Offrandes spéciales - Eglise Adventiste du Septième Jour ...

Mercredi 17 juillet
4. EN DEHORS DE LA MAISON
a. Quelle devrait être la condition des enfants de parents craignant
Dieu ? 2 Jean 4. Gardant cet objectif à l’esprit, que devrait-on
considérer quand on choisit l’éducation qui sera dispensée en
dehors du foyer ?
“Parents, tuteurs, placez vos enfants dans des établissements de formation où
les influences seront semblables à celles d’un foyer bien conduit ; des écoles où les
maîtres les feront avancer point par point et dans lesquelles l’atmosphère spirituelle
est une saveur de vie pour la vie.”–Testimonies, volume 8, pages 225-226.
b. Que devrait-on encourager s’il n’existe aucune école de ce
genre ?
“De nombreuses familles qui, pour l’éducation de leurs enfants, viennent
habiter dans les centres où se trouvent nos grandes écoles, feraient un meilleur
travail pour le Maître en restant à l’endroit où elles sont. Elles devraient encourager
les membres de leur église à fonder une école d’église, où les enfants de la région
pourraient recevoir une éducation chrétienne pratique. …
Partout où il y a quelques observateurs du sabbat, les parents devraient s’unir
pour fonder une école d’église dans laquelle les enfants pourraient être instruits. On
devrait employer un maître chrétien qui, en tant que missionnaire consacré,
éduquerait les enfants de manière à ce qu’à leur tour ils deviennent des missionnaires.
Engagez donc des éducateurs qui enseigneront à fond les branches ordinaires du
savoir en prenant la Bible comme base.”–Témoignages, volume 2, page 532.
“Certains parents sont si insouciants et si négligents qu’ils ne voient pas de
différence pour leurs enfants entre l’école d’église et l’école publique. «Nous vivons
dans le monde, disent-ils, et il ne nous est pas possible d’en sortir.» Certes, mais si
nous le désirons, nous pouvons garder nos distances à l’égard du monde. Il nous est
possible d’éviter de voir bien des choses blâmables, qui se généralisent rapidement
dans les derniers jours, et d’entendre une bonne partie de ce que l’on dit sur la
perversité et le crime qui sévissent à notre époque.”–Le Foyer Chrétien, page 392.
“Il est temps que l’on enseigne à nos membres d’église de retirer leurs enfants
de l’école publique. L’esprit vif de l’enfant assimile rapidement les mauvaises leçons
quand il se trouve en compagnie d’autres enfants qui n’ont pas été correctement
éduqués. Beaucoup d’entre eux sont ainsi corrompus.”–Manuscript Releases, volume
10, page 107.
18 Leçons de l’école du Sabbat, 3e trimestre 2002
Mercredi 4 septembre
4. MARIAGES PRECOCES (II)
a. Quand l’âge des fiancés est tout à fait approprié, que devrait-on
tout de même garder à l’esprit lorsque la tentation est là de se
précipiter dans le mariage ? Proverbes 21:5.
“Cette ancienne coutume [d’exiger qu’une dot soit payée soit en argent soit en
travail avant d’accorder sa fille en mariage] quoique donnant parfois lieu à des abus,
comme dans le cas de Laban, avait de bons résultats. Quand le prétendant s’engageait
à servir en vue d’obtenir sa future épouse, outre qu’un mariage précipité était
prévenu, ce laps de temps donnait l’occasion d’éprouver la profondeur des affections
du jeune homme aussi bien que son aptitude à entretenir une famille. On suit de nos
jours une coutume opposée qui engendre bien des maux. Il arrive souvent que des
personnes destinées à unir leur sort ont à peine eu l’occasion, avant le mariage, de
faire connaissance avec leurs habitudes et leurs dispositions respectives, et sont
réellement étrangères l’une à l’autre sur ce qui se rapporte à la vie journalière. Aussi
est-il beaucoup d’époux qui découvrent, trop tard, qu’ils ne sont point adaptés l’un à
l’autre ; une longue vie de misère est le résultat de leur union.”–Patriarches et
Prophètes, pages 186-187 ou 167.
b. Qu’est-ce qui indique qu’une personne est vraiment prête pour
le mariage ? Proverbes 24:27.
“Plusieurs ont contracté mariage sans avoir de biens hérités ou acquis. Ils
n’avaient ni force physique ni énergie mentale pour gagner de l’argent. Trop pressés
de se marier, ils ont assumé des responsabilités dont ils ne comprenaient pas
l’importance. Dénués de sentiments nobles et élevés, sans la moindre idée des
devoirs d’un mari et d’un père, ils ne savaient pas ce qu'il en coûte de pourvoir aux
besoins d’une famille. Ils n’ont pas fait preuve de sagesse dans l’accroissement de la
famille ni dans le maniement de leurs affaires. Ce sont précisément ceux qui n’ont
pas le sens du commerce et qui sont le moins préparés à se faire un chemin dans la
vie qui remplissent leur maison d’enfants qu’ils sont incapables de nourrir et de vêtir
convenablement et d’éduquer au double point de vue physique et mental ; tandis que
les hommes capables d’acquérir des biens se contentent généralement du nombre
d’enfants qu’ils sont à même d’entretenir. Ceux qui ne sont pas capables de pourvoir
à leurs propres besoins ne devraient pas avoir d’enfants.”–Messages Choisis,
volume 2, pages 483-484.
Leçons de l’école du Sabbat, 3e trimestre 2002 55