au mieux, on trouve d'illustres<br />
ancêtres, très doués en peintures rupestres, qui décoraient les grottes des gorges de l'Ardèche.<br />
A une autre époque, il y a eu aussi Olivier de Serres qui a participé à l'évolution de<br />
l'agronomie (non, non, cete thèse n'est pas sponsorisée par l'Ofice du tourisme…).<br />
Bien modeste est ma contribution comparée aux leurs. J'ai cependant essayé de faire<br />
au mieux avec ces drôles de bestioles répondant aux doux noms de Neotyphodium et<br />
d'Epichloe, qui cachent des trésors de complexité. Force est de constater que pour monter tant<br />
qu'on peut, il faut être bien entouré. J'ai l'occasion sur cette page de remercier les personnes<br />
qui m'ont accompagnée dans ce cheminement qu'est une thèse.<br />
L'idée de faire une thèse fut lancée au détour d'une conversation. J'avoue, au début je<br />
n'y ai pas cru. Aujourd'hui je mesure combien il était important d'aller au bout. Ainsi je veux<br />
témoigner mon immense gratitude au Professeur Guy Raynal qui m'a poussée à me lancer<br />
dans cette aventure, qui m'a guidée, conseillée et accompagnée jusqu'au bout. Je remercie<br />
aussi vivement la Professeur Claire Neema qui m'a accueillie dans son laboratoire, et avec<br />
Igor Pucheu, encadrée pour la biologie moléculaire.<br />
Je remercie également les membres du jury Mrs Y. Barrière, J.L. Notteghem, J.M.<br />
Seng, G. Sicard, et B. Tivoli, d'avoir accepté de consacrer un peu de leur temps pour me<br />
permettre de finaliser cette expérience professionnelle.<br />
A coté de l'INRA, j'ai une deuxième famille professionnelle que je veux<br />
chaleureusement remercier : Jean Paul Janson, Benoit Mériaux, François Deneufbourg, et<br />
Louis Marie Broucqsault de la FNAMS. Je dois leur dire à quel point j'ai apprécié leur<br />
gentillesse, leur disponibilité, les échanges que nous avons eus et les sorties sur le terrain.<br />
Enfin, je n'oublie pas le CETIOM qui m'a permis de réaliser des expériences de<br />
biologie moléculaire dans ses locaux.<br />
Les graminées et les légumineuses c'est sympa mais ça n'a pas beaucoup de<br />
conversation alors je remercie affectueusement mes amis pour leur présence et leur<br />
bienveillance et ainsi, bien que déracinée, je ne me suis pas complètement étiolée : Estelle,<br />
Christine, Corinne et Olivier, Alban et Isabelle, Delphine, Samuel, Christelle, Sandrine.<br />
Enfin, là bas, sous le mistral il y a ma famille et mes racines. Bien des fois les petits et<br />
les grands m'ont manqué et ils me manquent tous encore. Pouvoir les retrouver de temps en<br />
temps avec une cure de ciel bleu et de cigales est un remontant particulièrement efficace.<br />
Je remercie particulièrement Georges et Marie Rose qui ont été très importants sur le<br />
chemin vers la vie professionnelle. Je remercie mon frère pour avoir été le témoin bienveillant<br />
de mes grains de folie. Et enfin je voudrais dire à mes parents combien leurs encouragements<br />
et leur soutien ont toujours été mon moteur pour aller de l'avant. Voilà, j'espère que la fin de<br />
cette thèse s'accompagnera d'autres changements. Ceci étant accompli, construisons un autre<br />
chapitre de vie….<br />
Et si je commençais par trouver une grotte ardéchoise pour y peindre quelques<br />
mycéliums endophytes?
