Offrandes spéciales - Eglise Adventiste du Septième Jour ...

Mercredi 3 juillet
4. RESPONSABILITE
a. Outre l’obéissance, quel devoir incombe encore aux jeunes ?
Matthieu 19:16-22.
“ La jeunesse ne doit pas être oubliée. Qu’elle partage les travaux et les
responsabilités ; qu’elle comprenne que son devoir consiste à faire du bien autour
d’elle. Les petits enfants eux-mêmes devraient apprendre à rendre de menus services à
moins favorisés qu’eux.”–Témoignages, volume 3, page 76.
b. Quel danger représente le fait de ne pas endosser la
responsabilité de nos actes ? Luc 16:15.
“Hommes et femmes trouvent plus d’une excuse à leur prédisposition au péché.
Ils le représentent comme une nécessité, un mal qui ne peut être vaincu. Mais le
péché n’est pas une nécessité. Christ a vécu en ce monde de l’enfance jusqu’à l’âge
adulte et pendant tout ce temps il a affronté toutes les tentations qui assaillent
l’homme et leur a résisté. Il est un modèle parfait pour les enfants, pour la jeunesse
et pour l’homme mûr.”–The Faith I Live By, page 219.
“Dieu met à l’épreuve chaque jeune homme. Plusieurs ont cherché à excuser
leur manque de diligence et de respect pour les choses saintes par le mauvais
exemple donné par des personnes plus expérimentées. Mais ceci ne devrait détourner
personne de la bonne voie. Au jour final des comptes, aucune de vos excuses
actuelles ne tiendra. Vous serez condamnés ; et ce sera justice, parce que vous
connaissiez la voie, mais vous n’avez pas voulu y marcher.”–Messages à la
Jeunesse, page 427.
“Les personnes les plus portées à se justifier de leurs fautes sont aussi les plus
sévères vis-à-vis des autres. Comme Saül, bien des gens s’attirent le déplaisir de
Dieu pour ne vouloir être ni conseillés, ni réprimandés. Ils ont beau voir que le
Seigneur n’est pas avec eux : ils se refusent à rechercher la cause du mal en euxmêmes.
Esprits orgueilleux et fanfarons, ils se permettent de juger cruellement et de
condamner sans merci des gens qui sont meilleurs qu’eux.”–Patriarches et Prophètes,
page 611 ou 645.
c. Quelle est notre responsabilité en ce qui concerne nos paroles ?
Psaume 19:15; Ecclésiaste 5:2.
“Encouragez chacun à utiliser un langage simple, pur et élevé. Cultivez ces
talents –l’élocution, la prononciation et la voix– non sous la directive d’un grand
professeur d’élocution du monde mais sous la puissance du Saint-Esprit de
Dieu.”–The Voice in Speech and Song, page 15.
8 Leçons de l’école du Sabbat, 3e trimestre 2002
Mercredi 18 septembre
4. OBLIGATIONS MUTUELLES
a. Comment les Ecritures résument-elles les devoirs du mari et de
la femme ? Colossiens 3:12-15; Ephésiens 5:22-33.
“Les deux personnes qui unissent leur vie et les intérêts qui s’y rattachent
possèdent des traits de caractère distincts et, de ce fait, assument des responsabilités
individuelles. Chacun accomplit son propre travail, mais la femme ne doit pas être
appréciée en fonction du labeur fourni, comme le seraient des bêtes de somme. En sa
qualité d’épouse et de compagne d’un mari avisé, la femme doit embellir le cercle
familial. Elle devrait constamment se demander : «Est-ce conforme à l’idéal que doit
atteindre une femme ?» «Comment puis-je exercer une influence chrétienne dans
mon foyer ?» Le mari, de son côté, devrait dire à sa femme qu’il apprécie son
travail.
L’épouse doit respecter son mari. Le mari doit aimer sa femme. L’engagement
du mariage a fait d’eux un seul être, de même leur foi en Christ doit faire qu’ils
soient un en lui. Est-il quelque chose qui puisse apporter à Dieu une plus grande
joie que de voir ceux qui s’unissent par le mariage chercher ensemble à mieux
connaître Jésus-Christ et à se pénétrer de son Esprit ?”–Le Foyer Chrétien, page
108.
b. Comment mari et femme doivent-ils coopérer avec Christ dans
ses méthodes ? Ephésiens 5:1-2.
“Si le mari et la femme ne soumettent pas leur cœur à Dieu, il leur sera
difficile d’aplanir toutes les difficultés, même lorsqu’ils essaieront de s’acquitter
loyalement et équitablement de leurs nombreux devoirs respectifs. Comment
pourraient-ils parvenir à maintenir sans faille leur amour réciproque s’ils sont en
désaccord sur les intérêts de leur propre vie familiale ? Ils devraient arriver à une
complète unité de vues pour tout ce qui concerne leur foyer, et l’épouse, si elle est
vraiment chrétienne, saura associer ses intérêts à ceux de son mari, qui est son
compagnon, car le mari doit être le chef de la famille.”–Le Foyer Chrétien, pages
112-113.
“Le royaume des cieux ne souffre aucune contrainte, aucune domination
intolérante.”–Jésus-Christ, page 544.
“Ni le mari, ni la femme, ne doit perdre son individualité, ou la laisser absorber
par celle de l’autre. Il faut que chacun ait une communion personnelle avec Dieu, et
lui demande : «Qu’est-ce qui est bien ? Qu’est-ce qui est mal ? Comment puis-je le
mieux remplir mon existence ?» Que votre affection monte vers celui qui a donné
sa vie pour vous. Que le Christ soit le premier, le dernier et le mieux servi en
toutes choses. A mesure que votre amour pour lui gagnera en profondeur, celui que
vous manifestez l’un pour l’autre se purifiera et s’affermira.”–Le Ministère de la
Guérison, page 305.
Leçons de l’école du Sabbat, 3e trimestre 2002 65