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crédit inutilisées soient suffisantes pour nous permettre de refinancer ces<br />

bil<strong>le</strong>ts et d’acquérir du spectre sans devoir accéder aux marchés des titres de<br />

créance à long terme. Au 31 décembre 2012, notre dette à long terme était de<br />

6,26 milliards de dollars, et <strong>le</strong>s échéances de cette dette s’échelonnent entre<br />

2013 et 2025 (se reporter à la rubrique 4.3 en ce qui concerne <strong>le</strong>s échéances<br />

relatives au capital de la dette).<br />

Une baisse des notations du crédit de <strong>TELUS</strong> pourrait avoir une<br />

incidence sur notre coût du capital et sur notre accès à des capitaux<br />

Une baisse des notations du crédit de <strong>TELUS</strong> ou de TCI pourrait avoir<br />

une incidence sur notre coût du capital et sur notre accès à des capitaux.<br />

Rien ne garantit que nous pourrons maintenir ou améliorer nos notations<br />

du crédit actuel<strong>le</strong>s.<br />

Atténuation des risques : Nous cherchons à maintenir des notations du<br />

crédit se situant entre BBB+ et A–, ou l’équiva<strong>le</strong>nt. Les quatre agences de<br />

notation chargées d’évaluer <strong>TELUS</strong> accordent actuel<strong>le</strong>ment des notations<br />

qui sont conformes aux notations visées, et des perspectives ou tendances<br />

stab<strong>le</strong>s et el<strong>le</strong>s ont aussi confirmé ces notations. Nous avons mis en œuvre<br />

des politiques financières qui nous aident à maintenir ou à améliorer nos<br />

notations du crédit actuel<strong>le</strong>s (se reporter à la rubrique 7.4, « Mesures de la<br />

situation de trésorerie et des sources de financement »).<br />

Des flux de trésorerie disponib<strong>le</strong>s inférieurs aux prévisions<br />

pourraient réduire notre capacité à investir dans des activités<br />

ou à réduire notre dette<br />

Nous nous attendons à générer des flux de trésorerie disponib<strong>le</strong>s se situant<br />

entre 1,2 milliard de dollars à 1,4 milliard de dollars en 2013, après avoir engagé<br />

des dépenses d’investissement d’environ 1,95 milliard de dollars. Les flux de<br />

trésorerie disponib<strong>le</strong>s ne tiennent pas compte des dépenses engagées aux<br />

fins de l’acquisition de licences de spectre, comme ce pourrait être <strong>le</strong> cas aux<br />

prochaines enchères devant avoir lieu au second semestre de 2013 (se reporter<br />

à la définition des flux de trésorerie disponib<strong>le</strong>s présentée à la rubrique 11.2).<br />

Les flux de trésorerie disponib<strong>le</strong>s serviront notamment à verser des dividendes<br />

à nos actionnaires. Même si nous nous attendons à ce que <strong>le</strong>s flux de trésorerie<br />

prévus soient plus que suffisants pour satisfaire nos besoins actuels et<br />

respecter notre politique financière, notre capacité d’investir dans nos activités<br />

pour assurer notre croissance future pourrait s’en trouver limitée. La hausse<br />

de l’impôt en trésorerie en 2013, la capitalisation des régimes de retraite à<br />

prestations définies et <strong>le</strong>s hausses des taux d’imposition des sociétés dans<br />

l’avenir réduiront <strong>le</strong>s flux de trésorerie après impôt que nous aurions autrement<br />

pu utiliser afin de fournir un rendement du capital investi à nos actionnaires.<br />

Si <strong>le</strong>s résultats réels diffèrent de nos attentes, rien ne garantit que nous ne<br />

devrons pas modifier nos plans de financement, y compris notre intention de<br />

verser des dividendes selon <strong>le</strong> ratio de distribution cib<strong>le</strong>.<br />

