Tajan - Autographes et Manuscrits

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3 6 BARRÈS (Maurice). Ensemble de 7 lettres et cartes, dont 6 autographes signées et une autographe. 1908 et s.d. 150/200 « C’est pour moi un supplice... Il faut ou que vous me fassiez recopier et me communiquiez votre copie, ou que je voie les épreuves. Mais je sais : on ne me donne pas les épreuves, sous prétexte qu’on n’a pas le temps !... » (s.d.). ON JOINT une lettre autographe signée de sa femme Paule Couche. 7 BAUDIN (Charles). 3 lettres autographes signées. Paris, 1840, Toulon, 1846 et s.l., 1853. 5 pp. in-folio et 1 p. in-12. 100/150 « C’est hier soir seulement que m’est parvenue votre lettre... accompagnant celle que plusieurs notables du HAVRE m’ont fait l’honneur de m’adresser... Je crois que la pétition doit se borner à établir... l’urgente et indispensable nécessité d’agrandir votre port et de lui créer une seconde entrée. Quand cette nécessité sera bien constatée et bien reconnue par la Chambre et par le gouvernement, les fortifications actuelles tomberont d’elles-mêmes... » (25 janvier 1840). « J’ai reçu la dépêche télégraphique par laquelle vous me demandez le Montézuma pour vous conduire à Bône. J’ai sur le champ donné ordre au capitaine de ce paquebot de se mettre à votre disposition... » (au comte de SALVANDY, 14 juillet 1846). 8 BERLIOZ (Hector). 2 lettres, dont une autographe signée et une autographe. S.l.n.d. et s.l., 1859. 2 pp. in-8. 400/500 « Veuillez être assez bon pour donner place dans votre journal au programme ci-joint... » (s.l.n.d.). « Philippin a oublier de souhaiter le bonjour à Philippine, mais il serait bien malheureux si Philippine ne pensait quelquefois à Philippin. Il la prie donc de boire le souvenir dans ce verre, qui lui rappellera en outre de belles forêts, de vertes collines, un charmant pays ; il vient de [Berlioz a inscrit ici une portée musicale avec quatre notes qui, dans les systèmes alphabétiques en cours dans les pays allemands et en Angleterre, se lisent BADE]... » (14 novembre 1859). Berlioz fit plusieurs voyages à Bade entre 1853 et 1863, dont un en août-septembre 1859. 9 BERNHARDT (Rosine Bernard, dite Sarah). Ensemble de 6 lettres et cartes autographes signées. 1888-1892 et s.d. 200/300 « Mon cher Carré, j’ai passé ma journée... dehors et j’ai reçu votre mot en rentrant... Tout cela eût été du reste impossible parce que je n’ai pas de costume mais j’ai en revanche de forts regrets... » (19 mai 1892). « Mon cher Basset,... voulez-vous bien annoncer que mes cours commenceront samedi prochain et se continueront les samedis et mardis de chaque semaine... » (s.d.). 10 BONAPARTE (Napoléon). Apostille signée « Bonaparte » (Paris, 15 germinal an X-5 avril 1802, 4 lignes) sur une pièce signée par le ministre de la Guerre Alexandre Berthier avec quelques mots autographes de celui-ci (Paris, 3 germinal an X-24 mars 1802, 1 p. in-folio, en-tête manuscrit « Département de la Guerre. Rapport fait aux Consuls »). 400/500 « Demande du brevet de sous-lieutenant à la suite du corps des Sapeurs, pour le c en Clouet, neveu du chef de brigade du Génie Tousard, destiné à remplir aux Indes les fonctions de directeur provisoire des fortifications. Une maladie ayant empêché ce 6 7

