Contribution à l'étude des relations entre sports et violences

Remerciements
Remerciements
Comment remercier, sans oublier personne, ceux qui vous ont aidé tout au long
de ces années, et sans lesquels, ce travail, ne serait pas ? La dette est à ce
niveau ineffaçable.
A mes femmes tout d’abord, Sophie, Marie et Julie qui ont accepté et supporté
un époux et un papa relié à son ordinateur comme un malade à son goutte-àgoutte
chaque jour et à chacune des vacances depuis 10 ans maintenant.
A Bernard Jeu qui ne le saura jamais mais à qui je dois tant et sans lequel je
ne serai pas là aujourd’hui : de la réponse à mes interrogations naïves à ses
encouragements pour reprendre mes études à l’université, sans oublier ses
conseils en matière de lecture.
A Éric Debarbieux et Yvon Léziart, ensuite, le premier pour m’avoir donné le
goût et la passion de la recherche, le plaisir du terrain et une première
opportunité d’écrire, le second la possibilité de le faire. Les promesses
n’engagent dit-on que ceux qui les reçoivent ou y croient. Certains pourtant en
font et les tiennent. Ma dette, Yvon, est à ce niveau si importante qu’elle n’est
pas quantifiable !
A André Menaut qui fut un directeur de thèse attentif, présent et efficace.
A Pascal Duret, pour ses encouragements et sans lequel je ne me serais
probablement pas engagé dans cette HDR, mais aussi pour avoir accepté mes
sollicitations en matière d’écriture, pour m’avoir ouvert son réseau d’auteurs,
bref, pour m’avoir tout simplement permis de continuer à cheminer et
progresser.
A Christian Bromberger qui m’a aidé, conseillé, guidé et encouragé et continue
aujourd’hui à le faire alors que je n’étais, et ne suis, ni son étudiant ni son
collaborateur.
A Alain Jeannel pour ses précieux et pertinents conseils, pour m’avoir guidé et
orienté. Il est ainsi des gens qui, discrètement, vous aident à tracer votre
chemin. Je n’étais venu à l’université que pour actualiser mes diplômes, il m’a
encouragé à essayer de faire davantage et mieux.
A Pierre Clanché pour m’avoir fait découvrir « la passion partisane » et la
sociologie de l’École de Chicago mais aussi pour son enthousiasme. Lorsque je
prépare un cours et essaie de le rendre attrayant et dynamique, j’ai toujours
en souvenir « la chèvre de Monsieur Seguin ».
A Raymond Thomas qui un matin de février m’a offert ce que je n’aurais
jamais osé espérer. Il fut l’initiateur d’un projet sans en voir malheureusement
la réalisation.
Contribution à l’étude des relations entre sports et violences. De leurs manifestations à
leurs préventions. Page 3