Téléchargez le rapport - About TELUS
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Placements<br />
Recouvrabilité des placements à long terme<br />
. Nous évaluons la recouvrabilité de nos placements à long terme sur une<br />
base régulière et récurrente. La recouvrabilité des placements se fonde<br />
sur un processus de détermination tenant compte des attentes relatives<br />
au rendement futur des placements et de la comparaison des résultats<br />
historiques et des attentes précédentes.<br />
. Les principa<strong>le</strong>s hypothèses qui sous-tendent la recouvrabilité des<br />
placements à long terme sont la réalisation de flux de trésorerie futurs<br />
et d’attentes liées aux activités opérationnel<strong>le</strong>s. Notre estimation de la<br />
recouvrabilité des placements à long terme pourrait varier d’une période<br />
à l’autre, en raison de la nature récurrente de l’évaluation de la recouvrabilité<br />
et de la nature des placements à long terme (nous n’exerçons<br />
aucun contrô<strong>le</strong> sur <strong>le</strong>s entreprises détenues).<br />
. Si la provision au titre de la recouvrabilité des placements à long terme<br />
est inadéquate, nous pourrions subir une hausse de la charge imputée<br />
au poste « Autre bénéfice opérationnel » dans l’avenir. La provision au<br />
titre de la recouvrabilité des placements à long terme ne donne pas lieu à<br />
des sorties de trésorerie. Lorsqu’il y a des indications claires et objectives<br />
de l’augmentation de la juste va<strong>le</strong>ur d’un placement découlant soit de la<br />
vente récente d’actions par un autre investisseur existant ou de l’injection<br />
de fonds dans l’entité par un nouvel investisseur ou par un investisseur<br />
existant, nous comptabilisons l’augmentation après impôt de la va<strong>le</strong>ur dans<br />
<strong>le</strong>s autres éléments du résultat global (variation de la juste va<strong>le</strong>ur latente<br />
des actifs financiers disponib<strong>le</strong>s à la vente).<br />
Actifs et passifs d’impôt<br />
Montant et composition des actifs et passifs d’impôt,<br />
y compris <strong>le</strong> montant des avantages fiscaux non comptabilisés<br />
. Les hypothèses qui sous-tendent la composition des actifs et passifs<br />
d’impôt se fondent sur une évaluation des mérites techniques des positions<br />
fisca<strong>le</strong>s. Les économies d’impôt liées aux positions fisca<strong>le</strong>s incertaines<br />
sont uniquement comptabilisées lorsqu’il est plus probab<strong>le</strong> qu’improbab<strong>le</strong><br />
que <strong>le</strong> choix final du traitement comptab<strong>le</strong> de la position fera en sorte<br />
que l’économie sera réalisab<strong>le</strong>. Les actifs et passifs d’impôt sont évalués<br />
en fonction du montant qui devrait être réalisé ou versé au moment du<br />
règ<strong>le</strong>ment final avec <strong>le</strong>s autorités fisca<strong>le</strong>s. Ces évaluations se fondent sur<br />
<strong>le</strong>s lois de l’impôt, <strong>le</strong>s règ<strong>le</strong>ments et interprétations applicab<strong>le</strong>s, qui sont<br />
tous sujets à interprétation.<br />
. Les actifs et passifs d’impôt exigib<strong>le</strong> sont estimés en fonction du montant<br />
calculé de l’impôt qui doit être payé aux autorités fisca<strong>le</strong>s, déduction<br />
faite des acomptes provisionnels périodiques. Les passifs d’impôt différé<br />
se composent de l’incidence fisca<strong>le</strong> des différences temporaires entre<br />
<strong>le</strong>s va<strong>le</strong>urs comptab<strong>le</strong> et fisca<strong>le</strong> des actifs et des passifs, ainsi que de<br />
l’incidence fisca<strong>le</strong> des pertes fisca<strong>le</strong>s non déduites. Le moment auquel<br />
<strong>le</strong> renversement des différences temporaires a lieu fait l’objet d’une estimation,<br />
