1 - Notes du mont Royal

UN ODYSSÉE.
. ! .s ^ iiavaux; ainsi la déesse répand sur sa tête et sur les
, s 1 héros une grâce divine.
:-. s d au loin sur le rivage de la mer, éblouissant de grâce
s \ ,s Ué. Nausicaa l'admiieet dit à ses suivantes ;
' v \ s -z, mes blanches compagnes, ce que je vais vous dire.
< v ^-t voint contre la volonté des divinités de l'Olympe que ce
' ^ ! ve parmi les nobles Phéaciens. Il m'avait semblé d'abord
! , m vulgaire, et maintenant il est comparable aux dieux
s i - % nt le vaste ciel. Puisse lui ressembler celui à qui je don-
', ^ ~om d'époux, puisse cet étranger lui-même se fixer dans
^ Mais, ô mes suivantes, offrez à notre hôte des mets et
: et ses femmes, dociles à ses ordres, s'empressent de
» - elles placent près du héros les mets et le breuvage ; il
; avec délices, car il est resté bien des jours sans nour-
' ' - s > - ; endant d'autres soins occupent la blanche Nausicaa. Elle
- 3e chariot les vêtements repliés ; elle attache les mules
- ^ s ig; elle monte, et adresse à Ulysse ces exhortations :
-1, ô mon hôte ! il est temps de gagner la ville; je vais
jusqu'à la demeure de mon illustre père, où je pense
- > icontreras les plus illustres des Phéaciens; mais, avec
. >* ' e dont tu me semblés doué, observe exactement ce que
^ v Prescrire. Tant que nous traverserons les champs et les
. v 3 hommes, tu marcheras rapidement avec mes femmes,
- ' % iu char; j'ouvrirai le chemin. Mais lorsque nous arrix
, - a ville qu'entourent des remparts élevés, que partage
^ort dont l'entrée est étroite, où chacun a pour ses na-
•> ^ station sûre et où s'élève devant le superbe temple de
N \ * 'agora pavée de pierres énormes habilement ajustées
• ^ < - ,,ie l'on prend soin des agrès, des mâts, des cordages, et
- s'olit les rames, car les Phéaciens ne s'occupent ni de
-, \i carquois, mais des mâts, mais des rames, mais des
~ ->- s d les transportent pleins d'allégresse sur la mer écus'ors
évite les propos outrageants; crains que les pas-
!- s