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Mise en page 5 - André Parinaud

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« Un passeur dans le XXe siècle »<br />

Hommage à <strong>André</strong> <strong>Parinaud</strong><br />

6 mai – 1 juin 2011<br />

Vernissage le jeudi 5 mai 2011, de 18h à 21h30<br />

« Il existe une catégorie d’hommes exceptionnels que l’on nomme les Créateurs –<br />

artistes, écrivains, chercheurs – dont la marginalité est évid<strong>en</strong>te, généralem<strong>en</strong>t par<br />

l’outrance de leur s<strong>en</strong>sibilité et de leur comportem<strong>en</strong>t, et qui se sont spécialisés,<br />

par la force des choses, dans les voies qui, <strong>en</strong> finale, ont justifié leurs attitudes et<br />

nous permett<strong>en</strong>t de considérer l’intérêt de leurs inv<strong>en</strong>tions. Ils sont dominés par<br />

la curiosité et leurs découvertes, comme leurs œuvres, sont parv<strong>en</strong>ues à nous<br />

convaincre de l’intérêt de leurs exig<strong>en</strong>ces. La conquête sci<strong>en</strong>tifique est dev<strong>en</strong>ue un<br />

véritable idéal et nous accordons, aujourd’hui, une att<strong>en</strong>tion à la valeur particulière<br />

de l’acte créateur ».<br />

<strong>André</strong> <strong>Parinaud</strong> 1<br />

La Galerie Messine est heureuse de prés<strong>en</strong>ter cette exposition hommage à<br />

partir des archives d’<strong>André</strong> <strong>Parinaud</strong>.<br />

L’exposition s’articule autour de son parcours journalistique sur les ant<strong>en</strong>nes de la radio, de la télévision et dans la presse<br />

écrite culturelle. Elle prés<strong>en</strong>te une sélection d’œuvres, journaux, livres, correspondances et photographies – qui sont<br />

autant de témoignages d’une période intellectuellem<strong>en</strong>t int<strong>en</strong>se et riche de l’après-guerre.<br />

En 1950, <strong>André</strong> <strong>Parinaud</strong> n’a pas tr<strong>en</strong>te ans et a déjà « fait une carrière » à la radio, à la télévision, avec les interviews<br />

mémorables de Paul Léautaud, Jean Cocteau, Colette, Marcel Jouhandeau, Salvador Dali, <strong>André</strong> Breton, Georges<br />

Sim<strong>en</strong>on, Louise de Vilmorin, Marlène Dietrich, Pierre Cardin …<br />

Parallèlem<strong>en</strong>t il est prés<strong>en</strong>t dans l’av<strong>en</strong>ture de la presse écrite. Ce fut d’abord L’Aube, Paris Presse, L’Auto Journal, La<br />

Parisi<strong>en</strong>ne, Opéra, puis Arts.<br />

Agrégé de philosophie, il ne fut pas un universitaire tant il avait ce goût de l’action et du « terrain ». Il ne fut ni ambitieux<br />

ni carriériste mais il fut heureux à chaque fois que ses utopies dev<strong>en</strong>ai<strong>en</strong>t réalité car il se battit toujours pour que ses idées<br />

se concrétis<strong>en</strong>t <strong>en</strong> trouvant les moy<strong>en</strong>s financiers pour les réaliser. Ainsi Pierre Cardin, grand ami et complice durant plus<br />

de quarante années, soutint financièrem<strong>en</strong>t nombreuses de ses manifestations dont la plus internationale fut l’impression<br />

d’un millier de Drapeaux pour l’UNESCO, dans le cadre de l’Année de La Tolérance.<br />

En 1976 il crée l’Académie Nationale des Arts de la Rue (ANAR) – « La Rue » dont il disait que c’était le plus grand musée<br />

du monde, vitrine de la mode, des voitures et surtout de l’Affiche. En 2000 l’ANAR a édité un ouvrage « 35 ans d’affiches<br />

françaises » résultats de tr<strong>en</strong>te cinq années de « sélections m<strong>en</strong>suelles » des meilleures affiches commerciales, par un jury<br />

de tr<strong>en</strong>te personnalités représ<strong>en</strong>tatives du monde culturel. Puis ce fut le Prix de l’Affiche Culturelle, annuel à partir de<br />

