1 - Notes du mont Royal

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i , CHANT VII.
1'- i> • •*$ que le noble et patient Ulysse adresse à Minerve
y>neio, î •> fortes mules emportent jusque dans la ville la jeu
X^ssu >u bientôt elle arrive devant le superbe palais de son pè
- s s.' n>,( iOus le portique. Ses frères accourent et s'empresse
.Oit- s; - ; oile, semblables à des dieux. Ils détellent les mules
»• •< es >. -S^ns le palais, les riches vêtements.. Elle-même gag
- î ,!,:>!' *ment où une vénérable Épirote, Eurymédouse, allur
S.- " Ns •. ! . lis des vaisseaux l'amenèrent de l'Ëpire et le peuple
>hv ï - **r récompense d'Alcinoos; car il règne sur les Phé
. !>• s* .p ,< respectent comme une divinité. Eurymédouse alla
•h; ' s i\ s d ' s ' a blanche Nauskaa. C'est elle aujourd'hui q
.. î',-o ^ appartement; elle allume le feu et prépare le repas <
! ", ; » (t Ulysse se lève pour se rendre à la ville. Miner
5- s o s fndrement sur lui, l'enveloppe d'un brouillard imp
î,!;-! -\ peur que l'un des fiers Phéaciens, le rencontrant,
!v«\ i >
;ur ses discoprs et ne l'interroge sur son nom. M;
ov i v urne. Elle s'arrête devant le héros, et le divin Ulys
iii!st\>' cette question :
- ui'-i enfant, pourrais-tu me conduire à la demeure du héi
*.îï ^ > ; ;! » règne sur ces peuples? hôte éprouvé par l'infortu
- \ N S s a >ne contrée bien lointaine et je ne connais aucun i
>-\ > - *, > ; habitent cette ville et ces terres. »
s l\ " vénérable, reprend Minerve, je t'indiquerai le \
i^ \x s demandes, il s'élève non loin de la demeure de m
s; (!.\S >le père. Mais suis-moi en silence, je te servirai
. s s- s '-oorde aucun de ces hommes; ils accueillent mal 1
Ui s > •> > i ,!e fêtent point avec amour ceux qui arrivent de l