Offrandes spéciales - Eglise Adventiste du Septième Jour ...

Mercredi 11 septembre
4. RECHERCHER LE CONSEIL
a. Quel conseil Rébecca suivit-elle dans le choix de son mari ?
Genèse 24:50-58.
“Après que tout ait été arrangé, que le consentement du père et du frère ait été
obtenu, Rébecca fut consultée afin de savoir si elle accepterait de partir avec le
serviteur d’Abraham à une grande distance de la famille de son père pour devenir la
femme d’Isaac. Aux circonstances dans lesquelles tout ceci s’était déroulé, elle crut
que la main de Dieu l’avait choisie pour être la femme d’Isaac et «elle répondit :
J’irai».
A cette époque-là les contrats de mariage étaient généralement arrangés par les
parents ; on ne forçait personne cependant à épouser quelqu'un qu’on ne pouvait
aimer. Mais les enfants avaient confiance dans le jugement de leurs parents,
suivaient leurs conseils et accordaient leur affection à celui ou celle que des parents
expérimentés et craignant Dieu avaient choisi pour eux. Suivre une autre voie que
celle-ci était considéré comme un crime.
Quel contraste avec la méthode suivie maintenant par bien des enfants ! Au
lieu de faire preuve de respect envers les parents et de leur rendre l’honneur qui leur
est dû en les consultant et de profiter des avantages que confère leur jugement
expérimenté en les laissant choisir pour eux, ils se hâtent et sont davantage mûs par
l’impulsion que par le jugement de leurs parents et la crainte de Dieu. Il arrive
souvent qu’ils se marient sans même que leurs parents le sachent. Dans bien des cas,
leur vie est rendue amère par un mariage précipité car le gendre ou la belle-fille ne se
sent pas sous l’obligation de rendre leurs parents heureux.”–The Spirit of Prophecy,
volume 1, pages 103-104.
b. Quel principe tous ceux qui commencent à courtiser doivent-ils
garder à l’esprit ? Proverbes 1:8-9; 6:20-21; 15:20.
“Un jeune homme qui aime la compagnie d’une jeune fille et qui gagne son
affection sans se faire connaître à ses parents ne se comporte pas en chrétien à
l’égard de la jeune fille et de ses parents. Par des rencontres et des correspondances
secrètes, il parvient à exercer une grande influence sur elle, mais, en agissant ainsi,
il abandonne l’attitude noble et honnête qui doit caractériser tout chrétien. Pour
arriver à leurs fins, de tels jeunes gens n’agissent pas franchement et ouvertement et
ne se conforment pas à l’idéal recommandé par la Bible ; ils se montrent déloyaux à
l’égard de ceux qui les aiment et qui s’efforcent de les protéger. Les mariages
contractés dans ces conditions ne sont pas en harmonie avec la Parole de Dieu.”–Le
Foyer Chrétien, page 56.
60 Leçons de l’école du Sabbat, 3e trimestre 2002
Mercredi 10 juillet
4. L’ENTREPRISE FAMILIALE
a. Si les enfants sont enseignés comme cela nous est ordonné dans
Deutéronome 6:7, que réaliseront-ils au sujet de leurs devoirs
dans la vie du foyer ?
“L’éducation de l’enfant pour le bien ou pour le mal commence dans ses
premières années. On devrait enseigner aux enfants qu’ils font partie de l’entreprise
familiale. Ils devraient être entraînés à faire leur part dans la maison. On ne doit pas
toujours être à leur service ; au contraire, ils devraient alléger les fardeaux du père et
de la mère. Quand les enfants les plus âgés grandissent, ils devraient aider à prendre
soin des plus jeunes membres de la famille. La mère ne devrait pas s’épuiser à faire
le travail que les enfants pourraient et devraient faire.”–Manuscript Releases, volume
10, pages 206-207.
b. Comment les parents peuvent-ils enseigner à leurs enfants les
devoirs de la vie ? Proverbes 22:6.
“A l’école du foyer on devrait enseigner aux enfants comment remplir les
devoirs pratiques de la vie quotidienne. Tandis qu’ils sont encore jeunes, la mère
devrait leur confier quelque tâche simple à accomplir chaque jour. Il lui faudra du
temps pour leur expliquer comment s’y prendre, davantage que si elle accomplissait
ces tâches elle-même, mais elle doit se rappeler qu’il est de son devoir de poser le
fondement de la serviabilité dans la construction de leur caractère. Il faut qu’elle se
souvienne que le foyer est une école dans laquelle elle est le professeur principal. Il
lui appartient d’apprendre à ses enfants comment remplir les devoirs de la maison
rapidement et adroitement. Ils devraient apprendre aussi tôt que possible dans la vie à
partager les fardeaux d’une maison. Garçons et filles devraient être instruits depuis
leur enfance à porter des fardeaux de plus en plus lourds, à apporter leur aide
intelligente dans le travail de la firme familiale.”–Child Guidance, page 119.
c. Quelle est la conséquence inévitable de l’oisiveté ? Proverbes
19:15.
“Où l’oisiveté abonde, Satan utilise ses tentations pour gâcher la vie et gâter le
caractère. Riche ou pauvre, si la jeunesse n’est pas éduquée à travailler utilement elle
est en danger car Satan l’emploiera sous ses ordres. La jeunesse qui n’est pas
barricadée derrière les principes ne considère pas le temps comme un trésor précieux,
un don confié par Dieu, pour lequel chaque être humain devra rendre des comptes.
Les enfants devraient être éduqués à faire le meilleur usage possible de leur
temps, à aider leur père et leur mère et à compter sur eux-mêmes.”–Child Guidance,
page 123.
Leçons de l’école du Sabbat, 3e trimestre 2002 13