1980, <strong>en</strong> collaboration avec la Bibliothèque Nationale.<br />

ŒUVRES ET DOCUMENTS EXPOSÉS<br />

Le Journal « Art » (1959 – 1967)<br />

Surnommé « le journal de l’intellig<strong>en</strong>ce française ». Cet hebdomadaire incarna<br />

p<strong>en</strong>dant quinze ans, de l’après guerre aux années 60, un état d’esprit d’insol<strong>en</strong>ce<br />

et de création artistique dans tous les domaines, de la littérature à la<br />

peinture, du cinéma au théâtre. Rédacteur <strong>en</strong> chef, <strong>André</strong> <strong>Parinaud</strong> rassembla<br />

le plus éblouissant comité de rédaction. Les critiques musicaux étai<strong>en</strong>t<br />

Georges Auric et Boris Vian ; pour le théâtre : Jacques Audiberti, Marcel<br />

Achard, Jean Anouilh, François Billetdoux et Jean Cocteau ; la philosophie était<br />

traitée par Alain et Paul Valery ; la littérature par Marcel Aimé, Jacques<br />

Chardonne, Juli<strong>en</strong> Gracq, Marcel Jouhandeau, Paul Léautaud, Pierre Mac<br />

Orlan, François Mauriac et Roger Nimier, tandis que les critiques de cinémas<br />

se nommai<strong>en</strong>t : Jean-Louis Bory, François Truffaut, Jean-Luc Godard, H<strong>en</strong>ri<br />

Jeanson et Eric Rohmer, sans oublier le chroniqueur sportif Antoine Blondin.


« L’Art <strong>en</strong> Soie » (1980)<br />

Œuvres de : Agam, Alechinsky, Dewasne,<br />

Hartung, Hundertwasser, Matta.<br />

A l’initiative d’<strong>André</strong> <strong>Parinaud</strong> et de l’un des plus prestigieux soyeux<br />

lyonnais, Hilaire Colcombet, ces œuvres ont été exécutées <strong>en</strong> 1980,<br />

dans les ateliers Bucol.<br />

La démarche de mobiliser les derniers grands artisans lyonnais et<br />

quelques uns des chefs de file de la dynamique artistique contemporaine<br />

de l’époque était ambitieuse. Chaque artiste a choisi des<br />

techniques différ<strong>en</strong>tes pour créer ces œuvres, grand format,<br />

reproduites à 8 exemplaires, sous leur contrôle afin que soit assuré le<br />

principe et la réalité de l’auth<strong>en</strong>ticité.<br />

Ces six œuvres originales sont le témoignage d’une véritable collaboration<br />

artiste/artisan et d’un savoir-faire prestigieux m<strong>en</strong>acé de<br />

disparaître, et du tal<strong>en</strong>t de créateurs capables de relever un tel défi.<br />

Alechinsky, Cocons et Doupions sur lite de mûrier, 100 x 153 c<br />

Des reportages exceptionnels sont restés <strong>en</strong> mémoire<br />

comme l’affaire Dominici traitée par Jean Giono et<br />

illustrée par Bernard Buffet, sans oublier la BD d’<strong>André</strong><br />

Breton.<br />

Photot ci-contre : Le comité de rédaction d’Art. Assis <strong>en</strong><br />

bas de gauche à droite : <strong>André</strong> <strong>Parinaud</strong>, Roger<br />

Boussinot, Jean Le Marchand, Michel Ragon, Yvan<br />

Christ, debouts : Pierre Marcabru, J.L. Bory, Jacques<br />

Boussac, Jacques Chantarel, Pierre Cabanne, Meyer, J.J.<br />

Levêque, Michèle Seurière, Daniel Bernet, Raymond<br />

Charmet, Jacques Bourgeois, Mathieu Galey.<br />

Journal « Aujourd’hui Poème» (1999 – 2007)<br />

Archives de la collection du journal et des activités de<br />

l’Association Le R<strong>en</strong>dez-Vous des Poètes.<br />

Nuit de la Poésie mai 2006 - cinquante ans après la<br />

première Nuit de la Poésie réalisée <strong>en</strong> mai 1956 au<br />

Théâtre du Chatelet.<br />

Subv<strong>en</strong>tionnée annuellem<strong>en</strong>t par le C<strong>en</strong>tre National du<br />

llivre, <strong>André</strong> <strong>Parinaud</strong> créa <strong>en</strong> 1995, l’association loi de<br />

