1 - Notes du mont Royal

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dis que dans le priais, bâti par Phylas, lui-même était
de liens et souffrait de cruelles douleurs à cause de la gr
jure que, pour mériter la belle Péro, il avait osé faire à I|
caria farouche Érinnys avait inspire son esprit. Mais e»
lampe évita k mort, poussa jusque dans Pyios les bœufs
sants du roi de Phytaeé, tira vengeance de l'injustice d
Nélée, conduisit à la maison de sou frère la fille de c<
s'exila dans Argos, féconde en coursiers, où sa desfini
d'achever sa carrière eu régnant sur des peuples i»ot:
En celte contrée il s'irait à son épouse ; il coutruisit un ;
palais, et donna le jour à deux fils vaillants : Antiphate et S
Antiphate fut le {.«ère du magnanime Oîelée et d'ArupI
sauveur du peuple, héros que Jupiter et Phéhus chérirent
cœur d'un amour sans bornes. Cependant il ne parvint
seuil de la vieillesse; mais, victime de la trahison de sa
que séduisirent des présents, il périt devant Thèmes et lais
fils : Arnphiloque et Alcmaon. Mantios engendra Polypl
dites. L'Aurore, éprise do la beauté de Clitos, l'enleva et I
porta parmi les immoiteh. Mais Apollon, après la mort
phiarac-s, voulut que le snperbel'olyphéide fut de tous les h
le devin le plus infaillible ; et ce héros, irrité contre so
émigra dans VHypérésie, qu'if, habita en interprétant à
mortels les signes des dieux. C'est son fils qui maintena
vient, et dont le nom estThéoelymène. 11 s'arrête auprès
lémaqne «u moment où, vers le navire, ie fils d'Ulysse
se;; vœux à Minerve et répand des libations.
a Ami, s'éerie-t-il, o toi qui fais ici cette offrande, je t'
jure, par !a divinité que lu honores, par ta tête, par celi
compagnons, réponds à mes questions avec, sincérité, ne
rien : qui