et <strong>le</strong> taux d’imposition pratiquement en vigueur pour <strong>le</strong>s périodes<br />
de renversement est appliqué aux différences temporaires. La va<strong>le</strong>ur<br />
comptab<strong>le</strong> des actifs et des passifs se base sur <strong>le</strong>s montants comptabilisés<br />
dans <strong>le</strong>s états financiers, et el<strong>le</strong> est par conséquent assujettie aux<br />
estimations comptab<strong>le</strong>s inhérentes à ces soldes. La va<strong>le</strong>ur fisca<strong>le</strong> des<br />
actifs et des passifs et <strong>le</strong> montant des pertes fisca<strong>le</strong>s non déduites<br />
se fondent sur l’évaluation des positions fisca<strong>le</strong>s dont il est fait mention<br />
ci-dessus. Les hypothèses concernant <strong>le</strong> moment du renversement<br />
des différences temporaires tiennent compte des attentes touchant <strong>le</strong>s<br />
résultats opérationnels et <strong>le</strong>s flux de trésorerie futurs. La composition<br />
des passifs d’impôt différé est susceptib<strong>le</strong> de varier d’une période à l’autre,<br />
en raison des variations de l’estimation de ces incertitudes importantes.<br />
. Cette estimation comptab<strong>le</strong> concerne <strong>le</strong>s postes d’actifs et de passifs<br />
importants figurant à nos états consolidés de la situation financière,<br />
qui constituent moins de 1 % du total de l’actif aux 31 décembre 2012<br />
et 2011, et environ 8 % du total du passif et des capitaux propres aux<br />
31 décembre 2012 et 2011. Si <strong>le</strong>s résultats futurs diffèrent de façon<br />
défavorab<strong>le</strong> de notre meil<strong>le</strong>ure estimation quant à la probabilité que <strong>le</strong>s<br />
80 . RAPPORT ANNUEL 2012 <strong>TELUS</strong><br />
positions fisca<strong>le</strong>s seront maintenues, au montant d’impôt que nous nous<br />
attendons à verser, aux résultats opérationnels futurs et au moment du<br />
renversement des différences temporaires déductib<strong>le</strong>s et des différences<br />
temporaires imposab<strong>le</strong>s et des taux d’imposition applicab<strong>le</strong>s aux exercices<br />
futurs, nous pourrions connaître des ajustements importants au titre<br />
de l’impôt différé. Ces ajustements pourraient donner lieu à des sorties<br />
de trésorerie plus tôt qu’il était prévu.<br />
Régimes de retraite à prestations définies du personnel<br />
Certaines hypothèses actuariel<strong>le</strong>s et économiques utilisées<br />
afin d’établir <strong>le</strong> coût des régimes de retraite à prestations définies,<br />
<strong>le</strong>s obligations au titre des prestations de retraite constituées et<br />
<strong>le</strong>s actifs des régimes de retraite<br />
. Nous examinons <strong>le</strong>s pratiques du secteur, <strong>le</strong>s tendances, la conjoncture<br />
et <strong>le</strong>s données fournies par <strong>le</strong>s actuaires aux fins de la formulation<br />
des hypothèses utilisées pour établir <strong>le</strong> coût des régimes de retraite à<br />
prestations définies et <strong>le</strong>s obligations au titre des prestations de retraite<br />
constituées. Les actifs des régimes de retraite sont généra<strong>le</strong>ment évalués<br />
selon <strong>le</strong>s va<strong>le</strong>urs de marché, mais certains actifs sont toutefois évalués<br />
au moyen d’estimations du marché lorsque <strong>le</strong>s va<strong>le</strong>urs de marché ne<br />
sont pas aisément disponib<strong>le</strong>s. Les méthodes quantitatives utilisées pour<br />
déterminer <strong>le</strong>s rendements estimatifs des actifs des régimes de retraite<br />
influent éga<strong>le</strong>ment sur <strong>le</strong> coût des régimes de retraite à prestations définies.<br />