1901 « Le R<strong>en</strong>dez Vous des Poètes » avec un groupe de<br />

poètes : Alain Bosquet, Charles Dobzynski, Claudine<br />

Helft, Jacques Darras, Claude Adel<strong>en</strong>, Jean-Luc Despax, ,<br />

Bernard Mazo, Lionel Ray, Francis Combes, Gabrielle<br />

Alth<strong>en</strong>, Marc Alyn. Puis naquit, sous l’impulsion de ce<br />

groupe, le journal m<strong>en</strong>suel « Aujourd’hui Poème » qui<br />

parut durant 87 numéros, et s’arrêta une année après<br />

son décès. Tous ses poètes animèr<strong>en</strong>t bénévolem<strong>en</strong>t<br />

cette publication.


« Académie Nationale des Arts de la Rue (ANAR) »<br />

(création <strong>en</strong> novembre 1975)<br />

C’est Christian Chavanon, Maître de requête au Conseil d’État et Présid<strong>en</strong>t de<br />

RTL, qui a insisté pour que le sigle « Anar » soit ret<strong>en</strong>u, permettant <strong>en</strong>fin à un<br />

membre du Conseil d’État d’être qualifié officiellem<strong>en</strong>t d’anar…Tout aussi sérieusem<strong>en</strong>t<br />

<strong>André</strong> <strong>Parinaud</strong> repr<strong>en</strong>ait les propos du philosophe H<strong>en</strong>ri Lefebvre,<br />

théorici<strong>en</strong> du « droit à la ville », <strong>en</strong> invitant à concevoir la ville comme « le lieu et<br />

le mom<strong>en</strong>t où l’on s’affranchit de la valeur d’échange au profit de la valeur<br />

d’usage. »<br />

C’est le 29 mars 1977, que l’ANAR se lance véritablem<strong>en</strong>t dans la société civile,<br />

comme association relevant de la loi de 1901 et doté de six objectifs :<br />

« Le vrai progrès est dans la rue, sinon, il est illusion ou privilège. »<br />

« La ville est une œuvre. »<br />

« Nous sommes tous culturellem<strong>en</strong>t responsables. »<br />

« Le droit à la ville est notre ambition. »<br />

« Le citoy<strong>en</strong> a un rôle planétaire. »<br />

L’ANAR a développé à partir de 1980 deux concours<br />

« Choisissez vos couleurs » et « Lumières dans la ville »<br />

avec le part<strong>en</strong>ariat financier d’Astral-Nobel et La<br />

Seigneurie pour le premier, et EDF et Philips Eclairage<br />

pour le second. Ainsi durant une vingtaine d’années,<br />

plus de 200 villes ont été primées et récomp<strong>en</strong>sées par<br />

un Jury composé des membres de l’ANAR et de spécialistes<br />

des disciplines. Toutes les catégories de cités<br />

étai<strong>en</strong>t prés<strong>en</strong>tes – du village de 200 habitants aux<br />

grandes villes.<br />

Ci-contre : Affiche du Musée dans la Rue.<br />

Campagne organisée par Publicis <strong>en</strong> collaboration avec l’ANAR,<br />

pour son cli<strong>en</strong>t INALTERA <strong>en</strong> 1978<br />

Membres fondateurs de l’ANAR :<br />

Reynold Arnould, Conservateur <strong>en</strong> Chef des Galeries Nationales du Grand Palais, Jean Balladur, Architecte , Marcel<br />

Bleustein-Blanchet, Fondateur de l’Ag<strong>en</strong>ce Publicis, Maurice Caz<strong>en</strong>euve, Anci<strong>en</strong> Directeur Général de FR3, ex-Directeur de<br />

Télé-Union, Christian Chavanon, Présid<strong>en</strong>t de Section au Conseil d'Etat, Jacques Dauphin, PDG de Dauphin Publicité, Paul<br />

Delouvrier, Établissem<strong>en</strong>ts Publics Parc de la Villette, Georges Elgozy, Inspecteur Général de l'Economie Nationale, Roger<br />