Atténuation des risques : Notre conseil d’administration examine <strong>le</strong> taux<br />

de dividende chaque trimestre, en fonction de nombreux facteurs incluant<br />

une ligne directrice à l’égard du ratio de distribution cib<strong>le</strong>. À la suite de<br />

ces examens, nous avons annoncé en 2011 et en 2012 quatre des six<br />

hausses semestriel<strong>le</strong>s de dividendes prévues jusqu’en 2013. Les hausses<br />

de dividendes, qui sont norma<strong>le</strong>ment déclarées en mai et en novembre,<br />

se situent autour de 10 % annuel<strong>le</strong>ment et ne sont pas nécessairement<br />

représentatives des hausses de dividendes ultérieures à 2013. En se fondant<br />

sur <strong>le</strong>s hausses annoncées du dividende <strong>le</strong> 27 février 2013 et <strong>le</strong>s 326 millions<br />

d’actions en circulation, <strong>le</strong> montant total des paiements de dividende<br />

s’élèverait à environ 835 millions de dollars en 2013.<br />

L’application d’IAS 19, Avantages du personnel (modifiée en 2011),<br />

à l’exercice 2013 entraînera une réduction hors trésorerie de notre bénéfice<br />

(se reporter à la rubrique 8.2, « Faits nouveaux concernant <strong>le</strong>s méthodes<br />

comptab<strong>le</strong>s »). En conséquence, <strong>le</strong> conseil d’administration a approuvé la<br />

modification de notre ligne directrice à l’égard du ratio de distribution cib<strong>le</strong>,<br />

qui était de 55 % à 65 % et est passée à 65 % à 75 % des bénéfices prévisib<strong>le</strong>s<br />

nets, sur une base prospective, avec prise d’effet pour <strong>le</strong>s dividendes<br />

déclarés après <strong>le</strong> 1 er janvier 2013.<br />

98 . RAPPORT ANNUEL 2012 <strong>TELUS</strong><br />

Instruments financiers<br />

Nos instruments financiers et la nature des risques de crédit, de liquidité<br />

et de marché auxquels ces instruments pourraient être assujettis sont décrits<br />

à Instruments financiers, à la rubrique 7.8.<br />

10.7 Questions fisca<strong>le</strong>s<br />

Les montants relatifs à l’impôt et aux taxes à la consommation,<br />

y compris la charge d’impôt, pourraient varier considérab<strong>le</strong>ment<br />

des montants prévus<br />

Nos activités sont comp<strong>le</strong>xes, et <strong>le</strong>s interprétations, <strong>le</strong>s règ<strong>le</strong>ments et <strong>le</strong>s<br />

lois liés à l’impôt s’appliquant à nos activités sont constamment susceptib<strong>le</strong>s<br />

de changer. Qui plus est, la mise en œuvre de nouvel<strong>le</strong>s lois revêt en soi<br />

un caractère comp<strong>le</strong>xe, notamment en ce qui a trait à l’exécution mettant<br />

en cause plusieurs systèmes et aux interprétations relatives à l’application<br />

de nouvel<strong>le</strong>s règ<strong>le</strong>s à des transactions, produits et services précis. Nous<br />

percevons et versons des montants importants de taxes à la consommation,<br />

tel<strong>le</strong>s que <strong>le</strong>s taxes de vente et d’utilisation, <strong>le</strong>s taxes de vente harmonisées<br />

(« TVH »), la taxe sur <strong>le</strong>s produits et services (« TPS »), <strong>le</strong>s taxes de vente<br />

provincia<strong>le</strong>s (« TVP ») et des taxes à va<strong>le</strong>ur ajoutée, à diverses autorités fisca<strong>le</strong>s.<br />

Les mesures prises par certaines provinces canadiennes ont entraîné<br />

d’importants changements à cet égard. Par suite du référendum tenu en 2011,<br />

<strong>le</strong> gouvernement de la Colombie-Britannique a décidé de rétablir son régime<br />

de taxe de vente provincia<strong>le</strong> avec prise d’effet <strong>le</strong> 1 er avril 2013, ce qui nous<br />

force à modifier 76 systèmes, initiative qui nécessite la participation d’environ<br />

300 membres de notre équipe. Nous modifions éga<strong>le</strong>ment nos systèmes de<br />

manière à tenir compte des changements relatifs à l’harmonisation de la taxe<br />

de vente provincia<strong>le</strong> au Québec (« TVQ »), qui ont prise d’effet <strong>le</strong> 1 er janvier<br />

