1 - Notes du mont Royal

Sis*
376 ODYSSÉE.
client les-siennes, et il est à peine croyable que, si jeune,
l'exprimes comme lui. Devant (lion, jamais le noble Ulysse et r
nous ne parlions diversement à l'agora ni dans le conseil ; ni
n'avions qu'une àme, qu'une pensée, pour donner aux Grecs
avis les plus salutaires. Mais enfin nous renversons la ville esc.
née de Priam, nous montons sur nos navires, et dieu disperse
Grecs. Déjà Jupiter en son esprit leur prépare un funeste reto
Ils ne sont pas tous prudents et justes ; un grand nombre
trouver ia mort à cause du terrible courroux de Minerve qui jt
la discorde entre tes Atrides. Les deux frères convoquent 1'
semblée imprudemment, et, contre l'usage, au soleil coucha
les Grecs accourent appesantis par le vin, et apprennent desr
pour quel motif ils sont réunis. Ménélas leur ordonne de son:
à partir dès l'iusianl sur le vaste dos de la mer. Mais tel n'
point te désir d'Agiirucmnon qui veut au contraire retenir l'arn
et sacrifier de saintes hécatombes, afin d'apaiser la terrible col
de Minerve. L'insensé ! il ignore qu'il n'est pas en son pouv
de iléehir ta déesse ! car les dieux éternels n'abandonnent
si prom[dénient leurs résolutions. Tandis que les fils d'Ati
debout, échangent des paroles arnères, les Grecs, emportés
des avis opposés, se lèvent avec un effroyable tumulte. La r
s'écoule, et même dans le sommeil les esprits aghest h-.s :
contre les autres des projets haineux. Hélas ! Jsghter assis 8ɧ
de cruels fléaux. Aux premières lueurs du maths, »«îssi#|
à la nier divine-nos vaisseaux que nous chargeais
et des captives à la taille' gracieuse ; mais la ma.
reste immobile autour d'Àgamemnon, pastsKtf liii
L'autre moitié montée sur ses navires fait force «« ;
nous fendons les flots ; un dieu a calmé le sêjois:
des monstres marins ; nous arrivons à Ténédos,