LISTE DES PUBLICATIONS EN RAPPORT AVEC LA <strong>THESE</strong> PRESENTEE<br />
REVUES SCIENTIFIQUES<br />
C. LEYRONAS, G. RAYNAL, 2002. Presence of Neotyphodium-like endophytes in<br />
European grasses, Annals of Applied Biology 139: 119-127<br />
C. LEYRONAS, B. MERIAUX, G. RAYNAL, 2005. Chemical control of Neotyphodium sp.<br />
endophytes in perennial ryegrass and tall fescue seeds. (accepté le 28/03/05, Crop Science)<br />
COMMUNICATIONS A CONGRES<br />
C. RAVEL, J.J. GUILLAUMIN, A. DURIX, G. RAYNAL, C. LEYRONAS, S. BONY,<br />
1999. Recherches effectuées à l'INRA sur les champignons endophytes des graminées<br />
fourragères. Rencontres des Microbiologistes de L'INRA , 7-9 avril 1999, Dourdan<br />
C. LEYRONAS, C. GEORGET, G. RAYNAL, 2000. Recherche du mode de transmission<br />
d'Epichloe typhina, agent de la maladie de la quenouille du dactyle (Dactylis glomerata).<br />
AFPP 6è Conf. Intern. Maladies des Plantes (Tours, 6,7,8, déc. 2000)<br />
C. LEYRONAS, G. RAYNAL, 2002. Artificial contamination of orchardgrass by Epichloe<br />
typhina, the agent of choke disease. Multi-function Grasslands Conference, EGF La Rochelle<br />
may 2002<br />
B. MERIAUX, C. LEYRONAS, F. DENEUFBOURG, 2002. Effect of fungicides and heat<br />
treatment on seed germination of endophyte infected perennial ryegrass. Multi-function<br />
Grasslands Conference, EGF La Rochelle May 2002<br />
C. LEYRONAS, G. RAYNAL, 2003. Les différents types de spores chez Epichloe typhina et<br />
leurs rôles respectifs. Journées du réseau mycologie. SFM Nancy janvier 2003<br />
C. LEYRONAS, C. NEEMA, G. RAYNAL, 2003. Mise au point d’une technique de<br />
détection biomoléculaire d'Epichloe typhina, champignon responsable de la quenouille du<br />
dactyle. AFPP 7 e Conf. Intern. Maladies des Plantes (Tours, déc. 2003).<br />
B. MERIAUX, C. LEYRONAS, F. DENEUFNOURG, 2003. Efficacité de traitements de<br />
semences et d'une thermothérapie contre le Neotyphodium du ray-grass. AFPP 7 e Conf. Intern.<br />
Maladies des Plantes (Tours, déc. 2003).<br />
C. LEYRONAS, 2004. Sur la piste du mode de pénétration d’Epichloe typhina dans le<br />
dactyle. Journées Jean Chevaugeon (Aussois, jan. 2004).
ABREVIATIONS<br />
FNAMS : Fédération Nationale des Agriculteurs multiplicateurs de Semences<br />
CTPS : Comité Technique Permanent de la Sélection<br />
PCR : Polymérase Chain Reaction<br />
E+ : plante ou organe végétal endophytés<br />
E- : plante ou organe végétal non endophytés<br />
TEi : teneur initiale en eau<br />
CREDIT PHOTOGRAPHIQUE :<br />
Toutes les photos réalisées par C. Leyronas sauf exceptions dûment mentionnées.<br />
Photos MEB : C. Leyronas et N. Wolff (UR 251 Sciences du Sol, INRA Versailles)<br />
DESSINS :<br />
page 142, tous les dessins réalisés par G. Raynal.
SOMMAIRE<br />
AVANT PROPOS 1<br />
PARTIE I : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE<br />
I- LES GRAMINEES FOURRAGERES ET A GAZON<br />
I.1 IMPORTANCE DES GRAMINEES FOURRAGERES ET A GAZON 3<br />
I.2 MORPHOLOGIE 4<br />
I.3 LES TYPES DE CONDUITE 4<br />
I.4 LES MALADIES DES GRAMINEES FOURRAGERES ET A GAZON 6<br />
II- LES EPICHLOE ET LES NEOTYPHODIUM<br />
II.1 HISTORIQUE 7<br />
II.2 DISTRIBUTION 8<br />
II.3 TAXONOMIE 8<br />
II.3.1 Les genres Epichloe et Neotyphodium 9<br />
II.3.2 Le continuum Epichloe-Neotyphodium, du parasitisme au mutualisme 10<br />
II.4 LA DETECTION DES ENDOPHYTES DES GRAMINEES<br />
II.4.1 Techniques histologiques 11<br />
II.4.2 Immunologie 12<br />
II.4.3 Biologie moléculaire 13<br />
III- LA QUENOUILLE DU DACTYLE<br />
III.1 SYMPTOMES ET DISSEMINATION DU CHAMPIGNON 13<br />
