1 - Notes du mont Royal

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|s ^ ; • , -.ur la poupe la tête du pilote et lui brise le crâne; mon f
s! s | i non tombe de son banc comme un plongeur; son
•5| ^ ^ ; - îise abandonne ses ossements. Cependant Jupiter tont
| | ir nous la foudre; sous ses coups redoublés le navire t
;^ |-C s - ' et se remplit de soufre. Mes compagnons éperdus roi
sï ^ - lame; le flot les emporte autour du noir navire, sen
; •§ ;C
v •. s > Jes oiseaux de mer, et un dieu leur interdit le retou
: ^ f * * i • -" mt je porte dans le vaisseau mes pas agités, jusqu'à c
: ^ 5 - 'iilève ses flancs. La carène, sans agrès, devient le j
: s ; -. * . que Scylla ne m'aperçoive pas : car elle m'eût ôté
• - s d'éviter la mort. Pendant neuf jours encore le courant r
. s $ > Dans la dixième nuit, les dieux me poussent à l'île d'
îabite Calypso, déesse redoutable, dont la voix se mani
'* s irtels. La déesse me donne une généreuse hospitali
s - -ntié de ma douleur. Mais que me reste-t-il à t'appren
uis ton palais, devant ta chaste épouse, je t'ai racon
* A rien ne me paraît plus odieux que de reeommetic
< - - » lécit. »
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