jeune homme de se présenter à l’examen de l’an 9 pour entrer à l’École polytechnique, ses vingt ans accomplis ne lui permettent plus maintenant d’aspirer à cette école... » Bonaparte a fait inscrire : « Je prie le ministre de se faire rendre compte pourquoi on lui propose une chose contraire aux règles fondamentales du corps... » Berthier a ensuite écrit de sa main : « prévenir le cn Tousard du refus du 1r consul. B. » 11 BONAPARTE (Napoléon). – Pièce signée (secrétaire), contresignée par le secrétaire d’État Hugues-Bernard MARET et le ministre de la Guerre Alexandre BERTHIER. Saint-Cloud, 27 floréal an XI [17 mai 1803]. 1 p. in-folio imprimée avec ajouts manuscrits, sur peau de vélin, en-tête imprimé « Département de la Guerre » avec vignette gravée sur cuivre, timbre sec de Bonaparte premier consul. 50/100 « Brevet de capitaine pour le c en Comercy (Arnaud), né à Vic, départem t des Hautes-Pyrénées le 9 mars 1757 », appartenant à la 7 ème demi-brigade légère. 12 BOTREL (Théodore). Une lettre et une carte autographes signées. S.l., 1904 et s.d. 50/100 La carte, qui représente un couple breton en costume traditionnel, porte le texte d’un poème intitulé « Les petits sapins » : « Les sapins danois, les pauvres petits / Dont on a semé la côte bretonne / Soupirent un air triste et monotone / Quand vient à souffler la brise d’automne... / ... Dame ! Ils ont aussi le mal du pays ! » 13 BOULANGER (Nadia). Ensemble de 7 lettres et cartes autographes signées. 1907-1932. 200/300 « Je dois donner demain soir mon article. Ne pouvez-vous me faire communiquer pour une heure ou deux, l’œuvre de votre ami. J’ai bien compris comment il en faut parler, je comprends mieux encore que pour STRAWINSKY, cela n’a aucun intérêt – mais... j’aimerais bien l’avoir lue, cette partition éblouissante... » (21 octobre 1923). « Mon cher maître, votre affection m’est une grande joie et vos félicitations me sont précieuses... » (à Henry Expert, 21 juillet 1932). « En répondant aux témoignages de sympathie qui nous ont entourées, je relis votre admirable et touchante lettre qui eût tant ému notre pauvre petite LILI. Je ne peux vous répondre, vous remercier – pour cela, il faut du recueillement mais je viens pleurer, près de votre cœur... » (s.d.). 14 BOURGET (Paul). Ensemble de 7 lettres autographes signées. 1884-1903 et s.d. 150/200 « J’aurais voulu, Monsieur, vous remercier plus tôt de l’article du Temps... Ce dont je vous suis surtout reconnaissant, c’est d’avoir si bien vu l’unité profonde que je sens exister entre mes vers, ma critique et mes nouvelles... » (à Alfred Marchand, 13 octobre 1884). « Mon cher EPHRAÏM, je n’ai jamais eu l’exemplaire de L’Incendie de Rome... Je ne l’ai pas lu, par conséquent, mais je vais me le procurer... » (25 février 1899). « ... Un artiste littéraire n’a jamais à s’offenser de la critique, du moment qu’elle lui rend le plus flatteur des hommages : celui de prendre son effort et son œuvre sincèrement... » (31 décembre 1900). « Je serai extrêmement honoré de faire partie du comité que vous formez pour élever un monument à Eugène Fromentin. JE CONSIDÈRE L’AUTEUR DE DOMINIQUE COMME UN DES MAÎTRES DU ROMAN MODERNE, ET EN PARTICULIER DU ROMAN D’ANALYSE... » (20 janvier 1901). 15 BROHAN (Augustine, Madeleine et Suzanne). Ensemble d’environ 110 lettres autographes signées. 1853-1877 et s.d. 400/500 Augustine Brohan : « Très aimable régisseur, je suis la plus malheureuse des femmes : je ne peux plus parler. C’est à la lettre. Mon docteur assure que cela doit finir bientôt... » (« 5 octobre »). – « Cher Monsieur, comme vous l’avez désiré, vous verrez la pièce de VACQUERIE (tant pis pour vous !)... » (s.d.). Madeleine Brohan : « Mon cher L’Épine, je sais que vous m’aimez assez pour apprendre avec plaisir que je vais beaucoup mieux... Oui, grâce à Dieu cette affreux mal a fini par céder, et je suis en bonne voie de guérison. La mienne (voix) est tout à fait revenue, ce qui me rend bien heureuse. J’AI EU SI PEUR D’ÊTRE OBLIGÉE DE QUITTER LE THÉÂTRE... » (Pise, « 7 février »). –«... Je reçois une lettre qui m’apprend que JE JOUE TARTUFFE DIMANCHE. Enfin !... » (s.d.). – « Mon cher L’Épine, sachant la façon gracieuse dont M. de MORNY m’a toujours accueillie, un de mes amis me prie de recommander à sa bienveillance M r S t - Français, un artiste de beaucoup de talent... » (s.d.) Suzanne Brohan : « LES TROIS BROHAN SONT BIEN RECONNAISSANTES, Monsieur, de la manière tout à fait aimable et gracieuse dont vous parlez d’elles à vos lecteurs... » (« lundi »). ON JOINT une lettre d’Henry de Pène à « Melle Brohan ». 16 CARON (Rose Meuniez, dite Rose). Ensemble de 17 lettres et cartes, dont 14 autographes signées et 3 autographes. 1890-1926. Une lettre incomplète. 150/200 « ... je ne vois pas très bien la possibilité de répéter et FIDÉLIO et TRISTAN qui sont des œuvres si importantes. Croyez, Monsieur, que je suis très sensible à la bonne pensée que vous avez eue de me demander de chanter... »(1er février 1898, incomplète). « Ma fille m’a dit votre désir d’avoir une chanteuse pour un concert à Bourges. Je veux vous indiquer ma meilleure élève du Conservatoire Melle Bourgeois... Elle a une fort belle voix et beaucoup de sentiment... » (23 mars 1904). « ... Ma fille et moi nous serons très heureuses d’aller entendre et applaudir le grand artiste qu’est Monsieur Jacques THIBAUD... » (16 juin 1926). ON JOINT une lettre manuscrite. 17 CARVALHO (Léon Carvaille, dit). Ensemble de 14 lettres et cartes, dont 11 autographes signées et 3 autographes. 1872-1898 et s.d. 300/400 « MON CHER REYER, il est bien regrettable pour moi que La Statue soit au Théâtre-Lyrique. J’aurais été charmé de la monter immédiatement à l’Opéra-Comique... » (« mardi »). « MON CHER DAUDET, je sais tout ce que vous avez eu de bonté, tout ce que vous avez fait pour moi pendant ces tristes mois que je viens de passer !... Après les débats devant les tribunaux, ont commencé les débats avec l’administration des Beaux-Arts qui a fini par me prendre ma place et mes choses sans aucun souci de l’acte excessif qu’elle a commis !... » (« 3 janvier »). 8 9