III.2 LA MALADIE AU CHAMP<br />
III.2.1 L'évolution au cours du temps 18<br />
III.2.2 Incidence de la maladie en culture de dactyle porte-graine 19<br />
III.2.3 Essais de lutte<br />
a) Lutte chimique 19<br />
b) Lutte prophylactique 20<br />
III.3 LA PENETRATION D'E. TYPHINA DANS LES PLANTES<br />
III.3.1 Pénétration par les plaies de coupe 21<br />
III.3.2 Pénétration par les inflorescences 21<br />
IV- LA SYMBIOSE NEOTYPHODIUM/GRAMINEES<br />
IV.1 PRESENTATION DE L'ASSOCIATION MUTUALISTE GRAMINEES-NEOTYPHODIUM 23<br />
IV.2 LES MYCOTOXINES 25<br />
IV.2.1 Avantages des mycotoxines –Action sur les Invertébrés 25<br />
IV.2.2 Inconvénients des mycotoxines pour les élevages- Action sur les Vertébrés 26<br />
IV.3 EFFETS DES ENDOPHYTES SUR LA CULTURE 27<br />
IV.4 REGLEMENTATION 28<br />
IV.5 ESSAIS DE LUTTE CONTRE LES NEOTYPHODIUM SPP.<br />
IV.5.1 Lutte chimique 28<br />
a) Traitements en végétation 29<br />
b) Traitements de semences 29<br />
IV.5.2 Thermothérapie 29<br />
V- RECAPITULATIF 30<br />
VI- OBJECTIFS DE L'ETUDE 31
PARTIE II : ELEMENTS DE LA BIOLOGIE<br />
ET DE L'EPIDEMIOLOGIE D'E. TYPHINA<br />
INTRODUCTION 32<br />
CHAPITRE 1 : BIOLOGIE DES SPORES D'E.TYPHINA<br />
I. MATERIEL ET METHODES<br />
I.1 OBTENTION DES SUSPENSIONS DE SPORES<br />
I.1.1 Conidies de culture pure 33<br />
I.1.2 Spermaties de quenouilles blanches 33<br />
I.1.3 Ascospores 33<br />
I.1.4 Conidies isues d’ascospores 33<br />
I.2 COMPORTEMENT DES SPORES SUR MILIEUX ARTIFICIELS<br />
1.2.1 Cinétique de germination 34<br />
a) conidies de culture pure et spermaties 34<br />
b) ascospores 34<br />
1.2.2 Influence de la nutrition sur la germination des spores 34<br />
I.3 COMPORTEMENT DES SPORES DANS ET A LA SURFACE DES TISSUS VEGETAUX<br />
I.3.1 Spermaties 35<br />
I.3.2 Ascospores<br />
a) Injection dans des tissus 35<br />
b) Dépôt sur organes végétaux 35<br />
I.3.3 Conidies 36<br />
I.4 RESISTANCE ET CONSERVATION DES SPORES ET DU MYCELIUM<br />
I.4.1 Spermaties 36<br />
I.4.2 Ascospores 36<br />
I.4.3 Mycélium 36<br />
II. RESULTATS ET DISCUSSION<br />
II.1 COMPORTEMENT DES SPORES SUR DES MILIEUX ARTIFICIELS<br />
II.1.1 Comportement des conidies de culture pure et des spermaties<br />
a) Cinétique de germination 37<br />
b) Influence de la nutrition sur la germination des conidies et des spermaties 37<br />
II.1.2 Comportement des ascospores<br />
a) Cinétique de germination des ascospores 38<br />
b) Influence des sources nutritionnelles sur la germination des ascospores 38<br />
I.1.3 Comportement des conidies isues d’ascospores en milieux artificiels 39<br />
II.2 COMPORTEMENT DES SPORES DANS ET SUR LES TISSUS VEGETAUX<br />
II.2.1 Spermaties 39<br />
II.2.2 Ascospores<br />
a) Injection dans la moelle de tige 40<br />
b) Dépôt sur organes végétaux 40<br />
I.2.3 Conidies isues d’ascospores 41<br />
II.3 RESISTANCE ET CONSERVATION DES SPORES ET DU MYCELIUM<br />
II.3.1 Spermaties 51<br />
II.3.2 Ascospores 51<br />
II.3.3 Mycélium endophyte 51<br />
III. DISCUSSION SUR LA BIOLOGIE DES SPORES 52<br />
CHAPITRE 2 : CONTRIBUTION A LA CONNAISSANCE DE L’EPIDEMIOLOGIE<br />
D’E.TYPHINA<br />
I. OBSERVATIONS DE TERRAIN 54<br />
I-1TRANSMISSION D'E. TYPHINA PAR LES SEMENCES? 54<br />
I-2 INFLUENCE DU PARCOURS CULTURAL SUR L'EXTENSION DE LA QUENOUILLE? 55<br />
I-3 INFECTION A PARTIR DES PARCELLES VOISINES? 55
II. LES EPIS PARTIELLEMENT QUENOUILLES 56<br />
II.1 MATERIEL ET METHODES<br />
II.1.1 Récolte des épis 56<br />
II.1.2 Détermination de la faculté germinative 56<br />
II.1.3 Mise en évidence d'E. typhina dans les semences et les plantes 57<br />
