1 - Notes du mont Royal

CHANT XVIII. 259
« Cruel fils de Saturne ! reprend la déesse, quel reproche s'échappe
de tes lèvres ! Éh quoi ! il appartiendra à un homme
:4»sè5?i&T «>sUe xsxi nnt^a hsx&t&s se $ù''û vvai s.;-;Ss?»fïSis\ qiM*
ëm^^fi s s* Kisïiii- mCT;:* |«isiïd «site des ksis:s>;H«h. sssivrs «&« sp>« « , gu , s*s , !èîJ5e&, shosg «ïwdteiSB î sis se:
:î;||;ii|?i|:lsJ'^ssjssMèî des riteyxj si KsviôsmsiiS: à'««sE»œèf&§#.|£
l||:|i:g|iig#> Jïs siMît schsv^ •Yisfesîft vfsâjiiîs*is«i v asî&p&ï des
?$:|p:||:iiS:^îS^î «rfeswïs >;?* &?•*«. îsussi'iis sn/îipiîsî« s^fe^y*, «mè es elfes
^P||||:i#toïM^f;^••febd^^; gïiss* soiiss ses psls tsss
éS|||||i::eSs;si«l|:ôx «î «|ï$jdis «s *î« toi&ss» s«>s «3$&5i««ï :
4f|Épï|>i : ïf: : : : .
« Accoure, ô Vulcain ! Thétis attend de ton zèle un service. »
L'illustre dieu lui répond : « Quelle joie pour moi d'honorer
et de recevoir la noble déesse qui m'a sauvé, lorsque, après «ne
affreuse chute, je souffrais cruellement par la volonté de mon
indigne mère qui désirait cacher ma difformité ! J'aurais enduré
des maux infinis si Thétis, si Eurvnome, fille de l'Océan aux
longs reflux, ne m'eussent reçu dans leur sein. Réfugié pendant
neuf ans dans une grotte profonde qu'entouraient les flots de
l'Océan, dont l'immense murmure couvrait le bruit de mes tra-
\aux, j'ai fabriqué pour elles des bijoux merveilleux : des agrafes,
des bracelets, des anneaux, des pendants d'oreilles, des colliers.
Nul des dieux ni des hommes ne soupçonnait ma retraite; mais
Eurynome et Thétis étaient là, veillant à mon salut. La belle
Thctis maintenant vient dans mon palais; puissé-je m'acquitter