jeune homme de se présenter à l’examen de l’an 9 pour entrer à l’École polytechnique, ses vingt ans accomplis ne lui perm<strong>et</strong>tent<br />

plus maintenant d’aspirer à c<strong>et</strong>te école... »<br />

Bonaparte a fait inscrire : « Je prie le ministre de se faire rendre compte pourquoi on lui propose une chose contraire aux<br />

règles fondamentales du corps... »<br />

Berthier a ensuite écrit de sa main : « prévenir le cn Tousard du refus du 1r consul. B. »<br />

11 BONAPARTE (Napoléon). – Pièce signée (secrétaire), contresignée par le secrétaire d’État<br />

Hugues-Bernard MARET <strong>et</strong> le ministre de la Guerre Alexandre BERTHIER. Saint-Cloud, 27 floréal<br />

an XI [17 mai 1803]. 1 p. in-folio imprimée avec ajouts manuscrits, sur peau de vélin, en-tête<br />

imprimé « Département de la Guerre » avec vign<strong>et</strong>te gravée sur cuivre, timbre sec de Bonaparte<br />

premier consul. 50/100<br />

« Brev<strong>et</strong> de capitaine pour le c en Comercy (Arnaud), né à Vic, départem t des Hautes-Pyrénées le 9 mars 1757 », appartenant<br />