II.1.4 Détermination de la viabilité du mycélium endophyte 58<br />
II.2 RESULTATS<br />
II.2.1 Facultés germinatives 58<br />
II.2.2 Présence d'Epichloe dans les semences et les plantes 59<br />
II.2.3 Viabilité du mycélium endophyte 61<br />
II.3 DISCUSSION 61<br />
II.4 CONCLUSION 62<br />
PARTIE III : MISE AU POINT D'UNE TECHNIQUE DE DETECTION BIOMOLECULAIRE<br />
INTRODUCTION 63<br />
I- MATERIEL ET METHODES<br />
I.1 OBTENTION DE MYCELIUM<br />
64<br />
I.2 EXTRACTION D'ADN<br />
I.2.1 Extraction au CTAB 64<br />
I.2.2 Extraction au SDS 64<br />
I.3 AMPLIFICATION DE MICROSATELLITES<br />
I.3.1 Amorces MS 65<br />
I.3.2 Amorces B4 65<br />
I.3.3 Mélanges réactionnels et cycles PCR<br />
a) Mélanges réactionnels 65<br />
b) Cycles PCR 66<br />
I.3.4 Optimisation de la PCR sur ADN issu de mycélium de culture pure<br />
I.3.5 Optimisation de la PCR sur extraits végétaux 66<br />
a) Additifs 66<br />
b) Dilution des extraits 67<br />
I.4 ECHANTILLONS VEGETAUX<br />
I.4.1 Echantillons de dactyle 67<br />
I.4.2 Echantillons de ray-grass anglais et de fétuque élevée 68<br />
I.5 QUANTIFICATION ET VISUALISATION DE L'ADN 68<br />
II- RESULTATS<br />
II.1 EXTRACTION SUR MYCELIUM ISSU DE CULTURE PURE ET TISSUS VEGETAUX<br />
II.1.1 A partir de mycélium 68<br />
II.1.2 A partir de tissus végétaux 68<br />
II.2 SPECIFICITE DES AMORCES<br />
II.2.1 Amorces MS<br />
a) Températures d'hybridation 69<br />
b) Quantité d'ADN matrice 69<br />
c) Concentration en MgCl2 69<br />
II.2.2 Amorces B4<br />
a) Températures d'hybridation 70<br />
b) Seuil de détection 70<br />
II.3 DETECTION SUR TISSUS VEGETAUX<br />
II.3.1 Effet des additifs sur l'amplification 70<br />
II.3.2 Efficacité de la détection sur moelle de dactyle 72<br />
II.3.3 Efficacité de la détection sur tissus de ray-grass anglais et fétuque élevée 73
III- DISCUSSION 73<br />
IV- CONCLUSION 75<br />
PARTIE IV : INOCULATION ARTIFICIELLE DU DACTYLE PAR E. TYPHINA<br />
INTRODUCTION 76<br />
MATERIEL ET MeTHODES GENERAUX<br />
I MATERIEL VEGETAL<br />
I.1 PLANTES 76<br />
I.2 SEMENCES 77<br />
II SUIVI DES INOCULATIONS<br />
II.1 OBSERVATION MICROSCOPIQUE 77<br />
II.2 ISOLEMENTS 77<br />
I. MATERIEL ET METHODES<br />
CHAPITRE 1 : INOCULATION AVEC DES SPERMATIES<br />
I.1 CONSTITUTION DE L'INOCULUM 78<br />
I.2 INOCULATION AU NIVEAU DES PLAIES DE COUPE. 78<br />
I.2.1 Préparation des plantes 78<br />
I.2.2 Pulvérisation de l'inoculum 79<br />
I.2.3 Apport de l'inoculum en goutte 79<br />
II. RESULTATS<br />
II.1 PULVERISATION DE L'INOCULUM SUR LES PLAIES DE COUPE 79<br />
II.2 APPORT DE L'INOCULUM EN GOUTTES SUR LES PLAIES DE COUPE 80<br />
III. DISCUSSION 80<br />
I. MATERIEL ET METHODES<br />
CHAPITRE 2 : INOCULATION AVEC DES ASCOSPORES<br />
I.1 CONSTITUTION DE L'INOCULUM 81<br />
I.2 INOCULATION PAR LES PLAIES DE COUPE<br />
I.2.1 Préparation des plantes 81<br />
I.2.2 Pulvérisation de l'inoculum 81<br />
I.2.3 Apport de l'inoculum en gouttes 82<br />
I.2.4 Apport de l’inoculum par implants 82<br />
I.3 INOCULATION DANS L'ESPACE ENTRE LES TIGES ET LES GAINES FOLIAIRES<br />
I.3.1 Choix des plantes 82
I.3.2 Inoculation 82<br />
I.4 INOCULATION DES JEUNES TALLES DANS LES ZONES PROCHES DES MERISTEMES 83<br />
I.5 INOCULATION PAR LES INFLORESCENCES<br />
I.5.1 Inoculation 83<br />
I.5.2 Devenir des semences 83<br />
I.6 INOCULATION DIRECTE DE SEMENCES 83<br />
I.6.1 Trempage des semences dans une suspension d'ascospores 84<br />
I.6.2 Mise en contact des semences avec les ascospores sur eau gélosée. 84<br />
I.6.3 Mise en contact des semences avec les ascospores sur support inerte. 84<br />