2013, ainsi que du remplacement à l’î<strong>le</strong>-du-Prince-Édouard de la TVP et de la<br />

TPS par une TVH, avec prise d’effet <strong>le</strong> 1 er avril 2013. Le coût total estimatif de<br />

ces modifications se situe entre 10 millions de dollars et 11 millions de dollars.<br />

Nous comptabilisons et payons des centaines de millions de dollars<br />

en impôt sur <strong>le</strong> résultat et avons éga<strong>le</strong>ment des passifs d’impôt différé importants<br />

et des charges d’impôt importantes. Les montants d’impôt sur <strong>le</strong> résultat<br />

sont basés sur <strong>le</strong>s estimations que nous formulons au moyen de méthodes<br />

comptab<strong>le</strong>s qui prévoient la comptabilisation de l’avantage relatif à une position<br />

fisca<strong>le</strong> lorsqu’il est plus probab<strong>le</strong> qu’improbab<strong>le</strong> que <strong>le</strong> choix final du traitement<br />

comptab<strong>le</strong> de la position fera en sorte que l’économie sera réalisab<strong>le</strong>.<br />

L’évaluation de la probabilité et du montant de l’avantage ainsi que <strong>le</strong> moment<br />

auquel ce montant sera réalisé pourraient avoir une incidence importante<br />

sur <strong>le</strong> calcul du bénéfice net ou des flux de trésorerie. Comme il est mentionné<br />

à la rubrique 1.5, « Objectifs financiers et opérationnels pour 2013 », nous<br />

prévoyons effectuer des paiements d’impôt en trésorerie, déduction faite des<br />

économies, d’environ 390 millions de dollars à 440 millions de dollars en<br />

2013. Le taux d’imposition combiné prévu par la loi devrait être entre 25 % à<br />

26 % pour 2013. Ces prévisions pourraient varier si des modifications sont<br />

apportées aux interprétations, aux règ<strong>le</strong>ments, aux lois ou à la jurisprudence.<br />

Le moment auquel a lieu la monétisation des actifs d’impôt différé<br />

est incertain, car il dépend de notre bénéfice futur et d’autres événements.<br />

Les montants de passifs d’impôt différé sont eux aussi incertains, car ils<br />

se fondent sur <strong>le</strong>s taux d’imposition futurs pratiquement en vigueur qui ont<br />

alors prise d’effet et qui peuvent être modifiés par <strong>le</strong>s gouvernements. Les<br />

montants des paiements d’impôt en trésorerie et des passifs d’impôt différé<br />

se basent éga<strong>le</strong>ment sur la composition prévue de nos produits opérationnels<br />

tirés de nos diverses activités, laquel<strong>le</strong> est susceptib<strong>le</strong> de changer.<br />

Les activités de vérification et de révision de l’Agence du revenu du<br />

Canada et des autorités fisca<strong>le</strong>s d’autres provinces ou territoires ont une incidence<br />

sur <strong>le</strong> calcul définitif des montants réels des taxes à la consommation<br />

à payer ou à recevoir, de l’impôt sur <strong>le</strong> résultat à payer ou à recevoir, des<br />

passifs d’impôt différé et de la charge d’impôt sur <strong>le</strong> résultat. En conséquence,<br />

il n’existe aucune certitude que <strong>le</strong>s taxes ou <strong>le</strong>s impôts seront exigib<strong>le</strong>s comme<br />

il était prévu, ni que <strong>le</strong> montant ou <strong>le</strong> moment de la réception de ces actifs<br />

d’impôt, ou <strong>le</strong>ur utilisation, seront semblab<strong>le</strong>s à ceux actuel<strong>le</strong>ment prévus.<br />

En se basant sur notre expérience, nous sommes d’avis que <strong>le</strong>s autorités<br />

fisca<strong>le</strong>s assurent généra<strong>le</strong>ment un suivi plus rigoureux des questions fisca<strong>le</strong>s<br />

perçues et qu’el<strong>le</strong>s ont accru <strong>le</strong>urs ressources à ces fins. L’incertitude liée à<br />

l’économie et <strong>le</strong>s déficits gouvernementaux n’ont fait qu’exacerber la situation.

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