Offrandes spéciales - Eglise Adventiste du Septième Jour ...

Jeudi 29 août
5. LA VRAIE COURTOISIE
a. Quelle est la règle de la courtoisie chrétienne ? Matthieu 7:12.
“Cette règle d’or est le fondement même de la véritable courtoisie et c’est dans
la vie et dans le caractère de Jésus qu’elle a été le mieux illustrée. … Ses enfants
manifesteront le même esprit. Ceux en qui Jésus demeure vivront dans son
atmosphère. …
Dans nos rapports avec nos semblables, nous devons nous mettre à leur place,
essayer de comprendre leurs sentiments, leurs difficultés, leurs déceptions, leurs
joies et leurs douleurs. Nous devons nous identifier à eux et les traiter comme nous
aimerions l’être si nous étions dans leur situation. Voilà l’essence même de
l’honnêteté. C’est un autre aspect du commandement : «Tu aimeras ton prochain
comme toi-même.» Et c’est aussi le résumé de l’enseignement des prophètes. C’est
un principe divin qui devra être magnifié par tous ceux qui voudront être admis à
jouir de la société des êtres célestes.”–Messages à la Jeunesse, page 418.
b. Quelles qualités de courtoisie la jeunesse chrétienne devrait-elle
cultiver ? Colossiens 3:12-13.
“Celui qui a réalisé en quoi consiste la perfection idéale du caractère ne
manquera jamais de témoigner autour de lui la sympathie et la tendresse du Christ.
L’influence de la grâce doit attendrir le cœur, affiner et purifier les sentiments et
communiquer un sens élevé de la délicatesse et de la bienséance.”–Idem.
Vendredi 30 août
REVISION ET SUJETS DE REFLEXION 20 h 36
1. Quel but devrait-on toujours poursuivre lors de chacune de nos
relations sociales ?
2. Quel résultat inévitable reste pourtant souvent inaperçu quand
nous nous mêlons aux autres ?
3. A quel point le choix de nos compagnies est-il un sujet
sérieux ? Pourquoi ?
4. Quelle immense portée notre bon exemple peut-il avoir ?
Examinez différents exemples.
5. Comment pouvons-nous résumer les qualités de la courtoisie
chrétienne et les mettre en pratique dans notre vie
quotidienne ?
50 Leçons de l’école du Sabbat, 3e trimestre 2002
Mercredi 24 juillet
4. L’ECONOMAT
a. Le Seigneur nous a donné des talents afin que nous puissions
gagner notre vie par un travail fructueux. Que demande-t-il en
retour ? Lévitique 27:30.
“«La dîme … appartient à l’Eternel.» C’est la même affirmation que dans la loi
du Sabbat : «Le septième jour est le repos de l’Eternel, ton Dieu.» Dieu s’est
réservé une portion déterminée du temps et du revenu de l’homme, portion que nul
ne peut impunément s’approprier pour servir ses propres intérêts.”–Patriarches et
Prophètes, page 540 ou 512. [Italiques de l’auteur].
b. Pourquoi le système de la dîme fut-il institué ? Malachie 3:10.
“La consécration à Dieu d’une dîme de tous les revenus, du verger ou des
moissons, des troupeaux, ou encore du travail de l’intelligence ou des mains, la
consécration d’une seconde dîme pour soulager les pauvres et pour d’autres œuvres
de bienfaisance permettaient aux enfants d’Israël de garder vivace à l’esprit la vérité
première que tout appartient à Dieu, et qu’ils avaient là la possibilité extraordinaire
de transmettre les bénédictions divines. Une telle éducation voulait tuer tout
égoïsme desséchant et épanouir des caractères nobles et généreux.”–Education, page
50.
c. Outre la dîme, quelle autre chose devons-nous retourner à
l’Eternel ? Marc 12:41-44. Quel est le véritable dessein de
l’argent ?
“L’argent ne nous a pas été donné pour que nous acquérions les honneurs et la
gloire. En qualité d’administrateurs fidèles, nous devons l’employer pour l’honneur
et la gloire de Dieu. Certains pensent qu’il n’y a qu’une partie de leurs biens qui est
au Seigneur, et quand ils ont consacré cette partie à des œuvres charitables ou à
l’église, ils estiment que le reste leur appartient et qu’ils peuvent l’utiliser à leur
gré. C’est une erreur. Tout ce que nous possédons est au Seigneur, et nous devrons
lui rendre compte un jour de l’emploi que nous en avons fait. La façon dont nous
dépensons chaque centime montrera si nous aimons Dieu par-dessus tout et notre
prochain comme nous-mêmes.
L’argent est précieux parce qu’il peut faire beaucoup de bien. Entre les mains
des enfants de Dieu, c’est de la nourriture pour les affamés, de la boisson pour celui
qui est altéré, des vêtements pour celui qui est nu, une défense pour l’opprimé et un
secours pour les malades. Mais s’il n’est pas employé en vue des besoins de
l’existence, du bien de nos semblables et de l’avancement de la cause du Christ, il
n’a pas plus de valeur que le sable.”–Les Paraboles, pages 305-306.
Leçons de l’école du Sabbat, 3e trimestre 2002 23
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