II. Resultats<br />
II.1 INOCULATION PAR LES PLAIES DE COUPE<br />
II.1.1 Pulvérisation de l'inoculum 85<br />
II.1.2 Apport de l'inoculum en goutte 85<br />
II.1.3 Apport des ascospores sur pastilles gélosées 85<br />
II.2 INOCULATION ENTRE LES TIGES ET LES GAINES FOLIAIRES 85<br />
II.3 INOCULATION DES JEUNES TALLES DANS DES ZONES PROCHES DES MERISTEMES 86<br />
II.4 ENTREE DES ASCOSPORES PAR LES INFLORESCENCES, EN COURS DE FECONDATION 86<br />
II.5 INFECTION DES SEMENCES PAR LES ASCOSPORES<br />
II.5.1 Trempage 86<br />
II.5.2 Mise en contact direct<br />
a) Semences et ascospores sur support en verre 87<br />
b) Semences et ascospores sur gélose 87<br />
III. Discussion sur les inoculations avec ascospores<br />
III.1 PENETRATION DES ASCOSPORES PAR LES PLAIES DE COUPE 87<br />
III.2 PENETRATION DES ASCOSPORES PAR LES GAINES FOLIAIRES 88<br />
III.3 INFECTION DES JEUNES TALLES PAR LES ASCOSPORES 89<br />
III.4 INFECTION DES SEMENCES PAR LES ASCOSPORES 89<br />
CHAPITRE 3 : INOCULATION AVEC DES CONIDIES ISSUES D'ASCOSPORES<br />
I. matériel et méthodes<br />
I.1 OBTENTION DES CONIDIES 91<br />
I.2 INOCULATION PAR LES PLAIES DE COUPE<br />
I.2.1 Préparation des plantes 91<br />
I.2.2 Apport de l'inoculum en gouttes 91<br />
I.2 INOCULATION DES JEUNES TALLES DANS LES ZONES PROCHES DES MERISTEMES 91
II. résultats<br />
II.1 INOCULATION PAR LES PLAIES DE COUPE 92<br />
II.2 INOCULATION DES JEUNES TALLES DANS DES ZONES PROCHES DES MERISTEMES 92<br />
III. DISCUSSION 92<br />
CHAPITRE 4 : INOCULATION AVEC DU CHAMPIGNON DE CULTURE PURE<br />
I. matériel et méthodes<br />
I.1 SOUCHE D'EPICHLOE UTILISEE 93<br />
I.2 INOCULATION DE PLANTULES AGEES DE 7 JOURS<br />
I.2.1 Inoculation au niveau du coléoptile 93<br />
I.2.2 Inoculation au niveau de la racine 93<br />
I.3 SEMENCES GERMEES SUR COLONIE 93<br />
I.4 INOCULATION DE LIMBES FOLIAIRES<br />
94<br />
I.5 MISE EN CONTACT D’IMPLANTS MYCELIENS SUR TIGES COUPEES 94<br />
II. résultats<br />
II.1 INOCULATION DE PLANTULES AGEES DE 7 JOURS<br />
II.1.1 Inoculation au niveau du coléoptile 94<br />
II.1.2 Inoculation au niveau de la racine 95<br />
II.2 JEUNES PLANTES ISSUES DE SEMENCES GERMEES SUR DES COLONIES 95<br />
II.3 ENTREE PAR LES LIMBES FOLIAIRES 96<br />
II.4 IMPLANTS MYCELIENS PLACES SUR LES TIGES COUPEES 96<br />
III. Discussion sur les inoculations avec du mycélium<br />
III.1 INOCULATION DE PLANTULES DE 7 JOURS<br />
99<br />
III.2 SEMENCES GERMEES SUR COLONIE D'E. TYPHINA 99<br />
III.3 INOCULATION DE LIMBES FOLIAIRES 99<br />
III.4 IMPLANTS MYCELIENS PLACES SUR LES TIGES COUPEES 100<br />
DISCUSSION GENERALE –CONCLUSION 101<br />
PARTIE V : ESSAIS DE LUTTE CONTRE E. TYPHINA ET NEOTYPHODIUM SPP.<br />
INTRODUCTION 102<br />
CHAPITRE 1 - ESSAI DE LUTTE FONGICIDE CONTRE EPICHLOE TYPHINA<br />
I. MATERIEL ET METHODES<br />
I.1 PREPARATION DES MILIEUX<br />
I.1 Milieux de culture 104
I.2 Matières actives utilisées 104<br />
I.2 PREPARATION DES SUSPENSIONS DE SPORES<br />
I.2.1 Suspension de spermaties 104<br />
I.2.2 Suspension d’ascospores 105<br />
I.2.3 Suspension de conidies isues d’ascospores 105<br />
I.3 TESTS DE CROISSANCE MYCELIENNE 105<br />
I.4 CONDITIONS DE CULTURE ET ANALYSES 105<br />
I.5 TESTS SUR QUENOUILLES ET TISSUS VEGETAUX<br />
I.5.1 Tests fongicides sur des quenouilles blanches 106<br />
I.5.2 Tests fongicides sur des quenouilles oranges 106<br />
I.5.3 Tests fongicides sur la végétation 107<br />
II. RESULTATS ET DISCUSSION<br />
II.1 EFFET DES FONGICIDES SUR LES SPORES D’E. TYPHINA<br />
II.1.1 Effet des fongicides sur les spermaties<br />