à la 7 ème demi-brigade légère.<br />

12 BOTREL (Théodore). Une l<strong>et</strong>tre <strong>et</strong> une carte autographes signées. S.l., 1904 <strong>et</strong> s.d. 50/100<br />

La carte, qui représente un couple br<strong>et</strong>on en costume traditionnel, porte le texte d’un poème intitulé « Les p<strong>et</strong>its<br />

sapins » : « Les sapins danois, les pauvres p<strong>et</strong>its / Dont on a semé la côte br<strong>et</strong>onne / Soupirent un air triste <strong>et</strong> monotone /<br />

Quand vient à souffler la brise d’automne... / ... Dame ! Ils ont aussi le mal du pays ! »<br />

13 BOULANGER (Nadia). Ensemble de 7 l<strong>et</strong>tres <strong>et</strong> cartes autographes signées. 1907-1932.<br />

200/300<br />

« Je dois donner demain soir mon article. Ne pouvez-vous me faire communiquer pour une heure ou deux, l’œuvre de votre<br />

ami. J’ai bien compris comment il en faut parler, je comprends mieux encore que pour STRAWINSKY, cela n’a aucun intérêt<br />

– mais... j’aimerais bien l’avoir lue, c<strong>et</strong>te partition éblouissante... » (21 octobre 1923).<br />

« Mon cher maître, votre affection m’est une grande joie <strong>et</strong> vos félicitations me sont précieuses... » (à Henry Expert, 21 juill<strong>et</strong><br />

1932).<br />

« En répondant aux témoignages de sympathie qui nous ont entourées, je relis votre admirable <strong>et</strong> touchante l<strong>et</strong>tre qui eût tant<br />

ému notre pauvre p<strong>et</strong>ite LILI. Je ne peux vous répondre, vous remercier – pour cela, il faut du recueillement mais je viens<br />

pleurer, près de votre cœur... » (s.d.).<br />

14 BOURGET (Paul). Ensemble de 7 l<strong>et</strong>tres autographes signées. 1884-1903 <strong>et</strong> s.d. 150/200<br />

« J’aurais voulu, Monsieur, vous remercier plus tôt de l’article du Temps... Ce dont je vous suis surtout reconnaissant, c’est<br />

d’avoir si bien vu l’unité profonde que je sens exister entre mes vers, ma critique <strong>et</strong> mes nouvelles... » (à Alfred Marchand,<br />

13 octobre 1884).<br />

« Mon cher EPHRAÏM, je n’ai jamais eu l’exemplaire de L’Incendie de Rome... Je ne l’ai pas lu, par conséquent, mais je vais<br />

me le procurer... » (25 février 1899).<br />

« ... Un artiste littéraire n’a jamais à s’offenser de la critique, du moment qu’elle lui rend le plus flatteur des hommages : celui<br />

de prendre son effort <strong>et</strong> son œuvre sincèrement... » (31 décembre 1900).<br />

« Je serai extrêmement honoré de faire partie du comité que vous formez pour élever un monument à Eugène Fromentin.<br />

JE CONSIDÈRE L’AUTEUR DE DOMINIQUE COMME UN DES MAÎTRES DU ROMAN MODERNE, ET EN PARTICULIER DU ROMAN<br />

D’ANALYSE... » (20 janvier 1901).<br />

15 BROHAN (Augustine, Madeleine <strong>et</strong> Suzanne). Ensemble d’environ 110 l<strong>et</strong>tres autographes<br />

signées. 1853-1877 <strong>et</strong> s.d. 400/500<br />

Augustine Brohan : « Très aimable régisseur, je suis la plus malheureuse des femmes : je ne peux plus parler. C’est à la l<strong>et</strong>tre.<br />

