1 - Notes du mont Royal

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Éï- de roc rechercher! Que ne s: réunissent-ils en d'aiitro.s pila
|| o«e ne premient-ils ici on ce jour leur suprême repas ! 0 vo
s| qui envahissez n'tto demeure, vais qui consume; les richesses
É" l'illustre TéUlmaque, ne vous soin ieui-iî plu» Je ce qu'enfants vi
|| avies appris de vos pères? Ignorez-vous quel fut t.'ly»se? A <
%^ jamais de tout le peuple a-l-il fail injure"? Qui a-l-il Messe par
à| discours»? 0» ne st.it que irop de ris dis ins faire sentir leur ha
^ ! et leur faseur; mais mon époux n'a opprimé personne. Ans
|s combien vis, (cents pervers, combien votri: iniquité apparaisse
^ vous qui n'avez aucune reconnaissance de ses bienfaits: »
|-, « Reine, reprend le prudent Médon, puisses-tu n'être pas rés
1> vée à de pins grands maux que cens; que lu endure*! Hélas'
3 prétendants méditent de cruels desseins; >enilie Jupiter ne pe
5 - les accomplir ! Ils 11 ùleul d'immoler Téi ; niaque à don i «tour
s il s'est rendu à la riante Pyîos et à la grande Lacédémoiie p>
s'informer de son père. »
" ; 11 dit : Pénélope sent son cœur faillir et ses genoux plier. Lo
s temps l'effroi la rend muette ; enfin ses veux se remplissent de i
mes; sa voix est entrecoupée de sanglots, elle e.vhule enfin
tristes paroles :
a Héraut, pourquoi mon enfant est-iï parti"? Quelle néces-iié
entraîné à monter un rapide navire, un de ces coursu-ss
la mer qui transportent les humain» sur les vastes plaints liqufU
Hélas! Téléniaque veut-il que sou nom mètne périsse panoi
hommes! »
«Je ne sais reprend le prudent .Médon, si l'un des à:c-;\
excité, ou si sou propre cœur l'a poussai à se rendre à l'yîoV. ji
apprendre. »'ii peut encore espérer le retour de KO» père, p.>u;
•voir si l.lssse a cessé de vivre, » A ces mot,-, le héraut s'ei,' ^
" s - au travers du palais.
La douleur dévorante est répandue autour de {'• ; néi>jv ; \ >
\, fortunée mère ne peut se résoudte à se servir de »es u- u! u
l sièges; mais as-iv, Mjr h- seuil de s,>u magnifique appaiieme
^ elle est misétïdilemi'nf affligée; à l'en tour "émissent t> s;;-^
"? captives, jeunes el s ieilies, que renferme le palais. Pénélope, -i.
son deuil profond, leur dit :
n 0 mes i !• i '« tompagues, les dieus. de l'Olympe ne m'.. -:
pas cuniLlee •) «'.lia lum plu» que toule.-1< s> lésâmes nées et