Un soutien actuariel est obtenu aux fins de l’interpolation des gains et<br />
des pertes actuariels qui ont une incidence sur <strong>le</strong>s écarts actuariels au<br />
titre des régimes à prestations définies du personnel et sur <strong>le</strong>s obligations<br />
au titre des prestations constituées. Le taux d’actualisation, qui sert à<br />
déterminer l’obligation au titre des prestations constituées, se fonde sur<br />
<strong>le</strong> rendement de placements à long terme de qualité assortis de durées<br />
fixes. Il est établi annuel<strong>le</strong>ment à la fin de chaque année civi<strong>le</strong>, en fonction<br />
des rendements des indices des obligations de sociétés à long terme,<br />
en consultation avec des actuaires, et il fait l’objet d’un examen trimestriel<br />
afin de déterminer si des changements importants se sont produits.<br />
Les hausses de rémunération futures se fondent sur <strong>le</strong>s politiques actuel<strong>le</strong>s<br />
en matière d’avantages du personnel et sur <strong>le</strong>s prévisions économiques.<br />
. À l’heure actuel<strong>le</strong>, nous prévoyons procéder à l’application initia<strong>le</strong><br />
d’IAS 19, Avantages du personnel (modifiée en 2011) avec prise d’effet<br />
à l’exercice ouvert <strong>le</strong> 1er janvier 2013, sur une base rétrospective. En ce<br />
qui concerne nos méthodes comptab<strong>le</strong>s ainsi que nos pratiques en<br />
matière de présentation et d’informations à fournir pour 2012, la principa<strong>le</strong><br />
différence découlant de la norme modifiée tient au fait que <strong>le</strong> taux de<br />
rendement à long terme attendu des actifs des régimes ne sera plus utilisé<br />
aux fins des calculs concernant <strong>le</strong>s régimes à prestations définies, et<br />
ne constituera plus une estimation importante. L’application de la norme<br />
modifiée devrait entraîner des variations rétrospectives des charges<br />
opérationnel<strong>le</strong>s (charge au titre des avantages du personnel), des coûts<br />
de financement et de l’impôt sur <strong>le</strong> résultat. Son incidence sur <strong>le</strong> bénéfice<br />
net devrait être compensée dans <strong>le</strong>s autres éléments du résultat global.<br />
Se reporter à la rubrique 8.2 pour de plus amp<strong>le</strong>s renseignements et pour<br />
l’incidence quantifiée de l’application de la norme modifiée.<br />
. Au moins une fois par année, <strong>le</strong>s hypothèses portant sur <strong>le</strong>s régimes de<br />
retraite à prestations définies sont évaluées et révisées au besoin. Lorsque<br />
<strong>le</strong>s hypothèses clés des régimes de retraite à prestations définies varient<br />
considérab<strong>le</strong>ment de <strong>le</strong>urs va<strong>le</strong>urs à la clôture de l’exercice précédent,<br />
<strong>le</strong>s écarts actuariels découlant de ces variations importantes sont comptabilisés<br />
sur une base provisoire. Les hypothèses qui servent à établir <strong>le</strong><br />
coût des régimes de retraite à prestations définies, <strong>le</strong>s obligations au titre<br />
des prestations de retraite constituées et <strong>le</strong>s actifs des régimes de retraite<br />
incluent <strong>le</strong>s taux d’actualisation, <strong>le</strong>s taux de rendement à long terme des<br />
actifs des régimes (qui correspondent au taux d’actualisation en vigueur<br />
à l’exercice 2013), <strong>le</strong>s estimations du marché et <strong>le</strong>s taux d’accroissement<br />
futur de la rémunération. Des modifications importantes du rendement<br />
financier global et des postes des états financiers pourraient survenir en<br />
raison de changements aux hypothèses importantes qui sous-tendent<br />
cette estimation, susceptib<strong>le</strong>s de se produire par suite de la révision des