Mon docteur assure que cela doit finir bientôt... » (« 5 octobre »). – « Cher Monsieur, comme vous l’avez désiré, vous verrez<br />

la pièce de VACQUERIE (tant pis pour vous !)... » (s.d.).<br />

Madeleine Brohan : « Mon cher L’Épine, je sais que vous m’aimez assez pour apprendre avec plaisir que je vais beaucoup<br />

mieux... Oui, grâce à Dieu c<strong>et</strong>te affreux mal a fini par céder, <strong>et</strong> je suis en bonne voie de guérison. La mienne (voix) est tout à<br />

fait revenue, ce qui me rend bien heureuse. J’AI EU SI PEUR D’ÊTRE OBLIGÉE DE QUITTER LE THÉÂTRE... » (Pise, « 7 février »).<br />

–«... Je reçois une l<strong>et</strong>tre qui m’apprend que JE JOUE TARTUFFE DIMANCHE. Enfin !... » (s.d.). – « Mon cher L’Épine, sachant<br />

la façon gracieuse dont M. de MORNY m’a toujours accueillie, un de mes amis me prie de recommander à sa bienveillance M r S t -<br />

Français, un artiste de beaucoup de talent... » (s.d.)<br />

Suzanne Brohan : « LES TROIS BROHAN SONT BIEN RECONNAISSANTES, Monsieur, de la manière tout à fait aimable <strong>et</strong> gracieuse<br />

dont vous parlez d’elles à vos lecteurs... » (« lundi »).<br />

ON JOINT une l<strong>et</strong>tre d’Henry de Pène à « Melle Brohan ».<br />

16 CARON (Rose Meuniez, dite Rose). Ensemble de 17 l<strong>et</strong>tres <strong>et</strong> cartes, dont 14 autographes<br />

signées <strong>et</strong> 3 autographes. 1890-1926. Une l<strong>et</strong>tre incomplète. 150/200<br />

« ... je ne vois pas très bien la possibilité de répéter <strong>et</strong> FIDÉLIO <strong>et</strong> TRISTAN qui sont des œuvres si importantes. Croyez, Monsieur,<br />

que je suis très sensible à la bonne pensée que vous avez eue de me demander de chanter... »(1er février 1898, incomplète).<br />

« Ma fille m’a dit votre désir d’avoir une chanteuse pour un concert à Bourges. Je veux vous indiquer ma meilleure élève du<br />

Conservatoire Melle Bourgeois... Elle a une fort belle voix <strong>et</strong> beaucoup de sentiment... » (23 mars 1904).<br />

« ... Ma fille <strong>et</strong> moi nous serons très heureuses d’aller entendre <strong>et</strong> applaudir le grand artiste qu’est Monsieur Jacques<br />

THIBAUD... » (16 juin 1926).<br />

ON JOINT une l<strong>et</strong>tre manuscrite.<br />

17 CARVALHO (Léon Carvaille, dit). Ensemble de 14 l<strong>et</strong>tres <strong>et</strong> cartes, dont 11 autographes signées<br />

<strong>et</strong> 3 autographes. 1872-1898 <strong>et</strong> s.d. 300/400<br />

« MON CHER REYER, il est bien regr<strong>et</strong>table pour moi que La Statue soit au Théâtre-Lyrique. J’aurais été charmé de la monter<br />

immédiatement à l’Opéra-Comique... » (« mardi »).<br />

« MON CHER DAUDET, je sais tout ce que vous avez eu de bonté, tout ce que vous avez fait pour moi pendant ces tristes mois<br />

que je viens de passer !... Après les débats devant les tribunaux, ont commencé les débats avec l’administration des Beaux-Arts<br />

qui a fini par me prendre ma place <strong>et</strong> mes choses sans aucun souci de l’acte excessif qu’elle a commis !... » (« 3 janvier »).<br />

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