Excoffon, Graphiste, Jean Millier, Ingénieur Général des Ponts et Chaussées, Abraham Moles, Sociologue, <strong>André</strong> Mure, élu,<br />

ex Maire-Adjoint à la Culture de la Ville de Lyon, <strong>André</strong> <strong>Parinaud</strong>, Journaliste, critique d’art, Georges Patrix, Designer,<br />

Nicolas Schöffer, Artiste Plastici<strong>en</strong>, Roger Taillibert, Architecte. Présid<strong>en</strong>t actuel de l’ANAR Thierry Paquot.<br />

« Grand Prix de l’Affiche Française »<br />

(1968 – 2006)<br />

« Grand Prix International de l’Affiche Culturelle »<br />

(1988 – 2002)<br />

L’affiche est d’abord un service culturel. Ce concept est une valeur clé des Arts<br />

de la Rue — service artistique au plein s<strong>en</strong>s du terme. Les affiches ne sont pas<br />

seulem<strong>en</strong>t de la « réclame ». Et la meilleure façon de bi<strong>en</strong> servir le produit<br />

qu’elles annonc<strong>en</strong>t est de réaliser la plus efficace des formes d’expression par la<br />

beauté et le rayonnem<strong>en</strong>t de l’imaginaire créatif.<br />

Affiche créée par Savignac pour l’ANAR


L'affiche, élém<strong>en</strong>t dynamique du paysage urbain, participe à cette civilisation de l'image qui caractérise notre époque et<br />

qui continue Altamira, Lascaux et les bibles de pierre des cathédrales. Le média de l'affiche transmet beaucoup plus que<br />

la motivation d'achat. Son illustration, sa couleur, sa mise <strong>en</strong> <strong>page</strong>, son graphisme, la ligne, la forme sont des forces<br />

d’une irrationnelles qui, au-delà du produit et de la motivation commerciale, constitu<strong>en</strong>t un second message aussi ess<strong>en</strong>tiel<br />

et susceptible d'influ<strong>en</strong>cer nos réactions de citoy<strong>en</strong>s de la rue. L'ANAR rappelle que l'affiche a le privilège, qui peut<br />

dev<strong>en</strong>ir exorbitant, d'accaparer les lieux publics et d'être exposée aux regards de tous sans exception. Elle peut dynamiser<br />

les murs de nos villes ou les souiller. Elle est un appel aux foules. Son rôle dans l'<strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>t peut, à bon droit, être<br />

économique et publicitaire, mais elle contribue, aussi, de façon incontournable, au décor de nos rues, à leur animation et<br />

à la liberté du regard de tous.<br />

Réunion des membres du Jury du Premier Festival, sur<br />

le Pont du Mermoz<br />

« Festival International<br />

du Film d’Art (FIFAP) » (création <strong>en</strong> 1976)<br />

Le Premier Festival International du Film d’Art fut accueilli sur le<br />

paquebot Mermoz par les Croisières Paquet <strong>en</strong> septembre 1976.<br />

Puis r<strong>en</strong>ouvelé <strong>en</strong>suite chaque année, durant vingt huit années,<br />

dans un premier temps au C<strong>en</strong>tre Georges Pompidou puis <strong>en</strong>suite<br />

à l’UNESCO jusqu’<strong>en</strong> 2004.<br />

Le Festival International du Film d'Art (avec une section<br />

Pédagogique à partir de 1998) réunissait annuellem<strong>en</strong>t un jury<br />

prestigieux de quinze personnes sous la présid<strong>en</strong>ce d’un créateur<br />

plastici<strong>en</strong> ou d’une personnalité différ<strong>en</strong>t pour chaque édition - ce<br />

sont ainsi succédés Matta, César, Dewasne, Kijno, Féraud, Tremois,<br />

Merkado, Vérame, Maurice Rheims, Jean-Marie Tasset, Jean<br />

Lescure, ... - Une soixantaine de films de 18 à 25 pays, parmi les<br />

plus remarquables de la production cinématographique consacrée<br />

aux films sur l'art étai<strong>en</strong>t visionnés pour appréciation chaque<br />

année. Ainsi ses 28 Palmares ont «formé» un inv<strong>en</strong>taire de la plus<br />

remarquable expéri<strong>en</strong>ce culturelle cinématographie dans tous les<br />

domaines des arts (peinture, sculpture, architecture, design, mode<br />

...) constitutant un véritable héritage audiovisuel.