a) Essais effectués sur PDA en 2003 107<br />
b) Essais effectués sur eau gélosée en 2004 107<br />
II.1.2 Effet des fongicides sur les ascospores<br />
a) Essais effectués sur PDA en 2003 108<br />
b) Essais effectués sur eau gélosée en 2004 109<br />
I.1.3 Efet des fongicides sur les conidies isues d’ascospores 110<br />
II.1.4 Discussion : action des fongicides sur les spores d’E. typhina 112<br />
II.2 EFFET DES FONGICIDES SUR LA CROISSANCE MYCELIENNE 113<br />
II.3 TRAITEMENT DES QUENOUILLES ET DES TISSUS VEGETAUX<br />
II.3.1 Traitements de quenouilles blanches 116<br />
II.3.2 Traitements de quenouilles oranges 117<br />
II.3.3 Traitements de la végétation 117<br />
II.3.4 Conclusion 118<br />
III. CONCLUSION DES ESSAIS DE LUTTE CONTRE E. TYPHINA 118<br />
CHAPITRE 2- ESSAI DE LUTTE FONGICIDE CONTRE NEOTYPHODIUM LOLII ET N.<br />
COENOPHIALUM<br />
I. MATERIEL ET METHODES<br />
I.1 MATERIEL VEGETAL 119<br />
I.2 APPLICATION DES TRAITEMENTS DE SEMENCES 119<br />
I.3 DETERMINATION DE L’EFFICACITE<br />
I.3.1 Essai en serre 119<br />
I.3.2 Essai au champ 119<br />
I.3.3 Détection des Neotyphodium 119<br />
I.4 DETERMINATION DE LA PHYTOTOXICITE 120<br />
I.5 ANALYSES STATISTIQUES 121<br />
II. RESULTATS ET DISCUSSION<br />
II.1 RESULTATS OBTENUS EN 2001 SUR TRITICONAZOLE A 2.5G/KG ET 5G/KG 121<br />
II.2 RESULTATS OBTENUS EN 2002 (TRITICONAZOLE, BITERTANOL, FLUQUINCONAZOLE,<br />
PROCHLORAZE) 122<br />
II.3 RESULTATS OBTENUS EN 2003 (BITERTANOL, FLUQUINCONAZOLE, PROCHLORAZE) 124<br />
II.4 RESULTATS OBTENUS EN 2004 (PROCHLORAZE, FLUDIOXONIL) 125<br />
II.4.1 Effet sur la germination 125<br />
II.4.2 Effet sur l'endophyte 126<br />
II.5 DISCUSSION 126<br />
III. CONCLUSION DES ESSAIS DE LUTTE FONGICIDE CONTRE NEOTYPHODIUM SPP.<br />
127
CHAPITRE 3 - ESSAI DE THERMOTHERAPIE CONTRE NEOTYPHODIUM LOLII ET N.<br />
COENOPHIALUM<br />
I. MATERIEL ET METHODES<br />
I.1 MATERIEL VEGETAL 128<br />
I.2 MISE EN ŒUVRE DELA THERMOTHERAPIE 128<br />
I.3 DETERMINATION DE L’EFFICACITE 129<br />
I.4 DETERMINATION DE LA PHYTOTOXICITE 129<br />
II. RESULTATS ET DISCUSSION<br />
II.1 RESULTATS OBTENUS SUR RAY-GRASS EN 2002 A 60°C ET 80°C 130<br />
II.2 RESULTATS OBTENUS SUR RAY-GRASS EN 2003 A 70°C ET 80°C 131<br />
II.3 RESULTATS OBTENUS SUR RAY-GRASS ET FETUQUE EN 2004 A 80°C 132<br />
II.4 DISCUSSION 132<br />
III. CONCLUSION SUR LA THERMOTHERAPIE 133<br />
CONCLUSION GENERALE SUR LES POSSIBILITES DE LUTTE CONTRE EPICHLOE ET<br />
NEOTYPHODIUM 134<br />
PARTIE VI : DISCUSSION GENERALE ET PERSPECTIVES<br />
PARTIE VII : CONCLUSION GENERALE<br />
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES<br />
ANNEXES<br />
136<br />
145<br />
146<br />
161
LISTE DES TABLEAUX, FIGURES ET PLANCHES PHOTOS<br />
PARTIE I : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE.<br />
Tableau I.1 : Espèces de graminées et surfaces (ha) en multiplication en 2003.<br />
Tableau I.2: Comparaison des caractéristiques des Epichloe pathogènes et des Neotyphodium<br />
endophytes stricts.<br />
Figure I.1 : Morphologie des 3 graminées les plus cultivées en France.<br />
Figure I.2 : Position taxonomique des Epichloe et Neotyphodium<br />
Figure I.3 : Relations phylogénétiques entre espèces d'Epichloe et de Neotyphodium.<br />
Figure I.4 : Captures journalières moyennes par quenouille et par tranche de trois heures, en<br />
conditions naturelles de la mi-juin au début juillet (d'après Raynal, 1991b).<br />
Figure I.5 : Progression de la quenouille sur dactyle en parcelle d'essai<br />
Figure I.6 : Cycle hypothétique d'E. festucae selon Schardl et al. (1997).<br />
