1 - Notes du mont Royal

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"\& ODYSSÉE.
;i!.;!:;i- -;ui elle est, quelle est sa patrie. Aussitôt elle lu
,"!jv(î-t-& demeures paternelles.
* 3* use glorifie, dit-elle, d'être née à Sidon, riche en
-•!:* ïjiU- de l'opulent Atïbas; des pirates taphiens m'o
•M:- i« champs, m'ont conduite en cette île et m'on
;
S-'-•• - aii, dans son palais, leur a offert un noble pr
• Ai- ' reprend le Phénicien, que ne reviens-tu da
'v\ !:-:;s! tu reverrais le toit superbe de ton père et
i - ent encore, et leurs grandes richesses me so
• Si !••- \
ferai, répond-elle, si, par un serment,,les
• nt qu'ils me conduiront saine et sauve chez
v
dit : et tous prêtent le serment qu'elle a dem
U juré, lorsqu'ils ont accompli le serment :
-uce, maintenant 1 s'écrie-t-elle. Gardez-vous
de la fontaine de m'aborder ni de m'adressi
-ju'on n'avertisse le vieillard : s'il concevait d
«argerait de liens et préparerait votre péri
tn vos esprits notre entretien; hâtez-vous
» ; dès que le navire sera rempli, envoyez-i
» message, je vous porterai autant d'or qu'il
«Ht- M main. Mais puissé-je, au gré de mes désirs
si: *«•>« passage un salaire plus précieux ! Je prends
S-,iss^ siti fils de mon maître, enfant turbulent-, to
îors du logis ; je veux vous le conduire, vou
• ix lorsque vous le vendrez chez des peup
« A c es mots, elle s'éloigne et rentre au palais. 1
i-i'ès de nous l'année entière; ils acquièi
usseau de nombreux trésors. Enfin le chai
: achevé; alors ils envoient un message '
ï-ssi*