ACTUALITÉS AUTOUR<br />

DE CET HOMMAGE<br />

avec dessins appropriés de Mélois<br />

— Edition du Coffret JEAN COCTEAU dans la collection<br />

LES GRANDES HEURES INA/RADIO FRANCE, avec le DVD de son<br />

<strong>en</strong>treti<strong>en</strong> avec <strong>André</strong> <strong>Parinaud</strong> <strong>en</strong>registré et diffusé sur la radio <strong>en</strong><br />

1951 (1h10). Sortie prévue mai 2001.<br />

« Ces <strong>en</strong>treti<strong>en</strong>s sont un objet radiophonique singulier. Jean<br />

Cocteau (1889-1963) n’est pas directem<strong>en</strong>t questionné par<br />

<strong>André</strong> <strong>Parinaud</strong> (1924-2006), mais ce dernier s’adresse à lui,<br />

avec tutoiem<strong>en</strong>t de majesté, comme on s’adresserait à un<br />

oracle dans un film de… Jean Cocteau ; Cocteau lui répond par<br />

des monologues sur un ton qui donne tantôt l’impression qu’il<br />

s’exprime du haut d’une tribune, tantôt qu’il laisse courir un<br />

discours au fil des associations libres et de cette lég<strong>en</strong>daire<br />

p<strong>en</strong>sée verbomotrice...<br />

... Le siècle avait cinquante ans, le poète quelque dix de plus (il se<br />

dit pourtant « au milieu de son âge »), et c’est une galerie de<br />

portraits-souv<strong>en</strong>irs (comme ceux publiés par Grasset, <strong>en</strong> 1935),<br />

de lieux, de création artistique où, au rang des peintres se<br />

trouv<strong>en</strong>t évoqués Picasso comme Hitler (rayon « peintre du<br />

dimanche »), à celui des musici<strong>en</strong>s aussi bi<strong>en</strong> Ravel, Debussy,<br />

Satie et Stravinsky qu’Yvette Guilbert et le jazz. Une trame<br />

serp<strong>en</strong>tine où sont évoqués la politique, l’Occupation, la guerre<br />

(les si<strong>en</strong>nes, celle d’Apollinaire), les boxeurs, Nietszche, Colette,<br />

les Ballets russes, Laur<strong>en</strong>t Taillade, l’avion mitrailleur de Garros...»<br />

R<strong>en</strong>aud Machart - extrait de la préface du livret<br />

*<br />

— Edition d’un livret : PETITES CHRONIQUES PHILOSOPHIQUES SUR<br />

TOUT ET SUR RIEN AVEC DESSINS APPROPRIES DE MELOIS. Ces<br />

chroniques et dessins ont été publiés dans le Journal «AUJOURD’HUI<br />

POEME» <strong>en</strong>tre 2000 et 2006. Chaque mois Mélois illustrait l’éditorial<br />

d’<strong>André</strong> <strong>Parinaud</strong>.<br />

*<br />

— ARTCURIAL dispersera le 10 mai 2011, à partir de 14h30, une<br />

partie des archives d’<strong>André</strong> <strong>Parinaud</strong> prov<strong>en</strong>ant de ses collaborations<br />

aux journaux culturels La Parisi<strong>en</strong>ne, Opéra, Arts, puis à l’ORTF<br />

et la Radio.<br />

(Exposition les 6, 7, 8 et 9 mai)<br />

Artcurial, 7, rond point des Champs-Elysées 75008 Paris<br />

*<br />

— Prés<strong>en</strong>tation au Petit Montparnasse, à partir 9 septembre 2011,<br />

du spectacle « LOUISE DE VILMORIN », avec Coralie SEYRIG, d’après<br />

les <strong>en</strong>treti<strong>en</strong>s d’<strong>André</strong> <strong>Parinaud</strong>, adaptés par Coralie Seyrig et Annick<br />

Le Goff, mis <strong>en</strong> scène par Christine Dejoux.<br />

Pour toutes demandes concernant la presse,<br />

contacter Antonia Canat par email<br />

ac@galeriemessine.com ou 01 45 63 53 72.<br />

Horaires de la galerie : Lundi – v<strong>en</strong>dredi 10h-18h<br />

Le samedi sur r<strong>en</strong>dez-vous<br />

4 av<strong>en</strong>ue de Messine - 75008 Paris

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