Planche I.1 : A : mycélium endophyte de type Neotytphodium dans une gaine foliaire de dactyle. B :<br />
quenouille blanche avec Diptère. C : spermatie réniforme typique d'E. typhina.<br />
D : quenouilles orange. E : périthèces, asques et ascospores.<br />
Planche I.2 : A : larves de Diptère sous leur coque de protection, portant le reste de l'enveloppe de<br />
l'œuf initial, ayant ingéré une partie de périthèces en formation. B : pupes de Diptères obtenues à partir<br />
des larves situées sur des stromas d'E. typhina de dactyle. C : épis de dactyle partiellement<br />
quenouillés.<br />
Planche I.3 : A : N. lolii dans une gaine foliaire de ray-grass anglais. B : N. lolii dans une semence de<br />
ray-grass anglais.<br />
A<br />
PARTIE II : ELEMENTS DE LA BIOLOGIE ET DE L'EPIDEMIOLOGIE D'E. TYPHINA.<br />
Tableau II.1 : Caractéristiques résumées des 4 types de spores rencontrés chez E. typhina.<br />
Tableau II.2 : Etat de germination des ascospores après 48h en atmosphère humide à 24°C selon leur<br />
durée de conservation, de -20°C à +80°C.<br />
Tableau II.3 : Facultés germinatives de semences d'épis sains et partiellement quenouillés.<br />
Figure II.1 : Germination des conidies de culture pure au bout de 24 heures sur PDA, à la lumière à<br />
24°C.<br />
Figure II.2 : Germination de conidies de culture pure sur différents milieux, après 48 heures.<br />
Figure II.3 : Germination de spermaties sur différents milieux, au bout de 48 heures à 24°C.<br />
Figure II.4 : Germination des ascospores sur différents milieux, au bout de 48 h à 24°C.<br />
Figure II.5 : Germination de conidies isues d’ascospores sur diférents milieux, après 48 heures.<br />
Planche II.1 : A et B : Germination bipolaire des spermaties à différents stades. C : Spermatie portant<br />
un conidiophore (Cp). D : Spermatie avec un tube germinatif (Tb) et un conidiophore formant une<br />
nouvelle spore (S).<br />
Planche II.2 : A : Production de conidies par deux ascospores sur PDA. B : Production de<br />
ramifications par des ascospores dans de l'eau. C : Germination d’ascospores sur lame de vere en<br />
conditions humides. Présence de début de ramifications (Tb) et de conidiophores (Cp) produisant des<br />
conidies (Co). Germination itérative des conidies. D : Lyse de l'eau gélosée par les ascospores et les<br />
conidies.<br />
Planche II.3 : A et B : Conidies (Co) isues d’ascospores formant de nouveles conidies (Cn). (Cp:<br />
conidiophore ; Tb : tube germinatif). C et D : Ascospores (As) germant dans la moele d’une tige de<br />
dactyle après injection. E : Colonisation des tissus de la moelle après injection d'ascospores.<br />
Planche II.4 : A : Conidies (Co) formées dans la moelle par les ascospores injectées (As) (Cp :<br />
conidiophore). B et C: Conidies (Co) isues d’ascospores germant dans la moele d’une tige de dactyle<br />
et formant un mycélium tortueux (My) typique des Neotyphodium.<br />
Planche II.5 : A : Trame formée par le dépôt d’ascospores sur feuile de dactyle au bout de 24h. B :<br />
Formation de conidies par la trame d'ascospores. C : Accolement d’ascospores sporulantes.<br />
Planche II.6 : Trame non sporulante formée par des ascospores éjectées sur un limbe de dactyle, après<br />
24 heures en atmosphère sèche (Microscopie électronique à balayage).<br />
Planche II.7: Trame produisant des conidies, formée par des ascospores déposées depuis 24 heures<br />
sur un limbe de dactyle en atmosphère humide (MEB).<br />
Planche II.8 : Trame formée sur une étamine par des ascospores produisant des conidies (MEB).
Planche II.9 : A : Détail d'un maillon de la trame. B : Ascospores (faible densité) sur une moelle de<br />
tige de dactyle (MEB).<br />
Planche II.10: Mycélium d'E.typhina dans le tégument d'une semence d'un épi partiellement<br />
quenouillé de dactyle.<br />
PARTIE III : MISE AU POINT D'UNE TECHNIQUE DE DETECTION BIOMOLECULAIRE.<br />
Tableau III.1 : Caractéristiques des deux couples d'amorces de microsatellites.<br />
Tableau III.2 : Comparaison des mélanges réactionnels de PCR pour deux couples d'amorces.<br />
Tableau III.3 : Cycles PCR pour deux couples d'amorces testés.<br />
Tableau III.4 : Résultats obtenus sur des échantillons végétaux après amplification par PCR.<br />
Figure III.1 : Seuil de détection de la PCR à 62°C avec le couple d'amorce B4.<br />
Figure III.2 : Effets des additifs de PCR sur l'amplification. Tests sur des ADN obtenus après<br />
extraction au SDS avec ou sans phénol sur tissus de moelle, aux concentrations de 10-5-1 et 0.1ηg.<br />
Figure III.3 : Visualisation des produits de PCR obtenus avec les amorces B4, sur des extraits de<br />
tissus de moelle de dactyle fortement infectés et sains, plus ou moins dilués.<br />
PARTIE IV : INOCULATION ARTIFICIELLE DU DACTYLE PAR E. TYPHINA<br />
Tableau IV.1 : Résultats des inoculations avec spermaties de quenouilles blanches.<br />
Tableau IV.2 : Récapitulatif des inoculations avec ascospores.<br />
Tableau IV.3 : Récapitulatif des résultats des inoculations avec ascospores des organes aériens du<br />
dactyle.<br />
Tableau IV.4 : Récapitulatif des inoculations d'inflorescences et de semences avec des ascospores :<br />
analyse sur les plantes issues des semences mises en contact avec l'inoculum.<br />
Tableau IV.5 : Récapitulatif des inoculations avec conidies isues d’ascospores.<br />
Tableau IV.6 : Récapitulatif des inoculations avec du mycélium de culture pure.<br />
Figure IV.4 : Pourcentage de limbes donnant des isolements positifs dans la zone inoculée 15, 22 et<br />
29 jours après mise en contact avec le mycélium d'E. typhina.<br />
Tableau IV.7 : Récapitulatif des résultats des inoculations avec du mycélium de culture pure.<br />
Figure IV.1 : Schéma des parties d’une tige de dactyle.<br />
Figure IV.2 : Récolte d’ascospores dans de l’eau stérile.<br />
Figure IV. 3 : Inoculation et localisation des fragments analysés par isolement sur le limbe foliaire.<br />
Planche IV.1 : Mycélium externe d'E. typhina sur un dactyle de 8 semaines suite à l'inoculation de<br />
plantules de 7 jours au niveau du coléoptile.<br />
Planche IV.2 : Mycélium externe après inoculation de plantules de 7 jours au niveau du coléoptile vu<br />
en microscopie électronique à balayage.<br />
PARTIE V : ESSAI DE LUTTE CONTRE E. TYPHINA ET NEOTYPHODIUM SPP.<br />
Tableau V.1 : Effet des fongicides sur la germination des ascospores sur PDA en 2003.<br />
Tableau V.2 : Effet des matières actives sur la croissance mycélienne.<br />
Tableau V.3 : Matières actives et doses testées en serre et au champ (en g par kg de semences).<br />
Figure V.1 : Moyennes des pourcentages de germination de spermaties après 24 h sur PDA contenant<br />
des fongicides en 2003.<br />
Figure V.2 : Moyennes des pourcentages de germination des spermaties après 48h sur eau gélosée<br />
contenant des fongicides en 2004.<br />
Figure V.3 : Moyennes des pourcentages de germination des ascospores après 48h sur eau gélosée et<br />
fongicides, en 2004.<br />
Figure V.4 : Moyennes des pourcentages de germination des conidies issues d'ascospores après 48h<br />
sur eau gélosée contenant des fongicides<br />
Figure V.5 : Moyennes des diamètres des colonies mycéliennes (mm) sur PDA contenant des<br />
fongicides.<br />
Figure V.6 : Incidence des endophytes, après traitement de semences, mesurée sur 50 plantes de raygrass<br />
âgées de 3 mois, pour chaque lot en 2002. Germination évaluée à 14 jours.<br />
Figure V.7 : Incidence des endophytes dans les plantes issues de semences de ray-grass récoltées en<br />
2002 à Troyes et à Brain (50 semences sont analysées par répétition).
Figure V.9 : Incidence des endophytes dans les semences de ray-grass récoltées en 2003 à Troyes et à<br />
Brain (50 semences sont analysées par répétition).<br />
Figure V.8 : Incidence des endophytes après traitement de semences mesurée sur 50 plantes âgées de<br />
3 mois, pour chaque lot en 2003. Germination évaluée à 14 jours.<br />
Figure V.10 : Facultés germinatives des semences de ray-grass traitées par thermothérapie à 60°C et<br />
80°C, pendant 4, 6, 8, 10 ou 12 jours avec une teneur initiale en eau de 10% ou 15 %, en 2002.<br />
Figure V.11 : Régression linéaire sur les pourcentages de plantes endophytées du lot 6.<br />
PARTIE VI : DISCUSSION GENERALE ET PERSPECTIVES<br />
Figure VI.1 : Cycle infectieux hypothétique d'E. typhina sur le dactyle